Archives de catégorie : Etudes et rapports

Atlas des risques sociaux d’échec scolaire

Les jeunes sortants sans diplôme du système éducatif  sont très fortement exposés au chômage et au sous-emploi. En cette période de crise, leurs difficultés vont bien au-delà de la période d’insertion.

Atlas des risques sociaux d’échec scolaire

Même si une partie d’entre eux acquiert de façon différée une qualification, leur destinée professionnelle est fortement marquée par l’insécurité de l’emploi ou/et des emplois de mauvaise qualité. De par son approche territoriale, la deuxième édition de l’Atlas que viennent de coéditer le centre associé au Céreq pour la région Normandie – laboratoire Espaces et Sociétés, UMR CNRS ESO, et la Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (Depp) – ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, apporte un éclairage original sur la situation de chaque académie. L’ouvrage décrit finement la situation de chaque académie d’un double point de vue : il analyse et cartographie, à l’échelon cantonal, les facteurs plus ou moins propices à la réussite scolaire et les difficultés qui peuvent conduire à l’abandon précoce des études.

La première parution de l’Atlas en 2014  a donné lieu à de nombreux échanges dans les différentes académies et régions. Une forte demande s’est exprimée pour son actualisation et en particulier pour prendre la mesure des effets de la crise économique et sociale. Les données ont été actualisées essentiellement à partir du recensement de 2011. De plus, cette édition est enrichie par des données inédites sur les départements d’Outre-Mer.

Pour observer les spécificités de chaque académie et leurs disparités internes en matière de risques sociaux et de décrochage scolaire, des indicateurs de contextes territoriaux combinent sept variables susceptibles d’agir sur l’échec scolaire et l’orientation des élèves : le niveau de revenu des ménages, le chômage et la précarité en emploi,  le niveau de diplôme des parents, le fait de vivre dans une  famille monoparentale, le nombre d’enfants, les conditions de logement.

De nombreuses analyses nationales sur le décrochage accordent une place très modeste à la dimension territoriale. Cet atlas souligne l’importance du rôle du territoire dans la reproduction sociale. Dans le cadre de la mise en place d’une politique de lutte contre le décrochage renforcée sur sa partie prévention, l’utilisation de cette cartographie permettra d’apporter des réponses territorialisées adaptées aux besoins spécifiques des jeunes.

Auteurs : Gérard Boudesseul, Patrice Caro, Yvette Grelet, Laure Minassian,  Céline Vivent (centre associé du Céreq pour la région Normandie), et Olivier Monso (Depp).

Atlas des risques sociaux d’échec scolaire : l’exemple du décrochage en France métropolitaine et dans les DOM (2016, données 2011).

Pour en savoir plus : Ouvrage et focus Céreq en ligne sur le site du Céreq et sur le site du  ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche

cereq risques sociaux

Audition de Thierry Mandon au Sénat

Mercredi 29 juin 2016, à partir de 9h30, la Commission de la Culture, de l’éducation et de la communication du Sénat auditionne, en salle Médicis, Thierry Mandon, secrétaire d’Etat chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche sur la préparation de la rentrée universitaire et sur le financement de la recherche.

Pour voir Thierry Mandon

Cette audition est ouverte à la presse, elle sera d’ailleurs diffusée en direct sur le site du Sénat puis disponible en VàD

ministere_enseignement_recherche Thierry Mandon

L’état de l’enseignement supérieur et de la recherche Édition 2016

La 9e édition de L’état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche en France présente un état des lieux annuel et chiffré du système français d’enseignement supérieur et de recherche, de ses évolutions, des moyens qu’il met en œuvre et de ses résultats, en le situant, chaque fois que les données le permettent, au niveau international..

L’Enseignement supérieur et de la Recherche en France en tableaux

Pour cette année 2016, l’E.E.S.R. s’est enrichi de nouvelles contributions et propose, dans sa version numérique, de nouvelles fonctionnalités aux utilisateurs, comme par exemple la description détaillée des principales sources mobilisées et de leur mode d’élaboration.

Chacune des 50 fiches présente au moyen de graphiques, de tableaux et de commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur chaque sujet.

ministere_enseignement_recherche Enseignement supérieur et de la Recherche en France

Etude « Technologies clés 2020, préparer l’Industrie du futur »

A l’occasion du point d’étape sur la Nouvelle France Industrielle organisé le 23 mai 2016, Philippe Varin a remis l’étude « Technologies clés 2020, préparer l’Industrie du futur » à Emmanuel Macron, Ministre de l’économie, de l’industrie et du numérique.

