Archives de catégorie : Ecoles

ESCEM et Caisse d’Epargne Loire-Centre – Chaire Management de la RSE

Tamym Abdessemed, Directeur Général de l’ESCEM et Jean François Paillissé, Président du Directoire de la Caisse d’Epargne Loire Centre inaugurent aujourd’hui la Chaire dédiée au Management de la responsabilité sociale. L’Escem et la Caisse d’Epargne s’engagent conjointement sur 3 ans dans une démarche de recherche partenariale active, dans un domaine au cœur de l’actualité économique et sociale.

Convaincus que ces préoccupations modifient profondément les rapports entre l’entreprise, la société et les individus, Tamym Abdessemed et Jean-François Paillissé estiment que ce champ « a besoin d’une pensée nouvelle et originale pour orienter les dirigeants dans la vision globale de leurs responsabilités et leurs styles de management ». Telle est la vocation de cette chaire.

Docteur en gestion, professeur en ressources humaines à l’Escem, Anne-Marie Fray est nommée Directeur Scientifique de la Chaire.  « La responsabilité sociale en tant que telle doit maintenant faire l’objet de management dans les organisations, en particulier sur le plan des ressources humaines. Elle amène des horizons de décision et des normes de performances inédits de même qu’elle impose des qualités nouvelles chez les managers », indique Anne-Marie Fray.

Actions à portée nationale et régionale en RSE

Avec un budget de l’ordre de 60 000 €, l’Escem et la Caisse d’Epargne Loire Centre ont la volonté de mettre en commun une expertise partagée en RSE afin de concevoir et développer des initiatives concrètes à court et moyen terme comme la création d’un observatoire des meilleures pratiques. La chaire travaillera également à construire des outils de pilotage et des indicateurs de mesure. Ces travaux associeront les universités partenaires de l’Escem afin de faire émerger un réseau de recherche et d’enseignement rôdé à ces problématiques.

Les actions porteront sur des publics diversifiés : les entreprises établies sur le territoire de la Caisse d’Epargne Loire-Centre, de même que les publics internes à la banque, comme par exemple ses sociétaires et ses équipes managériales.

A moyen terme, il est également prévu que la Chaire finance des bourses doctorales.

Un engagement et des convictions partagés

Adhérente au Pacte Global de l’humanité, l’Escem affiche le label Global Compact. Membre de l’Association des Campus Responsables, l’Ecole procure depuis 2003 à tous ses étudiants en formation initiale et continue, un enseignement dédié à la RSE. Elle a également développé au Canada, avec l’université de Sherbrooke, un parcours de spécialisation parmi les tout premiers de l’enseignement supérieur.

Forte de 2 siècles de philanthropie, après les bains douches et les jardins ouvriers, le livret A et le logement social, la Caisse d’Epargne a financé, de 2001 à 2008, des missions d’intérêt général par les programmes d’économie locale et sociale. Dans ce cadre elle a porté 942 projets solidaires pour plus de 16 millions d’euros.

Dès 2003, par ailleurs, le Groupe Caisse d’Epargne s’est engagé dans une démarche de développement durable avec, en premier jalon, la signature du Pacte mondial des Nations Unies. La même année, la Caisse d’Epargne Loire Centre a construit son plan d’actions sur la base des résultats de l’audit sollicité auprès de l’agence de notation Vigeo. En 2007 est lancé « Bénéfices Futur », programme innovant qui dynamise la démarche développement durable. A partir de 2009, la Caisse d’Epargne Loire Centre met en place une politique de responsabilité sociale composée à la fois d’engagements externes partagés (philanthropie, inclusion financière) et d’initiatives à caractère social ou environnemental dans la gestion de son activité. Elle engagera chaque année un montant important de son PNB à cette politique de RSE.

Quatre chaires spécialisées en cohérence avec les valeurs de l’Ecole

Etre en ligne avec les valeurs d’humanisme qu’elle défend et participer au développement de nouvelles connaissances en science de gestion pour l’entreprise, tel est le fil conducteur des projets de Chaires de l’Escem depuis 4 ans.

Confortée par le leadership de son pôle ATELIS, l’Escem lance en 2005 sa première Chaire en intelligence économique avec Microelectronics. 2007 et 2008 voient la création de deux nouvelles chaires spécialisées. L’une dans la finance solidaire avec l’ONG fondée et dirigée par Jacques Attali (PlaNet Finance) et l’autre avec le groupe Audiens, en vue de promouvoir la recherche en économie sociale.

Le lancement de cette quatrième Chaire en Management de la Responsabilité Sociale en partenariat avec la Caisse d’Epargne Loire-Centre permet à l’Escem de poursuivre la promotion des thèmes et des valeurs qui lui sont chers mais aussi de conforter le développement de son offre de formation initiale et continue.

SKEMA Business School 25e du classement du Financial Times

Le Financial Times vient de publier son Classement annuel mondial 2018 des programmes Masters in Management. Présente dans ce palmarès depuis sa création en 2009, SKEMA Business School se classe 25e sur 100 institutions pédagogiques internationales cette année et progresse ainsi de 10 places par rapport à l’édition 2017.

SKEMA Business School en progression

L’école SKEMA Business School était en effet au 26e rang en 2016, 35e en 2017 et reprend sa place à cette 25e place cette année. A noter, en guise de réflexion, que les périmètres changent, le nombre d’écoles, de même que les critères de classification.

SKEMA Business School se hisse également à la 5e place parmi les 25 meilleures Grandes Écoles françaises représentées.

Dans ce panorama mondial, SKEMA se distingue particulièrement sur plusieurs critères :

  • La mobilité internationale des étudiants (International Mobility): l’école gagne une place et se situe au 17e rang
  • Les objectifs atteints par les diplômés grâce à leur diplôme (Aims achieved): SKEMA progresse de 12 places et se situe au 20e rang mondial
  • La proportion d’étudiantes (Female students)en comparaison des étudiants : SKEMA se classe 13e
  • La féminisation du corps professoral (Female Faculty): SKEMA figure en progression de 4 rangs sur ce critère et se classe 21e

Une progression qui fait écho au modèle pédagogique que développe SKEMA et qui s’appuie sur les trois nouvelles académies autour desquelles se déploie désormais le corps professoral de l’école : innovation, globalisation, digitalisation.

