Hausse du nombre de demandeurs d’emploi en mai 2009 (+36 400)

Selon les statistiques publiées le 25 mai par Pôle Emploi et la DARES, le nombre de demandeurs d’emploi en fin de
mois (DEFM) inscrits en catégorie A a augmenté de 36 400 en mai, soit une hausse de 1,5%. Christine LAGARDE, Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi constate que la hausse du
nombre de demandeurs d’emploi ralentit en mai pour le 4e mois consécutif mais qu’elle demeure significative.

Elle estime que la décélération du nombre de chômeurs constitue un signal relativement encourageant dans le contexte
de la crise économique et financière mondiale. Elle reflète en partie les effets des mesures prises par le Gouvernement pour renforcer l’indemnisation du chômage partiel. Christine LAGARDE et
Laurent WAUQUIEZ, Secrétaire d’Etat à l’emploi, rappellent que plusieurs mesures du plan d’urgence pour l’emploi des jeunes vont entrer en vigueur en juin, avec notamment le recrutement de
320 000 apprentis à partir du 1er juin. Le plan prévoit par ailleurs le versement d’une prime de 1 000 euros pour chaque jeune de moins de 26 ans embauché dans un
contrat de professionnalisation jusqu’au 1er juin 2010.

Christine
LAGARDE rappelle que la dégradation de l’emploi devrait se poursuivre pendant plusieurs trimestres, car même une reprise graduelle de l’activité ne se traduirait pas par un repli immédiat du
chômage.

Mesures en faveur de l’emploi avec www.nosemplois.gouv.fr

Le vécu vaut mieux que de longs discours. Pour comprendre les mesures en faveur de l’emploi, les témoignages vidéo des premiers bénéficiaires sont rassemblés sur un site dédié www.nosemplois.gouv.fr

Se reconvertir après un licenciement économique Faire face à la baisse d’activité dans une entreprise Rencontrer des difficultés à l’embauche

Trouver une formation ou un emploi quand on a moins de 26 ans

Accéder à l’emploi avec ou sans diplôme et expérience

Recruter plus facilement pour une TPE, une association ou un organisme public

Embaucher des personnes sans emploi ou en difficultés

Dépôt des comptes sociaux désormais possible sur www.i-greffes.fr

Le GIE Infogreffe annonce que le Ministère de Tutelle des Greffes de Tribunaux de Commerce vient de confirmer la possibilité et les modalités du dépôt des documents
comptables par voie électronique.

Infogreffe propose d’effectuer cette démarche via son portail de formalités www.i-greffes.fr.

Entreprises et mandataires (experts-comptables) pourront dès le 1er juillet déposer les comptes sociaux sous
forme dématérialisée.

En effet, chaque année, les sociétés commerciales sont tenues de déposer leurs documents comptables au Greffe du
Tribunal de Commerce dont elles dépendent dans le mois qui suit l’approbation des comptes par l’Assemblée Générale Ordinaire.

Deux modes de dépôt de comptes dématérialisés sont proposés sur igreffes.fr :

• La première option consiste à déposer les comptes sociaux en langage XBRL. Infogreffe s’est en effet doté de la première base de comptes sociaux en XBRL, afin
d’améliorer significativement la qualité et l’accès aux données légales des Greffes.

Le portail www.i-greffes.fr va préciser d’ici le 30 juin la charte technique sur les modalités du dépôt numérique électronique en XBRL effectué par les
mandataires.

• La seconde option passe par le format pdf.

Dans le
prolongement de sa mission de service public des greffiers, Infogreffe a pour priorité de faciliter l’accès aux données officielles sur les entreprises du Registre du Commerce et des Sociétés
telles que les informations juridiques, économiques et financières.

Les créateurs d’entreprise en reconversion ne veulent plus le salariat

CCI – Entreprendre en France, l’entité fédérant et représentant les
Chambres de Commerce et d’Industrie en matière de création et transmission d’entreprise, publie les derniers chiffres de son observatoire des porteurs de projets, créé afin de mieux les connaître
et répondre à leurs attentes.

