Archives de catégorie : Actualité de la gestion

Guillaume Cairou, Président du Club des Entrepreneurs, s’exprime sur la situation fiscale en France

Pour Guillaume Cairou : « Les impôts à la fête, les entrepreneurs régalent… pourquoi faire simple et efficace est-il si compliqué
? Trop mal d’impôt a tué l’impôt, l’emploi et l’entreprise. Ayons le courage de se réformer sans attendre.

Faisons le savoir sans détour. Les 18 500 entrepreneurs que j’ai l’honneur de représenter sont exaspérés par les
projets gouvernementaux successifs qui, malgré leur mobilisation, continuent de les prendre pour cible et de ne pas entendre leurs préoccupations pourtant légitimes. Nous ne faisons pas de
politique. Certains d’entre nous ont voté pour François Hollande et pour sa majorité. Nous ne céderons jamais à la facilité du dogmatisme mais nous estimons qu’il est temps de faire savoir
qu’alors que nous avions le sentiment d’être la cible du gouvernement, nous avons maintenant le sentiment d’être devenus les laissés-pour-compte de ses réformes.

Sans remettre en cause les politiques publiques actuelles ni stigmatiser la dépense publique nous affirmons que la
France ne pourra pas surmonter les enjeux économiques majeurs qui pèsent sur elle avec une stratégie fiscale aussi errante.

Voilà donc comment selon notre expérience issue du terrain la France peut réussir à l’heure où la prophétie de
Michel Audiard semble malheureusement se réaliser… ‘le jour est proche où nous n’aurons plus que l’impôt sur les os’ affirmait-il à cet égard.

Alors que la crise que nous traversons exige des efforts considérables et partagés, l’idée d’un impôt à taux
unique (c’est-à-dire d’un taux identique pour tous les contribuables français), accompagnée d’un régime de TVA simplifié (un taux unique pour tous les secteurs) paraît plus que jamais
incontournables. Cela permettrait d’éviter d’étouffer nos entreprises et de réduire tant les fraudes à la TVA que les cas de grands groupes qui déploient chaque jour davantage d’ingéniosité pour
ne payer qu’un très faible taux d’impôt par rapport au chiffre d’affaires réalisé.

Or, en diminuant les impôts de toute nature, le travail dissimulé recule. En stabilisant l’impôt et en le
simplifiant, c’est-à-dire en supprimer les milliers de niches fiscales, on encourage l’investissement et la fraude recule car chaque niche est l’occasion d’une fraude.

Entrepreneurs, il nous semble que des réformes fondamentales simples ne doivent plus se perdre dans des compromis
qui n’aboutissent pas à de véritables réformes structurelles dont manque pourtant cruellement notre pays et que la situation appelle plus que jamais.

Entrepreneurs, nous avons le sentiment que la France a trop longtemps eu les yeux plus gros que le ventre. Elle ne
peut plus se permettre de faire fuir les talents ou pire, de les étouffer quand ils ont choisi courageusement de rester en ne se demandant pas ce que leur pays peut faire pour eux mais en
pressentant ce qu’ils pouvaient faire pour lui.

Nous entrepreneurs considérons que la France ne peut plus ne pas avoir le courage de débattre enfin de ses enjeux
fiscaux car elle doit réussir à les surmonter. Cela appelle un préalable : la suppression des innombrables exonérations et autres niches fiscales qui, d’un point de vue seulement fiscal, font de
la France l’un des pays les plus incohérents, injuste et inefficace.

Au fil de nos rencontres sur le terrain et de nos déplacements en région, nous entrepreneurs nous rendons compte à
quel point nos dirigeants se leurrent encore trop sur la réalité de la situation entrepreneuriale française, européenne et plus largement mondiale. Sur le terrain de la compétition économique
comme sur celui de la bataille entrepreneuriale, nous constatons nous que la concurrence fiscale est devenue une nouvelle arme de la compétitivité dont la France se prive de façon injustifiable.
C’est avant tout pour cette raison que la bataille est quotidiennement plus difficile pour nos entreprises à mener.

Nous, entrepreneurs, avons trop souvent à faire face à une complexité administrative insupportable comme à une
instabilité normative ingérable.

Un impôt à taux unique (discutons d’ailleurs librement mais ouvertement de son niveau) rapporterait largement
autant à l’administration française que le système fiscal actuel sans induire la moindre pénalisation des ménages les plus pauvres dont nous avons bien conscience qu’il faut les protéger en ces
temps difficiles. Bref, moins d’impôts mais mieux d’impôts peuvent apporter autant de recettes que trop mais mal d’impôts.

