Archives de catégorie : La recherche et écoles

Les écoles de la CDEFM favorisent les étudiants et la défense de leur modèle d’excellence

Les écoles de la CDEFM () poursuivent leur politique d’augmentation du nombre d’inscrits. Depuis trois ans, les écoles soutiennent ainsi leur modèle d’excellence via les classes préparatoires.

Une augmentation du nombre de places

Les écoles de la CDEFM s’engagent à limiter l’augmentation du nombre de places ouvertes pour leurs établissements à 15 maximum pour les concours BCE et Ecricome 2025 (concours ECG).

Le cas des admissions sur titre 2025

Concernant les concours des Admissions sur titre 2025, toutes les écoles membres de la CDEFM communiqueront selon un calendrier identique les résultats aux étudiants :

  • embargo sur les résultats des concours et/ou études de dossiers du 11 janvier 2025 au 10 février 2025
  • publication des admissions le mardi 11 février 2025, date identique pour toutes les écoles
  • affectations, inscriptions et demandes d’acompte à compter du mercredi 12 février 2025
  • embargo sur les résultats des concours et/ou études de dossiers du 10 mai 2025 au 9 juin 2025
  • publication des admissions le mardi 10 juin 2025, date commune pour tous
  • affectations, inscriptions et demandes d’acompte à compter du mercredi 11 juin 2025

En dehors de ces périodes, les écoles pourront communiquer leurs résultats aux étudiants selon les besoins.

Des allocations de recherche proposées par la Mission historique de la Banque de France


Chaque année
, la Mission historique de la Banque de France propose des allocations de recherche. Ces allocations de recherche sont ainsi attribuées à des étudiants régulièrement inscrits en master 1 ou 2, en thèse ou en année post-doctorale et relevant des disciplines suivantes : histoire, sociologie, sciences politiques, sciences économiques, droit et gestion.

Montants

Ces allocations, d’une durée d’un an, renouvelables, sont d’un montant de 1 800 euros et 3 600 euros. Ces sommes sont imposables. Elles sont versées en deux fois selon le calendrier suivant :

  • Master : 900 euros à l’issue du vote des membres du conseil scientifique de la Mission historique [CSMH], 900 euros en fin d’année universitaire sur présentation du relevé de notes, du procès-verbal de soutenance et / ou du mémoire ;
  • Thèse : 1 800 euros à l’issue du vote des membres du CSMH, 1 800 euros en fin d’année universitaire sur présentation d’un état des recherches et des premiers résultats obtenus au cours de l’année écoulée ;
  • Année post-doctorale : 1 800 euros à l’issue du vote des membres du CSMH, 1 800 euros en fin d’année universitaire sur présentation d’un état des recherches et des premiers résultats obtenus au cours de l’année écoulée.

Critères de sélection des dossiers

Les sujets de recherche devront revêtir une dimension historique et comporteront une exploitation précise des sources d’histoire de la Banque de France, conjointement à l’exploitation de toute autre source pouvant nourrir le sujet.

Les travaux s’ordonnent autour de trois pôles :

  • Histoire de la banque centrale, de sa place et de son rôle, y compris international, dans le domaine de l’histoire de la monnaie, du crédit et du change ;
  • Histoire de la Banque de France et de l’économie, de son action de banque commerciale, notamment à travers l’histoire de ses succursales dans leurs rapports avec les agents économiques locaux ;
  • Histoire des personnels de la Banque de France, de la politique sociale et de l’évolution des structures de l’entreprise.

La mise en valeur scientifique des fonds d’archives de la Banque de France ainsi que l’animation de la recherche historique sont principalement assurées par Michel Margairaz, professeur émérite à l’université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne et par Olivier Feiertag, professeur à l’université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Délai

Le lien qui suit permet de consulter le règlement des allocations de bourse et la fiche de renseignements à compléter.

La date limite de candidature est fixée au 29 novembre 2024.

Contact auprès de la Mission historique de la Banque de France

Pour tous renseignements supplémentaires, contactez l’adresse suivante : 1069-historique-ut@banque-france.fr

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Chaque année, la Mission historique de la Banque de France propose des allocations de recherche. Ces allocations de recherche sont ainsi attribuées à des étudiants régulièrement inscrits en master 1 ou 2, en thèse ou en année post-doctorale et relevant des disciplines suivantes : histoire, sociologie, sciences politiques, sciences économiques, droit et gestion.

Montants

Ces allocations, d’une durée d’un an, renouvelables, sont d’un montant de 1 800 euros et 3 600 euros. Ces sommes sont imposables. Elles sont versées en deux fois selon le calendrier suivant :

  • Master : 900 euros à l’issue du vote des membres du conseil scientifique de la Mission historique [CSMH], 900 euros en fin d’année universitaire sur présentation du relevé de notes, du procès-verbal de soutenance et / ou du mémoire ;
  • Thèse : 1 800 euros à l’issue du vote des membres du CSMH, 1 800 euros en fin d’année universitaire sur présentation d’un état des recherches et des premiers résultats obtenus au cours de l’année écoulée ;
  • Année post-doctorale : 1 800 euros à l’issue du vote des membres du CSMH, 1 800 euros en fin d’année universitaire sur présentation d’un état des recherches et des premiers résultats obtenus au cours de l’année écoulée.

Critères de sélection des dossiers

Les sujets de recherche devront revêtir une dimension historique et comporteront une exploitation précise des sources d’histoire de la Banque de France, conjointement à l’exploitation de toute autre source pouvant nourrir le sujet.

Les travaux s’ordonnent autour de trois pôles :

  • Histoire de la banque centrale, de sa place et de son rôle, y compris international, dans le domaine de l’histoire de la monnaie, du crédit et du change ;
  • Histoire de la Banque de France et de l’économie, de son action de banque commerciale, notamment à travers l’histoire de ses succursales dans leurs rapports avec les agents économiques locaux ;
  • Histoire des personnels de la Banque de France, de la politique sociale et de l’évolution des structures de l’entreprise.

La mise en valeur scientifique des fonds d’archives de la Banque de France ainsi que l’animation de la recherche historique sont principalement assurées par Michel Margairaz, professeur émérite à l’université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne et par Olivier Feiertag, professeur à l’université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Délai

Le lien qui suit permet de consulter le règlement des allocations de bourse et la fiche de renseignements à compléter.

La date limite de candidature est fixée au 29 novembre 2024.

Contact auprès de la Mission historique de la Banque de France

Pour tous renseignements supplémentaires, contactez l’adresse suivante : 1069-historique-ut@banque-france.fr

13e Congrès de l’AFEP à Montpellier en Juillet 2024

L’Association Française d’Économie Politique (AFEP) annonce la tenue de son 13e congrès annuel. Ce congrès se déroulera, en France, du 2 au 5 juillet prochain à l’Université de Montpellier. Plus de 200 chercheurs en économie et en sciences sociales, français comme internationaux, sont attendus à cette occasion.

Quel est le rôle de cette Association Française d’Économie Politique (AFEP) ?

L’AFEP est une association scientifique généraliste dont l’objectif est la promotion du pluralisme dans le champ de l’économie académique. Le congrès annuel de l’AFEP est un moment important pour l’association et pour la communauté des économistes. Il permet de faire vivre le pluralisme des théories, des méthodes et des objets. Au-delà, cette approche encourage le dialogue et l’interdisciplinarité au sein de l’espace des sciences humaines et sociales.

