Mastère Management de l’Innovation, Intrapreneuriat et Entrepreneuriat

Télécom Ecole de Management, Télécom SudParis, l’Ensiie et l’Université d’Évry-Val-d’Essonne lancent leur Mastère Spécialisé M2IE : Management de l’Innovation, Intrapreneuriat et Entrepreneuriat.

Accrédité par la Conférence des Grandes Ecoles (CGE), cette formation de haut niveau sera enseignée conjointement par quatre établissements membres du Pôle Scientifique d’Evry Vals de Seine : Télécom Ecole de
Management, Télécom SudParis, l’Ecole nationale supérieure d’informatique pour l’industrie et l’entreprise (Ensiie), et l’Université d’Évry-Val-d’Essonne. Les inscriptions sont ouvertes pour une rentrée prévue en janvier 2011.

Accompagner le développement du bassin économique d’Evry centrée sur les NTIC et les biotechnologies. Le Mastère Spécialisé M2IE (Management de l’Innovation, Intrapreneuriat et Entrepreneuriat) a pour but de favoriser la création d’entreprises et d’accompagner le développement des PME innovantes dans le bassin économique d’Evry centré sur les NTIC et les biotechnologies. Il est donc soutenu par de nombreux partenaires : les entreprises innovantes, les collectivités territoriales et les structures œuvrant au développement économique local (Bioparc Genopole, l’Agence pour l’Economie en Essonne, Opticsvalley, la Fédération SYNTEC, la CGPME Ile de France, AGEFA-PME et l’association FIPES).

120 000 euros de bourses réservés aux doctorants. Les créateurs et partenaires du Mastère Spécialisé M2IE ont prévu de verser 120 000 euros de bourse aux doctorants qui suivront la formation, permettant ainsi la prise en charge partielle ou intégrale d’une dizaine de participants.

A qui s’adresse le MS M2IE ?

  • aux doctorants, qui pourront prendre conscience des possibilités et opportunités que leur donne leur projet de thèse, valoriser leur insertion professionnelle en tant que cadre ou entrepreneur, et se préparer à l’accompagnement de grands projets innovants.
  • aux cadres en activité, pour compléter leurs acquis et leur permettre d’évoluer rapidement vers des fonctions de haut niveau dans l’accompagnement de projets innovants dans l’entreprise.
  • aux jeunes diplômés de formation scientifique, pour acquérir des compétences spécialisées dans le domaine du management en vue d’intégrer un premier poste à responsabilité.

420 heures de cours et la mise en œuvre d’un projet d’activité réel

Les participants suivront des matières telles que : Gestion de projets innovants, Stratégie d’entreprise et Management, Environnement
juridique de l’innovation, Ingénierie Financière, Marketing & Business Développement, Technologie & Entrepreneuriat. Ils pourront choisir entre 2 modules de spécialisation : Management des Biotech ou Management des NTIC. Ces spécialisations incluent la mise en œuvre d’un projet d’activité réel au contact des acteurs économiques et scientifiques locaux.

Informations pratiques

  • Frais de scolarité : 10 000 euros.
  • Gratuit pour les doctorants, sous condition.
  • Le programme peut être dispensé en alternance sur 24 mois.
  • Conditions d’admission : doctorant, diplômés bac+5, bac+4 avec 3 ans d’expérience professionnelle.

Inscription et renseignements

Olivier Epinette, Directeur des Programmes Spécialisés de Télécom Ecole de Management

Coordonnées : 
olivier.epinette@telecom-em.eu

(+33)1 60 76 47 52

Rapport au Parlement sur l’emploi de la langue française

A la veille du XIIIe Sommet de la
Francophonie à Montreux, le rapport annuel du Gouvernement au Parlement sur l’emploi de la langue française dresse un panorama de la situation du français en France
.

Dans le rapport sur l’emploi du français qu’il vient d’adresser au Parlement, la Délégation générale à la langue
française et aux langues de France (ministère de la Culture et de la Communication) fait le point sur la place de notre langue dans de nombreux secteurs de la vie économique, sociale et
culturelle.

A côté de motifs de satisfaction dûs à la vigilance exercée par l’administration sur le respect de la loi du 4 août
1994 (12,4% d’infractions, pour l’essentiel de faible gravité, dans le domaine de la consommation, 4% de publicités ne respectant par les dispositions légales), le rapport fait apparaître quatre
domaines où les enjeux sont cruciaux pour l’avenir du français :

– les entreprises où, malgré une jurisprudence récente qui conforte le droit des salariés à travailler dans leur
langue, une forte pression s’exerce pour y accroître l’usage de l’anglais : la mise en place de stratégies linguistiques conciliant le respect du droit au français et la nécessité de renforcer
les compétences en langues des salariés constitue une voie prometteuse dans laquelle s’engagent un certain nombre d’entreprises ;

– la recherche scientifique, où des politiques de traduction et d’interprétation sont à même de faciliter
l’expression d’une pensée en français, notamment dans les sciences humaines et sociales, et d’en assurer la diffusion dans la communauté scientifique mondiale ;

– l’enseignement supérieur, pour lequel l’emploi du français, avec les souplesses que permet déjà notre cadre légal,
constitue pour de nombreux étudiants étrangers un puissant facteur d’attractivité ;

– l’internet, avec la montée en puissance de l’internet mobile et le développement des réseaux sociaux : la
généralisation des normes d’encodage des caractères les plus récents et la réalisation d’une norme technique pour les claviers français sont des actions d’urgence à conduire pour que le français
conserve sa place sur la Toile.

