Genèse des futurs économiques, appel à papier

La Genèse des futurs économiques est le nom d’un appel à article qui nous parvient de la part de la rédaction de la Revue Française de Socio-Économie.

Genèse des futurs économiques en question

La maîtrise du temps, autant que son accélération, figure parmi les caractéristiques de la modernité. Elle renvoie au processus de rationalisation des activités humaines, bien connu des sociologues, notamment depuis les travaux de Max Weber. Agir rationnellement dans le présent, c’est élargir le contour des temporalités de l’action et anticiper les conséquences possibles de ses actes dans différentes représentations de l’avenir. Cette volonté de maîtrise et de contrôle contribue à désacraliser le futur. Désormais, et même si bien sûr les deux cohabitent, les prédictions eschatologiques se trouvent en effet largement contestées et noyées par et dans les prévisions scientifiques, raisonnées et calculées, qui alimentent un marché du futur. Alors que les premières acceptent un découplage net entre présent et avenir, les secondes reposent justement sinon sur une linéarité du temps du moins sur un couplage logique entre plusieurs séquences temporelles.

Si une majorité des sciences humaines et sociales manipule ce lien entre passé-présent-futur avec une certaine prudence, le plus souvent soucieuse d’en rester à l’étude objective des faits observables, d’autres parmi elles ont à l’inverse valorisé cette capacité de prévision. Le premier axe de notre appel à articles porte précisément sur une approche critique des liens entre l’une de ces sciences, l’économie mainstream, et la prévision. Quelles places l’anticipation et la fabrique des avenirs économiques occupent-elles, non seulement dans l’animation de la discipline elle-même mais aussi dans les rapports que cette dernière établit avec son environnement ? Que peut-on dire de l’évolution des métrologies utilisées pour anticiper ces futurs au cours de l’histoire de la science économique ?

Parce qu’elle ne peut être bornée à ce seul périmètre disciplinaire, la genèse des futurs économiques sera également, dans un deuxième axe, considérée dans un cadre pratique, celui de l’activité économique. L’entrepreneur, le spécialiste du marketing, le citoyen, le commerçant ou encore et par exemple l’expert financier sont en effet eux-aussi amenés à élaborer des représentations de cet avenir. Il s’agit dès lors d’interroger ici la pluralité des configurations d’acteurs et d’outils susceptibles de se livrer à un tel travail – quelles que soient l’échelle de production (de la plus locale à la plus globale) et les valeurs ou ambitions qui prévalent.

Enfin, le troisième axe de l’appel est relatif à la diffusion des représentations du futur et de leur réception-acceptation par les publics. Comment et par qui sont mises en circulation et en marché (donc en concurrence) les traductions de ces avenirs ? Parmi ces traductions, lesquelles font autorité auprès des instances politiques et médiatiques ? Sur un tel marché du futur, comment expliquer la performativité de certains discours ou représentations ? Comment comprendre, historiquement, les processus de ratification politiques et sociaux dont profitent des avenirs économiques plutôt que d’autres ?

Sont donc attendus dans cet appel, des articles issus de l’ensemble des sciences sociales qui décriront et interrogeront les dispositifs de fabrique des futurs économiques.

Date limite des envois : 16 décembre 2016

Les articles d’une longueur maximale de 60 000 signes (espaces et notes de bas de page compris) doivent parvenir par voie électronique à : rf-socioeconomie@univ-lille1.fr. Ils doivent impérativement être présentés selon les normes éditoriales de la revue

(cf. consignes aux auteurs : http://rfse.univ-lille1.fr/spip.php?article9).

Secrétaire de rédaction de la Revue Française de Socio-Économie,

Frédéric Chavy – Clersé,
Faculté des sciences économiques et sociales de l’Université des sciences et technologies de Lille
bureau 205 bâtiment SH2
59 655 Villeneuve d’Ascq Cedex – France
rf-socioeconomie@univ-lille1.fr

Classement des revues de recherche en gestion

Ici et là on évoque le classement des revues de recherche en gestion. Pour donner du grain à moudre sur la question à toutes les personnes qui s’intéressent à la question, voici une étude très complète réalisée à la demande de la FNEGE qui permet notamment de revenir sur un classement des revues de gestion, notamment de notoriété des revues de recherche en gestion.

L’enquête de la FNEGE

Quel est l’impact de la recherche sur les managers ? Telle était la question que cherchait à éluder l’enquête FNEGE sur l’impact de la recherche en management. Réalisée par Michel KALIKA, Professeur à l’IAE Lyon, BSI, Sébastien LIARTE, Professeur à l’Université de Lorraine et Jean MOSCAROLA, Professeur à l’Université de Savoie.

Quels sont les auteurs et les connaissances que les managers considèrent comme utiles pour leurs pratiques ? Sont-ils informés sur la recherche en management ? Comment et qu’en pensent-ils ? Les 1557 réponses obtenues sur l’enquête FNEGE, menée en partenariat avec Sphinx Institute, permettent à présent d’appréhender la manière dont l’impact de la recherche est perçu par les managers.

Classement des revues de recherche en gestion les plus reconnues

On sein de cette étude, on retrouve le classement des revues de recherche en gestion les plus reconnues.
Peu de managers sont réellement informés sur la création de nouvelles connaissances en gestion / management, notamment les « Jeunes cadres » ayant un rôle opérationnel. Les mieux informés se trouvent parmi les « Dirigeants Consultants » et « Spécialistes fonctionnels ». Cependant, la moitié des répondants considère que la recherche en management peut leur être utile. A peine un tiers pour ceux qui ne sont pas informés ! La recherche est d’autant mieux connue et appréciée que les managers sont âgés et dans des positions de direction. Les dirigeants sont considérés par les praticiens comme des producteurs de connaissance pouvant rivaliser avec les chercheurs. Il apparaît ainsi nécessaire d’inciter la communauté des chercheurs à plus communiquer les résultats des recherches aux praticiens et pour cela de développer des outils d’évaluation de l’impact managérial des publications venant compléter leur évaluation académique.
Etude FNEGE 2016 “L’impact de la recherche en management”

top 10 revues management revues de recherche en gestion

Pour ceux qui souhaite retrouver d’autres sources de réflexion.

DRH 3.0 et nouvelle culture managériale

Le digital est omniprésent. Les entreprises doivent s’adapter aux évolutions technologiques mais également aux nouveaux modes d’organisation du travail en transformant leur culture managériale amenant au DRH 3.0 . Dans ce contexte, Deloitte et le Cercle de l’Excellence RH, publient leur étude « Le DRH au cœur de la tourmente digitale de l’entreprise » réalisée auprès d’un panel de DRH représentatif de l’ensemble des secteurs d’activité. Ce rapport analyse les conséquences de la digitalisation sur les collaborateurs, le DRH, le manager et l’apparition d’une nouvelle fonction au sein des organisations, le Chief Digital Officer (CDO).

  • La digitalisation de l’entreprise joue un impact positif sur la mobilité (97%), la productivité (87%) et la relation à l’espace et au temps de travail (84%).
  • Les missions du DRH les plus impactées par la transformation digitale sont la formation (74%), le recrutement (58%), le sourcing (50%) et l’administration du personnel (50%).
  • 76% des DRH pensent que les managers n’ont pas une bonne vision des conséquences de la transformation digitale sur leurs équipes.
  • Plus d’un tiers du panel d’entreprises interrogé a déjà recruté un CDO. Parallèlement, 1 DRH sur 2 estime qu’il est nécessaire de créer une direction de la digitalisation.

