Archives de catégorie : Bourses

Prix FAS de la recherche académique sur l’Actionnariat salarié doté d’un montant de 3000 euros

Prix FAS 2022 de la recherche académique sur l’Actionnariat salarié Le Conseil scientifique de la FAS (Fédération Française des Associations d’Actionnaires salariés et Anciens salariés) attribuera le 8 novembre 2022 le Prix FAS de la recherche académique sur l’Actionnariat salarié.

Doté d’un montant de 3000 euros en 2022, ce prix est destiné à récompenser annuellement des travaux de recherche académique approfondie (thèses de doctorat, ouvrages, articles de revues scientifiques, études de cas pédagogiques) sur les aspects juridiques (tous travaux juridiques relatifs à la France devront avoir pris en compte les réformes introduites par la « Loi PACTE » du 22 mai 2019), économiques, sociologiques et de gestion de l’actionnariat salarié dans les entreprises, publiés à partir de 2020. Cela inclut aussi des études d’impact sur les relations du travail et la gouvernance des entreprises. Seront également recevables des travaux réalisés notamment dans le cadre d’un contrat CIFRE. Les candidatures tant françaises qu’internationales seront bienvenues.

Les personnes intéressées sont invitées à faire parvenir une fiche décrivant sur une à deux pages l’objet de leurs travaux à Philippe BERNHEIM, Vice-président du Conseil scientifique de la FAS*, avant le 11 octobre 2022.

À l’issue d’une présélection, il sera demandé aux candidats retenus de fournir un exemplaire de leur ouvrage sous format pdf ainsi qu’un curriculum vitae mentionnant le cas échéant la démarche du chercheur ainsi que tous autres travaux publiés. Le Conseil scientifique de la FAS décidera de l’attribution du prix lors de sa réunion du 8 novembre 2022.

Philippe BERNHEIM
contact@fas.asso.fr
Mobile : 06 71 92 84 10

À propos de la FAS

La FAS (Fédération Française des Associations d’Actionnaires Salariés et Anciens Salariés) s’est fixée comme objectif, depuis près de 30 ans, la promotion de l’épargne salariale et de l’actionnariat salarié dans les entreprises françaises cotées ou non, de toutes tailles et de tous secteurs. La FAS représente les intérêts communs des 3,5 millions d’actionnaires salariés en France. Elle édite le Guide FAS de l’épargne et de l’actionnaire salarié et réalise chaque année le benchmark FAS des meilleures pratiques par les entreprises. Elle récompense les plus exemplaires à l’occasion du Grand Prix FAS de l’actionnariat salarié.

Contact / Site web / Guide FAS : contact@fas.asso.fr www.fas.asso.fr https://guide.fas.asso.fr/

Contacts presse : Agence Fargo – Zarema Kanieva – 06 16 83 29 16 – zkanieva@fargo.agency

Aux chercheurs en ESS et sujets connexes

Aux chercheurs en ESS et sujets connexes : « The Independant Social Research Foundation (ISRF) seeks to fund innovative research which breaks with existing explanatory frameworks so as to address afresh empirical problems with no currently adequate theory or investigative methodology.
Innovation may also come from controversial theoretical approaches motivated by critical challenge of incumbent theories. Interdisciplinarity in the generation of new investigative initiatives may be achieved by combining and transforming empirical methods and theoretical insights from the social sciences. Projects ranging across the breadth of the social scientific disciplines and interdisciplinary research fields are welcome, and relevant applications from scholars working within the humanities and the natural sciences are also encouraged.”

Independant Social Research Foundation ISRF
Independant Social Research Foundation ISRF


Voici les liens pour les différents types de financement :

https://www.isrf.org/funding-opportunities/grant-competitions/early-career-fellowships/

https://www.isrf.org/funding-opportunities/grant-competitions/political-economy-fellowships/

https://www.isrf.org/funding-opportunities/grant-competitions/small-group-projects/

https://www.isrf.org/funding-opportunities/grant-competitions/independent-scholar-fellowships/

https://www.isrf.org/funding-opportunities/essay-competitions/2022-essay-prize-in-economics/  (climate change : RIODD ; critical mangement study; interdisciplinary)

Les post-doctorant.e.s et collègues français.e.s étant très sous-représenté.e.s dans les candidatures, la Fondation souhaiterait remédier à cette situation. 

Prix FAS 2021 de la recherche académique sur l’Actionnariat salarié

Le Conseil scientifique de la FAS (Fédération Française des Associations d’Actionnaires salariés et Anciens salariés) attribuera le 9 novembre 2021 le Prix FAS de la recherche académique sur l’Actionnariat salarié.

Prix FAS 2021 de la recherche académique sur l’Actionnariat salarié.

Le Prix FAS de la recherche académique sur l’Actionnariat salarié

Doté d’un montant de 3000 euros en 2021, ce prix est destiné à récompenser annuellement des travaux de recherche académique approfondie (thèses de doctorat, ouvrages, articles de revues scientifiques, études de cas pédagogiques) sur les aspects juridiques (tous travaux juridiques relatifs à la France devront avoir pris en compte les réformes introduites par la « Loi PACTE » du 22 mai 2019), économiques, sociologiques et de gestion de l’actionnariat salarié dans les entreprises françaises ou étrangères, publiés à partir de 2019.

Cela inclut aussi des études d’impact sur les relations du travail et la gouvernance des entreprises. Seront également recevables des travaux réalisés notamment dans le cadre d’un contrat CIFRE.

Les personnes intéressées sont invitées à faire parvenir une fiche décrivant sur une à deux pages l’objet de leurs travaux à M. Philippe BERNHEIM, Vice-président du Conseil scientifique de la FAS, avant le 11 octobre 2021.

A l’issue d’une présélection, il sera demandé aux candidats retenus de fournir un exemplaire de leur ouvrage sous format pdf. Le Conseil scientifique de la FAS décidera de l’attribution du prix lors de sa réunion du 9 novembre 2021.

Toutes précisions pourront être obtenues auprès de M. Philippe BERNHEIM.
E-mail : contact@fas.asso.fr
Mobile : 06 71 92 84 10

A propos de la Fédération Française des Associations d’Actionnaires Salariés et Anciens Salariés

La FAS (Fédération Française des Associations d’Actionnaires Salariés et Anciens Salariés) s’est fixée comme objectif, depuis plus de 25 ans, la promotion de l’épargne salariale et de l’actionnariat salarié dans les entreprises françaises cotées ou non, de toutes tailles et de tous secteurs. La FAS représente les intérêts communs des 3,5 millions d’actionnaires salariés en France. Elle édite le Guide FAS de l’épargne et de l’actionnaire salarié et réalise le benchmark FAS des meilleures pratiques par les entreprises. Elle récompense chaque année les plus exemplaires à l’occasion du Grand Prix FAS de l’actionnariat salarié.

www.fas.asso.fr

Nouveau programme de bourses de mobilité doctorale entre l’Université Paris-Saclay et la Commission franco-américaine Fulbright

L’Université Paris-Saclay et la Commission franco-américaine Fulbright ont conclu un accord pour la mise en place d’un nouveau programme de bourses de mobilité à destination des doctorants de l’Université Paris-Saclay et des doctorants américains.