Alice Guilhon, Directrice Générale de SKEMA et Présidente du Chapitre des Ecoles de Management de la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) se réjouit de ce résultat : « Si nous ajoutons à ce palmarès notre 4e place dans le dernier classement mondial du FT sur les formations en Finance (programme MSc Financial Markets and Investments), la pertinence de notre modèle se voit renforcée».

SKEMA Business School

L’IAE Aix-Marseille fait la part belle aux femmes

Alors que la Journée de la Femme – de toutes les femmes – aura lieu le mercredi 8 mars 2017, l’IAE Aix-Marseille rappelle être un pionnier particulièrement actif de la parité homme-femme dans l’univers de l’enseignement supérieur du management. Depuis 3 ans, l’Établissement a pris plusieurs initiatives pour féminiser ses 3 instances de gouvernance : Conseil d’administration, Comité de Direction, Comité Exécutif.

Les femmes responsables

Pour Virginie de BARNIER, Directrice de l’IAE Aix-Marseille : « Quand j’ai pris la direction de l’Établissement, en septembre 2013, notre Conseil d’Administration comptait seulement 8 femmes sur ses 26 membres. Aujourd’hui nous avons atteint la parité puisque notre CA est composé de 13 hommes et de 13 femmes. Je rappelle que l’IAE Aix-Marseille est porteur d’une vision éthique et sociale du management. Peut être plus que les hommes, les femmes partagent cette démarche responsable ».

L’IAE Aix-Marseille a aussi féminisé sa gouvernance opérationnelle : le Comité de Direction et le Comité Exécutif sont composés à 80% de femmes.

Et Virginie de BARNIER d’ajouter : « La plupart des Business Schools françaises privées ont peu de femmes dans leurs instances de gouvernance. Elles se privent de compétences, de savoir-faire, de créativité et de différentiation. Pour paraphraser Aragon, je le dit très clairement : la femme est l’avenir de l’enseignement supérieur en management ! ».

Et les étudiantes ?

Parmi les étudiants présents à l’IAE, les jeunes femmes (58% de l’effectif total) choisissent principalement les formations en Communication, en RH, en International Business et en marketing des services.

Proportion de femmes à l’IAE aix-Marseille
Personnel administratif 87% de femmes
Codir (Comité de direction) 80% de femmes
Comex (Comité exécutif) 80% de femmes
CA (Conseil d’Administration) 46% de femmes
Cergam research advisory board 33% de femmes
Strategic advisory board 20% de femmes
Professeurs permanents 43% de femmes
Effectif étudiants 58% de femmes

Diplômés 2014 : différences Hommes / Femmes

Femmes Hommes
Inscrits 0,55 45%
Salaire 30K€ 32K€
Salaire avec bénéfices 32K€ 40K€
taux d’emploi 93% 95%
Durée de recherche 100 % 6 mois 100 % 6 mois
CDI 72% 81%
vivent à l’étranger 22% 19%
Paris 31% 29%
PACA 31% 44%
continuing studies 3% 2%
Secteur :
Audit 7% 6%
Banking 8% 12%
Commerce 13% 6%
Communication 11% 8%
consulting 5% 8%
Engineering 16% 22%
Master :
Audit 48% 52%
Communication 83% 17%
MG (Général) 27% 63%
MGIM (Management de projets innovants) 61% 39%
IMMIT 51% 49%
RH 96% 4%
GSI (science de l’informatique) 11% 89%
IB (International Business) 67% 23%
MFI (Finance) 47% 53%
MBM (Marketing) 48% 52%
MAS (Marketing des services) 62% 38%
CDG (Finance) 48% 52%

femmes

BeM et Esc Pau : naissance d’une dynamique régionale

Recomposition du paysage de l’enseignement supérieur avec la fusion des deux grandes écoles aquitaines : BeM (Bordeaux)
et le Groupe ESC Pau. Un processus validé par l’AG de la CCI Pau Béarn, le 2 mai 2012 et entériné par l’AG de la CCI de Bordeaux, présidée par Pierre GOGUET en présence de Patrick de STAMPA,
Président de la CCI de Pau Béarn, ce 15 mai. Prochaine étape, inscrire ce rapprochement dans la dynamique d’alliance BeM et Euromed Management (Marseille) qui figurent en bonne place dans les
écoles leaders sur un plan européen. De quoi changer radicalement l’environnement des business schools.

«Cette volonté régionale devrait renforcer notre présence dans le processus de fusion déjà bien engagé avec Euromed
Management»
explique Pierre GOGUET, Président de la CCI de Bordeaux qui rajoute «il s’agit de jouer la complémentarité et de capitaliser sur les spécificités des deux écoles, comme ont
su le faire, avec succès, nos homologues marseillais et toulonnais»
.

Ce nouvel axe Bordeaux/Pau et Biarritz en 2015 devrait contribuer à l’attractivité et au rayonnement des territoires et
faire de la région Aquitaine un véritable pôle d’excellence en matière de formation.

Une alliance au bénéfice des entreprises et des étudiants

Ce rapprochement «va permettre d’accroître fortement un ancrage sur le territoire tourné toujours plus vers les PME
pour répondre à leurs attentes de diplômés de qualité»
estime Patrick de STAMPA, Président de la CCI de Pau qui reprend «nous constituons ainsi un triangle d’or : Bordeaux, Pau et
Biarritz».

Par une approche pédagogique voisine et des intentions stratégiques comparables, cette fusion devrait augmenter le nombre
d’enseignants/chercheurs, renforcer la qualité de l’enseignement et surtout consolider un budget global qui ouvrirait des perspectives prometteuses.