Technologies clés 2020 pour anticiper demain

Cette étude identifie 47 technologies stratégiques pour la compétitivité et l’attractivité de la France dans les 5 à 10 années à venir, ainsi que les opportunités à saisir pour conquérir de nouveaux marchés.

Ces technologies clés trouvent leurs applications dans les domaines de l’alimentation, de l’environnement, de l’habitat, de la sécurité, de la santé et du bien-être, de la mobilité, de l’énergie, du numérique, ou encore des loisirs et de la culture. L’étude a été pensée comme un outil au service des industriels et des entreprises de services à forte valeur ajoutée en France, et ouvre ainsi les portes de l’Industrie du futur : elle propose une vision stratégique de l’orientation à moyen terme des marchés mondiaux, notamment grâce aux monographies par domaines d’application, et un regard opérationnel sur les technologies à industrialiser pour conquérir ces marchés, au travers de fiches de technologies.

À chacun de ses niveaux de lecture, l’étude Technologies clés 2020 constitue donc un véritable guide opérationnel pour les solutions de la Nouvelle France Industrielle, en leur donnant des orientations de développement. La Direction générale des entreprises (DGE) réalise tous les 5 ans cette étude de prospective technologique visant à accompagner les choix des entreprises, notamment les PME et les ETI. La DGE a confié le pilotage stratégique de cette cinquième édition, qui a mobilisé plus de 200 experts entre l’automne 2014 et début 2016, à Philippe Varin, président du Cercle de l’Industrie. –

Consulter l’étude : www.entreprises.gouv.fr/TC2020

dge

Section 37 du CNRS : une nouvelle liste de revues élaborée en marge de la communauté

Nous informons notre lectorat d’un message du SNESUP à propos de la nouvelle liste de revues de la Section 37 (Eco-Gestion) du CNRS

Section 37 du CNRS  élabore une nouvelle liste

“La Section 37 du CNRS  (économie-gestion) vient d’adopter une nouvelle révision de sa liste de revues avec 9 voix pour, 4 contre et 3 absentions dont l’utilisation porte à conséquences pour la communauté des chercheurs et des enseignants-chercheurs. Cette révision intervient alors que les réformes gouvernementales visent à systématiser le recours à la bibliométrie dans l’évaluation des collègues et à faire de cette évaluation un instrument de sanction.

Comme lors des révisions précédentes, le classement de certaines revues a été modifié et de nouvelles revues sont rentrées dans cette liste révisée, désormais complétée par une liste de revues dites émergentes, non catégorisées, et une liste de revues Multidisciplinaire et Autres Disciplines (MAD), elles aussi non catégorisées. Dans son ensemble, cette révision renforce l’incitation à privilégier la publication dans des revues anglo-saxonnes.

En 2004, la première liste de la section 37 avait été élaborée sur la base d’une consultation des Directeurs d’Unité et, on peut le supposer, des membres des unités de recherche rattachées. La 1re révision, adoptée en 2008, avait fait l’objet d’une consultation, certes imparfaite, mais d’une consultation tout de même de la communauté (réunion des économistes du 16 février 2007). La dernière révision a encore rétréci le champ de la consultation. La section a ouvert une boite mail dédiée pendant 3 ans pour recueillir l’avis de la communauté sur sa liste. Cette procédure ne peut être assimilée à un processus démocratique.

Le rôle de la liste de la section 37, depuis sa première version, a fondamentalement changé. Il structure désormais l’évaluation du travail de la communauté scientifique, individuellement et collectivement, très au-delà de la question du recrutement et de la gestion de la carrière des chercheurs CNRS. Cette communauté, dans sa majorité, n’a jamais eu l’occasion de s’exprimer et donc d’orienter le contenu de la liste.

Or, l’évaluation a elle aussi beaucoup changé depuis la 1re liste. Aujourd’hui, la majorité des membres de cette communauté subit donc les effets, qui peuvent être lourds, d’un outil qui lui est totalement extérieur. C’est un déni de démocratie.

Le Snesup, sans méconnaître le travail des membres de la section 37, s’élève contre l’adoption d’une liste de revues dont l’usage est donc désormais structurant pour la communauté des chercheurs et des enseignants-chercheurs sans que les principaux intéressés n’aient été associés à son élaboration.

