Archives de catégorie : Ecoles

Pascale Rus, nommée Directrice Générale Exécutive du Groupe IGS

Retour aux sources pour Pascale Rus, cette ancienne de l’IGS RH assure depuis le 1er février 2019 la Direction générale Exécutive du Groupe IGS et de ses 8 filières de compétences, de ses 5 pôles d’activités qui accueillent chaque jour 14 200 apprenants.

Pascal Rus

Pascale Rus apporte au Groupe IGS son expérience du monde la distribution

Aux côtés de Roger Serre, Délégué général, Pascale Rus succède ainsi à Jean-Michel Perrenot qui continuera à faire bénéficier le Groupe de ses 40 années d’engagement et d’expérience, mais à un rythme moins soutenu.

Pascale Rus apporte au Groupe IGS et à ses différents pôles, sa grande expertise des RH, du consulting, du monde de la Distribution, des Médias et des nouvelles Technologies, qu’elle a acquise comme DRH à la FNAC et chez CONFORAMA.

Peut-être verra-t-on développer des liens étroits avec un grand nom du secteur, à l’exemple d’autres grandes écoles où des dirigeants de la grande distribution sont devenus très présents.

En 2012, elle avait intégré le Groupe Lagardère Active pour y exercer successivement la responsabilité de DRH puis celle de Secrétaire générale en charge des ressources humaines, de l’immobilier, du juridique, des moyens généraux et de la sécurité.

« En tant que Diplômée du Groupe IGS, j’ai toujours conservé un lien très fort avec la communauté IGS. J’ai eu le plaisir d’intégrer le comité d’orientation stratégique de l’IGS-RH en 2012 au sein duquel j’ai pu œuvrer au renforcement du lien entre formation et entreprise. Les valeurs d’humanisme, d’entrepreneuriat et de professionnalisme incarnées par le Groupe IGS sont depuis toujours inscrites au cœur de mon engagement professionnel et personnel et c’est avec une immense fierté que j’ai accepté ces responsabilités. » 

Pascale Rus

« Le Groupe IGS s’engage quotidiennement au service de l’emploi et de l’avenir des jeunes en fédérant des universitaires et des praticiens qui contribuent à élaborer une réflexion sur l’entreprise et les métiers de demain ».

Roger Serre, Délégué général du Groupe IGS

IONIS Education Group renforce sa direction opérationnelle

Avec à ses côtés Fabrice Bardèche, vice-président exécutif et Marc Drillech, directeur général, Marc Sellam, président-fondateur, continue le travail de renforcement de sa direction opérationnelle de IONIS Education Group. En 2020, à l’occasion des 40 ans de sa création, le Groupe représentera un effectif global proche des 30.000 étudiants, une présence dans 14 villes en France, 10 campus à l’étranger, le positionnant comme leader de l’enseignement supérieur privé en France.

À la suite de la nomination de Lucile Morel en tant que directrice financière et d’Esther-Laure Sellam au poste de directrice des ressources humaines, trois nouvelles nominations soulignent l’intention du Groupe IONIS d’amplifier ses dynamiques de développement dans les univers de l’enseignement online, de la formation continue et du numérique.

Stephane Zibi devient le nouveau directeur de IONISx, la edtech du Groupe IONIS

Après des études en informatique à La Sorbonne, Stéphane Zibi commence sa carrière en 1994 comme consultant dans un cabinet de conseil. Puis, il intègre Pierre Frey, cabinet d’avocats dans lequel il supervise les affaires liées aux nouvelles technologies. En 1998, il rejoint Arte et deux ans plus tard, l’agence web Babel@Stal. En 2003, il devient manager du studio de Doctissimo pendant 4 ans, avant d’intégrer Keyrus en tant que directeur eBusiness. Stéphane Zibi se consacre ensuite au lancement des activités en France de Fjord, agence rachetée depuis par Accenture et spécialisée dans l’innovation et le design de services. Puis, il rejoint Emakina.fr et organise son développement commercial. Il intègre ensuite le comité de direction de Valtech à Paris en devenant directeur de l’innovation, du marketing et du business development. Depuis 2015, avec sa société de conseil Nessim & Associés, il accompagne des sociétés dans leur transformation numérique. Il a pris ses fonctions à la tête de IONISx en décembre 2018.

Gilles Lodolo prend la direction de la formation continue et de l’alternance au niveau du Groupe IONIS

Ingénieur ENSEM en électronique, complété d’un DEA en mathématiques et d’un Executive MBA de l’Essec, Gilles Lodolo a démarré sa carrière chez Philips à des fonctions de direction générale de sites industriels en France et à l’étranger. Après avoir conduit des missions de développement et de restructurations au sein de ce groupe, il a repris une entreprise de sérigraphie qu’il a cédée en 2009 avant de rejoindre l’UIMM (Union des industries et métiers de la métallurgie) dont il a été le directeur en charge des questions d’emploi et de formation professionnelle. Il a notamment participé aux travaux de préparation de la loi « choisir son avenir professionnel » publiée le 5 septembre dernier. Il a animé le réseau de formation de l’UIMM (48 000 alternants et 150 000 salariés en formation continue) et géré des CFA. Il a rejoint le Groupe IONIS en février dernier pour prendre en charge le développement de la formation professionnelle.