Avec 9,5% de jeunes en difficulté de lecture sur le territoire métropolitain (où l’on constate une légère baisse)
mais 34,9% en outre-mer (le chiffre est en nette augmentation), notre pays doit par ailleurs renforcer sa politique interministérielle de lutte contre l’illettrisme en direction des jeunes comme
des adultes.

Les Etats généraux de l’outre-mer ont souligné la nécessité de mieux coordonner les politiques publiques consacrées
à la langue : la valorisation du patrimoine linguistique régional et l’apprentissage du français en constituent les deux piliers. Organisés en décembre 2010 en Guyane, les Etats généraux du
multilinguisme dans les outre-mer constitueront le point d’orgue de l’Année des outre-mer français.

Le recul de la langue française au sein des institutions de l’Union européenne s’accentue.

Pour la première fois, le français est passé sous la barre des 10% (8,32%), s’agissant de la « langue source » des
documents traduits par la Commission européenne. Le multilinguisme est davantage respecté au Parlement européen.

Les autorités françaises, le représentant personnel du Président de la République pour la Francophonie et
l’Organisation internationale de la Francophonie unissent leurs efforts pour conforter la place du français dans la vie internationale.

Le rapport fait cette année le point sur la situation du français au Maghreb, où la langue française est chargée
d’un fort affect : langue de culture et d’échanges, son enseignement
et sa diffusion – qui manifestent dans
l’ensemble une remarquable vitalité – sont très liés aux relations avec la France.

Publication de la loi de régulation bancaire

Christine Lagarde : « Avec la publication de la loi de régulation bancaire et financière, la France tourne le dos à la finance
dérégulée »

Christine LAGARDE, ministre de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi, se félicite de la
publication le 23 octobre de la loi de régulation bancaire et financière qui renforce la régulation et l’encadrement du système financier. Cette loi voulue par le Président de la République et le
Premier ministre pour mettre en œuvre au niveau national les décisions du G20 comprend des mesures fortes :

Encadrer les ventes à découvert
– L’Autorité des marchés financiers (AMF), notre gendarme des marchés, pourra interdire les ventes à découvert sur tous instruments
financiers en cas de circonstances exceptionnelles. L’AMF pourra imposer la transparence sur ces opérations. La loi interdit les ventes à découvert à nu pour lesquelles le vendeur n’a pas pris
les mesures nécessaires pour s’assurer qu’il disposera effectivement des titres au moment de sa livraison effective (« locate rule »).

Réguler les marchés dérivés et CDS
– L’Autorité des marchés financiers pourra désormais sanctionner les abus de marchés (comme par exemple les manipulations de cours)
sur les marchés dérivés notamment les CDS. Les marchés dérivés étaient jusqu’à présent non régulés.

Contrôler les agences de notation
– L’Autorité des marchés financiers pourra désormais agréer, contrôler et sanctionner les agences de notation. Le projet de loi
renforce la responsabilité des agences de notation. Les agences de notation étaient jusqu’à présent non régulées.

Renforcer le contrôle du secteur
financier
– La loi ratifie la création d’une autorité unique de contrôle et de surveillance des secteurs de la banque
et de l’assurance : l’Autorité de contrôle prudentiel. La loi crée un Conseil de la régulation financière et du risque systémique, véritable tour de guet du secteur financier, qui permettra de
mieux prévenir les risques du secteur financier.

Renforcer
les pouvoirs de sanctions des gendarmes du secteur financier
– Le
montant maximum des sanctions que peut prononcer l’Autorité des marchés financiers est multiplié par 10 pour atteindre 100 M€. Le montant maximum des sanctions que peut prononcer l’Autorité de
contrôle prudentiel est multiplié par 2 pour atteindre 100 M€.

Séminaire sociologie économique

La variété des objets aujourd’hui étudiés par la sociologie économique et l’intensité de l’activité éditoriale qui l’accompagne témoignent de la vitalité de cette
branche de la sociologie. L’objectif du Séminaire de Sociologie Economique est de donner la parole aux jeunes chercheurs qui contribuent au dynamisme de cette approche. Tous les mois, durant deux
heures, un chercheur vient présenter ses travaux qui sont ensuite discutés par un autre sociologue avant l’ouverture du débat à la salle. Ce séminaire a ainsi pour ambition de constituer un lieu
d’échanges privilégié pour les sociologues de l’économie, en dialogue avec les membres d’autres disciplines (histoire, anthropologie…).

Le séminaire a lieu une fois par mois, le mercredi, de 17h30 à 19h30 à la Maison de la Recherche de Paris IV (28 rue
Serpente, 75006 Paris), en salle 224 jusqu’au mois de janvier 2011 puis en salle 117 à partir du mois de février 2011. Il est ouvert à tous.

 

Programme 2010-2011

 

17 novembre 2010

Hélène DUCOURANT

« Comment, vous n’avez pas de projet ? » Ethnographie du démarchage en matière de crédit à la
consommation.

Discutant : Alexandre MALLARD

 

15 décembre 2010

Alina SURUBARU

La réversibilité des liens marchands, entre calcul et hasard. Les rencontres d’affaires sur le marché de la
sous-traitance internationale dans l’industrie de l’habillement en Roumanie.

Discutante : Claire ZALC

 

12 janvier 2011

Caroline MAZAUD

Entre métier et entreprise : les néo-artisans sur le marché de l’authentique.