Tout prouve aujourd’hui que les bénéfices réputés sociaux de taux multiples n’existent pas. En revanche, les
chiffres de la situation économique actuelle démontrent à eux seuls sans ambiguïté aucune que le système actuel pèse lourdement et de façon néfaste pour la croissance économique de notre
pays.

Notre pays doit retrouver la croissance. Ce chemin ne se retrouvera qu’en obtenant un avantage comparatif dans la
compétition économique mondiale. L’impôt à taux unique est un outil précieux pour atteindre cet objectif.

J’entends déjà les polémistes de la première heure crier au scandale et à l’injustice. Or, cette taxe ne créerait
pas le moindre début de commencement d’inégalité devant l’impôt puisque en restant un instrument de redistribution de la richesse puisque les riches contribuent davantage que les pauvres à la
sphère publique.

L’essentiel n’est de toute façon pas de savoir qui paie l’impôt mais de combien l’État dispose d’argent pour
accomplir ses missions et aujourd’hui l’État manque cruellement de moyens à l’heure pourtant où ces moyens n’ont jamais été aussi nécessaires pour surmonter la crise et redresser l’économie
nationale incontestablement mise à mal par les turbulences que des années de conservatisme ne la rendait pas à même de surmonter.

L’impôt doit être moins dissuasif parce que si trop d’impôt a tué l’efficacité de l’impôt dans notre pays, il a
avant tout tué l’emploi. Vous nous y attendez, nous y sommes. A ce plus vieil adage que connaît la science économique. Pourtant, ni libéraux ni idéologues mais pragmatiques et réalistes, nous
entrepreneurs, avons une conviction assumée : l’État doit être fort. Il sera d’autant plus fort qu’il aura retrouvé les moyens d’agir. Cela passe par une réforme fiscale d’ampleur. Comment ne
rien faire alors que le système fiscal actuel est tel qu’il décourage l’activité et provoque une baisse de la base taxable donc une baisse en valeur absolue de l’impôt encaissé par l’État.
Pourquoi s’obstiner à ignorer cette réalité ?

Nos dirigeants ne peuvent plus refuser de s’adapter à cette réalité. Ne pas réformer le système fiscal actuel
c’est continuer de voir les contribuables et les entreprises déménager ailleurs, et donc l’assiette fiscale fondre comme neige au soleil, comme l’indique la baisse constante du nombre de
contribuables solvables en France. Dès lors, il faut mieux d’impôt pour rapatrier les contribuables et augmenter le produit général des impôts. C’est dès lors bien d’une réforme gagnante-gagnante
dont nous vous parlons.

Enfin, posons nous la seule question qui vaille. Mis à part à rémunérer des consultants fiscaux, à quoi est encore
utile notre système fiscal ? Plus personne ne peut sérieusement affirmer en maîtriser ni le sens ni l’objectif et encore moins les subtilités. Comment dès lors attendre une minute de plus pour le
réformer ? Plus un Français ne sait ce qu’ils paient ni à qui ils le paient. Plus une entreprise n’arrive à prévoir ce qu’elle va devoir. Veut-on que nos entreprises, qui sont les seules à créer
de l’emploi, se concentrent sur leur optimisation fiscale plutôt qu’à la création d’un large élan vers l’innovation technologique, la création d’entreprises et à l’amélioration globale du niveau
de vie de notre société ?

Alors, oui, aucune solution n’est idéale et nous avons la modestie et la sincérité de reconnaître que nous ne
possédons ni la vérité révélée ni la réforme parfaite mais nous constatons que la politique fiscale française arrive à un tournant de son histoire, nous ne voulons plus que notre quotidien
entrepreneurial se résume au constat du coût de l’irresponsabilité politique pour ne pas dire d’une certaine lâcheté face à la réforme même consensuelle et incontestablement rendue
indispensable.

Rendons à notre beau pays qui nous a tant donné et à qui nous devons tant, la lumière fiscale qu’il
mérite. »

Guillaume Cairou est :
Président du Club des Entrepreneurs
Président de la Fédération Européenne du Portage
Salarial,
PDG du Groupe Didaxis, leader du portage salarial en France,
Mentor à la CCIP au sein de l’Institut du Mentorat Entrepreneurial de Paris (IME)
Membre de
CroissancePlus,
Auteur du livre « Créer son entreprise » aux éditions Jacob-Duvernet. http://www.clubdesentrepreneurs.org

« A la tienne Mamie et bonnes fêtes » par Yves Soulabail

Pour en savoir plus sur l’enseigne :
http://www.carrefouruncombatpourlaliberte.fr

Nous avions évoqué les produits Carrefour Discount dans un précédent papier du blog. Nous relations alors le jeu que des publicitaires avaient décidé d’entreprendre, pour la société Ferrero, au dépend d’une certaine Pierrette que l’on reconnaissait – sortie tout droit d’une publicité Carrefour…

Cette fois, afin de brouiller encore plus l’image de l’enseigne, la toile en pastiche l’opération publicitaire – sans signature officielle cette fois.