Le thème de cette année est « Face aux crises, des planifications sont-elles possibles ? »

L’économie institutionnaliste a montré que les sorties de crise passées ont redessiné les lignes de partage entre le marché et l’intervention publique. Dans la gestion des crises, les stratégies d’évitement et/ou de corrections, souvent immédiates, sont apparues comme les solutions privilégiées par la puissance publique. Mais l’ampleur, la nature et la multiplication des crises appellent aujourd’hui à questionner ces stratégies et à en penser de nouvelles.

Dans le même temps, les marqueurs d’une possible régulation consciente, construite, de l’économie montrent comme un fait historique nouveau. La contrainte du changement écologique apparait de plus en plus forte et sa temporalité structurante. Partout les sociétés sont confrontées au franchissement des limites planétaires et aux inégalités écologiques, sociales croissantes. Face au défi de l’encastrement de la contrainte du changement écologique dans le fonctionnement de nos économies et nos sociétés, quelles sont les stratégies à mettre en œuvre ? Le développement d’activités dites « vertes » peut-il se passer d’une articulation avec l’échouage du capital dit « brun », qui suppose la détérioration brusque et (relativement) imprévue de sa profitabilité ? Quelle valeur affecter aux émissions évitées pour orienter les investissements publics et privés vers une trajectoire de décarbonation plus ambitieuse ? Et quel rôle peut-on espérer donner à la valeur tutélaire du carbone, qui reflète certes une référence dont tiennent compte les acteurs dans leurs plans d’investissement mais qui peine cependant à se concrétiser sous la forme d’un signal-prix crédible ?

Quels que soient les processus de production futurs, leur conception et leurs finalités appellent à porter l’attention au développement d’une régulation consciente et collective, donc fondamentalement politique, de l’économie, de ses structures, des arrangements institutionnels de l’action collective qui la fondent, tenant compte de l’incertitude radicale qui accompagne la crise systémique actuelle.

Le programme des sessions plénières

Trois sessions plénières sont organisées autour de cette thématique de la planification :

  •  « Quelle planification pour quelle transition » avec Geneviève Azam, Florence Jany-Catrice et Laure Quennouelle-Corre
  • « Pratiques et expériences décentralisées de la planification : quel rôle pour la démocratie ? » avec Simon Tremblay-Pépin, Srdjan Redzepagic, Géraldine Rieucau et Marta Pappalardo
  • « Les calculs économiques de la planification écologique » avec Adrien Hainaut, Alain Marciano et Nathalie Berta

Plus de 70 sessions parallèles thématiques auront également lieu, au cours desquelles les participants présenteront leurs recherches en cours, sur des thèmes aussi variés que : planification et démocratie, les méthodes de la planification, planification : participations et gouvernances locales, la protection sociale dans les pays en développement, les crises de l’agriculture et de l’alimentation, les transformations de l’État social, finance et régimes d’accumulation parmi de nombreux autres sujets. La journée du 2 juillet est réservée aux doctoriales avec déjà 60 participants inscrits.

Informations pratiques

  • Date : 2-5 juillet 2024
  • Lieux :
    • Université Paul-Valéry Montpellier 3, le 2 juillet 
    • Université de Montpellier, Faculté d’économie Richter, du 3 au 5 juillet
  • Inscription obligatoire : https://afep2024.sciencesconf.org/ (tarifs d’inscription et informations détaillées disponibles en ligne) date limite d’inscription : 21 juin

Pour plus de détails sur le programme, les modalités d’inscription et les informations logistiques, veuillez visiter le site officiel de l’AFEP : https://assoeconomiepolitique.org/congres/13e-congres-de-lafep-2024-montpellier/.

La Banque de France et Toulouse School of Economics ont récompensé six chercheurs pour leurs contributions en économie monétaire et finance

La Banque de France et Toulouse School of Economics (TSE) ont organisé une cérémonie à Paris le mardi 18 juin 2024 pour remettre le Prix en Économie Monétaire et Finance, récompensant six chercheurs pour les années 2022 et 2024. Ces prix honorent des travaux de recherche qui améliorent les actions des banques centrales.

La liste des lauréats

Pour l’année 2022, les lauréats sont :

  • Ricardo Caballero, qui a reçu le Prix Senior en Économie Monétaire et Finance.
  • Ulrike Malmendier, lauréate du Prix Junior Finance.
  • Benjamin Moll, récipiendaire du Prix Junior Monnaie et Macroéconomie.

Pour l’année 2024, les prix ont été décernés à :

  • Hélène Rey, pour le Prix Senior en Économie Monétaire et Finance.
  • David Sraer, pour le Prix Junior Finance.
  • Matteo Maggiori, pour le Prix Junior Monnaie et Macroéconomie.
De g. à d. : David Sraer, Ricardo Caballero, Angès Bénassy-Quéré, François Villeroy de Galhau, Jean Tirole, Ulrike Malmendier et en arrière plan Matteo Maggiori

Le déroulement de la cérémonie

La cérémonie a été précédée d’une conférence qui a mis en lumière les contributions académiques des lauréats dans le contexte actuel des banques centrales. Les chercheurs ont participé à deux tables rondes, abordant les flux mondiaux de capitaux post-pandémie et les défis de la politique monétaire après le pic d’inflation de 2022-2023.

Ces discussions ont été suivies d’une session de questions-réponses ouverte au public, avec un replay de la cérémonie disponible en ligne. François Villeroy de Galhau, Gouverneur de la Banque de France, Agnès Benassy-Quéré, co-présidente du jury et seconde Sous-Gouverneur de la Banque de France, et Jean Tirole, co-président du jury et lauréat du Prix de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d’Alfred Nobel 2014, ont présidé l’événement.

Agnès Benassy-Quéré a souligné l’importance de la recherche économique pour l’action des banques centrales, notamment en matière de stabilité monétaire et financière, ainsi que pour la résilience des systèmes de paiement. Elle a déclaré que ces prix, décernés conjointement avec TSE, encouragent une recherche académique de qualité, pertinente pour les banques centrales et au service du bien commun.

Jean Tirole a exprimé sa conviction que la recherche académique en économie monétaire et finance peut enrichir les réflexions des banques centrales. Il a affirmé que ces prix récompensent des universitaires dont les travaux facilitent le dialogue entre le monde académique et les décideurs économiques.

Lors de chaque édition de cette cérémonie, un prix senior en économie monétaire et finance ainsi que deux prix juniors sont décernés. Les prix juniors récompensent des chercheurs ayant obtenu leur doctorat depuis moins de vingt ans, l’un en finance et l’autre en économie monétaire et macroéconomie. Les lauréats 2022 et 2024 ont été distingués pour la qualité scientifique de leurs travaux et leur pertinence pour les décisions de politiques économiques.

Les biographies des lauréats pour les années 2022 et 2024 sont disponibles en ligne.

“La Repenser l’État au XXIe siècle” : débat public à la Public Factory

C’est le lundi 29 avril 2024 que la Public Factory – un lieu qui vise à créer des liens entre étudiants, chercheurs et acteurs publics – recevait lors d’une soirée de présentation et de discussion les auteurs de l’ouvrage “Repenser l’État au XXIe siècle. Libertaires et pensées critiques”.

Le débat public de “Repenser l’État au XXIe siècle”

Présentation des auteurs de l’ouvrage

Le débat public sur le livre du séminaire ETAPE Repenser l’État au XXIe siècle. Libertaires et pensées critiques aura rassemblé de gauche à droite sur le plateau :

  • Philippe Zittoun, directeur de recherche en science politique au LAET (Laboratoire Aménagement Economie Transport, UMR 5593, CNRS-Université Lyon 2-ENTPE) et secrétaire général de l’Association Internationale de Politique Publique (IPPA) ;
  • Irène Pereira, professeure des universités en sciences de l’éducation et de la formation à l’ Université de Rouen Normandie, philosophe, sociologue ;
  • Philippe Corcuff, co-auteur de l’ouvrage, et professeur des universités en science politique à Sciences Po Lyon et membre du CERLIS (Centre de recherche sur les liens sociaux, Université Paris Cité/Université Sorbonne Nouvelle/CNRS, UMR 8070).

