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Colloque : Pouvoir d’agir des usagers en France et au Québec : partage de connaissances pour une plus grande démocratie en santé

Appel à communication du colloque : “Pouvoir d’agir des usagers en France et au Québec : partage de connaissances pour une plus grande démocratie en santé”

Le colloque aura lieu en ligne sur ZOOM
le jeudi 13 juin de 14h00 à 18h30

  • 14h00-16h00 : plénière
  • 16h00-18h30 : ateliers

La Revue des Sciences de Gestion, la chaire de Gestion des services de santé du Conservatoire National des Arts et Métiers et le laboratoire LIRSA (EA4603) proposent une nouvelle édition du colloque « Démocratie en Santé ». 

Cette deuxième rencontre – qui fait suite à une première édition “Démocratie en santé et pouvoir d’agir en santé” en juin 2023 – réunira cette fois des spécialistes des pratiques québécoises et françaises, afin de mieux comprendre les apports et les limites des initiatives développées des deux côtés de l’Atlantique, mais également afin de partager les résultats d’expérimentations et de programmes de recherche impliquant des patients-partenaires.

L’objectif reste de promouvoir une discussion interdisciplinaire et d’alimenter de nouvelles pistes de réflexion pour tous les acteurs de la démocratie en santé : usagers, professionnels, représentants des tutelles, chercheurs, etc.

Cet appel à communications appelle des travaux, notamment sur :

  • le statut des patients-partenaires : du bénévolat au salariat ? Quels choix ? Pour quelles conséquences ?
  • accorder une place croissante aux proches dans le système de santé et les parcours de soins : quelles limites données par la règlementation ? Quels atouts pour les soins et l’accompagnement des personnes ? 
  • les patients-partenaires au sein des équipes de soignants : quels impacts sur l’organisation du travail, les rôle et les missions des professionnels ?
  • pouvoir d’agir des usagers : quel apprentissage organisationnel au sein des établissements ? Quelle gestion des connaissances au sein des équipes ?
  • démocratie en santé et pouvoir d’agir des usagers : où en est vraiment la transformation épistémique ?
  • pouvoir d’agir des professionnels : une attente forte de la part des équipes ? Une nécessité pour garantir le pouvoir d’agir des usagers ?
  • le pouvoir d’agir et la e-santé : le pouvoir d’agir est-il un levier d’expérimentation, d’adoption et de déploiement des outils de la e-santé ?

Cette liste n’est pas exhaustive, les propositions qui apporteraient une contribution qui ne s’inscrirait pas dans l’un des axes proposés seront examinées avec la plus grande attention.

Deux types d’article peuvent être proposés 

  • Articles académiques. Ils pourront se fonder sur des études empiriques tout autant que déboucher sur des approches pluridisciplinaires. Leur pertinence sera appréciée au regard de l’apport académique et de l’apport managérial.
  • Témoignages. Cette dimension ouverte se fondera sur une expérience individuelle ou collective mais ne se contentera pas d’une forme narrative, elle devra inclure une problématisation débouchant sur des pistes éventuelles de solution ou de recherche.

Modalités de soumission

MODALITÉS DE SOUMISSION des communications au colloque et sélection des articles pour un numéro spécial de la revue des sciences de gestion

  • Remise des résumés pour le colloque : 15 avril 2024
  • Retours aux auteurs : 2 mai 2024
  • Date limite des inscriptions au colloque : 15 mai 2024
  • Remise de la version intégrale de l’article (50.000 signes espaces compris, bibliographie, schémas, figures, tableaux compris) :
  • Publication du numéro spécial de La Revue des Sciences de Gestion : juin 2025
  • Possibilité d’un ouvrage collectif en complément

Adresse de contact : colloque@larsg.fr

Comité d’organisation

  • Sandra BERTENEZE, Professeur, titulaire de la Chaire de Gestion des Services de Santé · Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM)
  • Jean-Désiré MBAYE, secrétaire général adjoint de la Rédaction de La Revue des Sciences de Gestion
  • Philippe NASZÁLYI, Professeur émérite HDR, Directeur de La Revue des Sciences de Gestion.
  • Yves SOULABAIL, Professeur-Chercheur en gestion à l’ISTEC Business School – Paris, Vice-président de l’Académie des sciences commerciales

Entreprises libérées : le point sur les controverses

Rencontre pluridisciplinaire entre des chercheurs, des consultants et des managers d’entreprise “libérateurs” lors du colloque Entreprises libérées : le point sur les controverses

Les formes traditionnelles de management sont en crise et c’est sans doute ce qui pouvait leur arriver de mieux !  De nombreuses enquêtes ont montré qu’elles n’étaient visiblement plus adaptées ni aux attentes sociales des collaborateurs et  ni aux nouvelles stratégies d’innovation  qui passent par la mobilisation de la subjectivité des individus. Tout cela oblige les organisations à repenser les relations de travail et en particulier les relations managériales.

Face à ces contraintes et ces paradoxes certaines entreprises ont fait des paris audacieux et courageux: celui de tenter de libérer les organisations des chaînes aliénantes du passé. Le livre d’Isaac Getz a eu à ce sujet l’effet d’un révélateur: il existe des entreprises partout dans le monde qui mettent en place des relations managériales différentes qu’elles s’intitulent “management libéré”, “sociocratie”, “holacratie”, pourquoi pas “sophocratie”, qu’importe….Elles témoignent d’une réelle volonté de changer les relations de pouvoir dans les organisations; ce qui , d’ailleurs, n’est pas sans rappeler le mouvement plus ancien des entrepreneurs utopistes bien exploré par Philippe Trouvé et Henri Desroche.

Mais ce phénomène nouveau qui succède à une longue période de “malêtre” social dans les entreprises est loin d’être stabilisé. Il a ses partisans mais aussi ses détracteurs. C’est pourquoi, au delà des nombreuses controverses dont il est l’objet et des débats passionnés qu’il déclenche, il s’agira de l’observer avec un regard scientifique respectueux.

C’est autour de ces considérations que les enseignants chercheurs du Programme d’Etudes sur les Organisations Postmanagériales et la Libération des Entreprises (PEOPLE) du Groupe ESC Clermont, proposent une rencontre interdisciplinaire  sur cette question dans le but de tenter de comprendre :
–  de quoi ce phénomène d’innovation sociale est – il  le nom ?
– Quelles sont les pratiques qui sont mises en oeuvre ?
– Quels impacts peuvent – elles  avoir sur les relations de pouvoir dans les organisations ?
– Favorisent elles un véritable processus de démocratie dans l’entreprise ?

Les journées sont organisées de telle façon qu’elles puissent intéresser aussi bien des chercheurs en sciences de gestion que des consultants porteurs d’expériences ou des managers (cadres ou dirigeants) souhaitant initier avec intelligence des transformations sociales dans leur entreprise. 

La deuxième matinée du colloque sera consacrée à un hommage à l’entrepreneur libérateur Adriano Olivetti et au grand sociologue des utopies qu’a été Henri Desroches, auteurs de nombreux ouvrages sur ce thème.

Entreprises libérées : Programme prévisionnel

1° Journée :

8h 30 Accueil des participants

9h – 10h 45 Conférence plénière sur la démocratie d’entreprise (Thème et Intervenant à confirmer)
10h 45 – 11h : Pause
11h – 12h 30 : Session 1:  Ateliers d’échanges à partir des communications fournies par les chercheurs

12h – 13h 30 / Buffet dinatoire 

13h – 15h : Session 2: Atelier d’échanges à partir des communications fournies par les chercheurs et ou des consultants
15h – 15h 15 Pause 
15h 15 – 16h 45 :  Session 3 : Atelier d’échanges à partir des communications fournies par les chercheurs

17h – 20h : Conférence débat entre dirigeants libérateurs et chercheurs  (Plusieurs entreprises nous ont confirmer leur participation :  Hervé, Poult, Aneo, Maif, Zappos, Decathlon, Auchan. (Des contacts sont en cours avec d’autres entreprises comme Gore, Zappos, Décathlon)

20h : Apéritif dinatoire 

2° Journée :

9h – 12h 30 : Hommage à Adriano Olivetti   et Henri Desroche (Sociologue des utopies) avec la participation de managers ayant travaillé en direct avec cet entrepreneur italien fondateur de l’entreprise du même nom, leader en son temps dans la fabrication de la machine écrire puis de l’ordinateur portable.

12h 30 – 13h 30 : Buffet dinatoire 

13h 30 – 15h : Session 4: Atelier d’échanges à partir des communications fournies par les chercheurs

15h 15 :  Clôture du colloque 

Prix du colloque

  • Pour les deux journées du colloque avec 2 déjeuners et apéritif dînatoire  (hors frais d’hôtel)
    • 150 Euros par participant (Enseignants chercheurs et  professionnels)
    • 480 Euros pour les participants institutionnels ou d’entreprise bénéficiant de financements de formation continue
    • 60 euros pour les doctorants, étudiants et demandeurs d’emploi

Pour la conférence débat entre dirigeants libérateurs et chercheurs (Jour 1 de 17h à 20h) :

  • 90 € pour la conférence débat et l’apéritif dinatoire

Un bulletin d’inscription est en fichier joint. Il suffit de le renvoyer avec votre paiement ou votre bon de commande à :
Pascale  
 Fleurier
Groupe ESC Clermont – 4, Bd Trudaine- 63037 Clermont-Ferrand Cedex 1
04-73-98-22-43
pascale.fleurier@esc-clermont.fr

Dès réception de votre inscription, nous vous enverrons une confirmation une liste d’hôtels

Les membres du comité scientifique du colloque

–  Yoann Bazin, Enseignant Chercheur (ISTEC)
-­ Daniel Bonnet, Président (IPM)
-­ Marc Bonnet, PR (Université Lyon 3, ISEOR)
-­ Georges Botet Pradeilles, Président honoraire (IPM)
-­ Malik Bozzo Rey, Enseignant Chercheur (Université Catholique de Lille)
-­‐ Thibaud Brière, Philosophe
-­‐ Mireille Bruyère, Enseignant Chercheur (CERTOP, CNRS, Toulouse 2)
­‐ Jean Claude Casalegno, Enseignant Chercheur (Groupe Esc Clermont- IPM)
­‐ Marie Da Fonseca, MC (Université de Savoie)
­‐ Alain D’Iribarne, Directeur de recherches (CNRS)
­‐ Khalid Djerirri, Médecin du travail (CHU Clermont Ferrand)
­‐ Michel Lallement, PR, titulaire de la chaire d’Analyse sociologique du travail, de l’emploi et des organisations (CNAM)
­‐ Diego Landivar, Enseignant Chercheur (Groupe Esc Clermont et Origens Media Lab)
­‐ Marc Lecoutre, Enseignant Chercheur (Groupe Esc Clermont et CRCGM)
­‐ Danièle Linhart, Directrice de recherches émérite (CNRS, CRESPPA)
­‐ Sophie Marmorat, Enseignant Chercheur (Groupe Esc Clermont)
­‐ Renaud Muller, Enseignant Chercheur (Université Haute Alsace)
­‐ Brigitte Nivet, Enseignant Chercheur (Groupe Esc Clermont et CRCGM)
­‐ Eric Pezet, PR (Université Paris Ouest Nanterre La Défense, Co-directeur de Paris Research in Norms Management and Law (Primal))
­‐ Baptiste Rappin, MC (Université de Lorraine, IAE de Metz)
­‐ Georges Trepo, Professeur honoraire (HEC)
­‐ Philippe Trouvé, Directeur Scientifique (CEREQ)

Pour revisiter l’appel à communication

Les partenaires du programme PEOPLE, organisateurs du colloque

ESC Clermont Entreprises libérées

La Communication Numérique demain ?

