Rencontre entre la France et les représentants de la Zone Franc

En préparation du Sommet de Londres, Christine LAGARDE, ministre de l’Economie, de l’Industrie, et de l’Emploi recevra les plus hautes autorités financières et économiques de la Zone Franc le
lundi 31 août 2009 à Paris.

Cette réunion a pour objectif de préparer la prochaine réunion des Ministres des Finances du G20, qui se tiendra à Londres les 4 et 5 septembre 2009, et le sommet des chefs d’Etat et de
gouvernement du G20 prévu les 24-25 septembre à Pittsburgh. Elle doit permettre de prendre en compte les priorités et les préoccupations des pays de la Zone Franc dans cette perspective.

Les autorités de la Zone Franc seront représentées par : M. Charles KOFFI DIBY, Président en exercice du Conseil des Ministres de l’UMOA, M. Essimi MENYE, Président en exercice du Comité
ministériel de l’UMAC, M. Philibert ANDZEMBE, Gouverneur de la BEAC, M. Philippe-Henry DACOURY-TABLEY, Gouverneur de la BCEAO. M. Soumaïla CISSE, Président de la Commission de l’UEMOA et M.
Antoine NTSIMI, Président de la Commission de la CEMAC.

L’UPMC sur ITunes U

Avec iTunes U, l’UPMC franchit un pas supplémentaire le 1er septembre 2009 et met en ligne son information scientifique, recherche, institutionnelle, culturelle et vie étudiante à la disposition
du grand public et de ses 30 000 étudiants. Dès aujourd’hui, ce public peut accéder gratuitement à un vaste contenu audiovisuel sur ITunes U. Un espace dédié sur Itunes Store propose un contenu
pédagogique gratuit.

Un accès à du contenu audio et vidéo, scientifique pour le grand public. Près de 300 vidéos ont été sélectionnées pour leur qualité par l’UPMC. L’offre est constituée d’informations scientifiques
en sciences et médecine. L’UPMC apporte le contenu et Apple utilise sa puissance de diffusion pour offrir savoirs et culture à tous et assurer ainsi le rayonnement de l’université.

Important travail de l’UPMC en matière des technologies de l’information et de la communication pour l’enseignement (TICE). Depuis 3 ans, la totalité des cours des 4 premières années de médecine
est filmée et diffusée en ligne. Au sein de l’environnement numérique de travail, étudiants et enseignants peuvent également se retrouver depuis 9 ans sur une plate-forme d’enseignement. Les
échanges sont nombreux : 11 000 étudiants sont présents régulièrement tout au long de l’année et 450 cours trouvent un prolongement naturel sur cet espace d’échanges.

Pour Yves Epelboin, directeur à l’UPMC du Service Général des Technologies de l’Information et de la Communication pour l’enseignement (SGTICE): « la mission de l’université est la recherche,
l’enseignement et la diffusion de la connaissance scientifique vers un plus large public. Les technologies de l’information et de la communication (TIC) viennent en appui de cette mission et,
depuis 3 ans déjà les moyens de captation et de diffusion adéquats ont été mis en place sur Internet. Apple, au travers de son portail iTunes U, nous permet de populariser très largement cette
action et de généraliser les supports de diffusion puisque ces vidéos pourront être regardées sur ordinateur personnel, iPod, iPhone ou tout appareil compatible avec les formats employés. Apple
nous apporte donc une aide formidable dans l’accomplissement de notre mission. »

Comment retrouver l’UPMC sur iTunes U ?

– Le lien d’accès est http://itunes.upmc.fr

– Si vous êtes utilisateur iTunes, allez dans la rubrique iTunes U, cliquez sur “Universities & Colleges” et allez dans UPMC

Si iTunes n’est pas sur votre ordinateur, rendez-vous sur le site http://www.apple.com/fr/itunes/download/ et cliquez sur le bouton “télécharger” pour installer l’application.

le Groupe RMS recrute des apprenants en contrat pro

Rentrée 2009 : le Groupe Reims Management School (Groupe RMS) recrute des apprenants en contrat de professionnalisation

 

Dès la rentrée 2009, le Groupe Reims Management School propose le contrat de professionnalisation à l’ensemble de ses huit master(e)s. Cette initiative permet aux étudiants d’obtenir un diplôme
bac+5 /+6, tout en réalisant une « première expérience professionnelle » tant recherchée. Pendant un an, les étudiants alterneront les cours avec une mission en entreprise rémunérée en
pourcentage du SMIC selon leur âge et leur niveau de formation.