Un débat animé par Christian PAUL, comme coordonnateur de la Chaire Transformations de l’action publique. Christian Paul a exercé des responsabilités à tous les niveaux de l’action publique, dans les collectivités et au sein de l’Etat, comme ancien Ministre. Il a cofondé la 27e Région, laboratoire de transformation de l’action publique, qui a depuis plus de dix ans un rôle pionnier dans le domaine du design des politiques publiques et de l’innovation dans les territoires.

En présence et avec le soutien notamment de :

  • Martine Huyon, responsable de la Public Factory de Sciences Po Lyon ;
  • Jeanne Deveaux, chargée des partenariats et du mécénat – Fondation Sciences Po Lyon ;
  • Hélène Surrel, directrice de Sciences Po Lyon.

Ce livre collectif, réalisé par le séminaire ETAPE (Explorations Théoriques Anarchistes Pragmatistes pour l’Emancipation, co animé par Philippe Corcuff), procède à une actualisation des analyses de l’État, dans la confrontation avec des approches libertaires et des pensées critiques. L’ouvrage s’intéresse, entre autres, aux apports de Pierre Bourdieu et de Michel Foucault ainsi que des anthropologies politiques anarchistes de David Graeber et James C. Scott. Il explore aussi différents outils (décolonialisme, intersectionnalité, démocratie radicale…) et terrains (école, racismes, culture, économie sociale et solidaire…) contemporains.

Fondation de Wendel : une aide à la recherche (master 2 et doctorants)

Pour l’année universitaire 2024, la Fondation de Wendel renouvelle son programme de soutien à la recherche, destiné aux étudiants de Master 2 et aux doctorants dans les sciences humaines et sociales. Avec un intérêt prononcé pour les études historiques et économiques, les aides portent sur les projets concernant les techniques, les entreprises et plus généralement la société industrielle, Ce faisant, ce programme accorde une préférence aux projets utilisant des archives industrielles.

Ce qui est offert par la Fondation de Wendel

  • Pour les étudiants en Master 2, une aide de 1 500 € pour une année.
  • Pour les doctorants, une aide de 5 000 € par an, pouvant durer trois ans pour une candidature de première année.

Critères d’admissibilité

  • Candidature ouverte pour les étudiants de Master 2.
  • Candidature ouverte aux doctorants en première ou deuxième ou troisième année.

Dossier de candidature à constituer

  • Pour les étudiants de Master 2
    – Présentation du sujet de recherche, problématiques, sources envisagées et bibliographie provisoire.
    – Curriculum Vitae.
    – Avis du directeur de recherche.
    • Pour les doctorants
      – Présentation du projet de thèse, problématiques et sources à consulter.
      – Calendrier de réalisation.
      – Curriculum Vitae.
      – Avis du directeur de recherche.

        Dates clés

        Le dossier complet doit être soumis avant le 15 octobre 2024. Les dossiers doivent être envoyés exclusivement sous format électronique aux deux adresses suivantes :
        Académie François Bourdon : contact@afbourdon.com
        Fondation de Wendel : contacts@fondationwendel.eu

        Pour toute information complémentaire, contactez l’ACADEMIE FRANCOIS BOURDON, par téléphone, par mail ou sur le site Internet  : https://www.afbourdon.com/soutien-a-la-recherche/bourses-detude-de-la-fondation-wendel/

        Prix Crédit Agricole d’histoire des entreprises – Édition 2024

        Le Prix Crédit Agricole d’histoire des entreprises, porté par la Fondation d’entreprise Maison de Salins, a pour objectif de mettre en valeur les travaux de recherche inédits en histoire des entreprises et, par-delà, d’éclairer le monde des entreprises. Il concerne les thèses et mémoires d’habilitation à diriger des recherches (HDR) traitant d’une problématique propre à l’histoire des entreprises du XIXe au XXIe siècle.

        Le Prix Crédit Agricole d’histoire des entreprises distingue un travail remarquable

        Tous les champs et types de recherche en histoire des entreprises sont couverts, qu’il s’agisse de monographies, d’histoires de branches, de produits ou de services, de biographies d’entrepreneurs ou d’histoires de groupes sociaux liés à l’entreprise. Le Prix s’attache à distinguer un travail remarquable par la pertinence et l’originalité de sa problématique, la solidité des sources et de la méthode ainsi que la qualité de l’écriture. Le jury est composé de personnalités du Crédit Agricole, de la presse, de l’enseignement supérieur et de la recherche.

        Un Prix est de 6 000 €

        Le montant du Prix est de 6 000 euros qui seront partagés de la manière suivante : 3 000 euros pour le lauréat et 3 000 euros d’aide à l’édition du manuscrit primé. Comme pour les années précédentes, le travail primé par le jury sera proposé pour publication dans la série « Entreprises » qui s’inscrit dans la collection « Perspectives historiques » des Presses Universitaires François Rabelais qui offrent un cadre éditorial aux manuscrits lauréats du Prix. Si le lauréat est déjà engagé auprès d’un autre éditeur lors de sa participation au Prix Crédit Agricole d’histoire des entreprises, la subvention de 3 000 euros pour l’édition devient caduque. Par ailleurs, le lauréat sera accompagné par un tuteur éditorial afin d’assurer le passage du travail primé à un ouvrage publiable.

        L’édition 2024 du Prix concerne les thèses et les mémoires inédits d’habilitation à diriger des recherches soutenus entre le 15 juillet 2023 et le 15 juillet 2024.

        Doté d’une forte culture entrepreneuriale, le Groupe Crédit Agricole est un partenaire de longue date des entreprises par le biais des Caisses régionales, de Crédit Agricole S.A. et de ses filiales, notamment Crédit Agricole CIB et LCL. Le Crédit Agricole souhaite donc promouvoir la recherche de haut niveau en histoire des entreprises grâce au Prix Crédit Agricole d’histoire des entreprises, porté par la Fondation d’entreprise Maison de Salins et son partenaire, la revue Entreprises et Histoire.

        Pour participer au Prix Crédit Agricole d’histoire des entreprises, édition 2024

        Le dossier de candidature doit comporter les éléments suivants :

        • La thèse de doctorat ou le mémoire d’habilitation à diriger des recherches rédigé en français. Les thèses en cotutelle internationale sont admises. Dans le cas où la langue n’en serait pas le français, il est nécessaire d’y joindre le résumé long en français qu’exige la cotutelle.
        • Le rapport de soutenance (qui peut être transmis dans un second temps s’il n’est pas encore parvenu au candidat).
        • Une présentation d’une page maximum dans laquelle le candidat expliquera l’intérêt de publier son travail.

        Le dossier complet est à adresser à Pascal Pénot (pascal.penot@credit-agricolesa.fr), sous forme numérique de préférence, jusqu’au 16 juillet 2024.

        Au cas où ce travail serait également présenté à un autre prix, ou si un projet de publication est déjà en cours, il est nécessaire de l’indiquer.