La Communication Numérique demain ?

Quels métiers, Quelles compétences, Quels managements, Quelles organisations du travail et quelles formations ?

le 18 mai 2011 à l’ESSEC à La Défense

APPEL A COMMUNICATIONS

Face aux évolutions technologiques, les professionnels de la communication sont en train de vivre de grandes mutations qui rendent peu visibles les réalités actuelles et surtout à venir des métiers dits du numérique.

L’internet et les technologies de l’information modifient radicalement les activités des métiers de la publicité et de la communication. Dans la pratique, une même personne peut exercer simultanément plusieurs métiers. Ainsi, l’auteur d’un projet peut être en même temps le scénariste et le concepteur de l’œuvre. Le concepteur graphique peut également être le directeur artistique ou un infographiste. Ou encore, le rôle de modérateur-animateur multimédia peut aussi être confié à un webmaster ou à un community manager. Cependant, les entreprises peinent parfois à trouver dans ces domaines les compétences qui leur sont nécessaires pour se développer. Les métiers de la communication numérique et le management des organisations évoluent très vite et le regard prospectif sur ces mutations, ruptures, signaux faibles semble indispensable pour éclairer l’action présente des acteurs du secteur.

De plus, la communication numérique vient de plus en plus bouleverser les réalités professionnelles de toutes les fonctions : finances, marketing, logistique, RH, etc. Lors de ce colloque, nous pourrons débattre des impacts, des enjeux, de la communication numérique sur ces fonctions et métiers. Suite à une étude de prospective des métiers de la communication numérique, ce colloque permettra également d’en présenter les résultats mais également de réunir chercheurs et praticiens qui s’intéressent à l’impact du numérique sur la Communication en général.

Nous serons particulièrement attentifs aux travaux de recherche interdisciplinaires ou aux notes de praticiens sur les thèmes suivants :

Les métiers et les compétences de la communication numérique – Les tendances d’évolution de la communication numérique – Les organisations du travail et le numérique – Les formations en communication numérique – Les stratégies numériques – Les enjeux de la communication numérique – Les avancées technologies – La création et le numérique ? – La sécurité numérique et l’intelligence économique – Evolution des pratiques RH 2.0 – Nouveaux comportements au travail et communication numérique – Approche et comparaison internationale de la communication numérique – Emergence de nouvelles fonctions professionnelles et intégration dans la gamme des métiers – Les processus créatifs mobilisés
(hybridations, créations, filiations, transformations…) – Les stratégies d’acteurs utilisées pour forger leurs missions et leurs représentations sociales – L’investissement symbolique dans les nouveaux métiers, les médiations et représentations qui en découlent – L’émergence de nouveaux métiers et leurs impacts en termes de création d’entreprise – Etc.

Les meilleures communications feront l’objet de publications dans la revue Management&Avenir, revue classée CNRS, AERES et ESSEC et d’un ouvrage aux éditions EMS.


Comité Scientifique

Sous la direction scientifique de
Luc Boyer (Université Paris Dauphine), Aline
Scouarnec
(Université de Caen (Nimec), ESSEC)
Maria-Mercanti Guérin (Cnam) et Sébastien
Payre
(Université de Caen, Nimec)

Olivier Badot – ESCP Europe, IAE de Caen, Nimec, Christine Balagué – Institut Telecom – TEM, Isabelle Barth – Ecole
de Management de Strasbourg, HuManiS,  Bertrand Belvaux – Université Paris II Panthéon Assas, Largepa,  Christophe Benavent – Université de Paris Ouest Nanterre la Défense, Ceros, Florence Benoit-Moreau – Université de Paris Dauphine, DRM, Michèle Bergadaà – Université de Genève, Suisse, Marc Bonnet – Université Jean Moulin Lyon 3, Iseor, Frank Bournois – Université de Paris II, Ciffop, Joël Brée – Université de Caen, Nimec, Rouen Business School, Etienne Candel – Université de Paris IV Sorbonne, Celsa, Aude d’Andria – Université d’Evry-Val-d’Essonne, Eva Delacroix – Université de Paris Dauphine, DRM, Christine De Valck – HECParis, Pierre-Louis Dubois – Université de Paris II, Ciffop, Jean-Yves Duyck – Université de La Rochelle, Marc Filser – Université de Bourgogne, Laurent Flores – Université Paris II Panthéon Assas, Largepa, Matthew Fraser – AmericanUniversity of Paris, Stéphanie Hérault – Université de Paris I Panthéon-Sorbonne, Prism, Valérie Jeanne-Perrier – Université de Paris IV Celsa Paris-Sorbonne, Gripic, Julien Levy – HECParis, Maria Mercanti-Guérin – Cnam Paris, Jean-François Lemoine – Université de Paris I, Valérie Patrin-Leclère – Université de Paris IV Celsa Paris-Sorbonne, Gripic, Laure Poulain – Gobelins, Philippe Robert-Demontrond – Université de Rennes 1, Monika Siejka – Institut International du Multimédia, Sébastien Payre – Université de Caen, Nimec, François Silva – ESCEM,Cnam
Paris,MauriceThévenet – Cnam Paris, ESSEC

Calendrier  et adresse de contact :

Toute communication est à adresser
à :
comnumerique2011@prospectivedesmetiers.com

Remise des intentions : 25 février 2011

1 page de présentation du projet de communication

Acceptation des intentions : 1°mars 2011

Remise des communications : 30 mars 2011

Texte de 15 pages maximum aux normes de Management&Avenir

Retour des évaluateurs : 20 avril 2011


Recommandations aux auteurs pour les communications des chercheurs

Les communications auront une longueur maximum de 12 à 15 pages (maximum), en simple interligne. Les manuscrits comportent un bref résumé en français et en anglais de 400 signes maximum, ainsi que les mots-clés pour chaque résumé (titre également traduit).

Le nom de l’auteur et sa courte présentation, son appartenance institutionnelle, son e-mail et l’adresse complète doivent figurer uniquement en page de garde. Les articles ne doivent pas comporter d’annexes : tableaux, schémas, images et autres ajouts (en noir et blanc) sont insérés dans le texte. Les parties suivent une numérotation simple : 1., 1.1., 1.1.1., etc.

Titre : times 18 en gras

Nom de l’auteur : times 14 en gras

Résumé et Abstract en gras en 16, puis contenu en times 12

Titre 1. : Times 14 en gras

Titres 1.1. : Times 12 en gras

Conclusion : Times 14 en gras

Bibliographie : Times 14 en gras, puis contenu en times 12, suivant le modèle suivant :

Ouvrage : nom de l’auteur et initiale du prénom, date de publication, Titre de l’ouvrage, Editeur, Lieu d’édition, (exemple : Mintzberg H. (1994), Grandeur et décadence de la planification stratégique, Dunod, Paris).

Article : nom de l’auteur et initiale du prénom, date de publication « Titre de l’article », Titre de la revue, Vol. x, No. x, p. x-y, date de publication (exemple : Koenig G. (1996), « Karl E. Weick », Revue française de gestion, No. 108, p. 57-70, mars-avril-mai).

Les titres, intertitres, « chapeaux » et textes en exergue sont de la responsabilité du comité scientifique
qui se réserve le droit de modifier ceux qui sont proposés par l’auteur.

Recommandations aux auteurs pour les notes des praticiens

Les notes des praticiens auront une longueur de 3 à 10 pages présentant une expérience terrain et suivront les mêmes règles de mise en forme que les communications de chercheurs.


Information sur les sites ou blog :
http://www.metiers-publicite.fr

7es RENCONTRES INTERNATIONALES DE LA DIVERSITE

CORTE (CORSE) LES 29 & 30 SEPTEMBRE 2011

En partenariat avec l’ACSé, l’AFPA, l’AGRH, l’IAS, l’AFMD, l’ANDRH, l’ADERSE, l’ARACT Corse, le CRAII Corse, La Charte de la Diversité, IMS-Entreprendre pour la Cité, Entreprise & Carrières, Management & Avenir et Diversity Conseil.

DIVERSITÉ(S) : APPROCHES INTERNATIONALES

PROGRAMME PROVISOIRE AU 13 SEPTEMBRE 2011

JEUDI 29 SEPTEMBRE 2011

8h00 à 9h00 ACCUEIL ET PETIT DEJEUNER

9h00 à 9H30 Ouverture par Jean Marc CERMOLACCE, Président du CA de l’IAE de Corse, Jean-Marie FURT, administrateur provisoire de l’IAE de Corse, les professeurs Jacques ORSONI, Président « Les Défis de la Diversité », Zahir YANAT, Vice-président de l’AGRH et de l’ADERSE, Jean-Marie PERETTI, Président de l’IAS et Antoine FERACCI,
Président CPIE A Rinascita.

9h30 à 11h00 TABLE RONDE I : Diversité (s) : convergences internationales

Présidée par le professeur Zeineb BEN AMMAR MAMLOUK, Université de Tunis,

Animée par Jean-Marie PERETTI, professeur IAE de Corse

Avec Frédérique POGGI, directrice Diversité Groupe ACCOR, Raphael DOUTREBENTE, DRH et Organisation, Groupe MONIER, Marie-Paule ISTRIA, directrice, MPI, , Iula SALA, Responsable diversité, ORSE, Benjamin BLAVIER, Délégué général de Passeport Avenir et Elie BASBOUS, Professeur, Université libanaise, Beyrouth.

11h00 à 11h30 – PAUSE CAFE

11h30 à 12h30 Remise des TROPHEES Groupe AFPA “Politiques de formation innovante en matière de lutte contre les discriminations”
par Jean-Luc VERGNE, Président AFPA, Président ANACT, Jacques ORSONI, Président “les defis de la diversité” , Jean-Marie PERETTI, Président de l’IAS et Marie Christine GABILLAUD-WOLF, Déléguée générale AFMD.