Discutante : Laure de VERDALLE

 

16 février 2011

Aurélie PINTO

L’entrepreneur culturel : un patron « dénié » ? Le cas des exploitants de réseaux de salles de cinéma art et
essai.

Discutant : à déterminer

 

16 mars 2011

Sébastien ROUX

Economies intimes du tourisme sexuel.

Discutant : Pierre-Marie CHAUVIN

 

6 avril 2011

Scarlett SALMAN

La place interstitielle du coaching dans l’activité professionnelle des coachs en entreprise : un
effet des contraintes du marché ?

Discutant : Didier DEMAZIERE

 

11 mai 2011

Alan OUAKRAT

Socio-économie du marché de la publicité en ligne.

Discutant : François VATIN

8 juin 2011

Martin GIRAUDEAU

Habitus, homo oeconomicus & prospectus. Pierre-Samuel DuPont de Nemours, « faiseur de projets
» (1739-1800)

Discutante : Claire LEMERCIER

Vous pouvez obtenir les textes associés aux présentations par voie électronique en vous adressant à
:
seminaire.socio.eco@gmail.com

 

Contacts:

Anne Jourdain (Université d’Amiens – CURAPP) : anne.jourdain@gmail.com


Sidonie Naulin (Université Paris IV – GEMASS) :

sidonie.naulin@gmail.com

Conférence L’impact du droit

Une conférence est organisée dans le cadre du CRDP (Centre de Recherche en droit public) et de FIDES (Forum sur les
institutions, le droit, l’économie et la société), association créée à l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense pour catalyser les initiatives communes des juristes et des économistes.

Cette conférence sur le thème : « L’impact du droit : l’évaluation économique comparée de la norme juridique» se
déroulera le lundi 29 novembre 2010 de 14 h à 19 h au Cercle France-Amériques 9/11, avenue Franklin Roosevelt 75008 Paris.

 

Contact :

Bertrand du MARAIS

Conseiller d’État, détaché comme Professeur de droit public

UFR de Sciences Juridiques

Bâtiment F, Bureau 101 B & C

Université de Paris Ouest Nanterre La Défense

200, avenue de la République

92001 Nanterre Cedex- France

bertrand.du_marais@u-paris10.fr

10 000 emplois menacés par le changement de statut du portage salarial

Si l’accord conduit par le PRISME sur le portage salarial était entériné, il se traduirait par plus de 10 000 licenciements de « Portés »

Paris – le 2 novembre 2010 – La négociation entre le PRISME (syndicat des entreprises de Travail Temporaire) et les organisations syndicales de salariés s’est clôturée le 24 juin dernier sur le texte d’un accord inacceptable, aussi bien pour les professionnels du portage salarial que pour les Portés. 4 mois plus tard, la promulgation du décret d’application est redoutée avec angoisse par les milliers de Portés dont l’avenir dépend de la publication ou non de l’accord.

Parmi les griefs adressés par la Fédération Nationale du Portage Salarial (FeNPS) qui représente 70 % des entreprises de portage syndiquées, avec plus de 100 agences et établissements en France :

– Non-respect du mandat donné par le législateur, mandat qui était d’organiser le portage tel qu’il existe, et non d’en donner une nouvelle définition opportuniste, restrictive, élitiste et, de fait, discriminatoire puisque seuls les cadres pourraient désormais prétendre à bénéficier de cette solution d’emploi.

– Non-respect des règles constitutionnelles de représentativité, les négociations ayant été menées par le PRISME, non représentatif des entreprises de portage, et les organisations professionnelles du portage n’ayant été consultées que par pure forme, sans pouvoir participer activement à ces négociations

Un certain nombre de dispositions de cet accord, si elles étaient appliquées, aboutiraient à licencier plus de
10 000 Portés
et les conduiraient à s’inscrire à nouveau en tant que demandeur d’emploi.

En effet, entre autres dispositions du projet d’accord, sont imposés un statut cadre, des modalités contractuelles
inadaptées et un salaire minimum mensuel supérieur à 2 900 € bruts, hors congés payés (+10%), indemnité d’apport de clientèle (+5%) et de fin de contrat si CDD (+10%).

Cet accord conduirait inéluctablement à un portage salarial réservé à une élite, alors que de nombreux métiers parfaitement viables mais moins rémunérateurs sont valablement pratiqués en portage depuis des années, au plus grand bénéfice des intéressés
et de la collectivité. A croire qu’en France, les « non-cadres » n’ont pas les mêmes droits que les cadres à pouvoir vivre de leurs
compétences !?

Par ailleurs, un bon nombre de sociétés de portage,
exerçant pourtant de manière socialement responsable depuis des années, seraient contraintes de déposer leur bilan et de licencier leurs collaborateurs !

Face à cela, la FeNPS a élaboré un ensemble de propositions pour règlementer cette activité. Fruits de plus de 10 ans d’expérience de ses membres, ces propositions permettraient de favoriser le développement du portage salarial comme solution sécurisée de retour vers l’emploi ou de création d’activité. Elles pourraient générer près de 600 000 emplois si le portage était ouvert au plus grand nombre (dont les seniors et les jeunes) au lieu d’être limité à quelques élites.