Fulbright France

L’Université Paris-Saclay associée à la Commission franco-américaine Fulbright

L’Université Paris-Saclay s’est associée à la Commission franco-américaine Fulbright pour financer conjointement la mobilité des doctorants français et américains souhaitant effectuer des séjours de recherche aux Etats-Unis ou à l’Université Paris-Saclay. Le programme, intitulé « Fulbright-Université Paris-Saclay », prévoit l’attribution de trois bourses entrantes et trois bourses sortantes par an, d’un montant de $1 500 à 2 000 par mois, pour des séjours allant jusqu’à 12 mois de mobilité. Les candidats issus de tous les domaines de recherche sont éligibles à une bourse et les premières mobilités sont attendues pour la rentrée universitaire 2020-2021.

S’inscrivant dans la stratégie de renforcement de la mobilité doctorale de l’Université Paris-Saclay avec les Etats-Unis, ce nouveau dispositif a pour ambition d’intensifier les coopérations scientifiques et universitaires franco-américaines.

Le programme Fulbright compte plus de 380 000 anciens à travers le monde, parmi lesquels 60 Prix Nobel. La Commission franco-américaine administre ce prestigieux programme entre la France et les Etats-Unis depuis 70 ans et compte plus de 20 000 lauréats des deux pays. L’Université Paris-Saclay est l’une des rares universités françaises à avoir un programme de ce type avec la Commission franco-américaine Fulbright.

Le lancement du programme a eu lieu le lundi 25 novembre 2019 à l’Université Paris-Saclay, en présence de la Présidente de l’Université, Sylvie Retailleau et d’Arnaud Roujou de Boubée, Directeur exécutif de la Commission franco-américaine Fulbright.

Bourse de recherches postdoctorales en économie, histoire et politique à l’université de Harvard

“Cher/Chère Collègue, nous souhaiterions vous encourager à proposer des candidates pour une nouvelle Prize Fellowship in Economics, History, and Politics (Bourse de recherches postdoctorales en économie, histoire et politique) à l’université de Harvard, à compter de l’année 2020-2021.” voici comment débute un message qui vient d’être diffusé.

Les candidates sélectionnées passeront jusqu’à un ou deux ans au Center for History and Economics (CHEP) in Paris. Ces bourses de recherches postdoctorales sont d’une durée de trois ans et vous trouverez une description détaillée sur notre site, à l’adresse suivante : http://histecon.fas.harvard.edu/ehppf/.

Les chercheur-e-s EHP-CHEP résideront pendant une ou bien deux des trois années de la bourse au CHEP à Sciences Po Paris. Nous souhaiterions particulièrement vous encourager à proposer des candidates dont les travaux s’affranchissent des frontières entre disciplines, et qui s’adressent à des questions d’envergure. Les candidates devraient être exceptionnellement brillantes et avoir déjà accompli des recherches innovantes. Leur niveau devrait être comparable à celui de jeunes titulaires dans les toute meilleures universités. Pour une liste des boursiers EHP depuis 2011, voire ci-dessous.

La date-limite pour proposer des candidatures pour les bourses commençant en 2020-2021 est le vendredi 21 février 2020.

Les nominations de candidates, ainsi que les noms de deux personnes qui peuvent écrire une lettre (en français ou en anglais) d’évaluation et de soutien à la candidature, doivent être fournies au moyen d’un formulaire auquel vous pouvez accéder sur notre site dédié à ces candidatures : http://www.ehppf.org/.

Pour proposer une candidature, veuillez cliquer sur l’onglet “Nominations” sur le menu à gauche et taper au clavier (copier-coller pourrait occasionner un message d’erreur) les identifiants suivants :

  • Nom d’utilisateur : noms2020ehppf
  • Mot de passe : 2020fellowships

Après avoir reçu une nomination, nous contacterons le candidat ou la candidate pour lui demander un CV et des échantillons de ses travaux, ainsi que les deux personnes chargées d’évaluer et de soutenir la candidature, pour leur demander les lettres de recommandation. Ces documents devront être fournis avant le 20 mars 2020, date à laquelle le comité de sélection commencera à examiner les candidatures. Si vous avez des questions sur la bourse de recherches postdoctorales ou sur la procédure de nomination, veuillez contacter Jennifer Nickerson, dont l’adresse est ehppf@fas.harvard.edu ou Mary-Rose Cheadle, dont l’adresse est kmrc2@cam.ac.uk.

Ce programme de bourses postdoctorales est destiné à des candidates d’excellence et nous souhaitons sélectionner de jeunes chercheurs ou chercheuses exceptionnelles. Les candidates devraient avoir complété leur formation à la recherche et avoir bientôt fini la rédaction de leur thèse de doctorat. Ils ou elles devraient être en mesure de fournir des échantillons de leurs travaux (par exemple des articles de recherche, des communications écrites ou des chapitres de leur thèse) et d’obtenir leur doctorat d’ici ou quelques mois après le début de la bourse. S’ils ou si elles ont terminé leur doctorat, ils ou elles ne devraient pas l’avoir obtenu depuis plus de deux ans à compter du début de la bourse. Nous vous remercions d’avance pour votre aide.

Très cordialement,

Sunil Amrith, Abhijit Banerjee, Paul-André Rosental, Emma Rothschild et Francesca Trivellato Joint Center for History and Economics/CHEPvv

Prix Crédit Agricole d’histoire des entreprises – Édition 2020

Le Prix Crédit Agricole d’histoire des entreprises, porté par la Fondation d’entreprise Maison de Salins, a pour objectif de mettre en valeur les travaux de recherche inédits en histoire des entreprises et, par-delà, d’éclairer le monde des entreprises ; il concerne les thèses et mémoires d’habilitation à diriger des recherches (HDR) traitant d’une problématique propre à l’histoire des entreprises du XIXe au XXIe siècle.

Tous les champs et types de recherche en histoire des entreprises sont couverts, qu’il s’agisse de monographies, d’histoires de branches, de produits ou de services, de biographies d’entrepreneurs ou d’histoires de groupes sociaux liés à l’entreprise. Le Prix s’attache à distinguer un travail remarquable par la pertinence et l’originalité de sa problématique, la solidité des sources et de la méthode ainsi que la qualité de l’écriture. Le jury est composé de personnalités du Crédit Agricole, de la presse, de l’enseignement supérieur et de la recherche.

Le montant du Prix est de 6 000 euros qui seront partagés de la manière suivante : 3 000 euros pour le lauréat et 3 000 euros d’aide à l’édition du manuscrit primé. Comme pour les années précédentes, le travail primé par le jury sera proposé pour publication dans la série « Entreprises » s’inscrivant dans la collection « Perspectives historiques » des Presses Universitaires François Rabelais qui offrent un cadre éditorial aux manuscrits lauréats du Prix. Si le lauréat est déjà engagé auprès d’un autre éditeur lors de sa participation au Prix Crédit Agricole d’histoire des entreprises, la subvention de 3 000 euros pour l’édition devient caduque. Par ailleurs, le lauréat sera accompagné par un tuteur éditorial afin d’assurer le passage du travail primé à un ouvrage publiable.

L’édition 2020 du Prix concerne les thèses et les mémoires inédits d’habilitation à diriger des recherches, soutenus entre le 16 juin 2019 et le 30 juin 2020.