Selon Lotfi Hamzi, Directeur des Programmes Mastères Spécialisés et Masters of Science, « le contrat de professionnalisation est un formidable outil d’accompagnement des jeunes et
adultes dans leur projet d’insertion professionnelle. Il leur permet d’obtenir une qualification professionnelle reconnue et d’être immédiatement opérationnels
 ».

Cette nouvelle initiative qui vient enrichir la formation en alternance proposée aux étudiants du programme Grande Ecole Sup de Co Reims, par la voie de l’apprentissage, comporte de nombreux
avantages :

 

Les avantages …

 

Pour l’étudiant

– Un contrat de salarié avec les mêmes avantages sociaux des salariés de l’entreprise ;

– L’acquisition d’une expertise de haut niveau ;

– Une formation en alternance qui permet d’apprendre et d’agir en futur professionnel ;

– Une insertion professionnelle et des opportunités de carrière optimisés ;

– Une rémunération mensuelle conformément à la législation et un statut de salarié ;

– Une exonération partielle ou totale des frais de scolarité prise en charge par l’entreprise d’accueil.

 

Pour l’entreprise

– Les personnes embauchées en contrat de professionnalisation ne rentrent pas dans le calcul des seuils sociaux et fiscaux ;

– Le coût de la formation est pris en charge par l’OPCA de l’entreprise d’accueil ;

– Application du dispositif d’allègement de charges patronales sur les bas et moyens salaires – réduction dite « Fillon » prévue à l’article L 241-13 du Code de la Sécurité Sociale.

 

Des programmes ambitieux …

 

Reims Management School dispense 5 Mastères Spécialisés accrédités par la CGE (Conférence des Grandes Ecoles) et 3 Masters of Science.

Ces programmes de haut niveau s’appuient sur des enseignants qui font référence dans leur domaine, l’intervention d’experts et le soutien de grandes entreprises partenaires.

  • Mastères Spécialisés (accrédités par la Conférence des Grandes Ecoles)

– Analyse Financière Internationale

– Business Development et Clients Grands Comptes

– Contrôle de Gestion, Management des Risques et Planification

– Management des Services et de la Relation Client

– Masternova / Management de l’Innovation Technologique dans les Agro-activités et les Bio-Industries (en partenariat avec AgroParisTech).

  • Masters of Science

– Finance and Commercial Banking (Nouveauté rentrée 2009/2010, entièrement dispensé en anglais)

– Gestion de Patrimoine

– Intelligence Marketing de la Distribution et des Produits de Grande Consommation

 

Informations pratiques

 

Profils des candidats :

Titulaires d’un diplôme de niveau bac+4/5 avec ou sans expérience professionnelle. Dérogations possibles pour des candidats présentant un parcours de qualité. Recrutement sur dossier, entretien
de motivation et épreuve d’anglais ou score TOEFL/TOEIC à fournir.

 

Coût de la formation : de 9 500€ à 13 000€

 

Rentrée : 1 octobre 2009

20 000 contrats pro et d’apprentissage pour la restauration

 

 

Laurent WAUQUIEZ, secrétaire d’Etat chargé de l’Emploi, et Hervé NOVELLI, secrétaire d’État chargé du Commerce, de l’Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services et
de la Consommation, ont réuni les acteurs de la formation professionnelle des secteurs de la restauration pour les mobiliser et examiner avec eux les conditions dans lesquelles la profession
réalisera l’engagement de 20 000 jeunes supplémentaires en contrat d’apprentissage et en contrat de professionnalisation. Dans le Contrat d’avenir signé le 28 avril dernier, les professionnels se
sont en effet engagés en matière d’emploi et de situation des salariés, en contrepartie de la baisse de la TVA dans la restauration.