Le digital : vecteur de partage qui promeut la coopération et décloisonne l’entreprise

Les DRH interrogés notent le niveau de digitalisation de leur entreprise à 5.4/10. En outre, si près de deux tiers d’entre eux (63%) déclarent que les salariés se sentent déjà impactés par la digitalisation de l’entreprise, seulement un tiers des collaborateurs (39%) partage une vision commune de la stratégie digitale. Il y a donc un véritable décalage entre la perception de la digitalisation et la compréhension de la stratégie de transformation digitale.

Selon les DRH, la digitalisation de l’entreprise a un impact positif sur la mobilité (97%), la productivité (87%) et la relation à l’espace et au temps de travail (84%). En effet, les outils numériques permettent de partager l’information plus rapidement, d’optimiser le travail d’équipe, et rend l’organisation à la fois plus transparente et plus accessible. Le management devient donc moins pyramidal, les échanges plus horizontaux et la liberté d’entreprendre s’en trouve facilitée.

À noter son impact par contre négatif sur la charge de travail (64%) et sur l’équilibre vie professionnelle et personnelle (50%). Toutefois, les trois quarts (75%) des répondants déclarent que leurs salariés sont favorables à cette transformation. Ce sont les métiers de la communication (81%), du marketing (78%) et de l’informatique (68%) qui s’adaptent le plus vite à cette transformation digitale ; les Ressources Humaines se classent seulement à la 5e place (35%).

Les nouvelles missions du DRH 3.0

La digitalisation va faire évoluer les missions des DRH pour 94% des répondants. En effet, elle permet de supprimer les silos, de déhiérarchiser les entreprises, et de transformer la relation au travail en proposant une expérience candidat, une expérience salarié et une expérience apprenant. Les DRH considèrent que leurs missions les plus impactées par cette transformation sont la formation (74%), le recrutement (58%), le sourcing (50%) et l’administration du personnel (50%).

Par ailleurs, le digital, au-delà des outils, représente aussi pour le DRH l’occasion de faire évoluer les modalités de travail dans l’organisation et d’y impulser une nouvelle culture managériale pour 9 répondants sur 10. Le déploiement des outils digitaux (50%), la mise en place d’outils collaboratifs (31%) et l’accompagnement sur les nouveaux modes managériaux au sein de l’entreprise (29%) représentent les moyens les plus efficaces de développer cette nouvelle culture.

Cependant, si 7 DRH sur 10 pensent que c’est au DRH de prendre le leadership de la transformation digitale, près d’1 sur 2 pense qu’il n’a pas encore une bonne compréhension des enjeux d’évolution des compétences liées au digital.

La transformation digitale implique un véritable changement de modèle managérial

Pour 9 DRH sur 10, le rôle de manager est impacté par l’introduction du digital. Or, 83% d’entre eux estiment que les managers ne se sentent pas assez compétents aujourd’hui pour être porteurs de la transformation digitale et se retrouvent désarmés face à ces changements. En effet, trois quarts des DRH (76%) pensent que les managers n’ont pas une bonne vision des impacts de la transformation digitale sur leurs équipes.

Bien que le rôle de manager reste toujours le même, à savoir le pilotage de la performance et le développement de ses équipes, ses compétences vont, quant à elles, devoir évoluer pour intégrer des dimensions nouvelles. Pour assurer ce rôle nouveau, le manager devra se doter de compétences appropriées. Les DRH ont identifié la capacité à adopter une posture de facilitateur (51%), à comprendre et savoir utiliser les nouvelles technologies digitales (48%) et enfin à se positionner comme un régulateur (44%).

« Le manager doit assurer un rôle de régulateur auprès de ses équipes et savoir prendre du recul pour distinguer l’urgence de l’importance afin de ne pas perdre de vue les missions principales de ses équipes. D’une part, parce que la rapidité de circulation de l’information peut noyer les équipes car elles doivent traiter toujours plus d’informations, toujours plus vite. Cette surexposition digitale soulève le risque d’éclipser les sujets importants au profit des sujets purement urgents. D’autre part, l’utilisation des outils digitaux permet de travailler de chez soi, sans coupure réelle avec le moment habituellement dédié au travail » estime Philippe Burger, Associé responsable Capital Humain chez Deloitte.

Le tournant du digital se fera grâce à un binôme DRH/CDO

Le CDO définit et pilote la stratégie digitale d’une entreprise en collaboration étroite avec le DRH 3.0. Son rôle est à la fois d’élaborer et d’appliquer une vision stratégique pour l’entreprise (50%) et d’accompagner les managers et les équipes vers ce changement culturel (46%).

Si 1 DRH sur 2 semble mesurer l’importance de cette nouvelle fonction au sein de l’organisation, seules 39% des entreprises du panel ont recruté un CDO ou sont en cours d’en recruter un.

« Un Chief Digital Officer est un bon moyen d’anticiper les évolutions et innovations restant à venir, ainsi que d’orienter la stratégie digitale de l’organisation. Le tournant du digital doit être porté par les DRH et les CDO garants ensemble du digital et de l’humain, chacun devant apporter son expertise à l’autre. Une fois la transformation digitale finie ou en cours d’achèvement, la culture du digital se sera infusée dans l’ensemble de l’organisation et ainsi les missions du CDO seront diluées au sein de l’entreprise entre les différents départements. Il n’y aura plus d’expert du digital mais au contraire une part de digital dans chaque métier et dans chaque interaction interne et externe » conclut Edgard Added, Président Fondateur du Cercle de l’Excellence RH.

Méthodologie

À l’initiative du Cercle de l’Excellence RH, l’étude DRH 3.0 a été réalisée auprès de 103 entreprises sur une population composée à 94% de DRH parmi les membres du Cercle de l’Excellence RH. Le panel est représentatif de l’ensemble des secteurs d’activité, il est composé à 23% d’entreprises de moins de 500 salariés, à 38% d’entreprises de 500 à 5000 salariés et à 39% d’entreprises de plus de 5000 salariés.

deloitte DRH 3.0

Bertrand Urien nouveau Président de l’Association Française du Marketing 

Bertrand Urien a été élu Président de l’Association Française de Marketing, le jeudi 19 mai, par les adhérents de l’association réunis en Assemblée générale dans le cadre de leur 32e congrès annuel qui se déroule cette année à Lyon.

Qui est Bertrand Urien ?

bertrand urien afmDocteur en Sciences de Gestion de l’Université de Rennes 1, Bertrand Urien est Professeur de Marketing, agrégé des Universités, à l’IAE de Bretagne Occidentale. Directeur du laboratoire de recherche en Gestion « ICI » pendant 12 ans, il a été Vice-Président de l’Université de Bretagne Occidentale (dédié à la recherche en Sciences Humaines), avant de s’investir pleinement dans les activités de l’Association Française de Marketing.  Après avoir piloté l’organisation du congrès de l’AFM à Brest, en 2012, il a progressivement occupé les fonctions de Vice-Président Recherche, Secrétaire-Délégué général, Premier Vice-Président de cette association, avant d’en devenir le Président.