Une situation actuelle qui évoluera rapidement à la hausse

BEM

ESC Pau

BEM/ESC Pau

BeM/ESC PAU/Euromed

Etudiants (TOTAL)

3 513

1 375

4 913

9 213

Enseignants-Chercheurs permanents

75

38

110

223

Budget (millions d’euros)

33

13

46

96

Partenaires internationaux

144

44

188

343

Accréditations

EQUIS, AACSB, AMBA

EPAS

EQUIS, AACSB, AMBA, EPAS

EQUIS, AACSB, AMBA

Campus

Bordeaux, Paris, Dakar

Pau, Fez, Bangalore et Biarritz (septembre 2015)

Bordeaux, Paris, Dakar, Pau, Fez, Bangalore et Biarritz (septembre 2015)

Bordeaux, Paris, Dakar, Marseille, Toulon, Marrakech, Shangaï-Suzhou, Pau, Fez, Bangalore, Biarritz (septembre
2015)

5 000 étudiants à BeM dès la rentrée 2014

Preuve de cette dynamique, la CCI de Bordeaux a engagé 40 M d’euros pour agrandir son école (bâtiment double de quelque
15 000 m²). Objectif : passer à 5 000 étudiants dès la rentrée 2014.

600 étudiants à Biarritz dès la rentrée 2015 qui s’ajoutent aux 1 467 étudiants présents sur le campus de
Pau

La CCI de Pau engage 20 M d’euros environ d’investissements (bâtiment de quelque 7 000 m2) pour renforcer son ancrage
territorial, sa notoriété internationale et ses partenariats importants avec l’Espagne.

Redistribuer les cartes dans le cercle international des Business Schools

Evoluer, s’adapter, mutualiser, gagner en visibilité et mieux déployer les ressources financières… telles sont les
motivations de cette fusion entre les deux business schools de Bordeaux et de Pau qui est un épisode complémentaire au processus de rapprochement entre BeM et Euromed Management intervenu le 16
janvier dernier.

Le Programme Grande Ecole de l’INSEEC couronné par l’association internationale AMBA

Par un courrier du 24 janvier dernier, l’International Accreditation Advisory Board de l’Association of MBA’s (AMBA) a décerné officiellement son prestigieux label au Programme Grande Ecole de l’INSEEC, pour une durée de 3 ans.

Le Programme Grande Ecole de l’INSEEC reconnu

Cette excellente nouvelle confirme la progression et la dynamique de l’INSEEC BS qui lui ont permis de satisfaire aux standards académiques internationaux les plus exigeants. En effet, l’INSEEC BS entre ainsi dans le cercle restreint des 10 établissements français en Management dont le programme Grande Ecole est accrédité par l’AMBA. Dans le monde, seules 2% des Business Schools ont déjà obtenu ce label international.

Le rapport d’accréditation a notamment salué :

  • la localisation des campus et la qualité des infrastructures
  • l’excellence et la diversité du corps professoral
  • les performances du centre de recherche
  • la professionnalisation des étudiants et la qualité du réseau des partenaires et anciens
  • le dynamisme et le potentiel d’innovation et de créativité de l’école

« L’AMBA a souligné des innovations pédagogiques récentes et particulièrement originales comme le Challenge Stratégie 360 ou le Programme Start-up Factory délivré sur les campus de Genève et San Francisco » se réjouit Catherine Lespine, Présidente du Groupe INSEEC.

Pour sa part, Rémy CHALLE, Directeur de l’INSEEC Business School, tient à souligner que « le travail fourni par les équipes pour l’obtention de cette accréditation se révèle un véritable levier managérial et permet de disposer d’indicateurs de qualité de formation très pertinents ».

Programme Grande Ecole de l'INSEEC

L’ICD et l’EPF lancent le Bachelor Digital Innovators

Les fonctions commerciales et marketing évoluent et se transforment dans un contexte marqué par la globalisation et la digitalisation, c’est la raison d’être de ce nouveau Bachelor Digital Innovators. L’ICD et l’EPF anticipent pour répondre aux nouvelles demandes des entreprises en proposant aux étudiants une collection de Bachelors « Future Innovators ». Élaborés sur 3 ans, exclusifs, hybrides et professionnalisants, ils explorent les nouveaux territoires de développement des entreprises pour répondre aux demandes émergentes mondiales.

icd

Le Bachelor Digital Innovators, ou comment former des experts du marketing 4.0

Former des spécialistes du marketing, capables de manier les données et d’introduire l’intelligence artificielle dans leurs actions, tel est l’objectif du nouveau Bachelor Digital Innovators créé par l’ICD et l’EPF. La révolution DATA que vit aujourd’hui le secteur du marketing, s’accompagne de l’émergence de nouveaux métiers pour lesquels des profils dotés de compétences hybrides en marketing et en informatique sont nécessaires. Le Bachelor Digital Innovators permettra à ces digital Marketeurs de demain de savoir collecter, valider, décrypter la DATA afin d’opérer une segmentation des marchés sur des bases statistiques et informatiques et de monter des campagnes de communication et marketing quasiment automatisées (blockchain, marketing automation) pour une meilleure fidélisation par du contenu et des offres personnalisées. Dans l’enseignement proposé par l’ICD et l’EPF une part importante sera également accordée à la créativité et la culture (art, design, cinéma…) afin de cultiver curiosité et ouverture sur le monde.

Le Bachelor Tech Sales Management devient le Bachelor Business Innovators

Premier né de la collection « Future Innovators » le Bachelor Tech Sales Management est aujourd’hui rebaptisé Business Innovators. Ce programme créé en septembre 2016, verra sa première promotion diplômée en juin 2019. Conçu dans l’objectif de proposer une formation unique à double compétence ingénierie et business, le Bachelor Business Innovators a pour vocation de former des spécialistes capables de développer, de gérer et de déployer la vente de biens et services techniques tels que du matériel, des équipements scientifique ou industriel ; des systèmes d’information ou de production, des services informatiques, de télécommunications, énergétiques et d’électricité à destination des entreprises, des collectivités territoriales ou des Etats, sur le marché national et international.
Ce bachelor est le premier résultat d’une hybridation totale entre formations polytechnique et commerciale pour former les managers des ventes technologiques de demain.