A l’occasion de deux tables rondes, des échanges constructifs ont été menés, notamment sur les modalités de coopération entre organismes de formation et entreprises sur les territoires, ainsi que
sur les pratiques innovantes des entreprises en matière de gestion des ressources humaines (accueil, intégration, tutorat, promotion professionnelle…).

Laurent WAUQUIEZ a rappelé les mesures spécifiques sur l’emploi des jeunes, prévues dans le plan jeunes annoncé par le Président de la République.

Hervé NOVELLI a souligné l’importance de la mobilisation de l’ensemble des acteurs du secteur et notamment des organisations professionnelles quant aux moyens à mettre en œuvre pour renforcer
l’attractivité de ces métiers.

A l’issue de cette réunion, Laurent WAUQUIEZ et Hervé NOVELLI, ont notamment annoncé la nomination de Régis MARCON, chef étoilé à Saint-Bonnet-le-Froid, très impliqué dans la formation
professionnelle. Il aura pour mission d’identifier avec les acteurs de la formation en alternance les voies d’évolution et de progression possibles et d’élaborer une charte de l’alternance
spécifique à la restauration.

Hervé NOVELLI s’est également félicité de la présence importante des organismes de formation et les a assuré que cette réunion n’était qu’une première étape de l’action sur ces questions.

Fondation EDF DIVERSITERRE – Bourses d’études 2009 / 2010

La Fondation EDF Diversiterre pourra verser aux étudiants travaillant en sciences humaines sur l’électricité, sur
avis du Comité d’histoire de la Fondation :

 

– Quatre bourses annuelles de 2500 euros

– Entre trois et six bourses annuelles de 2500 ou 1250 euros, selon la qualité des dossiers.

 

Nous attirons l’attention des professeurs et des candidats sur les critères de sélection et de classement des
dossiers qui seront les suivants : originalité du sujet, sérieux de la préparation de la recherche, qualité de la présentation du dossier.

Le versement des sommes est soumis au respect d’une convention d’études signée dès l’obtention de la bourse. Les
langues acceptées pour la réalisation du travail sont le français, l’anglais, l’allemand, l’espagnol et l’italien. Un résumé de dix pages, en français, est exigé pour tous les travaux
non-francophones.

Les dossiers doivent être envoyés par courrier postal ou électronique le vendredi 30 octobre 2009 au plus tard
:

 

Fondation EDF Diversiterre – Histoire

9, avenue Percier – 75008 Paris

Téléphone : 01 40 42 79 29 ; comite.histoire.electricite@gmail.com ; yves.bouvier@edf.fr

 

Les dossiers comprendront les documents suivants, réunis dans une chemise ou attachés à un courriel indiquant les
nom, prénom, adresse, coordonnées téléphoniques et électroniques du candidat :

– une lettre par laquelle le candidat demande une aide pour un sujet défini en accord avec le directeur de recherches et s’engage à respecter la convention d’études
s’il est retenu ;

– un projet de recherche dactylographié (6 à 10 p.), mentionnant la problématique générale du sujet, les sources et
les méthodes qui seront utilisées, et des éléments de bibliographie ;

– un curriculum vitæ détaillé du candidat ;

– un état des ressources financières du candidat pendant le temps de sa recherche ;

– une lettre de recommandation du Professeur sous la direction duquel la recherche sera menée, présentant l’étudiant
et approuvant son projet ;

– une
photocopie de la carte d’étudiant ou une attestation de recherche fournie par l’université ou le centre de recherche du candidat.

Tuck School of Business propose un prêt aux étudiants internationaux

Tuck School of Business, en collaboration avec Dartmouth College, lance un nouveau prêt, conçu tout spécialement
pour les étudiants internationaux. Ils ont désormais accès à des financements à taux très compétitif, malgré les pressions qui pèsent en ce moment sur l’accès aux prêts.