Présentation de leur “politique et pratiques de formation pour développer l’égalité des chances” par les responsables diversité des entreprises et organisation lauréates

12h30 à 14h00 – DEJEUNER

14h00 à 15h15 TABLE RONDE II: Mesurer et évaluer les résultats d’une politique de Diversité.
Présidée Jean Luc VERGNE, président AFPA.
Animée par professeur Luc BOYER, directeur “Management & Avenir”
Avec Jean-Michel MONNOT, Vice président Diversity & Inclusion, groupe SODEXO, Kag SANOUSSI , Secrétaire Général de la Charte de la Diversité, Alain GAVAND, A compétence égale, Gérard LEFRANC, Responsable mission insertion, groupe THALES. Marie Christine BARJOLIN, BNP Paribas Cardif, Marie DELMONT, MPI-Conseil, Sabine LUNEL-SUZANNE, Responsable Développement des Compétences & Diversité, INEO-GDF-SUEZ, Dominique MASSONI, DRH et Communication, ARKEMA

15h15 à 15h30 PAUSE

15h30 à 16h45 TABLE RONDE III: Les approches internationales des politiques de diversité

Présidée par Hicham ZOUANAT (Président AGEF Maroc, DRH Centrale Laitière)
Animée par Alain LEMPEREUR, professeur, Université Brandeis, Boston, USA.
Avec Christian SANCHEZ, Directeur du développement social de LVMH, Yassine FOUDAD, (Président AAAS, Algérie), Laurence RECKFORD, chef de projet diversité, TOTAL, Laurent DEPOND, Vice Président Diversité groupe France Telecom, Catherine TRIPON, Porte parole de l’Autre Cercle, Natacha SEGUIN, Groupe ALPHA et Frédérique ALEXANDRE BAILLY, ESCP Europe.

16h45 à 18h15 Cérémonie de remise des “6es TROPHEES DE LA DIVERSITE” de Diversity conseil en partenariat avec IMS-Entreprendre pour la Cité, le secrétariat de “La Charte de la Diversité” et l’association “les défis de la Diversité”, animée par Anne SAÜT Diversity Conseil :

– Présentation des actions menées par les entreprises lauréates pour leur “Politique globale de diversité”

– Remise des trophées par les membres du Jury et les représentants du Secrétariat de la Charte, l’IMS, l’IAS, l’AGRH, l’ANDRH, le MEDEF, la CGPME, l’ADERSE, l’AFMD et Diversity Conseil.

19h30 DINER TRADITIONNEL DANS UNE FERME-AUBERGE:

« U CENTU CHIAVE ».

VENDREDI 30 SEPTEMBRE 2011

8h30 ACCUEIL ET PETIT DEJEUNER

9h00 à 10h30 : Symposium et Ateliers

Atelier 1 : Marketing et Diversité I

Présidé par Jean-Claude ANDREANI, ESCP Europe et Nehmé AZOURY, USEK, Liban

Animé par Jacques ORSONI, IAE de Corse

Avec Jean François TRINQUECOSTE (Université de Bordeaux IV) et Valentina KIROVA (ESC La Rochelle), Françoise ANDREANI, ESCP Europe, Jean Louis MOULINS (Université de la Méditerranée) et Jean François TOTI (IAE d’Aix), Thérèse ALBERTINI, Delphine BERENI et Thierry FABIANI (Université de Corse)

Atelier 2 : Diversité et Genre

Co présidé par Stephan GRÖSCHL, ESSEC Business School et Catherine TRIPON, Porte Parole de l’Autre Cercle

Animé par Anne Marie FRAY, ESCEM

Avec Christina CONSTANTINIDIS ((Centre de recherche Henri TUDOR, Luxembourg), Rey DANG (Université d’Orléans), Désiré LOTH (Université de Grenoble 3), Marie José SCOTTO (IPAG), Hervé TIFFON (IPAG), André BOYER (IAE de Nice), Noura SALMAN (Université de Liège), Manal El ABBOUBI (ESC La Rochelle), Sana GUERFEL-HENDA (Groupe Sup de Co Amiens) et Françoise de BRY, PROPEDIA, Groupe IGS, Cercle d’éthique des affaires, Laurent DEPOND, France Telecom Orange.

Atelier 4 : Diversité des âges

Co Présidé par Eric VATTEVILLE, Université de Rouen et Dominique BALLOT, consultant.

Animé par Delphine VAN HOOREBEKE, IAE de Toulon

Avec Julie CHRISTIN- MOULINS (EMD Marseille) Diane-Gabrielle TREMBLAY(UQAM), Abdelkarim YAOU (IAE de Corse), Jean Marie ESTEVE, SOLATRAG, Gwenaëlle POILBOT-ROCABOY et Natacha PIJOAN (Université de Rennes 1), Bruce ROCH, Vice Président AFMD, directeur RSE, ADECCO

Symposium 1 : Egalité des chances et insertion professionnelle

Co-présidé par Hervé BELMONT, DIRECCTE Corse et Dany BERGEOT, directeur régional Pôle Emploi.

Animé par Pascal OBERTI, Université de Corse.

Avec Claudine FILIPPI, DRJCS-ACSé, Alain GAVAND, A compétences égales, Dominique MERLINGHI, Atlas Insertion, Pierre-Jean RUBINI, FALEP Corse-du-Sud, Nathalie ROYER, Ecole de la 2e chance, Catherine MARTINETTI, A Mossa, Cécile BIANCHI, Maison de l’emploi d’Ajaccio, Ange-François FILIPPI, Greta Corse-du-Sud, Claire

CICCOLINI, Boutique de Gestion, Jacqueline MUFFRAGGI, Association Culture et Solidarité, Didier GRASSI, IRA Bastia, Christophe STORAI, Directeur du CFA – Université de Corse, François GABRIELLI, Président de la Chambre Régionale des Métiers de Corse, Dominique GIOVANANGELI, Président de la Chambre Régionale de l’Economie Sociale et Solidaire, Jacques VINCENTELLI, GRETA Corse du Sud, Corine NOBILI, DGASEP Mairie D’Ajaccio, Maryse DROFF, Responsable égalité des chances, Groupe France Telecom

10h30 à 12h00 TABLE RONDE IV : “Le Label Diversité: Bilan (après trois ans) et perspective en France et en Europe”

Présidée par Bruce ROCH, Vice Président AFMD, directeur RSE, ADECCO

Animée par Emmanuel FRANCK, Entreprise & Carrières

Avec Antoine MAURI, Management de la Diversité, La Poste, Thierry GEOFFROY, Chargé de mission, AFNOR certification, Patrick AUBERT, chef du bureau de l’intégration professionnelle, direction de l’intégration et de la citoyenneté, ministère de l’intérieur, Vincent BAHOLET, Délégué Général de FACE (Fondation Agir Contre l’Exclusion), Daniel MERILLOU, ANDRH, Cristina LUNGHI, Présidente d’Arborus, Hélène LOUBEYRE, Responsable Projets Diversité, IMS Entreprendre pour la Cité.

12h00 à 13h30 DEJEUNER

13h30 à 14h45 Symposiums et Ateliers

Atelier 5 : Diversité, carrière et apprentissage

Coprésidé par Jean-Michel MONNOT, Vice Président Group Diversity &
Inclusion, SODEXO, & Philippe NEGRONI, ARACT de Corse

Animé par Alain GAVAND, Président d’A Compétences Egales.

Avec Nathalie PHOEBE-MONTARGOT (Université de Cergy-Pontoise), et Michael PICHAT (Université Paris 8), Patrick MICHELETTI (Euromed Management Marseille). Audrey BECUWE (Université de LIMOGES), Isabelle Laurent MERLE (Université de Limoges), Nathalie BERTIN BOUSSU (Groupe Sup de Co Amiens), Laëtitia CZAPSKI (Grenoble Ecole de Management) et Anissa DJABI (Université Paris-Est, FACE) et Benjamin BLAVIER, Délégué général de Passeport Avenir

Atelier 6 : Diversité : visions, expériences et approches internationales

Coprésidé par Fernando CUEVAS, ESC PAU et Alexandre GUILLARD, CNP Assurances

Animé par Zeineb BEN AMMAR, Université de Tunis.

Avec Désiré LOTH (Université de Grenoble 3), Nicolas GHANTY (Université Paul
Sabatier Toulouse), Alain Pekar LEMPEREUR (Université de Brandeis), Marie Giuseppina BRUNA (Université Paris-Dauphine), Alain AKANNI (Université de Dakar), Jean Marie ESTEVE (SOLATRAG), Stéphane
LEYMARIE, Pascal TISSERANT et Sébastien

ARCAND (Université de Metz).

Atelier 7 : Recruter et gérer les compétences sans discrimination. Evolution
des compétences Cadres en Europe

Coprésidé par Khalid HAMDANI, Institut Ethique & Diversité et Sana
GUERFEL-HENDA (Groupe Sup de Co Amiens)

Animé par Alain GAVAND, A compétences égales Avec Jean-Yves MATZ, consultant
APEC, Dany BERGEOT, Pôle Emploi, Marie Paule ISTRIA, MPI Conseil.

Symposium 2 : Egalité des chances, lien social et politique de la
ville

Co-présidé par Claudine FILIPPI, DRJCS-ACSé & Christian SANCHEZ,
Directeur du développement social de LVMH,

Animé par Patrice TERRAMORSI, Université de Corse.

Avec Philippe TEJEDOR, Direction départementale de la cohésion sociale et de
la protection des populations de Haute-Corse, Jean-Louis ARIBAUD, Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des population de Corse du Sud, François PIERI, Adjoint au
Maire d’Ajaccio en charge de la politique de la ville et de la jeunesse, Emmanuelle CAUSSE
, DGASEP Mairie D’Ajaccio, Isabelle AUBERT, Mairie de Bastia, Marie Josée ANDREUCCI, CRAII.

14h45 à 15h00 PAUSE CAFE

15h00 à 16h15 Symposium et Ateliers

Atelier 8 : Mesurer la diversité : les outils de diagnostic et
d’évaluation

Coprésidé par Marc VALAX, IAE de Lyon et Vincent MATTEI, Recrutement et
mobilité, THALES

Animé par Soufyane FRIMOUSSE, IAE de Corse

Avec Natacha SEGUIN, Groupe ALPHA, Abderrahman JAHMANE, IAE de Lille, Zahir
YANAT (BEM), Odile FARRET (Crédit Agricole Aquitaine), Fernando CUEVAS, ESC PAU, et
Benjamin
BLAVIER,
Délégué général de Passeport Avenir

Atelier 9 : Ethique, RSE et diversité

Coprésidé par Corinne FORASACCO, Vice Présidente, Essec Alumni et Françoise
De BRY, PROPEDIA, groupe IGS et Cercle Ethique des affaires.

