Bruno Latour vient de s’éteindre. Ce « constructiviste radical » comme le caractérisait son ennemi, Pierre Bourdieu, a tout pour être une référence pour La Revue des Sciences de Gestion ne serait-ce que par sa référence revendiquée à Charles Péguy et son choix délibéré du « doute méthodologique » qu’il applique à tous les objets de la connaissance du monde vivant. Nous n’aurons pas l’audace de résumer ici la pensée foisonnante de ce touche-à-tout, au bon sens du terme, celui de Pic de la Mirandole, mais de saluer aussi l’artiste qui nous a quitté puisque le théâtre était aussi l’un de ses centres d’intérêt !
Le Haut Conseil international de la Langue française et de la Francophonie (HCILFF)a organisé, le 20 mars 2022, la journée mondiale de la Francophonie, un rassemblement des francophones de divers pays sur la place du Panthéon, et une marche en cortège dans le Quartier latin « Pour le français, la Francophonie et le respect de la diversité linguistique de l’Europe ».
Au Président de la République, le Haut Conseil et ses 34 associations membres ont rappelé sa promesse du 7 mars 2021, réitérée en mai, transmise par lettres de son gouvernement (S.E. Affaires européennes), d’utiliser son tour de présidence du Conseil de l’Union, au 1er semestre de 2022, pour mettre fin au coup d’État de la Commission européenne, du Parquet européen et de la Cour des Comptes de l’UE. Ces trois institutions de l’Union avaient en effet, dès l’officialisation du Brexit, décidé de leur propre chef de garder l’anglais et même de le promouvoir « langue commune », faisant de lui leur unique langue de travail de fait. Coup d’État, puisqu’une telle décision relevait du seul Conseil des Chefs d’État et de gouvernement de l’Union. Décision illégitime, puisque l’Europe est diversité politique, surtout linguistique et culturelle. Décision illégale, violant les textes de base de l’Union : le traité de Rome de 1957, la Charte des Droits fondamentaux, et le Règlement n° 1 de 1958 sur les langues officielles et de travail. Saisi d’un recours par Avenir de la Langue française (ALF), le Tribunal européen s’est déclaré en août 2021 incompétent sur le fond.
Le Haut Conseil international attend du Président de la République exerçant ce présent semestre la présidence du Conseil de l’Union, d’accomplir sa promesse solennelle avant la fin de cette présidence, et de l’annoncer publiquement avant le 10 avril, date du premier tour de l’élection présidentielle.
Sous le Haut Parrainage de Bruno LE MAIRE Ministre de l’Économie Avec la participation de la Secrétaire Générale de la Francophonie Louise MUSHIKIWABO les Présidents, Jean-Claude TRICHET et Jean-Louis CHAMBON, proclament le Palmarès de la 35e édition du Prix TURGOT du Meilleur Livre d’Economie Financière
« … Ce rendez-vous annuel, incontournable, de la littérature et de la pédagogie Economique, met à l’honneur des auteurs confirmés et de nouveaux talents très prometteurs… une contribution essentielle à la nécessaire stratégie d’éducation financière pour sensibiliser nos concitoyens aux enjeux économiques et financiers et aux défis du « nouveau monde »…
LAUREAT de la 35eEdition du PRIX TURGOT
Aurélie JEAN
« Les algorithmes font-ils la loi ? » – Editions de l’Observatoire Remis par Patrick DIXNEUF – Président du Cercle Turgot
PRIX du JURY : avec Patrick COMBES Président du Groupe VIEL Jérôme MATHIS « Combien vaut une vie » – Tremplin
Mentions d’honneur ex-aequo :
– Julie ANSIDEI et Noam LEANDRI : « La Finance Verte » – La Découverte – Pierre VELTZ : « l’économie désirable » – Le Seuil
Prix Spéciaux avec Philippe DESSERTINE, Directeur Général de l’Institut de Haute Finance IHFI – groupe INSEEC
de l’économie financière : Pascal BLANQUÉ : « Dix semaines en Covid 19 » – Economica
Remis par Michel BON – Grand JURY
du Jeune Talent : Ferghane AZIHARI : « les écologistes contre la modernité » – Presses de la Cité
Avec Philippe LEGREZ – Délégué Général de la fondation Michelin
des Ouvrages Collectifs : s/direction de Eric BRIONES : « Luxe et Résilience » – Dunod
Avec André-Paul BAHUON Président du CCEF
de la Géopolitique :Madame l’Ambassadeur Sylvie BERMANN : « Good bye britannia » – Stock
Avec Jean-Claude LELAN – Président d’Argan des Directeurs Financiers – DFCG-Turgot :
Jérôme BRISSEBOURG – Christophe HANNEZO – Thierry PICQ : « L’Art de la Performance » – Dunod
Avec Emmanuel MILLIARD – Président de la DFCG de la Francophonie-FFA-Turgot :
Xavier DURAND : « Oser le Risque » – Herman
Avec Steve GENTILI Président du Forum francophone des Affaires
Cette tribune est une synthèse des propositions élaborées, des écrits publiés, des actions menées, depuis des décennies, par les 34 associations de France et du dehors et les 185 personnalités militantes aujourd’hui membres du Haut Conseil international de la Langue française et de la Francophonie (HCILFF) créé le 18 juin 2020 par Avenir de la Langue française (ALF) aidée de : l’Association Francophonie Avenir (AFRAV), C.O.U.R.R.I.E.L. et Défense de la Langue Française (DLF).