 

Des futurs créateurs déterminés

L’objectif de la majorité des porteurs de projets (68%) est de créer son propre emploi, sachant que
parmi eux, 47 % sont demandeurs d’emploi et 43 % sont salariés,

Les porteurs de projets qui décident de se lancer dans l’aventure de la création sont vraiment
déterminés à mener leur projet jusqu’au bout. En effet, 95% des porteurs de projet demandeurs d’emploi poursuivraient leur projet d’entreprise si on leur proposait un emploi salarié.

Parmi ceux-ci, 52% poursuivraient leur projet en refusant l’offre d’emploi. Quant aux salariés
souhaitant créer une entreprise, seuls 32% envisageraient de cumuler leur activité salariée avec leur activité d’entrepreneur.

 

Des porteurs de projets toujours aussi enthousiastes.

Les derniers chiffres montrent que les porteurs de projets décident de faire évoluer leur activité et
de prendre en mains leur carrière de plus en plus rapidement. En effet, sur la totalité des porteurs de projets ayant l’intention de créer leur entreprise, plus de la moitié des
chômeurs  cherchent un emploi depuis moins de 6 mois (56%) et un tiers des salariés ont moins de 5 ans d’ancienneté (34%). La plupart des porteurs de
projets se lancent dans un projet de création (80%) plutôt que de reprise d’entreprise, projet qu’ils ont pour la plupart (90%) l’intention de réaliser  dans l’année.

 

www.entreprendre-en-france.cci.fr

Le Cnam s’engage auprès des compagnons pour former 5000 jeunes à bac+3

Dès sa nomination à la tête du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) en septembre 2008,
Christian Forestier a mis l’accent sur la nécessité d’accompagner les jeunes des filières professionnelles et technologiques, pour leur permettre d’accéder en plus grand nombre aux diplômes
professionnels de l’enseignement supérieur.

 

Dans le cadre de cet ambitieux chantier, le Cnam vient de signer successivement deux conventions de partenariat avec
la Fédération nationale compagnonnique des métiers du bâtiment (FNCMB) et l’Association ouvrière des compagnons du devoir du tour de France (AOCDTF). Chaque année, ce sont ainsi plus de 5 000
jeunes qui pourraient préparer avec le Cnam un ensemble de diplômes de niveau bac+1 à bac+3.

 

Ce rapprochement entre les compagnons et le Cnam s’appuie sur des valeurs partagées par les deux institutions
:

·       l’attractivité des
formations des compagnons et de celles du Cnam chez les jeunes ;

·       l’expérience commune de
la formation professionnelle continue et de l’apprentissage/alternance en coopération étroite avec les entreprises des secteurs concernés ;

·       la volonté de favoriser
l’ascension sociale, d’encourager la progression individuelle, et de promouvoir l’égalité des chances et la diversité ;

·       l’incitation à la
mobilité géographique et professionnelle, avec un maillage régional serré (un établissement public, 29 centres régionaux et 150 centres d’enseignement côté Cnam, la tradition du Tour de France et
75 centres de formation côté compagnon) qui permet de garantir la qualité de la formation et du diplôme sur tout le territoire ;

la
reconnaissance et la valorisation de la haute technicité dans l’enseignement supérieur et dans la société française.

Lancement du Conseil d’Orientation de la Déontologie des dirigeants

Signature solennelle au Sénat le 29 juin à 18 h 00 (salle Médicis)

Les principaux réseaux de dirigeants salariés viennent d’élaborer leur « code de bonne conduite » sous l’égide de la
Fédération Nationale des Cadres Dirigeants (FNCD) en publiant leur charte de déontologie, installent leur
C.O.D.

Chargé d’assurer le suivi de cette charte et d’élaborer un rapport annuel sur l’application et les orientations de
leur déontologie.

 

Cette instance indépendante, placée sous l’égide de la FNCD, a une double mission :

– Assurer la mise en place et le suivi de la charte de déontologie des dirigeants salariés dans les réseaux signataires,

– Elaborer un rapport annuel sur l’application et les orientations de la déontologie.

Par ailleurs, le C.O.D. pourra être saisi, à titre consultatif, pour émettre un avis sur les problématiques susceptibles d’apparaître dans
l’actualité sociale en ce domaine.