        Colloque : Pouvoir d’agir des usagers en France et au Québec : partage de connaissances pour une plus grande démocratie en santé

        Appel à communication du colloque : “Pouvoir d’agir des usagers en France et au Québec : partage de connaissances pour une plus grande démocratie en santé”

        Le colloque aura lieu en ligne sur ZOOM
        le jeudi 13 juin de 14h00 à 18h30

        • 14h00-16h00 : plénière
        • 16h00-18h30 : ateliers

        La Revue des Sciences de Gestion, la chaire de Gestion des services de santé du Conservatoire National des Arts et Métiers et le laboratoire LIRSA (EA4603) proposent une nouvelle édition du colloque « Démocratie en Santé ». 

        Cette deuxième rencontre – qui fait suite à une première édition “Démocratie en santé et pouvoir d’agir en santé” en juin 2023 – réunira cette fois des spécialistes des pratiques québécoises et françaises, afin de mieux comprendre les apports et les limites des initiatives développées des deux côtés de l’Atlantique, mais également afin de partager les résultats d’expérimentations et de programmes de recherche impliquant des patients-partenaires.

        L’objectif reste de promouvoir une discussion interdisciplinaire et d’alimenter de nouvelles pistes de réflexion pour tous les acteurs de la démocratie en santé : usagers, professionnels, représentants des tutelles, chercheurs, etc.

        Cet appel à communications appelle des travaux, notamment sur :

        • le statut des patients-partenaires : du bénévolat au salariat ? Quels choix ? Pour quelles conséquences ?
        • accorder une place croissante aux proches dans le système de santé et les parcours de soins : quelles limites données par la règlementation ? Quels atouts pour les soins et l’accompagnement des personnes ? 
        • les patients-partenaires au sein des équipes de soignants : quels impacts sur l’organisation du travail, les rôle et les missions des professionnels ?
        • pouvoir d’agir des usagers : quel apprentissage organisationnel au sein des établissements ? Quelle gestion des connaissances au sein des équipes ?
        • démocratie en santé et pouvoir d’agir des usagers : où en est vraiment la transformation épistémique ?
        • pouvoir d’agir des professionnels : une attente forte de la part des équipes ? Une nécessité pour garantir le pouvoir d’agir des usagers ?
        • le pouvoir d’agir et la e-santé : le pouvoir d’agir est-il un levier d’expérimentation, d’adoption et de déploiement des outils de la e-santé ?

        Cette liste n’est pas exhaustive, les propositions qui apporteraient une contribution qui ne s’inscrirait pas dans l’un des axes proposés seront examinées avec la plus grande attention.

        Deux types d’article peuvent être proposés 

        • Articles académiques. Ils pourront se fonder sur des études empiriques tout autant que déboucher sur des approches pluridisciplinaires. Leur pertinence sera appréciée au regard de l’apport académique et de l’apport managérial.
        • Témoignages. Cette dimension ouverte se fondera sur une expérience individuelle ou collective mais ne se contentera pas d’une forme narrative, elle devra inclure une problématisation débouchant sur des pistes éventuelles de solution ou de recherche.

        Modalités de soumission

        MODALITÉS DE SOUMISSION des communications au colloque et sélection des articles pour un numéro spécial de la revue des sciences de gestion

        • Remise des résumés pour le colloque : 15 avril 2024
        • Retours aux auteurs : 2 mai 2024
        • Date limite des inscriptions au colloque : 15 mai 2024
        • Remise de la version intégrale de l’article (50.000 signes espaces compris, bibliographie, schémas, figures, tableaux compris) :
        • Publication du numéro spécial de La Revue des Sciences de Gestion : juin 2025
        • Possibilité d’un ouvrage collectif en complément

        Adresse de contact : colloque@larsg.fr

        Comité d’organisation

        • Sandra BERTENEZE, Professeur, titulaire de la Chaire de Gestion des Services de Santé · Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM)
        • Jean-Désiré MBAYE, secrétaire général adjoint de la Rédaction de La Revue des Sciences de Gestion
        • Philippe NASZÁLYI, Professeur émérite HDR, Directeur de La Revue des Sciences de Gestion.
        • Yves SOULABAIL, Professeur-Chercheur en gestion à l’ISTEC Business School – Paris, Vice-président de l’Académie des sciences commerciales

        L’Université Paris-Saclay lance un cycle de conférences « Nos belles histoires »

        L’Université Paris-Saclay inaugure un nouveau cycle de conférences d’alumni à destination notamment de sa communauté étudiante. « Nos belles histoires » donneront la parole à des personnalités aux parcours inspirants. La conférence de lancement du mardi 12 décembre 2023, aura eu l’honneur d’accueillir l’informaticien et ingénieur logiciel Bertrand Serlet – qui se décrit lui-même comme électron libre – sous la forme d’un dialogue avec Michel Safars, entrepreneur et professeur en stratégie & entrepreneuriat à HEC Paris.

        À destination des étudiants, les conférences de ce cycle « Nos belles histoires » se présenteront sous la forme d’un dialogue entre deux alumni de la même thématique ou du même écosystème et mettront en valeur une filière, une formation, un domaine de recherche, un écosystème, ou encore un chemin professionnel. Fait original de ces conférences, chacune se conçoit comme un dialogue de 30 à 45 minutes entre une personnalité exceptionnelle et inspirante pour les étudiants, issue de l’Université Paris-Saclay et un interlocuteur ou une interlocutrice, également originaire de l’Université et évoluant dans un domaine ou un écosystème proche de la personnalité invitée. Un temps de questions-réponses avec le public est prévu au terme de ce dialogue.

        Le 12 décembre 2023, Bertrand Serlet était interrogé par Michel Safars

        Diplômé d’un master de mathématiques de l’ENS Paris-Saclay, docteur en informatique de l’Université Paris-Saclay, Bertrand Serlet a commencé sa carrière en tant que chercheur chez Inria. Expatrié aux États-Unis, il a rejoint Xerox PARC, puis les entreprises NeXT et Apple, créées par Steve Jobs, où il a joué un rôle clé dans le développement de systèmes d’exploitation et de technologies logicielles. Il est également le cofondateur de la start-up Fungible et a récemment été vice-président software engineering chez Microsoft.

        Diplômé d’un DUT mesures physiques de l’Université Paris-Saclay, Michel Safars est un entrepreneur et professeur en stratégie & entrepreneuriat à HEC Paris. Il est le fondateur de xCUB, un programme complet de création et de maturation de PME innovantes soutenu par des grandes entreprises souhaitant développer leur activité par des innovations soutenables, dont le marché a besoin et rapidement intégrables.

        L’événement sera suivi d’un cocktail.

        Informations pratiques

        • Mardi 12 décembre 2023 à 18h30
        • Grand amphithéâtre de l’Institut Pascal, 530 rue André Rivière, 91400 ORSAY
        • Durée approximative de la conférence : 1h30

        Une retransmission de la conférence en direct sera disponible sur le site de l’Université.

        SOLTéA, le nouveau service de répartition de la taxe d’apprentissage

        Un nouveau service pour les entreprises vient d’être lancé : SOLTéA. Cette plateforme en ligne permet de répartir le solde de la taxe d’apprentissage. Le site SOLTéA est dédiée aux 1,6 million d’employeurs redevables du solde de la taxe d’apprentissage ainsi qu’aux plus de 11 000 établissements qui sont habilités à le percevoir.

        Qui peut se connecter sur SOLTéA ?

        En se connectant sur SOLTéA, les employeurs peuvent choisir les établissements et les formations qu’ils souhaitent soutenir. Les établissements, eux, peuvent y renseigner leurs coordonnées bancaires et ainsi recevoir les crédits affectés par les employeurs. L’article L.6131-5 du code du travail charge la Caisse des Dépôts d’affecter les fonds aux établissements destinataires. La Caisse des Dépôts a également en charge la gestion du fonds et le déploiement de SOLTéA.