Yannick Lejeune, directeur Internet du Groupe est nommé Chief Digital Officer de IONIS Education Group

Diplômé de l’EPITA en Sciences Cognitives et Informatique Avancée et titulaire d’un Master de Recherche en Sciences de Gestion de l’IAE Paris en collaboration avec HEC, Yannick Lejeune a pris ses fonctions de directeur internet du Groupe IONIS en 2006. Auparavant, il a exercé en tant que consultant en stratégie digitale auprès de start-up ou de grandes structures telles que Microsoft ou l’Elysée, a travaillé pour divers éditeurs (IBM, Lotus…), en SSII et a fondé, puis dirigé jusqu’en 2005 l’Institut d’Innovation Informatique de l’EPITA (3IE), structure mêlant cellule de veille et laboratoire de recherche appliquée. Il est également directeur de collection de bandes dessinées aux éditions Delcourt.

« Ce renforcement notable des directions opérationnelles du Groupe va nous permettre tout d’abord de développer notre potentiel d’innovation dans un monde fortement marqué par la transformation numérique. Et aussi, d’étendre notre activité dans l’univers de la formation continue qui reste encore trop peu irrigué par l’expérience de nos écoles et de leur modernité.Et enfin, d’accroître la performance intrinsèque de nos établissements. Plus que jamais, je veux que notre Groupe soit un moteur constant d’innovation et de transformation de la pédagogie au service de la réussite durable de nos étudiants et de nos diplômés. »

Propos de Marc Sellam

Double diplôme Guanghua School of Management et ESSEC Business School

L’ESSEC Business School et Guanghua School of Management à Pékin lancent un double diplôme qui sera proposé à compter de la rentrée de septembre 2020 aux étudiants du programme Global BBA de l’ESSEC. L’initiative fait partie du programme « Future Leaders » initié par l’Université de Pékin.

Guanghua School of Management

Deux années à la Guanghua School of Management

Chaque année, cinq étudiants ayant achevé leur 2e année du Global BBA de l’ESSEC à Cergy seront sélectionnés afin de poursuivre deux années d’études sur le campus de Guanghua. Enfin, ils reviendront à l’ESSEC pour un dernier semestre consacré au stage de fin d’études.

Ce partenariat permet à l’école de management française d’intégrer le programme « Future Leaders », conçu pour doter les dirigeants de demain des compétences nécessaires pour évoluer en toute confiance dans le monde des affaires en Chine. Les candidats seront sélectionnés sur dossier. Les étudiants retenus devront satisfaire des exigences académiques et avoir passé leurs deux premières années d’études sur le campus de Cergy. Ils bénéficieront d’un programme qui met l’accent sur les dynamiques économiques, politiques et de gestion en Europe et en Asie, et qui offre aux étudiants une riche combinaison de cours et d’apprentissage par l’expérience.

À l’issue de ce parcours unique, ils obtiendront le diplôme Bachelor of Business Administration de l’ESSEC Business School ainsi que le diplôme Bachelor of Arts degree in Management de Guanghua.

« Ce partenariat est une occasion unique pour nos étudiants d’interagir avec des camarades venus du monde entier, et de développer une compréhension fine des enjeux mondiaux auxquels est actuellement confrontée la Chine. Cette immersion augmente les possibilités d’apprentissage par l’expérience et permet d’obtenir les diplômes de deux institutions académiques prestigieuses ».

Propos de Hugues Levecq, directeur académique du programme Global BBA de l’ESSEC Business School

« L’initiative Belt and Road a donné une nouvelle signification à la mondialisation et l’Université de Pékin souhaite donner aux jeunes du monde entier la possibilité de poursuivre leurs rêves. En parallèle, nous voulons contribuer à enrichir l’enseignement supérieur ».

Propos de Hao Ping, président de l’Université de Pékin

Le CJC contre la hausse de 150€ des frais d’inscription des doctorant-es

La Confédération des Jeunes Chercheurs (CJC) s’oppose à l’augmentation des frais liés à l’inscription avancée par le gouvernement qui toucherait les doctorant-es. Dans un contexte d’explosion de la précarité dans la recherche, la CJC demande à être reçue d’urgence par Madame Vidal, ministre de l’ESRI.

doctorant-es CJC

Les doctorant-es dans le collimateur ?

La CJC s’insurge d’apprendre par voie de presse que le texte du « plan étudiants » présenté le 30 octobre dernier inclut une contribution « vie étudiante » obligatoire s’ajoutant aux frais d’inscription en doctorat. La CJC étudie actuellement toutes les options à mettre en œuvre si l’avant-projet de loi restait en l’état et va prendre contact avec les autres organisations de l’enseignement supérieur et de la recherche en ce sens. Une augmentation injustifiée de 150 € annuels à la charge des doctorant-es L’avant-projet de loi « relatif à l’orientation et à la réussite des étudiants » prévoit une « contribution vie étudiante […] destinée à favoriser l’accompagnement social, sanitaire, culturel et sportif des élèves et étudiants » – si l’on en croit le projet d’article L841-5 du document que la CJC a pu consulter. Cette contribution aboutirait de façon concrète, pour la majorité des doctorant-es, à une augmentation de 150 € des frais exigés à l’inscription, soit 36 % d’augmentation* sans aucune contrepartie réelle à en attendre.