La démarche originelle de cet appel à des états généraux de la langue française et de la Francophonie fut celle d’ALF. Son administrateur M. Jean-Louis Chédin, universitaire ancien professeur de philosophie, en a assuré la mise en forme, avec la participation d’autres associations, dont COURRIEL, présidée par M. Georges Gastaud, professeur de philosophie. Albert Salon, Secrétaire général du Haut Conseil international, président d’honneur d’ALF.
Appel des associations de défense de la langue française et de la francophonie
Menacée de perdition, la langue française ? Il faudrait être aveugle pour ne pas au moins se poser la question, avant qu’il ne soit trop tard. Les associations œuvrant pour l’avenir du français, Cassandres malgré elles, ne cessent d’alerter : se vérifie chaque jour, avec une rapidité effrayante, le constat que Michel Serres en 1993, résumait en ces termes : « Dans le milieu des décideurs, ceux-ci sont en train d’éradiquer la langue française. Que ce soit dans la finance, la science, le commerce, la publicité (…), ce consentement commence vraiment à ressembler à une collaboration, et la défense de la langue française à une résistance. » À cela, il faut ajouter l’invasion de l’anglais (ou du “globish”, son ersatz), dans l’enseignement à tous les étages, dans les médias… Excusez du peu ! On nous répond qu’un tel “consentement” n’est pas propre à la France, qu’il faut une langue d’échange commune, si médiocre que soit le “globish” anglo-saxon jouant sur quelques centaines de mots ou expressions utiles, et des schémas de communication uniformes. Or, ceci n’efface pas la responsabilité particulière qui incombe à la langue universaliste par excellence qu’est le français.
Un abandon progressif, s’il se poursuit, a ou aura un coût qui est immense à long terme. C’est une chose de s’ouvrir et de se mettre à l’épreuve, vivifiante, féconde, de l’autre langue et d’une autre culture avec elle ; c’en est une autre que de se mettre à leur remorque sans en maîtriser la source ni l’autonomie créatrice… On ne pense bien (de façon originale, créative) que dans sa propre langue ; non en se pliant à un moule uniforme, à un plus petit dénominateur commun qui condamne au suivisme, et pas seulement au plan des mots, mais de toute une façon de juger et de penser. Il n’y a pas de compartiments étanches.
Au pays de Pasteur et de bien des prix Nobel, il n’y a plus de grande revue scientifique de référence en français (comme si une revue publiant des recherches novatrices n’allait pas trouver son public sous prétexte qu’elle est en français). L’on n’a pas vu non plus sortir le vaccin qu’on attendait aujourd’hui, contrairement à l’époque qui a connu le B.C.G. ou telle découverte majeure concernant le Sida. Aucun rapport, dites-vous ? Il faudrait y voir de plus près.
Tout un processus de soumission volontaire (ou involontaire ?) est bien avancé à tous le étages de l’édifice social dont la langue, qu’on le veuille ou non, est le premier ciment. De l’école primaire (ou même maternelle) à l’enseignement supérieur dans les sciences d’abord (grâce à la loi Fioraso) et dans l’économie grâce aux écoles de commerce, l’invasion du globish devient la norme. À l’école primaire, de jeunes élèves, qui parfois entendent peu parler français à la maison et qui auraient tant besoin de “français renforcé”, doivent ingurgiter un petit vademecum d’anglais, qui les perturbe plus qu’il ne les instruit. Dans les médias, entre mille exemples, on aurait honte d’écrire : accord, non accord, au lieu de deal ou no deal, au sujet du Brexit. La banque postale a créé “Ma french bank” ! « On se demande parfois, nous dit un adhérent suisse, comment un tel géant culturel a pu tomber aussi bas ! »
Faute de toute réactivité, d’initiatives, de courage élémentaire, le français qui était prévalant il y a peu dans les institutions européennes est en voie d’extinction au profit de l’anglais (alors que le Royaume-Uni a quitté l’Union au début de 2020) avec le consentement tacite de nos représentants comme de nos gouvernants (car qui ne dit mot consent). C’est en violation ouverte et tranquille, aussi bien des traités que du pluralisme consubstantiel à l’Union européenne. Un député peut être rappelé à l’ordre par le président de séance, s’il ne s’exprime pas en anglais : d’autant plus scandaleux que les moyens de traduction automatique ont fait de considérables progrès. Plusieurs associations ont d’ailleurs introduit un recours auprès de la Cour de Justice européenne, avec la conviction que l’Europe ne peut continuer à se développer sur les décombres de nos langues.