Parce que la décision doit finalement revenir à la communauté à laquelle elle s’applique, il est temps de lui rendre l’initiative pour que soient définis collectivement la finalité de l’évaluation, son mode opératoire et ses supports. Sur la liste elle-même, le Snesup a toujours considéré que l’existence même d’une liste qui fournit un classement selon un jugement de valeur sur la qualité supposée ex-ante des articles publiés renforce potentiellement des effets pervers bien connus (étouffement du pluralisme, dérive bibliométrique de l’évaluation, constitution d’un marché de chercheurs, ou de primes de productivité individuelles, etc..;

Le Snesup appelle donc la communauté et ses représentants à se mobiliser pour que chacun soit réellement consulté sur l’évaluation, son rôle et ses modalités. Nous voulons que la communauté puisse les définir en toute transparence dans le cadre d’un débat démocratique.”

 

Nouvelle étude de la FNEGE : des pistes de réflexion et d’action

La FNEGE vient de présenter les résultats de sa dernière étude, intitulée « Les institutions d’enseignement supérieur de gestion et leur corps professoral » (60 €ttc). Alors que le recrutement, l’évaluation et la gestion de carrière des enseignants-chercheurs font partie des sujets les plus sensibles du débat français qui accompagne le projet de loi d’orientation de l’enseignement supérieur et de la recherche, cette étude avance des pistes de réflexion utiles à l’action pour l’ensemble des acteurs du secteur. 

Un sujet d’actualité, dans une période placée sous le signe du changement Selon les auteurs de cette étude, Jacques Thevenot, Professeur à ICN Business School et Anne-Laure Boncori, Professeur assistant à INSEEC Business School, la bonne gestion de la relation entre les institutions d’enseignement supérieur et le corps enseignant s’avère un facteur clé pour le bon fonctionnement des établissements et un climat social favorable. Face aux enjeux actuels (tensions institutionnelles liées à la recherche de la taille critique, la course à l’excellence et à l’internationalisation, le contexte très concurrentiel), cette relation doit évoluer différemment. Mais dans quel sens ? L’objectif de l’étude de la FNEGE est deproposer une grille de lecture ouverte à la communauté, de lancer une interrogation collectivepermettant aux établissements, à leurs parties prenantes, aux responsables, à leurs réseaux, de mieux prendre en compte les enjeux et les opportunités à saisir et, ainsi, de « retrouver du sens » et sortir de la crise.

L’étude s’articule autour de trois points essentiels :
1. une comparaison internationale des modèles de la relation institutions d’enseignement supérieur de gestion-corps professoral qui montre qu’en la matière il n’existe pas de « one best way » mais des traditions différentes ;
2. un retour sur les raisons historiques qui expliquent notre modèle actuel, dans lequel l’ADN des établissements joue un rôle fondamental ;
3. la formulation de pistes pour une sortie de crise qui passe par une réflexion sur  le positionnement des établissements et par l’alignement de leur stratégie en interne en prenant en compte les mutations et attentes de l’environnement.

Pour évoluer dans le bon sens, chaque acteur doit prendre en compte « trois facteurs dont la portée est stratégique pour l’avenir de tout établissement d’enseignement supérieur en gestion » :  la qualité, l’implication et la fidélisation du corps professoral ; l’ancrage dans le territoire (local, régional, national, international) ; l’insertion dans des réseaux nationaux et  internationaux. Les décisions que chaque responsable d’établissement pourra prendre, les normes que chaque acteur de l’évaluation pourra concevoir, devraient ainsi combiner, de manière cohérente et différenciée selon les établissements et leurs caractéristiques, enseignement, recherche et impact sur le territoire et ses acteurs, concluent les auteurs.

Des pistes de réflexion et des propositions concrètes
Plusieurs pistes de réflexion et d’action peuvent s’offrir à chaque responsable d’établissement, et ce, selon les caractéristiques du modèle dans lequel s’inscrivent l’établissement et sa stratégie :

Ø  redéfinir leur stratégie et leur positionnement en réalisant des choix conformes à leurs moyens et à leurs objectifs ;

Ø  mettre en question leur propre mode d’évaluation et envisager des modalités de différenciation entre les écoles ;

Ø  revenir, avec l’ensemble des parties prenantes des établissements, à une vision réaliste tant pour les différents projets d’orientation des jeunes que pour offrir aux employeurs bien plus qu’un modèle unique ;

Ø  contribuer à l’évolution des critères d’évaluation des institutions d’enseignement supérieur en gestion pour une plus grande transparence, lisibilité et pertinence des classements.