Ce nouveau prêt permet aux étudiants internationaux d’obtenir une assistance financière sans avoir recours à un
cosignataire américain. L’étudiant doit soumettre un dossier au bureau d’aides financières de l’école. Le prêt peut couvrir l’intégralité des frais liés au séjour, en déduisant les éventuelles
sources de financement supplémentaires. Le taux d’emprunt, actuellement à 9 %, est variable et ajustable tous les ans. Aucun frais supplémentaire n’est engagé. Steve Lubrano, le Directeur
exécutif et responsable du programme de financement, déclare « les offres issues du privée étaient beaucoup trop chères pour nos étudiants. Ce programme baisse de façon significative le coût
de l’emprunt par rapport à ce qui est disponible sur le marché».

Conscients que l’accès aux prêts crée beaucoup d’inquiétudes et de questionnements chez les étudiants
internationaux, les membres de l’administration à Tuck et Dartmouth ont travaillé ensemble pour développer un programme à la fois simple et abordable. L’historique des remboursements montrent que
dans seulement 1% des cas, l’emprunt n’a pas été recouvré. Paul Danos, Doyen de Tuck School of Business déclare, « malgré le caractère volatile de l’économie, les étudiants de Tuck
continuent à intégrer les meilleures entreprises et à percevoir des salaires parmi les plus hauts du marché. Tuck et Dartmouth ne doutent pas que les étudiants continueront d’obtenir de très
bons emplois et pourront rembourser leur emprunt en temps voulu. »

Co-directrice du service carrière, Rebecca Joffrey ajoute : « la plupart des gens parlent du retour
sur investissement (ROI) en termes de salaire. Mais notre réseau vous accompagne et vous apporte pendant toute votre carrière. Quelque soit votre besoin – financement pour monter une affaire,
piste pour trouver un emploi, connexions professionnelles, conseil d’un professeur – tout ce que vous avez à faire, c’est prendre votre téléphone. Qui plus est, ce réseau est un atout
particulièrement important pour quelqu’un qui n’a jamais travaillé aux Etats-Unis. »

Tuck accueille en moyenne chaque année, 33% d’étudiants étranger, venus de 40 pays différents. Dawna Clark,
Directeur des admissions, estime que le moment est opportun pour postuler dans un MBA aux Etats-Unis. Elle commente : « pour Tuck, l’ouverture d’esprit internationale de nos étudiants
est primordiale ; elle rend leur expérience académique d’autant plus intéressante et les prépare mieux pour s’orienter vers des postes divers et challenging. »

Pour tout savoir sur Renault…

Depuis 2001 et la sortie du livre Renault, histoire d’une entreprise (Editions ETAI), ouvrage préfacé par
Louis Schweitzer, Jean-Louis Loubet publie Carnet de route.

Ce document, réservé au personnel Renault, rassemble des informations recueillies dans les comptes-rendus des
conseils d’administration, des comités de direction, des réunions de la direction générale et des directions fonctionnelles, etc. Sa quatrième édition (2009) vient de sortir avec 248 pages
d’informations classées de façon thématique, avec le sous-titre «1898-2008, 110 ans de Renault ».

L’ouvrage, dont les éditions précédentes ont été remises aux membres de l’Association SHGR (Société d’Histoire du
Groupe Renault), es tconsultable à la Société d’Histoire du Groupe Renault, 27 rue des Abondances, 92100 Boulogne-Billancourt.

 

SHGR : HISTOIRERENAULT@aol.com

« Doing Business 2010 »

Le prochain rapport Doing Business de la Banque Mondiale, qui sort le 9 septembre 2009, devrait intégrer une profonde révision de sa méthodologie, après les critiques du Congrès des Etats-Unis.

