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6 mesures pour accroître l’attractivité des établissements d’enseignement supérieur

Pour la première fois et pour répondre à un contexte international de plus en plus concurrentiel, la Conférence des Présidents d’Université (CPU), la Conférence des directeurs des écoles françaises d’ingénieurs (CDEFI), la Conférence des grandes écoles (CGE) et le Forum Campus France proposent conjointement à la Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation six mesures pour accroître l’attractivité des établissements français d’enseignement supérieur auprès des étudiants étrangers.

Pour plus d’attractivité des établissements français d’enseignement supérieur

Ces propositions présentée à Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, par les trois conférences et le forum Campus France portent sur :

  • le renforcement des bourses du gouvernement français ;
  • une campagne mondiale de communication ;
  • une augmentation des moyens alloués aux établissements pour l’accueil des étudiants et chercheurs étrangers ;
  • une simplification des processus de candidature et le développement de formations innovantes ;
  • une simplification du séjour des étudiants et jeunes chercheurs étrangers ;
  • le développement de la mobilité sortante des étudiants français.
Frédérique Vidal enseignement supérieur
Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (photo du Gouvernement)

Le texte commun détaillant chacune de ces six mesures a été remis ce matin à Frédérique Vidal, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, à l’occasion des Rencontres de la Recherche et de l’Innovation de Campus France. Cet événement se tient du Lundi 3 Juillet au Mercredi 5 Juillet à la Cité des sciences et de l’industrie à Paris.

Pour information : selon l’Unesco, le nombre d’étudiants en mobilité diplômante dans le monde a été multiplié par deux en douze ans, passant de 2 170 000 en 2002 à 4 300 00 en 2014. Après plusieurs années, comme troisième pays de destination, derrière les USA (842 000 étudiants) et le Royaume-Uni (428 000), la France vient de passer à la quatrième place derrière l’Australie (266 000).

Chiffres clés de la mobilité internationale des étudiants

PJ : la note commune CPU/CDEFI/CGE/Forum Campus France sur les mesures nécessaires pour accroître l’attractivité des établissements français d’enseignement supérieur

  • À propos de la CPU
    Fondée en 1971, la Conférence des présidents d’université (CPU) rassemble les dirigeants exécutifs des universités et établissements d’enseignement supérieur et de recherche afin de porter la voix et les valeurs des universités dans le débat public. Elle comprend actuellement 130 membres (présidents d’université, directeurs d’écoles normales supérieures, d’INP, d’INSA, administrateurs généraux) mais également des membres associés.
    Force de proposition et de négociation auprès des pouvoirs publics, des différents réseaux de l’enseignement supérieur et de la recherche, des partenaires économiques et sociaux et des institutions nationales et internationales, la CPU réagit aux évolutions du monde de l’enseignement supérieur et de la recherche et propose des éléments de transformation.
    Dans un contexte de profondes mutations du secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche, la CPU a également un rôle de soutien aux présidents dans leurs nouvelles missions et de promotion de l’Université française et de ses valeurs en France et à l’étranger.
    Pour en savoir plus : www.cpu.fr
  • À propos de la CDEFI
    Fondée en 1976, la CDEFI (Conférence des directeurs des écoles françaises d’ingénieurs) réunit l’ensemble des directeurs et directrices des établissements ou composantes d’établissements, publics ou privés, accrédités par la Commission des titres d’ingénieur (CTI) à délivrer le titre d’ingénieur diplômé. Elle a pour principale mission d’étudier tous sujets relatifs au métier et à la formation des ingénieurs, ainsi qu’au développement de la recherche et à la valorisation de celle-ci. Elle a, de plus, vocation à promouvoir l’Ingénieur de l’école française, dans le monde comme en France. Ainsi, la dimension internationale est au cœur de ses préoccupations, notamment dans l’espace européen de l’enseignement supérieur et de la recherche.
    Pour en savoir plus : www.cdefi.fr 
  • À propos de la CGE
    Créée en 1973, la Conférence des grandes écoles (CGE) regroupe 223 établissements d’enseignement supérieur et de recherche français et étrangers, représentant tout le spectre des formations supérieures en Grandes écoles de niveau Master et au-delà. Assurant une formation de masse (41 % des Masters délivrés chaque année en France) et de recherche intensive, les Grandes écoles mettent en cohérence un projet pédagogique en fonction du profil de l’étudiant et des débouchés professionnels. Think tank pour l’enseignement supérieur et la recherche, et défenseur des intérêts des Grandes écoles, la Conférence accrédite aussi des formations (MS, MSc, BADGE, CQC). Les 265 membres de la CGE (Grandes écoles, entreprises et organismes) permettent à la France de proposer une offre de formation et de recherche à déclinaisons multiples.
    Pour en savoir plus : www.cge.asso.fr
  • A propos du Forum Campus France
    Prévu par le décret constitutif du 30 décembre 2011, le Forum Campus France permet l’association la plus large de tous les établissements français susceptibles de représenter à l’étranger la qualité et l’originalité de notre enseignement supérieur.
    Les établissements d’enseignement supérieur, regroupés au sein de ce Forum, sont chargés d’émettre des recommandations au conseil d’administration pour la promotion à l’international de l’enseignement supérieur français.
    La coordination des travaux du Forum Campus France, est assurée par un Bureau, présidé par un représentant de la Conférence des Présidents d’Université (CPU) et de deux vice-présidents issus respectivement de la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) et de la Conférence des Directeurs des Ecoles Françaises d’Ingénieurs (CDEFI).
    Aujourd’hui, le Forum est constitué de 342 établissements d’enseignement supérieur français.
    Pour en savoir plus : www.campusfrance.org