Le C.O.D. est constitué d’un mandataire de chacun des réseaux de dirigeants salariés – les premiers réseaux
signataires de la charte étant considérés comme membres fondateurs – et de personnalités qualifiées représentant, par leur fonction ou expérience, les différentes parties prenantes de
l’Entreprise.

Le bureau du C.O.D. est composé,

– d’un président : Jean-Louis CHAMBON (FNCD)

– de trois vice-présidents : Daniel BACQUEROET (DFCG), François DESPORTES (ADOM) et William NAHUM (L’ACADEMIE)

– d’un secrétaire général – François-Xavier SIMON – et de 6 membres.

 

Le collège des personnalités qualifiées se compose de :

– Franck BOURNOIS. Professeur d’université – Paris II. Directeur général du CIFFOP

– Daniel BURLIN. Président de l’IAFEI (International Association Financial Executive Institut)

– Jacques-Henri DAVID. Président du Cercle Turgot

– Jean-Bertrand DRUMMEN. Président du Tribunal de
Commerce de Nanterre

– Bernard ESAMBERT. Président du Club des Vigilants

– Marcel JAYR. Membre de la commission Epargnants de l’AMF

– Membre des comités d’actionnaires individuels de l’ANSA et d’Euronext

– Philippe LANGLOIS. Professeur émérite de droit et Avocat

– William NAHUM. Président de l’Académie des Sciences et Techniques Comptables et Financières

– Médiateur national du crédit délégué

– Raymond POULAIN. Coach, accompagnateur de dirigeants. Past président de Syntec Recrutement

Général (2ème s) Jean-Gilles SINTES. Conseiller du président du Groupe Viel & Cie

– Daniel VITRY. Professeur d’université. Directeur au Ministère de l’Education Nationale

 

Le bureau est, par ailleurs, assisté de quatre commissions : Finance, banque et assurance – Coopération, économie sociale et mutualité –
Industrie – Secteur libéral, public et santé.

 

info@fncd.fr
– www.fncd.fr

M. COEURE : Directeur général du Trésor et de la Politique Economique

Le Conseil des Ministres de ce jour a nommé Benoît COEURE directeur à la Direction générale du Trésor
et de la Politique économique, au Ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi.

Jusqu’alors Chef du service des affaires multilatérales et du développement à la DGTPE et
co-président du Club de Paris, Benoît COEURE  a co-présidé en 2009 le groupe de travail du G 20 chargé de préparer le sommet du 2 avril de Londres sur la réforme de la Banque mondiale et des
autres banques multilatérales de développement.

Économiste reconnu, Benoît COEURE assurera aux côtés de Ramon Fernandez, Directeur général de la DGTPE, des fonctions de pilotage de la direction, dans le cadre d’un large portefeuille d’attributions. Sa nomination
intervient au moment où les deux directeurs qui entouraient le directeur général du Trésor et de la politique économique quittent leurs fonctions. Elle marque une nouvelle étape dans la création
de la DGTPE voulue en 2004 par Nicolas SARKOZY, alors Ministre des Finances, dans le sens d’une simplification des structures de direction.

Né en 1969, Benoît COEURE est ancien élève de l’École Polytechnique et de l’Ensae, titulaire d’un DEA
d’analyse et politique économique et licencié de japonais. Économiste à l’INSEE puis à la direction du Trésor, il a été chef du bureau des politiques économiques et du marché des changes à la
direction du Trésor (1999-2001), conseiller économique du directeur du Trésor (1997-2002), directeur-général adjoint puis directeur général de l’Agence France Trésor, qui gère la trésorerie et la
dette de l’État (2002-2007).

Benoît
COEURE est professeur chargé de cours de sciences économiques à l’École polytechnique et membre du Cercle des économistes.

L’investissement dans l’enseignement supérieur doit-il augmenter ?