Les points forts des Bachelors Digital Innovators et Business Innovators :

  • Programme conjoint école de commerce / école d’ingénieur-e-s,
  • Cursus en 3 ans,
  • Semestre à l’international,
  • Enseignement 100% en anglais dès la 2e année,
  • Alternance en 3e année,
  • 10 mois d’expérience professionnelle,
  • Une approche transversale,
  • Accessible aux bacheliers S, STI2D, STMG, ES et L spé Maths,
  • Inscription sur parcoursup.fr,
  • Poursuite d’études à Bac+5 programme Grande Ecole ou MBA à l’ICD. Possibilité d’intégrer le cycle ingénieur de l’EPF, sous réserve du niveau académique (soumis à étude du dossier et jury).

Pour une différenciation

 « Nous avons décidé de co-concevoir des programmes différenciants qui allient stratégie et technicité fondés sur nos expertises respectives en commerce et en ingénierie. Ils permettent de répondre aux demandes croissantes des start-up et des entreprises investies dans des domaines d’activités à fort potentiel de développement » explique Benoît Aubert, Directeur de l’école ICD, International Business School,

« Le futur appartiendra à ceux qui se saisiront des opportunités d’un monde qui se réinvente sans cesse. C’est pourquoi nous avons conçu une collection de formations exclusives pour accueillir les grands défis technologiques et économiques de demain. Future Innovators s’adresse à celles et à ceux qui souhaitent écrire cet avenir » ajoute Jean-Michel Nicolle, Directeur de l’EPF, Ecole d’ingénieur-e-s.

« J’ai intégré le Bachelor Business Innovators en 2e année après une réorientation en prépa ingénieur. Je souhaitais faire une formation très concrète. Ce cursus est passionnant car il fait le lien entre deux mondes qui doivent se comprendre pour travailler ensemble. La double compétence de la formation permet d’une part d’apprendre à mesurer les besoins et les enjeux économiques à travers les enseignements « commerce », et d’autre part, à travers les enseignements ingénierie à comprendre les technologies, leurs impacts et trouver des solutions techniques » souligne Laurène Armandon, étudiante 3e année Bachelor Business Innovator. »

Livre blanc Arpejeh : propositions pour les jeunes en situation de handicap

Chez Arpejeh il n’y a ni tapis rouge, ni palme d’or, mais cette association est toutefois fiers de présenter LE CLIP de l’événement de lancement du Livre blanc Arpejeh : “Pour un accès effectif des jeunes en situation de handicap aux études supérieures et à l’emploi” et ses 7 propositions d’actions.

L’Arpejeh fait des propositions

Rappelons-le, ce Livre blanc est le fruit d’une série d’entretiens avec divers acteurs du monde éducatif, associatif, politique et économique ayant pour but de construire une véritable synergie dans les domaines de la formation et de l’insertion des jeunes en situation de handicap.

… Et après des jours d’une longue attente – dixit l’association agréée au niveau national par le Ministère chargé de l’Education nationale au titre des associations éducatives complémentaire de l’enseignement public – l’heure est enfin venue pour vous de découvrir le clip qu’Arpejeh a défendu tout au long de cette édition 2017.

Livre blanc Arpejeh présenté en vidéo

http://www.arpejeh.com/site/show-video.php?id=4201

Livre blanc Arpejeh bertrand signé

L’incubateur Antropia ESSEC lance l’appel à candidature pour le programme Scale Up

L’incubateur Antropia ESSEC lance l’appel à candidature pour le programme Scale Up.

Scale Up est une initiative unique en France, développée conjointement par l’ESSEC Business School et les Fondations Edmond de Rothschild. Elle vise à favoriser la réussite, la croissance et le changement d’échelle des entreprises socialement innovantes.  Scale Up propose un accompagnement d’un an, complet et de haut niveau.

Ce soutien comprend notamment :
– Des séminaires de formation à l’ESSEC,
– Un accompagnement stratégique par un professionnel de la Banque Edmond de Rothschild
– L’accès à un réseau d’experts et d’investisseurs
– La mise en relation avec de grandes entreprises
– L’appui d’un stagiaire pendant 6 mois
– Le soutien d’une communauté d’entrepreneurs engagés

Cette année, le programme comprendra également un track “Silver economy”, à destination des acteurs du bien-vieillir ayant des projets de changement d’échelle. Ce track, développé en partenariat avec Humanis, s’appuiera  sur l’expérience des centres d’excellence de l’ESSEC.

Pour bénéficier de cet accompagnement, les entreprises intéressées peuvent postuler sur www.programmescaleup.org jusqu’au 31 mars à minuit.

Antropia ESSEC

BNP Paribas et Antropia ESSEC aident les entrepreneurs sociaux

BNP Paribas, BNP Paribas Cardif et Antropia ESSEC s’associent pour accompagner les entrepreneurs sociaux et dévoilent les trois premières start-ups soutenues dans le cadre de ce partenariat.

Les entrepreneurs sociaux pour forger demain

En s’associant avec Antropia ESSEC, le groupe BNP Paribas contribue à l’accélération de l’activité de sept entrepreneurs sociaux sur 18 mois sur les thématiques de la santé et du maintien de l’autonomie.

Les 3 premières start-ups sélectionnées dans le cadre de ce dispositif d’accompagnement sont :

  • APA de Géant : qui sensibilise au handicap à travers la pratique sportive mixte
  • Humaniteam- Design&Healthcare un laboratoire de design centré sur la santé et l’accessibilité
  • EPISONIK SONOsphère. qui propose une expérience musicale et sensorielle destinée aux jeunes et adultes en situation de polyhandicap mais également aux personnes âgées en perte d’autonomie placés dans des structures médicalisées.

Un programme de mécénat de compétences est notamment mis en place afin de faire émerger ces start-ups aux ambitions sociales et durables.