Les propositions de la FeNPS en quelques lignes :

– permettre à tout professionnel (cadre ou non-cadre) d’exercer son métier en portage salarial, dès lors qu’il est réellement autonome dans la commercialisation et la réalisation de ses prestations ;

– créer un code APE spécifique et imposer une « exclusivité » d’activité aux sociétés de portage salarial, pour éviter toute confusion entre portage et emploi « classique » ;

– créer un contrat de travail spécifique au portage salarial que seules les entreprises de portage pourront établir (en Contrat à Durée Déterminée ou en Contrat à Durée Indéterminée) et où serait officialisé le mode de calcul de la rémunération des Portés ;

– ajouter au Code du Travail un chapitre dédié spécifiquement au portage salarial au même titre que ce qui est fait pour les Entreprises de Travail à Temps Partagé.

renforcer la formation professionnelle et l’accompagnement des Portés

Ethiquement responsable, La Fédération Nationale du Portage Salarial par sa position d’acteur historique se doit d’être le garant d’un portage salarial répondant aux attentes de ses utilisateurs tout en sécurisant leur parcours.

A propos de la FeNPS

Président : Baudouin des Courtils

EVALUATION DES CHOIX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES

OFFICE PARLEMENTAIRE

D’EVALUATION DES CHOIX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES

 

L’Office parlementaire organise une réunion ouverte à la presse

Mercredi 17 novembre 2010 à 16h15

à l’Assemblée nationale salle 7040 niveau -2

101, rue de l’Université – Paris 7e

sous la présidence de M. Claude Birraux, député,
président de l’OPECST, en présence de MM. Cédric Villani, Ngo Bao Chau, Médaillés Fields, de M. Yves Meyer, Prix Gauss, lauréats de l’édition 2010 du Congrès international des
mathématiciens,

et des membres du Conseil scientifique de l’OPECST.

– débat sur la place de la France dans les mathématiques ;

– présentation par M. Claude Birraux des conclusions de l’audition publique de l’OPECST
sur les apports des sciences et technologies à l’évolution des marchés financiers
(14 octobre
2010)
;

– débat
sur la contribution des mathématiques aux sciences dans leur diversité d’aujourd’hui : finance, énergie, astronomie, sociologie, médecine, biologie, climat, etc.

Pôle de Compétences rhônalpin sur la consommation responsable

L’action du Pôle de Compétences rhônalpin sur la consommation responsable vers les collectivités territoriales

Dans le cadre de sa mission de développement économique des secteurs émergents de la consommation responsable – commerce équitable, agricultures biologique et/ou locale, tourisme et finances solidaires, insertion, éco-conception – le Pôle de Compétences rhônalpin revient sur la Journée « Engager sa collectivité dans une démarche de commerce équitable » et présente son plan d’action orienté vers ces prescripteurs que sont les collectivités territoriales.

Ce plan annonce entre autres deux nouvelles rencontres d’échanges entre collectivités, à Annemasse et à Lyon.

Objectifs et moyens du Pôle de Compétences sur le commerce équitable et la consommation responsable en Rhône Alpes dans le dossier de presse joint

Pourquoi et comment engager son territoire dans une démarche de commerce équitable ?

Tel était le thème de la journée organisée par Equi’Sol (association animatrice du Pôle de Compétences) et la campagne nationale Territoires de Commerce Equitable le 7 octobre dernier, à Saint Martin d’Hères.

Cette rencontre, qui a réuni 45 personnes dont 24 élus et techniciens de collectivités rhônalpines, a dressé un panorama des enjeux et facteurs clé de succès de l’engagement des acheteurs publics dans le soutien au commerce équitable.

La journée est revenue sur le fonctionnement du commerce équitable, son impact sur la vie des producteurs et sur sa réalité en Rhône Alpes. Elle s’est poursuivie par des témoignages de collectivités d’ores et déjà engagées qui ont délimités les moyens d’action (restauration collective, objets promotionnels, coton bio et équitable) ainsi que les freins à lever pour assoir une dynamique durable. Enfin, ont été présentés les outils mis à disposition pour accompagner les acheteurs publics (la campagne Territoires de Commerce équitable, le site de mise en relation commerciale www.ofretic.comet les sites ressources).

Détails sur les tables rondes et leurs intervenants dans le compte rendu ci-joint – photos ci-dessous

Sensibiliser pour mieux concrétiser

L’achat public équitable cristallise autour de lui un intérêt important ;  il est désormais partie intégrante des stratégies des collectivités. Néanmoins, pour que les démarches se concrétisent, on observe que l’information et la sensibilisation sont déterminantes, tant en interne dans les services qu’en externe vers les partenaires, les commerçants du territoire… Il semble aussi que les besoins soient d’ordre technique comme nous le confie Patricia Veyrenc du service environnement de la Communauté d’agglomération Porte de l’Isère :

“Cette journée a permis de comprendre le commerce équitable et de connaître des acteurs rhônalpins. J’ai apprécié les retours d’expérience des collectivités et le débat sur la place du commerce équitable dans les politiques territoriales. La commande publique équitable n’a cependant pas été abordée dans tous ses aspects juridiques ; il serait dorénavant intéressant de connaître les procédés techniques permettant la passation de marchés publics équitables”.

Face à ce besoin concret et exprimé, le Pôle de Compétences propose un plan d’action qui accompagne les collectivités jusqu’à leur premier
achat et au delà, vers une candidature au titre de Territoires de Commerce Equitable.