Note d’orientation générale de P. Tapie, nouveau président de la CGE

Texte intégral, repris de la conférence de presse du 23 juin 2009, intitulé Début de présidence de la CGE

 

« Au moment où débute ma présidence de la CGE, je partirai de quatre grandes remarques et de cinq
convictions.

 

Remarques :

 

1 – Les enjeux de
l’enseignement supérieur, du développement des compétences et des qualifications, de la recherche et de l’innovation, n’ont sans doute jamais été reconnus comme aussi stratégiques qu’aujourd’hui
en France. Notre pays est entré dans le temps de l’économie de la connaissance : ceci est reconnu par tous. Dans ce cadre, la désaffection des élèves pour les études scientifiques, en
contradiction avec la demande de main d’oeuvre scientifique et technique qualifiée qui ne cesse d’augmenter, représente un défi national.

 

2 – La loi LRU apporte un
certain nombre d’avancées dans la responsabilisation des établissements d’enseignements supérieurs en donnant une plus grande marge d’autonomie aux établissements concernés, dont un assez grand
nombre de grandes écoles. Celles ci souhaitent s’engager résolument dans l’appropriation des nouveaux outils mis en place par la loi et souhaitent bénéficier des transferts de compétences
proposés. Les écoles concernées souhaitent un accompagnement positif et constructif de la tutelle dans la phase transitoire. Certaines résistances apparues récemment à l’application de la LRU ont
été surmontées, ce dont nous nous réjouissons pour tous les établissements de l’enseignement supérieur. IL faudra sans doute continuer à progresser sur le chemin de l’autonomie.

 

3 – De nombreuses
contre-vérités continuent à circuler au sujet des grandes écoles :

Les grandes Ecoles ne se limitent pas à quelques écoles historiques parisiennes mais sont réparties sur l’ensemble
du territoire

Il existe une recherche d’excellence dans les établissements de la Conférence des Grandes Ecoles.

Ces établissements représentent un flux de 25 % du total des docteurs diplômés chaque année en France, et plus de
50% de ceux diplômés dans leurs secteurs. Les laboratoires des écoles mobilisent des milliers de chercheurs et un certain nombre de ceux-ci font partie des fleurons internationaux de leurs
disciplines.

L’ouverture sociale est un souci constant des grandes écoles et leurs résultats, dans ce domaine, sont tout à fait
méconnus : Lorsque l’on observe les éléments comparables, à savoir les flux de diplômés à bac +5, les biais de sélection sociale sont identiques dans les écoles et dans les autres formations
diplômantes de ce niveau. C’est donc dans la capacité même des personnes et dans les orientations scolaires dont elles ont fait l’objet, qu’il faut rechercher les discriminants sociaux dont la
France est malheureusement dépositaire, mais non dans l’opposition stérile de systèmes de formation à l’enseignement supérieur.

Les grandes écoles correspondraient à un petit dispositif de formation, trop petit au regard des exigences
internationales. Il faut rappeler à cet endroit que les écoles délivrent un tiers de tous les diplômes de niveau master délivrés en France chaque année. Les Grandes Ecoles ont très rapidement mis
en place les différentes dispositions et organisations propres à l’espace européen d’enseignement supérieur souvent dénommé « processus de Bologne ». A ce jour elles ont réorganisé leurs cursus,
développé grandement la mobilité étudiante et enseignante, proposent un supplément au diplôme, intègrent l’international dans leurs projets stratégiques…

Si les acteurs individuels sont de tailles variables, la variété de ces tailles peut correspondre à la variété des
destinations professionnelles auxquelles préparent ces écoles. Des tailles moyennes permettent souvent une personnalisation des études et une relation aux PME plus difficile dans des institutions
de grande taille. L’enjeu d’aménagement du territoire est conséquent, et les écoles représentent souvent un élément catalytique de leur espace. L’ensemble des dispositifs des grandes écoles est
tout sauf petit en tant qu’acteur de l’enseignement supérieur en France, même si la question de la taille unitaire souhaitable pour les acteurs, selon les fonctions universitaires à accomplir,
est légitime.