        La loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel du 5 septembre 2018 ainsi que l’ordonnance du 23 juin 2021 ont réformé  la collecte et de la répartition du solde de la taxe d’apprentissage. Chaque année, cette contribution versée par les entreprises a pour objectif de soutenir le développement de formations technologiques et professionnelles, l’insertion professionnelle, l’orientation ainsi que les centres de formation d’apprentis sous la forme d’équipements ou de matériels.

        Auparavant, le solde était directement versé par les employeurs assujettis aux établissements bénéficiaires. À partir de 2023, les employeurs déclarent via leur déclaration sociale nominative (DSN) et payent le solde de la taxe d’apprentissage en une fois auprès de l’Urssaf Caisse nationale ou de la Mutualité sociale agricole (MSA) qui transfèrent ensuite ce fonds à la Caisse des Dépôts. Tout se concrétise ensuite via SOLTéA, le service dématérialisé accessible à l’adresse soltea.education.gouv.fr.

        Une exception demeure : les subventions sous la forme d’équipements ou de matériels pour les centres de formation d’apprentis. Les employeurs peuvent toujours effectuer celles-ci directement auprès des centres de formation d’apprentis sans passer par la plateforme.

        SOLTéA, comment ça marche ?

        En se connectant sur SOLTéA, les employeurs peuvent désormais directement choisir les établissements et les formations qu’ils souhaitent soutenir, et quelle partie du solde ils souhaitent leur verser. Quant aux établissements bénéficiaires, ils peuvent se connecter sur leur espace sécurisé pour vérifier et compléter leurs informations, remplir leurs coordonnées bancaires et, ainsi, recevoir les fonds qui leur ont été attribués par les employeurs. Ouverte en mai, la plateforme compte déjà près de 250 000 connections pour près de 80 000 entreprises inscrites sur la plateforme, et 64% d’établissements bénéficiaires.

        Le service est maintenant pleinement fonctionnel. Le premier versement aux établissements interviendra le 15 juillet. L’étape essentielle pour eux est de compléter leurs coordonnées bancaires. Pour les employeurs et leurs tiers déclarants : il s’agit de se connecter à la plateforme pour soutenir les établissements de leur choix. Pour permettre au plus grand nombre d’employeurs de réaliser leurs choix de répartition, la campagne de répartition qui devait initialement se terminer le 6 septembre sera prolongée de quelques semaines.

        SOLTéA : les apports de la réforme

        Les employeurs n’ont plus à effectuer eux-mêmes les virements pour chacun des établissements. Les établissements, eux, n’ont plus à produire de reçus libératoires. Les flux financiers sont à présents sécurisés, clairs et traçables pour tous les acteurs.

        De plus, avec SOLTéA, la Caisse des Dépôts recueille, fiabilise et publie une liste unique et complète des établissements bénéficiaires, une information qui figurait antérieurement sur les sites internet de chacune des Régions. L’employeur peut désormais les retrouver via un moteur de recherche avancé et multicritères. En devenant le point d’entrée unique pour trouver un établissement bénéficiaire, SOLTéA simplifie l’accès à l’information.

        Cette plateforme met aussi à la disposition des employeurs et des établissements un tableau de bord de suivi des versements. L’espace en ligne permet de suivre et d’archiver les informations des campagnes de répartition du solde sous le format d’un tableau de bord exportable, rendant ainsi l’information sur les flux financiers lisible et pérenne.

        Tout en simplifiant les démarches des employeurs et des établissements, SOLTéA rend aussi transparent une partie du financement de la formation initiale des jeunes pour sécuriser leur avenir professionnel.

        Chiffres clés de SOLTéA

        • 1,6 million d’employeurs concernés
        • 11 000 établissements bénéficiaires
        • 400 millions d’€ de financements

        Un premier bilan de SOLTéA sera effectué à la fin de la campagne 2023.

        Ce service est mandaté par le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse et le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, avec le concours de la délégation générale à l’emploi et à la formation professionnelle (DGEFP) du ministère du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion. Le projet a été conduit en partenariat avec l’Urssaf Caisse nationale, la caisse centrale de la Mutualité sociale agricole (MSA) ainsi que le GIP MDS (modernisation des déclarations sociales). La Caisse des Dépôts a développé et gère le service numérique de répartition du solde de la taxe d’apprentissage et le paiement des établissements bénéficiaires, SOLTéA.

        SOLTéA, le nouveau service de répartition de la taxe d'apprentissage
        SOLTéA, le nouveau service de répartition de la taxe d’apprentissage

        La Fondation de Wendel propose des aides à la recherche pour des étudiants en master 2 ou en doctorat

        La Fondation de Wendel propose, comme les années passées, des aides à la recherche pour des étudiants de Master 2 ou pour des doctorants dans l’ensemble des disciplines des sciences humaines et sociales. Les aides portent sur les projets concernant les techniques, les entreprises et plus généralement les sociétés industrielles à l’époque contemporaine.

        L’aide de la Fondation de Wendel mises en œuvre par l’Académie François Bourdon

        Ces aides sont mises en œuvre par l’Académie François Bourdon :

        • Pour les étudiants de Master 2, l’aide est fixée à 1 500 euros, pendant une année.
        • Pour les étudiants en Doctorat, l’aide est fixée à 5 000 euros par an, au maximum pendant trois années pour une candidature de première année. Les candidats peuvent se présenter pour la seconde ou la troisième année.

        Des dossiers de candidature à déposer pour bénéficier de l’aide de la Fondation de Wendel

        Les dossiers de candidature en Master 2 comportent une présentation du sujet de recherche, ses problématiques, les sources envisagées et la bibliographie provisoire ; un curriculum vitae et un avis du directeur de recherche. Les dossiers de candidature en Doctorat comportent une présentation du projet de thèse avec ses problématiques et les sources à consulter ; un calendrier de réalisation ; un curriculum vitae et un avis du directeur de recherche.

        Les dossiers de candidature peuvent être envoyés jusqu’au 15 octobre 2023 à l’Académie François Bourdon, avec copie à la Fondation de Wendel exclusivement sous format électronique aux adresses suivantes :  contact@afbourdon.com et contacts@fondationwendel.eu

        Pour tous renseignements, contacter l’Académie François Bourdon – Cour du Manège – Château de la Verrerie – BP 60031 – 71201 LE CREUSOT Cedex – Tél : 03.85.80.81.51. – www.afbourdon.com

        Fondation de Wendel propose des aides à la recherche pour des étudiants en master 2 ou en doctorat

        Programme du colloque “Démocratie en santé et pouvoir d’agir des usagers”


        Programme du colloque “Démocratie en santé et pouvoir d’agir des usagers”
        du 20 juin 2023.
        CNAM – 292 Rue Saint-Martin, 75003 Paris [transport pour venir]
        Métro ligne 3 ou 11, stations Arts et Métiers
        Vos questions sont à envoyer à colloque@larsg.fr


        La loi n°2002-303 du 4 mars 2002, relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, élargit les droits individuels et collectifs des usagers, reconnaissant ainsi la complémentarité de l’expertise de ces derniers avec celle des professionnels. Grâce à l’action individuelle et collective encouragée par le dialogue et la concertation, cette loi permet à chacun de prendre part à l’élaboration et à la mise en œuvre de la politique en santé.

        Cette réforme majeure fait écho, plus de deux siècles plus tard, aux fondements de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 : « les Représentants du Peuple Français […] ont résolu d’exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs […].

