Archives de catégorie : Colloques-Conférences

Conférence : “La juste valeur dans tous ses Etats”

William Nahum

Président fondateur de l’Académie des Sciences et Techniques Comptables et Financières

 

Joseph Zorgniotti

Président du Conseil Supérieur de

l’Ordre des Experts-Comptables

 

ont le plaisir de vous inviter à la conférence exceptionnelle placée sous le haut patronage et la présence annoncée
de Madame Christine Lagarde, Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi

 

La juste valeur dans tous ses Etats

 

Le point sur l’origine et les fondements du concept de juste valeur, son évolution récente et à venir,
ses implications macro économiques… et politiques.

 
Mardi 27 avril 2010 – 14h30 à 18h30 (suivi d’un cocktail)

Ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie

 

Amphithéâtre Pierre Mendès-France

139 rue de Bercy – 75012 Paris

 

Avec la participation de : Michel Aglietta, Conseiller scientifique CEPII, Professeur Paris X – Jean-Baptiste Bellon, Analyste, Directeur de Trapeza
Conseil – Philippe Danjou, Membre du Board de l’IASB – Christian De Boissieu, Président délégué du Conseil d’analyse économique – Philippe Dessertine, Directeur de l’Institut
des Hautes Finances – Gilbert Gélard, Membre du Board de l’IASB – Gérard Gil, Directeur de la comptabilité du groupe BNP Paribas – Jérôme Haas, Président de l’ANC –
Jean-Pierre Jouyet, Président de l’AMF – René Ricol, Commissaire général à l’investissement – Guestrud Tupel-Guyerel, Membre du Comité Exécutif, Banque Centrale européenne –
David Tweedie, Président de l’IASB – Nicolas Véron, Economiste, Bruegel et d’experts-comptables, analystes, cadres comptables et financiers d’entreprises.

 

En attente de confirmation : Michel Barnier – Commissaire Marché Intérieur, Commission européenne – Robert Herz – Président,
FASB – Philippe Jurgensen – Président, ACAM – Jean-Pierre Landau – Sous-gouverneur, Banque de France – Mary Schapiro – Présidente, SEC – Bernard Spitz – Président,
FFSA.

 

Le programme détaillé de cette conférence sera disponible à la mi-mars, si vous souhaitez d’ores et déjà vous
inscrire : http://info.experts-comptables.com/Go/index.cfm?WL=855&WS=26671_3615594&WA=520

 

Inscription obligatoire – Nombre de places limité

 

Pour toute information supplémentaire :

Benoît Ramozzi bramozzi@lacademie.info 01 44 15 60 27

Les journées de l’algue les 12 et 13 mars 2014

Nous sommes quatre étudiants de Science Po Rennes et Agrocampus Ouest. Dans le cadre de nos études, et notamment du séminaire “Projet Bretagne”
animé par Jean Ollivro, nous organisons une série d’événements intitulée “Les Journées de l’Algue”.
Ces rencontres ont pour objectif
de présenter l’état des lieux et le potentiel de développement de la filière algue en Bretagne, sans oublier les controverses que cela suscite. Le but : faire bouger les lignes
!
Une centaine d’étudiants du Grand Ouest (Rennes, Brest et Angers) a participé au premier événement des Journées de l’Algue, jeudi 20
février dernier : la visite du site industriel Olmix, un des acteurs bretons de la valorisation des algues. 

Reportage TV : http://youtu.be/R5Y4MtSlT7s

Afin de poursuivre cette dynamique, 2 conférences-débats sont organisées les 12 et 13 mars prochains à Rennes. Ouvertes à tous, le dialogue et l’échange seront au cœur de
ces conférences. Afin d’enrichir ce débat, vous êtes cordialement invité(e) à participer ! Le programme et la liste des intervenants des deux conférences-débats est disponible ici.

Teaser de présentation des événements http://youtu.be/95wUm2DQTj0

La filière algue en Bretagne : une alternative pour une alimentation durable ?

Mercredi 12 mars 2014, de 18h15 à 20h 
Agrocampus Ouest : 65 rue de St Brieuc 35042 Rennes 
Amphithéâtre Matagrin 
Suivi d’un cocktail “Algues en cuisine”

Inscription Conférence Agrocampus, cliquer ici

Les algues en Bretagne : quels problèmes, quelles opportunités ?

Jeudi 13 mars 2014, de 17h à 19h30
Institut d’Etudes Politiques de Rennes
104 bd de la Duchesse Anne 35700 Rennes 
Amphithéâtre Erasme 
Suivi d’un cocktail “Algues en cuisine”

Inscription Conférence Sciences Po, cliquer ici

Page Facebook des événements : https://www.facebook.com/journees.algue

Contact et Renseignements : journees.algues@gmail.com
Étudiantes coordinatrices :
06 42 96 53 90 (Mathilde Gerin)
06 28 78 79 70 (Amandine Forget)

« Philosophie(s) du management » du 16 au 18 mai 2019 à l’ESCP EUROPE

La Société de Philosophie de Sciences de Gestion (SPSG) organisera la 7e édition de son congrès « Philosophie(s) du management » entre le 16 et le 18 mai 2019, à Paris, et sera accueillie dans les locaux de l’ESCP Europe.