Paradoxalement, une telle évolution contraste avec le fait que la pratique du français, la francophonie, font preuve de vitalité au plan international. Sans parler de l’Afrique (Kinshasa a dépassé Paris comme la plus grande ville francophone) ; on apprend le français en Chine, en Amérique du Sud, on le défend au Québec. L’Afrique de l’Ouest francophone est actuellement la plus dynamique au plan économique : l’usage commun du français n’y est pas pour rien. Mais pour combien de temps, si dans une ou deux générations la chute du français se poursuit ici ? Des pays africains (qui ont plus fait pour la francophonie que la France coloniale) commencent à s’interroger sur l’intérêt de maintenir le français dans son statut actuel, surtout dans l’enseignement. Notre réseau remarquable d'”Alliances françaises” est en voie de déconstruction, malgré la demande !
Devant la résignation ou le consentement des autorités publiques comme d’une certaine “élite”, au déclin programmé du français, devant l’apathie relative d’une société civile conditionnée en permanence au tout-anglais, il s’agit malgré tout de réagir pour empêcher l’enlisement. Et au point où en sont les choses, nous pensons que des “États généraux de la langue française” doivent être organisés le plus vite qu’il se peut. Ce qui mettrait au centre d’intérêt une problématique concernant tout le monde, d’une façon ou d’une autre. Cela n’implique pas seulement la France, mais l’ensemble francophone : ce seraient nécessairement des États généraux de dimension internationale, touchant à la communication, à l’enseignement, à la diplomatie comme au commerce. L’on pourrait en attendre une puissante contribution au bénéfice non seulement de la langue française, mais d’un pluralisme de l’esprit et de la culture dont a besoin notre monde mondialisé. Quant à la langue française, elle ne peut plus attendre.
À tous ceux que cette cause, qui est aussi celle de l’esprit, préoccupe sérieusement, nous demandons de réagir et de s’engager. Pour les associations participantes et le Haut Conseil de la Langue française et de la Francophonie : Jean-Louis Chédin.
Le Réseau International de recherche sur les Organisations et le Développement Durable organise le Prix de thèse RIODD VIGEO-EIRIS 2022.
Ce prix de thèse a une vocation profondément transdisciplinaire en sciences sociales et s’adresse à toutes les disciplines (Sciences de gestion, Économie, Droit, Sociologie, Sciences Politiques, Histoire, Sciences de l’ingénieur, etc.), afin de valoriser les meilleures thèses ayant trait au développement durable, à la responsabilité sociétale des entreprises, et plus généralement à la thématique large des relations entre les organisations productives et la société.
Les thèses éligibles au prix RIODD Vigeo Eiris 2022 doivent avoir été soutenues durant les deux années civiles précédant la date du congrès du RIODD, donc entre le 1erjanvier 2020 et le 31 décembre 2021.
Les chercheur.e.s ayant candidaté au Prix RIODD Vigeo Eiris 2021 et dont la thèse n’a pas été récompensée peuvent soumettre à nouveau un dossier.
Toutes les thèses rédigées en français ou en anglais sont éligibles, quels que soient les contextes universitaires, notamment thèses de doctorat en France, PhD anglo-saxons, DBA, etc. En revanche, les thèses dites « professionnelles » qui correspondent à des mémoires réalisés dans le cadre de masters ou de mastères ne sont pas éligibles.
Les candidat.es doivent envoyer un dossier avant le 1er avril 2022 à l’adresse suivante : prixthese.rioddVE@gmail.com
Ce dossier (en version électronique) doit comprendre les documents suivants (en français ou en anglais) :
Un exemplaire de la thèse ;
Un résumé de la thèse compris entre 5 et 10 pages ;
Les deux pré-rapports autorisant la soutenance ainsi que le rapport de soutenance de la thèse ;
Une réponse sur une page à la question suivante : « En quoi votre travail fait-il progresser l’état des connaissances et des pratiques d’organisations concernant la RSE et/ou le DD ? » ;
Lettre d’engagement à être présent.e au 17e congrès du RIODD, qui aura lieu à Paris au Campus Condorcet les 17 et 18 novembre 2022.
Un document mentionnant : Nom, prénom, adresse postale et email, institution de rattachement pendant la thèse, institution de rattachement au moment de la candidature.
Tout dossier incomplet ne sera pas retenu.
Les différentes pièces seront envoyées de manière non jointe dans un dossier de format .zip, intitulé : nomprénom candidaturePrixdeTheseRIODDVigeo-Eiris2022
Évaluation des candidatures
Les dossiers seront évalués par un jury scientifique réuni par le RIODD. Les critères d’évaluation sont les suivants :
L’originalité de la problématique ;
L’intégration d’une approche multidisciplinaire (champ des sciences sociales) dans le processus de recherche ;
Le caractère innovant de la recherche dans sa dimension théorique ou méthodologique.
Les lauréat.e.s et éventuellement les finalistes retenu.e.s seront informé.e.s en juillet de la décision du jury.
Montant et remise du Prix de Thèse RIODD VIGEO-EIRIS 2022
Le, la ou les lauréat.e.s recevront un prix d’un montant de 2000 euros remis par la Présidente du RIODD et le représentant de Vigeo lors du 17e congrès du RIODD.