        La Revue des Sciences de Gestion, le Laboratoire Interdisciplinaire de Recherche en Sciences de l’Action (Lirsa – EA4603) et la chaire de Gestion des services de santé du Cnam proposent une journée pour croiser les regards des chercheurs, des professionnels et des usagers sur la démocratie en santé. Cette journée traitera à la fois :

        • Des droits individuels (accès à une information fiable, accès au dossier médical, confidentialité des données, consentement, réparation des accidents médicaux) ;
        • Des droits collectifs (participation aux instances et aux prises de décision).

        La démocratie en santé sera abordée sous deux angles afin de nourrir les débats et les réflexions des chercheurs, des usagers et des professionnels :

        • La prise en considération des usagers par les professionnels dans les parcours de soins et d’accompagnements ;
        • Le pouvoir d’agir des usagers sur le système de santé, tant sur le volet sanitaire que sur le volet médico-social.

        Programme prévisionnel

        A partir de 8h30 – Petit déjeuner d’accueil
        Coursive de l’amphithéâtre Abbé Grégoire

        9h00 – 9h30. ALLOCUTIONS D’OUVERTURE
        AMPHITHEATRE ABBE GREGOIRE

        • Bénédicte FAUVARQUE-COSSON, Administratrice Générale du CNAM
        • Madina RIVAL, co-directrice du LIRSA, CNAM
        • Philippe NASZALYI, Directeur de la Revue des Sciences de Gestion
        • Sandra BERTEZENE, Professeur titulaire de la chaire de Gestion des services de santé du CNAM

        9h30–12h. Séance plénière
        Démocratie en santé et pouvoir d’agir des usagers : enjeux pour notre société et perspectives à venir
        amphi. Abbé Grégoire

        Animé par Philippe NASZALYI, Directeur de la Revue des Sciences de Gestion, ancien président de la Conférence de Territoire et du Conseil territorial de Santé de l’Essonne

        • Marie Aline BLOCH, professeure à l’École des hautes études en santé publique et chercheure en science de gestion (EA MOS 7348)
        • Jean-Michel TOULOUSE, ancien directeur d’hôpital public
        • Christian BRUN, président du du Groupe de travail permanent spécialisé dans le domaine des droits des usagers (GTP-DU)1 du système de santé  de la Conférence nationale de Santé (CNS) et président de la CRSA Auvergne-Rhône-Alpes
        • Thierry NOBRE, professeur agrégé des universités en sciences de gestion · EM Strasbourg Business School, représentant l’association ARAMOS (Association de Recherche Appliquée au Management des Organisations de Santé)
        • Fatima YATIM-DAUMAS, maître de conférences en sciences de gestions au Cnam, spécialiste de la démocratie en santé, chercheure au Lirsa (EA4603)

        Échanges avec le public


        14h-17h. Ateliers

        Atelier 1. Démocratie en santé, pouvoir d’agir – Des exemples de réalisations
        salle 17.01.08 : accès 17, 1er étage, salle n°08

        • Écoute extra-européenne comme ouverture démocratique pour le patient acteur de sa thérapie – Luc PERERA, Pierre JOUVELOT (14h-14h45 : présentation et échanges)
        • L’expérience du dernier chez-soi les logiques de la participation en EHPAD – Elvire BORNAND, Julien BOTTRIAUX, Frédérique LETOURNEUX (14h45-15h30 : présentation et échanges)
        • Témoignage : Les usagers co-constructeurs de la stratégie régionale – Elise GUILLERME, Romain FRANÇOIS, Hélène PROU, Laure COUSIN, Anne SIZARET, Lauriane BRUET, Laurent MARIÉ (16h15h-17h : présentation et échanges)

        Atelier 2. Démocratie en santé, pouvoir d’agir – La production de connaissances nouvelles
        amphi. Abbé Grégoire

        • Processus de déconstruction / reconstruction de l’accompagnement – Fatima YATIM-DAUMAS, Sandra BERTEZENE
        • Les facteurs de l’apprentissage organisationnel dans le cadre de l’expérience patient : expérimentation au sein d’un hôpital public français – François KOUKOUI
        • Témoignage : Ce que participer veut dire : apports pratiques et théoriques d’un travail de capitalisation d’expériences de démarches participatives en Grand Est – Julien AIME, Coline BARBAY
        • Témoignage : Trajectoires de mères de jeunes patients : valoriser nos expériences, développer nos connaissances pour contribuer au renforcement des compétences de toutes les parties prenantes en parcours de soin pédiatrique – Célia CARDOSO, Laure-Hélène VIDIL

        Atelier 3. Démocratie en santé, pouvoir d’agir – Le numérique comme levier
        salle 21.1.04 : accès 21, 1er étage, salle n°04

        • Comprendre et améliorer l’expérience patient grâce à l’intelligence artificielle – Guillaume ROUSSON, Didier VINOT, Jean-Baptiste CAPGRAS
        • L’imagerie médicale – vers un diagnostic du dirk side de l’empowerment des patients ? – Jennifer MARY, Sondès ZOUAGHI
        • Pouvoir d’agir des usagers : une analyse à partir de la e-réputation des établissements de santé – Anne GIRAULT
        • Guichet numérique unique pour les aidants : quel impact d’une communauté de pratique sur le pouvoir d’agir des patients et des aidants ? – Nadine DUBRUC, Fatima BANNOUT

        Atelier 4. Démocratie en santé, pouvoir d’agir – Le rôle particulier de l’expérience patient et des patients partenaires
        salle 21.1.00 : accès 21, 1er étage, salle n°08

        • Patients-experts addictions : la certification des compétences, une clé pour leur intégration durable dans les parcours d’accompagnement ? – Emmanuelle JOUET, Françoise GAUDEL, Alain DEJOUR
        • La quête de légitimité de l’Union Francophone des Patients Partenaires – Fabienne BOSC, Didier CHABANET, Laurence CIMAR, Pascale DAYNES, Bernard DENIS, Damien RICHARD
        • Quelle place pour le patient expert dans les pathologies non reconnues ou en manque de consensus – Bérangère LUC
        • Témoignage : Soutenir le partenariat patient-professionnel dans les projets et les organisations de santé : l’expérience du Pôle de Ressources en Éducation Thérapeutique du Patient d’Ile-de-France – Marina DORSA, Marie DUVIVIER, Tiffany LACAMOIRE, Andrea LIMBOURG, Thomas SANNIE, Michel NAIDITCH, Pierre-Yves TRAYNARD

        Atelier 5. Démocratie en santé, pouvoir d’agir – Les enjeux pour le système de santé
        salle 21.2.23 : accès 21, 2e étage, salle n°23

        • Les conditions d’une institutionnalisation efficace de conseils citoyens – Philippe BANCE, Angélique CHASSY
        • Associations d’usagers, la révolution douce du système de santé – Marie-George FAYN, Samy MANSOURI
        • Témoignage : Pouvoir d’agir des usagers : bilan et perspectives de la démocratie en santé – Lucie FALGOUX
        • Témoignage : De nouveaux défis pour la démocratie en santé, témoignage d’un observateur impliqué dans les changements écosystémiques en cours – Alexis VERVIALLE

        Atelier 6. Démocratie en santé, pouvoir d’agir – Des exemples hors de nos frontières
        salle 21.1.13, accès 21, étage 1, salle n°13