Lorsque Pierrette se met en 3 pour satisfaire toute une famille pour les fêtes… Merci Pierrette.

Criteo : le “roi” mis à nu

Voici une tribune libre d’Edgar Baudin, Partner chez Makazi Group, que nous avons reçu et publions.

A l’heure où Criteo annonce son entrée en bourse le 30 octobre
2013, les annonceurs sont de plus en plus préoccupés par les questions liées à la propriété des données personnelles de leurs clients ou prospects et au contrôle de leur exploitation. Cette
introduction soulève de nombreuses questions. Le « roi » va-t-il être mis à nu ?

Cette IPO couronne la réussite de cette entreprise pionnière du retargeting publicitaire, affichant une croissance
exceptionnelle depuis plusieurs années et véritable fleuron du savoir-faire technologique français dans ce domaine. Au-delà de la réussite de Criteo, certains éléments nous paraissent importants à souligner, notamment sur l’avenir de la publicité digitale. A notre sens, la question n’est plus de savoir aujourd’hui s’il est important ou non pour une entreprise de trouver de nouveaux leviers publicitaires. L’enjeu est d’instaurer une démarche maîtrisée et vertueuse de marketing en ligne, tandis que les questions relatives à la protection des données personnelles et l’augmentation de la pression publicitaire alimentent des débats parfois houleux.

Criteo a sans conteste été un des pionniers du « Data Marketing » dans le monde. Il semble aujourd’hui que son modèle se heurte à d’importantes questions – telles que la rentabilité effective pour les annonceurs, la propriété des données, la transparence et l’évolution des réglementations liées à l’exploitation de données personnelles – et montre ses limites, notamment sur le court-termisme de ces opérations.

De plus en plus d’annonceurs se posent aujourd’hui la question de la rentabilité de tels services, alors que la part du marketing digital est de plus en plus importante dans leur budget. Lors de cette introduction en bourse, Criteo devra dévoiler son taux de marge brute (évalué à 50% selon les documents officiels d’entrée en bourse). Il y a fort à parier que de nombreux annonceurs clients de Criteo s’interrogeront sur la rentabilité de leurs opérations.

En outre, les annonceurs prennent conscience de la difficulté de retracer précisément le chemin menant leur client à l’acte d’achat. Aujourd’hui, une pratique de marché, bien qu’imparfaite, s’est généralisée : on attribue la vente au dernier opérateur publicitaire qui est intervenu auprès du consommateur. En l’occurrence, très souvent : Criteo ou Google Adwords. Mais nombreux sont les annonceurs qui remettent en cause cet usage et s’interrogent sur son impact sur leurs chiffres de vente réels, à défaut d’information tangible à ce sujet. Au final, c’est le modèle d’affaires de Criteo qui est en jeu.

Au-delà de Criteo, l’ensemble des acteurs du marketing digital doit réfléchir aujourd’hui à une nouvelle philosophie. En premier lieu, la pression publicitaire accrue est de plus en plus mal perçue par les consommateurs. Les annonceurs ne pourront longtemps éluder cette question. Si les entreprises sont conscientes que l’exploitation de données personnelles forme un levier majeur d’amélioration de leurs performances, elles savent également qu’une mauvaise utilisation de ces données peut nuire à leur réputationet
peut donc avoir un impact négatif sur leur valorisation financière.

D’autre part, dans un contexte de débat très vif sur l’exploitation des données personnelles (soulevées notamment par l’affaire Prism), les autorités européennes ont manifesté leur volonté de renforcer l’arsenal législatif – notamment les réglementations sur l’utilisation des « cookies », à la base des techniques employées par l’industrie de la publicité en ligne. Si les grandes entreprises comme Google, Microsoft, Facebook ou Twitter sont au centre de ce débat, on n’imagine pas des acteurs du marketing digitalmoins connus du grand public s’en affranchir.