Ce plan consiste tout d’abord à renouveler l’expérience du 7 octobre dernier afin de faire se rencontrer des collectivités engagées, avec
d’autres en  passe de l’être. Une  seconde journée est prévue en décembre à Annemasse et une troisième aura lieu en janvier, à Lyon.

Ces séances d’échanges seront suivies début 2011 d’ateliers répondant à des besoins spécifiques (services traiteurs, restauration collectives, distribution automatique), puis de formations techniques et juridiques sur la commande publique équitable (exemple : L’introduction de critères sociaux et environnementaux dans un appel d’offre ?).

Le Pôle se déplace

Enfin, les collectivités peuvent compléter le schéma présenté ci-dessus par une opération de sensibilisation entre leurs murs, afin de lever en interne les freins à  l’achat responsable. En effet et sur demande, le Pôle de Compétences organise et anime petits déjeuners équitables et gouters-dégustation (café, chocolat…),
accompagnés de débats conviviaux sur les enjeux de la consommation responsable.

Pour connaître les actions du Pôle de Compétences sur le commerce équitable et la consommation responsable en Rhône Alpes vers les collectivités et les acheteurs collectifs, nous vous invitons à vous inscrire à la newsletter du site ofretic.com, l’outil de mise en relation
commerciale du Pôle, ou à contacter l’association Equi’Sol au 04 81 91 65 54 ou à l’adresse : amandine.mas@equisol.org

La spéculation affectant notre économie

Commission d’enquête sur les MÉCANISMES DE SPÉCULATION AFFECTANT LE FONCTIONNEMENT DES ÉCONOMIES

 

La commission d’enquête sur les mécanismes de spéculation affectant le fonctionnement
des économies, créée le 24 juin dernier, présidée par M. Henri Emmanuelli (SRC, Landes) et dont le rapporteur est M. Jean-François Mancel (UMP, Oise), procèdera, en présence des journalistes, aux
auditions suivantes, le mercredi 10 novembre 2010, en salle Lamartine :

 

à 16h30 : M. Philippe Marchessaux, administrateur-directeur général de BNP Paribas Investment
partners ;

à 17h30 : M. Jean-Claude Gruffat, directeur général de CITIGROUP France ;

à 18h30 : Mme Catherine Lubochinsky, professeur à l’Université Paris II –
Panthéon-Assas.

 

Mercredi 10 novembre 2010


Retransmission en direct sur le site de l’Assemblée nationale : http://www.assemblee-nationale.tv/direct.html

Enseigner le développement durable à l’Université

SYMPOSIUM du 18 NOVEMBRE 2010

 

Université d’Evry Val-d’Essonne

Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines

UniverSud Paris

Lete REEDS

 

Le développement durable est un domaine d’actions et de débats mondial, qui donne lieu à la création d’emplois et à l’émergence de nouveaux métiers
spécialisés, ou au “recyclage” de métiers existants vers cette dimension. Des universités mettent en place des filières de formation de différents niveaux, et l’université elle‐même comme
organisation ayant à répondre aux exigences du développement durable, est concernée dans son fonctionnement interne et externe. Ces formations et ses exigences lancent des défis qui expliquent
l’organisation de ce symposium : Comment sensibiliser les jeunes et les étudiants par des contenus d’enseignement où les actes comptent autant que les paroles ? Comment mobiliser une multiplicité
d’approches, associant sciences dites “dures” et celles dites “molles”, mais aussi les nouvelles technologies de l’information et de la communication ?

Comment inventer des métiers à la fois spécialisés et généralistes ? Comment former à des “métiers” où les valeurs citoyennes, l’éthique, et les dimensions
politiques, comptent autant que les connaissances, les techniques et le professionnalisme ? Et très concrètement aujourd’hui, quelles initiatives l’université peut-elle prendre dans le cadre du
Plan de Mobilisation des Filières et des Territoires et du Plan vert pour les campus ?

 

 

PROGRAME

 

Le jeudi 18 novembre, amphithéâtre 1,

2 rue du Facteur Cheval à Evry (91000) – France

 

8 h 30 Accueil / 9 h 00 — Ouverture

Frederik MISPELBLOM
BEYER
, Professeur à l’université d’Evry Val d’Essonne, Directeur du département AES et de l’équipe
ETE (enseigner, transmettre, encadrer) associée au CRF Cnam

Martin
O’CONNOR
, Professeur à l’UVSQ, Directeur du laboratoire REEDS (Recherches en Economie écologique,
Eco-innovation et ingénierie du Développement Soutenable)

 

9 h 15 — 11 h 00

TABLE
RONDE
1 : L’EDUCATION AU DEVELOPPEMENT DURABLE, INITIATIVES ET
PARTENARIAT

Animatrice : Isabelle NICOLAÏ, Maître de Conférences UVSQ et, Coordinatrice Formation du PRES
UniverSud Paris – Maryvonne DUSSAUX, enseignante à l’Université d’Evry : « L’éducation au développement durable, un renouvellement dans les formes d’apprentissage »

Hervé PERARD, Maire-Adjoint de la ville d’Evry chargé du développement durable : « Le
développement durable dans les collectivités territoriales : savoir mobiliser les acteurs et les médiateurs »

Gilles CARPENTIER, Directeur Adjoint de la communauté de communauté de communes Caux, Vallée de
Seine : « Le parc Eana, un exemple d’outil pédagogique à la disposition des enseignants »

Camille FROGER et Vasantha ZEGANADIN, étudiantes à l’Institut Supérieur de
l’Environnement, association AESA2D : « L’indispensable mobilisation des étudiants »