Antropia ESSEC, premier catalyseur d’entreprises sociales lancé par une Ecole de Commerce en France, a pour mission d’encourager l’émergence et le développement d’entreprises à fort impact social ou environnemental. Créé en 2008 par la Chaire Entrepreneuriat Social de l’ESSEC, Antropia ESSEC a accompagné à ce jour plus de 100 projets innovants avec un taux de pérennité supérieur à 80% à 3 ans. « Nous offrons un accompagnement individuel et collectif aux entrepreneurs pour les aider à définir un modèle économique pérenne et à maximiser leur impact social. Nous nous appuyons sur les travaux de recherche-action de la chaire entrepreneuriat social et plus largement sur l’expertise académique accumulée par l’ESSEC dans le cadre de son activité en faveur de l’entrepreneuriat depuis 2001 » explique Thierry Sibieude, Professeur titulaire de la chaire de l’entrepreneuriat sociale à l’ESSEC et trésorier d’Antropia.

Accompagner les acteurs de l’Economie Sociale et Solidaire dans leur croissance et leur développement fait, pour BNP Paribas, partie intégrante du métier de banquier. Depuis 2013, le Groupe a renforcé son engagement en faveur des entreprises qui font de leur finalité sociale une priorité, à travers un dispositif d’accompagnement dédié aux entrepreneurs sociaux et la mise a disposition d’expertise (financière, assurance, immobilière…) par ses collaborateurs.

Près de 630 M€ ont ainsi été dédiés à plus de 750 acteurs de la microfinance et de l’Entrepreneuriat Social en 2015, à travers plusieurs leviers d’action. « Etre associé à Antropia ESSEC est une étape supplémentaire dans notre engagement. Coopérer avec la Chaire Entrepreneuriat Social de l’ESSEC est une double opportunité : celle d’affiner encore notre connaissance et notre compréhension d’un modèle économique en plein essor ; celle aussi d’aider à faire grandir des start ups nouvelle génération qui mettent leur talent au service de l’intérêt général » affirme Raphaèle Leroy, Responsable RSE et Entrepreneuriat Social, BNP Paribas, Réseaux France.

« Il nous semblait naturel de nous associer à l’ESSEC dans ce projet. Soutenir le développement de l’entrepreneuriat social en Europe est au confluent de notre responsabilité économique et de notre responsabilité civique. Dans chaque pays où nous avons une présence de banque de détail, nous avons choisi de consolider notre engagement vis-à-vis de l’entrepreneuriat social via des partenariats locaux ou des produits spécifiques (lien vers le .com). Avec l’ESSEC, nous mettons en place une passerelle qui nous permettra on l’espère d’offrir aux Antropiens les services bancaires les mieux adaptés à leurs besoins, via nos métiers de Banque de Détail et BNP Paribas Cardif », déclare Laurence Pessez, déléguée à la RSE du groupe BNP Paribas.

« Ce partenariat, qui intégre une composante sociale, est une nouvelle étape dans notre démarche de responsabilité sociétale d’entreprise. Nous élargissons le mécénat de compétence aux entrepreneurs sociaux d’Antropia ESSEC. L’accompagnement que nous proposons fait partie d’une démarche plus globale destinée à renforcer nos investissements à fort impact social et environnemental», conclut Héloise Lauret, Responsable RSE et Innovation de BNP Paribas Cardif.

antropia

 

ISTEC : Pierre LARRAT nommé Directeur Général

Pierre LARRAT est nommé Directeur Général de l’ISTEC à partir du 10 mars 2020. Il succède à Benoît HERBERT, qui dirigeait l’école depuis 2000.

Pierre Larrat

Pierre Larrat

Docteur ès Sciences de Gestion (Paris II), diplômé d’un Master II informatique (CNAM) et d’un Master II Sciences de l’information (Université Aix-Marseille), Pierre Larrat a débuté sa carrière en tant que consultant en organisation et systèmes de formation pendant 10 ans puis il intègre le groupe ESCEM en 2002 comme professeur associé. En 2003, il prend la tête d’Atelis et de l’institut de la Compétitivité du Groupe ESCEM, qu’il dirige jusqu’en 2008. Il embrasse ensuite une carrière de manager en tant que Directeur Général du Groupe HAP puis du CIMI (Centre International de Maintenance Industrielle), avant de diriger le Campus de l’IDRAC Bordeaux où il a développé l’offre de formations et les partenariats entreprises. Depuis 2018, il était consultant stratégie auprès de grands comptes et auditeur certification AFNOR sur la norme QUALIOPI.

« Pierre LARRAT apportera à notre école ses compétences en matière de pédagogie et de gestion d’équipe. Nous profiterons également de son expérience dans le domaine de la recherche, qui aidera l’ISTEC à s’ouvrir encore davantage aux exigences actuelles dans un environnement en constante évolution ».

Stéphane CHAPERON (ISTEC 1986), Président du Conseil d’Administration de l’ISTEC – l’ADEC

ISTEC en chiffres

Fondée en 1961, l’ISTEC, Ecole Supérieure de commerce et marketing est un établissement privé d’enseignement supérieur, reconnu par l’Etat. L’école, indépendante, gérée par ses diplômés est une association loi 1901 à but non lucratif. Membre de la Conférence des Grandes Ecoles, l’ISTEC accueille plus de 1 500 étudiants dans ses différents programmes Bac+3 Bachelor inscrit au RNCP Niveau 6 (Nomenclature européenne), Bac+5 Grande Ecole, Diplôme Visé – Grade de Master, MBA, DBA, VAE et formation continue. L’ISTEC donne la possibilité à ses étudiants de suivre leur cursus en alternance ou en apprentissage dès leur 1re année d’études en Programme Bachelor et en Programme Grande Ecole.

L’ISTEC s’appuie sur ses valeurs distinctives ; le Respect, l’Engagement, la Curiosité, l’Audace et la Solidarité pour développer les talents spécifiques de ses étudiants et les préparer à devenir des managers responsables et engagés.

ISTEC : Laurent Ploquin nouveau Directeur Général et Eric Le Deley nommé Directeur Académique

L’ISTEC renforce son équipe de direction avec l’arrivée de Laurent Ploquin au poste de Directeur Général, la nomination d’Eric Le Deley en tant que Directeur Académique et Doyen de la faculté de l’école et celle de Pierre Larrat comme Directeur du Développement du nouveau groupe formé avec l’EEMI.