Pour toutes ces raisons, les annonceurs souhaitent reprendre le contrôlede leur marketing digital basé sur les données personnelles, afin d’établir une relation plus saine et durable avec leurs clients qui rejettent en masse le « matraquage » publicitaire. Face à la multiplication des canaux de promotion (réseaux sociaux, liens commerciaux, e-mailing, affiliation, retargeting, mobilité, vidéo, etc.), ces annonceurs prennent conscience de la nécessité d’orchestrer et de centraliser leurs actions de communication et leurs données. Avec la maturité des nouvelles technologies Internet et la montée en puissance du Big Data, de nouveaux modèles de communication sont amenés à être développés. Ils présentent comme caractéristiques principales : plus de transparence sur l’utilisation et la provenance des données, et plus de pouvoir d’action sur les données. Cette reprise en mainpar les annonceurs annonce l’avènement de solutions technologiques plus souples leur permettant de stocker et d’enrichir leurs données clients en toute sécurité tout en se conformant aux réglementations en vigueur. Et surtout en gardant la maîtrise totale de ces données à la valeur inestimable.

Aujourd’hui, le marketing digital est à la croisée des chemins. Deux modèles de développement s’affrontent et l’un nous semble déjà appartenir au passé. Les marchés ne sont jamais figés et la capacité des entreprises à se réinventer face aux nouveaux enjeux que nous avons décrits conditionnera leur réussite de demain.

Edgar Baudin

Edgar Baudin
Partner chez Makazi
Group (photo disponible sur demande)

Coup de Gueule du Président de la FEPS contre Michel SAPIN

Invité de LCI Soir, Guillaume Cairou, Président de la Fédération Européenne du Portage Salarial a poussé un coup de gueule contre le Ministre Michel Sapin, Ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social, sur l’avenir du dispositif du portage salarial et des nouvelles formes d’emploi menacées en France.

Les différentes mesures impactant le secteur du portage salarial et en particulier l’exclusion des non-cadres qui trouvaient là un moyen de survivre à un marché du travail trop rigide pour permettre leur intégration, sont inadaptées et particulièrement injustes.

Les 60.000 portés français sont directement impactés par ces dispositions particulièrement discriminantes. Elles rompent gravement l’équilibre nécessaire à la sérénité entrepreneuriale préfigurant la croissance de demain dont notre pays manque cruellement.

« Je veux dire une chose à Michel Sapin. Pourquoi, Monsieur le Ministre ne vous saisissez-vous pas enfin de la question de l’extension du portage salarial afin de l’ouvrir définitivement à tous les Français ? Il y a urgence. Je me demande s’il n’y a pas une contradiction entre la volonté de résorber le chômage d’un côté, et réduire de l’autre le portage salarial qui permet de sortir les plus précaires de la spirale infernale qu’est le chômage ! » s’est ainsi demandé Guillaume Cairou.

logo-FEPS.png

Laurence Rivat, associée Deloitte, est nommée à l’IFRIC

Laurence Rivat, 42 ans, associée de
Deloitte & Associés, a été nommée membre de l’IFRIC (International Financial Reporting Interpretations Committee) à compter du 1er juillet 2009. L’IFRIC composé de douze membres
est le comité d’interprétation des normes comptables internationales (les IFRS), qui sont établies par l’IASB (International Accounting Standards Board).

Commissaire
aux comptes et diplômée de l’Ecole Supérieure de Commerce de Grenoble, Laurence Rivat a rejoint Deloitte & Associés en 1988 où elle a commencé sa carrière dans l’audit, en France et aux
Etats-Unis. De 1995 à 1998, Laurence Rivat a travaillé à Londres à l’IASC (l’ex-normalisateur comptable international, remplacé par l’IASB en 2001), où elle a participé à la rédaction de normes
comptables internationales. Depuis son retour chez Deloitte & Associés en 1998, elle assure, en tant qu’associée,  la responsabilité de l’un des sept centres d’excellence mondiaux sur
les IFRS, localisé à Paris.

Michel YAHIEL élu Président de l’ANDRH

Le nouveau Conseil d’Administration de l’ANDRH réuni à Paris le 27 juin dernier, a élu Michel YAHIEL, DGRH de la Ville de Paris, nouveau Président de l’ANDRH, en
remplacement de Charlotte DUDA, par 52 voix contre 25 à Alain MAURIES, Vice-président Europe des Relations sociales de Coca Cola.

 

Le nouveau bureau national est composé de :

– Brigitte DUMONT, DRH d’Orange, Vice-présidente Exécutive,

– Catherine GINER, Directrice du développement social de Vinci, Trésorière,

– Pascal BERNARD, DRH d’Eau de Paris, Vice-président,

– Jean Christophe SCIBERRAS, DRH France/DRS Europe de Rhodia, Vice-président.

