Archives de catégorie : La recherche et écoles

Université Lumière Lyon 2 : Rencontres autour du handicap

Du 12 au 16 février, l’Université Lumière Lyon 2 vous invite à des journées de sensibilisation sur le handicap. En collaboration avec le Festival international du Film sur les Handicaps (FIFH), l’événement propose des courts-métrages, spectacles inclusifs, et échanges enrichissants. Participez au Défi 82 h, où des étudiants du master cinéma créeront des films sur le handicap en un temps record. Profitez de stands, mises en situation et rendez-vous individuels pour mieux comprendre et intégrer la diversité. Un rendez-vous incontournable pour s’informer et célébrer l’inclusion.

Sensibilisation et information sur le handicap

Du 12 au 16 février, l’Université Lumière Lyon 2 organisera plusieurs journées de sensibilisation et d’échanges autour du handicap. Ce rendez-vous annuel vise à informer et former les étudiantes et étudiants ainsi que le personnel de l’université sur le handicap sous toutes ses formes. Des stands d’information, mises en situation, pratiques sportives, spectacles, podcasts et projections seront au programme. Parmi les événements marquants, le dispositif Chuchotines permettra d’accompagner les personnes en situation de handicap visuel lors du spectacle « Chronique(s) » en leur chuchotant à l’oreille la description des éléments visuels. De plus, des rendez-vous individuels seront proposés aux étudiantes, étudiants et personnels en situation de handicap pour les aider à préparer leur recherche d’emploi.

Défi 82 h : création cinématographique

Dans le cadre de la 6e édition du Festival international du Film sur les Handicaps (FIFH), les Rencontres autour du handicap s’enrichissent cette année du Défi 82 h. Ce défi, supervisé par Martin Fournier, scénariste et maître de conférences à l’Université Lumière Lyon 2, mettra en compétition les étudiants du master cinéma de l’université. En quatre jours, ces étudiants devront réaliser quatre courts-métrages, de l’écriture du scénario à l’audiodescription, sur des thèmes liés aux handicaps visibles et invisibles. Les meilleures productions seront récompensées lors de la soirée du 13 février à l’Institut Lumière. Le jury de la sélection « Fais-moi du cinéma », présidé par Nicolas Vannier, producteur d’Orly Films, est composé de personnalités telles que la Princesse du Cambodge Sylvia Sisowath, Philippe Lefait, Nathalie Perrin-Gilbert, Agnès Raux, Marie-Claire Mezerette, Valérie Fadini, Patricia Malissart et Martin Fournier.

Partenariat avec le Festival International du Film sur les Handicaps

Cette année, les Rencontres autour du handicap s’intègrent dans une programmation plus large en collaboration avec le FIFH. Ce partenariat enrichit les événements de la semaine et offre une plateforme pour sensibiliser un public plus large aux défis et réalités des personnes en situation de handicap. Le festival est une occasion unique de mettre en lumière des productions cinématographiques engagées et de promouvoir une meilleure compréhension et inclusion des personnes en situation de handicap dans la société.

► Consulter le programme complet des Rencontres autour du Handicap : https://www.univ-lyon2.fr/radh
► En savoir plus sur l’édition 2024 du FIFH : https://www.univ-lyon2.fr/vie-des-campus/cinema-festival-international-du-film-sur-les-handicaps-fifh-2024

L’Université Paris-Saclay lance un cycle de conférences « Nos belles histoires »

L’Université Paris-Saclay inaugure un nouveau cycle de conférences d’alumni à destination notamment de sa communauté étudiante. « Nos belles histoires » donneront la parole à des personnalités aux parcours inspirants. La conférence de lancement du mardi 12 décembre 2023, aura eu l’honneur d’accueillir l’informaticien et ingénieur logiciel Bertrand Serlet – qui se décrit lui-même comme électron libre – sous la forme d’un dialogue avec Michel Safars, entrepreneur et professeur en stratégie & entrepreneuriat à HEC Paris.

À destination des étudiants, les conférences de ce cycle « Nos belles histoires » se présenteront sous la forme d’un dialogue entre deux alumni de la même thématique ou du même écosystème et mettront en valeur une filière, une formation, un domaine de recherche, un écosystème, ou encore un chemin professionnel. Fait original de ces conférences, chacune se conçoit comme un dialogue de 30 à 45 minutes entre une personnalité exceptionnelle et inspirante pour les étudiants, issue de l’Université Paris-Saclay et un interlocuteur ou une interlocutrice, également originaire de l’Université et évoluant dans un domaine ou un écosystème proche de la personnalité invitée. Un temps de questions-réponses avec le public est prévu au terme de ce dialogue.

Le 12 décembre 2023, Bertrand Serlet était interrogé par Michel Safars

Diplômé d’un master de mathématiques de l’ENS Paris-Saclay, docteur en informatique de l’Université Paris-Saclay, Bertrand Serlet a commencé sa carrière en tant que chercheur chez Inria. Expatrié aux États-Unis, il a rejoint Xerox PARC, puis les entreprises NeXT et Apple, créées par Steve Jobs, où il a joué un rôle clé dans le développement de systèmes d’exploitation et de technologies logicielles. Il est également le cofondateur de la start-up Fungible et a récemment été vice-président software engineering chez Microsoft.

Diplômé d’un DUT mesures physiques de l’Université Paris-Saclay, Michel Safars est un entrepreneur et professeur en stratégie & entrepreneuriat à HEC Paris. Il est le fondateur de xCUB, un programme complet de création et de maturation de PME innovantes soutenu par des grandes entreprises souhaitant développer leur activité par des innovations soutenables, dont le marché a besoin et rapidement intégrables.

L’événement sera suivi d’un cocktail.

Informations pratiques

  • Mardi 12 décembre 2023 à 18h30
  • Grand amphithéâtre de l’Institut Pascal, 530 rue André Rivière, 91400 ORSAY
  • Durée approximative de la conférence : 1h30

Une retransmission de la conférence en direct sera disponible sur le site de l’Université.

SOLTéA, le nouveau service de répartition de la taxe d’apprentissage

Un nouveau service pour les entreprises vient d’être lancé : SOLTéA. Cette plateforme en ligne permet de répartir le solde de la taxe d’apprentissage. Le site SOLTéA est dédiée aux 1,6 million d’employeurs redevables du solde de la taxe d’apprentissage ainsi qu’aux plus de 11 000 établissements qui sont habilités à le percevoir.

Qui peut se connecter sur SOLTéA ?

En se connectant sur SOLTéA, les employeurs peuvent choisir les établissements et les formations qu’ils souhaitent soutenir. Les établissements, eux, peuvent y renseigner leurs coordonnées bancaires et ainsi recevoir les crédits affectés par les employeurs. L’article L.6131-5 du code du travail charge la Caisse des Dépôts d’affecter les fonds aux établissements destinataires. La Caisse des Dépôts a également en charge la gestion du fonds et le déploiement de SOLTéA.

La loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel du 5 septembre 2018 ainsi que l’ordonnance du 23 juin 2021 ont réformé  la collecte et de la répartition du solde de la taxe d’apprentissage. Chaque année, cette contribution versée par les entreprises a pour objectif de soutenir le développement de formations technologiques et professionnelles, l’insertion professionnelle, l’orientation ainsi que les centres de formation d’apprentis sous la forme d’équipements ou de matériels.

Auparavant, le solde était directement versé par les employeurs assujettis aux établissements bénéficiaires. À partir de 2023, les employeurs déclarent via leur déclaration sociale nominative (DSN) et payent le solde de la taxe d’apprentissage en une fois auprès de l’Urssaf Caisse nationale ou de la Mutualité sociale agricole (MSA) qui transfèrent ensuite ce fonds à la Caisse des Dépôts. Tout se concrétise ensuite via SOLTéA, le service dématérialisé accessible à l’adresse soltea.education.gouv.fr.

Une exception demeure : les subventions sous la forme d’équipements ou de matériels pour les centres de formation d’apprentis. Les employeurs peuvent toujours effectuer celles-ci directement auprès des centres de formation d’apprentis sans passer par la plateforme.

SOLTéA, comment ça marche ?

En se connectant sur SOLTéA, les employeurs peuvent désormais directement choisir les établissements et les formations qu’ils souhaitent soutenir, et quelle partie du solde ils souhaitent leur verser. Quant aux établissements bénéficiaires, ils peuvent se connecter sur leur espace sécurisé pour vérifier et compléter leurs informations, remplir leurs coordonnées bancaires et, ainsi, recevoir les fonds qui leur ont été attribués par les employeurs. Ouverte en mai, la plateforme compte déjà près de 250 000 connections pour près de 80 000 entreprises inscrites sur la plateforme, et 64% d’établissements bénéficiaires.

Le service est maintenant pleinement fonctionnel. Le premier versement aux établissements interviendra le 15 juillet. L’étape essentielle pour eux est de compléter leurs coordonnées bancaires. Pour les employeurs et leurs tiers déclarants : il s’agit de se connecter à la plateforme pour soutenir les établissements de leur choix. Pour permettre au plus grand nombre d’employeurs de réaliser leurs choix de répartition, la campagne de répartition qui devait initialement se terminer le 6 septembre sera prolongée de quelques semaines.

SOLTéA : les apports de la réforme

Les employeurs n’ont plus à effectuer eux-mêmes les virements pour chacun des établissements. Les établissements, eux, n’ont plus à produire de reçus libératoires. Les flux financiers sont à présents sécurisés, clairs et traçables pour tous les acteurs.