ISTEC renforce son équipe de direction

Laurent PLOQUIN intègre l’ISTEC fort de 25 années d’expérience professionnelle dans l’enseignement supérieur et la formation professionnelle, au cours desquelles il a occupé différentes responsabilités de développement, en France et à l’international, d’ingénierie pédagogique, de management d’équipe et de conseil. Il a exercé ses responsabilités essentiellement au sein du Groupe ESSEC dont il est diplômé et pour lequel il dirigeait le Centre de Formation des Apprentis avant de rejoindre l’ISTEC en tant que Directeur Général de l’école.

Eric LE DELEY, Docteur en Sciences de Gestion, a débuté sa carrière comme professeur vacataire à l’ESSEC, maître de conférences à l’ENA ainsi qu’à l’École Nationale des Ponts et Chaussées. Il a ensuite été Enseignant-chercheur à NEOMA Business School de 2004 à 2015 et directeur de département de 2013 à 2015. Il travaille avec l’École de Guerre Économique depuis 2002. Spécialisé en négociation et gestion des conflits, il a collaboré à la retranscription d’ouvrages de négociateurs et diplomates français. Il a publié en janvier 2021 “Les 7 négociations qui ont fait l’histoire de France”. Éric Le Deley rejoint l’ISTEC en tant que Directeur Académique et Doyen de la faculté de l’école.

Pierre LARRAT, titulaire d’un doctorat en sciences de gestion et d’un master en systèmes d’information, a commencé sa carrière en tant que consultant, avant d’intégrer le monde académique comme professeur puis directeur. Après avoir accompagné l’an dernier l’école dans sa transformation. Il évolue à présent en tant que Directeur du Développement du nouveau groupe formé par l’ISTEC et l’EEMI.

Une équipe dirigeante mobilisée autour d’un projet académique innovant

La volonté de l’ISTEC est d’offrir une expérience pédagogique unique portée par une offre de programmes renouvelée, la création de double-diplômes, la mise en oeuvre de passerelles et de nouvelles spécialisations, le soutien aux porteurs de projets entrepreneuriaux et le développement de partenariats en France et à l’étranger.

Cette ambition s’appuie sur l’excellence académique de ses enseignements, le recrutement de nouveaux professeurs-chercheurs, la qualité des publications de recherche, l’expertise de ses intervenants professionnels et une forte proximité avec les entreprises qui s’illustre notamment par la possibilité qui est donnée aux étudiants de suivre leur cursus en alternance dès leur 1ère année d’études post bac en Bachelor (Bac+3) et en Grande École (Bac+5).

L’objectif est l’accélération de la différenciation de l’ISTEC soutenue par un portefeuille de nouvelles formations valorisant la complémentarité des compétences : retail, marketing, digital et l’intégration des enjeux sociétaux au sein des programmes Bachelor, Grande Ecole et MBA pour une insertion professionnelle réussie de ses étudiants et diplômés.

À propos de l’ISTEC

Fondée en 1961, l’ISTEC, Ecole supérieure de commerce et marketing est un établissement privé d’enseignement supérieur, reconnu par l’Etat. Située dans le 1er décile des Business Schools françaises, membre de la Conférence des Grandes Ecoles, l’école dispense des titres RNCP (6 et 7) et des diplômes reconnus par l’Etat et visés par le Ministère de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation (Bachelor Bac+3 et Grande Ecole – Grade de Master Bac+5). En 2021, l’ISTEC accueille plus de 1200 étudiants dans ses différents programmes Bac+3 Bachelor, Bac+5 Grande Ecole – Grade de Master, MBA, DBA, et VAE. Fidèle à son histoire, l’ISTEC s’appuie sur ses valeurs distinctives ; le Respect, l’Engagement, la Curiosité, l’Audace et la Solidarité pour développer les talents spécifiques de ses étudiants et les préparer à devenir des managers responsables et engagés. Think, Create, Act, Together.

www.istec.fr – https://twitter.com/ISTEC_Paris

Création de la Chaire Good in Tech

Repenser l’innovation et la technologie comme moteurs d’un monde meilleur pour et par l’humain : tel est l’objet de la Chaire Good In Tech, dont le lancement se déroule jeudi 12 septembre 2019. Elle est portée par Christine Balagué, professeure à Institut Mines-Télécom Business School, et par Marie-Laure Salles-Djelic, Professeure Doyenne de l’Ecole du Management et de l’Innovation de Sciences-Po, en partenariat avec Télécom Paris et Télécom SudParis. Cette Chaire est soutenue par 5 entreprises engagées sur le numérique responsable : AG2R LA MONDIALE, GROUPE AFNOR, CGI, DANONE, FABERNOVEL et SYCOMORE AM.

Logo de la nouvelle chaire Good in Tech

Le développement de technologies responsables pour le bien des humains

L’innovation numérique est source d’innovation et de progrès dans de nombreux secteurs économiques, mais elle peut potentiellement impacter négativement l’individu, le citoyen, la société.

Les objectifs principaux la Chaire sont à la fois de créer de nouvelles connaissances sur les enjeux des technologies responsables et éthiques, et de contribuer à la diffusion de ces connaissances dans des registres académiques et pédagogiques mais aussi auprès des entreprises, des décideurs et régulateurs et du grand public. Les questions explorées seront les suivantes :

  • Comment réconcilier innovation technologique et société durable et responsable (i.e. au service de l’humanité) ?
  • Comment concevoir des technologies responsables qui génèrent de la confiance ?
  • Comment développer une vision optimiste des technologies du futur, associées à un impact positif pour l’humain et la société ?
  • Comment modifier nos politiques publiques pour encourager un tel infléchissement de la révolution digitale ?
  • Comment déployer un leadership européen sur le développement d’un tel modèle, conjuguant durabilité, responsabilité et confiance au cœur de la technologie et alternatif aux modèles américains et chinois ?