Publiés chaque année depuis 2004 par la SFI (Groupe Banque Mondiale), ces rapports sont devenus une référence internationale et le produit-phare de la Banque Mondiale. Ils établissent un classement de 175 pays selon la capacité de leur droit à faciliter les affaires. Dans le 1erde ces classements, la France se situait derrière le Tonga et la Jamaïque…

Une réhabilitation pour le droit français et la Place de Paris

Systématiquement mal classée, la Place juridique, économique et financière de Paris voyait son image internationale et son attractivité attaquées. L’équipe, dirigée à partir de l’Université de Paris Ouest Nanterre de 2005 à 2007 par Bertrand du Marais, s’était attelée à corriger les nombreuses erreurs de la méthodologie employée par Doing Business, pourtant élaborée par l’un des plus prestigieux économistes d’Harvard, Andrei Shleifer. Celui-ci est également père
de la doctrine « Law and Finance », à l’origine de la déréglementation des marchés financiers depuis les années 1990.

Les travaux de Bertrand du Marais avait permis à la France de progresser de 16 places entre 2005 et 2007 dans ce classement. Elle restait encore 31edans le dernier classement.

La validité des analyses menées par l’équipe de Bertrand du MARAIS reconnue

Ses travaux ont été parmi les premiers, et les seuls français, à être repris au niveau international, notamment par l’Organisation internationale du Travail et même par la Banque mondiale, dans l’audit très critique à l’égard de Doing Business qu’elle avait publié en juin 2008. Ces critiques avaient été relayées par le Congrès des Etats-Unis.

La prochaine publication du Rapport Doing Business 2010 donne l’occasion à Bertrand du Marais et son équipe de rappeler les enjeux considérables d’une évaluation économique du droit rigoureuse et respectueuse des spécificités de chaque culture. C’est la démarche qu’il a animée par la mise en réseau – sans considération d’appartenance – de juriste et d’économistes, universitaires et praticiens, publics ou privés, français et anglo-saxons. Après ce succès, il reste encore à développer en France cette démarche.

Rapport du Groupe indépendant d’évaluation de la Banque Mondiale

http://lnweb90.worldbank.org/oed/oeddoclib.nsf/DocUNIDViewForJavaSearch/89BD8FE6BF3C8D93852574EF0050E7DE/$file/db_evaluation.pdf

Publication du BIT: http://www.ilo.org/public/french/revue/download/pdf/s6_note_lee_mccann_torm.pdf

L’expertise de l’équipe animée par Bertrand du MARAIS :

«Des indicateurs pour
mesurer le droit ?

Les limites des rapports Doing business »

sous la direction deBertrand du MARAIS

La Documentation française, septembre 2006

ouwww.ladocumentationfrancaise.fr

Livre Blanc sur les enjeux de la communication dans le supérieur

Forte de ses 18 années d’expérience et leader dans ce domaine, l’agence Noir sur Blanc, trace à travers ce livre blanc un état des
lieux international de la communication dans l’enseignement supérieur et partage une expertise pointue et une vision précise du secteur. Face au phénomène de globalisation des économies, le
monde de l’éducation ou l’économie du savoir apparaît comme un secteur stratégique qui subit de fortes mutations pour s’adapter à la concurrence exacerbée des institutions de l’enseignement
supérieur. Le livre blanc s’est imposé comme une évidence, une façon de tirer une sonnette d’alarme pour éveiller ou réveiller les consciences des acteurs de l’économie de la connaissance en les
sensibilisant aux enjeux de la communication et à leur importance. Pour ce faire, le livre blanc dresse un état des lieux de la communication des universités et des grandes écoles illustrant ses
propos de cas concrets de personnalités et d’établissements de renommée. L’agence Noir sur blanc espère ainsi susciter un débat entre les différents acteurs de la communication sur leurs métiers
et ses perspectives et ouvrir le champ des possibles.