De plus, avec SOLTéA, la Caisse des Dépôts recueille, fiabilise et publie une liste unique et complète des établissements bénéficiaires, une information qui figurait antérieurement sur les sites internet de chacune des Régions. L’employeur peut désormais les retrouver via un moteur de recherche avancé et multicritères. En devenant le point d’entrée unique pour trouver un établissement bénéficiaire, SOLTéA simplifie l’accès à l’information.

Cette plateforme met aussi à la disposition des employeurs et des établissements un tableau de bord de suivi des versements. L’espace en ligne permet de suivre et d’archiver les informations des campagnes de répartition du solde sous le format d’un tableau de bord exportable, rendant ainsi l’information sur les flux financiers lisible et pérenne.

Tout en simplifiant les démarches des employeurs et des établissements, SOLTéA rend aussi transparent une partie du financement de la formation initiale des jeunes pour sécuriser leur avenir professionnel.

Chiffres clés de SOLTéA

  • 1,6 million d’employeurs concernés
  • 11 000 établissements bénéficiaires
  • 400 millions d’€ de financements

Un premier bilan de SOLTéA sera effectué à la fin de la campagne 2023.

Ce service est mandaté par le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse et le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, avec le concours de la délégation générale à l’emploi et à la formation professionnelle (DGEFP) du ministère du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion. Le projet a été conduit en partenariat avec l’Urssaf Caisse nationale, la caisse centrale de la Mutualité sociale agricole (MSA) ainsi que le GIP MDS (modernisation des déclarations sociales). La Caisse des Dépôts a développé et gère le service numérique de répartition du solde de la taxe d’apprentissage et le paiement des établissements bénéficiaires, SOLTéA.

SOLTéA, le nouveau service de répartition de la taxe d'apprentissage
SOLTéA, le nouveau service de répartition de la taxe d’apprentissage

La Fondation de Wendel propose des aides à la recherche pour des étudiants en master 2 ou en doctorat

La Fondation de Wendel propose, comme les années passées, des aides à la recherche pour des étudiants de Master 2 ou pour des doctorants dans l’ensemble des disciplines des sciences humaines et sociales. Les aides portent sur les projets concernant les techniques, les entreprises et plus généralement les sociétés industrielles à l’époque contemporaine.

L’aide de la Fondation de Wendel mises en œuvre par l’Académie François Bourdon

Ces aides sont mises en œuvre par l’Académie François Bourdon :

  • Pour les étudiants de Master 2, l’aide est fixée à 1 500 euros, pendant une année.
  • Pour les étudiants en Doctorat, l’aide est fixée à 5 000 euros par an, au maximum pendant trois années pour une candidature de première année. Les candidats peuvent se présenter pour la seconde ou la troisième année.

Des dossiers de candidature à déposer pour bénéficier de l’aide de la Fondation de Wendel

Les dossiers de candidature en Master 2 comportent une présentation du sujet de recherche, ses problématiques, les sources envisagées et la bibliographie provisoire ; un curriculum vitae et un avis du directeur de recherche. Les dossiers de candidature en Doctorat comportent une présentation du projet de thèse avec ses problématiques et les sources à consulter ; un calendrier de réalisation ; un curriculum vitae et un avis du directeur de recherche.

Les dossiers de candidature peuvent être envoyés jusqu’au 15 octobre 2023 à l’Académie François Bourdon, avec copie à la Fondation de Wendel exclusivement sous format électronique aux adresses suivantes :  contact@afbourdon.com et contacts@fondationwendel.eu

Pour tous renseignements, contacter l’Académie François Bourdon – Cour du Manège – Château de la Verrerie – BP 60031 – 71201 LE CREUSOT Cedex – Tél : 03.85.80.81.51. – www.afbourdon.com

Fondation de Wendel propose des aides à la recherche pour des étudiants en master 2 ou en doctorat

Programme du colloque “Démocratie en santé et pouvoir d’agir des usagers”


Programme du colloque “Démocratie en santé et pouvoir d’agir des usagers”
du 20 juin 2023.
CNAM – 292 Rue Saint-Martin, 75003 Paris [transport pour venir]
Métro ligne 3 ou 11, stations Arts et Métiers
Vos questions sont à envoyer à colloque@larsg.fr


La loi n°2002-303 du 4 mars 2002, relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, élargit les droits individuels et collectifs des usagers, reconnaissant ainsi la complémentarité de l’expertise de ces derniers avec celle des professionnels. Grâce à l’action individuelle et collective encouragée par le dialogue et la concertation, cette loi permet à chacun de prendre part à l’élaboration et à la mise en œuvre de la politique en santé.

Cette réforme majeure fait écho, plus de deux siècles plus tard, aux fondements de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 : « les Représentants du Peuple Français […] ont résolu d’exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs […].

La Revue des Sciences de Gestion, le Laboratoire Interdisciplinaire de Recherche en Sciences de l’Action (Lirsa – EA4603) et la chaire de Gestion des services de santé du Cnam proposent une journée pour croiser les regards des chercheurs, des professionnels et des usagers sur la démocratie en santé. Cette journée traitera à la fois :

  • Des droits individuels (accès à une information fiable, accès au dossier médical, confidentialité des données, consentement, réparation des accidents médicaux) ;
  • Des droits collectifs (participation aux instances et aux prises de décision).

La démocratie en santé sera abordée sous deux angles afin de nourrir les débats et les réflexions des chercheurs, des usagers et des professionnels :

  • La prise en considération des usagers par les professionnels dans les parcours de soins et d’accompagnements ;
  • Le pouvoir d’agir des usagers sur le système de santé, tant sur le volet sanitaire que sur le volet médico-social.

Programme prévisionnel

A partir de 8h30 – Petit déjeuner d’accueil
Coursive de l’amphithéâtre Abbé Grégoire

9h00 – 9h30. ALLOCUTIONS D’OUVERTURE
AMPHITHEATRE ABBE GREGOIRE

  • Bénédicte FAUVARQUE-COSSON, Administratrice Générale du CNAM
  • Madina RIVAL, co-directrice du LIRSA, CNAM
  • Philippe NASZALYI, Directeur de la Revue des Sciences de Gestion
  • Sandra BERTEZENE, Professeur titulaire de la chaire de Gestion des services de santé du CNAM

9h30–12h. Séance plénière
Démocratie en santé et pouvoir d’agir des usagers : enjeux pour notre société et perspectives à venir
amphi. Abbé Grégoire

Animé par Philippe NASZALYI, Directeur de la Revue des Sciences de Gestion, ancien président de la Conférence de Territoire et du Conseil territorial de Santé de l’Essonne

  • Marie Aline BLOCH, professeure à l’École des hautes études en santé publique et chercheure en science de gestion (EA MOS 7348)
  • Jean-Michel TOULOUSE, ancien directeur d’hôpital public
  • Christian BRUN, président du du Groupe de travail permanent spécialisé dans le domaine des droits des usagers (GTP-DU)1 du système de santé  de la Conférence nationale de Santé (CNS) et président de la CRSA Auvergne-Rhône-Alpes
  • Thierry NOBRE, professeur agrégé des universités en sciences de gestion · EM Strasbourg Business School, représentant l’association ARAMOS (Association de Recherche Appliquée au Management des Organisations de Santé)
  • Fatima YATIM-DAUMAS, maître de conférences en sciences de gestions au Cnam, spécialiste de la démocratie en santé, chercheure au Lirsa (EA4603)

Échanges avec le public


14h-17h. Ateliers

Atelier 1. Démocratie en santé, pouvoir d’agir – Des exemples de réalisations
salle 17.01.08 : accès 17, 1er étage, salle n°08

  • Écoute extra-européenne comme ouverture démocratique pour le patient acteur de sa thérapie – Luc PERERA, Pierre JOUVELOT (14h-14h45 : présentation et échanges)
  • L’expérience du dernier chez-soi les logiques de la participation en EHPAD – Elvire BORNAND, Julien BOTTRIAUX, Frédérique LETOURNEUX (14h45-15h30 : présentation et échanges)
  • Témoignage : Les usagers co-constructeurs de la stratégie régionale – Elise GUILLERME, Romain FRANÇOIS, Hélène PROU, Laure COUSIN, Anne SIZARET, Lauriane BRUET, Laurent MARIÉ (16h15h-17h : présentation et échanges)

Atelier 2. Démocratie en santé, pouvoir d’agir – La production de connaissances nouvelles
amphi. Abbé Grégoire

  • Processus de déconstruction / reconstruction de l’accompagnement – Fatima YATIM-DAUMAS, Sandra BERTEZENE
  • Les facteurs de l’apprentissage organisationnel dans le cadre de l’expérience patient : expérimentation au sein d’un hôpital public français – François KOUKOUI
  • Témoignage : Ce que participer veut dire : apports pratiques et théoriques d’un travail de capitalisation d’expériences de démarches participatives en Grand Est – Julien AIME, Coline BARBAY
  • Témoignage : Trajectoires de mères de jeunes patients : valoriser nos expériences, développer nos connaissances pour contribuer au renforcement des compétences de toutes les parties prenantes en parcours de soin pédiatrique – Célia CARDOSO, Laure-Hélène VIDIL

Atelier 3. Démocratie en santé, pouvoir d’agir – Le numérique comme levier
salle 21.1.04 : accès 21, 1er étage, salle n°04

  • Comprendre et améliorer l’expérience patient grâce à l’intelligence artificielle – Guillaume ROUSSON, Didier VINOT, Jean-Baptiste CAPGRAS
  • L’imagerie médicale – vers un diagnostic du dirk side de l’empowerment des patients ? – Jennifer MARY, Sondès ZOUAGHI
  • Pouvoir d’agir des usagers : une analyse à partir de la e-réputation des établissements de santé – Anne GIRAULT
  • Guichet numérique unique pour les aidants : quel impact d’une communauté de pratique sur le pouvoir d’agir des patients et des aidants ? – Nadine DUBRUC, Fatima BANNOUT