Le cas échéant, le jury peut en outre distinguer un ou deux autres finalistes (montant accordé par Vigeo-Eiris dans ce cas : 500 €.)
La remise du ou des Prix sera faite lors du Congrès du RIODD à Paris, le 17 novembre 2022 en présence d’un.e représentant.e de Vigéo-Eiris.
Valorisation de la Thèse
Le RIODD et Vigeo Eiris publieront également une information sur le/la lauréat.e et sur les éventuel.le.s finalistes sur leur site respectif et dans la Revue de l’Organisation Responsable.
Ce mardi 24 mars 2020 s’est tenu un Conseil d’Administration extraordinaire de la FNEGE pour désigner le nouveau Délégué Général de la Fondation. Jérôme CABY a été élu à l’unanimité pour succéder à Maurice THEVENET, en poste depuis 2016. Le nouveau Délégué Général prendra ses fonctions à compter du 1er Juillet 2020.
Qui est le nouveau Délégué Général, Jérôme CABY ?
Jérôme CABY est Professeur de finance
d’entreprise à l’IAE de Paris, Université Paris I Panthéon-Sorbonne.
Il a publié de nombreux articles dans
des revues scientifiques françaises et internationales, six ouvrages en tant
qu’auteur ou coordinateur et commente régulièrement l’actualité financière dans
les médias grand public.
Il a exercé à plusieurs reprises des
fonctions de direction d’établissements d’enseignement supérieur, successivement
directeur de l’IAE de Paris, Directeur Général d’ICN Business School Nancy-Metz
et Directeur Général de l’ESCE à Paris.
Composition du Conseil d’Administration de la FNEGE
Le Conseil d’Administration de la FNEGE est paritaire, composé de représentants des pouvoirs publics et d’entreprises.
Son Président, aujourd’hui Jean-Marc JANAILLAC, est un ancien dirigeant d’entreprise.
Il est actuellement composé de :
Michèle AMIEL (Danone)
Daniel BAROIN (Carewan)
Anne-Sophie BARTHEZ (Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche)
Frank BOURNOIS (ESCP Business School)
Carole COUVERT (CESE)
David DERRE (IUMM)
Hélène DUCHENE (Ministère des Affaires Etrangères)
Alice GUILHON (Chapitre Management de la Conférence des Grandes Ecoles – Skema Business School)
Jean-Pierre HELFER (Professeur émérite)
Bruno LAFONT (ancien Président de la FNEGE)
Eric LAMARQUE (IAE France – IAE Paris)
Jean-Claude LE GRAND (L’OREAL)
Jean-Luc NEYRAUT (CCI Paris Ile-de-France)
Séverine LEGUILLON (Ministère du Travail)
Pierre-Michel MENGUER (Collège de France)
Jean-Luc PLACET (PwC)
Philippe TASSI (Médiamétrie)
Daniel VITRY (Professeur émérite)
Jean-Louis WALTER (Pôle Emploi)
Helen ZEITOUN (IPSOS)
Agnès ZOBEL (Ministère de l’Economie et des Finances)
Michel ROUX nous a quitté ce 30 mars 2021, victime de la pandémie. Nous avions travaillé de multiples fois en commun, bien-sûr pour La Revue des Sciences de Gestion où il avait coordonné le cahier « La banalisation de la sphère financière mutualiste : comment résister, actualiser ou affirmer ses valeurs ?[1] » et où il était un évaluateur précis, bienveillant, prompt à répondre à toutes mes sollicitations, tant il savait que celles et ceux qui soumettent une contribution doivent être respectés y compris dans le délais pour leur répondre.
Il m’avait sollicité à plusieurs reprises pour parler d’histoire de la finance mutualiste et la dernière fois en 2019[2], pour le numéro de la Revue d’Economie financière[3] qu’il dirigeait et qui avait été récompensé par le prix Turgot en 2020[4].
Autrement dit, c’est d’abord un ami que je tiens à saluer pour le pleurer.
Evidemment, Michel était aussi et d’abord pour tous les autres un brillant universitaire. Ce professionnel de la banque qui avait cofondé le Groupe international de recherche en éthique financière et fiduciaire installé à Montréal[5] était Doyen Honoraire de l’Université Paris 13 -Sorbonne Paris Cité, ancien doyen de la faculté de sciences économiques et de gestion de l’université Paris 13 et directeur de mention de masters en banque, finance, assurance et de la spécialité comptabilité-contrôle-audit. Il avait été aussi co-fondateur et responsable pédagogique du MBA Post « Marché » en partenariat avec l’AFTI (Association des Professionnels des Titres). Il était également administrateur-responsable du Prix de thèse annuel de l’Association Nationale des Docteurs en Sciences Economiques et en Gestion (ANDESE). Il avait enseigné le droit bancaire et l’éthique en finance au CNAM, à la Faculté de Droit de l’Université de Strasbourg et au Centre de Formation de la Profession Bancaire…
On ne résume pas une aussi brillante carrière sans parler de ses ouvrages individuels[6], de la centaine d’articles publiés dans diverses revues dont une dizaine dans Revue Banque et Banque Stratégie. Il exerçait aussi de nombreux engagements dans des revues : « Vie et Sciences de l’Entreprise » dont il était le rédacteur en chef, « l’Année des Professions Financières » (Revue Banque Edition) où il participait au comité de rédaction…
Ses engagements et compétences en faisait aussi un membre du Centre des Professions Financières, un administrateur de l’Association Française de Gouvernement d’Entreprise (AFGE). Il a été membre du Comité de sélection du Fonds de Capital Risque INNOVACOM. Avocat, Il enseignait toujours le droit bancaire et l’éthique en finance (au CNAM, à la Faculté de Droit de l’Université de Strasbourg, au Centre de Formation de la Profession Bancaire.