Philosophie(s) du management

Comme chaque année, le congrès de la SPSG offrira un espace de dialogue à toutes celles et ceux qui portent un intérêt philosophique aux idées comme aux phénomènes gestionnaires. Toutes les contributions sont les bienvenues, quel que soit le domaine de recherche (finance, comptabilité, marketing, stratégie, système d’information, gestion des ressources humaines, etc.), le thème envisagé (diversité, responsabilité sociale, société de contrôle, gouvernance, managérialisme, etc.), l’orientation, la branche ou le courant philosophique adopté (phénoménologie, philosophie analytique, pragmatisme, métaphysique, épistémologie, philosophie politique, post-modernisme, etc.). Mais comme chaque année également, et sans exclusive aucune, un thème est proposé à l’inspiration de chacun, fil rouge que celles ou ceux qui le souhaitent peuvent saisir pour tisser les liens qui nous rassemblent :

« Management de la vérité et vérité du management »

Fake news, post-vérité, bullshit… La vérité – sous ses diverses pathologies – est un sujet d’actualité. On s’inquiète d’une époque qui s’enfoncerait dans le brouillard des mensonges, des rumeurs, des manipulations, des propagandes, et qui n’aurait plus même pour guide l’idée qu’il y aurait encore là, quelque part, l’espoir d’une vérité qui pourrait l’éclairer.

A ce sujet, on entend bien sûr beaucoup les spécialistes des médias et les politistes, qui craignent pour la sincérité des informations qui viennent instruire les opinions publiques, et donc pour la démocratie. Mais ces affaires ne concernent pas que le fonctionnement des institutions démocratiques, elles concernent également le fonctionnement des organisations, et là-dessus les sciences de gestion ont également leur mot à dire. Récemment, André Spicer a publié fort à propos un petit livre provocateur sur le « bullshitt » imprégnant la parole managériale. Le « bullshitt », que le philosophe américain Harry Frankfurt a facétieusement transmué en concept philosophique, n’est pas seulement le jargon ou le mensonge. C’est le dédain complet pour la vérité, et Spicer en donne plusieurs exemples tristement cocasses.

Mais il est pourtant rarement question de la vérité en sciences de gestion. Lorsque cette idée est convoquée pour elle-même, il n’est pas rare qu’on l’encadre de guillemets prudents, comme pour ne pas se compromettre. C’est que parler sans précaution de vérité a quelque chose d’un peu suspect dans ces disciplines, après que Foucault soit passé par là, mais aussi les sociologues constructivistes, la psychanalyse et les penseurs du soupçon, les philosophes de la déconstruction, et ceux revendiquant l’héritage de Paul Feyerabend ou de David Bloor. Tous enseignent que l’idée de vérité serait l’instrument du pouvoir, et qu’il ne faudrait pas s’en laisser compter. La vérité devrait être relativisée et pluralisée, manière de la désarmer.

Cette édition 2019 du congrès de la SPSG sera l’occasion de questionner cette tension qui traverse les sciences de gestion, entre inquiétude de voir se répandre les billevesées, et méfiance envers une idée qui peut sembler propice aux menées tyranniques. Comment peut-on parler de vérité en sciences de gestion, sans ni verser dans le nihilisme sceptique, ni servir l’autoritarisme obtus ? Ce genre de questions occupe les philosophes depuis le début de la philosophie. Elle est encore neuve pour les philosophes des sciences de gestion, et mérite d’être posée en considérant les particularités de ces disciplines, à la lumière des réponses déjà apportées par les philosophes d’autres domaines de la connaissance.

Dans ce contexte, cette question ouvre deux grandes voies de réflexion qui justifient les deux expressions en miroir constituant le thème de ce congrès : « management de la vérité et vérité du management ».

Management de la vérité

L’idée de « management la vérité » est une invitation à la réflexion philosophique sur le rapport à la vérité qu’entretiennent les organisations, et notamment les organisations productives. Alors qu’il existe une abondante littérature sur le « management de la connaissance », cette question reste encore dans l’ombre, le lien entre connaissance et vérité étant le plus souvent ignoré, comme le relevait John Mingers en 2008 (« almost none of the literature considers the relation of knowledge to truth »).

Une première manière de se saisir de cette question peut être inspirée par la proximité que semble entretenir l’idée de management de la vérité avec le cauchemar orwellien du « ministère de la vérité » : les organisations comme autant de mini MiniVer ? Une telle idée n’est pas toujours absente de la pensée gestionnaire, par exemple lorsqu’Ikujiro Nonaka fait des intentions de l’organisation ou de la volonté des managers un critère de vérité. Cela invite à reconsidérer, toujours avec Orwell, la question de la vérité comme absolu. Sous cette perspective, pouvoir parler de vérité ce n’est plus faire le jeu du plus fort, c’est opposer au tyran quelque chose qui échappe à son pouvoir.

Parler de management de la vérité, cela peut également être parler de la responsabilité du dirigeant qui doit décider non de ce qui est vrai ou faux, mais de la part de vérité qu’il doit ou non dévoiler. De ce point de vue, le manager n’est plus le démiurge mais l’administrateur d’une vérité qu’il doit habilement distribuer. Jean-Philippe Bouilloud, Ghislain Deslandes et Guillaume Mercier, dans un article récent du Journal of Business Ethics, discutent ainsi de la responsabilité éthique qui accompagne ce management de la vérité, et de la combinaison d’une forme de courage intellectuel et d’une certaine sagesse pratique qui y pourvoit.

Cette question de la dimension éthique du dire-vrai peut s’élargir à celle, plus vaste, des vertus et des vices intellectuels qui forment le goût de chacun, au sein de l’organisation, de donner à la vérité la place qui lui revient dans ses pratiques épistémiques. Le management de la vérité, qui devient ici une sorte de « management épistémique », est alors la manière de cultiver ces vertus et de contenir ces vices. Il y a sur ces questions une littérature bourgeonnante en sciences de gestion, souvent inspirée de l’épistémologie des vertus.