        • La construction du modèle luxembourgeois du partenariat patient : état des lieux et perspectives – Sarah GARIDI, Sylvain VITALI, Laurent WOLF, Guillaume SCHAACK
        • Construction d’échelle de mesure de la satisfaction des patients : cas des centres de soin de Ben Arous – Wahiba BALI, Raja BEZRATI, Zorha GHALI
        • Repenser l’importance de la participation des patients partenaires dans la gouvernance sanitaire au prisme de la politique et plan intersectoriel de prévention en santé au Québec – Andrews Adandjesso KOSSI EDEN
        • La digitalisation de l’information au service des usagers – Pour une potentielle démocratie en santé du secteur public des pays émergents – Sana TEBESSI

        Atelier 7. Démocratie en santé, pouvoir d’agir – Soins et renoncement aux soins
        salle 21.1.16, accès 21, étage 1, salle n°16

        • PMA quelle place pour le patient – Audrey ROCHAS, Julien ARTUS
        • Les stratégies adoptées par les personnes en non-recours aux soins : premiers résultats d’une étude exploratoire sur deux territoires contrastés – Clara SICARD
        • Témoignage : Dispensation trimestrielle des antirétroviraux : valoriser le point de vue des usagers – Christophe ROUQUETTE, Paul-Emmanuel DEVEZ
        • Témoignage : Documenter les refus et renoncements au traitement post exposition (TPE) – Paul-Emmanuel DEVEZ, Christophe ROUQUETTE

        Atelier 8. Démocratie en santé, pouvoir d’agir – Le rôle des patients associations dans l’amélioration de la qualité et la réduction des risques
        salle 21.1.44, accès 21, étage 1, salle n°44

        • L’expression de la démocratie sanitaire en situation d’expertise : participation des associations de lutte contre le SIDA à l’élaboration des recommandations nationales de prise en charge des personnes vivant avec le VIH – Hélène MEUNIER, Benoît PRÉVOST, Christophe ROUQUETTE
        • Optimiser la prise en charge des nourrissons à risques de séquelles neuromotrices par une approche centrée sur la famille – Sébastien KRUMM, Colin FROMION, Nicolas MEUNIER-BEILLARD, Anne THEUREL, Corinne CHANTEGRET, Denis SEMAMA, Élise GUILLERMET (15h30-16h15 : présentation et échanges)
        • Témoignage : « Vas-y ! » ou le soutien inconditionnel aux projets de vie – Stéphane MURA

        La CDEFM réaffirme son attachement fort aux classes préparatoires aux Grandes écoles

        Les grandes écoles de management soulignent la grande qualité de la formation que délivrent les CPGE et leur capacité à offrir aux jeunes qui s’y engagent un monde d’opportunités et de capacité d’impact tout au long de leur vie. Dans une société en mouvement, alors même que les écoles adaptent en permanence leur propre curriculum, elles souhaitent continuer à échanger avec leurs parties prenantes pour identifier les pistes d’évolution qui permettront de renforcer l’attractivité de ce cursus d’excellence et, dans un continuum classes préparatoires – Écoles, de continuer à écrire une histoire commune au bénéfice de notre pays.

        Les classes préparatoires aux écoles de commerce permettent de suivre un cursus pluridisciplinaire associant mathématiques, langues étrangères et sciences humaines, enseigné par des professeurs très engagés, qui donne à chacun les fondamentaux de la compréhension du monde actuel et des défis qui s’annoncent. Elles se caractérisent par une activité intellectuelle intense et stimulante, l’acquisition de méthodes de travail, une vraie solidarité et des amitiés à vie se forgent entre les étudiants. Rappelons enfin que tous les élèves issus de cette filière intégreront une école à la fin de leur cursus de classes préparatoires et obtiendront un diplôme de grade Master reconnu internationalement et garantissant une très forte employabilité.

        Pour autant, la baisse d’attractivité de ces parcours interroge car les effectifs en classes préparatoires ont fortement fléchi au cours des deux dernières années. Si chacune des écoles de la CDEFM reconnaît l’exceptionnelle qualité du parcours proposé en 5 ans, il est indéniable que le monde change et que les aspirations des élèves se transforment également. La réforme du baccalauréat a eu par exemple des conséquences importantes en créant une certaine dichotomie entre des élèves soucieux d’acquérir de fortes compétences en mathématiques et d’autres plus tournés vers d’autres disciplines. Or, les deux types de talents ont toute leur place en École de commerce. Les mathématiques et la science des données sont aujourd’hui, plus que jamais, cruciales dans la formation des élèves, pour les entreprises et dans la société. De la même manière, sous l’impulsion du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, la formation aux enjeux de la transition sociale et écologique prendra dès 2025 une place plus grande dans tous les programmes du 1er cycle. Enfin, si la géopolitique a fait une percée importante dans le cœur des élèves, il est fondamental que les enseignements d’humanités soient toujours plus au service de la compréhension des grands enjeux contemporains.

        La CDEFM reste confiante quant à la capacité des CPGE de se saisir de ces enjeux. Elle est prête à se mobiliser et est ouverte à la discussion avec celles et ceux qui partagent avec elle la volonté d’imaginer des pistes d’évolution, et de mettre en place les actions qui en découleront dans une volonté de promouvoir les CPGE et la qualité de leur formation.

        Appel à communication : “Pouvoir d’agir des usagers : bilan et perspectives de la démocratie en santé”

        Ce colloque plus actuel que jamais : “Pouvoir d’agir des usagers : bilan et perspectives de la démocratie en santé” est organisé par :

        La Revue des Sciences de Gestion – Direction et Gestion des entreprises – LaRSG.fr

        La Revue des Sciences de Gestion - Direction et Gestion des entreprises - LaRSG.fr

        le Laboratoire Interdisciplinaire de Recherche en Sciences de l’Action

        la chaire de Gestion des Services de Santé du Cnam

        Programme provisoire

        Pouvoir d’agir des usagers : bilan et perspectives de la démocratie en santé

        La loi n°2002-303 du 4 mars 2002, relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, élargit les droits individuels et collectifs des usagers, reconnaissant ainsi la complémentarité de l’expertise de ces derniers avec celle des professionnels. Grâce à l’action individuelle et collective encouragée par le dialogue et la concertation, cette loi permet à chacun de prendre part à l’élaboration et à la mise en œuvre de la politique en santé. Cette réforme majeure fait écho, plus de deux siècles plus tard, aux fondements de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 : « les Représentants du Peuple Français […] ont résolu d’exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs […].

        La Revue des Sciences de Gestion, le Laboratoire Interdisciplinaire de Recherche en Sciences de l’Action (LIRSA – EA4603) et la chaire de Gestion des services de santé du CNAM proposent une journée pour croiser les regards des chercheurs, des professionnels et des usagers sur la démocratie en santé.

        Cette journée traitera à la fois :

        • des droits individuels (accès à une information fiable, accès au dossier médical, confidentialité des données, consentement, réparation des accidents médicaux) ;
        • et des droits collectifs (participation aux instances et aux prises de décision).

        La démocratie en santé sera abordée sous deux angles afin de nourrir les débats et les réflexions des chercheurs, des usagers et des professionnels :

        • la prise en considération des usagers par les professionnels dans les parcours de soins et d’accompagnements ;
        • le pouvoir d’agir des usagers sur le système de santé, tant sur le volet sanitaire que sur le volet médico-social ;

        Dans le cadre de cet appel à communications, il s’agit de réfléchir aux apports, limites et perspectives de cette loi pour les services et établissements sanitaires et médico-sociaux, publics et privés. Il sera important également d’articuler aux réflexions académiques, les réflexions des professionnels des secteurs sanitaire et médico-social, et bien sûr celles des patients/résidents-citoyens.

        Les organisations sont traversées par des tensions multiples, largement exacerbées depuis la promulgation de la loi en 2002 : crise de la Covid-19, manque de personnel médical, soignant et d’accompagnement, exigences accrues des publics, etc.