A son épouse qui se bat aussi contre la COVID, à ses enfants, à sa famille, j’adresse toutes mes condoléances et je leur témoigne de ma sympathie attristée.
[6] Roux Michel, Étude pour la Délégation Interministérielle à l’Innovation, à l’Expérimentation Sociale et à l’Économie Sociale, Rapport restitué en janvier 2008.
Roux Michel : « Finance éthique, structures, acteurs et perspectives en France », Revue Banque édition, Paris 2005.
Roux Michel : « Les sociétés mutuelles d’assurance, un statut à l’épreuve du développement » ESKA 2009.
Roux Michel : « La banque coopérative en Europe, stratégies et défis », Les Essentiels de la banque et de la finance, Revue Banque Edition, 2009.
Roux Michel : « La Banque de détail », Edition ESKA, Paris 2010.
Roux Michel : « Management de la Banque », Editions Vuibert, Paris 2013.
Roux Michel : « Stratégie et gouvernance des Institutions Financières Mutualistes », Revue banque Edition, 2015.
Roux Michel : « la Finance responsable », MA Editions, 2018.
La 34e édition du Prix Turgot, ce grand rendez-vous annuel de la littérature et de la culture économique s’est tenu, comme année à Bercy, à l’invitation et en présence du Ministre, Bruno LE MAIRE.
Cérémonie du 34e Edition du PRIX TURGOT du meilleur livre d’Économie de l’année
Les résultats du 34e Prix Trugot
Présidé par Jean-Louis CHAMBON, le Prix Turgot réunissait un plateau exceptionnel cette année qui a permis de distinguer des lauréats de grand talent.
Le palmarès était prononcé par le Président du Jury, Jean-Claude TRICHET qui félicitait très chaleureusement l’ensemble des « nominés » et les lauréats des prix spéciaux de l’Edition.
Le Grand Prix d’honneur pour l’ensemble de son œuvre est revenu à la Présidente de la Banque Européenne, Christine LAGARDE, qui, dans son allocution, devait rappeler : « … l’engagement de l’Institution à maintenir des conditions de financement favorables pour les Etats de l’Union… »
Le Prix de l’Edition revenait à Olivier BABEAU, Professeur d’Université, économiste et essayiste pour son ouvrage : « le nouveau désordre numérique » chez Buchet Chastel.
Le Prix du Jury à Joëlle TOLEDANO pour son essai : « Gafa, reprenons le pouvoir » chez Odile Jacob.
Depuis 12 ans, le Prix Académique de la Recherche en management organisé par SYNTEC CONSEIL en partenariat avec la Fondation Nationale pour l’Enseignement de la Gestion des Entreprises (FNEGE) est devenu une référence dans le monde académique. Il récompense les meilleurs articles de recherche en management publiés dans des revues scientifiques etest plébiscité par les chercheurs en sciences de gestion, qui considèrent son obtention comme une véritable opportunité de valorisation de leurs travaux auprès du monde de l’entreprise et de développement de leur notoriété.
140 candidatures pour le Prix Académique de la Recherche en management 2021
L’édition 2021 a reçu près de 140 candidatures, examinées par un jury académique de présélection. Les articles finalistes ont ensuite été évalués par un jury de professionnels du conseil. Les lauréats se verront remettre une récompense de 1000 euros pour leur article. Comme chaque année, des articles seront également rédigés par les membres du jury professionnel et les lauréats pour une publication dans la Harvard Business Review.
En raison du contexte sanitaire, la cérémonie de remise des prix sera à nouveau remplacée par des webinaires mettant à l’honneur les lauréats.
Les lauréats des 4 thématiques et du meilleur ouvrage 2021
Thématique 1 : Refonder la relation entreprise et société
(Mme) Dirk Schneckenberg – ESC Rennes School of Business et Susanne Pankov et Vivek. K Velamuri, Leipzig Graduate School of Management.