Comme l’évoque Brigitte Fournier – Directrice de Noir sur Blanc« les établissements d’enseignement supérieur doivent communiquer dans un contexte mondial de plus en plus compétitif et professionnaliser leur démarche. Les Institutions doivent être attentives à leur marque et la
faire vivre, penser des objectifs à longs termes, valorisation de l’image, ouverture sur le monde, proximité des publics et stratégies pour y aboutir. Ils doivent aujourd’hui communiquer sur ce qu’ils font, ce qu’ils sont vraiment et s’impliquer dans le débat sociétal. L’heure n’est plus à communiquer sur la plus value sur le salaire qu’apportera le diplôme. Réaliser un livre blanc qui décrypte et analyse la communication dans leur secteur devenait essentiel pour donner des pistes d’amélioration et partager l’expérience des leaders. En France, les Business School sont plus
actives et attentives à leur communication, laissant pour l’instant derrière elles les universités et les écoles d’ingénieurs. Ce livre blanc veut casser les a priori et les idées reçues, éclairer les établissements de l’enseignement supérieur et de la recherche sur le potentiel de la communication. Gagner le terrain de la communication, c’est gagner le terrain de la compétitivité. »

L’enseignement supérieur d’une ère à l’autre

L’enseignement supérieur en devenant une force économique et stratégique de la société (économie de la connaissance) est entré dans l’ère de la concurrence :
la qualité de l’enseignement et de la recherche dispensés par un établissement ne suffit plus à attirer les étudiants, enseignants, chercheurs et investisseurs et à rester en tête des classements
internationaux. C’est pourquoi, les établissements doivent disposer de systèmes de communication « à la hauteur » de leurs nouvelles fonctions et s’inscrire dans une démarche de
professionnalisation à l’image des entreprises traditionnelles. Pour se faire l’enseignement supérieur doit s’ouvrir à l’ère de la communication globale. Globale car elle s’étend à l’ensemble du
monde, se sert de la multitude d’outils d’informations et de communication : internet, le web 2.0 (blogs, réseaux sociaux, wikis, flux RSS…), les outils multimédia… qui s’offrent à elle,
et s’ouvre à tous les acteurs qui font l’enseignement en leur donnant la parole.

Pour monter une stratégie de communication qui reflète au plus juste l’image que veut donner un établissement et lui permettre d’émerger, il doit s’interroger sur son image, ses points forts et ses faiblesses, ses marges de progrès, ses facteurs de risques et être prêt à s’investir aussi bien sur le plan financier qu’humain tout en sachant que cette démarche s’inscrira sur le long terme et nécessite un pilotage sophistiqué.

Projet de coopération France-Québec en matière de recrutement

 

Madame Yolanda James, Ministre de l’Immigration et des Communautés culturelles du Québec
et Monsieur Laurent WAUQUIEZ, Secrétaire d’Etat chargé de l’Emploi, auprès du Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi signeront
le mardi 15 septembre 2009 un accord de partenariats novateurs pour faciliter la mise en contact entre les candidats français à
l’émigration vers le Québec et les employeurs québécois souhaitant les recruter.

Dans le cadre de cette volonté commune et afin d’élargir les collaborations déjà
existantes, Yolanda JAMES et Laurent WAUQUIEZ désigneront des représentants de leur ministère respectif chargés d’entamer des échanges visant à conclure une entente de partenariat entre le Québec
et le réseau spécialisé de Pôle Emploi International.

Cette
collaboration permettra aux employeurs du Québec qui souhaitent recruter à l’étranger de pouvoir, par l’intermédiaire de Pôle Emploi International, proposer leurs offres d’emplois aux candidats de
nationalité française, aux ressortissants de l’espace économique européen et aux étrangers en situation régulière en France.

L’IGR-IAE de Rennes signe un partenariat avec l’ENSAI

L’IGR-IAE de Rennes et l’ENSAI (École Nationale de la Statistique et de l’Analyse de l’Information) ont signé, pour la rentrée 2009, un accord
de double diplômation, assorti d’une convention d’échanges de cours. Par cette convention, l’IGR-IAE de Rennes et l’Ensai initient des relations de
partenariat visant à favoriser les échanges de compétences et les liens scientifiques entre enseignants-chercheurs.

 

Une double diplômation IAE / ENSAI

Dans ce cadre, l’IGR-IAE de Rennes accueillera, à partir de la rentrée 2009, des élèves ingénieurs – statisticiens de l’ENSAI
intéressés par la Finance et une formation par la Recherche. Sélectionnés parmi les étudiants de troisième année de la filière « Gestion des Risques et Ingénierie Financière », les
étudiants de l’ENSAI intègreront le Master Recherche en Finance de l’IGR-IAE de Rennes dont le programme, intitulé Advanced Studies & Research in Finance, est développé en langue
anglaise.