Selon la Note de Veille n° 142 (Juin 2009) du Centre d’analyse stratégique, la France dépense 1,3 % de son produit intérieur brut pour financer l’enseignement supérieur alors que les pays de l’OCDE y consacrent en moyenne 1,5 %. Ce résultat s’explique non pas tant par un moindre accès des jeunes à l’enseignement supérieur dans notre pays, mais par une dépense par étudiant plus faible que dans les grands pays développés. Dans la majorité des pays de l’OCDE, le
financement public, tout en restant prépondérant tend à diminuer ; les ménages (les étudiants ou leurs parents) et les entreprises (souvent par le truchement de fondations et le développement des coopérations avec les établissements dans le domaine de la recherche) sont davantage mobilisés. La France fait partie des pays où les frais de scolarité sont peu élevés, mais où les étudiants qui perçoivent des aides, sous formes de bourses ou de prêts, ne sont pas les plus nombreux. À l’horizon de dix ou quinze ans, une augmentation des dépenses consacrées à l’enseignement supérieur paraît nécessaire. Si les projections laissent prévoir une stabilité des effectifs étudiants, un rattrapage concernant la dépense moyenne par étudiant contribuerait à améliorer la performance des formations supérieures. Cette note donne des ordres de grandeur de l’effort financier qu’impliquerait un alignement sur la dépense par étudiant dans les pays où le niveau du PIB par habitant est comparable à la France. Elle en explore également les implications sur le modèle de financement de l’enseignement supérieur.

Comment expliquer le faible niveau de financement de l’enseignement supérieur en France par rapport aux principaux
pays de l’OCDE ?

Dans la majorité des pays de l’OCDE, le financement public, tout en restant prépondérant tend à diminuer

Hypothèses d’évolution des dépenses par étudiant en France : quelles implications en termes d’efforts
financiers supplémentaires ?

Nouveau dépôt de candidatures pour de nouveaux pôles de compétitivité

Conformément au souhait exprimé par le Premier ministre, le 24 septembre 2008, lors du lancement de la phase « 2.0 » de la politique des pôles de compétitivité, le gouvernement annonce la réouverture, jusqu’au 2 octobre 2009, d’un créneau de dépôt de candidatures pour sélectionner un nombre restreint de nouveaux pôles de compétitivité, afin de compléter la couverture des thématiques liées aux écotechnologies tout en maintenant le niveau d’excellence et de visibilité visé par le dispositif. L’émergence, la reconnaissance ainsi
que le renforcement de compétences sur les territoires sont cruciaux pour que l’industrie nationale puisse fournir les technologies de demain permettant un développement durable de notre société
et de nos industries, en réduisant leur impact environnemental.

La sélection du ou des nouveaux pôles reposera sur les mêmes critères et procédure que ceux de l’appel à candidatures ouvert depuis décembre 2004 et qui ont conduit à la sélection des pôles de compétitivité existants. Elle tiendra compte des domaines déjà couverts par les pôles de compétitivité existants et des synergies et
complémentarités apportées. Les projets devront présenter les modalités de leur articulation avec ces pôles.

Le cahier des charges de l’appel à projets de 2004 est consultable sur http://competitivite.gouv.fr/

Les dossiers de candidatures seront déposés auprès des Préfets de région.

Les résultats de cette sélection seront connus en fin d’année.

Par ailleurs, les 13 pôles évalués pour la période 2006 à 2008 comme « nécessitant une reconfiguration en profondeur » seront soumis à l’automne à une nouvelle évaluation par un cabinet d’audit indépendant, dont les conclusions décideront de l’issue de cette phase.

Fin 2009, le Gouvernement pourra ainsi présenter la nouvelle carte de la politique des pôles de compétitivité.

LE FAFIEC lance une émission de radio sur www.fafiec.fr/webzine

Nouvelle émission de radio à périodicité mensuelle, « Destination compétences » est en libre écoute sur www.fafiec.fr/webzine, l’e-magazine consacré à l’actualité de la formation professionnelle.

Après un premier numéro consacré à la GPEC, Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences, avec un entretien avec Alain Labruffe, auteur du livre La GPEC : pour une stratégie durable et adaptable ; la deuxième édition est consacrée au tutorat en entrepris. Dans une interview de 7 minutes, Bernard Masingue, Directeur de la formation à Véolia Environnement et rapporteur au gouvernement sur le sujet reviens notamment sur la question du tutorat pour les « seniors ».