 

Un Comité directeur d’une quinzaine de membres sera constitué avant le 14 juillet.

 

L’ANDRH est l’Association Nationale des DRH. Elle regroupe près de 5000 membres répartis dans 80 groupes locaux sur
tout le territoire. Fondée en 1947, sa vocation est de :

 

– échanger les bonnes pratiques et développer le professionnalisme de ses adhérent-e-s,

– promouvoir la contribution de la fonction RH à l’amélioration de la performance des organisations privées et
publiques,

– représenter les DRH auprès des pouvoirs publics, des instances internationales, des partenaires sociaux et des
media sur tous les sujets qui concernent les pratiques professionnelles de ses adhérent-e-s.

 

www.andrh.fr

Thomas Chaudron, nouveau président de la CCI Essonne

Thomas Chaudron, 37 ans, président du Medef Essonne, vient d’être élu président de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de l’Essonne.

Thomas-Chaudron.jpg

Cet entrepreneur engagé assure ainsi la transition avant la prochaine élection prévue en début d’année prochaine, suite à la démission.

Président du Medef Essonne après avoir été, de 2007 à 2009,
président national du Centre des jeunes dirigeants, Thomas Chaudron est également l’auteur d’un rapport pour le ministre du Travail intitulé « Les tiers employeurs ou comment conjuguer
compétitivité et responsabilité dans la France du XXIe siècle ».Il entend « faire émerger un nouveau projet avant la fin de l’année ».

On notera son implication pour la création de valeur liée aux individus et moins aux marchés financiers, comme il l’indiquait sur BFM Radio.

Didier Desnus devient premier vice-président et
Max Peuvrier, expert-comptable, qui reprendra les rênes de
la destinée de laFaculté des Métiers.

Composition du nouveau Bureau

Président : Thomas Chaudron – (catégorie Industrie 0 à 49 salariés)

1er Vice-président : Didier Desnus – (catégorie Commerce – de 10 salariés)

Vice-président Commerce : Patrick Rakotoson – (catégorie Commerce + de 10 salariés)

Vice-président Industrie : Corinne Loigerot – (catégorie Industrie 0 à 49 salariés)

Vice-président Services : Philippe Lavialle – (catégorie Services – de 10 salariés)

Trésorier : Patrice Cousin – (catégorie Services + de 10 salariés)

Trésorier adjoint : Joseph Nouvellon – (catégorie Services – de 10 salariés)

Secrétaire : Bernard Toulouse – (catégorie Industrie 0 à 49 salariés)

Secrétaire adjoint : Estela de Gouveia – (catégorie Services – de 10 salariés)

Nouveaux membres de la Halde

Jeannette
Bougrab
est nommée présidente de la HALDE par le Président
de la République, par décret du 16 avril 2010.

 

Ce décret porte également nomination de :

 

  • Par le Président de la
    République
     : Eric Molinié, Conseiller Affaires Economiques et Handicap auprès du Président de EDF, ancien Président de l’Association française contre les
    myopathies ;
  • Par le Président du
    Sénat
     :

    • Cécile
      Petit,
      Premier avocat général à la Cour de cassation,
      ancienne Déléguée interministérielle à la sécurité routière ;
    • Mansour
      Zoberi,
      Directeur de la promotion de la diversité et
      de la solidarité du groupe Casino ;
  • Par le Président de
    l’Assemblée nationale
     :

    • Yazid
      Chir,
      Président de la société Neocles, du Medef 93
      Ouest et de l’association « Nos quartiers ont des Talents » ;
    • Maryvonne
      Lyazid
      , Directrice adjointe de la Fondation Caisses
      d’Epargne pour la Solidarité, Co-directrice du Master « Gestion et politiques du handicap » à Sciences Po Paris.

Les membres dont le mandat se poursuit, sont :

  • Catherine
    Chouard,
    Présidente de Catherine Chouard Conseil, ex-DRH
    Groupe Elior, GrandVision, DHL International ;
  • Jean-Yves
    Monfort
    , Conseiller à la Cour de cassation ;
  • Marie-France
    Picart
    , Directrice associée de Prodiovisuel
    international, experte conseil en communication et médias, ancienne Grande Maîtresse de la Grande Loge Féminine de France ;
  • Olivier
    Rousselle
    , Conseiller d’Etat ;


Adolphe Steg
,
Professeur de médecine, chirurgien urologue, membre du Conseil économique, social et environnemental

Pierre BRAJEUX élu Président du Medef Hauts-de-Seine

Lors du conseil d’administration du Medef Hauts-de-Seine qui s’est tenu mercredi 15 janvier 2014, Pierre BRAJEUX, Président Directeur Général
de TORANN‐FRANCE, a été élu Président du Medef Hauts-de-Seine, succédant à Agnès LO JACOMO, élue Présidente du Medef Ile-de-France.