Ses recherches portent principalement sur l’impact du rapport au temps, à la mort et au vieillissement sur les comportements de consommation. Il s’intéresse actuellement à l’impact du deuil et aux pratiques de legs chez les personnes âgées.
Il a publié des articles scientifiques dans plusieurs revues de recherche telles que Recherche et Applications en Marketing, Journal of Business Research, Psychology and Marketing, Décisions Marketing, Revue Française de Gestion, Revue Sciences de Gestion, Journal of Macromarketing, Time and Society. Il est également co-auteur de deux ouvrages collectifs : “Comprendre le consommateur âgé, nouveaux enjeux et  perspectives” (en collaboration avec Denis Guiot, 2012) et « Don et pratiques caritatives », (en collaboration avec Michelle Bergadaà et Marine Le Gall-Ely, 2011).

Qu’est-ce que l’Association Française du Marketing ?

L’association française du marketing (afm), rassemble près de 700 adhérents individuels et institutionnels : entreprises et établissements d’enseignement supérieur, écoles et universités.

Sa mission consiste depuis plus de trente ans, à stimuler, diffuser et valoriser le savoir scientifique en marketing. 30 ans de recherche, rigueur, découvertes, débats, rencontres et partage entre les enseignants chercheurs, doctorants et professionnels du marketing.

Un programme d’actions dédié au savoir scientifique en marketing

Dans son mandat de deux ans, Bertrand Urien souhaite poursuivre les missions de l’afm,  déjà lancés par son prédécesseur Pierre Volle, Professeur de marketing à Dauphine (Paris), qui s’est attaché à consolider la dimension internationale de l’association : stimuler, diffuser, valoriser le savoir scientifique en marketing.

Plusieurs axes d’actions :

  • 1) l’AFM : un incubateur d’innovations marketing
    L’échange entre les chercheurs est au cœur du projet de son nouveau président. Au-delà des actions traditionnelles de l’association à pérenniser, la mise en place de communautés thématiques de recherche devrait alimenter les réflexions des chercheurs. Par exemple, un groupe d’intérêt sur le marketing de la santé devrait voir le jour pour stimuler la création de connaissances permettant de sensibiliser les citoyens sur des sujets aussi importants que la prévention de l’obésité, la lutte contre l’alcoolisme ou le tabagisme…
    Partant du constat que les innovations scientifiques se réalisent davantage à la frontière des disciplines qu’en leur sein, l’ouverture à d’autres disciplines (Histoire, Sociologie, Philosophie etc..) est également à l’ordre du jour.
  • 2) Diffuser la recherche en marketing
    Pour assurer la diffusion des recherches francophones en marketing, l’afm édite deux revues RAM (Recherche et applications en marketing) et DM (Décisions Marketing). La priorité de la nouvelle équipe sera de consolider la place de ces revues dans les classements nationaux et internationaux pour permettre la reconnaissance académique de la recherche française en marketing.
  • 3) Être davantage présent dans l’espace public
    Pour assurer la valorisation des recherches françaises en marketing auprès du grand public, l’afm se fixe comme objectif de refondre son site internet, avec davantage de contenus, visuels et témoignages, d’avoir également une présence accrue dans les médias et les réseaux sociaux et de poursuivre ses rencontres nationales et en région. Ces actions devraient permettre de faire en sorte que les résultats des travaux soient mieux connus et plus utiles pour la société au sens large. « J’aimerais également que les journalistes aient davantage l’idée de solliciter les chercheurs en marketing lorsqu’il s’agit d’avoir un regard d’expert sur des sujets de consommation en général. Ils ont une voix à faire entendre ! »

L’Assemblée Générale de l’afm (Association Française du Marketing) qui s’est tenue le 19 mai, a procédé au renouvellement partiel de son Conseil d’Administration. En voici la composition :

  • Membres élus pour 2014-2018

BECHEUR Amina, Université Paris-Est
BESSON Madeleine, Telecom EM
BREE Joël, Université de Caen
CEGARRA Jean-Jack, Université de Lyon
CHAMARD Camille, Université de Pau
CHUMPITAZ Rubens, IESEG
DARPY Denis, Université Paris-Dauphine
FOURNIER Christophe, Université de Montpellier
GALAN Jean-Philippe, Université de Toulouse
GOLLETY Mathilde, Université d’Evry
JALLAT Frédéric, ESCP Europe
LAURENT Gilles, HEC
LE NAGARD Emmanuelle, ESSEC
LEHU Jean Marc, Université Paris 1
LICHTLE Marie-Christine, Université de Montpellier
MACE Sandrine, ESCP Europe
MULHBACHER Hans, Université d’Innsbrück
PINSON Christian, INSEAD
PONCIN Ingrid, Université Catholique de Louvain
RIEUNIER Sophie, IAE Paris
TISSIER-DESBORDES Elisabeth, ESCP Europe
VEG SALA Nathalie, Université de Paris Ouest
VERNETTE Eric, Université de Toulouse 1
VOLLE Pierre, Université Paris Dauphine

  • Membres élus pour 2016-2020

BERTRANDIAS Laurent, Université Toulouse 1 Capitole
CAPELLI Sonia, Université Jean Moulin Lyon 3
FLECK Nathalie, Université du Mans
FOSSE-GOMEZ Marie-Hélène, Université de Lille 2
GAVARD-PERRET Marie-Laure, Université de Grenoble Pierre Mendès France
GOTTELAND David, Grenoble Ecole de Management
HELME-GUIZON Agnès, Université Grenoble Alpes
HERRMANN Jean-Luc, Université de Lorraine
KORCHIA Michaël, Bordeaux Ecole de Management
LLOSA Sylvie, Université Aix Marseille 3
MICHEL Géraldine, IAE Paris
NGOALA Gilles, Université de Montpellier 1
PRIM-ALLAZ Isabelle, Université Lumière Lyon 2
SABADIE William, Université Jean Moulin Lyon 3
URIEN Bertrand, Université de Bretagne Occidentale
WALLISER Bjorn, Université de Lorraine
ZOUAGHI Sondes, Université de Cergy-Pontoise

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Etude « Technologies clés 2020, préparer l’Industrie du futur »

A l’occasion du point d’étape sur la Nouvelle France Industrielle organisé le 23 mai 2016, Philippe Varin a remis l’étude « Technologies clés 2020, préparer l’Industrie du futur » à Emmanuel Macron, Ministre de l’économie, de l’industrie et du numérique.

Technologies clés 2020 pour anticiper demain

Cette étude identifie 47 technologies stratégiques pour la compétitivité et l’attractivité de la France dans les 5 à 10 années à venir, ainsi que les opportunités à saisir pour conquérir de nouveaux marchés.

Ces technologies clés trouvent leurs applications dans les domaines de l’alimentation, de l’environnement, de l’habitat, de la sécurité, de la santé et du bien-être, de la mobilité, de l’énergie, du numérique, ou encore des loisirs et de la culture. L’étude a été pensée comme un outil au service des industriels et des entreprises de services à forte valeur ajoutée en France, et ouvre ainsi les portes de l’Industrie du futur : elle propose une vision stratégique de l’orientation à moyen terme des marchés mondiaux, notamment grâce aux monographies par domaines d’application, et un regard opérationnel sur les technologies à industrialiser pour conquérir ces marchés, au travers de fiches de technologies.