Le gouvernement met en avant dans sa communication la suppression de la cotisation de la sécurité sociale étudiante, actuellement de 217 €, censée compenser ces nouveaux frais. Cependant, la grande majorité des doctorant-es ne relèvent pas du régime étudiant de sécurité sociale. Les doctorant-es salarié-es, demandeurs et demandeuses d’emploi ou disposant d’un contrat de recherche sont en effet déjà rattaché-es au régime général de la sécurité sociale, auquel elles et ils contribuent par les cotisations sociales prélevées sur leurs salaires.

Par conséquent ces doctorant-es, qui n’ont jamais été assujettis à la cotisation étudiante de 217 €, seraient touchés de plein fouet par cette nouvelle contribution sans compensation financière. Par cette mesure aveugle, le gouvernement fait donc le choix de frapper en priorité les personnels de la recherche parmi les plus précaires.

Outre l’aggravation de la charge financière annuelle des doctorant-es, cette augmentation de 150 € est également critiquable dans ses objectifs. En effet, rien dans cet avant-projet de loi ne permet d’espérer une amélioration des conditions de travail des doctorant-es suite à cette augmentation. La CJC rappelle par ailleurs son attachement à ce que les écoles doctorales et les établissements possèdent les moyens financiers nécessaires à leurs missions afin d’améliorer les conditions de travail des jeunes chercheur-es.

Une mesure injustifiable pour laquelle l’expertise de la CJC n’a pas été sollicitée Ce texte semble être élaboré dans des conditions d’improvisation inquiétantes. Alors que cette « contribution vie étudiante » devrait impacter de fait l’ensemble des doctorant-es, les jeunes chercheur-es regrettent profondément de n’avoir jamais été consulté-es**. De plus, la CJC s’interroge sur la construction juridique singulièrement bancale de ce texte. Alors que le montant des frais d’inscription sont fixés par arrêté, le texte actuel prévoit de graver au niveau législatif le montant de cette « contribution » supplémentaire. Enfin il prévoit une inégalité de traitement selon le niveau de diplôme – 60 € en licence et 150 € en doctorat ! Celle-ci semble impossible à justifier au vu des prestations strictement identiques qu’elle recouvre. Plutôt que de prétendre favoriser « la réussite » en aggravant les conditions de vie des doctorant-es, le gouvernement ferait mieux d’examiner la situation de près et d’émettre de réelles propositions visant à enrayer l’augmentation de la précarité chez les jeunes chercheur-es qui constitue l’un des principaux facteurs d’abandon en cours de doctorat. La CJC espère être entendue dans les meilleurs délais et reste disposée à toute collaboration à cette fin.

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* Actuellement les frais d’inscription s’élèvent à 391 €, auxquels viennent s’ajouter 5,10 € pour la médecine préventive. Ils passeraient avec cette nouvelle contribution à 541 €.

** La CJC rappelle à ce propos que les jeunes chercheur-es ne disposent toujours d’aucune représentation propre au Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche (Cneser). La création d’un collège spécifique aux jeunes chercheur-es parmi les personnels est une revendication de la CJC depuis de nombreuses années.

CJC doctorant-es

La CJC (Confédération des Jeunes Chercheurs) est une association de loi 1901, nationale et pluridisciplinaire. Elle regroupe une quarantaine d’associations de doctorant-e-s et de docteur-e-s en emploi non permanent, bénévolement impliqués dans la valorisation du doctorat et sa reconnaissance en tant qu’expérience professionnelle. Au niveau national, de par son expertise sur le doctorat, elle est une interlocutrice privilégiée des pouvoirs publics (Gouvernement, Parlement, Conseil National de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche…) et de toute structure souhaitant échanger sur le sujet (associations, entreprises, syndicats…). Au niveau européen, elle participe à la réflexion sur le doctorat et les jeunes chercheur-e-s par l’intermédiaire de la fédération d’associations EURODOC, dont elle est membre fondatrice.

Sparkup et l’ICD rendent les cours plus interactifs

Dynamiser les moments d’apprentissage et favoriser la mémorisation par le jeu. L’entreprise française Sparkup et l’ICD, école de commerce, de business développement et de marketing du Groupe IGS, annoncent la signature d’un partenariat pour permettre aux étudiants d’apprendre autrement et de devenir acteurs de leur parcours.

sparkup
Sparkup sur téléphone mobile

Avantages pour l’ICD

Un professeur de marketing qui peut à tout moment vérifier la bonne compréhension de ses enseignements. Des étudiants qui apprennent en s’amusant et osent poser des questions lorsqu’ils n’ont pas compris le cours. Un rêve aujourd’hui devenu réalité grâce à l’utilisation des outils collaboratifs Sparkup par l’ICD.

« Sparkup favorise un engagement cognitif plus fort de nos étudiants et une implication soutenue dans l’acte pédagogique » précise Benoît Aubert, Directeur de l’ICD, International Business School.

Sparkup, depuis 2017, réforme ainsi le monde du travail et de l’éducation grâce à son logiciel SaaS traduit en 17 langues et disponible dans 47 pays sera désormais utilisée par l’ICD lors de :

  • conférences
  • colloques
  • forums
  • journées Portes-ouvertes
  • cours
  • laboratoire

À tout moment pendant son cours, un professeur de l’ICD pourra vérifier la bonne compréhension de son discours. Les étudiants pourront, quant à eux, soumettre leurs questions à leur intervenant directement via leur ordinateur ou leur téléphone.

Sondages, votes, quiz, nuages de mots … : la plateforme Sparkup propose une quinzaine d’activités idéales pour rythmer une session de cours, capter l’attention d’un groupe et valider les acquis. De quoi renforcer la pédagogie et faciliter la mémorisation des messages.