Il est faux de dire qu’à l’étranger, seul un dispositif de grandes universités pluridisciplinaires serait la règle.
Il existe des universités scientifiques et technologiques de grande qualité regroupant seulement 2000 étudiants. De nombreuses business schools dans le monde sont petites et autonomes,
non inscrites à l’intérieur d’une grande institution universitaire ; elles peuvent regrouper quelques centaines d’étudiants et être mondialement célèbres. Nous ne sommes pas les seuls dans ce
type d’écoles qui, lorsqu’elles existent à l’étranger, correspondent souvent à des institutions d’élite. L’élite se caractérise davantage par l’intensité critique que par la masse
critique.

 

4 – La France ne sait pas
toujours reconnaître les atouts internationaux dont elle dispose.

L’intégration entre la formation universitaire et la formation professionnelle telle qu’elle est déployée dans les
grandes écoles, est enviée à l’étranger.

La France a su garder une haute sélectivité dans ses formations d’ingénieurs, ce qui n’est plus toujours le cas dans
les pays avancés ; en fait, seules l’Allemagne et la France continuent à être dans ce cas. Dans la plupart des pays, cette sélectivité s’applique à l’entrée dans l’enseignement supérieur (au
moins dans les Universités d’élite qui sont très souvent citées). Pratiquée par nos grandes écoles en France, elle conduit à un parcours de la réussite (en opposition à la sélection par l’échec
pratiqué dans les formations non sélectives, drame social des jeunes qui sortent du système scolaire sans aucun diplôme ni aucune qualification professionnelle).

Pour des formations au management, aux sciences et aux disciplines techniques, le dispositif classes préparatoires +
grande école manifeste une très grande pluridisciplinarité au regard de leurs équivalents internationaux. Pluridisciplinarité

entre de multiples sciences pour les écoles d’ingénieurs, enrichies de disciplines de sciences humaines et sociales.
Pluridisciplinarité entre histoire, philosophie, mathématiques et langues vivantes, comme socle des études des écoles de management grâce aux classes préparatoires.

Les grandes écoles françaises sont à la pointe mondiale du niveau d’exigence d’internationalisation imposé à chacun
de leurs étudiants.

Les grandes écoles vivent comme constitutive, dans une grande diversité de modèles, l’autonomie institutionnelle
inscrite au coeur de leur identité.

L’intégration entre les entreprises et les écoles, le lien avec l’emploi préparé par un enseignement renouvelé et
pertinent, est organisée dans les grandes écoles françaises d’une manière exemplaire au regard d’autres lieux internationaux. Si dans des modèles internationaux, les systèmes de financement par
des chaires du mécénat, sont mieux avancés qu’en France, en revanche, l’intégration des besoins des entreprises et des organisations publiques vers les projets pédagogiques eux-mêmes, est
exceptionnellement avancée dans les dispositifs des grandes écoles françaises. De même la recherche contractuelle et le transfert de technologie se sont considérablement développés dans ces
écoles ; on sait que ce point est névralgique dans notre pays.

 

Convictions :

 

1 – Les grandes écoles doivent
promouvoir ce qu’elles sont. Nous faisons de la recherche et il faut que ceci soit mieux connu des chercheurs les plus exigeants, y compris de l’Académie des Sciences. Il nous faut promouvoir à
l’étranger ce modèle de formation de mastère spécialisé qui représente un “post master degree” et qui, dans le contexte des évolutions de Bologne, constitue une opportunité remarquable,
en particulier en Europe. Les qualités de nos formations sont déjà perçues de l’étranger puisque nos grandes écoles accueillent des élèves en provenance du monde entier, qui ont fait le choix
positif de les rejoindre dans un marché très concurrentiel au niveau mondial. Leur choix conforte nos points de vue quant au positionnement stratégique et aux performances de ce modèle
d’organisation d’enseignement supérieur et de recherche.

Il nous faut mieux promouvoir à l’étranger le modèle de formation intégrée entre l’entreprise et l’institution
universitaire, le concept de stage correspondant à une originalité de nos formations, le mot français de « stage » représentant une richesse et une exigence pédagogique intégrée très supérieure à
la version anglaise « d’internship ».

Vis-à-vis des journalistes, nous devons mieux expliquer la diversité de nos écoles et de leurs projets, la richesse
de leur couverture du territoire et des milieux professionnels extraordinairement variés qu’elles servent, tant en termes de secteur que de taille d’entreprises.

Enfin, nous représentons souvent une étape importante de la chaine de valorisation du savoir dans le lieu de la
recherche technologique ou managériale. Cet espace est souvent mal organisé en France, voire inexistant. Il s’agit de faire reconnaître notre action.