Pour le travail présenté dans l’article « Advocating sustainability in entrepreneurial ecosystems : Micro-level practices of sharing ventures » publié dans Technological Forecasting and Social Change (mai 2021)
Thématique 2 : Réinventer le management
Benjamin Cabanes, Pascal Le Masson et Benoît Weil de Mines ParisTech. Pour les travaux présentés dans l’article « Organiser la création de connaissance pour l’innovation de rupture : Des communautés aux sociétés proto-épistémiques d’experts » et publié dans Revue Française de Gestion (mars 2020)
Thématique 3 : Les nouveaux enjeux de la transformation numérique des entreprises
Laurent Giraud – Toulouse School of Management (Université Toulouse 1 Capitole), Ali Zaher – IAE Lyon, Selena Hernandez et Akram Al Ariss – Toulouse Business School. Pour leur article « Artificial Intelligence and the evolution of managerial skills : An exploratory study » en cours de révision pour publication dans International Journal of Information Management
Thématique 4 : Transformer le marketing et la relation client
Jean-Baptiste Suquet et Aurélien Rouquet – Neoma Business School. Pour l’article « Knocking sovereign customers off their pedestals ? When contact staff educate, amateurize, and penalize deviant customers » publié dans Human Relations (août 2020)
Prix du meilleur ouvrage
Albéric Tellier – Université Paris Dauphine, pour l’ouvrage « Nouvelles Vibrations » publié aux éditions EMS (2020)
Le bureau de Défense de la langue française en Pays de Savoie vient d’envoyer un courrier aux conseillers départementaux sortants ainsi qu’à d’autres candidats à ces élections en rappelant les graves atteintes portées à la langue française, et plus largement au plurilinguisme, par une anglo-américanisation abusive et envahissante, largement relayée et encouragée par beaucoup trop de responsables politiques, administratifs et économiques.
À l’attention des conseillers départementaux 73 et 74, et aux candidats à la prochaine élection sur l’usage de la langue française
Madame, Monsieur, Vous êtes candidat(e) aux élections départementales pour les départements de Savoie ou de Haute-Savoie les 20 et 26 juin. Aussi tenons-nous à vous faire part de nos inquiétudes et préoccupations car un grave problème, dont il ne semble pas être question dans votre programme, affecte nos deux départements (comme d’ailleurs l’ensemble de notre région et notre pays tout entier). Il s’agit de l’anglicisation galopante qui envahit notre vie quotidienne, notre langage et nos mentalités. Tout clame notre soumission à la dictature linguistique exercée par l’empire anglo-américain. L’invasion de l’anglais dans notre espace public devient insupportable : il suffit de se promener dans les rues de nos villes, pour être assailli de termes anglais. Noms de boutiques, slogans dans les vitrines, appellations de rayons dans les magasins de vêtements – men, women, kids, boys, girls… – l’anglais règne, le français est banni ! Les entreprises qui se créent dans notre région adoptent systématiquement des noms anglais comme « Moonbikes », « Savoies driver », « TSL Outdoor » … sous les applaudissements de notre presse régionale. Le magazine de l‘agglomération « Grand Annecy » fête les dix ans de « Outdoor (un autre « outdoor »!) Sports Valley ». Nos élus, complices, et les collectivités locales financent des manifestations sportives et culturelles dont les noms sont en anglais. La CCI de Haute-Savoie organise chaque année un « Digital Day », l’agglomération du Grand Annecy utilise comme marque territoriale « In Annecy mountains »… En Savoie , nos élus ont soutenu des appellations en anglais comme « Be Fit », « French Tech in the Alps », « Protect and Serve Contest », « Solar Academy », « Mountain Riders » … Pour les restaurants qui proposent de la cuisine de rue à Annecy, vous avez le choix entre « Dr Good Food », « Yogurt Factory », « Greenpoint Burgers », le « Chill Zone Food Truck ». Malheureusement, cette anglicisation ne concerne pas que le secteur privé ; les organismes publics en usent et en abusent : ainsi, sur les trottoirs d’Annecy on peut lire « Wear face masks » à côté de l’injonction en français , mais sans traduction dans une autre langue (comme la loi l’exigerait) par exemple en hollandais ou en italien , alors que de nombreux touristes viennent de ces deux pays . Pour régler votre stationnement, vous êtes invité à « Pay by phone ». Des Offices de Tourisme distribuent des fascicules bilingues français-anglais, là encore en contradiction avec la loi Toubon de 1994 qui impose une traduction en au moins deux langues étrangères. Comment défendre la place de notre langue dans les pays étrangers si, chez nous, la langue anglaise élimine toutes les autres ? Franchement cela ne vous gêne-t-il pas que l’on en soit arrivé là et que l’on ait ainsi abdiqué tout amour-propre de citoyen français ? Que comptez-vous donc faire pour lutter contre cette anglomanie ridicule et funeste et pour faire respecter dans l’espace public l’article 2 de notre Constitution qui affirme que la langue de la République française est le français ? En tant que conseiller(e) départemental(e), vous serez amenés à délibérer pour l’attribution de subventions. Nous vous demandons si vous êtes élu(e)s, de ne pas voter de subventions aux manifestations sportives, culturelles ou autres, qui ne respecteraient pas notre langue, et la loi. À cet effet, nous nous permettons de vous rappeler à la fin de ce courriel (1), quelques articles de la loi n°94-665 dont l’article 15 qui conditionne l’octroi de subventions au respect de cette loi. Pour rappel, ou pour information, c’est d’ailleurs pour avoir refusé d’appliquer cet article 15 que le département 74 a été condamné à demander le remboursement d’une subvention (voir pièce jointe). En vous remerciant pour votre attention. Cordialement,
Le bureau de Défense de la langue française en pays de Savoie
Article 3 Toute inscription ou annonce apposée ou faite sur la voie publique, dans un lieu ouvert au public ou dans un moyen de transport en commun et destinée à l’information du public doit être formulée en langue française. Si l’inscription rédigée en violation des dispositions qui précèdent est apposée par un tiers utilisateur sur un bien appartenant à une personne morale de droit public, celle-ci doit mettre l’utilisateur en demeure de faire cesser, à ses frais et dans le délai fixé par elle, l’irrégularité constatée…
Article 14 L’emploi d’une marque de fabrique, de commerce ou de service constituée d’une expression ou d’un terme étrangers est interdit aux personnes morales de droit public dès lors qu’il existe une expression ou un terme français de même sens approuvés dans les conditions prévues par les dispositions réglementaires relatives à l’enrichissement de la langue française. Cette interdiction s’applique aux personnes morales de droit privé chargées d’une mission de service public, dans l’exécution de celle-ci.