Au-delà des individus, ce sont les organisations elles-mêmes qui peuvent plus ou moins soutenir la formation d’opinions sinon vraies, du moins pas trop fausses. Cette préoccupation commence également à apparaître dans la littérature de sciences de gestion, par exemple avec les travaux récents de Chun Wei Choo sur les « inquiring organizations ». Sous cette perspective, le management épistémique voisine une certaine épistémologie sociale consacrée, selon Alvin Goldman, à déterminer la forme des pratiques épistémiques favorisant l’émergence de la vérité.

Chacune de ces approches du management de la vérité conduit à interroger la vérité des pratiques managériales, qui parfois se dégradent en ce « business bulshitt » épinglé par André Spicer. De la question du management de la vérité, on passe alors à celle de la vérité du management.

Vérité du management

Les inquiétudes de Spicer ne sont pas philosophiques, mais elles reposent sur une notion philosophique, celle forgée par Harry Frankfurt pour nommer cette façon particulière de se désintéresser de la vérité. Harry Frankfurt n’était pas spécialement préoccupé par les organisations, ce qui invite à questionner, toujours sur le plan philosophique, les possibles particularités du bullshit organisationnel. En quoi se distingue-t-il de celui que l’on peut entendre, à l’occasion, dans les milieux politiques, scientifiques ou journalistiques ? C’est là une première déclinaison possible de cette question de la vérité du management.

Une autre question, plus fondamentale, concerne la possibilité même de parler de vérité à propos du management. Si le management est un savoir-faire ou un art, comme Peter Drucker le pensait, n’est-il pas simplement hors de propos de vouloir lui donner une valeur de vérité? Et si cela a un sens, de quel sens s’agit-il ? Doit-on parler de la vérité du management comme on parle de la vérité de la peinture ou de la sculpture ? De quelle manière la vérité du management se rapproche-t-elle ou se distingue-t-elle de la vérité d’autres praxis, comme la médecine, qui semblent, à la différence des beaux-arts, plus concernées par le vrai et le faux ?

Avec la question de la vérité du management et des pratiques manageriales se pose également celle de la vérité des travaux académiques qui les inspirent en partie.

On aborde, avec cette question, un rivage périlleux, plein de pièges et de sables mouvant où gisent encore des querelles enlisées. Dans les années 1990, la « guerre des sciences » éclatât entre les champions de la vérité scientifique objective et les professeurs de relativisme. Rien de vraiment bon n’en sortit, surtout de l’amertume. Les sciences de gestion furent plutôt épargnées, mais pas complètement en reste. En 1985, W. Graham Astley se fit l’apologue du constructivisme social en sciences de gestion, dans un article très remarqué. Près de 20 ans plus tard, alors que s´épuisaient les derniers combattants de la guerre des sciences, Mark Mekler et James Baillie excitèrent des passions analogues, sans doute bien malgré eux, en s’en prenant aux thèses d’Astley. S’ensuivirent, étalés sur une dizaine d’année, des échanges aigres-doux entre ces deux auteurs, Reinoud Bosch, Dennis A. Gioia, Shelby D. Hunt, Michel Lounsbury et Phil Ryan.

Là encore, l’escarmouche fit long feu sans rien donner de bien neuf. Il ne serait sans doute pas utile de reproduire ce genre de vaines querelles. Et s’il fallait y retourner, ce devrait être en gardant à l’esprit que l’on peut parler de vérité (même absolue) sans rien ignorer des apports de la philosophie et des sciences humaines et sociales de ces trois derniers siècles, et que l’on peut avoir des sympathies pour les vues relativistes sans regretter l’obscurantisme. Bref, avec un minimum d’esprit de charité. Surtout, un éventuel retour à ces débats ne devrait être possible qu’en étant correctement informée de l’état des débats philosophiques, en sorte d’éviter les ponts aux ânes (il n’est par exemple pas certain qu’il soit très utile de continuer à gloser sur la tension entre les idées d’objectivité des observations scientifiques et la charge théorique de ces mêmes observations).

Il serait sans doute plus intéressant, et plus productif, de comprendre pourquoi ces débats ont échoués. Quels malentendus concernant la notion de vérité (et les notions qui lui sont liées : celles d´objectivité, de fait, de connaissance…) viennent empêcher une discussion constructive de ces notions en sciences de gestion ? En apportant des réponses à cette question, on avancerait déjà grandement sur le terrain de ces débats avortés, et peut-être même parviendrait-on à franchir sans encombre le rivage périlleux.

Il y a une manière moins aventureuse d’aborder cette question de la vérité des sciences de gestion. Différentes communautés scientifiques s’inquiètent aujourd’hui d’une « crise de reproductibilité » de la science : trop de résultats empiriques publiés et présentés comme « statistiquement significatifs » échoueraient à être reproductibles. Ce à quoi l’on semble assister, c’est à un divorce inquiétant entre résultats statistiques et vérités scientifiques. Cette inquiétude a gagné les sciences de gestion, et il serait sans doute opportun de questionner philosophiquement ce phénomène. Au-delà même de cette question de la reproductibilité, qui ne concerne que les travaux reposant sur un appareillage statistique, c’est la qualité épistémique des sciences de gestion qui pourrait être discutée à l’occasion de ce congrès.