À chacun de ses niveaux de lecture, l’étude Technologies clés 2020 constitue donc un véritable guide opérationnel pour les solutions de la Nouvelle France Industrielle, en leur donnant des orientations de développement. La Direction générale des entreprises (DGE) réalise tous les 5 ans cette étude de prospective technologique visant à accompagner les choix des entreprises, notamment les PME et les ETI. La DGE a confié le pilotage stratégique de cette cinquième édition, qui a mobilisé plus de 200 experts entre l’automne 2014 et début 2016, à Philippe Varin, président du Cercle de l’Industrie. –

Consulter l’étude : www.entreprises.gouv.fr/TC2020

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Le TANu, premier Test d’Agilité Numérique, arrive à l’ISCOM PARIS

L’agence web Immersive Lab, conceptrice du TANu, premier test d’agilité numérique et l’ISCOM PARIS, école supérieure de communication et publicité, viennent de conclure un accord de partenariat : des étudiants en BAC + 5 s’apprêtent à évaluer leur culture numérique grâce à ce « TOEIC du numérique ». Le milieu de l’enseignement supérieur est, avec les entreprises et les organismes de formation professionnelle, une cible stratégique de développement pour le TANu.

Le TANu

Lancé fin 2015, le TANu est un test en ligne de 30 minutes qui permet d’évaluer – selon un même référentiel – les connaissances numériques d’un collaborateur ou d’un candidat potentiel en informatique, internet, réseaux sociaux, technologie et économie numérique.*

Il tire son idée d’un constat simple : l’humain est au cœur de la transformation numérique des entreprises. Celle-ci réside dans leur capacité à intégrer le numérique dans toutes les composantes de leur activité : à l’externe (dans la relation client, la communication, la vente, etc.) mais aussi et avant tout à l’interne : travailler sur la culture numérique de ses salariés devient ainsi un enjeu majeur.

Le test peut être utilisé par les services des ressources humaines lors d’un processus de recrutement : il permet de s’assurer qu’un candidat possède une culture numérique suffisante pour faire face aux enjeux de l’organisation. Il permet aussi détecter les besoins en formation de collaborateurs et/ou futurs collaborateurs et d’y apporter une réponse adaptée. Enfin, le test est l’occasion de détecter au sein des équipes les profils agiles, susceptibles d’aider leurs collègues, ou de porter des projets internes de transformation numérique.

Parallèlement au monde de l’entreprise, Immersive Lab souhaite conclure des partenariats avec des établissements d’enseignement supérieur et des organismes de formation continue pour faire du TANu le test d’évaluation de référence dans le domaine de la culture numérique, tout comme le TOEIC l’est devenu pour la pratique de l’anglais.

L’ISCOM PARIS est ainsi la première école à proposer le test : 74 étudiants Bac + 5 du programme en alternance Communication et Création Numérique ** s’apprêtent à passer le TANu dans les prochains jours.

Selon David Castéra, Fondateur d’Immersive Lab : « La transformation numérique des entreprises passe par la sensibilisation et la formation aujourd’hui de ceux qui seront les collaborateurs de demain. Il est essentiel de donner aux étudiants une vision des enjeux qui se cachent derrière chaque innovation. Par ailleurs, le TANu peut aussi être un facteur de différenciation à l’embauche : certains candidats voudront valoriser leur appétence au numérique et démontrer leurs capacités aux employeurs en publiant leur score TANu sur leur CV ou leur profil Linkedin ».

Pour Sylvie Gillibert, Directrice des Programmes de l’ISCOM PARIS : « Ce test s’intègre parfaitement dans nos pédagogies innovantes inspirées du Design Thinking, favorisant l’expérience et l’échange plutôt que l’unique transmission de connaissances. Il permet par ailleurs aux étudiants de les rendre acteurs de leur formation : il peut leur faire prendre conscience du chemin parcouru, de celui qui reste encore à parcourir, ainsi que de la nécessité permanente d’être en veille. Pour l’ISCOM il est également la preuve que nous sommes à l’écoute de l’environnement et de ses constantes évolutions, afin d’adapter nos programmes avec toute la flexibilité requise. Ceci est d’autant plus vrai en 5ème année Communication et création numérique, une formation qui a pour ambition d’ouvrir l’esprit sur un monde en mutation profonde et qui appréhende le numérique comme une réelle opportunité : créative et de communication, mais aussi pour repenser la place de l’humain ».

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Journée franco-nordique pour la Recherche et le Design

27 mai 2016 – 2nde édition du « Campus France Nordic Day ». Organisée par Campus France, les Instituts français et Ambassades de France au Danemark, en Finlande, Norvège et Suède, cette journée franco-nordique sera consacrée à la Recherche et au Design. Elle aura lieu à l’ENSCI – les Ateliers (48 Rue Saint-Sabin, 75011 Paris).

Journée franco-nordique pour favoriser le réseau

Cette manifestation franco-nordique a pour objectif de soutenir l’internationalisation des établissements français et de favoriser la création de nouveaux réseaux et/ou projets collaboratifs dans le domaine du design mais aussi de faire bénéficier la recherche française de l’expertise nordique dans ce secteur en pleine expansion. Elle prendra la forme d’une rencontre partenariale sur la thématique « recherche et design ».

Dans le domaine du Design, la France est reconnue au niveau mondial. Elle propose des formations variées et uniques qui peuvent être suivies dans de nombreux établissements de l’enseignement supérieur travaillant étroitement avec des laboratoires de Recherche & développement et 6 pôles de compétitivité (Cap Digital, Végépolys…). Notre pays compte 40 000 designers professionnels et accueille dans cette discipline 11 000 étudiants étrangers. Le chiffre d’affaire de ce secteur est estimé à 5 Md€ en 2013, d’après Laurent Dutheil, DG du Lieu de Design.

Selon le rapport du Ministère de l’Éducation Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche « Design et métiers d’arts », publié en 2015, le design et les métiers d’art font partie des « industries créatives » selon la terminologie européenne qui représentent aujourd’hui près de 2,6 % du PIB européen et ont un taux de croissance supérieur à la moyenne européenne.

Le design est une activité créatrice dont le but est de présenter les multiples facettes de la qualité des objets, des procédés, des services et des systèmes.

A la croisée des chemins entre création artistique et création industrielle, le design est par essence pluridisciplinaire et facteur d’innovation. C’est pourquoi, cette journée est destinée aux établissements de tous horizons disciplinaires proposant des formations de 3e cycle en design : Post-Masters/Mastères spécialisés (3e cycles et Doctorats en écoles d’art, architecture, universités, écoles d’ingénieurs).

Neuf établissements nordiques et treize établissements français (Écoles d’art, de design, d’ingénieurs, et universités) participeront aux échanges et présenteront leurs projets de recherche et leurs souhaits de partenariats. L’après-midi sera dédié aux rendez-vous bilatéraux pour concrétiser ces échanges. Une visite de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs (ENSAD) est proposée la veille aux établissements nordiques. Les industriels sont également invités à cette journée pour leur volet « développement et création industrielle » et l’APCI, l’Agence pour la promotion de la création industrielle, est associée à l’événement.

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Chargés d’enseignement : la vérité sur la situation

Vérifications faites par le SNESUP-FSU : la ministre a menti aux représentants de la Nation et aux chargés d’enseignement.