Animé par Erick LEROUX, Université de Paris XIII

Avec Khalid HAMDANI, Institut Ethique & Diversité, Mantiaba COULIBALY,
Groupe SUP-CO Amiens, François GOXE (Université Paris-Dauphine), Jean PERSON (.Université d’Orléans.), Laurent SERPAGGI, Université de Corse

Atelier 10 : Diversité et croyances

Coprésidé par Iulia SALA (Observatoire de la responsabilité sociétale des
entreprises, ORSE) et Roger-Pierre

HERMONT Université de Paris XII & IAS.

Animé par Alain PEKAR LEMPEREUR (Université de BRANDEIS).

Avec Eric VATTEVILLE, Université de ROUEN, Martine BRASSEUR (Université
Paris DESCARTES),
Hicham BENAISSA (CNRS-EPHE, FACE).

Symposium 3 : Egalité des chances et prévention

Présidé par : Co-présidé par Claudine FILIPPI, DRJCS-ACSé & Ludovic
MARTEL, Université de Corse.

Animé par Danièle MAOUDJ, écrivain.

Avec Laurent MEGE, Collectif antiraciste Avà Basta, Krimau EL MAJOUTI,
Direction Régionale de la Jeunesse et de la Cohésion Sociale, Patricia JACQUES, Conseil départemental de l’accès au droit de Corse-du-Sud (CDAD 2A), Bénédicte SIMON, Association CORSAVEM, Jacques
VINCENTELLI, GRETA Corse du Sud, Sébastien FREMONT, GRETA Haute-Corse, Marie PERETTI, EHESS, Marie Josée ANDREUCCI, CRAII et Jacqueline MUFFRAGGI, Association Culture et Solidarité.

16h30 à 17h30 : TABLE RONDE V : “Politiques et acteurs de l’égalité des
chances”

Co-présidée par Claudine FILIPPI, DRJCS-ACSé et Jacques ORSONI, IAE de
Corse

Animée par Vannina BERNARD-LEONI, Fondation de l’Université de
Corse.

Avec Simon RENUCCI, Député-Maire d’Ajaccio (à confirmer), Émile ZUCCARELLI,
Maire de Bastia (à confirmer), Joël PAIN, Directeur Général de PlaNet Finance, Dominique GIOVANANGELI, Président de la Chambre Régionale de l’Economie Sociale et Solidaire, Hervé BELMONT,
DIRECCTE Corse, Dany BERGEOT, directeur régional Pôle Emploi. Marie-Ange BIASINI-MORICONI, Déléguée du préfet de Corse-du-Sud, Marie-Ange SUSINI, Délégué régionale aux Droits des Femmes, Jean
ALESSANDRI, FALEP 2A,

17h30 à 17h45 Synthèse par Gwenaëlle POILBOT-ROCABOY

17h45 à 18h00 Clôture des « Septièmes rencontres de la Diversité » par les
professeurs

Jacques ORSONI et Jean Marie PERETTI.

20h00

BUFFET DINATOIRE ET ANIMATION POLYPHONIQUE

Les partenaires des septièmes rencontres internationales de la
diversité

La CPIE A Rinascita, L’Agence nationale pour la Cohésion Sociale et l’Egalité des changes
ACSé, l’Association francophone de gestion des ressources humaines – AGRH, l’Association pour le Développement de l’Enseignement et de la Recherche sur la
Responsabilité Sociale de l’Entreprise – ADERSE, l
Institut International de l’Audit Social – IAS, l’Association Nationale des Directeurs des Ressources Humaines ANDRH, l’’Association Française des Managers de la Diversité – AFMD,  l’Association Française pour la Formation Professionnelle pour Adultes
AFPA, l’Association Régionales pour l’Amélioration des Conditions de Travail de
Corse – ARACT de Corse – l’ORSE, Observatoire

de la responsabilité sociale de l’entreprise, le CRAII Corse, le secrétariat de la Charte de la Diversité, IMS-Entreprendre pour la Cité, Entreprise & Carrières,
Management & Avenir
, Diversity Conseil.

Les participants des septièmes rencontres internationales de la
diversité

Acteurs nationaux et internationaux

A compétence égale, ADECCO, AFNOR certification, Agence pour l’Emploi des
Cadres – APEC, Arborus, Arkema, BNP Paribas Cardif, CNP Assurances, Crédit Agricole Aquitaine, Essec Alumni, la CGPME, Fondation Agir Contre l’Exclusion, FT-ORANGE, Groupe ACCOR, Groupe ALPHA,
Groupe SODEXO, IFME, INEO-GDF-SUEZ, Institut Ethique & Diversité, l’ORSE, LVMH, MPI Conseil, THALES, TOTAL, Cercle Ethique des affaires.

Acteurs régionaux et locaux

Association A Mossa, Association CORSAVEM, Association Culture et
Solidarité, Atlas Insertion, Boutique de Gestion, Conseil départemental de l’accès au droit de Corse-du-Sud (CDAD 2A), Centre Régional

d’appui aux Acteurs de l’Insertion et de l’Intégration, CFA – Université de
Corse, Chambre Régionale des Métiers de Corse, Collectif antiraciste Avà Basta, DIRECCTE Corse, Ecole de la 2e chance de Corse, FALEP Corse-du-Sud, Greta Corse-du-Sud, Chambre Régionale de
l’Economie Sociale et Solidaire de Corse, Déléguation régionale au Droits des Femmes, FALEP Corse-du-Sud, GRETA 2A-2B, Maison de l’emploi d’Ajaccio, Pôle Emploi, Institut Régional
d’Administration de Bastia, Direction Régionale Jeunesse, sport et Cohésion Sociale – Corse, Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi
de Corse, Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations 2A-2B, Ville d’Ajaccio, Ville de Bastia,
Universités et écoles de management

Bordeaux Ecole de Management, Centre de recherche Henri TUDOR, Luxembourg, Ecoles des hautes études en sciences sociales –EHESS, ESC La Rochelle, ESC PAU, ESCP Europe, ESSEC Business School, Euromed Management Marseille, Grenoble Ecole de Management, Groupe Sup de Co Amiens, IAE d’Aix, IAE de Lille, IAE de Nice, IPAG, PROPEDIA (Groupe IGS), Université d’Orléans, Université de Bordeaux IV, Université de Brandeis (USA) Université de Cergy-Pontoise, Université de Corse, Université de Dakar, Sénégal, Université de Grenoble 3, Université de la Méditerranée, Université de Liège, Belgique, Université de Limoges, Université libanaise (Beyrouth), Université de Lyon III, Université de Metz, Université de Paris XII, Université de Paris XIII, Université de Rennes 1, Université de Rouen, Université de Tunis, Tunisie, Université Paris 8, Université Paris DESCARTES, Université Paris-Dauphine, Université Paul Sabatier Toulouse, UQAM, Canada.

Colloque Mobilisation des structures productives et institutionnelles

CEDIMES – MALI

FSEG, Campus Universitaire de Badalabougou              

BP 276

Tél. (00 223) 20 23 70 41 ou 70 44

Fax : (00 223) 20 23 70 31

Courriel : cedimes_bko@yahoo.fr

 

 

XIXe COLLOQUE FÉDÉRATEUR du CEDIMES

26-28 octobre 2009

BAMAKO (Mali)

 

MOBILISATION DES STRUCTURES PRODUCTIVES ET INSTITUTIONNELLES ET DÉPASSEMENT DES OBJECTIFS DU MILLENAIRE POUR LE DEVELOPPEMENT (OMD)

Organisé par l’Université de Bamako (Mali)

en partenariat avec le réseau CEDIMES

du Cameroun, du Congo et de Madagascar
et l’Institut CEDIMES (Paris)
France

APPEL À COMMUNICATION

CONTEXTE

L’engagement pour une stratégie d’éradication de la pauvreté de masse et de ses différentes manifestations dans les pays du Sud et notamment dans les sociétés africaines risque de subir les conséquences néfastes de la crise financière actuelle. Les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) visent à rendre effective une amélioration des niveaux de vie dans les pays pauvres. Le sommet des Nations Unies tenu en 2000 en a fixé les objectifs pour 2015.

La crise financière mondiale actuelle risque de poser quelques problèmes aux OMD en matière de collecte et de coordination des programmes d’aide destinés au développement et à la réduction de la pauvreté dans les pays du Sud. La problématique des OMD pose la question du développement institutionnel de façon large c’est-à-dire intégrant les institutions, les faits et leurs résultats. Les structures privées et publiques, la réforme de l’Etat et de ses administrations, les processus de décentralisation et d’appui aux collectivités territoriales décentralisées composent les aspects multiformes de ces engagements. La réussite des OMD ne se fera pas sans un environnement favorable aux acteurs privés, mais également sans le recours à un cadre institutionnel pertinent. Certains agents économiques voient dans les OMD une opération parachutée de l’extérieur alors que d’autres se méfient de l’intérêt nouveau des organisations internationales pour les questions de pauvreté, d’exclusion, de participation sociale et de citoyenneté. Mais les perspectives ont été définies.

Le secteur privé est généralement l’acteur le mieux placé pour mobiliser l’innovation et la croissance. Il est également source de revenus pour les populations aussi bien urbaines que rurales. Il constitue un gisement de compétences en matière d’organisation et de gestion, susceptibles d’améliorer l’efficacité économique dans son ensemble. Les pays devraient donc faire appel au secteur privé en complément à l’action des pouvoirs publics pour atteindre leurs objectifs. Mais les ressources de l’Etat et du secteur privé ne sont pas parvenues en Afrique à constituer une organisation productive cohérente avec les besoins croissants du continent. Les Objectifs du Millénaire font donc référence à l’aide pour qu’ils puissent se concrétiser. Or cette aide peine à se mobiliser et la crise ne facilite pas les choses. Remarquons simplement que les transferts vers les pays du Sud des travailleurs émigrés s’élèvent pour les pays du Tiers Monde à quelque 300 milliards de dollars pendant que l’aide internationale plafonne au tiers de cette somme. La gouvernance des ressources doit donc devenir un facteur important pour améliorer le contexte social afin de gérer au mieux les ressources.

Aussi la concrétisation de ces OMD apparaît comme une préoccupation majeure à laquelle le réseau CEDIMES entend consacrer une réflexion sous la forme d’un colloque fédérateur co-organisé par des universités du Nord et du Sud, en relation étroite avec les acteurs de terrain, les ONG, les entreprises publiques et privées, les administrations et les collectivités décentralisées etc.