Quelques usages de Sparkup

Sparkup est accessible par une simple Web App. Voici quelques-unes des fonctionnalités de l’outil et d’usages possibles :

  • Mur de questions : “Posez vos questions librement”
    Il permet aux étudiants de poser leurs questions en temps réel sans interrompre le cours. Les questions apparaissent instantanément sur un écran et les participants peuvent voter pour les questions qui les intéressent le plus. Les professeurs peuvent également prendre quelques minutes à la fin du cours pour répondre aux interrogations et commentaires.
  • Brainstorming : “Quels sont les événements historiques majeurs de la période 1914 à 1990 ?”
    Sur cette activité, les professeurs peuvent demander à leurs élèves de lister tous les événements qui leur viennent à l’esprit dans la période de l’Histoire étudiée. Cela permet aux enseignants de connaître leurs connaissances existantes. Ils peuvent en outre organiser rapidement les événements listés par période historique et débriefer des résultats.
  • Challenge : “Histoire du XXe siècle »
    Le professeur peut, à tout moment sur un sujet donné, stimuler la participation et tester la mémorisation des élèves au travers d’un quiz de rapidité pour transformer son cours en intense compétition.

Pour Vincent Bruneau, CEO de Sparkup, « Le digital dans l’éducation permet de dynamiser les moments d’apprentissage. Un outil ludique comme Sparkup favorise la mémorisation car le jeu a un pouvoir référentiel très important pour l’apprentissage. Pour les étudiants, utiliser un outil qui facilite le travail collaboratif est une opportunité d’être mieux préparé aux attentes et aux méthodes du monde du travail. »

My e-BTS : le Groupe IGS et Nathan réinventent le BTS en alternance

Le Groupe IGS, expert de la formation et Nathan, acteur référent dans les domaines de l’éducation et de l’édition, s’associent pour accompagner les jeunes dans la réussite de leurs projets avec un enseignement connecté, original et performant. My e-BTS est un dispositif pédagogique, sur deux ans, qui articule 4 jours en entreprise avec 1 journée de formation en e-learning par semaine.

My e-BTS
Logo de My e-BTS

My e-BTS pour une autre approche

My e-BTS développe une expérience inédite qui s’appuie sur la combinaison de différents modes d’apprentissage : un cross-apprentissage avec des classes virtuelles, des manuels interactifs, des entraînements en ligne, des regroupements en présentiel, un coaching personnalisé et renforcé. La pédagogie multi-modale/blended learning correspond à un jour dédié au e-learning (à distance) avec un accès, espace en ligne 24h/24h. « My e-BTS correspond à une volonté commune, avec Nathan, de trouver une solution adaptée pour des jeunes qui se trouvent à distance des centres de formation » souligne Jean-Philippe Leroy, Directeur Général Adjoint en charge de l’alternance et de l’apprentissage du Groupe IGS.

Le Groupe IGS collabore aujourd’hui avec plus de 9 000 entreprises. Plus de 89% de celles-ci sont prêtes à recruter un apprenant du Groupe IGS.

« Nous sommes fiers du lancement de “My e-BTS” qui concrétise l’aboutissement d’un projet pour lequel les équipes du Groupe IGS et Nathan ont œuvré de concert pendant plusieurs mois. Cette nouvelle offre s’inscrit parfaitement dans l’esprit des réformes en cours, et nous sommes convaincus que “My e-BTS” saura séduire aussi bien les étudiants que les entreprises à la recherche d’un modèle d’apprentissage différent et novateur. “My e-BTS” est aussi l’occasion pour Nathan d’aller plus loin encore dans l’accompagnement et la digitalisation des enseignements dispensés, tout en s’appuyant sur des contenus de qualité qui ont déjà fait de notre maison d’édition la référence leader en BTS » explique Sylvain Fayol, Directeur de Nathan Technique Supérieur Formation Adultes.

« Nathan apporte toutes les ressources dont il dispose pour l’enseignement des BTS à distance en phase avec la dernière réforme de la formation professionnelle, et nous, notre connaissance du dispositif de l’alternance. Ce travail mené en commun nous a permis de donner à nos enseignants des cours de référence adaptés à la réforme des BTS et de se servir de cet enseignement en ligne pour aider aussi nos apprenants présents sur nos campus à avoir un support disponible à tout moment. Nous nous engageons par ce dispositif à maximiser leur réussite aux examens » précise Jean-Philippe Leroy, Directeur général adjoint en charge de l’apprentissage et de l’alternance.

L’ESSEC Business School et Samsung réunis autour du K‐Lab

L’ESSEC Business School et Samsung renouvellent leur partenariat et proposent une expérience pédagogique unique dans le nouveau ESSEC K‐Lab by Samsung.

ESSEC K-Lab
ESSEC K-Lab

Dans le cadre du renouvellement de leur partenariat lancé en 2014, l’ESSEC Business School et Samsung ont inauguré le nouvel espace rénové et modernisé : ESSEC K‐Lab by Samsung. Conçu comme un espace innovant et doté des dernières technologies développées par l’entreprise sud‐coréenne, l’espace est dédié à la diffusion du savoir et à l’expérience de nouveaux usages pédagogiques.