Roland Sirieix, Responsable communication du FAFIEC explique cette démarche : « Peu d’émissions radio sont aujourd’hui consacrées à la formation professionnelle et aux compétences. Pourtant, la radio apparaît comme un média privilégié pour aborder ces sujets. Avec « Destination
compétences », le FAFIEC souhaite donner la parole à ceux qui réfléchissent autour de ces thématiques essentielles pour l’avenir des entreprises et des salariés. »

Pôles de compétitivité : un rôle d’entraînement pour l’économie…

… c’est la vision présentée par Christian ESTROSI, ministre chargé de l’Industrie, pendant son
intervention de ce matin lors de la 5e journée des pôles de compétitivité. La volonté du ministre est, dans le cadre de la phase « 2.0 » ouverte en 2009, de faire jouer aux
pôles de compétitivité un rôle d’entraînement pour l’ensemble du tissu économique des territoires.

Il s’est dit fier des résultats de la politique des pôles de compétitivité lancée en 2005 lorsqu’il
était ministre délégué à l’Aménagement du territoire : 2 700 projets financés lors de la première phase, entre 2006 et 2008, avec une aide de près de 2 milliards d’euros de l’Etat et de
ses agences (ANR et OSEO), 626 projets soutenus par le Fonds unique d’investissement interministériel représentant un volume de dépenses de recherche de 3,4 milliards d’euros financés au deux
tiers par les entreprises.

Il a
rappelé que, derrière ces chiffres, ce sont autant d’emplois que les pôles ont permis de créer aujourd’hui et plus encore à l’avenir.

Entre le CERAM Business School et le Groupe ESC Lille, c’est fusionnel

Le 30 juillet, le CERAM Business School et le Groupe ESC Lille viennent d’annoncer en conférence de presse leur fusion. Cette nouvelle entité devient ainsi la première business school française en nombre d’étudiants avec 5 600 étudiants et 138 professeurs permanents.

Comptant actuellement trois sites en France – Lille, Paris et Sophia Antipolis à Nice – la volonté est de compter à terme plusieurs campus internationaux implantés dans le monde entier, dans les pays qui bougent : « là où cela se passe ».

Alice Guilhon, Directrice Générale du CERAM Business School, prend la tête du nouveau groupe dont le nom et l’identité visuelle seront dévoilés avant la fin de l’année. La première rentrée sous la nouvelle marque devrait se faire pour septembre 2010. Jean-Pierre Raman, Directeur Général du Groupe ESC Lille, devient Délégué Général de l’association loi 1901 qui gère le nouveau groupe. Il sera également en charge des relations avec l’Université et impliqué dans les projets stratégiques.

L’objectif est de créer des pôles disposant d’une taille et de moyens suffisants pour être compétitifs au niveau international. On notera que l’enseignement sera réalisé 100% en anglais.

La nouvelle entité en chiffres

– Une seule Grande Ecole et une palette de programmes Bachelors, Masters of Science, Mastères Spécialisés, PhD et MBA

– 5 600 étudiants

– 20 000 diplômés

– 138 professeurs permanents

– 62 étoiles CNRS, 268 publications

– 46 millions d’euros de budget

– 5 campus : en effet, cette école sera résolument internationale avec déjà 3 campus en France, 1 en Chine, et 1 au Maroc et un objectif d’avoir des campus dans les technopôles où s’invente le monde économique de demain (USA, Inde, Amérique Latine). Ce déploiement offrira à nos territoires de nouvelles opportunités de promotion à l’étranger.

– Des enseignements enrichis : cette école disposera d’une recherche à la pointe des enjeux d’avenir : management de projets innovants et high tech, management de l’information et de la relation clients, globalisation (Fusion-acquisition, et gestion des risques) et dynamiques économiques (Développement durable, RSE).

– Une valorisation de l’apprentissage grâce à un
choix démultiplié de parcours (dont spécialisations certifiées et doubles compétences), une plus grande diversité des expertises, 133 accords internationaux dans 39 pays.

Pour Alice Guilhon :
« Le CERAM et l’ESC Lille fusionnent pour donner naissance à l’une des premières business schools qui formera les décideurs d’un
nouveau monde multipolaire, celui de l’économie de la connaissance. Nous formerons des managers éthiques, libres, humanistes, cultivés, à la pointe des pratiques managériales qui feront la différence. Cette fusion de deux écoles en forte croissance s’appuie sur la volonté de deux équipes pédagogiques d’accompagner les étudiants vers le monde des entreprises de demain.
» les pôles de recherche seront maintenus dans leur spécialité.