PROBLEMATIQUE

Une des mesures pratiques à prendre pour concrétiser les OMD en Afrique est de repérer les acteurs qui sont
susceptibles de jouer un rôle moteur. Il devient urgent de doter les pays en infrastructures, d’établir des politiques de facilitation du commerce, d’améliorer la gouvernance….Ces mesures
correctement réalisées permettront aux structures privées de mieux fonctionner et d’atteindre les buts qui leur sont assignés. Actuellement près de 35 pays connaissent une crise énergétique
caractérisée par des interruptions fréquentes de l’approvisionnement. Les coûts des télécommunications restent encore élevés et les frais d’approche ne vont pas dans le sens de la compétitivité
de ces économies à l’heure de la mondialisation. Même si l’importance des infrastructures est admise en Afrique, les investissements restent de loin insuffisants, pour encourager et fluidifier
l’action des entreprises. Les nouvelles technologies de l’information et de la communication sont loin de jouer le rôle qu’on attend d’eux dans une économie globalisée.

 

Les programmes de développement des pays en Afrique restent entravés par un financement à la fois insuffisant et
imprévisible et ne comprennent pas de description détaillée de toute la gamme des politiques et des dépenses d’appui public nécessaire pour assurer une croissance économique soutenue. Ne
faudrait-il pas traduire les OMD en programmes intégrés sur le terrain et ainsi permettre aux Etats africains de renforcer leurs stratégies de développement ?

 

Les objectifs du développement se succèdent depuis près de cinq décennies avec des résultats gravement insuffisants.
Plusieurs questions relevant des mécanismes nécessitent d’être posées :

– Comment peut-on expliquer les échecs des stratégies et comment certaines réussites peuvent éclairer les
stratégies ?

– Comment les arbitrages entre le monde rural et le monde urbain éclairent une bonne part des
résultats ?

– Pourquoi les ressources minières et énergétiques se sont substituées aux autres ressources productives au lieu de
s’y ajouter ?

– Pourquoi la troisième révolution agricole de l’Afrique Noire après celle du manioc au XVIème siècle et celle des
cultures de rente à l’extrême fin du XIXème, n’a-t-elle pas eu lieu, alors que l’explosion démographique appelait avec urgence une augmentation de l’offre vivrière ?

– Pourquoi l’accumulation des ressources obtenues par les produits pétroliers n’a pas conduit à une sensible
amélioration du niveau de vie et des équipements productifs ?

– En quoi la transformation de l’environnement international et les mutations sociales africaines renouvellent la
problématique du développement ?

– Que reste t-il du foisonnement théorique des politiques de développement des années soixante et
soixante-dix ?

– Quels peuvent être les enseignements des expériences menées dans d’autres zones géographiques ?

– Comment la géostratégie se modifie-t-elle entre l’Afrique et l’Europe et comment les échanges économiques et
financiers accompagnent cette évolution ?

– Quels espoirs nourrit l’arrivée chinoise sur le continent et forme-t-elle un nouveau cadre de relation
internationale qui ferme la page européenne ?

– Comment se caractérise la pauvreté en Afrique et quelle est son évolution récente en milieu rural et
urbain ?

– Que représente l’implication de l’Afrique dans la mondialisation si l’on se réfère à son commerce et à son
endettement ?

 

COMITE SCIENTIFIQUE 

Président : Issa
sacko (Bamako),

Co-présidents :
Claude albagli (Paris XII), Alain bienayme (Paris IX)

Membres : Claude
bekolo (Douala), Antoine camara (Bamako), Abderrahman Chenini (Mascara, Algérie), Ion Cucui (Targoviste, Roumanie), Maria DelivanisNegreponti (Thessaloniques Grèce), Hervé diata
(Brazzaville Congo), Narcisse fièvre (Quisqueya, Haïti), Jean Pierre gern (Neuchâtel, Suisse), Driss
guerraoui (Rabat, Maroc), Vinko Kandija (Rijeka, Croatie), Sahondra rajeminson (Antananarivo, Madagascar), Claudine ratsimbazafi (Antananarivo, Madagascar), Elisabeth Du
Reau (Paris III Sorbonne Nouvelle, France),Alain redslob (Paris II Panthéon-Assas, France), Xavier
richet (Paris III Sorbonne-Nouvelle, France), Abdrahamane sanogo (
FSEG/UB), Lansina sidibé (IUG/UB), Ion Stegaroiu (Targoviste, Roumanie), Modibo Traore (FSEG/UB), O. P. Kante (FSEG/UB), Amadou Keita (FSJP), Roger tsafack nanfosso (Yaoundé II, Cameroun).

 

COMITE D’ORGANISATION

Président : Issa
sacko (Bamako),

Co-président :
Claude n’kodia (Institut cedimes), Jean-Charles sida
(Institut cedimes).

Membres : Amina
(
FSEG/UB), Mamadou bathily (FSEG/UB), Claude bekolo (Douala, Cameroun), Aoua diallo (FSEG/UB), Mbaye diakité (FLASH),
Moussa doumbo (
FSEG/UB), Théophile dzaka (Brazzaville, Congo), Narcisse fièvre (Haïti), A. C. Kaba (FSEG/UB), Salimou keita (FSEG/ UB), Etienne Koulakoumouna (IGDE Brazzaville, Congo), Laïe-Lee nandkissori(Université Paris XII), Abraham n’kodia
(
FSEG/UB), Matthieu
parmantier (Université Paris XII), gabriel gizzi
(Université Paris XII), ludivine harbonnier (Université Paris XII), Babakar soumaré (
FSEG/UB), Anna traoré (FSEG/ UB), Moumine traoré (FSEG/ UB), A. B. Samassekou (FSEG/UB), Issa Sidibe (FSEG/UB).

 

FORME DES CONTRIBUTIONS

Les communications doivent être présentées en format Microsoft Word sur papier A4, tenir en 15 pages incluant les
notes bibliographiques, les schémas et les tableaux. On utilisera l’interligne simple avec une police. Times New Roman, corps 12 points (attribut normal pour le texte, attribut gras pour les
titres et sous-titres), marges haute, basse, droite et gauche de 2,5 cm. Les références bibliographiques sont rappelées en fin de document. Dans le corps du texte les noms des auteurs référencés
sont mis entre parenthèses et suivis de l’année d’édition.

Deux pages (en plus de 15 mentionnées plus haut) précèdent la communication écrite proprement dite : la
première rappelle le titre, les noms, statuts et coordonnées complètes du ou des auteurs et un résumé de la communication. La seconde reprend les mêmes éléments à l’exception des noms, statuts et
coordonnées des auteurs (respect du processus d’évaluation anonyme). Les 15 pages suivantes, dont la première porte le numéro 1 (numérotation des pages au centre du bas de page), représentent la
communication. Celle-ci comprend.

 

Dates importantes et informations Les projets de communication devront être adressés par courriel ou fax au secrétariat
du colloque au plus tard le 30 juin 2009 et les textes définitifs avant le 10
septembre 2009.

Pour toute autre information, contacter le secrétariat du colloque.

 

CEDIMES-MALI

BP 276

Tél. : (00 223) 20 23 70 44 ou 70 41 Fax :
(00 223) 20 23 70 31

Courriel : cedimes_bko@yahoo.fr

 

INSTITUT CEDIMES

45 bis, Avenue de la Belle Gabrielle

94736 Nogent sur Marne Cedex, France

Tél : 01.43.94.72.42

Courriel :
contact@cedimes.org

Journée franco-nordique pour la Recherche et le Design

27 mai 2016 – 2nde édition du « Campus France Nordic Day ». Organisée par Campus France, les Instituts français et Ambassades de France au Danemark, en Finlande, Norvège et Suède, cette journée franco-nordique sera consacrée à la Recherche et au Design. Elle aura lieu à l’ENSCI – les Ateliers (48 Rue Saint-Sabin, 75011 Paris).

Journée franco-nordique pour favoriser le réseau

Cette manifestation franco-nordique a pour objectif de soutenir l’internationalisation des établissements français et de favoriser la création de nouveaux réseaux et/ou projets collaboratifs dans le domaine du design mais aussi de faire bénéficier la recherche française de l’expertise nordique dans ce secteur en pleine expansion. Elle prendra la forme d’une rencontre partenariale sur la thématique « recherche et design ».

Dans le domaine du Design, la France est reconnue au niveau mondial. Elle propose des formations variées et uniques qui peuvent être suivies dans de nombreux établissements de l’enseignement supérieur travaillant étroitement avec des laboratoires de Recherche & développement et 6 pôles de compétitivité (Cap Digital, Végépolys…). Notre pays compte 40 000 designers professionnels et accueille dans cette discipline 11 000 étudiants étrangers. Le chiffre d’affaire de ce secteur est estimé à 5 Md€ en 2013, d’après Laurent Dutheil, DG du Lieu de Design.

Selon le rapport du Ministère de l’Éducation Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche « Design et métiers d’arts », publié en 2015, le design et les métiers d’art font partie des « industries créatives » selon la terminologie européenne qui représentent aujourd’hui près de 2,6 % du PIB européen et ont un taux de croissance supérieur à la moyenne européenne.

Le design est une activité créatrice dont le but est de présenter les multiples facettes de la qualité des objets, des procédés, des services et des systèmes.

A la croisée des chemins entre création artistique et création industrielle, le design est par essence pluridisciplinaire et facteur d’innovation. C’est pourquoi, cette journée est destinée aux établissements de tous horizons disciplinaires proposant des formations de 3e cycle en design : Post-Masters/Mastères spécialisés (3e cycles et Doctorats en écoles d’art, architecture, universités, écoles d’ingénieurs).

Neuf établissements nordiques et treize établissements français (Écoles d’art, de design, d’ingénieurs, et universités) participeront aux échanges et présenteront leurs projets de recherche et leurs souhaits de partenariats. L’après-midi sera dédié aux rendez-vous bilatéraux pour concrétiser ces échanges. Une visite de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs (ENSAD) est proposée la veille aux établissements nordiques. Les industriels sont également invités à cette journée pour leur volet « développement et création industrielle » et l’APCI, l’Agence pour la promotion de la création industrielle, est associée à l’événement.

capus france nordic day franco-nordique

RIUESS Modernité des idées et pratiques fondatrices de l’économie sociale et solidaire

Colloque organisé par RIUESS sur le thème : “Modernité des idées et pratiques fondatrices de l’économie sociale et solidaire” du 16 au 18 mai 2018 au Campus Villejean à Université Rennes 2 par Pascal Glémain (Rennes 2) et Odile Castel (Rennes 1).