Naturellement, ce ne sont que quelques pistes de réflexion, qui ne prétendent ni couvrir l’ensemble des questions envisageables, ni restreindre la curiosité des contributeurs qui souhaiteraient s’écarter de ces sentiers. Comme à chaque édition du congrès de la SPSG, toutes les propositions de communication sont les bienvenues, dès lors qu’elles viennent nourrir le débat philosophique en sciences de gestion.
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Cet appel est complété d’une bibliographie sur le site de la SPSG, à cette adresse : http://spsg.fr/management-de-la-verite-et-verite-du-management

Journée du Visual Merchandising

Journée Annuelle du Merchandising en Suisse 26 février 2010 à l’Ecole supérieure de Design en Visual Merchandising VEVEY

Conférences,«ESPACES COMMERCIAUX DE DEMAIN»

Toutes les conférences sont en français, excepté la conférence de Kim Mitchell, Directrice communication et publications MoMA

8h30 –Accueil des participants

9h00 WGSN – Consumer Behaviour-Macro trends for the Season Summer 2011 in the three WGSN Trend Directions – Fair
& Square, Timelines and Sensory.
www.wgsn.com

9h30 ALU – one of the world’s leading manufacturers and distributors of fi rstclass point-of-sale fi xtures and merchandising systems. www.alu.com

10h00 UMDASCH – the store branding and shopfi tting company «Around the world with Crystal Forest…»

10h30 ISHOPSHAPE – Visual Merchandising software solutions for the fashion industry. www.ishopshape.com

11h00GS1 – la technologie dans les magasins du futur… RFID… mais encore ?

Nathalie Damery, Directrice Marketing stratégique GS1France. www.gs1.ch

11h30SPACE3DSOLUTIONS – «Réalité augmentée et communication visuelle, un virage à ne pas manquer» John Miles directeur.

PROJETS ETUDIANT-E-S,Remise de prix.

12h15-Pause de midi

13h30-«Des principes de Bernardo Trujillo jusqu’aux fondements de la Migros»

Yves Soulabail, Consultant http://www.soulabail.fr et Guy
Vibourel
, Directeur Général Société coopérative Migros Genève. www.migros.ch

14h00 – «Co-Création en Visual Merchandising – Le consommateur dessine, crée, publie et interagit avec les concepts de demain»

Martin Demierre – Marketing Manager TouchMind et ES-Visual Merchandising Design. www.touchmind.ch

14h30 – «Génération W-Web, woman, weather» des clients comme les autres ?

Ralf Hababou – Directeur Général de PBRH Conseil, fondateur de Columbus Café, auteur de – Service compris (1986), Service gagnant
(2007), et Génération W (2009).

15h00-«Développement durable et éthique dans les grandes surfaces» entre vision et illusion ? Susanne Sinclair – Cheffe d’entreprise, Fondatrice et Directrice de Morgaja.

15h30-«Imagens Urbanas – un espace, une ville, des marques»

Sylvia Demetresco présidente IBRM

Claire Courtois, consultante en stratégie de marque, Directrice et Fondatrice de Démarcations

16h00-MoMA’S brand identity «Quand le Musée se démarque!»

Kim Mitchell, Directrice communication et publications MoMA, www.moma.org

Présentation avec Edward Rozzo, Professor of Visual culture, Università Bocconi Milan.

17h00 –Prise de parole et apéritif

Contacts

Rita Regamey

Responsable formation supérieure Visual Merchandising Design

Bureau – ++41 (0)21 557 14 10

Secrétariat – ++41 (0)21 557 14 19

Mail – rita.regamey@es-visualmerchandising.ch

Forum juridique international “Les problèmes actuels du droit et de l’économie de l’Europe et de l’Asie”

Forum juridique international “Les problèmes actuels du droit et de l’économie de l’Europe et de l’Asie”

16-20 septembre 2018

France-Cannes
Le Grand Hôtel, boulevard de la Croisette

Le forum juridique « Les problèmes actuels du droit et de l’économie en l’Europe et en l’Asie » sera organisé pour la première fois en 2018. Ce forum, à caractère juridique, réunira des spécialistes du droit et de l’économie de plus de 10 pays.

À l’issue du forum sur les principaux domaines de travail du groupe de discussion sera préparé des recommandations méthodologiques et pratiques, des propositions pour l’amélioration de la législation mondiale.

Cette année, les organisateurs du forum sont le Centre Suisse du Droit international humanitaire (Zurich, Suisse) et l’Université Heinrich Pestalozzi (Californie, États-Unis).

Le partenaire général du forum est la Société d’Avocats “Duflot & Partners” (Lyon, France).

Les événements du forum Pro avec le soutien de la revue scientifique et pratique internationale “le Droit et l’économie numérique”, de la branche de Moscou de l’Association des juristes de Russie.

Modérateurs :

  • Professeur honoraire, Stephan U. Breu, Professeur honoraire, docteur en gestion des affaires (DBA), secrétaire général de la Suisse au centre international humanitaire (Zurich, Suisse).
  • Professeur honoraire, Maria A. Egorova, docteur en sciences juridiques, Membre du Comité exécutif de la branche de Moscou de l’organisation publique l’Association des juristes de la Russie, Rédactrice en chef du Journal “Droit et économie numérique” de Kutafin de l’Université de droit d’Etat de Moscou (MSAL), membre du comité International de l’Economie Numérique, professeur émérite à l’Université Johann Heinrich Pestalozzi (Miami, États-Unis), professeur émérite à l’Université UniLogos (Miami, États-Unis).

Le forum est prévu pour la participation des experts de premier plan de la France, l’Allemagne, la Russie, l’Italie, la Suisse, la Pologne et l’Inde.

Le programme du forum comprend : l’ouverture solennelle et la clôture de l’événement, la séance plénière, 2 tables rondes, 1 séminaire scientifique et pratique dans le format du Club de jeu et la remise des Certificats aux participants.