 

11h 15 — 12h 45

TABLE
RONDE
2 : LE DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LA FORMATION UNIVERSITAIRE

Animateur : Samir ALLAL, Directeur de l’IUT de Mantes la Jolie, UVSQ

Le Conseil Général de l’Essonne et un groupe d’étudiants des M1 ADT et ADD de l’UEVE : « Apprendre
à enquêter sur l’agenda 21 », exposé d’une expérience pédagogique (coordination : Alain Pena, Maryvonne Dussaux et Abdel Jaoued Kacem)

Yorghos REMVIKOS, professeur à l’UVSQ, responsable du master Sciences de santé, de
l’environnement, des territoires et de la société : « SSEnTS : Une expérience numérique interdisciplinaire et interculturelle »

Martin O’CONNOR, professeur à l’UVSQ et Directeur de REEDS & Jean Marc
DOUGUET
, Maître de conférences à l’UVSQ : « Complexité, TICs et l’enseignement : les défis autour du développement durable »

 

14h 30 — 16h 00

TABLE
RONDE
3 : VERS DES DEMARCHES ECORESPONSABLES A
L
UNIVERSITE

Animateur : Claude MEYER, professeur en sciences de l’information et de la communication,
département Génie Logistique Transports, IUT d’Evry

Michel CAPRON, professeur émérite en sciences de gestion à l’Université Paris 8, ancien Président
de RIODD, chercheur à l’IRG (UPEC) : « Le couplage RSE /développement durable : histoire, enjeux, limites et conséquences pour la formation »

Pauline REYBER, Présidente du REFEDD, Réseau Français des Etudiants pour le développement durable
: « le tronc commun de connaissances au développement durable : un module général de sensibilisation et d’engagement »

Marie Gabrielle MERY, représentante de FONDaTERRA, responsable du Guide méthodologique du
Développement Durable à l’université : « Les initiatives d’éco efficience pour les universités en France »

 

16h 30 — 17h 00 — Séance de Clôture

Sylvie
FAUCHEUX,
Présidente de l’Université de Versailles St-Quentin-en-Yvelines : « Le Plan de mobilisation
des Filières et des Territoires établi par la Conférence nationale sur les métiers de la

croissance verte »

Clôture du Colloque par
Richard MESSINA, Président de l’université d’Evry, Val d’Essonne.

 

Pour plus d’informations :

Université d’Evry : Nadia RHOUNIMI. nadia.rhounimi@univ-evry.fr Tél : +33 (0)1 69 47 78 58

UVSQ : Virginia BRANCO. Virginia.Branco@reeds.uvsq.fr
Tél : +33 (0)1 39 25 53 61

 

Un
événement PRES UniverSud Paris

Négoventis, partout en France

Négoventis, partout en France, à travers 74 CCI, des formations dans les métiers commerciaux, tout au long de la vie, pour tous les publics.

 

LE RESEAU NEGOVENTIS

En 2010, le réseau NEGOVENTIS représente 74 Chambres de Commerce sur l’ensemble du
territoire national issu de la fusion des Ecoles du Commerce et de la Distribution (ECD), des Instituts de Promotion Commerciale (IPC) et des Instituts de Force de Vente (IFV).

L’union de ces réseaux permet de bénéficier d’une reconnaissance unique, d’une couverture
nationale et donc d’une proximité avec les entreprises tout en conservant les spécificités de chaque établissement.

 

L’INTERET DU
RESEAU :

Garantir un niveau de qualité des formations,

(Adhésion et signature de la Charte réseau)

Répondre aux besoins des entreprises en simplifiant l’offre de formation et en proposant des formations
adaptées à leurs besoins,

Favoriser l’insertion professionnelle en proposant des formations en alternance qualifiantes, validées par un
certificat consulaire ou des titres inscrits au RNCP,

Assurer le développement dynamique et harmonieux de l’ensemble des centres de formation NEGOVENTIS et leur
pérennité.

 

LES FORMATIONS DU
RESEAU :

Les huit cycles de formation sont répartis en deux filières métiers :

– les métiers du commerce et de la vente (développeurs commerciaux, gestionnaires
commerciaux de magasin),

– les métiers de l’hôtellerie-restauration (gestionnaire d’hôtel, restaurant et
établissement touristique),

de niveau BAC à BAC +3.

 

L’APPUI DE
L’ACFCI :

Etablissement public à caractère administratif, l’ACFCI représente le réseau des 148 CCI
qui maillent le territoire national. Son Président Jean-François Bernardin a délégué à Bernard Heugues, la présidence de NEGOVENTIS. Il travaille à l’adéquation de la formation professionnelle et
des besoins du marché. Chaque année, NEGOVENTIS, à l’occasion de son conseil de perfectionnement rassemble des chefs d’entreprises pour analyser l’évolution du marché et réfléchir aux besoins en
matière de formation.

 

IMPLANTATION :

NEGOVENTIS est notamment accueilli dans les locaux de La Faculté des Métiers, 3 chemin de
la Grange Feu Louis à Evry (91), au sein d’un campus de 22 000m2, situé à 100 mètres de la gare RER du Bras de Fer ( RER D) et à proximité du nouvel hôpital d’Evry.

3 000 jeunes et 250 formateurs.

Le site dispose de laboratoires de langues, d’un amphithéâtre, de salles multimédias,
d’une médiathèque, d’un pôle de veille et de recherche et d’un restaurant.