Une information à jour et pertinente entre les écoles membres de la Conférence et la Conférence est indispensable
afin de disposer de données consolidées.

A partir de nos réalisations et de nos expériences, la CGE souhaite amplifier son action propre de benchmarking, de
think tank, de propositions pour notre pays, pour toutes les questions qui traitent de ses métiers tels que définis par les missions universitaires. Il nous faut mieux exprimer combien nous
préparons à des métiers variés, où tous les goûts et talents peuvent trouver leur place. Manifester notre connaissance des métiers, et l’ouverture de nos formations vers une diversité des
horizons professionnels que nous servons, représente sans doute une voie de progrès pour que chacun puisse se dire « vu mes goûts, pourquoi pas moi dans telle école ? »

Par ailleurs, toujours en ce qui concerne l’emploi, nous avons à banaliser l’entreprenariat. Pour la France, la
préparation d’un nombre croissant de jeunes à une culture de l’innovation, l’entreprenariat, la valorisation, la création d’entreprises, ce que nos écoles savent particulièrement réaliser,
représente un enjeu immense. D’autres pays savent mieux que nous créer de nouvelles entreprises qui en 30 ans rassembleront plus de 100 000 salariés : pourquoi cela serait-il impossible en France
? L’émergence de pays à main d’oeuvre qualifiée peu onéreuse, et la crise mondiale, nous obligent à inventer.

 

3 – Nous devons exiger pour
nous le respect des principes de la République. La discrimination du droit à agir en tant qu’acteurs universitaires, au regard du statut administratif des établissements, doit cesser.

L’ostracisme parfois subi dans certains PRES doit être dépassé.

Enfin, nous devons redresser, chaque fois que cela est nécessaire, les informations inexactes diffusées par erreur
ou omission.

 

4 – L’enjeu du mérite
républicain et de la qualification des personnes constitue notre enjeu collectif d’universitaires. L’enjeu plus large de la qualification des jeunes, et tout particulièrement des 150 000 jeunes
exclus aujourd’hui d’une qualification à l’issue de leurs études, ne peut nous être étranger. L’imagination pédagogique collective est mise au défi par ce drame de notre pays. Pourrions-nous
avoir l’ambition de nous y pencher ?

 

5 – Nos deux privilèges
fondamentaux que sont droit à choisir les étudiants et autonomie de la gouvernance, ne seront légitimes à long terme en France que dans un paysage apaisé de l’enseignement supérieur. Les
difficultés de tel type d’établissement constituent aussi une vraie difficulté pour les autres, dans les destins sont interconnectés. Il n’y pas d’opposition grande école/université, et
aujourd’hui, au regard des critères internationaux, de nombreuses « grandes écoles » sont devenues des « universités » quand un certain nombre « d’universités » sont devenues des « grandes écoles
».

Nous devons aider la France à dire la vérité sur son enseignement supérieur parce que ces prérogatives particulières
créent, pour nous, une obligation citoyenne. »

 

SKEMA Business School 25e du classement du Financial Times

Le Financial Times vient de publier son Classement annuel mondial 2018 des programmes Masters in Management. Présente dans ce palmarès depuis sa création en 2009, SKEMA Business School se classe 25e sur 100 institutions pédagogiques internationales cette année et progresse ainsi de 10 places par rapport à l’édition 2017.

SKEMA Business School en progression

L’école SKEMA Business School était en effet au 26e rang en 2016, 35e en 2017 et reprend sa place à cette 25e place cette année. A noter, en guise de réflexion, que les périmètres changent, le nombre d’écoles, de même que les critères de classification.

SKEMA Business School se hisse également à la 5e place parmi les 25 meilleures Grandes Écoles françaises représentées.

Dans ce panorama mondial, SKEMA se distingue particulièrement sur plusieurs critères :

  • La mobilité internationale des étudiants (International Mobility): l’école gagne une place et se situe au 17e rang
  • Les objectifs atteints par les diplômés grâce à leur diplôme (Aims achieved): SKEMA progresse de 12 places et se situe au 20e rang mondial
  • La proportion d’étudiantes (Female students)en comparaison des étudiants : SKEMA se classe 13e
  • La féminisation du corps professoral (Female Faculty): SKEMA figure en progression de 4 rangs sur ce critère et se classe 21e

Une progression qui fait écho au modèle pédagogique que développe SKEMA et qui s’appuie sur les trois nouvelles académies autour desquelles se déploie désormais le corps professoral de l’école : innovation, globalisation, digitalisation.

Alice Guilhon, Directrice Générale de SKEMA et Présidente du Chapitre des Ecoles de Management de la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) se réjouit de ce résultat : « Si nous ajoutons à ce palmarès notre 4e place dans le dernier classement mondial du FT sur les formations en Finance (programme MSc Financial Markets and Investments), la pertinence de notre modèle se voit renforcée».