Le K‐Lab comme lieu de production pédagogique

Au cœur du campus de Cergy, le K‐Lab est un lieu de production de contenus pédagogiques et de partage de la connaissance ouvert à toute la communauté : étudiants, professeurs, membres du staff, alumni et partenaires entreprises. Espace de créativité, de partage et d’apprentissage, le K‐Lab permet à chacun de rencontrer l’expertise de l’ESSEC, de tester, développer, modéliser de nouvelles idées. Le Numérique nécessite de repenser la pratique pédagogique, aussi le campus devient le lieu d’un apprentissage augmenté où l’étudiant participe à de multiples expériences pédagogiques. Le « K‐lab by Samsung » s’inscrit au cœur de cette innovation pédagogique en favorisant des approches collaboratives et la pédagogie du learning‐by‐doing. Grâce à la technologie de pointe de Samsung disponible en libre accès, les étudiants peuvent créer, expérimenter, partager et donner vie à leurs projets de manière collaborative.

Le K‐lab by Samsung est un dispositif central dans la singularité pédagogique à l’ESSEC : il permet aux futurs entrepreneurs mais aussi aux 136 associations étudiantes de l’ESSEC de conjuguer savoir et savoir‐faire. Conçu comme un laboratoire de recherche expérimental, cet espace permet par ailleurs la création de contenus vidéo pour les MOOCs et l’e‐learning, et la mise à disposition d’outils de modélisation et d’impression 3D. Il est ainsi animé en permanence par des ateliers d’experts (ingénieurs pédagogiques, monteurs vidéos, case writer, professeurs…) et par des événements liés à la pédagogie ou à la recherche. Il offre aux étudiants une expérience pédagogique unique.

« Nous nous réjouissons du renouvellement de ce partenariat fructueux avec Samsung avec qui nous travaillons depuis plusieurs années déjà. Nous partageons des valeurs et des idées communes quant à la diffusion du savoir et des connaissances par les outils correspondants aux nouveaux usages pédagogiques que nous souhaitons voir se développer dans le monde académique », souligne ainsi Vincenzo Esposito Vinzi, Directeur général de l’ESSEC Business School.

En concluant ce nouveau partenariat, Samsung s’engage à équiper l’ESSEC et en particulier son K‐Lab pour les 3 prochaines années : paperboards digitaux Samsung FLIP, moniteurs, tablettes Galaxy Tab S3, casques de réalité virtuelle Gear VR et téléphones Galaxy S9 seront mis à disposition. Afin de mettre en valeur ces produits issus de technologies de pointe, Samsung a également participé à la modernisation des espaces du K‐Lab qui avait été inauguré à Cergy en décembre 2014.

« C’est avec beaucoup de fierté que nous renouvelons aujourd’hui notre partenariat avec l’ESSEC à travers un K‐LAB totalement réaménagé et rééquipé, qui proposera à des milliers de personnes (plus de 300 000 en 2017) une expérience collaborative innovante. En s’associant à l’ESSEC, Samsung démontre sa volonté de s’inscrire durablement dans l’excellence pédagogique en contribuant à la réussite professionnelle du plus grand nombre. Ce partenariat illustre parfaitement notre ADN : l’accessibilité de nos produits à tous », déclare Olivier Oger, Directeur des Ressources Humaines et de la Communication Interne de Samsung France.

Nouvelle Chaire ESCP Europe – Deloitte dédiée à l’économie circulaire

Deloitte et ESCP Europe annoncent la création d’une nouvelle chaire « Economie circulaire & business models durables ».

Pour une spécialisation en économie circulaire

Elle a pour objectif d’étudier, identifier et expliciter les verrous qui empêchent les entreprises de déployer un modèle 100% circulaire, au sein même de leur organisation et au-delà (pouvoirs publics et éco-organismes, consommateurs), afin de déterminer les changements à engager et leviers à activer pour déployer tout le potentiel de l’économie circulaire.

Deloitte développe depuis plusieurs années une expertise forte et reconnue dans le domaine du développement durable et de l’économie circulaire. L’entreprise partage avec ESCP Europe, la conviction selon laquelle l’économie circulaire doit être pensée de manière collaborative. Si l’invention de ces nouveaux modèles est aujourd’hui un enjeu capital, la transition vers l’économie circulaire est en effet un processus complexe, qui demande une concertation et un effort conjoint d’un ensemble de parties prenantes : entreprises, investisseurs, acteurs publics, citoyens, « think-tanks » et experts, etc.

La convention conclue entre les partenaires, sous l’égide de la Fondation ESCP Europe, prévoit que les activités de la chaire s’articulent autour de 3 champs : recherche, événements, enseignement… pour faire de la Chaire un accélérateur d’innovations pour la transition vers l’économie circulaire et un acteur de la diffusion de bonnes pratiques dans l’univers managérial.

« L’économie circulaire constitue un changement de paradigme et une mutation majeure du capitalisme pour faire face aux grands enjeux du développement durable. C’est un changement managérial mais aussi culturel qui transforme notre rapport à la création de valeur, au progrès et à nos modes de consommation. Ce changement implique un rôle de leadership de la part des entreprises mais aussi des écoles de management » affirme Frank Bournois, Directeur Général de ESCP Europe.