Selon un communiqué du SNESUP-FSU que nous avons reçu à la rédaction et que nous diffusion en intégralité : “Dans le dernier bilan social consacré à l’enseignement supérieur et la recherche (celui de 2013/2014), on cherchera en vain des données relatives aux chargés d’enseignement autres qu’une vague estimation de leur nombre : « environ 135 000 ». Malgré les demandes répétées du SNESUP-FSU, le ministère ne montre aucune velléité de mieux connaître cette population hétérogène et d’identifier les abus de recours à ces « sous-contractuels », en toute contradiction avec les propos de Najat Vallaud-Belkacem à l’Assemblée nationale le 17 février dernier : « S’agissant de la précarité des personnels, nous travaillons avec les organisations syndicales à un agenda social. Tous les sujets sont abordés, aucun n’est mis sous le tapis ! ».
Or , début avril, ses représentants au sein du groupe de travail de l’agenda social dédié à la responsabilité sociale de l’employeur, ont exclu toute mise en place d’indicateurs communs aux bilans sociaux de l’ensemble des établissements de l’ESR. En dépit du constat de l’hétérogénéité des outils de mesure, de leur caractère lacunaire particulièrement criant concernant l’emploi scientifique et les conditions de travail, le ministère a fait sienne la position défendue bec et ongles par la CPU qui entend laisser le choix des indicateurs à chaque établissement.
Mais c’est au Sénat l’an dernier que la duplicité de la ministre envers les chargés d’enseignement a atteint des sommets. Le SNESUP-FSU a du faire appel à la commission d’accès aux documents administratifs (CADA) pour en obtenir la preuve. Lors de la séance du 7 avril 2015, une question d’un sénateur suscitait les affirmations suivantes de François Rebsamen, représentant la ministre :
« Il est inacceptable que les vacataires attendent parfois plusieurs mois le paiement des heures qu’ils ont effectuées ».
« Le Gouvernement est attentif à la situation des agents temporaires vacataires de l’enseignement supérieur ».
« A la demande de Madame la ministre, les services du ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche rappellent régulièrement aux établissements que le paiement des heures de vacation doit être effectué mensuellement, à la suite du service fait, et accompagné d’une fiche de paie correspondante».
Dans un courrier de décembre, notre syndicat a demandé communication des rappels réguliers du ministère aux établissements. La « langue de bois » de la directrice générale des ressources humaines du ministère nous a conduit à saisir la CADA. L’avis de cette instance mentionne que « la ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche a informé la commission que les documents sollicités n’existaient pas » !
Le SNESUP-FSU dénonce une communication gouvernementale sur le dialogue social qui n’hésite pas à recourir au mensonge assumé vis-à-vis des élus du peuple, dans le but de masquer le mépris des partenaires sociaux et la réalité d’une politique de régression sociale.”
snesup chargés d'enseignement

Quel renouveau dans l’histoire de la consommation ?

histoire de la consommation

Table ronde : L’empire des biens.

Le 16 juin de 16h30 à 19h au CSO, 19 rue Amélie 75007

  • Le Centre d’histoire du XIXe siècle (Université Paris 1 – Paris IV) et le Centre de sociologie des organisations sont heureux de vous inviter à une table ronde :
    L’empire des biens. Quel renouveau dans l’histoire de la consommation ? 

Frank Trentmann (historien, Birkbeck College, London) présentera son ouvrage :
Empire of Things. How We Became a World of Consumers, from the Fifteenth Century to the Twenty-Firstaux éditions Penguin.

Trois chercheurs en proposeront une lecture personnelle:
Manuel Charpy (historien, IRHIS, Université Lille 3) ; Sophie Dubuisson-Quellier (sociologue, CSO, CNRS/Sciences Po) ;
Gilles Guiheux (sociologue, CESSMA, Université Paris Diderot).

La table ronde – qui sera suivie d’un débat avec la salle – aura lieu en anglais et en français.

Informations pratiques
Le débat se tiendra le jeudi 16 juin 2016 de 16h30 à 19h au Centre de sociologie des organisations, 14 rue Amélie 75007 Paris 

Renseignements
Marie-Emmanuelle Chessel (marieemmanuelle.chessel@sciencespo.fr) ou
Fabrice Bensimon (fbensimon@free.fr)

Pour des raisons de sécurité, l’inscription est obligatoire : accueil@cso.cnrs.fr 

tomatoes consommation

Colloque : Moralité et immoralité des revenus

Moralité et immoralité des revenus

23e  colloque du Centre d’éthique économique

Aix-en-Provence 23 & 24 juin 2016

Le colloque se déroulera dans la Salle des Actes de
la Faculté de Droit et de Science Politique
(3, Avenue Robert Schuman – 13628 Aix-en-Provence Cedex 1)

Jeudi  23 juin 2016

Séance d’ouverture

 9 h 30         Accueil café

10 h 00        Accueil des participants et ouverture du colloque, par le Pr. Philippe BONFILS, Doyen de la Faculté de Droit et de Science Politique d’Aix-Marseille.

10 h15         Présentation du colloque, par Gil CHARBONNIER, Maître de conférences à la Faculté de Droit et de Science Politique, Directeur du Centre d’éthique économique, Directeur du Magistère JCO (Journalisme et Communication des Organisations), AMU.

10 h 45        L’éthique des revenus, entre raison et sentiments, par Serge SCHWEITZER, Économiste, Faculté de Droit et de Science Politique, AMU, ICES.

11 h 45        Discussion

12 h 15        Pause déjeuner

Le regard des économistes

Président de séance : Dominique AUGEY
Professeur de Science économique à la Faculté de Droit et de Science Politique, AMU

14 h 00        L’analyse du salaire (théories du salaire versus justice distributive), par François FACCHINI, Professeur à l’Université de Paris-Sud.

14 h 30        L’analyse du profit (théories du profit versus exploitation), par Jean-Yves NAUDET, Professeur émérite, Faculté de Droit et de Science Politique, AMU. Ancien directeur du Centre d’éthique économique.

15  h 00       L’analyse de la rente (théories de  la rente versus revenu sans effort productif) par Pierre GARELLO, Professeur à la Faculté d’économie et de gestion, AMU.

15 h 30        L’analyse du taux d’intérêt (théorie du taux d’intérêt versus stérilité de l’argent), par Guido HÜLSMANN, Professeur à l’Université d’Angers.

16 h 00       Discussion

16 h 30       Pause café

Table-ronde : Faut-il interdire la spéculation ?

Animée par Jean-Yves NAUDET
Professeur émérite de la Faculté de Droit et de Science Politique (AMU)

17 H 00        Participants : Pierre de LAUZUN, (Délégué général de l’Association Française des Marchés Financiers), Doyen Jean-Pierre CENTI (Professeur émérite, FEG, AMU), Julien COUARD (Maître de conférences à l’Université de Toulon).

La table ronde sera suivie d’une discussion.

19 h 00        Cocktail, offert à tous les participants, dans le Patio de l’Université.

Vendredi 24 juin 2016

9 h 30          Accueil Café.

Le regard des juristes
Président de séance : Hervé ISAR

Vice-Président de l’Université d’Aix-Marseille, Professeur à la Faculté de Droit et de Science Politique d’Aix-Marseille

10 h 00        Moralité et immoralité des revenus au regard de la philosophie du droit et du droit des obligations par Frédéric ROUVIERE, Professeur à la Faculté de Droit et de Science Politique, Laboratoire de théorie du Droit.

10 h 30        Le SMIC et ses enjeux politico-juridiques internes et internationaux, par Alexis BUGADA, Professeur  à la Faculté de Droit et de Science Politique, Directeur du Centre de Droit social, AMU.