De G. à D. :
Alice Guilhon, Directrice du CERAM Business School, et Jean-Pierre Raman, Directeur du Groupe ESC Lille.

Noir sur Blanc en couleur pour cibler l’Economie de la Connaissance

Première agence dans le monde à se spécialiser sur l’enseignement supérieur, lors de sa création il y a 18
ans, Noir sur Blanc change aujourd’hui de logo et affiche un nouveau positionnement. L’Agence évolue en devenant la première agence spécialisée sur l’Economie de la Connaissance. Cette économie
est un enjeu stratégique international. Elle se construit autour du rapprochement d’une multitude d’acteurs issus du monde de l’Education et de la Formation, de la Recherche et de l’Innovation.
Son exposition et son expérience internationale ont permis à l’Agence de constater que de nombreux pays, comme le Qatar, la Chine, le Brésil, l’Inde, construisent leur économie autour de ces
acteurs. Au même titre que l’enseignement supérieur était il y a 18 ans un enjeu pour l’avenir de la société et des jeunes, l’Economie de la Connaissance est aujourd’hui au cœur des
problématiques économiques, écologiques et sociétales. Pour toutes ces raisons, l’Agence évolue naturellement vers ce nouveau positionnement.


Un changement de positionnement métier et secteur par un nouveau logo

Noir sur Blanc est désormais l’agence de l’Economie de la Connaissance. Economie,
porteuse d’enjeux stratégiques internationaux et objet de l’attention de nombreux états sur tous les continents, elle se construit autour du rapprochement d’une multitude d’acteurs issus du monde
de l’Education et de la Formation, de la Recherche et de l’Innovation : universités, grandes écoles, laboratoires de recherche, collectivités territoriales, établissements publics,
entreprises, structures d’accompagnement, etc.


L’université italienne Bocconi lance une chaîne sur YouTube

L’image de Bocconi s’exporte sur la toile avec l’inauguration d’une chaîne officielle, Università Bocconi, sur YouTube, la première communauté de partage de vidéos du monde. La chaîne est accessible à l’adresse www.youtube.com/unibocconi. C’est un outil de plus pour toucher les internautes par des images, des sons et des langages communs aux jeunes générations, toutes nationalités confondues.

L’université milanaise est la première en Italie et l’une des premières en Europe à ouvrir sa propre chaîne dans le but de partager non seulement les comptes rendus exclusifs de ses activités pédagogiques en ligne, mais aussi la vie sociale de ses étudiants. La chaîne n’a pas de fins promotionnelles à proprement parler, c’est plutôt un élément du « Web social », dans lequel Bocconi souhaite jouer un rôle clé. Elle traduit également l’utilisation par l’université d’une communication
basée sur la pratique.

La rubrique « Courses » (Cours) est une sélection de cours d’économie, de management et de droit, qui présente des vidéos des cours les plus intéressants et les plus représentatifs donnés sur le campus milanais. Les visiteurs trouveront dans la rubrique « Events » (Actualité) des vidéos qui offrent un bon aperçu de l’animation des conférences et séminaires si caractéristiques de l’université. 300 rencontres réunissant 45 000 participants ont été organisées pour la seule année 2008, confirmant la volonté de Bocconi de devenir un point de référence de la vie culturelle. La rubrique « Campus » est plus particulièrement destinée à un public international et témoigne de l’expérience de Bocconi en termes de vie universitaire et citadine. Pour finir, « Interviews » est la rubrique journalistique de la
chaîne ; elle rassemble de brèves interviews des membres de la faculté sur l’actualité, ainsi que des comptes rendus exclusifs de la communauté Bocconi sur les activités de recherche menées
tout au long de l’année.

Selon Guido Tabellini, recteur de l’université : « Cette initiative vient compléter un large éventail d’outils électroniques, grâce auxquels Bocconi garde le contact avec le public de son choix, qui inclut désormais, après le processus d’internationalisation accéléré de ces dix dernières années, le monde du commerce international et les futurs étudiants du monde entier. »

Première revue francophone de management – Revue gestion REVUE GESTION Revues de Gestion