Avec à sa direction les Professeurs Aurélien Acquier et Valentina Carbone, la Chaire rayonnera sur l’ensemble des six campus européens de l’école. « A travers cette chaire et notre collaboration avec Deloitte, nous souhaitons offrir plus de visibilité à ces questions au sein de l’école et dans son écosystème. L’économie circulaire interroge tous les métiers de l’entreprise et se situe au carrefour de la stratégie, de la gestion de la supply chain, de l’environnement, de la comptabilité, du marketing, du droit ou du design de produits. C’est aussi une question fondamentalement interdisciplinaire » précisent-ils.

« Au-delà de la compréhension la plus répandue de ce qu’est l’économie circulaire – bien recycler les matériaux pour leur donner une seconde vie – elle est le plus formidable moyen d’interroger la pertinence et la performance des modèles économiques de toutes les entreprises dans une perspective de développement durable » conclut Didier Livio, Associé responsable de Deloitte Développement Durable.

ESSEC Ventures offre un an d’accompagnement à la startup Ze-Watt

Le 5 novembre dernier, l’ESSEC Business School a remis à la startup Ze-Watt son Prix de la créativité Futurapolis ESSEC lors du Marathon des créatifs. Il s’agit d’une journée dédiée aux startups organisée en marge de l’événement Futurapolis. Cette jeune entreprise dynamique et innovante pourra ainsi intégrer durant une année la pépinière ESSEC Ventures de l’ESSEC située sur le Campus de La Défense. Ce prix vient une nouvelle fois démontrer l’importance de l’entrepreneuriat à l’ESSEC et l’expertise de l’institution dans l’accompagnement des startups innovantes.

ESSEC Ventures : le premier incubateur dans une école

L’ESSEC Business School est l’école pionnière dans l’accompagnement de l’entrepreneuriat en France puisqu’elle a été la première business school à mettre en place un incubateur, une pépinière et un fonds d’amorçage à travers ESSEC Ventures, créé en 2000. Aujourd’hui, ESSEC Ventures est largement reconnu pour ses résultats et le vaste écosystème qu’il a développé dans le temps.

Les dates clés de l’entrepreneuriat à l’ESSEC :

  • 1999 : mise en place de la filière entrepreneuriat dans le programme Grande École
  • 2000 : naissance de l’incubateur étudiant
  • 2006 : création d’un fonds d’amorçage
  • 2008 : signature d’une convention d’objectifs ESSEC-CCIV (Chambre de Commerce et d’industrie de Versailles/Val d’Oise Yvelines) pour la promotion de l’entrepreneuriat dans l’enseignement supérieur
  • 2010 : ouverture d’une pépinière d’entreprises innovantes au cœur de La Défense et lancement du dispositif Chèques Conseil

ESSEC Ventures, un dispositif pour accompagner les startups innovantes

Depuis 2000, 385 entreprises ont été accompagnés par ESSEC Ventures et 287 entreprises y ont été créées. « Bénéficier de l’accompagnement d’ESSEC Ventures a permis aux startups incubées de lever plus de 100 millions d’euros en fonds propres, grâce à des conseils de professionnels. ESSEC Ventures a également financé 30 entreprises via le fonds d’amorçage », précise Julien Morel, directeur exécutif d’ESSEC Ventures, pôle entrepreneuriat de l’ESSEC.

ESSEC Ventures est ainsi constitué :

  • d’une pépinière : Idéalement située sur le campus de l’ESSEC à la Défense, au cœur du centre d’affaires (CNIT), la pépinière est destinée aux entreprises innovantes déjà créées et en phase de développement. La pépinière ESSEC Ventures, qui n’est pas seulement réservée aux étudiants et diplômés ESSEC, permet ainsi l’immersion des startups dans un écosystème favorable à leur développement grâce à des locaux design et confortables en open-space, un réseau de partenaires à disposition et un accompagnement à la carte, coaching, formations ainsi que des synergies avec des programmes de formations de l’ESSEC.
  • d’un incubateur : Situé sur le campus de l’ESSEC à Cergy, il propose aux étudiants de l’ESSEC un soutien logistique et administratif pour la création de leurs startups. « Développer l’entrepreneuriat étudiant a toujours été dans les objectifs de l’ESSEC. C’est en accompagnant au mieux nos étudiants dans leurs démarches que nous verrons émerger les entreprises de demain et que nous formerons les étudiants à l’esprit entrepreneurial », explique Julien Morel. Afin de profiter de l’incubateur de l’ESSEC, l’équipe de fondateurs du projet doit comporter au moins un étudiant de l’ESSEC (BBA, Grande Ecole, Mastères spécialisés, MBA, Management général) toujours en cours de formation. Le Business Plan doit être déjà construit et présenté lors d’un entretien afin de pouvoir y adhérer. « La période moyenne d’incubation est de 9 mois mais elle peut être raccourcie ou prolongée en fonction des besoins de la startup. Elle prend cependant obligatoirement fin à l’obtention du diplôme de l’étudiant de l’ESSEC », précise Julien Morel.
  • d’un fonds d’amorçage : Au-delà de la formation et de l’accompagnement, l’ESSEC a mis en place un fonds d’amorçage pour soutenir les projets dans leur phase de démarrage en prenant des participations minoritaires dans le capital des jeunes pousses.

Les startups accompagnées et soutenues par ESSEC Ventures bénéficient d’un réseau de 40 entreprises partenaires qui les conseillent, les aiguillent…, parmi lesquelles des avocats, cabinets de conseil, banques, grands groupes, partenaires institutionnels, etc. « Les résultats de notre accompagnement sont très bons puisque nous notons un taux de survie de 72% à 5 ans des startups incubées, contre une moyenne nationale de 30% », poursuit Julien Morel.