11 h 00        Associer le salarié pour le rémunérer ? par Jean-Philippe LIEUTIER, Maître de conférences à  l’Université de Rouen.

11 h 30        Discussion.

12 h 15        Pause déjeuner

Le regard des littéraires,
Président de séance : Jean-Philippe AGRESTI
Vice-Président de l’Université d’Aix-Marseille, Professeur à la Faculté de Droit et de Science Politique

14 h 30         Le portrait de la City dans « Londres » de Paul Morand, par Gil CHARBONNIER, Directeur du Centre d’éthique économique et des affaires, FDSP, AMU.

15 h 00         Proust, sociologue de l’argent, par Nicolas MADELENAT di FLORIO, Professeur du secondaire, enseignant et chercheur au Centre d’Éthique économique, AMU.

15 h 30        L’argent, commutateur entre romantisme et socialisme, de Nerval à Houellebecq, par Bruno VIARD, Professeur à la Faculté des Arts, lettres, langues, sciences humaines, d’Aix-Marseille, CIELAM, Aix-Marseille Université

16 h 00        Discussion

16 h 30        Pause café

Séance de conclusion

Président de séance : Gil CHARBONNIER,
Directeur du Centre d’Éthique économique et des affaires, FDSP, AMU

17 h 00         L’inégalité mondiale des revenus et la pauvreté de 1700 à 2030, par Christian MORRISSON, Professeur émérite de l’Université Paris I (Panthéon-Sorbonne), ancien Chef de division de l’OCDE, Senior Fellow à la FERDI.

17 h 45        Discussion

18  h 00       Clôture du colloque

RENSEIGNEMENTS  ET  INSCRIPTIONS

Secrétariat du Colloque : Françoise Bensakkoun
Centre d’Éthique économique et des affaires
Faculté de Droit et de Science Politique – AMU
3, avenue Robert-Schuman
13628 AIX-EN-PROVENCE cedex 1
Bureau 310 (3e étage bât Pouillon)
Tél : 04 42 17 28 73

mail : francoise.bensakkoun@univ-amu.fr ou fdsp-centre-ethique@univ-amu.fr

Tarifs

Personnes privées – 30 Є
Représentants des entreprises – 100 Є
Gratuité pour les étudiants
Les  tarifs indiqués comprennent l’inscription au colloque, les diverses pauses café et le cocktail du jeudi soir
Chèques à l’ordre de M. l’Agent Comptable d’Aix-Marseille Université

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Fête de l’alternance le 26 mai au parc Floral

Le MEDEF Ile-de-France, la Préfecture de la Région d’Ile-de-France et la CCI Paris Ile-de-France en partenariat avec Pôle emploi organisent la 6e édition de la Fête de l’Alternance au Parc Floral de Paris (Paris 12e), le 26 mai 2016.

Fête de l’alternance

Aujourd’hui, que ce soit avec un contrat de professionnalisation ou un contrat d’apprentissage, l’alternance couvre l’ensemble du champ des formations, du CAP au Master, et pratiquement tous les métiers sont accessibles par cette voie de formation.
Sur place, les jeunes pourront rencontrer plus de 50 entreprises et 70 organismes de formation qui proposeront plus de 15 000 offres de contrats de professionnalisation et d’apprentissage

En pratique : Fête de l’alternance. Route de la Pyramide. 75012 Paris. Métro : Château de Vincennes/RER
Vincennes. Entrée gratuite.

http://www.fetedelalternance.com/

fete de lalternance

L’ESSEC recherche un(e) chargé(e) de formation

L’ESSEC est un établissement d’enseignement supérieur spécialisé dans la formation de haut niveau à la gestion des organisations. Réparti sur 3 campus (Cergy, La Défense et Singapour), il accueille 4.200 étudiants en formation initiale dont 30 % d’étudiants étrangers et 6.000 managers en formation permanente par an.

L’Institut ESSEC IRENÉ recherche un(e)
CHARGÉ(E) DE FORMATION
(Négociation, Médiation et Résolution des conflits)

DESCRIPTION DE L’INSTITUT

L’Institut de recherche et d’enseignement sur la négociation (IRENÉ), établi en 1996 à l’ESSEC (Grande école, Association loi 1901), poursuit trois missions :

  • développer une recherche théorique et appliquée en négociation, médiation, résolution des conflits et mesure d’impact sociétal, à travers des enquêtes de terrain, des publications dans les revues scientifiques, la parution d’ouvrages, la participation à des colloques internationaux, l’organisation de séminaires de recherche, etc. ;
  • mener des actions de terrain au service de la paix dans des pays en situation de conflit ou de post-conflit, par le renforcement des capacités des acteurs impliqués, la promotion du dialogue et la restauration de la confiance entre les parties. L’IRENÉ est ainsi la seule organisation française membre d’EPLO (European Peacebuilding Liaison Office), plate-forme européenne regroupant les principales ONG travaillant à la prévention des conflits ;
  • concevoir et animer des formations interactives, auprès de 2.000 personnes par an relevant d’institutions d’enseignement (ESSEC, ENA, universités françaises et étrangères, etc.), d’entreprises et d’organisations publiques (Commission européenne, ministères des Affaires étrangères, de la Défense, etc.).

L’IRENÉ a mené des activités dans 75 pays à ce jour. En 2010, dans le cadre de son développement en Asie, l’institut s’est implanté sur le campus de l’ESSEC à Singapour. En 2014, un bureau permanent est ouvert à Bruxelles. Direction : Professeur Aurélien Colson.

OBJECTIFS ET RESPONSABILITÉS

Au sein de l’Institut, vous contribuerez en priorité aux programmes de formation exécutive à l’attention de cadres des secteurs privé et public. En tant que cadre autonome, vous appuierez les missions suivantes : www.essec-irene.com

Formation (80 %)

  • Contribution aux activités de formation de l’Institut, en anglais et français, principalement à l’attention de cadres des secteurs privé et public.
  • Contribution aux activités d’ingénierie pédagogique de l’Institut (animation d’un MOOC, création de nouveaux supports pédagogiques).

Contribution aux autres activités de l’Institut (20 %)

  • Développement : veille sur les appels d’offres et contribution aux réponses (propositions, dossiers administratifs, etc.), contribution au fundraising pour l’Institut.
  • Communication : brochures, rapport d’activités, visibilité de l’Institut en interne (ESSEC) et externe, etc.
  • Recherche : participation à des séminaires.

PROFIL RECHERCHÉ

Requis :

Solide expérience en formation initiale et continue, en français et en anglais, public et/ou privé ;
Excellent niveau de français et d’anglais, à l’oral comme à l’écrit ;
Formation supérieure bac + 5 ; doctorat est un plus ;
Connaissance du champ de la négociation et/ou de la médiation ;
Bonne maîtrise des outils informatiques et internet.

Apprécié :

Expérience en ingénierie pédagogique ;
Expérience dans l’organisation d’événements.

Qualités personnelles :

Esprit d’équipe, ouverture et dynamisme ;
Esprit de synthèse, bonne présentation, aisance à l’oral ;
Rigueur et professionnalisme ;
Flexibilité, adaptabilité et fortes capacités relationnelles.

Divers :

Cadre. Poste à pourvoir en mai 2016.

Salarié, CDD de 12 mois à temps plein.