A l’issue du programme, les étudiants de l’ENSAI obtiendront à la fois le diplôme de l’ENSAI ET le Master
« Finance » de l’Université de Rennes 1, spécialité Advanced Studies & Research in Finance. A l’instar des autres diplômés du programme, les étudiants pourront se tourner
vers les carrières de chercheurs dans les universités ou de chargés d’études dans les services financiers (banques et assurances).

 

Des échanges de cours complètent ce partenariat.

La convention fixe aussi les conditions d’un échange de cours de niveau Master première année / deuxième année d’école. Le
principe est ici de proposer aux étudiants de l’IGR IAE de Rennes un cours en Statistique assuré par un enseignant de l’ENSAI et de proposer aux étudiants de l’ENSAI, un cours en Finance assuré
par un enseignant de l’IGR.

Cet accord vient s’ajouter aux nombreux accords de double diplômation, signés avec d’autres Grandes Écoles de Bretagne et
conforter la place de l’IGR – IAE de Rennes comme partenaire régional dans les Sciences de Gestion (la Finance en l’occurrence). Il assoit également la récente décision de la Conférence des
Directeurs des Grandes Ecoles de Bretagne d’accueillir l’IGR – IAE de Rennes comme membre associé.

 

34% des français font face à des conflits générationnels au travail

Les préjugés générationnels s’invitent sur les lieux de travail. Parfois
source de conflits, les écarts d’âge peuvent se révéler constructifs et même accroitre la productivité d’une entreprise comme le montre la nouvelle étude internationale de Kelly Services, un des
leaders mondiaux du recrutement et de l’emploi.

 

Seniors contre Juniors ou Entente
intergénérationnelle ?

 

Il est reconnu que les différences relatives à l’âge des personnes ont un impact sur la manière dont les gens se
comportent au travail. Ainsi, 64% des français interrogés déclarent adapter leur manière de communiquer en fonction de l’âge de leurs
collègues.

Plus d’un tiers des répondants (34%) affirment avoir dû faire face à des conflits intergénérationnels sur le lieu de travail. Des données qui semblent varier selon
le domaine d’activité. Si 45 % des personnes sondées travaillant dans l’éducation déclarent avoir dû faire face à ce genre de problème ils sont seulement 28 % dans les milieux commerciaux.

Marc Riou, Directeur Général de Kelly Services France, convient que « les différences entre générations peuvent parfois créer des mésententes entre salariés », mais ajoute que « bien gérées, ces différences constituent une richesse supplémentaire. »

62% des salariés français ayant répondu à l’enquête estiment ainsi que la “cohabitation” entre différentes
générations représente une source de productivité pour l’entreprise. 9% d’entre eux, soulignent au contraire les effets négatifs et 21% n’y voient aucune incidence.

Un jugement qui diffère selon les générations. Si les « baby boomers » sont convaincus des bienfaits de cette cohabitation à 72 %, les « juniors »
(salariés de moins de 30 ans) témoignent d’un certain pessimisme sur les bénéfices de celle-ci en terme de productivité.

 

Eclairages culturels sur les différences
générationnelles

Si la France offre un schéma particulier des relations intergénérationnelles entre salariés, celui-ci diffère
totalement d’un pays à l’autre.

Les conflits de génération sont fréquents pour les Français (34 %), pour les Portugais (26 %) ou les Néerlandais (30
%) mais ils le sont encore davantage pour d’autres nationalités comme les Turcs qui déclarent à 66 % être confrontés à ce problème.

Les différences d’âge marquent également certaines cultures plus que d’autres. Seuls

64 % des salariés français interrogés avouent adapter leur style de communication selon l’âge de leur interlocuteur.
58 % des Danois et 59 % des Hongrois effectuent un constat similaire contre 92 % des Mexicains ou 90 % des Thaïlandais.