Principales questions des discussions de groupe :

  • problèmes actuels du droit international et de l’économie
  • problèmes actuels du droit international humanitaire
  • problèmes modernes perspectives de développement de l’économie numérique
  • problèmes actuels de droit de la concurrence
  • problèmes de convergence du droit et de l’économie,
  • problèmes de droit et d’affaires modernes
  • problèmes actuels de droit de l’énergie

Parmi les principaux intervenants :

  1. Prof. Dr Kishore Singh, ancien rapporteur Spécial des Nations Unies sur le Droit à l’Éducation (2010-2016), Ph.D. en droit international.
  2. Salvatore Mancuso, Ph.D en Droit comparé de l’Université de Trieste, Vice-Président (Événements), membre de l’association de l’Académie Internationale de Droit comparé (AIDC-AIDC), la Société Africaine de Droit International et comparé, l’Association italienne de Droit comparé (SIRD), fondateur de l’Macao Association de Droit comparé ( L’Italie).
  3. Marco Montanarini, Vice-président de l’association Russe-Asiatique des juristes, avocat ( L’Italie).
  4. Natalina Litvinova, Président du Comité International de l’économie numérique, Président du fonds mondial des ressources pour le développement “la Naissance de la paix”, Fondateur de l’Assemblée internationale de maintien de la paix, un expert de l’Assemblée Internationale des capitales et des grandes villes, New Development Bank, membre du Consortium d’information et d’analyse d’Eurasie.
  5. Christophe Samuel Hutchinson, docteur ès sciences juridiques, professeur, Directeur pour la Russie du programme de coopération de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne/EHESE.
  6. Menno Aden – docteur ès sciences juridiques, président ret. de Luthérienne. church, ancien professeur à l’université des sciences appliquées (Fachhochschule) à Essen ; ancien chargé de cours en droit international à l’université de Dortmund (Essen, Allemagne).
  7. Alain Duflot, expert juriduque international avocat de la société d’avocats « Duflot & Partenaires », enseignant à l’Université de Jean Moulin Lyon III (Lyon, France).

L’un des événements les plus importants du forum sera la présentation du magazine international scientifique et pratique “Droit et économie numérique”, ainsi que la présentation de la monographie scientifique “les défis du droit et de l’économie modernes de l’Europe et de l’Asie”, préparé par les principaux participants et les orateurs du forum.

Langues de travail : français, anglais.

Sur le Forum, les participants seront en mesure :

  • de créer des contacts d’affaires avec des représentants des universités européennes et des cabinets d’avocats internationaux.
  • voir des présentations et connaître les opinions des experts sur le thème du développement de plates-formes numériques, les problèmes de développement du droit de la concurrence, le droit international humanitaire, les problèmes de développement de l’éducation juridique.
  • et de poser des questions aux experts et aux conférenciers du forum.
  • de participer à la soirée solennelle organisée pour les participants du forum dans le restaurant gastronomique du grand Hôtel Cannes.

Heure et lieu : Cannes France, le Grand hôtel, boulevard de la Croisette

Participation au forum : Frais d’organisation de 980 euros (le montant comprend l’hébergement à l’hôtel).
Le Comité d’organisation n’effectue pas les frais de voyage des participants.Le programme du forum sera envoyé aux participants après avoir passé la procédure d’enregistrement et de confirmation de leur participation

L’inscription sur le forum a lieu jusqu’au 20 juillet 2018.

La confirmation de la participation dans le formulaire est de une semaine après l’inscription.
L’enregistrement peut être effectué par l’envoi d’une demande par e-mail : lawforumcannes@gmail.com

Compte Facebook de l’événement

Forum juridique international

Les commerciaux et l’Intelligence Economique

Les commerciaux sont les yeux et les oreilles de l’entreprise: Ils détectent les opportunités, écartent les risques et participent à l’innovation. L’ISEP et les DCF d’Ile de France, vous invitent le mardi 5 Avril à 18h30, à assister à la conférence animée par Bernard BESSON sur le thème de l’intelligence économique.

Elle sera suivie d’une table ronde composée d’experts et de dirigeants commerciaux, qui apporteront leur regard sur le rôle et l’influence des commerciaux dans le processus d’intelligence économique de l’entreprise.

Cette démarche est enseignée au Mastère Spécialisé “Management des risques et de l’innovation par l’Intelligence Economique » de L’ISEP. Labellisé par la Conférence des Grandes Ecoles et directement inspiré du référentiel de formation à l’IE édité par le HRIE (Haut Responsable à l’IE).

Les DCF (www.reseau-dcf.fr) qui viennent de fêter leurs 80 ans d’existence, est un mouvement qui rassemble des femmes et des hommes soucieux du développement commercial des entreprises, de l’esprit de performance et de compétitivité. Regroupés en une Fédération Nationale et présents dans 82 départements, les DCF réunissent plus de 3 000 membres et plus de 10 000 sympathisants.

Unis par un esprit « réseau » autour de valeurs fortes telles que l’éthique, l’engagement, l’entraide et le partage, les DCF ont pour vocation de valoriser la fonction commerciale. Réfléchir, faire réfléchir et prendre position. Ils valorisent la performance commerciale en récompensant l’excellence des entreprises et en stimulant la culture commerciale. Ils sensibilisent les jeunes aux métiers de la vente au travers de concours nationaux et d’actions d’information, de découverte ou de formation aux métiers de la vente. Ils soutiennent le développement des entreprises par un partage d’expertise et des formations permanentes.

L’ISEP
est une Grande Ecole d’Ingénieur à Paris qui forme depuis 55 ans des ingénieurs généralistes dans les domaines des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC). Elle assure des activités de recherche dans ses laboratoires, dispose d’un développement à l’international et d’une formation continue dynamique. Elle est sensible aux usages des TIC.

Elle est en lien étroit avec tous les domaines du management, marketing, commerce, économie… Elle incite chez ses étudiants les vocations à la création d’entreprise et à l’innovation. Ainsi, leur Junior Entreprise a été promue plusieurs fois meilleure JE de France.