Laboratoire organisateur : Laboratoire interdisciplinaire de Recherches en Innovations Sociétales – LiRIS EA 7481 – Université Rennes 2

L’économie sociale et solidaire (ESS), bien qu’elle apparaisse aujourd’hui au cœur de nouveaux débats et de postures, demeure encore mal connue. Malgré cela de plus en plus nombreux sont celles et ceux qui s’en revendiquent, ou qui se positionnent par rapport à elle. L’économie collaborative ou de partage, le « social business », le financement par la foule (crowdfunding), l’aspiration à un modèle économique plus éthique, plus humain et, à une société plus saine, plus conviviale, sont autant d’expressions contemporaines qui viennent mettre à mal le débat séminal entre les tenants d’une économie sociale « historique » – celle des grandes familles institutionnelles (associations, coopératives, mutuelles et fondations) – et ceux qui défendent l’idée d’une économie solidaire qui ne repose pas seulement sur des statuts juridiques, mais également sur des assises à la fois sociales et politiques (économie communautaire aux États-Unis d’Amérique, économie populaire en Amérique Latine ou en Afrique), par exemple. Les deux mouvements interrogent les périmètres de l’ESS contemporaine, et nécessitent que les acteurs comme les citoyens y voient « plus clair » à son sujet.

L’objectif de notre colloque RIUESS 2018-Rennes est de contribuer à clarifier la vision de ce qu’est ou devrait être l’économie sociale et solidaire du XXIème siècle.

Pour cela il nous semble nécessaire de revenir sur les idées et les pratiques fondatrices, portées par les associations, les systèmes d’autogestion(s) et les stratégies et les principes d’émancipation, en interrogeant leur modernité dans le contexte du XXIème siècle. Dès le début du XIXème siècle, les ouvriers se regroupent dans des sociétés de secours mutuels, des associations de production, des 2 associations de consommateurs,… afin de mutualiser les risques, le travail, la demande,… Les mouvements ouvriers et paysans convergent en pensant la coopération contre le capitalisme et la concurrence.

La mutualisation et la coopération demeurent-elles encore des valeurs qui fondent les organisations de l’ESS ? Quid des associations, des mutuelles, des coopératives et des organisations de solidarités confrontées d’un côté au désengagement de l’État-providence du champ de la solidarité et d’un autre aux logiques de marchandisation. Historiquement, l’autogestion a été adoptée par les associations ouvrières et paysannes dès les débuts de la révolution industrielle. Cette pratique fortement présente dans les organisations de l’ESS, peut aussi concerner des entreprises à but lucratif. Comment l’autogestion est-elle pratiquée dans les organisations de l’ESS et dans les entreprises commerciales aujourd’hui ? S’émanciper, c’est s’affranchir d’un joug, se libérer de la servitude dans tous les domaines : moral, intellectuel, politique, économique et sociale. Les premières expériences ouvrières revendiquaient une volonté d’émancipation des ouvriers. L’émancipation est-elle encore au cœur des actions mises en œuvre par les organisations de l’ESS ? Ainsi, le colloque tentera d’apporter des réponses aux questions suivantes : En quoi, les organisations de l’ESS du XXIème siècle sont-elles les héritières de ces premières expériences fondées sur l’association, l’autogestion et l’émancipation ? Comment les organisations de l’ESS mettent-elles en œuvre aujourd’hui ces fondamentaux ? Comment ces fondamentaux ont-ils traversé deux siècles d’histoire à travers le monde ?

Axe 1 : S’associer      Axe 2 : S’autogérer Axe 3 : S’émanciper

Calendrier

La date limite de réception des propositions de communication est fixée au 22 janvier 2018. Ces propositions, de 1200 mots au maximum, doivent préciser le sujet, la méthodologie et le cadre théorique, et, être envoyées à odile.castel@univ-rennes1.fr en précisant l’axe auquel elle est destinée.

Chaque proposition sera évaluée en double aveugle par le comité scientifique. Les propositions devront posséder deux éléments distincts :

  •  Une fiche d’identification précisant le nom du ou des auteurs, ses qualités, le titre de l’intervention et un acronyme de cinq lettres.
  • La proposition proprement dite de 1200 mots au maximum identifiée par son seul acronyme précisant l’axe et comprenant une bibliographie indicative d’au moins cinq références.

Le comité scientifique fera parvenir sa réponse, acceptation ou refus, aux auteurs avant le 12 mars 2018. Les textes définitifs devront être envoyés au plus tard le 4 mai 2018.

Nous encourageons vivement les doctorants de troisième année de doctorat à soumettre une proposition de commission.

Un atelier doctoral se tiendra le mercredi 16 mai 2018 matin. Les résumés de thèse doivent être adressés selon les mêmes modalités de calendrier que ci-dessus à christianelolita.memdjofengtoche@etudiant.univ-rennes2.fr et yelome.kpodekon@etudiant.univ-rennes2.fr

Des numéros spéciaux ou des soumissions de papiers de recherche à des revues à comité de lecture sont envisagés (Politiques & Management Publics, RECMA-revue internationale d’économie sociale, 5 ENSO, entre autres), ainsi qu’un ouvrage collectif dans la collection « économie, gestion et société » des Presses Universitaires de Rennes. Les soumissions éligibles seront signalées à l’issue du colloque.

Comité local d’organisation Alain Aminstas, Amélie Bellion, Julien Bouillé, Odile Castel, Simon Cornée, Frédérique Chédotel, Pascal Glémain, Annie Gouzien, Esther Kpodekon, Madeg Le Guernic, Anne-Laure Le Nadant, Catherine Malecki, Michel Renault, Sandrine Rospabé, Lolita Toche, Jennifer Urasadettan.

Comité scientifique RIUESS Michel Abhervé, Alain Amintas, Julien Bouillé, Elisabetta Bucolo, Gilles Caire, Odile Castel, Frédérique Chédotel, Josette Combes, Simon Cornée, Eric Dacheux, Hervé Defalvard, Sandrine Emin, Laurent Gardin, Patrick Gianfaldoni, Pascal Glémain, Laëtitia Lethielleux, Thomas Podlewski, Vincent Lhuillier, Carmen Parra, Michel Renault, Jennifer Urasadettan, JeanLaurent Viviani.

Comité scientifique Jérôme Blanc, Marie Bouchard, Catherine Deffains-Crapsky, Jean-Laurent Viviani, Jacques Defourny, Danièle Demoustier, Jean-François Draperi, Marc Humbert, Jean-Louis Laville, Jorge Munoz, Henri Noguès, Marthe Nyssens

Membres internationaux invités (à confirmer) Pr. Marc Labie –CERMi Université de Mons Belgique, Pr. Richard McIntyre – Université de Rhodes Island-Etats Unis d’Amérique, Pr. Andréa Bassi – Université de Bologne Italie, collègues de l’Université de Yaoundé au Cameroun, Pr. Luisa Esteban, Université de Saragosse en Espagne.

Partenaires connus Caisse de Dépôts et Consignation, Banque de France, Groupe MAIF, Groupe Up (ex-chèque déjeuner), Crédit Coopératif, CDC, Région Bretagne, Conseil départemental d’Ille-etVilaine, Collège Coopératif en Bretagne, CRESS Bretagne.

Pour tous renseignements

  • Odile Castel, Maître de Conférences en Economie, Chercheure au LiRIS EA 7481, Université de Rennes (Rennes 1) odile.castel@univ-rennes1.fr
  • Pascal Glémain, Maître de Conférences-HDR en Gestion, HDR en Economie, chercheur et codirecteur du LiRIS EA 7481, Université de Rennes (Rennes 2) pascal.glemain@univ-rennes2.fr

Contacts institutionnels Laboratoire interdisciplinaire de Recherche en Innovations Sociétales –LiRIS EA 7481 Maison de la Recherche en Sciences Sociales. Université Rennes 2. Place du Recteur Henri Le Moal. CS24307 35043 Rennes cedex

  • Elise Ramos, Gestionnaire de Recherche, elise.ramos@univ-rennes2.fr /02 99 14 17 13
  • Catherine Malecki, Professeur des Universités en Droit, co-directrice : catherine.malecki@univ-rennes2.fr
  • Pascal Glémain, MCF-HDR en Gestion et HDR en Economie (ESS), co-directeur : pascal.glemain@univ-rennes2.fr

Appel complet sur http://www.univ-reims.fr/minisite_92/media-files/8371/appel-a-com-riuess-2018-rennes.pdf

« Les agences de notation sont-elles révélatrices ou créatrices de crise ? »

Les MBA ESG Achats & Supply Chain, Commerce International et Finance organisent une conférence sur le pouvoir des agences de notation, le 17 avril 2012.

A l’initiative d’ Erick MONTABORD, intervenant en Commerce International, les étudiants du MBA spécialisé ESG Achats & Supply
Chain organisent une conférence le 17 avril prochain, animée par Sylvie MATHERAT, Directeur de la Stabilité financière à la Banque de France, sur le pouvoir des agences de notation de crédit.

La conférence portera sur les fondements de la crise, les dettes souveraines et le pouvoir des agences de notation de crédit. Les étudiants pourront interroger Sylvie MATHERAT sur ces questions ainsi que sur son parcours.

Cette conférence illustrera les interventions proposées en MBA Achats & Supply Chain, Commerce International et Finance, relatives à la gestion des risques pays et à la finance internationale.

Les questions abordées pendant la conférence porteront sur les thèmes suivants : Comment et pourquoi les politiques budgétaires ont-elles contribué à dégrader les comptes publics et la compétitivité, à renchérir le coût de la dette ? Les agences de notation ne deviennent-elles pas des arbitres et ne contraignent-elles pas les autorités monétaires à renoncer à leur pouvoir discrétionnaire sur les taux ? Enfin, détachés des réalités de l’économie réelle, les mouvements de capitaux ne rendent-ils pas vaine l’action de la Banque Centrale Européenne (BCE) ?

A propos de Sylvie MATHERAT
En octobre 2007, elle a été nommée Directeur de la Stabilité financière à la Banque de France. Membre du Comité de Bâle, elle préside son groupe de travail sur la comptabilité (Accounting task force) et représente le Comité de Bâle au Comité consultatif des normes de l’IASB (Standard Advisory Council), au groupe de travail sur les instruments financiers et au groupe consultatif sur la crise financière (Financial Crisis Advisory Group). Elle est également membre du Comité de surveillance bancaire de la Banque centrale européenne et préside l’un de ses deux principaux groupes de travail.

CONFERENCE MBA ESG ACHATS & SUPPLIY CHAIN

« Les agences de notation sont-elles révélatrices ou créatrices de crise ? »
Animée par Sylvie MATHERAT
Mardi 17 Avril 2012 à 19h
MBA ESG – 35 av Philippe Auguste – Paris 11e

http://www.mba-esg.com/images/logo_mba_home.gif

“Stratégie, marketing, data” une journée d’étude organisée par l’ANVIE

Voici un colloque organisé par l’ANVIE sur le thème Stratégie, marketing, data, de la veille à l’innovation, comment rendre les données “smart” ?