Ces différences purement culturelles influent aussi sur la conception de la reconnaissance salariale dans le milieu
professionnel.

En France, les « juniors » affichent une nette préférence pour des retributions financières quand le choix
des « seniors » se porte sur des avantages plus « concrets », comme du temps libre ou des opportunités de formation (29 % des baby boomers, 18 % des représentants de la
génération 18-29 ans).

De manière générale, 64 % des Français optent pour des récompenses financières, dites « traditionnelles », comme 70 % des Malaisiens quand ils ne sont que
33 % en Suède.

Communiquer et manager selon les âges

Pour ce qui touche à la communication dans l’entreprise, l’étude réalisée montre que, toutes générations confondues,
les français privilégient les échanges en face à face avec leurs collègues plutôt que l’écrit ou l’email. Cependant, la jeune génération semble plus encline à utiliser la messagerie
instantanée.

 

Méthodologie de l’étude réalisée par Internet de manière
aléatoire.

L’enquête Kelly Global Workforce Index a recueilli les opinions de 100 000 personnes dans 34 pays dont presque 4000
en France.

 

www.kellyservices.fr

Des PME high-tech pour parrainer les promotions

Les PME high-tech ne connaissent pas la crise. Toujours en forte croissance, ces « gazelles » s’intéressent de près au vivier des
jeunes diplômés des grandes écoles qui de leur côté apprécient les opportunités de carrières qu’elles proposent. Ces entreprises dynamiques sont idéales pour développer des compétences
transversales et occuper rapidement des responsabilités. Elles constituent également de bons tremplins vers la création d’entreprise. Attentives à cette évolution du marché, Télécom Ecole de
Management et Télécom SudParis ont ainsi choisi quatre PME high-tech spécialisées dans les TIC pour parrainer leurs promotions 2009 – 2012.

 

4 « gazelles » spécialisées dans les TIC pour parrainer les étudiants de Télécom Ecole de Management et
Télécom SudParis

– Imakys Communications développe des solutions d’infogérance pour la communication des entreprises et des administrations. Créée en 1994, la
société compte 50 collaborateurs.

– Setec Telecom est un cabinet de conseil dans le domaine des télécommunications. La société développe des solutions spécifiques pour les
entreprises, les infrastructures, la Défense et les collectivités territoriales. Créée en 2000, elle fait partie du groupe Setec.

– Silicom est une société de conseil en technologie et qui édite des logiciels depuis 1983. La société emploie plus de 200 collaborateurs sur
plusieurs sites en France.

– Transatel apporte des solutions clé en main aux MVNO (Mobile Virtual Network Operator), des opérateurs de téléphonie mobile qui ne possèdent
pas de spectre de fréquence propre ni d’infrastructure de télécommunications. Fondée en 2000, Transatel emploie 80 personnes.

 

Les parrains, de vraies mères pour les étudiants !

Les entreprises qui parrainent les promotions entretiennent des relations privilégiées avec les étudiants tout au long des 3 ans du cursus.
Elles leur confient des missions professionnelles, leur transmettent en primeur les offres de stages et d’emplois, elles interviennent dans les enseignements, offrent aux étudiants l’accès à
leurs ressources, financent leurs projets, etc. Enfin, les parrains préparent les étudiants au marché de l’emploi via des séances de coaching.

 

Des étudiants de plus en plus intéressés par les PME

En juin 2009, le cabinet d’étude OpinionWay réalisait une enquête auprès d’étudiants,
d’Universités, Grandes Ecoles et IUT sur leur perception des PME, de l’innovation, et leur volonté entrepreneuriale :

– 82 % des étudiants estiment que le secteur des PME est porteur pour un jeune diplômé.

– 81% des étudiants pensent qu’elles accordent une meilleure reconnaissance au travail pour leurs salariés.

– 85% pensent que les PME accordent à leur personnel une plus grande autonomie.

– 64% des étudiants interrogés trouvent les PME et TPE plus innovantes que les grandes entreprises.

– Au final, 94% d’entre eux pensent que travailler dans une PME constitue une bonne expérience.

 

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