Doté d’une forte culture entrepreneuriale, le Groupe Crédit Agricole est un partenaire de longue date des entreprises, par le biais des Caisses régionales, de Crédit Agricole SA ou de ses filiales, notamment Crédit Agricole CIB et LCL. Le Crédit Agricole souhaite donc promouvoir la recherche de haut niveau en histoire des entreprises grâce au Prix Crédit Agricole d’histoire des entreprises, porté par la Fondation d’entreprise Maison de Salins et son partenaire, la revue Entreprises et histoire.

Les dossiers de candidatures sont à adresser à Pascal Pénot (pascal.penot@credit-agricole-sa.fr), sous forme numérique de préférence, jusqu’au 15 juillet 2020.

Le dossier de candidature devra comporter les éléments suivants :

  • La thèse de doctorat ou le mémoire d’habilitation à diriger des recherches rédigé en français. Les thèses en cotutelle internationale sont admises. Dans le cas où la langue n’en serait pas le français, il est nécessaire d’y joindre le résumé long en français qu’exige la cotutelle.
  • Le rapport de soutenance (qui peut être transmis dans un second temps s’il n’est pas encore parvenu au candidat).
  • Une présentation d’une page maximum dans laquelle le candidat expliquera l’intérêt de publier son travail.

Au cas où ce travail serait également présenté à un autre prix, ou si un projet de publication est déjà en cours, il est nécessaire de l’indiquer.

Appel à candidature pour un contrat doctoral 2020-2023

Appel à candidature pour un contrat doctoral 2020-2023 proposé par la Chaire ESS UHA – Laboratoire SAGE (UMR 7363 CNRS)
Ces territoires urbains de l’Est, « clusters » du Covid-19 : Lien social et santé des habitants de quartiers populaires

Contexte

En ce printemps 2020, la crise pandémique du Covid-19 a incisé une rupture d’une rare violence qui a mis au grand jour les défaillances de notre système économique, sanitaire et social. L’expérience globale et collective de l’épidémie sanitaire a révélé des réalités sociales extrêmement contrastées, ouvrant sur une prise de conscience encore inégale par l’arrêt sur image sur « le monde d’avant » et ses artifices. Un changement de regard s’est focalisé sur le quotidien et des activités soudain reconnues comme « essentielles » (soins, alimentation) avec l’exigence implicite de ramener chaque habitant à pied d’égalité dans l’accès aux soins et à l’alimentation. Mais cette centration sur le biologique et le médical a occulté d’autres exigences tout aussi essentielles qui se sont exprimées spontanément dans les quartiers : comme le besoin collectif d’exprimer la solidarité des habitants vis-à-vis des métiers invisibles (aides et soins aux personnes) et des bénévoles et volontaires (collecte alimentaire), ainsi que le besoin de restaurer et maintenir des liens sociaux pour vivre. Répondre à nos besoins essentiels (s’alimenter, se soigner) repose sur des liens sociaux renforcés, avec des personnes vigilantes quant à l’attention aux autres.

Face à un État qui tente d’endiguer la flambée de l’épidémie, les territoires et leurs habitants sont des acteurs et des témoins en première ligne (Aubenas, 2020) faisant face à l’épreuve d’une crise sanitaire devenue une crise sociale, écologique et économique. Selon une enquête récente menée par des chercheurs, la pandémie a davantage frappé les habitants des territoires urbains les plus pauvres issus des milieux populaires. Ces catégories sociales ne sont pas seulement les victimes de la pandémie, elles sont aussi les victimes d’injustices et d’inégalités sociales par les effets différenciés et l’impact socialement inégal de cette pandémie sur l’insécurité alimentaire et l’isolement social. La mise en confinement des personnes et des familles a davantage creusé les distances sociales alimentées par la méfiance et la peur, source de défiance transposée vis-à-vis des quartiers populaires. L’épidémie fait subir la double peine à des habitants face à la maladie et en situation d’exclusion sociale sur des territoires inégalement pourvus de services et d’équipements. Un sentiment d’injustice traverse les territoires urbains en marge, dont les habitants se sentent délaissés.

Parmi les premiers foyers de l’épidémie en France, annoncés début mars 2020, les villes de l’Est, au premier rang desquelles Mulhouse et Strasbourg, ont payé un lourd tribut à cette crise. L’attribution du qualificatif de « cluster[1] », notamment à Mulhouse, semble « coller à la peau » de ces territoires de l’Est considérés « à risques[2] » et contribue à l’occultation d’autres territoires urbains très proches, tels que le Territoire de Belfort, autant impactés. Avec son urbanisation très dense, Belfort présente, avec sa forte tradition industrielle, un territoire où les solidarités ouvrières, solidement ancrées, ont fortement été mises à l’épreuve. Ces territoires urbains, espaces de concentration et de diversité, ont diversement été identifiés comme des foyers de pandémie (quartier, immeubles, périphérie, centre-ville). A priori, on pourrait croire au hasard de la diffusion du virus mais, au-delà des apparences, apparaissent des données qui sont fondamentalement présentes dans les observations (INSEE, 2020) : outre l’âge et le sexe, les catégories de population en situation de fragilité dans les quartiers urbains les plus pauvres et les plus densément peuplés (Gascard, et al.).

Territoires urbains de l’Est : inégalités sociales et inégalités territoriales

Mulhouse, premier « Cluster » du Covid-19 en France[3], présente des caractéristiques significatives, comme le faible niveau de revenus de ses habitants (INSEE, 2020) et un faible taux d’activité. Mulhouse est une ville ouvrière dont la composition sociale est multiculturelle et métissée (plus de 130 nationalités), avec une part importante de jeunes (plus de 40% de la population de moins de 30 ans, INSEE, 2017) et des catégories socioprofessionnelles composées d’employés, cadres intermédiaires et ouvriers (47% des actifs en 2016). La ville se distingue par une population au profil plus populaire que son agglomération (dite « Mulhouse Alsace Agglomération » – m2A) où résident les classes moyennes. À ces clivages sociaux, s’ajoutent des clivages territoriaux (ville et m2A). La crise sanitaire a amplifié une fragilité sociale et économique aggravée pour des catégories sociales précaires (taux de pauvreté de 33% à Mulhouse en 2016), qu’en est-il de la dimension territoriale de cette précarité ? Les données disponibles (âge, sexe, population vulnérable, catégorie sociale) constituent des variables qui se combinent différemment d’un territoire à l’autre à Mulhouse, comme à Strasbourg et à Belfort.

Strasbourg présente également une population jeune (étudiants), mais les cadres supérieurs représentent plus de 18%. C’est une ville aux quartiers contrastés, parfois avec des logements sociaux sur-occupés, un taux de pauvreté de 22,1% de sa population, une moyenne qui cache des disparités territoriales importantes (Observatoire des Inégalités, 2011).

Belfort est une ville contrastée qui concentre un tiers de la population du département dans lequel un renforcement des inégalités de revenus reste élevé (Observatoire social départemental, 2019). Ces inégalités se traduisent par des quartiers périphériques paupérisés, un centre-ville resté attractif pour les ménages aisés et les étudiants. Mais des « plus riches » usent de leur liberté de choix résidentiel plus importante pour accéder à la propriété individuelle dans les communes périurbaines (INSEE, 2011). Le taux de pauvreté atteint 25% à Belfort, contre 14,2% pour le département (INSEE, 2017).