Data, un thème très à la pointe

Groupe de travail – 28 mars, 27 avril, 18 mai 2017 – Paris

L’explosion de la quantité de données produites par les objets connectés ou sur les réseaux sociaux et leur circulation rapide confrontent les décideurs au règne de l’instantanéité. La veille s’effectue en quasi temps réel et le rythme de la prise de décision connaît une accélération sans précédent. De nouveaux concurrents peuvent faire irruption à tout moment sur le marché et faire vaciller des leaders solidement établis. Leur maturité digitale leur permet d’adopter un positionnement original et une approche agile, à l’écoute des nouveaux besoins des clients.
Les entreprises ont plus que jamais besoin d’appréhender de manière efficiente les données pour en tirer pleinement parti et innover. Tout l’enjeu pour les décideurs consiste désormais à repérer les opportunités et les menaces de leur écosystème avec un maximum d’anticipation et de réactivité pour agir en conséquence.
Quelles sont les clés pour sélectionner l’information utile parmi la masse de données et la conjuguer avec une vision stratégique seule à même de lui donner du sens? Jusqu’où une approche data-driven peut-elle permettre d’améliorer la connaissance client ? Quelles opportunités de création de valeur et d’innovation offrent le big data et l’open data ?

Objectifs : Identifier les leviers d’action pour mettre les data au service de la stratégie et du marketing. Développer des dispositifs de veille, d’écoute client et d’innovation au service de la compétitivité

Cibles: Ouvert à tous les cadres d’entreprise, ce groupe de travail s’adresse notamment aux praticiens des fonctions marketing stratégique, marketing clients et data, veille, études, stratégie, prospective, organisation, innovation et open data.

Animateur scientifique : Romain ZERBIB Enseignant-chercheur en stratégie au Lara/ICD Business School et chercheur associé au CEREGE

Dans quelle mesure intégrer le big data à la surveillance et l’analyse du marché ? le 28 mars 2017 14h-17h30

En théorie, le big data démultiplie la capacité à collecter et exploiter des volumes sans précédent d’informations issues de sources variées. En pratique, une modélisation par des algorithmes nécessite de déterminer comment interconnecter des données qualifiées et structurées, en prenant garde aux biais consistant à reproduire des scénarios issus du passé en occultant les signaux faibles. Comment dès lors envisager la collecte et l’analyse des mégadonnées ? En quoi le big data est-il susceptible d’avoir un impact sur les dispositifs de veille, de gestion des risques et de prise de décision stratégique ?

  • Olivier MAMAVI, Enseignant-chercheur ICD Business School
  • Jean-Michel OUDJANI, Directeur des Etudes et de l’Intelligence Economique CNP Assurance
  • Boris SCHEFFLER, Project Manager Business Intelligence Solutions & Strategic Analysis Thales

Comment mettre le big data au service du marketing et de la satisfaction client ? le 27 avril 2017 14h-17h30

À partir de gisements informationnels diversifiés (objets connectés, réseaux sociaux) désormais interconnectés avec des outils de tracking (utilisation de capteurs, GPS, puces, cartes de fidélité…), il est désormais possible d’observer plus finement les comportements des clients. En plus de d’accroître la personnalisation des produits et services, l’analyse des usages et des besoins peut s’effectuer en temps réel (real-time marketing). Comment organiser l’exploitation des données et l’analyse prédictive pour adapter les produits et services existants, tout en imaginant les nouvelles offres de demain ? Comment faire du big data un levier de différentiation pour l’expérience client ?

  • Yann GOURVENNEC, Responsable de Mastère spécialisé Stratégie Digitale Grenoble Ecole de Management
  • Jean-Christophe BRUN, Directeur Centre de solutions et services Big Data Carrefour
  • Alain MONZAT, Data Intelligence Director Groupe Rocher (à confirmer)

Comment innover et imaginer de nouvelles activités à partir des nouveaux gisements de données ? le 18 mai 2017 14h-17h30

API, Datalab, Digital Factory, lacs de données… pour innover à partir des mégadonnées, les entreprises se lancent dans des démarches de partenariats voire d’innovation ouverte à travers l’open data. Si les données ont une valeur, leur interconnexion et la conception de modèles prédictifs pourrait offrir de nouvelles opportunités, mais supposent la mise en œuvre de nouvelles compétences, à l’interface de la data science, de l’innovation et du marketing. Quelles stratégies mettre en œuvre au sein des organisations et plus largement des écosystèmes d’innovation qui se forment autour des mégadonnées ?

  • Louis-David BENYAYER, Chercheur associé ESCP Europe
  • Françoise MOUMEN, Responsable Marketing stratégique Orange, Direction Innovation Marketing et Technologie
  • Siham HARROUSSI, Open Innovation and Prospective Director Humanis

À propos de L’Anvie

Créée en 1991 à l’initiative des pouvoirs publics et de grandes entreprises françaises, l’Anvie est un lieu sans équivalent de rencontre et de réflexion entre les chercheurs en sciences humaines et sociales et les décideurs du monde économique, qui souhaitent mieux comprendre les évolutions de la société ayant un impact sur l’activité des entreprises. Elle se démarque de toute autre instance par son approche des questions d’entreprise analysées à la lumière d’un ensemble de phénomènes peu quantifiables (représentations, émotions, opinion…) mais dont l’influence sur la performance est réelle. Sur la base de son travail de veille et d’analyse prospective, l’Anvie conçoit et propose des actions (rencontres, groupes de travail, clubs, petits-déjeuners) qui permettent :

  • D’éclairer les questions des professionnels par les dernières avancées de la recherche dans des domaines variés : sociologie, sciences de gestion, psychologie, management de l’innovation, marketing…
  • De confronter l’apport de la recherche à des expériences d’entreprises, pour concevoir des pistes d’action innovantes.

Informations et inscriptions

Contactez Antoine de Vaulx

anvie data

Appel à projet de la Global Social Venture Competition 2017

Antropia ESSEC, en partenariat avec la Fondation d’entreprise DELOITTE, lance son appel à projet pour l’édition 2017 de la Global Social Venture Competition (GSVC), le concours mondial de business plans sociaux dédiée aux étudiants et jeunes diplômés.  

L’essentiel à retenir :

  • Date limite de candidature : 5 décembre 2016
  • Type : appel à projets, entrepreneuriat social, étudiants et jeunes diplômés

La Global Social Venture Competition

La Global Social Venture Competition, portée par l’université de Berkeley en Californie, est le concours mondial de business plans sociaux dédié́ aux étudiants et aux jeunes diplômés. L’ESSEC Business School et son catalyseur d’entreprises sociales Antropia, coordonne la compétition sur toute l’Europe et l’Afrique Francophone.

Au-delà des 80.000 $ à la clef, nous apportons aux équipes l’accompagnement, la mise en réseau, et l’exposition nécessaire pour révéler tout le potentiel de leur projet. Le programme s’appuie à la fois sur l’expertise pédagogique de la Chaire Entrepreneuriat Social de l’ESSEC et le savoir-faire d’Antropia dans l’accompagnement d’entrepreneurs sociaux :

  • Mentoring et accompagnement personnalisé
  • Formations sur mesure
  • Rencontre avec des investisseurs et des experts du secteur
  • Opportunité unique de gagner un voyage pour pitcher son projet aux Etats-Unis

Sur l’ensemble des candidatures, 10 équipes sont retenues et bénéficieront d’un programme d’accélération entre Janvier et Avril pour participer à la finale francophone du concours. 2 projets sont alors sélectionnés pour aller disputer la finale internationale à Berkeley et tenter de décrocher un prix parmi les 80.000 $ à la clef.

Pour découvrir les détails du programme, rendez-vous sur le site internet 

Les critères de sélection

Chaque équipe doit compter au moins un étudiant ou un jeune diplômé (moins de 2 ans) de niveau BAC +4/5 minimum. Le projet doit être en phase de création ou de développement et lancé depuis moins de 2 ans.

  1. Potentiel de viabilité économique : à but lucratif ou non, l’organisation doit chercher à être financièrement autonome.
  2. Impact social et/ou environnementalle projet doit répondre à un besoin social et/ou environnemental et viser un impact social et/ou environnemental clair .
  3. Faisabilité : le projet doit avoir de vraies chances d’aboutir.
  4. Ambition de développement : le projet doit avoir un potentiel d’impact et de réplicabilité à grande échelle.

Comment candidater ?

Télécharger avant le 5 décembre 2016 inclus votre dossier de candidature sur la plateforme de la compétition 2017 – https://gsvc2017-emea-french.startupcompete.co/. Le dossier doit contenir :

  • L’Executive Summary (3 pages)
  • La synthèse d’au moins 10 entretiens avec des parties prenantes (bénéficiaires, clients…)
  • L’organisation de votre équipe et les CV des membres
  • Une présentation au format Powerpoint des concepts clés du projet

Lauréats des éditions précédentes

  • Faso Soap : Cette entreprise sociale du Burkina Faso a développé une innovation unique, un savon qui protège des moustiques et du paludisme. Retrouvez toutes les informations sur leur site internet
    • GSVC 2013 – Vainqueur de la finale mondiale et du prix de 25 000$
  • Zephyr & Borée: conjuguer technologies de pointe et énergie éolienne pour concevoir un cargo à voile moderne, à la fois performant et respectueux de l’environnement. Retrouvez toutes les informations sur cette solution de transport écologique en haute mer sur leur site.
    • GSVC 2016 : finaliste francophone participant à la finale mondiale
  • Keri&Care développe un réseau de salon de coiffure d’insertion pour permettre aux femmes immigré d’Afrique Subsaharienne de s’insérer socialement et professionnellement, par la formation et un emploi stable.
    • GSVC 2014 – vainqueur du prix du « Quick Pitch » à la finale mondiale
  • Gold of Bengalrevalorise l’industrie bangladaise de la fibre de jute, 1er pays producteur au monde, en se servant du jute comme d’un nouvel éco-matériaux qui permettra de remplacer la fibre de verre, très polluante, dans de multiples applications industrielles. Plus d’informations ici.
    • GSVC 2015 – finaliste francophone participant à la finale mondiale

Contact

Arthur Maréchaux, Tél. : +33 6 16 63 93 88 – marechaux@essec.edu

global-social-venture-competition

 

SÉMINAIRE « Marché monétaire et politique monétaire »

Organisé par D. et S. Diatkine (PHARE), L. Quennouëlle-Corre (CRH), A. Straus (IDHE)

Maison des Sciences Economiques
106-112 Boulevard de l’Hôpital Paris 13e (Salle 115, 1er étage)

Samedi 16 novembre 2013

Nicolas Barbaroux (Université Jean Monnet, Saint Etienne) : La politique d’open market de la Banque de France
dans l’entre deux guerres.
Patrice Baubeau (Université Paris Ouest Nanterre La Défense) : Répression financière et marché monétaire entre 1944 et 1948.