Atelier 4. Démocratie en santé, pouvoir d’agir – Le rôle particulier de l’expérience patient et des patients partenaires
salle 21.1.00 : accès 21, 1er étage, salle n°08

  • Patients-experts addictions : la certification des compétences, une clé pour leur intégration durable dans les parcours d’accompagnement ? – Emmanuelle JOUET, Françoise GAUDEL, Alain DEJOUR
  • La quête de légitimité de l’Union Francophone des Patients Partenaires – Fabienne BOSC, Didier CHABANET, Laurence CIMAR, Pascale DAYNES, Bernard DENIS, Damien RICHARD
  • Quelle place pour le patient expert dans les pathologies non reconnues ou en manque de consensus – Bérangère LUC
  • Témoignage : Soutenir le partenariat patient-professionnel dans les projets et les organisations de santé : l’expérience du Pôle de Ressources en Éducation Thérapeutique du Patient d’Ile-de-France – Marina DORSA, Marie DUVIVIER, Tiffany LACAMOIRE, Andrea LIMBOURG, Thomas SANNIE, Michel NAIDITCH, Pierre-Yves TRAYNARD

Atelier 5. Démocratie en santé, pouvoir d’agir – Les enjeux pour le système de santé
salle 21.2.23 : accès 21, 2e étage, salle n°23

  • Les conditions d’une institutionnalisation efficace de conseils citoyens – Philippe BANCE, Angélique CHASSY
  • Associations d’usagers, la révolution douce du système de santé – Marie-George FAYN, Samy MANSOURI
  • Témoignage : Pouvoir d’agir des usagers : bilan et perspectives de la démocratie en santé – Lucie FALGOUX
  • Témoignage : De nouveaux défis pour la démocratie en santé, témoignage d’un observateur impliqué dans les changements écosystémiques en cours – Alexis VERVIALLE

Atelier 6. Démocratie en santé, pouvoir d’agir – Des exemples hors de nos frontières
salle 21.1.13, accès 21, étage 1, salle n°13

  • La construction du modèle luxembourgeois du partenariat patient : état des lieux et perspectives – Sarah GARIDI, Sylvain VITALI, Laurent WOLF, Guillaume SCHAACK
  • Construction d’échelle de mesure de la satisfaction des patients : cas des centres de soin de Ben Arous – Wahiba BALI, Raja BEZRATI, Zorha GHALI
  • Repenser l’importance de la participation des patients partenaires dans la gouvernance sanitaire au prisme de la politique et plan intersectoriel de prévention en santé au Québec – Andrews Adandjesso KOSSI EDEN
  • La digitalisation de l’information au service des usagers – Pour une potentielle démocratie en santé du secteur public des pays émergents – Sana TEBESSI

Atelier 7. Démocratie en santé, pouvoir d’agir – Soins et renoncement aux soins
salle 21.1.16, accès 21, étage 1, salle n°16

  • PMA quelle place pour le patient – Audrey ROCHAS, Julien ARTUS
  • Les stratégies adoptées par les personnes en non-recours aux soins : premiers résultats d’une étude exploratoire sur deux territoires contrastés – Clara SICARD
  • Témoignage : Dispensation trimestrielle des antirétroviraux : valoriser le point de vue des usagers – Christophe ROUQUETTE, Paul-Emmanuel DEVEZ
  • Témoignage : Documenter les refus et renoncements au traitement post exposition (TPE) – Paul-Emmanuel DEVEZ, Christophe ROUQUETTE

Atelier 8. Démocratie en santé, pouvoir d’agir – Le rôle des patients associations dans l’amélioration de la qualité et la réduction des risques
salle 21.1.44, accès 21, étage 1, salle n°44

  • L’expression de la démocratie sanitaire en situation d’expertise : participation des associations de lutte contre le SIDA à l’élaboration des recommandations nationales de prise en charge des personnes vivant avec le VIH – Hélène MEUNIER, Benoît PRÉVOST, Christophe ROUQUETTE
  • Optimiser la prise en charge des nourrissons à risques de séquelles neuromotrices par une approche centrée sur la famille – Sébastien KRUMM, Colin FROMION, Nicolas MEUNIER-BEILLARD, Anne THEUREL, Corinne CHANTEGRET, Denis SEMAMA, Élise GUILLERMET (15h30-16h15 : présentation et échanges)
  • Témoignage : « Vas-y ! » ou le soutien inconditionnel aux projets de vie – Stéphane MURA

La CDEFM réaffirme son attachement fort aux classes préparatoires aux Grandes écoles

Les grandes écoles de management soulignent la grande qualité de la formation que délivrent les CPGE et leur capacité à offrir aux jeunes qui s’y engagent un monde d’opportunités et de capacité d’impact tout au long de leur vie. Dans une société en mouvement, alors même que les écoles adaptent en permanence leur propre curriculum, elles souhaitent continuer à échanger avec leurs parties prenantes pour identifier les pistes d’évolution qui permettront de renforcer l’attractivité de ce cursus d’excellence et, dans un continuum classes préparatoires – Écoles, de continuer à écrire une histoire commune au bénéfice de notre pays.

Les classes préparatoires aux écoles de commerce permettent de suivre un cursus pluridisciplinaire associant mathématiques, langues étrangères et sciences humaines, enseigné par des professeurs très engagés, qui donne à chacun les fondamentaux de la compréhension du monde actuel et des défis qui s’annoncent. Elles se caractérisent par une activité intellectuelle intense et stimulante, l’acquisition de méthodes de travail, une vraie solidarité et des amitiés à vie se forgent entre les étudiants. Rappelons enfin que tous les élèves issus de cette filière intégreront une école à la fin de leur cursus de classes préparatoires et obtiendront un diplôme de grade Master reconnu internationalement et garantissant une très forte employabilité.

Pour autant, la baisse d’attractivité de ces parcours interroge car les effectifs en classes préparatoires ont fortement fléchi au cours des deux dernières années. Si chacune des écoles de la CDEFM reconnaît l’exceptionnelle qualité du parcours proposé en 5 ans, il est indéniable que le monde change et que les aspirations des élèves se transforment également. La réforme du baccalauréat a eu par exemple des conséquences importantes en créant une certaine dichotomie entre des élèves soucieux d’acquérir de fortes compétences en mathématiques et d’autres plus tournés vers d’autres disciplines. Or, les deux types de talents ont toute leur place en École de commerce. Les mathématiques et la science des données sont aujourd’hui, plus que jamais, cruciales dans la formation des élèves, pour les entreprises et dans la société. De la même manière, sous l’impulsion du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, la formation aux enjeux de la transition sociale et écologique prendra dès 2025 une place plus grande dans tous les programmes du 1er cycle. Enfin, si la géopolitique a fait une percée importante dans le cœur des élèves, il est fondamental que les enseignements d’humanités soient toujours plus au service de la compréhension des grands enjeux contemporains.

La CDEFM reste confiante quant à la capacité des CPGE de se saisir de ces enjeux. Elle est prête à se mobiliser et est ouverte à la discussion avec celles et ceux qui partagent avec elle la volonté d’imaginer des pistes d’évolution, et de mettre en place les actions qui en découleront dans une volonté de promouvoir les CPGE et la qualité de leur formation.

Appel à communication : “Pouvoir d’agir des usagers : bilan et perspectives de la démocratie en santé”

Ce colloque plus actuel que jamais : “Pouvoir d’agir des usagers : bilan et perspectives de la démocratie en santé” est organisé par :

La Revue des Sciences de Gestion – Direction et Gestion des entreprises – LaRSG.fr

La Revue des Sciences de Gestion - Direction et Gestion des entreprises - LaRSG.fr

le Laboratoire Interdisciplinaire de Recherche en Sciences de l’Action

la chaire de Gestion des Services de Santé du Cnam

Programme provisoire

Pouvoir d’agir des usagers : bilan et perspectives de la démocratie en santé

La loi n°2002-303 du 4 mars 2002, relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, élargit les droits individuels et collectifs des usagers, reconnaissant ainsi la complémentarité de l’expertise de ces derniers avec celle des professionnels. Grâce à l’action individuelle et collective encouragée par le dialogue et la concertation, cette loi permet à chacun de prendre part à l’élaboration et à la mise en œuvre de la politique en santé. Cette réforme majeure fait écho, plus de deux siècles plus tard, aux fondements de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 : « les Représentants du Peuple Français […] ont résolu d’exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs […].

La Revue des Sciences de Gestion, le Laboratoire Interdisciplinaire de Recherche en Sciences de l’Action (LIRSA – EA4603) et la chaire de Gestion des services de santé du CNAM proposent une journée pour croiser les regards des chercheurs, des professionnels et des usagers sur la démocratie en santé.

Cette journée traitera à la fois :

  • des droits individuels (accès à une information fiable, accès au dossier médical, confidentialité des données, consentement, réparation des accidents médicaux) ;
  • et des droits collectifs (participation aux instances et aux prises de décision).

La démocratie en santé sera abordée sous deux angles afin de nourrir les débats et les réflexions des chercheurs, des usagers et des professionnels :

  • la prise en considération des usagers par les professionnels dans les parcours de soins et d’accompagnements ;
  • le pouvoir d’agir des usagers sur le système de santé, tant sur le volet sanitaire que sur le volet médico-social ;

Dans le cadre de cet appel à communications, il s’agit de réfléchir aux apports, limites et perspectives de cette loi pour les services et établissements sanitaires et médico-sociaux, publics et privés. Il sera important également d’articuler aux réflexions académiques, les réflexions des professionnels des secteurs sanitaire et médico-social, et bien sûr celles des patients/résidents-citoyens.