Objectifs

Ce projet de thèse s’intéresse aux enjeux sociaux de la crise sanitaire révélés par la lecture d’une expérience sociale et collective d’un laboratoire in vivo (Beaud, 2020) par le confinement des habitants. Elle adopte une démarche de recherche-action avec les acteurs concernés pour comprendre les dynamiques de solidarités sur des territoires urbains plus précisément dans les quartiers populaires de trois villes de l’Est de la France : Mulhouse, Strasbourg et Belfort. Cette recherche répond à deux objectifs majeurs :

  • D’une part, évaluer et analyser l’impact sociétal de la crise pandémique à l’échelle des territoires urbains à Mulhouse, Strasbourg et Belfort et plus particulièrement leurs quartiers populaires, en mettant l’accent sur leurs spécificités en termes de de solidarités (familiales, générationnelles, communautaires, voisinage), formelles et informelles, de réseaux d’entraide dans et hors des territoires de résidence. Un état des lieux avant le Covid-19 est indispensable pour analyser comment ces « filets » de liens et de protection ont pu résister, se distendre ou disparaître avec le confinement et l’impact, subjectivement et socialement vécu, d’une épidémie.
  • D’autre part, identifier et questionner les nouvelles initiatives collectives et d’auto-organisation de réseaux d’échanges et d’entraide entre des habitants, acteurs privés et publics. L’attention portée par cette recherche aux émergences (action, projet) en situation d’épreuve est dirigée vers l’intérêt des personnes et d’acteurs de ces quartiers vers lesquels se tourne cette recherche-action qui est ouverte à l’écoute, l’observation et l’intervention d’un(e) doctorant(e) observateur, témoin et acteur (voir infra méthodologie).

L’auto-organisation locale de ces services émergents a permis d’assurer le lien avec des personnes isolées souvent perdues de vue (étudiants, jeunes, etc.), ainsi que les relations de réciprocité et l’entraide pour combattre la peur. Avec cette crise, s’affirme une prise de conscience des habitants de la nécessité de services publics (santé, sanitaire) et de services porteurs d’une qualité relationnelle plus solidaire. Ces initiatives des habitants méritent une attention particulière pour valoriser et reconnaître les réponses émergentes de services par de petites associations ou des initiatives communautaires (Laville, 2020) : Quelles sont, dans ces quartiers populaires, les figures d’une autre économie, alternative, solidaire et plus juste qui articule gratuité et rétribution, échanges marchand et non marchand ? Comment rapprocher ces actions en réseaux avec d’autres réseaux, notamment ceux de l’Économie sociale et solidaire (ESS), et envisager une pérennisation de ces initiatives par une coopération au-delà de la crise ? L’approche se veut interdisciplinaire ancrée dans les sciences sociales incluant l’entrée socioéconomique.

Deux axes de recherche

Les deux axes de recherche, la dimension territoriale et l’approche par la qualité des relations sociales dans les services, sont étroitement articulés et feront l’objet d’ajustements à définir par la suite. 

L’approche territoriale constitue le prisme d’analyse des « foyers de pandémie » : ce premier axe de recherche vise à repérer des territoires urbains et périurbains pour identifier des profils-types en posant la question des facteurs de leur résistance différentielle au prisme de la pandémie. Le territoire est appréhendé par ses spécificités sociales, économiques et culturelles sous l’angle de modes d’habiter, d’organisation de la vie quotidienne et d’accès à des services (santé, social, services de proximité) en tenant compte des contraintes (logement, revenu, distance). Quelles en sont les retombées sur l’exposition des personnes au risque sanitaire et sur les capacités des habitants à résister en exerçant leurs activités d’une manière autonome (alimentation, soins, réseaux, entraide) ?

L’autre axe de recherche privilégié concerne la qualité des conditions de vie, des conditions sociales de logement et de santé des habitants de ces quartiers. Quelles sont les structures sociales et culturelles sous-jacentes aux réponses collectives émergentes sur les territoires, alors qu’elles ont été négligées dans un premier temps ? La question de la santé ne se résout pas (seulement) en termes d’infrastructure technique ; elle est le produit d’interactions complexes avec l’environnement, de la qualité des relations sociales et humaines qui passe par l’attention aux autres, du soin des personnes (« care ») et des liens sociaux vecteurs d’appartenance et de solidarité dans des territoires compris comme lieux de vie. Quelles sont les initiatives, individuelles et collectives, qui ont permis de dépasser l’épreuve, d’exprimer cette « résilience[4] » par des réseaux d’échanges et d’organisation de l’entraide ? Il s’agit d’approcher les possibilités d’un « bien vivre » intégrant des capacités sociales des personnes (Sen, 2003) et de cohabiter : comment les habitants sont-ils en mesure de faire face à l’épreuve de la pandémie (crise, confinement, rupture des relations) ? Il conviendra d’en repérer les émergences collectives, leurs échelles d’action, d’évaluer la qualité et les retombées des réponses portées par des habitants du quartier et d’autres citoyens à la gestion de la crise sanitaire, en termes de coopération à l’échelle territoriale, notamment avec les réseaux de l’ESS et les collectivités territoriales.

La santé mérite d’être pensée comme un « commun » (Stoessel-Ritz, 2015) qui relève de communautés de vie et s’adosse à des savoirs concrets par des relations à un environnement : comment l’intelligence pratique des habitants, bénévoles et soignants, apporte-t-elle des réponses sociales concrètes aux difficultés générées par la pandémie et permet-elle de parer aux manques et défaillances en matière de soins aux personnes ou d’approvisionnement alimentaire ?

Les initiatives collectives, formelles ou non, retenues ici concernent plus particulièrement :

(i) L’approvisionnement alimentaire des quartiers impactés. Comment ces initiatives témoignent d’une auto-organisation locale, comme figure d’une économie populaire adaptée (circuits-courts alimentaires, accessibilité), quel rôle et quelle reconnaissance économique, sociale de ces propositions à l’échelle des collectivités et des institutions ?

(ii) La question des relations et du soin (« care ») aux personnes isolées, dépendantes et en situation de vulnérabilité. Ici on cherchera à comprendre comment s’exprime l’attention pour une éthique du « care » avec le souci des autres (Tronto, 2009), ou l’expression d’une capacité de « résilience » sociale des habitants. On s’intéressera plus particulièrement au rôle des femmes et des populations jeunes dans ces initiatives : Que nous apprennent les pratiques de sociabilités quant à l’engagement des jeunes ou des femmes des quartiers populaires (solidarités, pratiques citoyennes) ? Comment ces initiatives contribuent à décloisonner le territoire et à faire bouger les lignes par la coopération entre acteurs de territoire pour une solidarité organique, fondée sur plus d’autonomie et d’engagement ?

Méthodologie

Pour répondre à ces questions, cette recherche adopte une démarche originale et adaptée, celle de la recherche-action : elle a vocation à faciliter la communication sur le territoire entre les acteurs et à décloisonner les activités des uns et des autres pour améliorer la qualité des relations sociales et humaines, source d’une coopération plus efficiente et constructive entre chercheurs, acteurs et habitants en faveur de l’ESS.