Suite à la réflexion sur le métier d’enseignant-chercheur et ses missions, les auteurs de l’étude de la FNEGE proposent des mesures concrètes. Citons-en quelques-unes : 

Ø Revaloriser l’image de l’enseignant-chercheur auprès des candidats potentiels (étudiants en Master), auprès des divers publics (entreprises, étudiants, médias) et encourager les études en doctorat pour développer le vivier.

Ø Renforcer les compétences des enseignants-chercheurs dans d’autres domaines : pédagogie, formation à l’entreprise (stage d’immersion), aux NTIC, des séjours à l’étranger, etc.

Ø Créer des conditions de travail favorables à l’efficacité en pédagogie et en recherche, en passant par une aide logistique renforcée en faveur de l’innovation et de l’ouverture du corps professoral à l’international.

Ø Créer les meilleures conditions pour que le climat social soit favorable : accueil et intégration des nouveaux enseignants, communication interne, participation à la décision, etc.

Ø Modifier et rendre transparentes les règles d’évaluation de l’enseignant–chercheur pour reconnaitre et valoriser ses compétences et ses activités.

Les auteurs ont également porté une réflexion sur les caractéristiques et le mode de fonctionnement des institutions, sur l’environnement des établissements d’enseignement supérieur en gestion en matière de systèmes d’évaluation et de certification, ainsi que sur l’organisation du secteur.  Par exemple, à la question « faut-il réguler les mouvements de recrutement des enseignants-chercheurs au sein du secteur ? », l’étude révèle que l’adoption de mécanismes de marché  (du type « mercato ») ne serait pas adapté au système français et qu’une autre piste serait de mettre en place des règles de déontologie et une éthique de recrutement des professeurs, dans un souci de transparence de l’information.

Du point de vue méthodologique, souligne Jacques Thevenot, « cette étude se fonde sur la compilation de nombreuses études et documents existants, sur le travail de réflexion réalisé par un groupe de responsables d’établissements et les échanges issus de la réunion des directeurs (…), sur une analyse comparative de cette relation avec le corps professoral entre les systèmes français, allemand et
québécois, ainsi que sur de nombreux entretiens individuels
. »

www.fnege.org

Une nouvelle étude révèle pourquoi le bouche-à-oreille électronique dépasse le marketing traditionnel en termes d’impact et de valeur

Le bouche-à-oreille a souvent été décrit comme la stratégie marketing la plus efficace mais également la moins bien comprise. Une récente étude co-réalisée par Koen Pauwels, professeur de Tuck School of Business at Dartmouth (Etats-Unis), permet de mieux comprendre cette stratégie, comment elle fonctionne sur des plates-formes de réseaux sociaux comme Facebook ou MySpace et comment elle arrive à supplanter des outils marketing plus traditionnels, comme l’organisation d’événements et la publicité, en terme d’impact et de bénéfices.
Dans cette étude intitulée “Estimating the dynamic effects of online word-of-mouth on member growth of a social networking site”, le
professeur Powels et ses associés Randolph Bucklin et Michael Trusov (Université de Californie, Los Angeles, Etats-Unis), analysent le nombre d’inscriptions et de recommandations privées des
utilisateurs sur l’un des plus importants sites de réseaux sociaux (resté anonyme), sur une période de 36 semaines. En utilisant une technique appelée « Modèle Vectoriel Autorégressif (VAR) » qui mesure les « interactions dynamiques » entre l’action (les inscriptions) et les variables marketing, les auteurs démontrent que l’impact du bouche-à-oreille sur le gain de nouveaux clients est significativement plus élevé que d’autres formes de marketing traditionnel. L’élasticité  (jusqu’à quel point un changement de budget peut affecter la demande) des recommandations privées des utilisateurs se révèle être en particulier au moins deux fois et demie plus élevée que la moyenne par rapport à la publicité traditionnelle et 20 fois plus élevée en moyenne que des événements marketing. Les auteurs appellent cela « l’effet bouche-à-oreille (WOM Effect) ».