Pierre BRAJEUX a créé en 1987 TORANN‐FRANCE, société de sécurité privée qui compte aujourd’hui plus de 1 200 collaborateurs, dont le
siège est situé à La Garenne-Colombes. 

Impliqué depuis de nombreuses années dans la défense et la représentation des entreprises, il appartient au
conseil d’administration du Medef Hauts‐de‐Seine et de Métra 92.

Président de USP – Formation, il préside également le Cercle des Dirigeants Propriétaires de Sécurité
(CDPS).

Colonel de réserve (RC) de la Gendarmerie Nationale, il s’engage fortement dans la réflexion sur la sécurité
globale à travers la participation à différents groupes de travail publics et privés.
Auditeur de la 17e session nationale de l’INHES, il intervient aussi au sein de différents programmes de formation de l’INHESJ (Institut National des Hautes Etudes de la Sécurité et de la
Justice), de l’Université Paris‐ Descartes et de l’E.O.G.N. (Ecole des Officiers de la Gendarmerie Nationale).

Pierre Brajeux est diplômé de Sciences‐Po (Institut d’Etudes Politiques de Paris, section économique et
financière), de l’Université de Cambridge, de la Chambre de Commerce Franco‐Britannique et titulaire d’une maîtrise de droit des affaires (Université de Paris II‐Assas).

Pierre BRAJEUX a remporté l’élection en mettant en avant les priorités suivantes : Continuité des travaux
initiés par Agnès LO JACOMO, intensification de la représentativité du Medef Hauts-de-Seine, développement de la communication, relais des grands chantiers lancés par Pierre GATTAZ,
implication dans les dossiers régionaux – Métropole du Grand Paris, logement, formation – mise à l’honneur des mandataires.

Il sera aidé dans sa mission par deux Vice-Présidents :

 

Patrice PUYPEROUX, PDG de CPLC à Neuilly et Benoît SILLARD, PDG du groupe CCM BENCHMARK à Boulogne

Philippe Naszalyi élu nouveau président de la Conférence de Territoire de l’Essonne

Philippe NaszalyiPhilippe Naszalyi a été élu ce 7 novembre, Président de la Conférence de Territoire de l’Essonne de l’Agence régionale de Santé (ARS)

Il succède au Dr Marc Pulik, directeur-général de l’Hôpital de Bligny qui a intégré au siège de l’ARS, le Pole « offre de soins et médico-sociale ».

Directeur de La Revue des Sciences de Gestion (http://larsg.over-blog.com) depuis 1989, Philippe Naszalyi est Professeur des Universités associé à l’Université d’Evry-Val d’Essonne, où il dirige les formations professionnelles sanitaires et sociales et développement territorial (http://deust.hautetfort.com).

Docteur en économie, il a fait sa thèse sur la gouvernance démocratique dans une fédération de mutuelles de santé et il effectue ses recherches en ESS sur les organismes sanitaires et sociaux notamment.

Il a de nombreux engagements dans les structures du handicap et de l’aide à la personne vulnérable.

L’Agence Régionale de Santé (ARS) est la clef de voûte de l’organisation prévue par la Loi « Hôpital Patients Santé Territoires » du 21 juillet 2009 (article 118). Elle est dirigée par son directeur général, Claude Evin. L’ARS est un interlocuteur unique chargé du

pilotage du système de santé et de la mise en œuvre de la politique de santé publique dans la région.

L’ARS dispose de délégations territoriales dans chacun de ses départements. Cette organisation ancrée dans les territoires assure une action au plus près des besoins de la population.

Chaque conférence de territoire qui correspond au territoire d’un département, est composée des représentants des toutes les catégories des acteurs intervenants dans le système de santé. Ils sont répartis en 11 collèges (établissements de santé, personnes

morales gestionnaires des services et établissements sociaux et médico-sociaux, organismes œuvrant dans les domaines de la promotion de la santé et de la prévention ou en faveur de l’environnement et de la lutte contre la précarité, professionnels de santé

libéraux, centres de santé, maisons de santé, pôles de santé et réseaux de santé, établissements assurant des activités de soins à domicile, services de santé au travail, usagers, collectivités territoriales, ordre des médecins, personnalités qualifiées).