L’approche méthodologique s’appuie sur l’observation participante du fonctionnement des territoires, en relation avec les acteurs (bénévoles, professionnels, habitants). Cette recherche-action participe également de la construction d’une démarche adaptée à l’économie solidaire par la coopération des personnes concernées par les questions abordées dans cette recherche, en relation avec la Chaire ESS de l’UHA. L’approche vise à favoriser les réseaux de pairs (patients, bénévoles, personnes précaires) pour saisir des solidarités territoriales qui mettent l’accent sur l’autonomie des habitants, comme un levier de démocratie sanitaire.

Une attention particulière sera portée au tissu associatif et aux initiatives de l’ESS dans les territoires urbains et périurbains de Mulhouse, Strasbourg et Belfort. La première étape du travail est consacrée à l’analyse des statistiques socioéconomiques et sanitaires (Covid-19) ; cette étape se fera en partenariat avec des professionnels (santé, éducation, travail social, médico-social), pour identifier et apprécier la place des services de soins et d’approvisionnement alimentaire dans la restauration de relations de confiance et l’initiative des habitants. Cette recherche s’appuiera également sur des entretiens semi-directifs auprès des populations cibles (populations jeunes, femmes et personnes en situation de dépendance) et auprès de personnes qui se sont engagées dans des initiatives collectives.

Enfin, la démarche de recherche-action prendra appui sur la Chaire ESS de l’UHA pour accompagner l’engagement des jeunes (habitants, volontaires), leur mise en relation avec des pairs porteurs de projets pour trouver le chemin de l’apprentissage pour l’insertion sociale et/ou professionnelle. Cette recherche-action pourra être menée à partir des initiatives nées pendant la crise du Covid-19 et repérées par des acteurs qui ont mobilisé des fonds d’intervention pendant l’épidémie (Fondation de France à Mulhouse) pour analyser les obstacles rencontrés et les moyens de les surmonter.

Par son caractère innovant et créatif, cette recherche-action favorise le dialogue et la coopération entre les partenaires et l’expérimentation de nouvelles formes d’apprentissage : c’est par exemple la découverte des métiers de services pour des jeunes déscolarisés (initiation à la cuisine, avec l’association Épices) et leur revalorisation dans le domaine de l’accompagnement et du soin aux personnes (care) qui peuvent être envisagées dans le prolongement de ce projet (avec des partenaires de la formation dans le médico-social).

Apports spécifiques et plus-value de cette thèse

Cette recherche permet de penser de nouvelles politiques territoriales en faveur d’une plus grande justice territoriale par des services organisés avec les habitants. Un de ses objectifs est de comprendre les dynamiques locales, solidaires et génératrices d’une plus-value pour tous par le bien vivre ensemble, favorables à des effets de résilience sur les territoires. Cette recherche permet aussi de (re)considérer les solidarités et les liens sociaux comme des sources de résistance à l’épreuve et de mobilisation des habitants par la prise d’initiatives.

La construction de ces solidarités s’inscrit dans des réseaux et un tissu associatif d’où émergent les initiatives solidaires porteuses de propositions innovantes et pertinentes de l’ESS, une économie de proximité adaptée aux territoires et à leurs habitants.

Les résultats attendus de cette thèse se situent à quatre niveaux :

  • Contribuer à une justice territoriale par la promotion des capacités de chacun et la reconnaissance des capacités et des potentiels des citoyens, habitants, acteurs locaux associatifs ou autres acteurs, à s’organiser et proposer des réponses à valoriser.
  • Appréhender les logiques d’action des habitants dans leur diversité face à la pandémie et à ses effets, de soutenabilité au rejet des décisions (ou situations) jusqu’à l’invention d’initiatives alternatives qui sortent des cadres établis.
  • Mettre en confiance et développer des modes de coopération pour faire participer les volontaires et les acteurs de l’ESS à la mise en place de pratiques d’entraide et l’organisation de réseaux d’acteurs qui jouent coopératif sur les territoires.
  • Soutenir les initiatives de l’ESS pour réduire la pauvreté et promouvoir des propositions alternatives répondant d’une économie solidaire à dimension citoyenne.

Cette recherche a vocation à soutenir une culture de coopération partenariale (organisations de l’ESS, collectivités) avec une communauté d’acteurs qui souhaitent s’engager. Les résultats de ces travaux feront l’objet d’une valorisation à différents niveaux sous la bannière de la Chaire ESS, notamment par des publications.

Cadre de la recherche

Ce projet de thèse fait partie d’un axe majeur de recherche de la Chaire ESS de l’UHA intitulé « Faire société : avant et après le Covid-19 » animé par des chercheurs en sociologie, science politique, sciences économique et de gestion, sciences de l’information et de la communication. Cet axe de recherche s’inscrit dans le prolongement des travaux de recherche-action du réseau 2DLiS, co-fondateur de cette Chaire ESS[5] avec l’UHA. Depuis 10 ans, 2DLiS a développé séminaires, colloques et publications sur le lien social, la citoyenneté et le développement durable.

Cette thèse est adossée à un comité de thèse mis en place au sein de la Chaire ESS avec une codirection assurée par Josiane Stoessel-Ritz, professeure de sociologie à l’Université de Haute-Alsace de Mulhouse et Maurice Blanc, professeur émérite à l’Université de Strasbourg, tous deux sont membres du réseau 2DLiS et du Laboratoire SAGE (Sociétés, Acteurs, Gouvernement en Europe, CNRS, UMR 7363, Université de Strasbourg et antenne UHA). La Chaire ESS de l’UHA hébergera le/la doctorant.e qui contribuera à l’Axe 6 ‒ «Dynamiques territoriales, villes et mobilités » ‒ du Laboratoire SAGE (Sociétés, Acteurs et Gouvernement en Europe – Unité mixte de Recherche 7363 du CNRS et Universités de Strasbourg et Mulhouse).

Ce projet de recherche s’inscrit dans le cadre d’un contrat doctoral de 3 ans (2020-2023) au sein de l’UMR 7363 SAGE (antenne UHA) avec le soutien des acteurs et des partenaires de la Chaire ESS UHA. La rémunération est de l’ordre de 1800€ brut/mois.

Candidatures : date limite de réception le 16 novembre 2020

Les candidat(e)s sont invité(e)s à présenter un dossier composé des pièces suivantes : CV, lettre de motivation, résultats de Master et du mémoire de Master, note d’intention en réponse au projet doctoral proposé (entre 9 000 à 15 000 signes tout compris).

Ce dossier est à envoyer à chaireESSuha@gmail.com au plus tard le 16/11/20.


[1] Anglicisme signifiant « regroupement » (entreprises, laboratoires) ou foyer de diffusion (contagion pour le virus).

[2] Du 1er mars au 30 avril 2020, la mortalité a bondi de 117% dans le Haut-Rhin, 57% dans le Bas-Rhin et 40% dans le Territoire de Belfort par rapport à la même période de l’année précédente (Santé Publique France, 2020).

[3] A Mulhouse, on compte 577 décès entre le 1er mars et le 7 avril 2020, soit +204% en 5 semaines (Insee, 5 mai 2020.

[4] Nous empruntons ici cette expression de manière prudente en retenant le sens donné par Laurent Éloi comme « une capacité des sociétés à supporter collectivement des chocs […] sans se désintégrer » (2017, p.33).

[5] Membres 2DLiS fondateurs de la Chaire ESS : Josiane Stoessel-Ritz (Professeure, SAGE, UHA), Francis Kern (Professeur émérite, BETA, Unistra), Maurice Blanc (Professeur émérite, SAGE, Unistra), Jean-François Havard, (Maître de Conférences, SAGE, UHA).