Les organisations sont traversées par des tensions multiples, largement exacerbées depuis la promulgation de la loi en 2002 : crise de la Covid-19, manque de personnel médical, soignant et d’accompagnement, exigences accrues des publics, etc.

Ce contexte turbulent et incertain appelle une réflexion et des témoignages notamment sur :

  • la démocratie en santé comme nouveau modèle de gouvernance ;
  • la place de la démocratie en santé dans les projets de service ou les projets d’établissement ;
  • le rôle de la démocratie en santé dans l’organisation du travail des services et des établissements ;
  • la capacité de réponse des équipes de terrain aux attentes et besoins des publics accueillis et de leurs proches ;
  • la place de l’expérience patient, du patient expert et de l’éducation thérapeutique au sein des organisations de santé ;
  • la place des usagers et des associations d’usagers dans la gestion de la crise sanitaire ;
  • l’apprentissage et l’appropriation des droits et des devoirs des usagers par les usagers ;
  • la diffusion d’une information large et fiable afin de favoriser des prises de décisions éclairées de la part des usagers ;
  • l’impact des innovations en santé (NBIC, e-santé, mon espace santé, etc.) sur la démocratie en santé ;
  • la place des représentants des usagers dans les organismes de protection sociale au regard de la démocratie en santé ;
  • le rôle et la place des aidants dans les parcours de santé : autre forme de démocratie en santé ?
  • les expériences à l’étranger de collaboration entre patients et professionnels de santé qui peuvent nous inspirer.

Cette liste n’est pas exhaustive, les propositions qui apporteraient une contribution qui ne s’inscrirait pas dans l’un des axes proposés seront examinées avec la plus grande attention.

Deux types d’article peuvent être proposés 

1) Articles académiques. Ils pourront se fonder sur des études empiriques tout autant que déboucher sur des approches pluridisciplinaires. Leur pertinence sera appréciée au regard de l’apport académique et de l’apport managérial.

2) Témoignages. Cette dimension ouverte se fondera sur une expérience individuelle ou collective mais ne se contentera pas d’une forme narrative, elle devra inclure une problématisation débouchant sur des pistes éventuelles de solution ou de recherche.

Modalités de soumission

MODALITÉS DE SOUMISSION des communications au colloque et sélection des articles pour un numéro spécial de la revue des sciences de gestion

  • Remise des résumés pour le colloque : 21 avril 2023
  • Retours aux auteurs : 2 mai 2023
  • Date limite des inscriptions au colloque : 26 mai 2023
  • Date du colloque : 20 juin 2023
  • Remise de la version intégrale de l’article (50.000 signes espaces compris, bibliographie, schémas, figures, tableaux compris) : le 30 septembre 2023
  • Retour aux auteurs : 28 février 2024
  • Réception des articles modifiés : 15 avril 2024
  • Publication du numéro spécial de La Revue des Sciences de Gestion : septembre 2024
  • Possibilité d’un ouvrage collectif en complément

COMITÉ D’ORGANISATION (ordre alphabétique)

  • Sandra BERTEZENE, Professeur, titulaire de la Chaire de Gestion des Services de Santé · Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM)
  • Gérard CHEVALIER, Docteur d’État en sciences de gestion, Président du Comité stratégie de CYBEL Group
  • Francine LAIGLE, Présidente de la Commission des Usagers du groupe Saint Thomas de Villeneuve, membre du Conseil de l’engagement des usagers de la Haute Autorité de Santé (HAS)
  • Philippe NASZÁLYI, Professeur émérite HDR, Directeur de La Revue des Sciences de Gestion
  • Yves SOULABAIL, enseignant-chercheur en gestion à l’ISTEC, Vice-président de l’Académie des sciences commerciales
  • Jean-Michel TOULOUSE, Docteur en Droit Public, Directeur honoraire du Centre Hospitalier Sud Francilien (CHSF)

COMITÉ SCIENTIFIQUE (ordre alphabétique)

  • Alice AMBEREE, Maître de conférences en sciences de gestion, Cnam
  • Aude d’ANDRIA, Maître de conférences HDR en Sciences de Gestion, Université d’Évry-Val d’Essonne, Paris-Saclay
  • Daniel BACHET, Professeur émérite en sociologie, Université d’Évry-Val d’Essonne, Paris-Saclay
  • Philippe BANCE, Professeur des Universités en sciences économiques, Université des Antilles, Président du Conseil scientifique international du CIRIEC (Centre International de Recherches et d’Information sur l’Économie Publique, Sociale et Coopérative)
  • Mohamed BAYAD, Professeur des Universités en sciences de gestion, Cnam
  • Jérôme BARAY, Professeur des Universités en sciences de gestion à l’Université Paris-Est Créteil Val de Marne
  • Sandra BERTEZENE, Professeur du Cnam, titulaire de la chaire de Gestion des services de santé
  • Marie-Aline BLOCH, Professeur des Universités en biologie et en sciences de gestion, École des Hautes Études en santé publique, Collectif de recherche sur le handicap, l’autonomie, société inclusive (CoRHASI)
  • Jean-Philippe CAPGRAS, Maître de conférences en sciences de gestion, IFROSS, Université Jean Moulin Lyon 3
  • François CASSIERE, Maitre de conférences en sciences de gestion, IAE, Université de Clermont-Auvergne
  • Angélique CHASSY, Enseignant-Chercheur, École de Management de Normandie
  • Stéphanie CHATELAIN-PONROY, Professeur des Universités en sciences de gestion, Cnam
  • Karine GALLOPEL-MORVAN, Professeur des Universités, École des Hautes Études en Santé Publique (EHSP), Présidente d’ARAMOS
  • Corinne GRENIER, Professeur de stratégie et d’innovation HDR, Kedge Business School
  • Olivia GROSS, Maître de conférences en sciences de l’éducation et de la formation HDR, Titulaire de la Chaire de recherche sur l’Engagement des patients
  • Julien HUSSON, Professeur des Universités en sciences de gestion, IAE Metz School of management 
  • Jérôme LARTIGAU, Maître de conférences en sciences de gestion, Cnam
  • Marie-Astrid LE THEULE, Maître de conférences en sciences de gestion, Cnam
  • Michel NAIDITCH, Médecin de Santé Publique, intervenant au Pôle Ressources Ile de France en Éducation Thérapeutique du Patient et chercheur associé à l’Institut de Recherche et Documentation en Économie de la Santé
  • Philippe NASZÁLYI, Professeur émérite HDR, Directeur de La Revue des Sciences de Gestion
  • Thierry NOBRE, Professeur des Universités en sciences de gestion, EM Strasbourg Business School
  • Gilles PACHÉ, Professeur des Universités en sciences de gestion, Aix Marseille Université
  • Christophe PASCAL, Maître de conférences HDR en sciences de gestion, IFROSS, Université Jean Moulin Lyon 3
  • Jean-Jacques PLUCHART, Professeur émérite à l’Université de Paris I Panthéon-Sorbonne, Club Turgot
  • Christelle QUERO, Maître de Conférences, IAE Lille University School of Management, Lumen ULR 4999
  • Abdelkader RACHEDI, Maître de Conférences, Université de Saïda (Algérie)
  • Madina RIVAL, Professeur des Universités en sciences de gestion, Cnam
  • Arnaud RIVIERE, Professeur des Universités en sciences de gestion, Université de Tours
  • Corinne ROCHETTE, Professeur des Universités en sciences de gestion, IAE, Université de Clermont-Auvergne, Co-titulaire de la chaire de recherche “santé et territoires”
  • Fatima YATIM-DAUMAS, Maître de conférences en sciences de gestion, Cnam

Contact

Les propositions et questions sont à faire suivre à l’adresse : colloque@larsg.fr

Prix FAS de la recherche académique sur l’Actionnariat salarié doté d’un montant de 3000 euros

Prix FAS 2022 de la recherche académique sur l’Actionnariat salarié Le Conseil scientifique de la FAS (Fédération Française des Associations d’Actionnaires salariés et Anciens salariés) attribuera le 8 novembre 2022 le Prix FAS de la recherche académique sur l’Actionnariat salarié.

Doté d’un montant de 3000 euros en 2022, ce prix est destiné à récompenser annuellement des travaux de recherche académique approfondie (thèses de doctorat, ouvrages, articles de revues scientifiques, études de cas pédagogiques) sur les aspects juridiques (tous travaux juridiques relatifs à la France devront avoir pris en compte les réformes introduites par la « Loi PACTE » du 22 mai 2019), économiques, sociologiques et de gestion de l’actionnariat salarié dans les entreprises, publiés à partir de 2020. Cela inclut aussi des études d’impact sur les relations du travail et la gouvernance des entreprises. Seront également recevables des travaux réalisés notamment dans le cadre d’un contrat CIFRE. Les candidatures tant françaises qu’internationales seront bienvenues.

Les personnes intéressées sont invitées à faire parvenir une fiche décrivant sur une à deux pages l’objet de leurs travaux à Philippe BERNHEIM, Vice-président du Conseil scientifique de la FAS*, avant le 11 octobre 2022.

À l’issue d’une présélection, il sera demandé aux candidats retenus de fournir un exemplaire de leur ouvrage sous format pdf ainsi qu’un curriculum vitae mentionnant le cas échéant la démarche du chercheur ainsi que tous autres travaux publiés. Le Conseil scientifique de la FAS décidera de l’attribution du prix lors de sa réunion du 8 novembre 2022.