Ces objectifs seront poursuivis dans les travaux qui seront menés autour des quatre axes

  • Innovation numérique responsable : quelles mesures ? Qu’entend-t-on par innovation numérique responsable ? Comment identifier ses dimensions et développer des métriques ? Comment l’intégrer dans la responsabilité sociale numérique des entreprises ?
  • Comment développer des technologies « responsables by design » ? Comment éviter les biais liés aux données ? Comment développer des technologies « responsables by design » plus explicables, redevables, équitables et respectant la régulation sur les données personnelles ?
  • Réinventer les futurs : Quelle société pour demain dans un monde numérique ? Comment réinventer les futurs dans une perspective fidèle aux Lumières, de préservation du principe d’égalité appliqué au monde connecté ?
  • Gouvernance de l’innovation et des technologies responsables : Quels sont les mécanismes de gouvernance de l’innovation numérique responsable ? Quels sont les niveaux pertinents de cette gouvernance : mondiale, nationale, entreprise ?

Développer les interactions autour de l’innovation numérique responsable

La Chaire Good In Tech vise à créer et à développer un écosystème d’interactions entre la recherche, les entreprises, les étudiants des deux Institutions académiques partenaires, la société civile et les décideurs politiques, afin de sensibiliser tous les acteurs à ce nouveau paradigme sur les technologies et l’innovation numérique responsables.

La Chaire développera également des partenariats internationaux, en particulier européens, pour porter de manière coordonnée les enjeux d’innovation numérique responsable. 

Enfin, la Chaire Good In Tech ambitionne de porter les résultats de ses travaux et des débats structurés et multi-parties prenantes, qu’elle organisera au niveau des instances politiques nationales et européennes, avec pour objectif d’infléchir les politiques publiques.

Les bénéfices du partenariat Institut Mines-Télécom / Sciences Po

Le partenariat entre Institut Mines-Télécom Business School et ses écoles partenaires (Telecom Paris et Télécom SudParis) et L’Ecole de Management et d’Innovation de Sciences Po permet de mener des recherches interdisciplinaires sur les enjeux des technologies éthiques et responsables, fondées sur la complémentarité des disciplines scientifiques des chercheurs des deux institutions : Sciences Humaines et Sociales, Science informatique, Sciences de l’ingénieur. La collaboration des deux institutions académiques de renom permettra également de porter les résultats des travaux auprès des décideurs, au niveau national comme européen.

Les recherches au sein de la chaire Good in Tech

Deux séminaires académiques ont été organisés par la Chaire autour des technologies « responsables by design » (8 avril 2019) et de l’innovation numérique responsable (7 mai 2019).

Les articles de recherche et travaux académiques sont à suivre sur le site de la Chaire www.goodintech.org

Télécom Ecole de Management est accréditée AACSB pour 5 ans

Télécom Ecole de Management vient d’être accréditée par l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business) pour une durée de 5 ans. Il s’agit de la deuxième accréditation internationale obtenue par l’école en l’espace d’un an, après l’AMBA en 2011. En France, Télécom Ecole de Management est le premier établissement public d’enseignement supérieur à obtenir deux grandes accréditations internationales. Elle fait désormais partie des 14 business schools françaises doublement accréditées AACSB et AMBA : Audencia Nantes, Bordeaux EM, EDHEC, EM Lyon, ESCP Europe, Euromed Marseille, Grenoble EM, Groupe Sup de Co Montpellier, HEC, INSEAD, Reims Management School, Rouen Business School, Toulouse Business School et Télécom Ecole de Management.

Le positionnement original de l’école salué par l’AACSB

L’AACSB labellise la stratégie de Télécom Ecole de Management et la qualité de ses formations. Les auditeurs ont également souligné la pertinence du positionnement de l’école basé sur la double expertise en management et technologies. Cette originalité reprise dans la signature de l’école, Managing Through Technology, distingue Télécom Ecole de Management sur le marché standardisé des business schools.

Un établissement public parmi les 650 meilleures business schools du monde

En France, Télécom Ecole de Management est le premier établissement public d’enseignement supérieur à obtenir deux grandes accréditations internationales, l’AACSB et l’AMBA. « Il existe environ 12 000 busines schools dans le monde. Nous sommes fiers de faire partie des 650 meilleures
d’entre elles, accréditées par l’AACSB
, affirme Denis Lapert, directeur de Télécom Ecole de Management. Cela démontre que l’on peut conjuguer l’idée de service public, avec les exigences de la compétitivité internationale ». La mission de service public de Télécom Ecole de Management se matérialise par un modèle social performant avec 38% d’étudiants boursiers (51% en 1re année), un budget élevé de 14 000 euros investi sur chaque étudiant et un taux d’encadrement serré d’un professeur permanent pour 16 étudiants. L’école propose également la scolarité la moins chère parmi les business schools françaises : 5 000
euros par an à partir de la rentrée prochaine.

L’AACSB : un nouveau levier stratégique pour Télécom Ecole de Management

Avec l’AACSB et l’AMBA, Télécom Ecole de Management conforte sa place parmi les meilleures business schools françaises. L’AACSB offre à l’école une visibilité supplémentaire pour attirer davantage d’étudiants et professeurs internationaux de haut niveau, et développer ses alliances avec des universités prestigieuses. « Nous allons renforcer notre présence dans les grands clusters technologiques aux Etats-Unis, en Inde et en Scandinavie pour travailler sur deux axes : la création de valeur dans l’économie numérique et la réflexion critique sur la société de l’information. Nous privilégierons la qualité des partenaires plutôt que la quantité », affirme Denis Lapert.

L’AACSB apporte à Télécom Ecole de Management un soutien pour le lancement de ses nouvelles formations en 2012 : le Bachelor « Management and IT », l’Executive MBA « Leading Innovation in a Digital World » et le PhD (doctorat international) « ITEMAR – International Technologies and Management Research ».

L’AACSB permet à Télécom Ecole de Management de postuler à l’entrée du prestigieux classement du Financial Times des meilleurs masters en management.