Fondation de Wendel : aide à la recherche pour des étudiants de Master 2 ou en Doctorat

La Fondation de Wendel propose des aides à la recherche pour des étudiants de Master 2 ou pour des doctorants dans l’ensemble des disciplines des sciences humaines et sociales. Les aides portent sur les projets concernant les techniques, les entreprises et plus généralement les sociétés industrielles à l’époque contemporaine. Ces aides sont mises en œuvre par l’Académie François Bourdon.

Fondation de Wendel
Fondation de Wendel

L’aide de la Fondation de Wendel

Plusieurs aides sont proposées par Fondation de Wendel :

  • pour les étudiants de Master 2, l’aide est fixée à 1 500 euros, pendant une année.
  • pour les étudiants en Doctorat, l’aide est fixée à 5 000 euros par an, au maximum pendant trois années pour une candidature de première année. Les candidats peuvent se présenter pour la seconde ou la troisième année.

Les dossiers de demande d’aide

Les dossiers de candidature en master 2 comportent une présentation du sujet de recherche, ses problématiques, les sources envisagées et la bibliographie provisoire ; un curriculum vitae et un avis du directeur de recherche.

Les dossiers de candidature en doctorat comportent une présentation du projet de thèse avec ses problématiques et les sources à consulter ; un calendrier de réalisation, un curriculum vitae et un avis du directeur de recherche.

Les dossiers de candidature peuvent être envoyés jusqu’au 15 novembre 2020 à l’Académie François Bourdon, avec copie à la Fondation de Wendel exclusivement sous format électronique aux adresses suivantes : contact@afbourdon.com et contacts@fondationwendel.eu

Prix académique de la Recherche en Management

Le Prix académique de la Recherche en Management, en partenariat avec la FNEGE, récompense les meilleures publications de recherche, ainsi que le meilleur ouvrage de management de l’année.

En 9 ans, ce Prix est devenu une référence dans le monde académique, plébiscité par les chercheurs en sciences de gestion qui considèrent son obtention comme une véritable opportunité de valorisation de leurs travaux auprès du monde de l’entreprise et de développement de leur notoriété.

Consult’in France, syndicat professionnel des métiers du Conseil en Management et la FNEGE, vous invitent à participer à ce concours dédié aux enseignants-chercheurs de l’enseignement supérieur, dont les établissements sont localisés en France, quelle que soit leur nationalité. Cette initiative a pour objectif de renforcer les liens entre la profession du Conseil en stratégie & Management et le « monde académique » en favorisant la rencontre d’Hommes et d’Idées neuves.

C’est aussi l’opportunité d’offrir une fenêtre sur la profession et ses enjeux d’innovation aux professeurs des options ou spécialités Conseil de dernière année d’études de master ou de diplôme de Grande École.

Trois catégories de prix selon vos thèmes de recherche :

  •  « Refonder la relation Entreprise et Société vers de nouveaux modèles de croissance »
  • « Ré-inventer le Management »
  • « Accélérer la transformation digitale des affaires et des organisations »
  • La remise des prix se déroulera en mai / juin 2019 (date à venir).
  • Date limite d’inscription : le 31 janvier 2019

Informations & Inscriptions

Bourses FRANCE L’Oréal-UNESCO Pour les Femmes et la Science 2019

La Fondation L’Oréal, en partenariat avec l’UNESCO et l’Académie des Sciences, vient d’annoncer l’ouverture de l’appel à candidature de l’édition 2019 des Bourses France L’Oréal-UNESCO Pour les Femmes et la Science. Comme chaque année, cet événement est l’occasion de mettre en avant le travail de femmes en lien avec les activités de recherche.

Bourses France L'Oréal-UNESCO 2018
Remise des Bourses France L’Oréal-UNESCO 2018

La Bourses France L’Oréal-UNESCO pour les Femmes et la Sciences

Créé en 2007, ce programme a pour objet de révéler et récompenser de jeunes chercheuses talentueuses. Au total, 230 jeunes femmes ont bénéficié d’une Bourse France L’Oréal-UNESCO Pour les Femmes et la Science depuis la création de l’événement.

En 2019, la Fondation L’Oréal remettra trente-cinq Bourses, dont au moins cinq seront exclusivement dédiées à des chercheuses effectuant leurs travaux de recherche dans les DOM-TOM :

  • d’un montant de 15.000 € chacune à des doctorantes,
  • d’un montant de 20.000 € chacune à des post-doctorantes.

Pour présenter sa candidature, une plateforme est mise à disposition. Vous y retrouverez le règlement des Bourses.

A noter que la date limite de dépôt des dossiers de candidature est le dimanche 14 avril 2019.

Appel à candidature pour l’édition 2017 des talents de l’outre-mer

Vous êtes Originaire des Outre-mer français, par naissance ou par filiation. En fin de cursus, jeune diplômé ou déjà dans la vie active, et vous avez suivi en Métropole ou dans le monde une formation d’excellence, dans une discipline intellectuelle ou manuelle, ou bien encore dans une discipline relevant de la musique, du chant ou de la danse classiques.

185 talents de l’outre-mer à ce jour

Rejoignez les 185 “Talents de l’Outre-mer” déjà distingués par le CASODOM depuis 2005 qui rayonnent à travers le monde. Déposez sans tarder votre candidature pour la sélection des Talents de l’Outre-mer 2017.

Soit dans la catégorie des «Jeunes Talents», Si vous êtes étudiant, en fin de cursus, jeune diplômé ou jeune actif

Et vous recevrez si vous êtes lauréat une récompense de 2000 €

Soit dans la catégorie des «Talents confirmés»

Si vous êtes déjà reconnu dans le milieu professionnel

Clôture des inscriptions le 31 juillet 2017.

Le CASODOM, association reconnue d’utilité publique, est depuis 1956 l’interlocuteur social de référence des ultramarins en métropole. L’initiative des Talents de l’Outre-mer, qu’il a lancée en 2005, a pour objectifs de mettre en valeur les parcours d’excellence des Ultramarins, de les promouvoir en exemples pour démontrer aux Jeunes qu’il n’y a pas de fatalisme qui s’opposerait à leur ascension sociale, et de donner à nos concitoyens une image plus positive de nos Outre-mer que celle que certains pourraient s’en faire

REMISE DES PRIX LE 15 DÉCEMBRE 2017AU PALAIS D’IÉNA,

siège du Conseil Économique, Social et Environnemental à Paris

Informations et Dossier de candidature sur le site www. casodom.fr

Contact : CASODOM, 7 bis rue du Louvre 75001 Paris

Tél. 01 42 36 24 54

casodom.75@gmail.com

talents de l'outre-mer

Le 19e  prix d’histoire François Bourdon remis à Anaïs BERTRAND

Pour la 19e édition du prix d’histoire de l’Académie François Bourdon-Le Creusot et de la Fondation Arts et Métiers : « François Bourdon, Techniques, entreprises et société industrielle », les membres du jury ont décidé de ne pas attribuer de prix pour la première catégorie (thèse, ouvrage, manuscrit d’une HDR) contrairement à l’an passé, mais on remarqué les travaux de madame Anaïs BERTRAND.