Le Prix de la créativité Futurapolis ESSEC

Le Marathon des créatifs, qui s’est déroulé le 4 novembre à Toulouse dans le cadre du Forum Futurapolis, avait pour objectif de faire émerger des projets innovants et de dénicher de nouvelles pépites technologiques et créatives autour du thème « réalité virtuelle, intelligence artificielle, mobilité autonome, drones, ville durable ». C’est à cette occasion que, en tant que partenaire de l’événement, l’ESSEC a remis le Prix de la créativité Futurapolis ESSEC. Julien Morel, membre du jury, a assisté aux présentations des 20 start-ups en compétition et décerné le prix ESSEC à Ze-Watt qui remporte un an d’accompagnement à la pépinière ESSEC Ventures.

Ze-Watt fournit, installe et gère des « stations-services électriques » sur les parkings des entreprises pour que les salariés et employés basculent vers l’électromobilité et diminuent leurs émissions de CO2. L’offre clé en main a déjà séduit des grandes entreprises ainsi que quelques belles ETI (Entreprises de Taille Intermédiaire) et Administrations. « Nous sommes ravis d’accueillir l’équipe de Ze-Watt au sein de la pépinière de l’ESSEC afin de lui faire bénéficier de notre accompagnement, de nos conseils et de notre réseau de partenaires », conclut Julien Morel.

www.essec.edu/fr/pages/propos-de-lessec/lentrepreneuriat/essec-ventures/

Essec Business School ESSEC Ventures

Christian Varinard, nouveau directeur général de l’iaelyon

Christian Varinard est le nouveau directeur général de l’iaelyon – Université Jean Moulin à compter du 1er septembre 2018. Ce diplômé de l’iaelyon est depuis de nombreuses années engagé dans le développement de l’école universitaire de management. Il succède à Jérôme Rive dans cette fonction.

Christian Varinard, directeur général de l’iaelyon

Élu à la majorité absolue des voix (19 pour, 6 contre et 2 abstentions) le 18 juin 2018 par le Conseil de l’iaelyon réuni lors d’une séance extraordinaire, Christian Varinard a succédé à Jérôme Rive à la tête de l’iaelyon le 1er septembre.

Maître de conférences en systèmes d’information, Christian Varinard est membre de l’équipe de direction et directeur des études de l’iaelyon depuis plus de 10 ans. Ce diplômé de l’iaelyon est depuis de nombreuses années engagé dans le développement de l’école universitaire de management et a pour ambition d’en faire une composante de plus en plus reconnue du territoire, tournée vers l’international, orientée vers l’innovation et de ce fait, la référence universitaire incontournable de la recherche et de la formation en management au sein de la future Université de Lyon.

Christian VARINARD

Sciences Po Executive Education : 2e promotion du certificat « Leadership et management complexe »

Dans un contexte en perpétuelle mutation, le manager d’aujourd’hui a désormais pour mission d’emmener ses équipes à destination en pilotant le changement. Il doit aussi entraîner avec lui des équipes multi-disciplinaires, en faisant preuve de leadership moderne. Pour accompagner les manager, Sciences Po Executive Education a créé le Certificat Leadership et Management complexe, dont la seconde promotion est en cours de recrutement.

Le manager d’aujourd’hui a désormais pour mission d’emmener ses équipes à destination en pilotant le changement dans un monde en constante mutation. Conscient de ses comportements, le manager agile sait relier ses projets stratégiques à ses aspirations propres pour inspirer ses collaborateurs et construire la voie du succès collectif. Il fait ainsi émerger et partager la vision d’un futur commun avec ses équipes. Pour développer et faire vivre durablement la communauté qu’il anime, il prend conscience de son propre comportement, et s’attache à faire évoluer ses stratégies de succès habituelles pour être en phase avec son intention et son contexte d’action.

Pour aider les managers à relever ces défis, Sciences Po Executive Education ouvre pour la seconde année consécutive son certificat « Leadership et management complexe ». Cette formation composée de 6 modules répartis sur 12 jours a pour ambition « d’apprendre au dirigeant à identifier ses propres appuis et à développer des outils efficaces pour avancer plus sereinement en contexte d’incertitude élevée », précise Olivier BASSO, directeur pédagogique du Certificat Leadership et Management complexe, expert et facilitateur en Leadership Entrepreneurial, fondateur d’Aden Executives, professeur associé au CNAM, ancien élève de l’ENS (Ulm) et diplômé d’HEC.

À propos de Sciences Po Executive Education

Fort du constat simple, et chaque jour plus évident, que les transformations actuelles ne permettent pas de se contenter de ses acquis et apprentissages, Sciences Po Executive Education s’est donné comme mission d’accompagner les cadres, dirigeants et organisations publiques et privées dans leurs dynamiques de transformation et de développement. Sa pédagogie associe spécialisation en sciences humaines et sociales, pluridisciplinarité et ancrage professionnel. Un mélange unique qui irrigue les 200 programmes de formation diplômants, certifiants, courts ou sur mesure déployés chaque année auprès de plus de 4 000 participants.

Sciences Po Executive Education

Moda Domani Institute : Anne Kieffer Bouvier nommée à la direction

Moda Domani Institute, la business school des métiers du luxe de la mode et du design, membre de IONIS Education Group, créée par l’ISG en 2014, a accueilli sa directrice générale : Anne Kieffer Bouvier.