Lieu de travail : ESSEC, Cergy (95). Déplacements occasionnels à l’étranger (notamment Bruxelles).

CV, lettre de motivation et prétentions à adresser par courriel uniquement à recrut@essec.fr en précisant la référence IRENE/CdF.

EssecBusinessSchool

Consommer autrement : histoire, sens et logiques pratiques

Consommer autrement est une question d’actualité dans le domaine marchand.  Voici donc un appel à articles pour la revue terrains et travaux sur le thème “Consommer autrement : histoires, sens et logiques pratiques”. N’hésitez pas à le faire circuler, et bien sûr à nous envoyer des propositions d’articles. L’appel court jusqu’en février 2017.

Appel à papier : Consommer autrement

Un certain nombre de pratiques, en expansion aujourd’hui, visent à contourner ou contester les circuits économiques traditionnels pour l’acquisition et l’usage de biens et de services : voyager en covoiturage, se loger chez l’habitant, acheter des objets d’occasion sur Leboncoin.fr, écumer les vide-greniers, traquer les bonnes affaires sur les sites de dons, glaner à la fin des marchés ou récupérer les invendus dans les poubelles, mais aussi consommer équitable ou local, se fournir dans des AMAP, etc. Qu’elles remettent en question la logique maximisatrice du consommateur en promouvant d’autres valeurs éthiques ou écologiques, qu’elles requalifient symboliquement ou distinctivement d’anciennes pratiques (faire du vélo, jardiner) ou qu’elles se situent aux marges des comportements caractéristiques de la société de consommation, ces pratiques ont un statut qui reste encore mal documenté.

Comment rendre compte de ces formes de consommation et comment les interpréter ? Quels en sont les contours au-delà des pratiques les plus médiatisées ? Permettent-elles à des classes populaires fragilisées de repousser le manque et de se réinsérer dans la société de consommation ? Ou correspondent-elles à des formes d’engagement et de positionnement vis-à-vis de la société de consommation de la part de classes moyennes et supérieures à haut niveau de diplôme ? Dans la galaxie des pratiques de consommations alternatives qui connaissent un nouvel essor aujourd’hui, beaucoup combinent des régimes d’engagements utilitaristes – consommer « malin », moins cher, se débrouiller – et des pratiques à coloration plus politique – consommer mieux, moins, avec un impact moindre sur la planète, etc. Cette dimension politique peut être explicite (cas des freegans ou des AMAP par exemple) ou très secondaire (cas de la plupart des sites de consommation collaborative tels que BlablaCar, Airbnb, Drivy…). Elle pose la question plus large du renouveau des formes de questionnement politique des pratiques de consommation, des acteurs qui les portent, et de leurs positionnements par rapport aux traditions et répertoires de mobilisation existants (buycott, boycott, etc.).

Ce dossier vise à réunir des contributions empiriques éclairant les logiques économiques, sociales et politiques des pratiques de consommation alternatives, actuelles et passées. Les contributions attendues, issues d’enquêtes originales en sociologie, anthropologie, histoire ou science politique, pourront inscrire leurs réflexions au sein des quatre axes de questionnements privilégiés suivants :

  • 1/ Histoire des consommations alternatives : acteurs, outils et régulation.
    Encore peu de travaux historiques documentent les formes de consommations alternatives, leur genèse et l’évolution des justifications qui en sont données, de même que le rôle des acteurs qui les portent et les types de régulation qui les encadrent. Quel est le rôle des crises économiques dans les pratiques de débrouille visant à consommer sans dépenser ? Quels ont été les rôles respectifs des médias, des entreprises, des pouvoirs publics et des associations de consommateurs dans la critique de l’hyperconsommation et la valorisation de pratiques alternatives comme le manger bio, le recours aux circuits courts, le commerce éthique, ou la baisse de sa consommation énergétique ? Par quels types d’outils agissent- ils à travers le temps (messages publicitaires, réglementation, labels, presse d’information aux consommateurs…) pour valoriser d’autres modes de consommation et avec quelles conséquences sur les pratiques effectives ? Comment des consommations anciennes sont-elles redécouvertes et retravaillées pour devenir un enjeu éthique ? Comment, en définitive, penser les frontières mouvantes entre consommation ordinaire, consommation alternative et consommation engagée au cours du temps ?
  • 2/ Profils et motivations des consommateurs « alternatifs ».
    Comment qualifier les pratiques de consommation alternative ? Entre les intentions militantes et anticonsuméristes et l’obligation de « faire de nécessité vertu » se dessinent des pratiques multiples, parfois contradictoires, dont on cherchera à analyser les ressorts. Qui sont les usagers de ces autres modes de consommation à côté des circuits de distribution conventionnels ? Ces pratiques revêtent-elles le même sens selon les positions sociales occupées, le genre et l’âge des individus ? Ces pratiques sont-elles des modes de consommation utilitaires et dominés ou à l’inverse, permettent-elles aux consommateurs de relâcher des formes de contraintes sociales ?
  • 3/ Au cœur des pratiques de consommation alternatives : formes des interactions et des échanges.
    On pourra interroger l’apprentissage des rituels qu’implique la socialisation à des formes d’échanges alternatives ou engagées : comment apprend-on à chiner dans un vide-grenier ou à trier les invendus dans les poubelles ? Comment sont-elles mises en place par les acteurs, quelles sont leurs temporalités ? Comment les pratiques “alternatives” s’articulent-elles aux autres formes de consommation plus traditionnelles chez les individus ? Par ailleurs, on pourra se pencher sur les formes et les cycles des interactions qui ont lieu au cours d’échanges en régime de consommation alternative : consommer dans des magasins éthiques, donner ses vieux meubles, louer la maison d’un particulier… quelles sont les valeurs et les références mobilisées par les acteurs pour cadrer leurs interactions ? Comment ces échanges interrogent-ils à nouveaux frais la manière de penser l’échange (non) marchand et les trajectoires des objets (acquisition, circulation, mise au rebut) ?
  • 4/ L’économie des consommations alternatives à l’épreuve du web.
    Le web a donné un nouvel élan à ces pratiques anciennes, en les transformant probablement au passage. Alors que les plateformes de consommation collaborative ou partagée se multiplient et que les sites de dons entre particuliers ou d’achat d’occasion sur internet fonctionnent à plein régime, quels sont les acteurs et les trajectoires économiques des intermédiaires de la consommation alternative ? Comment le web a-t-il produit de nouvelles opportunités et changé le paysage de ces consommations ? Dans cette perspective, on pourra aussi interroger le rôle des réseaux sociaux dans les appels aux boycotts et la conscientisation des consommateurs.

Les articles, de 50 000 signes maximum (espaces, notes et bibliographie compris) ou les notes critiques, de 30 000 signes maximum, accompagnés de 5 mots-clés et d’un résumé de 150 mots (en français et en anglais), devront parvenir sous forme électronique aux coordinateurs du numéro, avant le 6 février 2017 aux adresses suivantes :

La revue accueille par ailleurs des articles hors dossier thématique (50 000 signes maximum), qui

doivent être envoyés à Carine Ollivier, carine.ollivier@univ-rennes2.fr et Vinciane Zabban, vinciane.zabban@gmail.com.