        Ce contexte turbulent et incertain appelle une réflexion et des témoignages notamment sur :

        • la démocratie en santé comme nouveau modèle de gouvernance ;
        • la place de la démocratie en santé dans les projets de service ou les projets d’établissement ;
        • le rôle de la démocratie en santé dans l’organisation du travail des services et des établissements ;
        • la capacité de réponse des équipes de terrain aux attentes et besoins des publics accueillis et de leurs proches ;
        • la place de l’expérience patient, du patient expert et de l’éducation thérapeutique au sein des organisations de santé ;
        • la place des usagers et des associations d’usagers dans la gestion de la crise sanitaire ;
        • l’apprentissage et l’appropriation des droits et des devoirs des usagers par les usagers ;
        • la diffusion d’une information large et fiable afin de favoriser des prises de décisions éclairées de la part des usagers ;
        • l’impact des innovations en santé (NBIC, e-santé, mon espace santé, etc.) sur la démocratie en santé ;
        • la place des représentants des usagers dans les organismes de protection sociale au regard de la démocratie en santé ;
        • le rôle et la place des aidants dans les parcours de santé : autre forme de démocratie en santé ?
        • les expériences à l’étranger de collaboration entre patients et professionnels de santé qui peuvent nous inspirer.

        Cette liste n’est pas exhaustive, les propositions qui apporteraient une contribution qui ne s’inscrirait pas dans l’un des axes proposés seront examinées avec la plus grande attention.

        Deux types d’article peuvent être proposés 

        1) Articles académiques. Ils pourront se fonder sur des études empiriques tout autant que déboucher sur des approches pluridisciplinaires. Leur pertinence sera appréciée au regard de l’apport académique et de l’apport managérial.

        2) Témoignages. Cette dimension ouverte se fondera sur une expérience individuelle ou collective mais ne se contentera pas d’une forme narrative, elle devra inclure une problématisation débouchant sur des pistes éventuelles de solution ou de recherche.

        Modalités de soumission

        MODALITÉS DE SOUMISSION des communications au colloque et sélection des articles pour un numéro spécial de la revue des sciences de gestion

        • Remise des résumés pour le colloque : 21 avril 2023
        • Retours aux auteurs : 2 mai 2023
        • Date limite des inscriptions au colloque : 26 mai 2023
        • Date du colloque : 20 juin 2023
        • Remise de la version intégrale de l’article (50.000 signes espaces compris, bibliographie, schémas, figures, tableaux compris) : le 30 septembre 2023
        • Retour aux auteurs : 28 février 2024
        • Réception des articles modifiés : 15 avril 2024
        • Publication du numéro spécial de La Revue des Sciences de Gestion : septembre 2024
        • Possibilité d’un ouvrage collectif en complément

        COMITÉ D’ORGANISATION (ordre alphabétique)

        • Sandra BERTEZENE, Professeur, titulaire de la Chaire de Gestion des Services de Santé · Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM)
        • Gérard CHEVALIER, Docteur d’État en sciences de gestion, Président du Comité stratégie de CYBEL Group
        • Francine LAIGLE, Présidente de la Commission des Usagers du groupe Saint Thomas de Villeneuve, membre du Conseil de l’engagement des usagers de la Haute Autorité de Santé (HAS)
        • Philippe NASZÁLYI, Professeur émérite HDR, Directeur de La Revue des Sciences de Gestion
        • Yves SOULABAIL, enseignant-chercheur en gestion à l’ISTEC, Vice-président de l’Académie des sciences commerciales
        • Jean-Michel TOULOUSE, Docteur en Droit Public, Directeur honoraire du Centre Hospitalier Sud Francilien (CHSF)

        COMITÉ SCIENTIFIQUE (ordre alphabétique)

        • Alice AMBEREE, Maître de conférences en sciences de gestion, Cnam
        • Aude d’ANDRIA, Maître de conférences HDR en Sciences de Gestion, Université d’Évry-Val d’Essonne, Paris-Saclay
        • Daniel BACHET, Professeur émérite en sociologie, Université d’Évry-Val d’Essonne, Paris-Saclay
        • Philippe BANCE, Professeur des Universités en sciences économiques, Université des Antilles, Président du Conseil scientifique international du CIRIEC (Centre International de Recherches et d’Information sur l’Économie Publique, Sociale et Coopérative)
        • Mohamed BAYAD, Professeur des Universités en sciences de gestion, Cnam
        • Jérôme BARAY, Professeur des Universités en sciences de gestion à l’Université Paris-Est Créteil Val de Marne
        • Sandra BERTEZENE, Professeur du Cnam, titulaire de la chaire de Gestion des services de santé
        • Marie-Aline BLOCH, Professeur des Universités en biologie et en sciences de gestion, École des Hautes Études en santé publique, Collectif de recherche sur le handicap, l’autonomie, société inclusive (CoRHASI)
        • Jean-Philippe CAPGRAS, Maître de conférences en sciences de gestion, IFROSS, Université Jean Moulin Lyon 3
        • François CASSIERE, Maitre de conférences en sciences de gestion, IAE, Université de Clermont-Auvergne
        • Angélique CHASSY, Enseignant-Chercheur, École de Management de Normandie
        • Stéphanie CHATELAIN-PONROY, Professeur des Universités en sciences de gestion, Cnam
        • Karine GALLOPEL-MORVAN, Professeur des Universités, École des Hautes Études en Santé Publique (EHSP), Présidente d’ARAMOS
        • Corinne GRENIER, Professeur de stratégie et d’innovation HDR, Kedge Business School
        • Olivia GROSS, Maître de conférences en sciences de l’éducation et de la formation HDR, Titulaire de la Chaire de recherche sur l’Engagement des patients
        • Julien HUSSON, Professeur des Universités en sciences de gestion, IAE Metz School of management 
        • Jérôme LARTIGAU, Maître de conférences en sciences de gestion, Cnam
        • Marie-Astrid LE THEULE, Maître de conférences en sciences de gestion, Cnam
        • Michel NAIDITCH, Médecin de Santé Publique, intervenant au Pôle Ressources Ile de France en Éducation Thérapeutique du Patient et chercheur associé à l’Institut de Recherche et Documentation en Économie de la Santé
        • Philippe NASZÁLYI, Professeur émérite HDR, Directeur de La Revue des Sciences de Gestion
        • Thierry NOBRE, Professeur des Universités en sciences de gestion, EM Strasbourg Business School
        • Gilles PACHÉ, Professeur des Universités en sciences de gestion, Aix Marseille Université
        • Christophe PASCAL, Maître de conférences HDR en sciences de gestion, IFROSS, Université Jean Moulin Lyon 3
        • Jean-Jacques PLUCHART, Professeur émérite à l’Université de Paris I Panthéon-Sorbonne, Club Turgot
        • Christelle QUERO, Maître de Conférences, IAE Lille University School of Management, Lumen ULR 4999
        • Abdelkader RACHEDI, Maître de Conférences, Université de Saïda (Algérie)
        • Madina RIVAL, Professeur des Universités en sciences de gestion, Cnam
        • Arnaud RIVIERE, Professeur des Universités en sciences de gestion, Université de Tours
        • Corinne ROCHETTE, Professeur des Universités en sciences de gestion, IAE, Université de Clermont-Auvergne, Co-titulaire de la chaire de recherche “santé et territoires”
        • Fatima YATIM-DAUMAS, Maître de conférences en sciences de gestion, Cnam

        Contact

        Les propositions et questions sont à faire suivre à l’adresse : colloque@larsg.fr