Parmi les intervenants à qui vous pourrez poser toutes vos questions :

Bernard Besson, Dirigeant de Bernard Besson Consulting, membre du collège de l’Académie de l’Intelligence Economique, a piloté le groupe d’experts chargé de la rédaction du référentiel de formation à l’intelligence économique.

Jean-Claude Possin est Membre du groupe intelligence économique de l’INHESJ Institut national des hautes études de la sécurité, placé sous la tutelle du 1erMinistre.

Stéphane Degryse, Etudiant du mastère Intelligence des Risques et de l’Innovation par l’Intelligence Economique.

Renaud Uhl, Co auteur de « l’intelligence inventive »

Denis Beautier, Directeur des Formations Continues ISEP, Responsable du Mastère “Management des Risques et des Innovations par l’Intelligence Economique”

Guillaume GIRARD-REYDET, Directeur commercial de la société RICARD, élu manager commercial de l’année 2010. Un représentant de la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur).

Cette conférence se déroulera en salle 16 au 1er étage de l’ISEP, 28 rue Notre Dame des Champs, 75006 Paris.
Inscription sur http://fr.amiando.com/_DCF_ISEP_5_avril.html

Plan d’accès :
http://www.isep.fr/plan-dacces

Comment la notion de Bien commun peut-elle répondre aux enjeux du monde contemporain

Chaire Bien commun
Comment une notion ancienne permet-elle
de répondre aux enjeux du monde contemporain ?

Colloque inaugural pour décrypter une notion-frontière
au carrefour du philosophique et du théologique.
La recherche du bien commun traduit une espérance profonde de l’humanité dans son existence politique, économique et sociale : dans un monde souvent marqué par l’individualisme et le communautarisme, comment répondre aux urgences et aux défis de cette espérance ? L’Unité de Recherche « Religion, Culture et Société » [EA 7403] de l’Institut Catholique de Paris crée une chaire originale dont l’objectif est de fonder de manière pluridisciplinaire la notion de bien commun. Face aux défis d’une société en mutation rapide, elle tentera de fonder cette notion en raison et mesurera sa pertinence dans les domaines politique, économique, social et environnemental.

C’est lors du colloque inaugural, qui se déroulera les 17 et 18 novembre prochains, que s’ouvrira ce lieu de recherche et de dialogue, placé sous l’autorité du Pr Olivier Artus, Vice-recteur, Directeur de l’UR « Religion, Culture et Société » [EA 7403] de l’ICP, et présidé par M. Pierre-André de Chalendar, Président-Directeur Général de Saint-Gobain.

Deux jours, 3 grands thèmes et 15 experts internationaux

Pendant deux jours, 15 experts internationaux feront dialoguer les rationalités et les expériences pour décrypter la notion de bien commun, son évolution et sa pertinence actuelle. Le pari est de rompre avec le cloisonnement des disciplines et des domaines, peu propice à prendre en charge les défis d’un monde complexe, et d’ancrer cette approche dans la réalité des organisations (institutions, entreprises, associations, etc.).

Rassemblant des chercheurs issus de plusieurs disciplines, des responsables politiques, des représentants de l’Eglise catholique et des acteurs de l’entreprise, ce colloque aura notamment l’honneur d’accueillir :

  • Patrick Artus, chef économiste de Natixis
  • Sylvie Goulard, députée européenne
  • Enrico Letta, ancien président du Conseil italien et Professeur à Science Po Paris
  • Pierre Manent, éminent représentant de la philosophie politique française
  • Oliver O’Donovan, grand théologien anglican écossais,
  • Bernard Perret, spécialiste du développement durable
  • Mgr Angelo Vincenzo Zani, secrétaire de la Congrégation pour l’éducation catholique

Avant-première

Un chef d’entreprise et un économiste dévoilent leur réflexion quant à la pertinence de la notion de bien commun au sein de l’économie et du monde de l’entreprise.

Diplômé de l’ESSEC, énarque et actuel Président-Directeur général de Saint-Gobain, Pierre-André de Chalendar incite Le monde de l’entreprise […] à contribuer au bien commun au-delà de sa dimension strictement financière.

Du point de vue de l’économiste Patrick Artus, Chef économiste de la banque Natixis, la notion de bien commun fait d’abord appel aux concepts de « bien-être » et d’ « utilité ». […] L’État peut mettre en place des politiques qui génèrent des externalités positives et donc accroissent le bien-être collectif. […] Il cite en exemple la baisse des cotisations sociales sur les bas salaires, la défiscalisation des dons à des fondations, des ONG… […] La question qui se pose ici est celle de l’arbitrage entre efficacité économique et équité sociale.

Le bien commun et l’Institut Catholique de Paris

Cette Chaire incarne la mission de l’Institut Catholique de Paris, qui se veut au service de la société et de la personne, à travers ses différentes structures de formation et son UR « Religion, Culture et Société » [EA 7403], qui contribue à l’interprétation scientifique des grandes questions contemporaines, rappelle le Professeur Olivier Artus, Directeur de l’UR.

Le bien commun est aussi un concept cardinal de la doctrine sociale de l’Eglise. Le concile Vatican II y a recours dans la constitution pastorale « Gaudium et Spes » (n° 26). Cet usage conciliaire rend compte de l’intérêt académique et scientifique qu’elle suscite à l’Institut Catholique de Paris tant en philosophie et en sciences économiques et sociales qu’en théologie.

Le colloque inaugural de la Chaire Bien commun de l’UR « Religion, Culture et Société » [EA 74 03] de l’ICP analysera la notion de bien commun et proposera des pistes de mise en œuvre en faisant dialoguer les rationalités et les expériences.