 

LE CHOIX DE LA FORMATION
« GESTIONNAIRE D’UNITE COMMERCIALE » :

Depuis 2001, NEGOVENTIS EVRY a choisi de se concentrer sur la formation GUC :
Gestionnaire d’Unité Commerciale pour s’adapter aux besoins des entreprises. Le GUC est un titre inscrit au RNCP niveau III (BAC+2) et se prépare en 2 ans en contrat de professionnalisation ou
d’apprentissage.

 

PROGRAMME DE LA
FORMATION :

Gérer et commercialiser des produits ou services

Participer à l’encadrement et à la gestion du personnel

Contribuer au développement d’un centre de profit

Développer sa maîtrise professionnelle

Conduite de projet : création et reprise d’entreprises.

 

DEBOUCHES :

Conseiller commercial vente / attaché commercial entreprise du commerce

technicien de la gestion administrative des ventes

chef de département commercial

chef d’entreprise, commerçant-artisan.

 

L’OBTENTION DU TITRE
CERTIFIE :

Il s’acquiert par le contrôle continu tout au long de la formation et par les examens de
fin de session écrits et/ou oraux dans chaque bloc de compétences.

 

LES
INTERVENANTS :

Dans le cadre de la pédagogie dispensée aux étudiants inscrits en GUC, la priorité a été
donnée à des formateurs qui ont avant tout une expérience professionnelle validée dans le secteur du commerce, de la vente, de la distribution produits-services.

 

LA SPECIFICITE DU GUC : UN
PROJET DE CREATION D’ENTREPRISE

Dans le cadre de sa formation de 1120 heures, 200 heures sont consacrées au développement
d’un projet de création ou de reprise d’entreprise.

 

SENSIBILISATION A L’ENTREPRENEURIAT

 

« Apprendre Pour
Entreprendre »

Conférences
Plénières

Former des entrepreneurs et promouvoir chez les jeunes l’esprit d’entreprendre constituent
un enjeu majeur, tout en développant la sensibilisation et la formation à l’entrepreneuriat dans le système éducatif.

Les statistiques nationales montrent une certaine frilosité des diplômés pour la création
d’entreprise. Négoventis se dote des conférences
« Apprendre Pour Entreprendre » pour offrir à tous l’opportunité d’inverser cette tendance. Au delà de toute démarche structurelle, la
sensibilisation est le seul moyen de développer l’ambition entrepreneuriale  et d’augmenter le nombre de créations d’entreprises à potentiel.

Ces conférences « Apprendre Pour Entreprendre » permettent d’établir une communication simultanément avec plusieurs correspondants qui tous
participent à la conférence :

étudiants,

apprentis toutes sections,

tuteurs,

membres de la Chambre de Commerce et de l’Industrie de l’Essonne,

membres de la Faculté des Métiers,

membres de Négoventis,

chefs d’entreprises,

partenaires sociaux,

futurs chefs d’entreprise,

détenteurs de projet,

….

Au cours de ces thématiques et assemblées « Apprendre Pour
Entreprendre »,
un orateur vient entretenir l’auditoire d’un sujet
particulier pour lequel il possède des compétences reconnues. Le discours est suivi d’une période de questions préparées par les apprenants, et générées par les publics présents qui mènent à un
débat ou un échange d’idées entre les participants. Chaque thématique aura fait l’objet d’un travail préparatoire sur plusieurs mois par les étudiants de première année de GUC, encadrés par
l’équipe pédagogique de NEGOVENTIS.

 

METHODOLOGIE
« Apprendre Pour
Entreprendre » :

L’action consiste à donner aux étudiants la possibilité de libérer leur potentiel tant sur
le plan professionnel que personnel en s’appuyant sur la réalisation de conférences thématiques
« Apprendre Pour Entreprendre »  à vocation de sensibilisation à l’entrepreneuriat et sur un processus de travail individualisé et en
groupe.

Cette formation basée sur le volontariat des étudiants, vient en complément du cursus
scolaire, et vise à sensibiliser à la création d’entreprise, en résumé à développer “l’esprit d’entreprendre”.

 

Afin de réaliser une bonne ouverture en direction du milieu économique, les étudiants
entrent en relation avec différents interlocuteurs et tissent un réseau avec ceux qui constitueront leurs partenaires de demain : responsables d’entreprises, associations, banques, collectivités
locales, organisations professionnelles.

 

 

OBJECTIFS :

Permettre à l’étudiant de conduire un projet d’organisation de conférence qui le mette en
situation par rapport aux besoins du secteur économique

Libérer le potentiel personnel de chaque étudiant et développer les valeurs morales de
l’action : intégrité, justice, détermination, engagement, responsabilité, passion, action pour la collectivité, force intérieure…

Intégrer l’approche de création d’entreprise dans le déroulement des études de GUC sur les
deux années de formation

Développer les partenariats : école-entreprise, étudiants-acteurs économiques, étudiants-administrations, étudiants- associations

Acquérir une vision concrète de l’entreprise

Développer des compétences pluridisciplinaires

Initier des comportements visant à l’autonomie et à la responsabilisation.