SKEMA Business School

Rendez-vous Sciences, Éducation et Société le 24 Juin 2010

La CGE s’associe aux rendez-vous Sciences, Éducation et Société du Groupe INSA : Les P’tits Déjeuners de la Science.

Prochain rendez-vous le 24 Juin 2010 au Palais de la Découverte à Paris.

Au programme les intervenants suivants :

Philippe Vivien, DRH et Membre du
comité Exécutif d’Areva – Invité d’honneur
Stéphane Jobert, PDG de Kuribay HR Consulting
Gérard Duwat, Responsable de l’Observatoire des Ingénieurs CNISF
Charles Gadéa, Sociologue et Directeur du Laboratoire Printemps – CNRS

PROJET DE LOI SUR LES LIBERTES DES UNIVERSITES

La Conférence des Grandes Ecoles a alerté Valérie PECRESSE, Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, sur les dangers de mettre en œuvre un projet
ambitieux dont aucune des dispositions, notamment celles relatives aux nouvelles responsabilités des universités (titre III), ne s’appliqueraient aux Grandes Écoles.
Bien que l’ensemble du dispositif d’enseignement supérieur et de recherche national soit en voie de paupérisation par rapport à ses grands
concurrents internationaux, la CGE comprend que l’objectif actuel du gouvernement est de renforcer les universités.
Elle ne demande donc pas de mesures financières mais réclame que certaines mesures concernant la gouvernance et les nouvelles responsabilités
puissent s’appliquer à l’ensemble des EPSCP (Etablissements Publics à caractère Scientifique, Culturel et Professionnel) d’une part, et aux établissements publics d’enseignement supérieur et de
recherche qui le souhaiteraient d’autre part. Les modifications à apporter concernent par ordre décroissant d’importance :
1. Les responsabilités et compétences en matière budgétaire et de gestion des ressources humaines (cf. titre III- article 15)
2.De la même manière (cf. article 16), la définition par le conseil d’administration des principes généraux de répartition des obligations de
service des personnels, la mise en place de dispositifs d’intéressement des personnels, et les possibilités de recrutement, pour une durée déterminée ou indéterminée, d’agents contractuels
(article 16)
3. La possibilité de rémunérer les étudiants pour des activités de tutorat ou des services (article 18)
4. Les dispositions propres aux personnels de recherche : limitées aux EPSCP elles auraient comme conséquence une évidente inégalité de
traitement entre des personnels de recherche qui exercent dans les EPSCP et pourraient participer à la vie démocratique de l’établissement et d’autres qui en seraient exclus (article 20)
5. Les compétences particulières en matière de création de fondations (article 23), de transfert de la pleine propriété des biens mobiliers et
immobiliers (article 24) et de l’accès à des ressources complémentaires (article 25)
En outre, l’élection du Président du CA des Universités par les seuls membres élus (article 5) ne paraît pas conforme à l’esprit du texte qui
veut donner plus de poids aux membres extérieurs.
La CGE a exprimé son souhait de pouvoir rencontrer à nouveau La Ministre pour s’entretenir de ces questions.

Assurer l’avenir des docteurs

La Conférence des
Grandes Ecoles (CGE) et l’Association Bernard Gregory (ABG) ont signé le 23 mai 2008 une convention de coopération pour
renforcer leurs compétences et leurs actions dans le domaine de la formation par et à la recherche, et de l’insertion professionnelle des jeunes
docteurs et des post-doctorants.

Préparé par la
commission Recherche et Transferts, animée par le Prof. Alain Storck, directeur de l’INSA de Lyon, l’accord signé par Christian Margaria, président de la CGE, et Martine Pretceille, directrice de
l’ABG, s’inscrit dans le cadre général des missions et des relations entre les deux parties.

L’une des missions fondamentales des écoles de la CGE est la formation par la
recherche et pour la recherche, l’accueil de doctorants et de post-doctorants (
Une enquête récente de la CGE fait état de
11000 thèses en cours dans les laboratoires des grandes écoles et d’un flux de 2500 thèses soutenues chaque année). L’Association Bernard Gregory, quant à elle, a pour mission de valoriser la formation par la recherche auprès du monde
socio-économique notamment en aidant à l’insertion professionnelle des jeunes docteurs et des post-doctorants.

La politique de coopération définie entre la CGE et l’ABG vise à contribuer à une meilleure employabilité des docteurs grâce,
entre autre, à une communication renforcée avec les milieux économiques. Elle repose sur :

 

La mise en œuvre d’actions communes :

        La conception et la définition de contenu de formations, d’actions de professionnalisation et d’aide à l’insertion sur l’ensemble de la durée de la thèse ou durant le
post-doctorat, éventuellement avec d’autres partenaires notamment des milieux économiques.

        La contribution à l’affichage
par les laboratoires du devenir de leurs jeunes docteurs à côté des résultats scientifiques.