Informations pratiques :
Institut Catholique de Paris
Tout Public, Gratuit,
Inscription obligatoire : https://icpbiencommun.eventbrite.fr

icp

12e Conférence Internationale sur le Développement de l’Agence française de développement

L’Agence française de développement organise sa 12e Conférence Internationale sur le Développement : les 1er et 2 décembre 2016 à La Chesnaie du Roy à Vincennes.

Les inscriptions ouvriront très prochainement à l’adresse suivante : http://communsetdeveloppement-afd2016.com

La conférence sera introduite par Gaël Giraud, chef économiste de l’AFD. Les keynotes confirmés sont Jean-Michel Severino (Investisseurs et Partenaires), Ravi Kanbur (Université de Cornell), Amy Dahan (CNRS-EHESS), Eduardo S. Brondizio (Université d’Indiana), Chimère Diaw (Réseau Africain des Forêts Modèles) et Christophe Sand (Institut d’Archéologie de la Nouvelle Calédonie et du Pacifique).

L’objectif de cette conférence est de rassembler et faire dialoguer les pratiques et les recherches menées sur l’articulation Communs et dynamiques de développement, en faisant appel à une pluralité de grilles d’analyse et de disciplines.

Convention : Modes managériales et modes managériaux

Modes managériales et modes managériaux

Les nouveautés managériales depuis 15-20 ans ne manquent pas :

  • courants de pensée : développement durable, gouvernance, éthique, santé au  travail, diversité, entreprise libérée, holacratie, plaisir et qualité de vie au travail…
  • thématiques : confiance, communication managériale, entreprise apprenante,  management relationnel, intelligence émotionnelle,  knowledge management, équilibre vie privée – vie professionnelle, résilience,  risques psychosociaux, employabilité, engagement,  génération Y et seniors, bienveillance, bonheur au  travail…
  • pratiques : e-learning, coaching, 360º, innovation participative, assertivité, méditation, communauté de pratiques, MOOC, mentorat inversé, télétravail, serious games, réseaux sociaux internes, applis de  rencontres…

Quels sont leurs véritables  apports ? Comment faire la différence entre une  réelle innovation et une ancienne méthode joliment marketée par des consultants imaginatifs ? Quoi de nouveau vraiment sous le soleil du  management ?

Programme de la convention

8h45 – Accueil

9h15 – Introduction par Philippe Détrie

1. Etat des lieux, panorama des modes managériales

Objectif : définir la nature des modes managériales, leur importance, leur actualité : apportent-elle de la valeur pour leurs utilisateurs ou pour leurs promoteurs ? Comment faire d’une théorie inefficace un phénomène de mode en entreprise ?

2. Deux études de cas : l’entreprise libérée, la méditation animées par Frédéric Henrion, directeur du développement des compétences du Groupe SUEZ

Objectif : faire témoigner pour chaque étude de cas 2 intervenants : 1 pour (5’), 1 contre (5’) puis faire débattre et voter la salle (15’). C’est une joute verbale : seront goûtés le plaisir de l’argumentation, l’humour et la mauvaise foi éventuelle comme savent le faire parfois si bien les avocats !

– L’entreprise libérée
pour : Pierre Sinodinos, président-fondateur d’Aneo
contre : Loïc Le Morlec, conseil en management, membre de l’AfraME

– La méditation en entreprise
pour : Christine Barois, psychiatre, fondatrice du 1er Bar à méditation, auteure de Pas besoin d’être tibétain pour méditer
contre : Martin Richer, fondateur du blog Management & RSE

Débats avec la salle et votes

11h – Pause

3. Qu’en pensez-vous ? Atelier animé par Frédéric Henrion

Objectif : distinguer les meilleures et les moins bonnes innovations managériales de ces 20 dernières années en fonction de 4 critères :

1. Originalité du nouveau mode de management, caractère novateur
2. Apports en termes de performance pour l’entreprise
3. Apports en termes d’engagement des salariés
4. Faisabilité : simplicité de mise en œuvre et ressources allouées, reproductibilité, universalité

Débat en grappes puis avec les intervenant.e.s

4. Perspectives sur les tendances du management de demain

Objectif : revisiter l’histoire des fausses bonnes idées du management des organisations et des personnes et donner les évolutions à attendre

– Romain Zerbib, rédacteur en chef adjoint de la Revue des Sciences et Gestion, chercheur associé à la chaire ESSEC de l’Innovation Managériale et l’Excellence Opérationnelle

Débat en grappes puis avec les intervenant.e.s

12h45 – Buffet convivial

Participation gratuite pour les adhérent.e.s de la Maison du Management, de 400€ HT pour les non-adhérent.e.s
Pour vous inscrire cliquez ICI

Débat : Démocratie en santé : quelles réalités ?

Claude Evin, Directeur Général de l’ARS Ile-de-France,
Laurent El Ghozi, Président de la CRSA Ile-de-France,

vous invitent à participer au débat public
organisé dans le cadre de la Stratégie Nationale de Santé.

Démocratie en santé : quelles réalités ?

Le mercredi 12 Février 2014
de 14h00 à 18h00 (accueil à partir de 13h30)
Eurosites George V- 28, avenue George V – Paris 75008

SOYEZ ACTEUR EN PARTICIPANT A CE DEBAT PUBLIC OUVERT A TOUS !