 

Entreprises libérées : le point sur les controverses

Rencontre pluridisciplinaire entre des chercheurs, des consultants et des managers d’entreprise “libérateurs” lors du colloque Entreprises libérées : le point sur les controverses

Les formes traditionnelles de management sont en crise et c’est sans doute ce qui pouvait leur arriver de mieux !  De nombreuses enquêtes ont montré qu’elles n’étaient visiblement plus adaptées ni aux attentes sociales des collaborateurs et  ni aux nouvelles stratégies d’innovation  qui passent par la mobilisation de la subjectivité des individus. Tout cela oblige les organisations à repenser les relations de travail et en particulier les relations managériales.

Face à ces contraintes et ces paradoxes certaines entreprises ont fait des paris audacieux et courageux: celui de tenter de libérer les organisations des chaînes aliénantes du passé. Le livre d’Isaac Getz a eu à ce sujet l’effet d’un révélateur: il existe des entreprises partout dans le monde qui mettent en place des relations managériales différentes qu’elles s’intitulent “management libéré”, “sociocratie”, “holacratie”, pourquoi pas “sophocratie”, qu’importe….Elles témoignent d’une réelle volonté de changer les relations de pouvoir dans les organisations; ce qui , d’ailleurs, n’est pas sans rappeler le mouvement plus ancien des entrepreneurs utopistes bien exploré par Philippe Trouvé et Henri Desroche.

Mais ce phénomène nouveau qui succède à une longue période de “malêtre” social dans les entreprises est loin d’être stabilisé. Il a ses partisans mais aussi ses détracteurs. C’est pourquoi, au delà des nombreuses controverses dont il est l’objet et des débats passionnés qu’il déclenche, il s’agira de l’observer avec un regard scientifique respectueux.

C’est autour de ces considérations que les enseignants chercheurs du Programme d’Etudes sur les Organisations Postmanagériales et la Libération des Entreprises (PEOPLE) du Groupe ESC Clermont, proposent une rencontre interdisciplinaire  sur cette question dans le but de tenter de comprendre :
–  de quoi ce phénomène d’innovation sociale est – il  le nom ?
– Quelles sont les pratiques qui sont mises en oeuvre ?
– Quels impacts peuvent – elles  avoir sur les relations de pouvoir dans les organisations ?
– Favorisent elles un véritable processus de démocratie dans l’entreprise ?

Les journées sont organisées de telle façon qu’elles puissent intéresser aussi bien des chercheurs en sciences de gestion que des consultants porteurs d’expériences ou des managers (cadres ou dirigeants) souhaitant initier avec intelligence des transformations sociales dans leur entreprise. 

La deuxième matinée du colloque sera consacrée à un hommage à l’entrepreneur libérateur Adriano Olivetti et au grand sociologue des utopies qu’a été Henri Desroches, auteurs de nombreux ouvrages sur ce thème.

Entreprises libérées : Programme prévisionnel

1° Journée :

8h 30 Accueil des participants

9h – 10h 45 Conférence plénière sur la démocratie d’entreprise (Thème et Intervenant à confirmer)
10h 45 – 11h : Pause
11h – 12h 30 : Session 1:  Ateliers d’échanges à partir des communications fournies par les chercheurs

12h – 13h 30 / Buffet dinatoire 

13h – 15h : Session 2: Atelier d’échanges à partir des communications fournies par les chercheurs et ou des consultants
15h – 15h 15 Pause 
15h 15 – 16h 45 :  Session 3 : Atelier d’échanges à partir des communications fournies par les chercheurs

17h – 20h : Conférence débat entre dirigeants libérateurs et chercheurs  (Plusieurs entreprises nous ont confirmer leur participation :  Hervé, Poult, Aneo, Maif, Zappos, Decathlon, Auchan. (Des contacts sont en cours avec d’autres entreprises comme Gore, Zappos, Décathlon)

20h : Apéritif dinatoire 

2° Journée :

9h – 12h 30 : Hommage à Adriano Olivetti   et Henri Desroche (Sociologue des utopies) avec la participation de managers ayant travaillé en direct avec cet entrepreneur italien fondateur de l’entreprise du même nom, leader en son temps dans la fabrication de la machine écrire puis de l’ordinateur portable.

12h 30 – 13h 30 : Buffet dinatoire 

13h 30 – 15h : Session 4: Atelier d’échanges à partir des communications fournies par les chercheurs

15h 15 :  Clôture du colloque 

Prix du colloque

  • Pour les deux journées du colloque avec 2 déjeuners et apéritif dînatoire  (hors frais d’hôtel)
    • 150 Euros par participant (Enseignants chercheurs et  professionnels)
    • 480 Euros pour les participants institutionnels ou d’entreprise bénéficiant de financements de formation continue
    • 60 euros pour les doctorants, étudiants et demandeurs d’emploi

Pour la conférence débat entre dirigeants libérateurs et chercheurs (Jour 1 de 17h à 20h) :

  • 90 € pour la conférence débat et l’apéritif dinatoire

Un bulletin d’inscription est en fichier joint. Il suffit de le renvoyer avec votre paiement ou votre bon de commande à :
Pascale  
 Fleurier
Groupe ESC Clermont – 4, Bd Trudaine- 63037 Clermont-Ferrand Cedex 1
04-73-98-22-43
pascale.fleurier@esc-clermont.fr

Dès réception de votre inscription, nous vous enverrons une confirmation une liste d’hôtels

Les membres du comité scientifique du colloque

–  Yoann Bazin, Enseignant Chercheur (ISTEC)
-­ Daniel Bonnet, Président (IPM)
-­ Marc Bonnet, PR (Université Lyon 3, ISEOR)
-­ Georges Botet Pradeilles, Président honoraire (IPM)
-­ Malik Bozzo Rey, Enseignant Chercheur (Université Catholique de Lille)
-­‐ Thibaud Brière, Philosophe
-­‐ Mireille Bruyère, Enseignant Chercheur (CERTOP, CNRS, Toulouse 2)
­‐ Jean Claude Casalegno, Enseignant Chercheur (Groupe Esc Clermont- IPM)
­‐ Marie Da Fonseca, MC (Université de Savoie)
­‐ Alain D’Iribarne, Directeur de recherches (CNRS)
­‐ Khalid Djerirri, Médecin du travail (CHU Clermont Ferrand)
­‐ Michel Lallement, PR, titulaire de la chaire d’Analyse sociologique du travail, de l’emploi et des organisations (CNAM)
­‐ Diego Landivar, Enseignant Chercheur (Groupe Esc Clermont et Origens Media Lab)
­‐ Marc Lecoutre, Enseignant Chercheur (Groupe Esc Clermont et CRCGM)
­‐ Danièle Linhart, Directrice de recherches émérite (CNRS, CRESPPA)
­‐ Sophie Marmorat, Enseignant Chercheur (Groupe Esc Clermont)
­‐ Renaud Muller, Enseignant Chercheur (Université Haute Alsace)
­‐ Brigitte Nivet, Enseignant Chercheur (Groupe Esc Clermont et CRCGM)
­‐ Eric Pezet, PR (Université Paris Ouest Nanterre La Défense, Co-directeur de Paris Research in Norms Management and Law (Primal))
­‐ Baptiste Rappin, MC (Université de Lorraine, IAE de Metz)
­‐ Georges Trepo, Professeur honoraire (HEC)
­‐ Philippe Trouvé, Directeur Scientifique (CEREQ)

Pour revisiter l’appel à communication

Les partenaires du programme PEOPLE, organisateurs du colloque

ESC Clermont Entreprises libérées

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