        L’intégration de la CGE dans les réseaux des correspondants de l’ABG.

        L’échange des données, des
publications et des expériences pédagogiques.

        L’organisation de rencontres
entre doctorants et professionnels.

        La réalisation d’études et
d’enquêtes sur les trajectoires des doctorants et des jeunes docteurs.

        La contribution constructive à
la réflexion et à la communication sur la formation par la recherche et la professionnalisation des docteurs.

 

La signature
de conventions spécifiques :

Les modalités de chaque action de coopération seront précisées dans une convention
spécifique.

 

Dans le cadre de cette convention, l’ABG apporte son savoir-faire, sa méthodologie, ses outils, ses réseaux dans les entreprises
et les universités,

La CGE mobilise les acteurs de sa commission Recherche et Transferts et ses groupes de travail, ses partenaires économiques et ses
outils spécifiques.

 

La convention va être
conclue pour une période de 3 ans et pourra être renouvelée par avenant.

Charte «Conférence des Grandes Ecoles/Handicap »

Lors de la prochaine assemblée générale de la Conférence des Grandes Ecoles, le 23 mai 2008, la charte «Conférence des Grandes
Ecoles/Handicap » sera signée par la Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Valérie PECRESSE, et le Président de la CGE, Christian MARGARIA.

Seront aussi co-signataires de la charte : Xavier BERTRAND Ministre
du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité et Valérie LETARD, Secrétaire d’Etat chargée des Solidarités.

Cette charte engage les grandes écoles à :

– favoriser leur accès aux étudiants en situation de
handicap,

– augmenter les entrées en formation des étudiants en situation de
handicap par la voie de l’alternance ou de l’apprentissage lorsque cette possibilité existe,

– sensibiliser les directeurs d’établissements, les personnels et
l’ensemble des étudiants sur les différents modes d’accès à l’emploi des personnes en situation de handicap et aux obligations issues de la loi sur le handicap du 11 février 2005,

– encourager l’implication de tous les responsables des grandes écoles
dans le dispositif d’accueil des étudiants en situation de handicap, par la désignation d’un référent,

– faciliter les actions de mise en situation professionnelle des étudiants
en situation de handicap tout au long de leur parcours, c’est-à-dire aussi bien niveau des stages que de l’emploi,


améliorer la cohérence et la lisibilité du dispositif d’accueil des étudiants en situation de handicap.

Rendez-vous du management des risques et de l’intelligence économique

A l’ISEP le 7 mai 2009 de 13
h.30 à 17 h.30

 

A l’occasion de l’ouverture du Mastère Spécialisé (MS) en « management des risques par l’intelligence économique », l’ISEP donne la parole aux professionnels de la prévention des
risques et de l’intelligence économique. Le 7 mai prochain, ils viendront parler de leur métier et de leurs pratiques dans un contexte économique en pleine crise. Cet événement est co-organisé
avec l’association Forum Atena.

Professionnels, chefs d’entreprises et étudiants pourront par ailleurs poser toutes leurs questions à Denis Beautier, Directeur des Mastères
Spécialisés de l’ISEP. Ce nouveau MS, accrédité par la CGE, s’adresse à tous ceux qui souhaitent se mettre au diapason des contraintes légales qui
doivent être appliquées par  les entreprises et leurs responsables en matière de prévention des risques. La crise actuelle révèle la nécessité
impérieuse de ce type de formation.

L’entrée est gratuite, mais sur inscription :  http://www.forumatena.org/?q=node/192/eventregistration

 

Intervenants :

Bernard Besson – Chargé de mission auprès d’Alain Juillet, Haut Responsable à l’Intelligence Economique au Secrétariat Général de la Défense
Nationale

Jean-Claude Possin – Consultant en entreprise, spécialiste de la sûreté et du risque managérial ; co-auteur avec Bernard Besson de
l’ouvrage De l’intelligence des risques à la mission de protection

Jérôme Bondu – consultant en Intelligence Economique

Bernard de Vautray, Directeur du Pôle Intelligence Economique d’Orca Consultant 

Jean-Philippe Baur –  avocat 

 

Les partenaires du Mastère Spécialisé viendront également apporter leur expertise :

l’association du Forum ATENA (association regroupant des entreprises et des personnes œuvrant dans le domaine des technologies de l’information
et de la communication)

l’Institut Français d’Intelligence Economique

le Cercle d’Intelligence Economique du MEDEF Ouest Parisien

 

Informations complémentaires :

ISEP

28 rue Notre-Dame des Champs

75006 Paris

Salle 16 au 1er étage

7 mai 2009, de 13h30 à 17h30

Inscriptions :
            http://www.forumatena.org/?q=node/192/eventregistration

le Groupe RMS recrute des apprenants en contrat pro

Rentrée 2009 : le Groupe Reims Management School (Groupe RMS) recrute des apprenants en contrat de professionnalisation

 

Dès la rentrée 2009, le Groupe Reims Management School propose le contrat de professionnalisation à l’ensemble de ses huit master(e)s. Cette initiative permet aux étudiants d’obtenir un diplôme
bac+5 /+6, tout en réalisant une « première expérience professionnelle » tant recherchée. Pendant un an, les étudiants alterneront les cours avec une mission en entreprise rémunérée en
pourcentage du SMIC selon leur âge et leur niveau de formation.