Article 15 L’octroi, par les collectivités et les établissements publics, de subventions de toute nature est subordonné au respect par les bénéficiaires des dispositions de la présente loi. Tout manquement à ce respect peut, après que l’intéressé a été mis à même de présenter ses observations, entraîner la restitution totale ou partielle de la subvention.
La Revue du Financier nous signale une conférence très instructive et utile sur la gestion de l’identité dans le commerce et le paiement, organisée le 26 septembre à Paris, sur une matinée, par son partenaire CANTON-Consulting.
L’identité dans le commerce et le paiement en mutation
Il se profile en effet une transformation majeure qui lance un défi stratégique pour les commerçants et tous les intermédiaires financiers : l’arrivée et la généralisation imminente sur le Web et sur tous les devices, de solutions standard d’identification des utilisateurs, plus sûres et faciles d’usage, va transformer en profondeur le commerce et les services, en ligne ou de proximité, et la relation client en général !
Si vous vous inscrivez, n’oubliez pas d’utiliser le code CYBEL-10 qui vous donnera une réduction de 10 % sur le prix, grâce au tarif que nous avons négocié avec notre partenaire.
Jean-Claude TRICHET, Président du Grand Jury et Jean-Louis CHAMBON, Président du Prix TURGOT viennent d’arrêter la liste des Finalistes de la 33e édition du PRIX TURGOT, à l’issue d’une sélection particulièrement exigeante, mettant en lice les 190 parutions de l’année relevant de ce périmètre , chacune ayant été examinée par le comité de présélection du PRIX :
GAZIER Bernard et PETIT Eloïse, Economie du travail et de l’emploi, Ed. La Découverte.
GOLLIER Christian, Le climat après la fin du mois, Ed. PUF.
HOUDE Olivier, L’intelligence humaine n’est pas un algorithme, Ed. O. Jacob
LAINE Mathieu, Il faut sauver le monde libre, Ed. Plon.
En félicitant les « Nominés », les Présidents ont tenu à souligner la qualité exceptionnelle de cette nouvelle Promotion : « … par la légitimité des auteurs, la robustesse des raisonnements, la pertinence et originalité des conclusions… »
La remise des PRIX se tiendra comme les années précédentes à Bercy le 12 mars 2020, au Ministère de l’Economie et des Finances, sous le haut parrainage du Ministre Bruno Le MAIRE, de 18h à 20h, et sera suivie d’une séance de dédicace.
Histoire du PRIX
Crée par l’Association des Anciens Elèves de
l’Institut de Haute Finance, le Prix TURGOT du meilleur livre d’Economie
Financière est présidé par Jean-Louis CHAMBON. Il est décerné à BERCY depuis
2008 sous le haut patronage du Ministre de l’Economie et des Finances avec la
participation effective du Sénateur Philippe MARINI, rapporteur général de la Commission
des Finances au SENAT et membre du grand jury.
La cérémonie du palmarès est devenue,
au fil des années, le grand rendez-vous des professionnels de la finance :
environ 500 personnalités de l’économie, des universités, des entreprises, des
banques et de la finance y participent.
L’IHFI, (Institut de Haute
Finance) a été fondé en 1972 par le président Georges POMPIDOU, grand banquier
qui avait compris la nécessité de créer une expertise nationale en la matière
(le directeur de l’IHFI était nommé par le Président de la République). Depuis, 36
promotions ont vu le jour, l’actualité en souligne l’intérêt……
Une équipe de partenaires officiels apporte son soutien au PRIX et à ses
missions. Par ailleurs les maisons d’éditions les médias spécialisés nationaux,
et un grand nombre de partenaires s’associent à ce partenariat.
Le prix TURGOT s’est assigné une double mission :
encourager les auteurs, les reconnaître et susciter des vocations dans le domaine de l’économie financière où les travaux d’écriture sont lourds et peu récompensés,
contribuer à la « pédagogie économique » et favoriser l’accession d’un public plus large à l’économie financière.