La conférence de territoire a pour principale missions :
· de faire remonter et formuler les besoins locaux de santé
· d’émettre les propositions au Directeur Général de l’ARS
· de participer à l’élaboration du Projet Régional de Santé (PRS)

La conférence de territoire contribue à mettre en cohérence les projets territoriaux sanitaires avec le projet régional de santé et les
programmes nationaux de santé publique.

Elle a également la possibilité d’établir des contrats locaux de santé avec l’ARS, les collectivités territoriales et leurs groupements.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Naszalyi

Victor Amselem et Robert Dambo deviennent Directeurs Généraux de Grant Thornton en France


Victor-Amselem.jpg
Victor Amselem,
52 ans, est
Expert-comptable et Commissaire aux comptes, Associé au sein de Grant Thornton France depuis 1991. Directeur des activités Audit à Paris, il est responsable de missions de Commissariat aux
comptes notamment auprès de sociétés cotées. 
Victor Amselem a également lancé en 2004 les activités de Business Risk Services de Grant Thornton en France, en privilégiant le volet de Conseils attendus
par les entreprises dans ce domaine.


Robert-Dambo.jpg
Robert Dambo,
52 ans, est Expert-comptable et Commissaire aux comptes. Associé au sein de Grant Thornton France depuis 1994, il a dirigé le
bureau de Roanne, puis celui de Lyon en prenant également en 2006 la direction du pôle régional Rhône-Alpes. Il dispose d’une expérience mixte, partagée entre le métier de l’audit (sociétés
cotées ou non), et les métiers duConseil (Expertise Conseil, Transaction Advisory Services, avec à titre d’exemple, la création en 2006 de l’activité TAS en région Rhône-Alpes).
Il est en outre Expert Judiciaire près la Cour d’Appel de Lyon.

La nouvelle Direction Générale, composée de Daniel Kurkdjian, Président, Victor
Amselem
et Robert Dambo, Directeurs Généraux, sera ainsi en charge de piloter le déploiement de la stratégie sur l’ensemble du territoire. Dans le cadre de leurs
nouvelles fonctions, le deuxième aura la charge de l’ensemble des activités sur le périmètre parisien ainsi que la Direction du Capital Humain ; alors que le premier, quant à lui, sera en charge
de l’ensemble des activités régionales ainsi que de la Direction du Développement. Grâce à leur complémentarité, ils animeront ensemble le déploiement des activités et des offres de services du
Groupe.

Jean-Luc Carpentier, membre du Comité de Direction, prend en main la Direction du Business Développement
pour l’ensemble de Grant Thornton en France.

Cette évolution de Gouvernance répond à une logique de continuité, les deux Directeurs Généraux exerçant depuis de
nombreuses années au sein de Grant Thornton.

Leur parfaite connaissance de l’organisation et des métiers du groupe, ainsi que leur engagement de longue date,
apporteront un dynamisme supplémentaire aux actions liées au plan de développement ambitieux que mène Grant Thornton, tant en France qu’à l’international. Grant Thornton en France déploie
aujourd’hui ses activités à travers 22 bureaux, grâce à un effectif de 1 400 collaborateurs dont 105 associés.

 

www.grant-thornton.fr


Grant-Thornton.jpg

FNEGE : Remise du Prix de la meilleure thèse de gestion

Comme chaque année, la FNEGE attribue des prix de thèses destinés à distinguer les meilleurs travaux doctoraux en gestion en langue française, en privilégiant cette année les recherches qui constituent un véritable apport pour l’entreprise.La cérémonie de remise des Prix de Thèse s’est déroulée le mardi 11 juin 2013 à 12h30, dans les locaux de la FNEGE.

Prix de la Meilleure Thèse de Gestion

– FNEGE – ADERSE : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Responsabilité Sociale de l’Entreprise a été décerné à Olivier CRETTE, pour sa thèse : « L’incidence des facteurs socioculturels dans le reporting financier et le reporting sociétal : Un essai de comparaison entre la France et l’Allemagne ».

– FNEGE – AFC : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Comptabilité a été décerné à Ludivine REDSBLOB, pour sa thèse : « Construction de l’identité professionnelle des contrôleurs de gestion dans un milieu où la performance financière est “en quête de légitimité” : le cas des armées françaises ».

– FNEGE – AIMS : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Stratégie a été décerné à Marine AGOGUE, pour sa thèse : « Modéliser l’effet des biais cognitifs sur les dynamiques industrielles ».