Philippe BERNHEIM
contact@fas.asso.fr
Mobile : 06 71 92 84 10

À propos de la FAS

La FAS (Fédération Française des Associations d’Actionnaires Salariés et Anciens Salariés) s’est fixée comme objectif, depuis près de 30 ans, la promotion de l’épargne salariale et de l’actionnariat salarié dans les entreprises françaises cotées ou non, de toutes tailles et de tous secteurs. La FAS représente les intérêts communs des 3,5 millions d’actionnaires salariés en France. Elle édite le Guide FAS de l’épargne et de l’actionnaire salarié et réalise chaque année le benchmark FAS des meilleures pratiques par les entreprises. Elle récompense les plus exemplaires à l’occasion du Grand Prix FAS de l’actionnariat salarié.

Contact / Site web / Guide FAS : contact@fas.asso.fr www.fas.asso.fr https://guide.fas.asso.fr/

Contacts presse : Agence Fargo – Zarema Kanieva – 06 16 83 29 16 – zkanieva@fargo.agency

CINQUANTENAIRE de l’INSTITUT CEDIMES

En 2012, nous avions célébré notre quarantième anniversaire durant une semaine entière en divers lieux et avec diverses institutions : CNRS, UNESCO, Université Paris-Sorbonne, Cité des Sciences, FACO. Le thème de notre colloque central portait sur la synthèse des travaux de quatre décennies de notre communauté académique qui avait débouché sur un ouvrage coordonné par le Professeur Agrégé Roger Tsafack-Nanfosso, aujourd’hui Recteur de l’Université de Dschang (Cameroun), présenté sous le titre de « Bilan d’une réflexion de quatre décennies et enjeux pour le futur ». La cérémonie de clôture à l’UNESCO s’était faite avec un orchestre algérien de Tlemcen sur une musique consensuelle arabo-judéo-andalouse et un spectacle de l’Opéra Kosmos célébrant la concorde. Le final s’était clos par l’annonce du prochain Colloque Fédérateur de l’Institut CEDIMES qui devait se tenir en 2013 à Kiev en Ukraine. Le Directeur du CEDIMES-Ukraine, le professeur Pierre Sapoun en annonçait la thématique : La sécurité alimentaire : ses dimensions économique, gestionnaire, géopolitique, environnementale et culturelle. Ce fut une des grandes rencontres du réseau CEDIMES avec ses 34 agences nationales. L’actualité redonne pertinence à l’intérêt porté par la question traitée. L’année suivante, en 2014, notre XXVe colloque fédérateur se tenait à Moscou avec pour thème « Modernisation et développement des systèmes économiques : problèmes, stratégies, changements structurels ».

Cinquantenaire de l’Institut CEDIMES

À l’occasion du cinquantenaire (1972-2022) de l’Institut CEDIMES, notre Réseau Académique International Francophone présente son nouvel appel à communications pour son Colloque anniversaire qui se tiendra fin 2022 à Paris, sous la présidence effective de M. l’ancien Premier Ministre Jean-Pierre Raffarin.

Changements de paradigmes d’un demi-siècle écoulé et prospectives vers 2050

En 1973, le premier choc pétrolier ébranle le monde et marque la fin des « trente glorieuses » que le plan Marshall des États-Unis avait engagé en 1947. La « dégradation des termes de l’échange », référence majeure d’après-guerre, fait naufrage en ces circonstances. Un entre-deux y succède, marqué par la stagnation et l’inflation. Puis en 1989, débute une période de convergences mondialisées au sein de laquelle le Marché et le Libre-échange apparaissent comme les viatiques consensuels du développement global. Initiés par le triumvirat de Margareth Thatcher, Ronald Reagan et Deng Xiaoping, ils convertissent le monde entier, en même temps que disparaît l’Union soviétique. En 1992, un monde nouveau émerge. La « mondialisation heureuse » combine emplois au Sud et pouvoir d’achat au Nord, en découpant et internationalisant la chaine de valeurs. En 2008, une période plus équivoque s’installe avec la crise des subprimes, issue pourtant d’une généreuse initiative de Bill Clinton. Les effets structurels causés par les délocalisations massives entraîne le chômage des uns et la perte des débouchés des autres, pour une « mondialisation calamiteuse (2007-2021) ». C’est alors que surgissent une pandémie qui met en panne l’économie et la guerre qui laisse la planète en état de sidération. Quelles nouvelles perspectives se dessinent pour les prochaines décennies après ces nouveaux chocs ?

Ces cinquante dernières années ont été traversées de vérités successives. Les générations d’étudiants ont reçu sur les bancs de leurs universités, des enseignements dominants successifs suggérant que les clefs du développement changeaient, mais que la prospérité était à portée dans des élans renouvelés. Tant de postulats ont fait naufrage. 2021 s’annonce comme l’année d’une nouvelle rupture, avec des changements considérables. La césure en est portée par le Covid-19, l’écologie et la guerre. Mais quels nouveaux paradigmes sont en gestation ? Quelle redistribution de la chaîne des valeurs engage-t-elle pour les entreprises ? Quelle résurgence impériale suggère-t-elle pour les territoires ? Quel renversement des croyances pacificatrices des imbrications commerciales porte-t-elle ? Quelle substitution de la fin de l’Histoire du couple « démocratie-marché » propose-t-elle ? Quelles caractéristiques d’une émergence chinoise pour un nouveau leadership en Asie, seraient attachées à cette revanche aux prémices avortées, voici six cents ans ? … Il nous faut esquisser les possibles dans cet horizon pour la charnière du siècle dans lequel nous sommes engagés. 2050, quelles réponses auront nous donné au surarmement, à la surpopulation, à la surexploitation planétaire ? Quelles solutions notre génie inventif proposera-t-il par la science et la technologie ? Un monde hyperconnecté et un homme « augmenté » sont-ils notre futur ?

Cinquante ans nous donnent un surplomb sur une période riche en interprétations économiques, en enjeux sociaux et en perspectives historiques. Les cimetières sont gorgés de paradigmes moribonds. Comment faire l’analyse et le bilan de cette période ? Comment en esquisser de nouvelles perspectives pour les trois prochaines décennies ? Voici un passionnant débat que nous vous proposons d’engager pour esquisser quelques pistes pertinentes. La richesse de notre réseau international qui cherche à croiser nos multiples identités, peut-elle éclairer quelques jalons de notre destin ?

Les préinscriptions sont à effectuer avant le 15 juin 2022 en donnant le titre de la communication et 5 à 10 lignes pour en exposer le contenu. Cela peut intervenir dès à présent en adressant votre projet par courriel à cedimes@outlook.fr. Un bulletin d’inscription précisant la date définitive (placée dans la première quinzaine de décembre 2022) vous parviendra dans les prochaines semaines. Des conditions préférentielles seront proposées aux membres du CEDIMES à jour de leur cotisation. Les communications se feront en présentiel et en forum à distance. Les communications finalisées devront être adressées avant le 15 septembre par courriel à cedimes@outlook.fr. Les articles retenus par le Conseil Scientifique feront l’objet d’un numéro Spécial Anniversaire de nos « Cahiers du CEDIMES, Enjeux Sociaux et Stratégies Économiques » fondés en 2007. Elles devront être présentées sous la forme indiquée dans « Règles de présentation des articles », document disponible sur notre site internet www.cedimes.com à la rubrique « Publications – Cahiers ». Des communications en anglais pourront être acceptées.

2nd International Symposium for Finance, Banking and Insurance, ISFBI’22, France, December 2022

Covid-19 pandemic crisis has becoming a major worldwide economic crisis. Researchers and practitioners are now questioning the new world overwhelming their fields of research and industry practices. With a historical low rates levels in the western economies, an exponential unemployment, a negative price for oil barrel and a growing number of companies defaults in key industries, finance -as a disciplinary field- is pushed at its further burdens. Transformation of the whole banking and insurance industry is getting accelerated by the double effect of this unexpected crisis and the growing competition of FinTechs and BigTechs. Central Banks are also in a crossroad: is there a space to classical monetary policy when even money creation is challenged by cryptocurrencies?

http://www.isfbi.org

2nd ISFBI-International Symposium for Finance, Banking and Insurance is also an opportunity to open doors to new challenging fields insufficiently covered by top financial journals and conferences like technological innovations and smart applications in financial Economics, various alternative business models in finance, Digitalization, and the increasing co-influence between finance, accounting and risk management. The last ambition behind ISFBI is to fill the gap between finance -as a core discipline- and other related expertise especially banking and insurance. These two last fields developed their own ecosystem of competencies and know-how and are not sufficiently integrated in the core finance journals and conferences.

ISFBI 2nd edition, is committed to be a core finance interdisciplinary event, open to academia and practitioners as well, to deal with the unprecedented challenges of our times.

Conference Scope

ISFBI is expecting to host high level contributions from academia and from industry as well on these core subjects:

  • Financial Markets
  • Corporate finance
  • Technological innovations, IT and Smart applications
  • Risk management, especially dedicated techniques for banking and insurance
  • Governance of financial institutions in time of crisis
  • Impact of accounting evolving norms and rules on financial management
  • New modelling and forecasting tools for finance, banking and insurance
  • FinTech and BigTech existing and prospective impacts on financial markets, banking and insurance industry
  • Cryptocurrencies and central banking digital currencies impacts on markets and on monetary policy

A separate PhD Workshop is proposed by Conference Chairs. The first page must mention Special Workshop. The objective is to help students to write scientific papers from their PhD chapters.