Anaïs BERTRAND récompensée

Le prix jeune chercheur a été attribué à Anaïs BERTRAND pour son mémoire de Master 2, LES MAISONS DE CHAMPAGNE REMOISES PENDANT LA GRANDE GUERRE. Produire et vendre des vins de luxe dans la « Ville-martyre » – (août 1914 – mars 1918.), Université de Reims Champagne-Ardenne

Comme le veut le principe du prix, le dix-neuvième jury était composé d’industriels et d’universitaires. Participaient à ce jury mesdames Claudine Cartier, Conservateur général honoraire du patrimoine, Anne Dalmasso, professeure d’histoire à l’Université de Grenoble-Alpes ; Nadège Sougy, Chercheuse associée ; Dominique Varinois, IA-IPR, rectorat de Bordeaux;, Gérard Chrysostome, ingénieur centralien ; Nicolas Coupain, Directeur du patrimoine chez Solvay, Jean-Claude Daumas, professeur émérite à l’Université de Franche-Comté ; François Labadens, ancien secrétaire général d’USINOR ; Philippe Mioche, professeur d’histoire émérite à Aix-Marseille Université ; Pascal Raggi, maître de conférences en histoire à l’Université de Lorraine ; Serge Wolikow, professeur d’histoire émérite à l’Université de Bourgogne;

Anaïs BERTRAND, LES MAISONS DE CHAMPAGNE REMOISES PENDANT LA GRANDE GUERRE. Produire et vendre des vins de luxe dans la « Ville-martyre » – (août 1914 – mars 1918.), Université de Reims Champagne-Ardenne

Pendant la Première Guerre mondiale, la ville de Reims connaît 1051 jours de bombardements et est détruite à près de 90% à l’issue du conflit. La « cité des Sacres » devient « ville-martyre » ; l’incendie de sa cathédrale en septembre 1914 devient un des symboles de la « barbarie allemande ». Les vins de Champagne, qui assurent un prestige et une force économique à la ville depuis le XIXème siècle, sont directement impactés par le conflit. Les sites de production sont détruits, les dirigeants et ouvriers mobilisés, les voies de circulation coupées. Pourtant, les maisons de négoce rémoises parviennent à maintenir une activité durant tout le conflit. Le mémoire de recherche propose ainsi de découvrir comment les familles de négociants, les cavistes et les vignerons sont parvenus à maintenir une production et une commercialisation d’un vin de luxe durant la Grande Guerre.

Académie François Bourdon
Cour du Manège-Château de la Verrerie
BP 60031
71201 Le Creusot Cedex
Tél. : 03 85 80 81 51

www.afbourdon.com

Anaïs BERTRAND prix d'histoire de l’Académie François Bourdon

Prix d’histoire François Bourdon résultats de la 18e édition

Pour sa 18e édition le Prix d’histoire François Bourdon, dans son titre entier “prix d’histoire de l’Académie François Bourdon-Le Creusot et de la Fondation Arts et Métiers : « François Bourdon, Techniques, entreprises et société industrielle »”, doté d’une somme de 1 500 €, a été attribué à Pierre Judet pour son mémoire inédit de HDR, Faire de l’histoire économique et sociale territorialisée. Apogée et éclatement de la nébuleuse métallurgique alpine (Savoie-Dauphiné, XIXe siècle), Université Lumière Lyon 2.

Cette année, les membres du jury ont également décidé d’attribuer une Mention spéciale à Audrey Millet pour sa thèse, Les dessinateurs de fabrique en France (1750-1860), Université Paris 8 et Université de Neuchâtel. Le jury avait récompensé l’année passée trois candidats.

Les membres du jury se félicitent de la diversité des écrits reçus pour cette 18e édition qui permet au Prix d’histoire François Bourdon de s’ancrer plus fortement encore dans l’ensemble des domaines de l’histoire industrielle et des entreprises et plus généralement de la société industrielle.

Comme le veut le principe du prix, le seizième jury était composé d’industriels et d’universitaires. Participaient à ce jury mesdames Claudine Cartier, Conservateur général honoraire du patrimoine, Anne Dalmasso, professeure d’histoire à l’Université de Grenoble-Alpes ; Dominique Varinois, IA-IPR, rectorat de Bordeaux; Gérard Chrysostome, ingénieur centralien ; Nicolas Coupain, Directeur du patrimoine chez Solvay, Jean-Claude Daumas, professeur émérite à l’Université de Franche-Comté ; François Labadens, ancien secrétaire général d’USINOR ; Philippe Mioche, professeur d’histoire émérite à Aix-Marseille Université ; Pascal Raggi, maitre de conférences en histoire à l’Université de Lorraine ; Serge Wolikow, professeur d’histoire émérite à l’Université de Bourgogne.

Les gagnants du Prix d’histoire François Bourdon

Pierre Judet, Faire de l’histoire économique et sociale territorialisée. Apogée et éclatement de la nébuleuse métallurgique alpine (Savoie-Dauphiné, XIXe siècle), Université Lumière Lyon 2 : Désignée depuis le 19e siècle comme une alternative à la Révolution industrielle anglaise puis au Fordisme, l’approche localisée des faits économiques permet d’enrichir la connaissance des sociétés à l’heure de la globalisation. Le terrain montagnard qui majore l’importance du local offre un bon terrain pour construire une méthode de travail. Etendue de Grenoble-Rives à Annecy, la nébuleuse métallurgique alpine constitue un territoire industriel transfrontalier qui connaît son apogée vers 1850 et qui éclate ensuite en raison des transformations de l’économie globale. Ses composantes connaissent des évolutions diverses en fonction de leur structuration sociale : désindustrialisation sèche (Maurienne), reconversion vers l’entreprise moderne (Forges de Cran), spécialisation agricole (Bauges). Ce travail s’efforce de montrer la cohérence de ce territoire jusque vers 1850 et d’évaluer les capacités de reconversion de ses sous-ensembles par une démarche à plusieurs échelles du local au global.

Audrey MilletLes dessinateurs de fabrique en France (1750-1860), Université Paris 8 et Université de Neuchâtel : La première industrialisation, au tournant des XVIIIe et XIXe siècles, s’est appuyée sur ce que l’historiographie récente appelle « la révolution des consommateurs » : une consommation et une circulation accrue de tous les objets du quotidien, ces « choses banales » (selon le terme de Daniel Roche). La course à la novation pour séduire la clientèle devient un enjeu majeur pour les manufacturiers. Le dessinateur occupe une place essentielle dans cette compétition, puisque la première phase du processus de production, avant celle de la fabrication et de la commercialisation, est celle de la création, du design du produit. À partir d’une base de données de 4 000 dessinateurs, nous avons reconstitué le parcours, la formation en situation ou en apprentissage, le statut dans l’entreprise, le degré des mobilités et des circulations de savoir-faire.

François Bourdon Prix d'histoire François Bourdon

Prix d’Amsterdam 2017

Placé et organisé sous le haut patronage de l’Initiative franco-néerlandaise et de l’ambassade des Pays-Bas en France, le Prix d’Amsterdam a pour objectif de récompenser tous les deux ans un/e étudiant/e français/e afin de l’inciter à poursuivre des recherches en sciences humaines et sociales aux Pays-Bas. Le Prix d’Amsterdam sera décerné pour la quatrième fois en 2017.