Figurer parmi les 30 meilleures business schools européennes en 2016

Depuis la fusion de l’Institut Télécom et du Groupe des Ecoles des Mines le 1er mars 2012, Télécom Ecole de Management est la business school de l’Institut Mines-Télécom*, premier groupe d’école d’ingénieurs de France avec 144 millions d’euros de budget, 12 000 étudiants et 1500 enseignants-chercheurs.

Dans le cadre de son plan stratégique 2016, l’école vise le top 30 européen.

L’Institut Mines-Télécom regroupe les 4 écoles de l’Institut Télécom (Bretagne, Télécom Ecole de Management, Télécom ParisTech, Télécom SudParis ) et les 6 écoles des Mines sous tutelle du ministère de l’économie, des finances et de l’industrie (Albi, Alès, Douai, Paris, Nantes et Saint-Etienne ), soit 10 écoles d’ingénieurs et de management. Le groupe comprend également les deux filiales Eurecom et Télécom Lille 1 et compte l’Ecole des Mines de Nancy en tant que partenaire stratégique. Enfin, l’Institut Mines-Télécom a un réseau de 10 écoles associées : ENSEEIHT, Enseirb-Matmeca, ENSG, ENSIIE, ESIAL, ESIGELEC, IFMA, Sup’com Tunis, Télécom Physique Strasbourg, Télécom
Saint-Etienne.

www.telecom-em.eu

Télécom Ecole de Management (ex-INT Mgt) : les moyens de ses ambitions

Télécom Ecole de Management (TEM) a formalisé un plan stratégique ambitieux. Placée aujourd’hui parmi les 8 meilleures écoles de commerce de France et très appréciée des DRH, TEM entend conquérir les trois accréditations internationales (EQUIS, AACSB, AMBA) et figurer parmi les 50 meilleures Business Schools européennes d’ici 2012. A cette échéance, l’école comptera 1 300 étudiants, soit une croissance de 50 % en 3 ans. TEM s’est donné les moyens de ses ambitions en modifiant sa gouvernance, son organisation interne et son business model. L’école souhaite grandir en conservant ses singularités : statut public, engagement social et forte empreinte des TIC (technologies de l’information et de la communication) dans ses enseignements.

Grandir tout en conservant sa vocation sociale et son expertise dans les TIC

TEM est une école originale dans l’univers des écoles de commerce. Publique, elle défend des valeurs de diversité et d’ouverture sociale. Elle propose les frais de scolarité les plus accessibles du marché : 2 500 euros par an, contre 6 500 euros par an en moyenne pour ses concurrentes. Elle distribue un grand nombre d’aides sociales et dispose d’une capacité exceptionnelle de 700 logements. L’autre particularité de TEM est de placer les TIC au cœur de ses enseignements de gestion et de management grâce à ses interactions avec son école sœur, Télécom SudParis, grande école d’ingénieurs dont elle partage le campus. Cela donne aux diplômés de TEM une véritable double culture « ingénieur-manager » très appréciée des entreprises. TEM souhaite grandir en conservant sa singularité et en capitalisant sur celle-ci.

Un nouveau business model

Gouvernance revue. TEM continuera à partager son campus avec Télécom SudParis pour développer des projets pédagogiques communs : formations, soutien à l’entreprenariat, etc. Mais elle se dote de services dédiés et gérera directement ses départements d’enseignements et de recherche.

Augmentation des ressources propres. A dotation constante de l’Etat, TEM augmentera son budget en développant ses ressources propres. Elles comptent actuellement pour 30 % du budget de l’école et atteindront 50 % en 2012. Pour cela, TEM a actionné quatre grands leviers :

  1. Augmentation des droits de scolarité du programme Grande Ecole. TEM va augmenter ses droits de scolarité, qui devraient passer jusqu’en 2012 deux paliers supplémentaires, « sans que
    les frais de scolarité ne deviennent une barrière à l’entrée de l’école 
    » précise Denis Lapert, son directeur.
  2. Croissance de la taille des promotions de 50 %. TEM forme aujourd’hui des promotions d’environ 200 étudiants. Ils seront 300 en 2012, soit une croissance de 50 %.
  3. Ouverture d’une filière en apprentissage. TEM a créé cette année une filière en apprentissage au sein de son programme Grande Ecole. Elle concernera 30 apprentis dès
    septembre 2009 et une centaine en 2012. Cette mesure doit permettre d’accroître la taxe d’apprentissage perçue par l’école.
  4. Apport de l’Executive Education et de la recherche. TEM projette d’ouvrir 2 nouveaux Mastères Spécialisés et 2 nouveaux Master of Science d’ici 2012. La recherche produite par l’école devra également générer un chiffre d’affaires croissant.

Création du fonds social TEM

L’école va injecter 30 % de ses nouveaux revenus dans un fonds social, qui proposera davantage de bourses et offrira de nouvelles aides aux étudiants. Le budget consacré à ce fond augmentera de près de 100 % entre 2009 et 2012, une croissance deux fois plus importante que celle des effectifs de l’école (50 %).

TEM développera de nouvelles mesures sociales : participation au logement, contribution aux repas, encouragement et soutien aux départs d’étudiants à l’étranger, fourniture d’ordinateurs portables à tous les étudiants boursiers et développement de prêts par l’association des diplômés.

Principales mesures du plan stratégique TEM 2012

·  Triple accréditation EQUIS, AACSB, AMBA (2010)

· Double diplôme ingénieur-manager avec Télécom Sud Paris (2010)

· Ouverture d’une salle des marchés (2010)

· 20 millions d’euros de budget (2012)

· Promotions de 300 étudiants dans le programme Grande Ecole (2012)

· 1 300 étudiants toutes formations confondues, dont 30 % d’étudiants étrangers (2012)

· 90 enseignants-chercheurs (2012)

· 100 apprentis (2012)

· 650 000 € de dépenses sociales par an (2012)

· 30 % de boursiers d’Etat (2012)

· 2 nouveaux Mastères spécialisés et 2 nouveaux Masters of science (2012)

· Développement et internationalisation de l’incubateur (2012)

· Signature de nouveaux accords de coopération internationale (2012)

www.telecom-em.eu/