L’étude intègre la simulation d’une publicité commerciale (commune à beaucoup de sites de réseaux sociaux) afin d’évaluer la valeur monétaire potentielle de l’effet WOM. Selon ce modèle, chaque nouveau client correspondrait à un nombre de bannières publicitaires potentielles. En utilisant les moyennes du secteur en termes de coût pour mille impressions, et le nombre d’impressions par utilisateurs et par jour, les auteurs concluent qu’une entreprise de réseaux sociaux en ligne peut accumuler 7,50$ pour 10 invitations envoyées par un membre. En résumé, ils estiment que ces entreprises, dont la source de revenue principale est la publicité en ligne, devraient être prêtes à payer 75 centimes pour chaque recommandation des utilisateurs.

Responsabilité Sociale et Environnementale

Mettre en oeuvre une politique de Responsabilité Sociale et Environnementale en entreprise : Freins, leviers et bonnes pratiques

Premier du genre, Le livre blanc SENSE dresse un panorama complet et opérationnel des freins, des leviers et des bonnes pratiques pour la mise en œuvre de politiques de RSE ou de Développement Durable dans les entreprises en France depuis quatre ans. L’état des lieux a été réalisé au cours du premier semestre 2008 par entretiens face à
face approfondis avec 50 Dirigeants, Directeurs du développement Durable d’entreprises du secteur privé, et personnalités qualifiées qui se sont exprimées sur leurs expériences opérationnelles et
sur les enseignements qu’ils en ont tirés.

Ce livre blanc est destiné aux Dirigeants d’entreprises, Directeurs du Développement Durable, Managers et Chefs de Projets en charge des programmes de Responsabilité Sociale d’Entreprise.

Conseil Economique et Social

Le Conseil Economique et Social a publié un avis sur La conjoncture économique et sociale en 2007 rapporté par Philippe LE CLEZIO au nom de la section des questions économiques générales et de la conjoncture et adopté par l’assemblée plénière des 15 et 16 mai 2007. Le CES consacrera son assemblée plénière des 29 et 30 mai 2007 à l’examen de l’avis sur  La sécurisation des parcours professionnels présenté par Édith ARNOULT-BRILL au nom de la section du Travail.

Séminaire d’Histoire économique

Le Séminaire d’Histoire économique – atelier Simiand – de l’EEP  aura lieu le  lundi 4 juin 2007 à l’Ecole d’Economie de Paris – Boulevard Jourdan 75014 (Paris), bâtiment principal, rez-de-chaussée, salle 8 (17h30-19h).

M. D. BORDO (Rutgers University, New Brunswick NJ) sera accueilli à propos du “Foreign Capital and Economic Growth in the First Era of Globalization” de M. D. Bordo, et C. M. Meissner.

Appels à communications

Le colloque organisé par le GESEM (Groupe d’Etudes en Sciences de l’Entreprise et des Marchés -Faculté d’Administration et Gestion), aura lieu le 15 décembre 2006 dans les locaux de la Faculté d’Administration et de Gestion (Université Montpellier 1), sur le thème : « Nouveaux regards sur le management public ». Dans le cadre du colloque sont notamment attendues : des communications qui présentent une réflexion originale s’appuyant sur des situations concrètes et mettant en évidence des résultats d’expériences innovantes. Des communications axées sur des approches pluridisciplinaires ou transversales. Les propositions de communication devront parvenir au plus tard le 30 septembre 2006 à l’adresse suivante : gesem.management@univ-montp1.fr
Les communications pourront également être rédigées en langue anglaise ou espagnole, avec un résumé en français.

Le recours à la main d’oeuvre étrangère

Un marché de 38 000 euros a été passé entre le Ministère de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement et le Centre de Recherche Magellan de l’IAE de l’Université Jean Moulin Lyon 3 dont l’objet porte sur la "Main d’œuvre étrangère" en réponse à l’appel d’offre de la DARES (Direction de l’Animation de la Recherche, des Études, des Statistiques) sur "Les raisons du recours à la main d’œuvre étrangère et la définition de la notion de besoin de main d’œuvre". Cette étude est réalisée par Alain Roger (Professeur), Christophe Baret (Professeur), Catherine Glée (Maître de Conférences) et Séverine Ventolini (Allocataire de Recherche) sur une durée de 9 mois. Elle porte sur 4 secteurs d’activité en région Rhône-Alpes : le BTP, l’Hôtellerie-Restauration, l’Enseignement Recherche, et un secteur industriel (micro-électronique ou chimie). L’étude doit être remise au courant du mois de septembre 2006.

http://iae.univ-lyon3.fr