Je m’inscris au débat*


*Inscription obligatoire, nombre de places limité


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Financement de l’innovation au lendemain de la crise : les nouvelles pistes

Prochain MATINS de L’INNOVATION

sur le thème

 

INNOVATION ET INVESTISSEMENT

Financement de l’innovation au lendemain de la crise : les nouvelles pistes

 

Mercredi 16 juin 2010

9h00 – 11h30

à l’ESSEC au CNIT – 2 place de la Défense , Paris

Métro 1 / RER A : La Défense Grande Arche sortie CNIT

 

inscrivez-vous en cliquant ici

 

Animation : Hervé Mathe, professeur à l’ESSEC et directeur de l’ISIS

 

Contact :

Pierre Montaron

ESSEC-ISIS

Institute for Service Innovation & Strategy

Research Associate/ Conferences Manager

+33(0)1 34 43 36 52

montaron@essec.fr
www.essec-serviceinnovation.com

Forum International pour le Bien Vivre

Le premier Forum International pour le Bien Vivre aura lieu du 6 au 8 juin 2018 à Grenoble. Pour la première fois en Europe, élus, agents des collectivités, scientifiques, acteurs associatifs et citoyens engagés se réunissent pour discuter de la question des indicateurs de richesse(s) et agir ensemble face à la nécessité d’un changement de modèle.
Cet événement est organisé par Grenoble Alpes Métropole, le CCFD-Terre Solidaire, la Ville de Grenoble, la ComUE, l’Université Grenoble Alpes et le Forum pour d’Autres Indicateurs (FAIR).

Un Forum International pour le Bien Vivre pour de nouveaux indicateurs

Lors de ce forum, les participants questionneront les indicateurs de développement actuels qui, comme le Produit Intérieur Brut (PIB), font de la croissance économique le seul objectif de nos sociétés.

Pourtant, d’autres paramètres, écologiques ou sociaux, existent aujourd’hui pour mesurer la richesse d’un territoire en prenant en compte le bien-être, le développement humain et social, la qualité de vie, le vivre-ensemble, etc.

Le forum de Grenoble sera l’opportunité de franchir un pas de plus, de l’observation à l’action. Comment ces indicateurs peuvent-ils promouvoir des pratiques s’inscrivant dans une vision de société juste et soutenable ?
Le Forum accueille également un colloque scientifique international et pluridisciplinaire, organisé par l’Université Grenoble Alpes et le laboratoire de sciences sociales Pacte, qui s’adresse à tous les chercheurs portant un intérêt d’ordre théorique, méthodologique ou empirique à la question du développement humain et de ses indicateurs, au-delà des sciences de l’homme et de la société : biologie, sciences médicales, sciences de l’ingénierie, sciences de la terre, écologie, etc.

Le forum s’adresse à tou-te-s : chercheurs, élus et techniciens de collectivités, association, citoyens, entreprises…

Plus d’informations sur l’événement à venir sur le site Internet : https://bienvivre2018.org

Congrès DCF à Deauville : concevoir « l’expérience client augmentée »

L’édition 2016 des Dirigeants Commerciaux de France se tiendra en Normandie du 26 au 28 mai 2016 et aura pour thème « L’expérience client augmentée : le nouvel enjeu de la fonction commerciale »

Bisannuel, le Congrès National des Dirigeants Commerciaux de France rassemble à chaque édition plus de 1 000 participants venant de la France entière. Chaque congrès DCF accueille des experts reconnus en lien avec son thème, dans le but de sensibiliser les participants aux grands enjeux de la fonction commerciale à moyen terme.

Le thème de cette année : « L’expérience client augmentée : le nouvel enjeu de la fonction commerciale »

Transformer les canaux en créateurs de relation, faciliter l’acte d’achat, animer les lieux de vente, offrir une expérience différenciée… Les applications de la relation client augmentée sont à la fois intemporelles et plus que jamais inédites. Pendant ces deux journées professionnelles, des experts et personnalités marquantes du monde économique et politique apporteront leur vision sur les enjeux des entreprises.

Des intervenants de renom pour les Dirigeants Commerciaux de France

Cette année, le Congrès DCF accueille entre autres personnalités Philippe Dessertine, Guillaume Sakorzy, Olivier Faron, Bertrand Jouvenot, Arnaud Hacquin ou encore Pierre Dormont, pour des conférences et tables rondes animées par le journaliste Thierry Watelet. Bernard Mabille donnera quant à lui une revue humoristique.

Pour visualiser l’ensemble du programme et les intervenants, cliquez sur ce lien :
http://congres.reseau-dcf.fr/congres/programme

Un programme haut en couleur et riche en événements

  • 26 mai – Pré-congrès : Visite de la Ville du Havre classée au Patrimoine Mondial de l’Unesco et grande soirée de lancement aux Bains des Docks complexe aquatique conçu par les ateliers de l’architecte Jean Nouvel.
  • 27 et 28 mai – Congrès au Centre International de Deauville. Conférences d’experts de premier plan, tables rondes et exposition des acteurs économiques locaux et nationaux
  • 28 mai après-midi et 29 mai – Post-Congrès : au choix Rouen et Giverny sur les routes de l’impressionnisme ou le Mont St Michel et les plages du débarquement

http://congres.reseau-dcf.fr

Dirigeants Commerciaux de France DCF

L’Abbaye de Saint-Jacut-de-la-Mer sort de ses murs pour présenter “L’heureux Naufrage”

L’Abbaye de Saint-Jacut-de-la-Mer sort de ses murs du bord de mer et investit la place rennaise. C’est le
Lundi 7 mars 2016 en effet, à 18h00, au sein de L’Espace Ouest-France (38 rue du Pré-Botté, Rennes) que sera diffusé un documentaire intitulé “J’Heureux naufrage”.

Entrée gratuite

Abbaye de Saint-Jacut-de-la-Mer

Elie Geffray, Joseph Thomas et Jean Lavoué commenteront le film et animeront le débat avec le public.

Un événement organisé par l’Abbaye de Saint-Jacut-de-la-Mer, en préambule à un colloque consacré aux héritages visibles et invisible du concile Vatican II, début avril 2016.
programme vaticant II Abbaye de Saint-Jacut-de-la-Mer

 

Abbaye de Saint-Jacut-de-la-Mer