 

Les banquiers centraux dans la construction européenne

La journée d’études « Les banquiers centraux dans la construction européenne » se propose d’étudier les banquiers centraux et les banques centrales telles qu’ils s’insèrent dans et exercent une influence sur les institutions européennes. Tout au long du XXe siècle, les Européens ont voulu retrouver la stabilité monétaire mythique du XIXe siècle. De cette recherche, les banquiers centraux ont tiré un statut et un rôle nouveaux, plus important, alors que l’Europe, finissant par s’organiser, a mis très progressivement en marche une union monétaire.
Il est aujourd’hui utile de s’interroger sur ces banquiers centraux et sur leur rôle dans l’intégration européenne. Quelle est leur influence sur la mise en place de l’Euro ?

En abordant cette problématique, cette journée d’étude tâchera de répondre à certaines questions : comment les gouvernements choisissent-ils ou révoquent-ils un gouverneur ? La violence des débats sur la nomination du premier gouverneur de la Banque centrale européenne, qui a donné lieu à une solution hybride Wim Duisenberg, a dû promettre qu’il laisserait la place à Jean-Claude Trichet en cours de mandat montre l’enjeu que représente la désignation d’un gouverneur. Existe-t-il une « idéologie » des banquiers centraux ? Existe-t-il des valeurs communes aux banquiers centraux ou les divergences sont-elles plus importantes que les convergences ? Quelles sont les évolutions depuis 1919
?

Il s’agit ainsi de savoir dans quelle mesure l’exercice du « métier » de banquier central forge une culture commune, malgré les différences nationales, dans le cadre d’un espace économique européen en construction permanente au cours du XXe siècle. Cet espace exerce une influence sur les banquiers centraux et les banques centrales. Cette influence est cependant croisée : les banquiers centraux agissent en retour sur l’émergence de cet espace et la manière dont est abordée la problématique monétaire.

Les banques centrales et les banquiers centraux seront analysés en tant que réseau en relation avec les grandes problématiques européennes. Existe-t-il une identité « monétaire » européenne ?

L’Europe doit-elle être organisée ou libérale ? De nouvelles institutions doivent-elles être créées ou doit-on d’abord attendre une plus grande harmonisation des économies ? In fine, cette journée d’étude devra se pencher sur une dernière question : pourquoi l’euro ?

Une monnaie unique n’était en aucun cas la seule possibilité. Depuis 1919, les Européens ont cherché la stabilité monétaire. Pour l’atteindre, ils auraient aussi pu choisir la coopération financière entre État ou le fonctionnement libre des mécanismes du marché des changes. Au début des années 1990, Barry Eichengreen pensait que l’euro était le résultat politique de la mise en place du marché unique prévu par l’Acte unique : une instabilité monétaire aurait pu susciter un mécontentement contre les institutions européennes. Les banquiers centraux étaient-ils en accord avec ce constat ?

> Accueil (10h)

Marianne Backes (CVCE)

> Introduction (10h15-10h45)

Olivier Feiertag (Université de Rouen) et Frédéric Clavert (CVCE)

Pause

> Les banquiers centraux dans l’entre-deux-guerres

Présidence et discussion : Piet Clement (BRI / BIS)

Frédéric Clavert (CVCE) – La fondation de la Banque des règlements internationaux

Ileana Racianu (Université de Genève) – Le Gouverneur Burillianu et la prolongation de la mission de la Banque de
France : l’indépendance de la Banque Nationale de Roumanie en question

Déjeuner

> Les banquiers centraux dans la construction européenne depuis 1945

>> Première partie

Présidence et discussion : Laurence Badel (Université de Strasbourg) (14h-15h45)

Elena Danescu (CVCE) – Le comité Werner : nouvelles archives

Emmanuel Mourlon-Druol (Institut Universitaire Européen) – Les banquiers centraux de l’échec du plan Werner à la
création du SME (1974-1979)

Vincent Duchaussoy (Mission historique de la Banque de France) – La Banque de France et la contrainte européenne en
France (1979-1983)

Pause / Break

>> Seconde partie

Présidence et discussion : Olivier Feiertag (Université de Rouen) (16h00-17h30)

Hanspeter K. Scheller (Anciennement de la Banque centrale européenne) – Le Comité des Gouverneurs et l’unification
monétaire européenne

Robert Raymond (Ancien directeur général de l’Institut monétaire européen)

Contact :

Frédéric Clavert

Docteur en Histoire contemporaine

«Hjalmar Schacht, financier et diplomate»

mailto:frederic@clavert.net

twitter: @inactinique

Google
Wave: inactinique@googlewave.com

Les Banques centrales dans la Grande Guerre, Colloque historique international, Banque de France, Paris, 13 et 14 novembre 2014

Colloque historique international, Banque de France, Paris,13 et 14 novembre 2014
Coordination scientifique : O. Feiertag et M. Margairaz

La Première Guerre mondiale constitue une césure importante dans l’histoire des banques centrales comme dans l’histoire globale des économies et des sociétés.

Elle transforme radicalement la place et le rôle des banques nationales d’émission, comme on les appelait encore à la veille de 1914, au sein des États et des systèmes monétaires et financiers. Elle marque une étape importante dans le processus historique d’émergence des banques centrales proprement dites.

La guerre totale concerne en effet les banques centrales, dans les pays belligérants comme dans une mesure qui reste à préciser dans les pays neutres, à travers trois phénomènes historiques majeurs :
– les conditions du financement de la guerre que ce soit au moyen des avances directes de l’institut d’émission au Trésor, à travers sa participation au placement des émissions publiques ou encore de son rôle accru dans le financement direct ou indirect de l’économie.
– Les modalités de l’émission fiduciaire et plus généralement de la création monétaire, sous le triple effet de l’augmentation rapide de la masse monétaire, de la multiplication des petites coupures et de l’accroissement de la monnaie scripturale (virement et chèques).
– La nationalisation des règlements internationaux : contrôle et « politique » des changes, négociation des crédits internationaux, naissance de la coopération monétaire internationale.

L’examen des conditions historiques de cette mutation est au centre du colloque : comment les différentes banques d’émission, dans les pays belligérants comme dans les pays restés neutres, ont été profondément transformées par la Première Guerre mondiale, accélérant leur mutation en banques véritablement centrales ? Et à l’inverse, on se demandera aussi dans quelle mesure les banques centrales ont été partie prenante du jeu d’acteurs de la guerre et ont pu peser, dans un sens ou dans un autre, sur l’évolution du conflit. La période prise en considération concerne la guerre proprement dite entre 1914 et 1918, mais prendra également en compte, en amont, les évolutions qui ont précédé et souvent préparé l’entrée des banques centrales en guerre, et en aval, les conséquences immédiates de la guerre pour les banques centrales, au moins jusqu’à la conférence de Bruxelles de 1920.

Ainsi comprise, cette question se décompose en quatre directions principales de recherche :
– 1. Dans quelle mesure la guerre a-t-elle modifié la place et les missions des banques d’émission au sein des structures des États, singulièrement vis-à-vis des Trésoreries nationales ?
– 2. Comment a évolué le rôle des banques centrales au sein des systèmes monétaires et financiers, notamment par rapport aux banques commerciales ? Quelles conséquences a eu cette évolution sur l’organisation et la gouvernance des banques centrales elles-mêmes ?
– 3. Comment la guerre a contribué à faire évoluer  ’internationalisation des activités des banques centrales, notamment à travers le développement de formes
nouvelles de coopération monétaire et financières internationales ?
– 4. Dans quelle proportion la guerre a contribué à renouveler la doctrine et les normes du central banking et, au-delà, la théorie monétaire et financière ?

Les propositions de contribution s’efforceront de prendre en compte certains aspects de ce questionnement, sur la base de la bibliographie existante et de sources historiques originales, en particulier d’archives primaires et/ou publiées.

Modalités pratiques de l’appel à contributions :

Langues de travail : Français et Anglais

Les projets de communications (titre de la contribution, présentation d’une quinzaines de lignes, comportant la mention des sources envisagées, court CV) doivent être envoyés avant le 30 septembre 2013 à : 1069-historique-ut@banque-france.fr

Le résultat de l’évaluation scientifique des propositions de contribution par le conseil scientifique de la Mission historique de la Banque de France sera connu le 30 octobre 2013

Les contributeurs retenus s’engagent à fournir avant le 15 septembre 2014 le texte de leur intervention d’un volume d’environ 40 000 signes espaces compris, en français ou en anglais.

La Mission historique de la Banque de France prendra en charge le financement des déplacements à Paris pour le colloque et l’hébergement des contributeurs pendant la durée du colloque.

Améliorer les relations donneurs d’ordres/sous-traitants dans le secteur industriel

Conférence européenne « Améliorer les relations donneurs d’ordres/sous-traitants dans le
secteur industriel » mercredi 8 février 2012 à Lyon

L’ANACT et l’Institut Confluences organisent une conférence européenne « Améliorer les relations donneurs
d’ordres/sous-traitants dans le secteur industriel » le mercredi 8 février 2012 au siège de la Région Rhône-Alpes à Lyon, avec le soutien du CESER et du Fonds social européen.

La performance de l’entreprise industrielle et de sa filière dépend de la qualité de la relation entre donneur
d’ordre et sous-traitants. Il importe donc de soutenir cette relation avec des outils de gestion, des pratiques de concertation et des politiques d’achats qui favorisent l’articulation des enjeux
techniques, économiques et sociaux sur la chaîne de valeur.

· Quelles stratégies
développent les entreprises et filières françaises et européennes ?

· Comment les pouvoirs
publics influent-ils sur ces pratiques ?

· Quelles sont les
pratiques les plus porteuses pour l’avenir de l’industrie ?

· Comment la relation
donneur d’ordre/sous-traitant intègre-t-elle la question des conditions de travail ?

Cette conférence permettra de découvrir des cas d’entreprises issus d’une étude européenne, des exemples de
pratiques de branches et des témoignages d’experts français et européens.

Elle s’adresse aux directions des achats, directions métier des groupes, sous-traitants,
partenaires sociaux, experts et acteurs publics.


Programme et inscriptions en ligne : http://www.conferencelyon-soustraitance.com

http://www.mt02.org/dossier_Une/anact/anact_logo.jpg