Moda Domani Institute change de direction

Anne Kieffer Bouvier.
Anne Kieffer Bouvier.

Anne Kieffer est en charge de diriger Moda Domani Institute (formation post-bac en 5 ans), de la faire rayonner dans les milieux concernés, de travailler avec les professionnels pour inventer et animer sa pédagogie vers une recherche d’excellence au service des 3 valeurs de l’établissement : ouverture, passion et initiative.

« Je suis convaincue que Moda Domani Institute sera l’acteur de référence de la formation aux métiers du luxe d’aujourd’hui et de demain, à travers son ouverture sur le monde, sa culture proche des nouvelles technologies et sa pédagogie innovante en mode agile qui panache cours structurants et projets en équipe pour répondre aux exigences des jeunes générations. La digitalisation du monde du luxe ouvre des horizons encore inconnus et ce challenge me passionne », déclare Anne Kieffer, directrice générale de Moda Domani Institute.

Parcours et formation

Diplômée d’un DESS de marketing à la Sorbonne, Anne Kieffer possède une solide expérience de 25 ans passés dans le conseil en marketing, la stratégie de communication, la culture, au sein de grands groupes internationaux (FCB, Saatchi, Lowe, Leo Burnet, Havas).

En 2002, elle a créé, au sein du groupe Havas chez Havas media, la première agence de communication par l’art pour les marques autour d’un nouveau modèle économique (« l’art est un media »), puis en 2012, elle a choisi de fonder sa propre structure pour se spécialiser dans le conseil en communication digitale et la formation. À ce titre, elle a assuré de nombreuses missions pédagogiques à Bordeaux pendant 3 ans en tant qu’intervenante au sein d’établissements d’enseignement supérieur positionnés sur le digital.

Elle a également participé à de nombreuses publications dans la presse et est auteur de 3 ouvrages : « Mettez de l’art dans votre com’» (publié en 2003 chez Eyrolles), « Histoire de la peinture des origines à nos jours » (Studyrama), « L’indispensable de la culture générale » (Studyrama).

Moda Domani Institute

EBS Paris : Lamia Rouai nommée Directrice Générale

Lamia Rouai, nouvelle Directrice Générale de l’EBS Paris, prendra ses fonctions le 1er septembre 2017 et succède ainsi à Delphine Manceau qui rejoint Neoma Business School.

Lamia Rouai

Lamia Rouai : “la plus high-tech des écoles de management

Jusque-là Directrice Générale Déléguée de l’ECE Paris, Ecole d’Ingénieurs du Groupe INSEEC, Lamia Rouai connaît bien l’EBS Paris puisqu’elle a construit le partenariat et le double cursus entre l’EBS et l’ECE. Docteur en Physique de l’Université Pierre et Marie Curie (spécialité nanophysique), experte sur les sujets de pédagogie, elle est une spécialiste du secteur de l’enseignement supérieur dans lequel elle exerce ses activités depuis 15 ans.

La nomination d’une scientifique, rompue au management des écoles d’ingénieurs, pour piloter une école de management, est un signal fort, en parfaite cohérence avec l’identité de l’EBS Paris autour de l’international mais aussi de la nouvelle économie avec l’axe EDIC (Entrepreneuriat, Digital, Innovation, Créativité).  « Ce choix marque la volonté de notre école de rentrer dans la nécessaire interdisciplinarité. L’ADN pionnier demeure et je m’en réjouis » indique Catherine Lespine, Présidente du Groupe INSEEC.

« Je suis ravie de rejoindre l’EBS Paris et de poursuivre sa stratégie de développement en France et à l’international, notamment en accélérant le développement des programmes sur le campus de San Francisco. Il s’agit de faire de cette belle institution la plus high-tech des écoles de management » conclut Lamia Rouai.

ISG : la grande école de commerce célèbre ses 50 ans le 1er juin 2017

A l’occasion de ses 50 ans, l’école ISG présentera le livre « Et si demain… », préfacé par Jacques Attali. 50 idées et projets originaux pour changer le monde racontés par des Anciens de l’ISG.

50 ans pour  c’est ISG c’est l’âge de raison

L’ouvrage préfacé par Jacques Attali, président de la fondation Positive Planet, donne le ton « 50 ans, c’est l’âge de la raison, de la maturité, d’une nouvelle vie. C’est le moment où l’on réfléchit. À ce qu’était le monde un demi-siècle plus tôt, pour mieux comprendre ce qu’il pourrait devenir dans un demi-siècle. À la place qu’on y occupera et à celle qu’on aura préparée pour nos enfants. L’ISG, comme toute grande école, doit faire cet examen de conscience et cette projection dans l’avenir. Beaucoup d’étudiants de la première promotion sont encore actifs, et beaucoup de ceux de la promotion à venir le seront encore en 2067. »
Parmi les 50 contributions à l’ouvrage, on retrouve de nombreuses personnalités : Marine Chevalier, Christian Courtin-Clarins, Alain Crozier, Isabelle Edessa, Anne-Sophie Pic, Frank Tapiro… qui ont su et savent encore faire avancer leur secteur et notre monde.
Plusieurs représentants participeront à la soirée des 50 ans de l’ISG qui se déroulera sur la péniche Le Pavillon Seine, Port Debilly, dans le 16e à Paris, le 1er juin 2017 à partir de 19h30.

ISG