Conditions d’éligibilité du Prix d’Amsterdam

Pour postuler, les candidats doivent répondre aux conditions suivantes :

  • être de nationalité française ;
  • être un/e jeune diplômé/e en sciences humaines et sociales (histoire, histoire de l’art, lettres, langue et culture, sciences politiques, sociologie, anthropologie, philosophie, droit, économie, journalisme, géographie, urbanisme/architecture, arts, psychologie, éducation, etc.) ;
  • être en train de préparer un Master ou une thèse au sein d’un établissement d’enseignement supérieur (tout établissement français ou étranger est éligible) et avoir pour projet de passer une année universitaire aux Pays-Bas ;
  • le mémoire de recherche, le Travail d’Étude et de Recherche (TER) ou le sujet de thèse devra obligatoirement porter sur les Pays-Bas. Dans le cas d’une approche comparée avec d’autres pays, la partie néerlandaise de la problématique devra être suffisante pour justifier un séjour d’un an aux Pays-Bas.

Le Jury

Le lauréat sera sélectionné par un jury composé de spécialistes de grande renommée, de chercheurs et d’enseignants-chercheurs issus d’établissements d’enseignement supérieur et d’organismes de recherche français.

Critères d’attribution

Le Prix d’Amsterdam sera attribué selon les principaux critères suivants :

  • la motivation du candidat ;
  • l’originalité et la qualité de son projet ;
  • l’excellence du travail académique écrit soumis à l’appréciation du jury. Ce travail peut être de plusieurs natures : mémoire, TER, chapitre rédigé d’un mémoire en cours de rédaction, article etc. ;
  • la qualité de l’entretien du candidat avec le jury. Le jury auditionnera tous les candidats dont il aura retenu le dossier.

La décision du jury est irrévocable. Il n’y a pas de recours possible. Le jury est indépendant et souverain. Après examen des dossiers, il se réserve le droit de ne pas attribuer le Prix s’il estime que les dossiers ne correspondent pas aux critères du Prix d’Amsterdam.

Dotation du Prix

La dotation de ce prix d’excellence est de 15.000 €. Le montant attribué sera versé en 2017 sur le compte bancaire français du lauréat. Le Réseau franco-néerlandais prend en charge le billet de train 2e classe aller-retour de France aux Pays-Bas du lauréat. Le Prix d’Amsterdam peut recevoir des donations de divers organismes publics et privés.

Remise du prix

Le Prix d’Amsterdam sera remis au lauréat par l’ambassadeur des Pays-Bas en France, lors d’une réception à la résidence des Pays-Bas à Paris. La date de la cérémonie est fixée en concertation avec le lauréat, les membres de l’Initiative franco-néerlandaise et le jury du Prix d’Amsterdam. L’organisation du Prix d’Amsterdam proposera une liste d’invités aux services compétents de l’ambassade des Pays-Bas en France, qui se chargeront d’établir une liste définitive. Les invitations officielles seront envoyées par l’ambassade.

Obligations et engagements du lauréat

Durée du séjour : dès la remise du prix, le lauréat s’engage à organiser et effectuer un séjour d’une année dans une université néerlandaise en 2017 et 2018.

Nature du séjour : au cours du séjour, le lauréat mènera à bien le projet de recherche qui a fait l’objet de la candidature, ou la contribution qu’il souhaite apporter à celui-ci à l’occasion de son séjour aux Pays-Bas.

Hébergement : l’hébergement est à la charge du lauréat. Il pourra bénéficier à cet égard des conseils et de l’appui – autre que financier – du Réseau franco-néerlandais.

Couverture sociale : la couverture sociale (assurance maladie et responsabilité civile) du lauréat durant son séjour aux Pays-Bas est à sa charge. Le Réseau franco-néerlandais se tient à la disposition du lauréat pour le conseiller et lui indiquer la meilleure marche à suivre en fonction de sa situation.

Inscriptions : le lauréat est personnellement responsable des inscriptions nécessaires auprès des établissements d’enseignement supérieur et/ou de recherche localisés aux Pays-Bas, dans lesquels il souhaite effectuer son séjour d’études ou de recherche. L’organisation du Prix d’Amsterdam pourra fournir, à la demande du lauréat, des lettres de recommandation à cette fin.

Bilan des activités : le lauréat présentera dans un rapport le bilan des activités scientifiques, pédagogiques ou culturelles menées durant son séjour. Il y précisera également l’importance de l’obtention de ce prix dans son parcours personnel et donnera des conseils et des recommandations au prochain lauréat dans l’objectif de faciliter les démarches pour celui-ci. Si le candidat ne fournit pas de bilan détaillé dans un délai de 2 mois après la fin du séjour, le montant de la bourse devra être intégralement remboursé à l’ambassade des Pays-Bas en France.

Communication sur le Prix, les travaux et les lauréats

Toutes les communications réalisées par les organisateurs et/ou le/la lauréat/e sur les travaux réalisés dans le cadre de ce prix mentionneront au-delà des mentions obligatoires (nom du lauréat et source) le titre « Prix d’Amsterdam ».

L’organisation du Prix d’Amsterdam pourra, en concertation avec le/la lauréat/e, communiquer des informations sur les lauréats et leurs travaux, tel que le rapport final de son séjour, et les intégrer dans sa communication dans les conditions susvisées, à l’occasion d’actions de communication interne et de relations publiques concernant le déroulement du Prix d’Amsterdam.

Ces actions de communication et de relations publiques visent notamment toute information sur tout support à destination des organisateurs, des partenaires et du grand public, tels que les membres du jury, des représentants de l’ambassade de France, de l’ambassade des Pays-Bas, du Réseau franco-néerlandais, des départements universitaires concernés, des anciens lauréats et des sponsors, sans que cela confère une rémunération, un droit ou un avantage quelconque autre que l’attribution du Prix d’Amsterdam.

Les conditions de participation

La date limite de réception des dossiers de candidature au Prix d’Amsterdam est fixée au 31 mars 2017.

Les dossiers devront être envoyés sous format PDF à Thomas Beaufils, secrétaire du Prix d’Amsterdam, directeur du Réseau franco-néerlandais aux deux adresses e-mails suivantes (les candidats recevront un accusé de réception) : thomas.beaufils@univ-lille3.fr et christiaan.seemann@univ-lille3.fr.

Les dossiers devront comporter les pièces suivantes (réunies dans un PDF unique) :

  1. La copie d’une pièce d’identité ;
  2. Une lettre de recommandation du directeur de mémoire de Master ou de la thèse ou d’un enseignant-chercheur ayant encadré le travail du candidat.
  3. Un exemplaire du travail académique écrit : mémoire de Master, TER, article, ou à défaut une copie des chapitres déjà rédigés ou d’un résumé.
  4. Un projet de recherche argumenté et motivé concernant le séjour aux Pays-Bas (5 pages maximum).
  5. Un CV détaillé, précisant si le postulant est déjà allocataire d’un autre prix ou d’une bourse.
  6. Un Relevé d’identité bancaire

Le choix de la structure d’accueil aux Pays-Bas revient au lauréat, avec l’aide de l’ambassade des Pays-Bas en France et du Réseau franco-néerlandais.

Seuls les dossiers complets seront pris en considération.

Tous les cas non prévus par le règlement seront arbitrés et décidés par l’organisation du Prix d’Amsterdam.

http://frankrijk.nlambassade.org/

http://nlfr.eu/

pays-bas fr-nl