– FNEGE – AFM : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Marketing a été décerné à Victor DEMIAN MEJIA, pour sa thèse : « Modélisation de la recherche de variété intramarque »

– FNEGE – AFFI : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Finance a été décerné à Jean-Noël BARROT, pour sa thèse : « Essays in Empirical Financial Economics »

– FNEGE – AEI : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Entrepreneuriat et Innovation a été décerné à Anne BERTHINIER-PONCET, pour sa thèse : « Gouvernance et innovation dans les clusters à la française. Une approche par les pratiques institutionnelles »

– FNEGE – AGRH : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Ressources Humaines a été décerné à Mohamed KARIM, pour sa thèse : « L’appropriation du tachygraphe numérique par les conducteurs d’une société privée de transport public de voyageurs »

– FNEGE – AIM : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Systèmes d’Information a été décerné à Aurélie GIRARD, pour sa thèse : « L’intégration des médias sociaux dans les stratégies d’e-GRH : le cas du recrutement »

– FNEGE – ARAMOS : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Santé a été décerné à Stéphanie GENTIL, pour sa thèse : « Gérer l’évènement dans un contexte d’industrialisation des soins. Une approche par l’activité de la coordination au bloc opératoire »

– Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion Transversale a été décerné à Mathieu FLOQUET, pour sa thèse : « Entre silence et parole : Evolution de la diffusion d’information comptable et financière aux salariés et représentants de salariés de 1884 et 1982. Le cas de trois entreprises sidérurgiques françaises »

– Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion pour Publication a été décerné à Hélène PETON, pour sa thèse : « Mouvements sociaux et processus de désinstitutionnalisation. Le cas de l’amiante en France »

Le principe « silence de l’administration vaut accord » adopté à l’unanimité au Sénat

Marylise Lebranchu, Ministre de la réforme de l’Etat, de la décentralisation et de la fonction publique, se félicite de l’adoption à l’unanimité par le Sénat du projet de loi
habilitant le gouvernement à simplifier les relations entre l’administration et les citoyens par ordonnances.

Le Sénat a notamment voté l’amendement du gouvernement instaurant le principe selon lequel le « silence de
l’administration vaut accord », emblématique du « choc de simplification » souhaité par le Président de la République. Cette révolution juridique facilitera et accélérera les projets de
développement publics ou privés et améliorera la réactivité des services administratifs en charge de veiller au respect des procédures légales.

Le texte voté au Sénat prévoit, en outre, l’instauration d’un droit de saisine de l’administration par courrier
électronique et la codification de toutes les règles non contentieuses régissant les relations des citoyens avec l’administration.

Marylise Lebranchu a rappelé devant les sénateurs que « le
choc de simplification annoncé par le Président de la République le 28 mars 2013 est au cœur de l’amélioration de la compétitivité hors coût de notre pays, comme l’ensemble de la démarche de
modernisation de l’action publique. Nous avons besoin d’une action publique forte, au service du quotidien et de l’avenir des Français, sur tous les territoires. Elle sera d’autant plus forte et
efficace qu’elle sera simple et coordonnée.
»

 

Après le projet de loi habilitant le gouvernement à adopter des mesures législatives pour accélérer les projets de
construction porté par la Ministre de l’égalité des territoires et du logement, il s’agit du deuxième texte autorisant le gouvernement à procéder par ordonnances pour simplifier les normes et les
démarches administratives. L’assemblée Nationale examinera ce projet de loi à l’automne.

republique-francaise

Bien s’associer pour mieux entreprendre

Devenir son propre patron, c’est le rêve de beaucoup d’entre nous ! Et pour le concrétiser, on
envisage souvent de s’associer avec une personne de confiance : un ami, son conjoint, un ancien collègue… Certes, l’amitié est là… Mais après ? Que se passera-t-il si l’entente et la vision de
l’entreprise ne durent pas ?

Grâce à cet ouvrage, très riche en
témoignages, vous aurez toutes les clés pour partir sur de bonnes bases. Apprenez comment…

Trouver le
bon associé :
 comment tester la compatibilité entrepreneuriale avec votre potentiel associé ? Quelles sont les bonnes questions
à se poser ?

Démarrer dans
les règles de l’art :
 quels statuts (SARL, SAS…) ? Comment faire un pacte d’associés ? Quelle est la juste
rémunération ?

Ajuster la
relation avec son associé :
 préserver le vivre ensemble, apprendre la négociation raisonnée, développer son
assertivité…

Se séparer en minimisant la casse
 si les chemins de vie
divergent.

Commander 

http://www.editionsleduc.com/images/thumbnails/0000/1381/Bien_s_associer_pour_mieux_entreprendre_large.jpg?1355995103