Publications Opportunities

Articles will be in special issues:

1. Annals of Operations Research, https://www.editorialmanager.com/anor/

2. La Revue des Sciences de Gestion, see guidelines www.LaRSG.fr

3. Journal of Risk and Financial Management, website is: https://www.mdpi.com/journal/jrfm/special_issues/Risk_Management_and_Pricing_Assets_within_Market_Imperfections

Keynote & Honorary Guest Speakers

  • Pr. Giovanni Barone-Adesi, University of Lugano & Swiss Finance Institute, Switzerland
  • Pr. Oldrich Alfons Vasicek, University of Rochester, the UC Berkeley, USA
  • Pr. Ephraim Clark, Middlesex University, UK
  • Pr. M. Rocha Armada, Former Chairman of EFMA, University of Minho, Portugal
  • Pr. Aman Agarwal, Indian Institute of Finance & Finance India, INDIA
  • Pr. Farid Aitsahlia, University of Florida, USA
  • Dr. Achraf Ayadi, Banking Expert (private sector), FRANCE

Honorary Committee

Pr. Gordon Alexander (University of Minnesota, USA)Pr. Bora Aktan (University of Bahrain, Bahrain)
Pr. Ephraim Clark (Middlesex University, UK)Pr. K.C. Chen (California State University, USA)
Pr. Georges Constantinides (University of Chicago, USA)Pr. Dilip Gosh (Rutgers University, USA)

Conference Chairs

Pr. Mondher Bellalah & Pr. Jean-Luc Prigent (CY Cergy Paris University), Pr. Ilyes Abid (ISC Paris)

Scientific Committee

G. Barone-Adesi ; E. Briys ; Giovanni Barone ; Y. Simon ; S. Tahi ; H. Bouakkez ; B. Jacquillat ; J. L. Prigent ; S. Ben Aïssa ; G. Constantinides ; J. L. Prigent ; F. Quittard-Pinon

  • Submission Guidelines, Reviewing Process & Best Three Papers Awards

Authors are invited to submit in word or pdf files on the conference website (coming soon) and by e-mail to Conference Chair: mondher.bellalah@gmail.com.

All submitted articles will be reviewed. The best three papers will be awarded at the conference. The conference chair and the scientific committee will decide the best three papers presented during the conference. The maximum number of papers accepted by each author as leading author is only one.

Important Dates: Deadline for paper submission: September  30th, 2022 Acceptance / Rejection: October 15, 2022 Definitive camera-ready version & Registration of Authors: December 2, 2022

SUP’DE COM Paris lance un nouveau bachelor communication et engagement citoyen

L’école de communication SUP’DE COM proposera en septembre 2022 un Bachelor Communication et Engagement Citoyen sur son campus de Paris. Alors que l’éthique, le développement durable et les actions solidaires et citoyennes sont plus que jamais au cœur des stratégies des associations, ONG et autres structures engagées, SUP’DE COM lance une formation dédiée. Ce Bachelor répond à la fois aux aspirations des jeunes qui ont à cœur de s’impliquer dans le secteur associatif et de donner du sens à leurs actions notamment dans leur vie professionnelle, mais aussi aux attentes des recruteurs qui souhaitent s’engager et impliquer leur entreprise en termes de responsabilité sociale et environnementale.

Une formation qui répond aux aspirations des jeunes

Selon une étude publique de 2018 de l’INJEP, 36% des 18-29 ans déclaraient adhérer à une association et 57% des jeunes français de 15-30 ans affirmaient avoir participé durant l’année écoulée de manière ponctuelle ou régulière aux activités d’une association. Des chiffres qui montrent que les jeunes ont de plus en plus cette volonté de s’engager dans le secteur associatif et d’y consacrer leur vie professionnelle puisque 70% des 18-29 ans aimeraient travailler dans l’économie sociale et solidaire selon l’étude « Talents : ce qu’ils attendent de leur emploi ».  Un constat partagé par SUP’DE COM :

 « C’est un fait, la génération Z est une génération ultra engagée. SUP’DE COM a pour ambition de répondre aux aspirations des jeunes et de coller au plus près des attentes des recruteurs en cohérence avec les valeurs qu’elle porte depuis sa création : engagement, diversité, audace et innovation » affirme Emmanuel Roullier, Directrice du campus SUP’DE COM de Paris.

Cette ouverture de Bachelor répond alors à ces nouvelles aspirations et ambitions des jeunes générations, alors qu’aucune formation similaire n’existe aujourd’hui sur le territoire francilien. Pour construire et organiser ce Bachelor, les étudiants de Paris ont été mobilisés et consultés afin de réfléchir sur la notion d’engagement et statuer sur le nom du programme.

« Les communicants évoluent dans un secteur d’activité en pleine mutation. Il est du ressort de SUP’DE COM d’accompagner au mieux les apprenants en proposant de nouveaux modèles pédagogiques. C’est dans l’ADN de SUP’DE COM. Aujourd’hui nous sommes sensibles à cet équilibre : stratégie, nouveaux outils, nouveaux modèles et nouveaux métiers ». affirme Eda Dogan, Directrice de la marque SUP’DE COM.

Approfondir les connaissances des étudiants en communication engagée et responsable

En plus des 3 Bachelor Responsable de Communication : Communication & Création, Communication & Digital, Communication & Événementiel, dispensés sur les 9 campus SUP’DE COM, le Bachelor Communication et Engagement Citoyen s’articule autour de 180 heures d’enseignements dédiés (sur les 3 années). Ce Bachelor a vocation de permettre aux apprenants d’approfondir leurs connaissances en communication engagée et responsable. Ces enseignements spécifiques viendront en complément de ceux dispensés dans le cadre du Bachelor Responsable de communication avec des thématiques comme : le marketing social et solidaire, le management de projet, la psychosociologie de l’engagement citoyen ou même la communication des organisations engagées. Ce Bachelor vise à former les futurs responsables de communication opérationnelle et à les accompagner dans la conception et le déploiement de stratégies de communication responsables, impactantes et engagées. À la suite du Bachelor, il est possible d’intégrer le Mastère Manager de la communication de SUP’DE COM en choisissant par exemple la spécialité Communication Responsable et RSE parmi les 12 disponibles sur l’ensemble du cycle afin de continuer d’évoluer vers la thématique engagement et responsabilité. Une formation qui permet d’accéder à des professions comme chef de mission communication, chef de projet, responsable des partenariats, responsable du mécénats ou chargé de relations publics.

Un nouveau Bachelor répondant aux besoins des recruteurs et aux spécificités territoriales

SUP’DE COM continue à développer la stratégie de la marque sur l’ensemble de son réseau d’établissements et à répondre aux besoins des recruteurs et des professionnels de la communication avec la mise en place de plusieurs leviers comme le Comité d’experts qui réunit des communicants de tous horizons, ou le Baromètre des Métiers qui interroge les entreprises sur leurs besoins en termes de recrutements, mais également sur les tendances du marché. Deux consultations qui permettent d’identifier les compétences et savoir-être plébiscités par les recruteurs et d’optimiser les enseignements dispensés pour coller au plus près à leurs attentes. Avec l’ouverture de ce Bachelor, l’école de communication poursuit sa volonté de proposer de nouvelles formations sur l’ensemble du territoire et de répondre à la fois aux demandes des apprenants et aux spécificités territoriales. Pour cette formation, le choix du campus de Paris fait sens dans la mesure où la ville accueille les sièges de structures d’envergure dans le secteur de l’engagement tels que l’Unesco ou Handicap International. Ce nouveau Bachelor va alors permettre aux futures promotions d’apprendre et d’évoluer dans un espace géographique propice à différentes opportunités.

Mondialisation, développement et vulnérabilités des espaces maritimes et côtiers

Les XXXVIIes Journées du développement de l’Association Tiers-Monde se tiendront à Brest les 23, 24 et 25 et mai 2022, en partenariat avec l’Université de Bretagne Occidentale et l’unité mixte de recherche AMURE (Centre de droit et d’économie de la mer), sur le thème : Mondialisation, développement et vulnérabilités des espaces maritimes et côtiers.

Lieu de brassage, d’ouverture et d’interaction entre la terre et la mer, le littoral fait l’objet d’une forte convoitise et d’une pression sans précédent. Plus de 60 % de la population mondiale (soit 3,8 milliards d’habitants) vit aujourd’hui à moins de 60 Km des côtes, et 80 % à moins de 100 Km. Ce chiffre atteindra 75% (soit 6,4 milliards d’habitants) à l’horizon de 2025 (d’après les estimations de l’UNESCO ; 2012) . Ces zones sont victimes de leurs succès et de leur attractivité. Elles constituent des portes d’ouverture au commerce international, aux flux de marchandises et offrent souvent des attributs économiques et environnementaux non-négligeables. Néanmoins, cette attractivité n’est pas sans conséquences sur ces zones qui sont particulièrement vulnérables. L’urbanisation, le tourisme de masse, l’industrie, l’agriculture, les activités maritimes, la pression sur les ressources, transport, pollution terrestre et maritime, l’artificialisation, la disparition et la surexploitation des espèces est une liste non-exhaustive des conséquences sociales et économiques de la forte convoitise du littoral.

Le milieu marin est tout aussi impacté par la pression des activités anthropiques. Les pays en développement subissent une surexploitation des ressources marines au même titre que les pays développés (ONU, 2017). La part des stocks de poissons considérés comme biologiquement pérennes est passée de 90% en 1974 à 69% en 2013 (FAO). Les pertes économiques occasionnées par la surpêche, la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN) sont estimées à 80 milliards de dollars par la FAO. Les pressions anthropiques impactent aussi la biodiversité marine par les phénomènes de pollution et de destruction des habitats naturels. Ceci nécessite la mise en œuvre de politiques de conservation du milieu marin qui soient intelligemment articulées avec les politiques de développement.