Au
palmarès de chaque édition, figure, outre le prix TURGOT de l’année, un prix
SPECIAL du jury. En règle générale les deux prix sont généralement complémentaires
d’un point de vue du public visé, l’un s’adressant plutôt aux spécialistes de
la finance, l’autre à un public plus large et moins averti.
Les plus grands auteurs de l’économie
financière ont été récompensés par ce prix (Christian SAINT-ETIENNE, Philippe
JURGENSEN – André LEVY-LANG 20e édition, Patrick ARTUS 21eOlivier PASTRE et Jean-Marc SYLVESTRE 22e, Georges PAUGET
23e Augustin LANDIERDavid THESMAR 24e ,OlivierRAY et Jean-MichelSEVERINO 25e, Jean-Marc DANIEL 26e BertrandMARTINOT 27e, Jacques MISTRAL 28e, Gaspard KOENIG 29e, Francis KRAMARZ et Philippe TIBI 30e, Vivien
LEVY-GARBOUA 31e, GuillaumePITRON 32e)
Deux niveaux de sélection :
– Un JURY DE PRESELECTION composé d’une vingtaine
de lecteurs, anciens étudiants de l’IHFI ou spécialistes de la finance
d’entreprises, lit et commente les livres publiés en cours d’année entre 200 et
300 par an. Ce jury sélectionne selon des normes très précises cinq à six
ouvrages « les nominés » qui sont présentés au grand jury.
– Le GRAND JURY (20 membres
éminents, acteurs de l’économie financière) délibère sous l’autorité de son
président, Jean-Claude TRICHET, qui a succédé à Michel BON, après avoir lu
personnellement chacun des ouvrages
En outre, Le palmarès de l’année comprend trois niveaux :
Les mentions
spéciales :
Le
prix du jeune (ou nouveau) talent
(éventuellement) (récompensant une première parution et un « jeune
auteur » (en partenariat avec le Groupe Crédit Agricole).
Les
mentions d’honneur (facultatives)
Les prix spéciaux
Prix
FFA Turgot de la Francophonie – Prix Turgot des Directeurs Financiers-DFCG – Prix
ouvrages collectifs – Prix spécial du jury
Le grand prix TURGOT.
Le grand prix
d’Honneur pour
l’ensemble d’une œuvre (très exceptionnellement)
Jean-Paul BETBEZE, Christian SAINT-ETIENNE, André
LEVY-LANG, Bernard ESAMBERT, Pierre-Noël GIRAUD, Jean TIROLE et Jacques de
LAROSIERE de CHAMPFEU ont été les seuls lauréats individuels comme le Cercle
des Economistes et la Revue d’Economie Financière en catégorie collectif
Principaux critères de sélection des ouvrages
Publiés en langue française, dans l’année qui
précède l’octroi du prix (du 1/1 au 31/12).
Sont exclus en principe les ouvrages
collectifs (une mention spéciale leur est attribuée) et les rééditions et les
traductions.
5 PRIX SPECIAUX accompagneront le Palmarès de la 33e édition du PRIX TURGOT du Meilleur Livre d’Économie Financière.
Les nominés des Prix Spéciaux
Jean-Claude TRICHET, Président du Grand Jury ainsi que Jean-Louis CHAMBON, Président du Prix TURGOT viennent d’arrêter la liste des PRIX SPECIAUX de la 33e édition du PRIX TURGOT, qui seront décerné à Bercy le 12 mars 2020 sous le haut parrainage du Ministre de l’économie Bruno Le MAIRE.
A l’issue
d’une sélection particulièrement exigeante, mettant en lice les 190 parutions
de l’année relevant de ce périmètre chacune ayant été examinée par le comité
de présélection du PRIX :
Prix du « jeune talent » : Lauréate – Camille BEAUDOUIN pour son ouvrage « Stratégie Bancaire et Réglementation paru chez DUNOD
Prix de « l’économie Numérique » : Lauréat – Yann Le CUN pour son ouvrage « quand la machine apprend » chez Odile JACOB
Prix de « l’ouvrage Collectif »: sous la direction du Professeur Michel ROUX pour son ouvrage « La Finance Mutualiste » parue dans la Revue d’économie financière (REF)
Prix Turgot- DFCG des Directeurs Financiers ; Victor FOUQUET- Jean-Baptiste NOE pour leur ouvrage « La Révolte fiscale » chez Calmann-Levy
Seront également
proclamés le 12 mars par le Ministre, le Prix de la « Francophonie-
FFA » ainsi qu’un« Grand Prix d’honneur pour l’ensemble d’une
œuvre »
En félicitant
les « Nominés », les Présidents ont tenu à souligner la qualité
exceptionnelle de cette nouvelle Promotion : « … par la légitimité
des auteurs, la robustesse des raisonnements, la pertinence et originalité des
conclusions… »
La remise des PRIX se tiendra comme les
années précédentes à Bercy le 12 mars 2020, de 18h à 20h, et sera suivie
d’’une séance de PARIS le 18 novembre
2019.
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