Selon Lotfi Hamzi, Directeur des Programmes Mastères Spécialisés et Masters of Science, « le contrat de professionnalisation est un formidable outil d’accompagnement des jeunes et
adultes dans leur projet d’insertion professionnelle. Il leur permet d’obtenir une qualification professionnelle reconnue et d’être immédiatement opérationnels
 ».

Cette nouvelle initiative qui vient enrichir la formation en alternance proposée aux étudiants du programme Grande Ecole Sup de Co Reims, par la voie de l’apprentissage, comporte de nombreux
avantages :

 

Les avantages …

 

Pour l’étudiant

– Un contrat de salarié avec les mêmes avantages sociaux des salariés de l’entreprise ;

– L’acquisition d’une expertise de haut niveau ;

– Une formation en alternance qui permet d’apprendre et d’agir en futur professionnel ;

– Une insertion professionnelle et des opportunités de carrière optimisés ;

– Une rémunération mensuelle conformément à la législation et un statut de salarié ;

– Une exonération partielle ou totale des frais de scolarité prise en charge par l’entreprise d’accueil.

 

Pour l’entreprise

– Les personnes embauchées en contrat de professionnalisation ne rentrent pas dans le calcul des seuils sociaux et fiscaux ;

– Le coût de la formation est pris en charge par l’OPCA de l’entreprise d’accueil ;

– Application du dispositif d’allègement de charges patronales sur les bas et moyens salaires – réduction dite « Fillon » prévue à l’article L 241-13 du Code de la Sécurité Sociale.

 

Des programmes ambitieux …

 

Reims Management School dispense 5 Mastères Spécialisés accrédités par la CGE (Conférence des Grandes Ecoles) et 3 Masters of Science.

Ces programmes de haut niveau s’appuient sur des enseignants qui font référence dans leur domaine, l’intervention d’experts et le soutien de grandes entreprises partenaires.

  • Mastères Spécialisés (accrédités par la Conférence des Grandes Ecoles)

– Analyse Financière Internationale

– Business Development et Clients Grands Comptes

– Contrôle de Gestion, Management des Risques et Planification

– Management des Services et de la Relation Client

– Masternova / Management de l’Innovation Technologique dans les Agro-activités et les Bio-Industries (en partenariat avec AgroParisTech).

  • Masters of Science

– Finance and Commercial Banking (Nouveauté rentrée 2009/2010, entièrement dispensé en anglais)

– Gestion de Patrimoine

– Intelligence Marketing de la Distribution et des Produits de Grande Consommation

 

Informations pratiques

 

Profils des candidats :

Titulaires d’un diplôme de niveau bac+4/5 avec ou sans expérience professionnelle. Dérogations possibles pour des candidats présentant un parcours de qualité. Recrutement sur dossier, entretien
de motivation et épreuve d’anglais ou score TOEFL/TOEIC à fournir.

 

Coût de la formation : de 9 500€ à 13 000€

 

Rentrée : 1 octobre 2009

C. Margaria nommé conseiller spécial pour l’enseignement supérieur

A compter du 1er octobre 2009, Christian Margaria, Directeur de L’institut Télécom Sud-Paris, est nommé conseiller
spécial pour l’enseignement supérieur auprès du Commissaire à la diversité et à l’égalité des chances Yazid Sabeg.

Christian Margaria a été Président de la Conférence des Grandes Ecoles de 2003 à 2009.

Dans le cadre de ces responsabilités, il a été à l’initiative de la charte pour l’ouverture sociale des
établissements d’enseignement supérieur, signée entre la CGE, la CPU et le gouvernement en janvier 2005, et de la création de la commission « Diversité » de la CGE. Depuis la fin de son mandat de
Président, il a pris la suite de Pierre Tapie, nouveau Président de la CGE, comme Président de la commission Diversité, qui regroupe les équipes de la CGE traitant de parité homme/femme,
d’intégration du handicap, et d’ouverture sociale.

La conférence des Grandes Ecoles se réjouit de voir l’un de ses experts, universitaire de métier et de renom, être choisi par le gouvernement pour une mission
importante qui irriguera tout notre dispositif d’enseignement supérieur. Nous savons qu’il y apportera, à plein temps désormais, toute la compétence, l’énergie et la puissance de travail
considérables qui sont les siennes. Le modèle de méritocratie républicaine sur lequel est fondé notre pacte social doit faire l’objet de constante attention ; l’accès de chacun aux savoirs et aux
compétences les plus qualifiées en fonction de son goût et de ses talents constitue l’horizon démocratique pour lequel Christian Margaria oeuvrera.