Ces conséquences mettent en évidence les limites des modèles de développement actuels. Tous les pays connaissent par-ailleurs de graves mutations à cause du changement climatique qui intensifient les phénomènes d’érosion côtière, des tempêtes, des sécheresses, des inondations et des cyclones (Peduzzi, 2019). Ce qui est à l’origine de perte de moyens de subsistance pour les communautés aggravent les phénomènes migratoires (Réfugiés climatiques, …). L’ensemble de ces pressions anthropiques et climatique sur des territoires déjà fragiles menacent leur durabilité. Face à cette situation, des réflexions et des mesures adaptatives, comme préventives, sont nécessaires pour penser des modèles de développement soutenables et en meilleure adéquation avec les ODD. Il est nécessaire d’anticiper ces évolutions (irréversibles parfois) et leurs impacts aussi bien positifs que négatifs sur le bien-être des populations et l’état de l’environnement. Les pays africains ont commencé à mettre en place des politiques pour promouvoir une croissance bleue durable (Conférence ministérielle africaine sur l’environnement, CMAE/17/6 2019. « L’économie bleue en Afrique : Guide pratique »).

L’enjeu de ce colloque est de mener une réflexion sur les modes de développement des zones côtières et maritimes dans les pays en développement. L’intérêt est d’apporter et d’adapter des approches croisées entre les deux entités, terre et mer, qui doivent être vues comme un continuum indissociable et non comme des entités distinctes, en tenant compte des spécificités et des besoins institutionnels et culturels de chaque pays.

  • 1. Sur les 10 plus grandes agglomérations mondiales, 8 se situent sur le littoral (New York, São Paulo, Los Angeles, Le Caire, Tokyo, Djakarta, Bombay et Séoul).
  • 2. Selon l’Agence européenne de l’environnement, cette croissance d’aménagement des zones côtières atteint des proportions parfois inquiétantes. A titre d’exemple, en 5 ans, les villes côtières du Portugal ont connu une croissance de 34% sur l’espace littoral et 18% en Espagne.
  • 3. D’après la loi littoral française de 1986 : « La préservation de l’environnement et du patrimoine, qui font souvent de ces territoires littoraux des territoires d’exception et uniques, et la prise en compte des risques concernant les changements climatiques constituent une priorité. La protection, la gestion et la mise en valeur de ces espaces doivent contribuer à sauvegarder ces atouts, seuls gages d’une attractivité durable sur le long terme de notre littoral, mais aussi de son identité forgée au fil d’une histoire souvent très riche. »

Les propositions de communications et de posters pourront relever de champs disciplinaires variés : aménagement et urbanisme, économie, gestion, droit, sociologie et sciences politiques, démographie, histoire, sciences de l’environnement, santé… Elles préciseront, en 1000 mots maximum, la problématique, la méthodologie et le cadre d’analyse, les résultats attendus, et les principaux éléments bibliographiques. Elles pourront porter sur des aspects théoriques, empiriques, ou méthodologiques, qui traitent de l’impact des activités anthropiques sur les espaces terrestres et marins. Les propositions pourront être rédigées en français ou en anglais. Les propositions devront respecter ces consignes de présentation pour être examinées.

AXE A – ACTIVITÉS MARITIMES ET DÉVELOPPEMENT

  • 1. Les activités maritimes comme facteurs de développement : analyse rétrospective et prospective, état des lieux et indicateurs de performance
  • 2. Attractivité du littoral : développement et perspectives
  • 3. Modes de valorisation des espaces, des ressources et de la biodiversité
  • 4. Conditions d’émergence des pôles d’attractivité et dynamique économique
  • 5. Attractivité des zones côtières et émergence de pôles/mégapoles
  • 6. Secteur formel/informel, économie sociale et solidaire, commerce équitable, économie circulaire
  • 7. Aménagement des zones côtières et choix de développement
  • 8. Littoralisation des espaces, modèles, menaces, droit, géographie, aménagement des territoires «littoraux»

AXE B – ACTIVITÉS MARITIMES, RESSOURCES ET ENVIRONNEMENT

  • 1. Gestion et régulation des pêcheries (quotas, stocks…)
  • 2. Pêches versus aquaculture, défis et perspectives
  • 3. Pêche industrielle/artisanale, état des lieux, emploi, exploitation et conflits
  • 4. Port, transport maritime, pollution (gestion portuaire, aménagement du territoire, innovation et transition énergétique…)
  • 5. Enjeux de la coopération internationale/sous-régionale
  • 6. Pollution des milieux aquatiques (Chimique, plastique, marée noire, microbiologique…)
  • 7. Vulnérabilité et résilience des écosystèmes et de la biodiversité
  • 8. La COVID et les activités maritimes

AXE C – MONDIALISATION

  • 1. Organisation mondiale du commerce, coopération internationale et mutations
  • 2. Droit maritime, géopolitique, régulation internationale et souveraineté
  • 3. Commerce international, activités portuaires et transport maritime
  • 4. Commerce sud-sud et nouvelles routes de la soie
  • 5. Transport de marchandises et tourisme : évolution, mutation, adaptations futures
  • 6. Investissements directs étrangers (IDE) et zones franches
  • 7. Systèmes d’observation du climat, des océans, des usages, des risques…

AXE D – MUTATION DES ACTIVITÉS ET PRESSIONS SUR LES RESSOURCES ET LES ESPACES

  • 1. Pression démographiques et anthropiques, mesures et perspectives
  • 2. Pression sur les ressources naturelles et conflits d’usage
  • 3. Ressources en eaux : demande/offre, gouvernance, gestion quantitative et qualitative, usages et conflits d’usage, tarification, pollution, assainissement, gestion intégrée, bassin versant et coopération régionale/sous-régionale…
  • 4. Gestion des déchets, conséquences sur les mieux terrestres et marins
  • 5. Impacts et enjeux en termes de santé et emploi
  • 6. Besoins en services et investissements publics (santé, transports, communication, numérique…)
  • 7. Pressions et spéculations foncières
  • 8. Tourisme, écotourisme et impact économique, environnemental et spatio-temporel
  • 9. La COVID et pressions sur les ressources

AXE E – CHANGEMENTS CLIMATIQUES

  • 1. Risques liés au changement climatique (événements extrêmes, élévation du niveau de la mer, érosion, sècheresse, inondations…)
  • 2. Changements climatiques, enjeux d’adaptation et d’atténuation
  • 3. Responsabilité des pays et émergence de nouveaux modèles de gestion
  • 4. Vulnérabilité et résiliences face au changement climatique
  • 5. Développement durable, transition écologique et justice climatique
  • 6. Changement climatique, pollution, sécurité alimentaire et défis sanitaires

AXE F – GOUVERNANCE ET GESTION INTÉGRÉE (GI)

  • 1. Conflits, gouvernance, planification des espaces terrestres et marins, rôle des États, des collectivités et des communautés
  • 2. Gestion intégrée des bassins versants, de la mer et du littoral, des zones côtières : expériences, outils et résultats
  • 3. Coopération nationale/internationale, régionale/sous-régionale
  • 4. Enjeux et évolution du droit de la mer (Conventions internationales, ZEE, Haute mer…)
  • 5. Financement publics des politiques de gestion (États, ONG, aide au développement…)
  • 6. Micro-finance, méso-finance et finance bleue
  • 7. Évaluation des dispositifs de gestion intégrée (approches participatives, régulation vs. Incitation économiques…)

AXE G – ÉVALUATION DES SERVICES ÉCO-SYSTÉMIQUES

  • 1. Évaluation/valorisation des services éco-systémiques et du capital naturel (comptabilité verte…)
  • 2. Enjeux institutionnels et politiques dans la gestion des ressources dans les PED, session des droits d’accès aux étrangers, spécificités institutionnelles et juridiques
  • 3. Valorisation des aménités littorales, effets direct/indirects/induits, marchand et non marchand
  • 4. Évaluation de la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN)
  • 5. La « croissance bleue » comme vecteur de développement économique
  • 6. Approche éco-systémique de la gestion des pêches et de l’environnement

AXE H – TRANSITION ÉNERGÉTIQUE

  • 1. Littoral comme source d’énergie : expériences, développement et nouvelles technologies
  • 2. Énergies renouvelables versus non renouvelables : perception, acceptabilité sociale et conflits
  • 3. Impact des énergies renouvelables sur l’attractivité du littoral et des territoires
  • 4. Politiques publiques et énergies renouvelables
  • 5. Coopération internationale, transfert technologique et rôle des ONG
  • 6. Financement de la transition énergétique et dispositifs publics

AXE I – SESSION DOCTORANTS & POSTERS

Cette session permet aux doctorants dont les travaux ne s’inscrivent pas dans les sessions précédentes de présenter une communication orale ou sous format d’un poster.

Date limite d’envoi des propositions de communication : 14 janvier 2022
Date de décision du comité scientifique : 12 février 2022
Date limite d’inscription et d’envoi des communications retenue : 1 avril 2022

Contact :
Jean BROT
6 Les Saules
54230 CHAVIGNY France
Jean-Brot@orange.fr 33 (0)3 83 47 14 04

https://atm2022brest.sciencesconf.org/

Le réseau national des collèges doctoraux formule douze constats et recommandations

Le réseau national des collèges doctoraux (RNCD) a publié début janvier 2022, une enquête qu’il a menée dans les écoles doctorales françaises, auprès des 70400 doctorantes et des doctorants inscrits en doctorat en 2021 et de leurs encadrantes et encadrants. Le fruit de ce travail permet de retenir douze principaux faits marquants et recommandations pour améliorer les pratiques, les conditions et l’offre de formation doctorale.