 

 

THEMATIQUES SELECTIONNEES  « Apprendre Pour Entreprendre »
et calendrier :

 

Mardi 30 novembre
2010 :
« AIDER SANS
COMPTER »
 : L’entrepreneuriat social, des
initiatives privées dont la finalité
première est sociale, inventant de nouvelles réponses aux problèmes sociaux, de nouvelles manières de mobiliser des ressources et se souciant tout particulièrement de maximiser leur impact
social

Mardi 8 février 2011 : « COMMUNIQUER SANS BUDGET » : Blog, réseau, email, groupements professionnels, fédération, syndicats, marketing viral,
leaders d’opinion, publicités on line, partenariats

Mardi 22 mars 2011 : « GERER SANS ANXIETE » : La jungle des chiffres : compte de résultat, bilan prévisionnel, tableau de bord, agenda
fiscal, gestion/comptabilité, négocier avec son banquier, guide de survie « anti-crise » des PME

Mardi 17 mai 2011 : « CREER SANS HOMME » : L’entrepreneuriat féminin. Selon une enquête SINE, citée par l’Insee, seul un créateur d’entreprise sur trois serait une femme. L’un des taux les plus
faibles au monde, selon une étude réalisée dans trente-neuf pays.

 

AUTRES THEMATIQUES SELECTIONNEES :

« EMBAUCHER SANS SE RUINER » : aides spécifiques, astuces, modalités, Pôle Emploi, URSSAF, APEC, DDTEFP, choix humain, choix
juridique et économique de la PME, contraintes réglementaires et administratives

« MANAGER SANS SOUCI » : Administration
des services, Gestion des ressources humaines, Marketing-vente, Audit et contrôle de gestion, Financement, Management général, Direction et gestion des PME

« INNOVER SANS RESTRICTION » : Les secteurs émergents, innover pour créer de la valeur, innover pour conquérir de nouveaux
marchés, innover pour améliorer son offre, innover pour anticiper, innover pour distancer la concurrence

« COMMERCER SANS DETRUIRE » : Développement durable, marque NF Environnement, Ecolabel Européen, signe de différenciation
par rapport à la concurrence,

Etc.

L’université de Cergy-Pontoise chez “Nos Quartiers ont des Talents”

Les 23 et 24 novembre 2010 de 10h à 18h

Centre de congrès du Newport Bay Club à Disneyland

Stand 7

 

Depuis 2009, l’université de Cergy-Pontoise participe aux rencontres nationales de Nos Quartiers ont des Talents.
Créée en 2005, l’association vise à faciliter les échanges entre les entreprises et les jeunes diplômés des quartiers populaires. Durant deux jours, les
étudiants de licence 1 à doctorat auront donc l’opportunité d’avoir des échanges directs avec les cadres
supérieurs et chefs d’entreprises de grand groupes et fédérations professionnelles.

Chance
unique d’avoir des conseils pratiques dans le choix de métiers ou de stages et de se constituer un réseau professionnel de haut niveau, l’événement Nos Quartiers ont des Talents permet aux
étudiants de se faciliter la découverte des métiers et l’accès à l’emploi.

Les étudiants de l’université pourront ainsi être aidés par des cadres et chefs
d’entreprises afin d’améliorer leur recherche d’emploi, pratiquer des situations réelles d’entretiens, s’auto-évaluer, analyser leurs atouts…

Au travers de ce partenariat, l’université de Cergy-Pontoise démontre que l’insertion professionnelle est
véritablement au cœur de ses préoccupations. Aussi, tout au long de l’événement, des représentants du BIPE (Bureau d’insertion professionnelle des étudiants) et de la Fondation seront présents et
exposeront notamment les différentes formations proposées à l’université.

 

Pour plus
d’information : http://www.nosquartiers-talents.com

Un manifeste pour le maintient du statut Jeunes Entreprises Innovantes

La 1re édition de Jeni, le congrès français des Jeunes Entreprises Innovantes, qui s’est déroulé le 10 novembre dernier à Toulouse a rassemblé quelques 200 professionnels de l’Innovation. A l’issue
de ce rendez-vous, un manifeste en faveur du maintien du statut JEI a été rédigé.

Un congrès qui se fait la voix des JEI

Ce fut l’occasion d’aborder la particularité du modèle d’affaires des JEI, leurs problématiques de financement, de partenariats, et de parcours mais aussi la question du statut JEI, actuellement menacé par le projet de loi de finances 2011. Les craintes des entrepreneurs de JEI et les conséquences de la modification du statut ont été mises à plat et énumérées.

Un manifeste a été rédigé et signé par les participants, professionnels de l’innovation, venus de toute la France, se faisant la voix des JEI auprès de l’état. Vous trouverez ce manifeste en page jointe (p.2).

Une participation dépassant largement les objectifs prévus

Cette 1èreédition a rassemblé 200 participants venus de la France entière au lieu des 130 attendus dont :

– 70 JEI

– 20 investisseurs

– 10 experts

– 45 représentants d’Incubateurs, de pôles et d’organismes soutenant l’Innovation

– les responsables locaux en charge de l’Innovation

– et 10 représentant de banques nationales ou de Grands Groupes.

Un accueil très positif

Aux vues des actualités en rapport avec le statut JEI menacé et des événements encore trop rares spécifiques à ce type d’entreprises, le congrès Jeni a été très bien accueilli par le public de professionnels de l’innovation. Une enquête de satisfaction remise à la fin de la journée a révélée un taux de satisfaction de 98%. Par ailleurs 88% des personnes interrogées ont déclaré avoir pu largement s’exprimer lors du congrès. Enfin 100% des personnes interrogées pensent que le congrès sera utile pour les JEI et leur environnement.

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