Christian Margaria sait qu’il pourra compter sur la totale disponibilité des équipes des écoles et de la conférence pour s’engager à ses côtés.

Christian
Margaria, un expert de la diversité et de l’égalité des chances dans l’enseignement supérieur Conscient des problèmes liés à la désaffection des jeunes pour les études scientifiques, de la
nécessité d’ouvrir ces filières aux jeunes filles et de certains problèmes d’ascension sociale, Christian Margaria s’est fortement impliqué depuis plusieurs années déjà dans de nombreuses actions
pour la diversité et l’égalité des chances dans les grandes écoles françaises. En tant que directeur de Télécom et Management SudParis (qui réunit l’école d’ingénieur Télécom SudParis et l’école de
management Télécom Ecole de
Management)
depuis 2004 et en tant que président de la Conférence des Grandes Ecoles depuis 2003.

L’actualité de la CGE en ligne

La dernière lettre d’information Grand Angle, consacrée en septembre aux 25 ans des Mastères Spécialisés et à l’ensemble des actualités de la CGE disponible sur http://www.cge-news.com.

Le prochain congrès annuel aura lieu les jeudi 7 et vendredi 8 Octobre 2010 sur le thème : « Quelle réponse au défi de l’international pour l’enseignement supérieur ? »

NOUVEAUX MASTERES SPECIALISES (MS) et MSc accrédités pour 2011-2012

La commission Accréditation de la CGE a accrédité 23 MS et 9 MSc pour l’année
2011-2012.

Signalons que, pour la première fois, un membre étranger de la CGE a obtenu une accréditation :

L’Ecole Hassania des Travaux Publics à Casablanca au Maroc pour un MS en

·       Ingénierie et management de systèmes
logistiques

           en coaccréditation avec
l’Ecole des Ponts ParisTech

           en partenariat avec l’Institut
supérieur de transport et de la logistique, Casablanca

Certes,  depuis de nombreuses années des MS sont montés en partenariat avec des
établissements étrangers – et le cru 2011-12 en dénombre de nouveaux – mais c’est la première fois qu’un établissement étranger, grâce à son appartenance à la CGE, est pilote d’un MS.

En 2011, ce sont donc au total 439 MS et 61 MSc qui sont proposés par 125 grandes
écoles.

 

MASTERES SPECIALISES

 

ECOLES DE MANAGEMENT

ADVANCIA NEGOCIA       

·       Direction commerciale

ESC Clermont-Ferrand  (Ecole supérieure de commerce)

·      
Management des établissements sanitaires et sociaux

ESCP Europe 

·      
Management médical – Gestion hospitalière

 

MSc

 

ADVANCIA NEGOCIA

·           International business development and consulting        

       en partenariat
avec Hochschule Bremen (Allemagne),  Universitat de València Estudi General (Espagne), University of Hertfordshire (Royaume-Uni) , Institute of
business studies Moscow (Russie),  University of North Carolina, Wilmington (Etats-Unis), Universiti Tun Adbul Razak, Kuala Lumpur (Malaisie)

AUDENCIA (Ecole de management de Nantes)

·       Sport Management

ESC Toulouse (Ecole supérieure de commerce
de Toulouse)

·      
Community management

·       Création, reprise, acquisition et
développement d’entreprises (CRéA)

·       Industrial Organization and the Supply Chain (IOSC)

·       Management pour scientifiques

EUROMED Management

·      
Ingénierie d’affaires 

HEC Paris       

·       Finance

International Business (MIB)

Enquête 2012 sur l’insertion des jeunes diplômés, selon la CGE

La Conférence des Grandes Écoles a présenté ce matin les résultats de son enquête 2012 sur l’insertion des jeunes diplômés.

Dans la lignée de 2011, les indicateurs d’insertion professionnelle des jeunes diplômés se sont améliorés : :
82,5 % sont en situation d’emploi moins de 2 mois après leur sortie d’école
– 79,8% des diplômés de grandes écoles sont embauchés en CDI
– Recherche d’emploi toujours inférieure à 6 mois pour la majorité des jeunes.

En synthèse, les grandes tendances de 2012 :
– Un taux net d’emploi qui continue de progresser
– Les salaires des jeunes diplômés sont en légère augmentation
– La région parisienne redevient le premier bassin d’emploi devant la province
– Le taux de transformation stage/emploi est nettement plus important pour les ingénieurs que les managers
– La structure des secteurs recruteurs, tant pour les diplômés ingénieurs que ceux des écoles de management, traduit une tendance lourde à
l’externalisation