Trois faits marquants pour le réseau national des collèges doctoraux : contribution centrale pour la recherche, haut niveau de satisfaction et travail en équipe

1. Les réponses à l’enquête montrent que la contribution des doctorants est centrale pour la recherche française et qu’elle est reconnue comme telle par leurs encadrants. 72% des 5831 encadrants qui ont répondu à l’enquête, tous domaines confondus et jusqu’à 85% dans le domaine des sciences et technologies, estiment qu’entre la moitié et jusqu’à la totalité des productions scientifiques, dont ils ont été co-auteurs dans les cinq dernières années, sont associées à un projet doctoral.

2. Un autre fait marquant de cette enquête est le haut niveau de satisfaction exprimé par les 11545 doctorants  qui ont répondu, anonymement, à l’enquête. 68% des doctorants estiment que leur expérience correspond à leurs attentes et à leur vision du doctorat (21% se déclarent très satisfaits, 47% satisfaits, 22% neutres, 8% insatisfaits et 3% très insatisfaits). 78% des doctorants, tous domaines confondus, sont très satisfaits (48%) ou satisfaits (30%) de leur encadrement doctoral, les autres étant neutres (11%), insatisfaits (7%) ou très insatisfaits (4%) ;

3. Un troisième fait marquant de cette enquête est l’importance du travail en équipe. La pratique du co-encadrement concerne plus de 70% des doctorants dans leurs 3 premières années et est apprécié des doctorants, pourvu que les membres de l’équipe s’entendent et se coordonnent bien. Réciproquement, 85% des doctorants dont le directeur de thèse dirige de 1 à 5 doctorants estiment qu’être plusieurs est un avantage, en permettant de former une équipe et de s’entraider. Au-delà de 5 doctorants, 39% estiment que c’est un inconvénient du fait d’un manque de disponibilité de leur directeur de thèse. Le nombre médian de doctorants par directeur de thèse est de 2, 12% des doctorants ont un directeur de thèse qui dirige plus de 5 doctorants et 21% sont seuls. 2

Mais aussi des constats et des recommandations pour améliorer le cadre de la formation doctorale et la qualité de l’encadrement doctoral

4. Entre 5% et 15% des doctorants cumulent plusieurs difficultés ou motifs d’insatisfaction. Leurs réponses montrent qu’une partie de ces doctorants ne bénéficient pas d’un encadrement adapté. Cette enquête sera utilisée pour alimenter des retours du terrain les formations à l’encadrement doctoral destinées aux futurs encadrants et pour adapter les critères pour être autorisé à diriger des doctorants. L’enquête permet aussi d’identifier des facteurs de difficultés ou d’insatisfaction plus structurels. Un de ces facteurs est le financement de la thèse. 79% des doctorants qui ont répondu à l’enquête déclarent bénéficier d’une rémunération pour préparer leur doctorat (+4 points par rapport à la population générale des doctorants). Mais seulement 56% estiment que cette rémunération est suffisante. 28% des doctorants déclarent être parfois en situation difficile et 8% régulièrement. Ces difficultés peuvent se cumuler avec un manque de moyens pour la réalisation de leurs travaux de recherche ou pour rédiger leurs thèses.

5. Les doctorants sont très majoritairement satisfaits ou très satisfaits de l’action de leurs directeurs de thèse sur les différentes composantes de l’encadrement doctoral et leurs visions des rôles et responsabilités des directeurs de thèses convergent avec celles des encadrants, hormis sur l’accompagnement à apporter aux doctorants pour leur intégration dans une communauté scientifique dont les encadrants sous estiment l’importance pour les doctorants.

6. Les comités de suivi sont importants à ce titre. Parmi les doctorants qui en ont déjà eu l’expérience, 49% se déclarent très satisfaits et 33% satisfaits. 4% sont insatisfaits et seulement 2% très insatisfaits. 47% des doctorants ont eu un droit de regard sur la composition de leur comité de suivi et ceux-là sont plus satisfaits de leurs comités de suivi que les autres. Cependant certaines améliorations devraient être apportées, en premier lieu, 5% des doctorants en 3ème année n’ont jamais eu de comité de suivi, alors qu’il est obligatoire de les organiser au moins pour l’inscription en 3ème année. De plus, doctorants et encadrants s’accordent pour dire que le comité devrait apporter un regard extérieur et indépendant, qu’il serait utile de réunir le comité de suivi dès la première année, voire annuellement et de fournir un vademecum aux membres du comité, pour que celui-ci réponde pleinement aux attentes des doctorants.

Améliorer l’attractivité internationale

7. Parmi les doctorants, 33% sont internationaux, ils sont originaires ou ont grandi dans un autre pays que la France. 31% des doctorants internationaux souhaitent, à terme, s’installer dans leur pays d’origine, 23% dans un autre pays que la France ou leur pays de nationalité et 45% en France. Ces derniers arrivent plus tôt en France, en Master ou même en 1er cycle. C’est un élément important à prendre en compte pour la communication auprès des étudiants internationaux et pour l’attractivité internationale du doctorat en France. Leur choix de mobilité vers la France apparaît en effet intégrer une réflexion sur l’attractivité de la France à beaucoup plus long terme.

8. 27% des doctorants déclarent ne pas avoir le choix de la langue de rédaction de leur thèse. Il serait donc utile d’affirmer une position nationale en faveur du sur mesure et de le faire savoir auprès des étudiants internationaux de pays non francophones, qui semblent privilégier les domaines de recherche dans lesquels ils pourront rédiger leurs thèses en anglais.

Améliorer la reconnaissance du doctorat et sa valorisation

9. Les doctorants et les encadrants sont globalement favorables à la systématisation des auditions pour les admissions en doctorat, dans un cadre officiel et bien défini pour tous. Ils y voient, d’abord, un facteur de reconnaissance du doctorat, affirmant son caractère sélectif et, ensuite, un facteur déterminant dans la relation entre les doctorants et leurs encadrants, en plaçant, dès l’admission, les doctorants, à travers la défense de leur projet, en position centrale et de responsabilité. 72% des doctorants qui ont passé une audition de l’école doctorale pour leur admission en doctorat s’en déclarent satisfaits ou très satisfaits.

10. La valorisation du doctorat passe aussi par la visibilité des thèses, or celles-ci ne sont pas toutes déposées (il en manque 5%) et une part significative n’est pas diffusée en ligne (il en manque 30%). Faire figurer l’URL pérenne de la thèse sur le diplôme de doctorat (par exemple sous forme de QRCode) permettrait de valoriser la thèse, de garantir que toutes les thèses soient déposées et de sécuriser les diplômes de doctorat vis-à-vis de possibles falsifications. Plus généralement les actions en faveur de la science ouverte devraient intégrer l’accès aux thèses de doctorat.

11. Pour mettre en avant la dimension de travail en équipe du doctorat, il serait également utile de reconnaître le rôle de chacun dans l’équipe d’encadrement, en les faisant figurer, non pas dans le Jury, mais au titre de leur participation à la direction scientifique des travaux, sur le diplôme, la couverture de thèse et le portail national des thèses www.theses.fr. Des informations à ce sujet pourraient également être demandées aux écoles doctorales et intégrées au bilan annuel de l’état de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation en France.

Réduire l’inquiétude des doctorants vis-à-vis de leur avenir professionnel – la piste d’un portail de l’emploi des docteurs

12. Les doctorants sont inquiets vis-à-vis de leur avenir professionnel, dans des proportions importantes (plus d’un tiers) voire alarmantes, et leur inquiétude augmente avec la durée de la thèse (significativement au-delà de 4 ans). Pourtant, les enquêtes sur le devenir professionnel des docteurs montrent plutôt une embellie sur ce plan, même si l’emploi académique est limité. Les doctorants qui déclarent disposer d’informations sur les débouchés, jugent ces informations utiles et adaptées et sont moins inquiets que les autres. Il serait donc opportun de mettre à disposition un portail de l’emploi des docteurs permettant de consolider, au niveau national, les réponses aux enquêtes des établissements sur l’emploi des docteurs et d’explorer les données de manière interactive.

IÉSEG lance un nouvel Executive Mastère Spécialisé : Direction Transformation et Développement Humain

IÉSEG lance un nouvel Executive Mastère Spécialisé® Direction Transformation et Développement Humain, dont la première rentrée aura lieu en octobre 2022. En effet, dans un monde toujours plus volatile, incertain, complexe et ambigu, les leaders et managers doivent développer de nouvelles compétences humaines et une posture agile pour piloter le changement permanent et produire de la performance durable pour leur entreprise.

Bernard COULATY pilotera cet Executive Mastère Spécialisé® Direction Transformation et Développement Humain

Piloté par Bernard COULATY, ancien DRH de grands groupes internationaux du CAC 40 et professeur de Leadership et Ressources Humaines à l’IÉSEG, l’Executive Mastère Spécialisé® Direction Transformation et Développement Humain est particulièrement adapté aux experts RH investis dans le développement des talents et la conduite du changement en entreprise, qui souhaitent développer leur vision stratégique et leur leadership, comme à tous les leaders opérationnels et futurs dirigeants devant mettre en œuvre demain des transformations intégrant le développement humain dans leur organisation.

Ce programme innovant vise quatre objectifs pédagogiques : acquérir une vision stratégique des ressources humaines à travers une approche holistique des enjeux organisationnels et humains de l’entreprise ; intégrer les dimensions individuelles, managériales et organisationnelles d’une transformation réussie et durable ; acquérir les outils et méthodes de transformation et de développement humain en activant les leviers du changement (acteurs, valeurs et systèmes) et développer son leadership pour se positionner en animateur du changement et en partenaire stratégique dans le domaine des ressources humaines du futur.