n°266 Management stratégique

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Editorial : « Pas plus loin que le bout de son nez… »

par Aude d’Andria – Rédactrice en chef
et Philippe Naszályi – Directeur de La RSG

aude d andriaPhilippe NaszalyiQui ne s’est pas entendu dire cette réplique ironique dans sa prime jeunesse, voire pour les moins matures, un peu plus tardivement ? Normalement, avec l’expérience que l’âge permet d’acquérir, cette incapacité à « voir plus loin que le bout de son nez » s’estompe ou disparaît. Du moins, cela devrait être !

Ce n’est hélas pas le cas de nombre de nos dirigeants. Et notamment de ceux qui mesurent tout à l’aune de leur « pouvoir » et qui pensent que tout commence avec eux et prennent pour rien ce qui a été fait par d’autres. On les nomme souvent réformateurs car ils ne s’attaquent pas au fond des choses, mais juste à leur apparence. Cette extrême faiblesse, que le beau mot venu du latin qualifie d’« imbécillité » au sens physique est bien là où se conjuguent cécité et surdité. Elle leur fait oublier que nous ne sommes que « des nains juchés sur les épaules de géants », selon l’excellente formule attribuée à Bernard de Chartres, un penseur toujours actuel, du XIIe siècle !1

On rencontre ces modernes Trissotins à tous les postes du pouvoir et souvent même lorsqu’ils ont réussi l’épreuve de « culture générale » des concours d’entrée des Grandes Écoles.

D’autres, encore plus Trissotins, et qui n’ont pas lu La Princesse de Clèves, entendent supprimer au nom d’une forme d’égalitarisme que donne l’ignorance, cette culture générale qui permet de ne pas cantonner les hommes à l’utilitarisme immédiat de la consommation. Il est vrai que dans le même temps, Patrick Lelay qui fut le patron de la 1re chaîne de télévision française, résumait ainsi la pensée « moderne » : « soyons réalistes, à la base, le métier de TF1, c’est d’aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit (…). Pour que le message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible.

Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible, c’est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible.2 »

Or, vouloir du temps de cerveau humain qui ne penserait désormais qu’à court-terme, c’est prôner la « décérébrarisation ». Le contexte, il est vrai est peu favorable à ces femmes ou hommes qui entendent voir au-delà de trois semaines, voire plus court encore.

Nos lecteurs l’ont compris, c’est bien de tout le contraire que traite ce numéro, puisqu’il entend aborder la stratégie et le management stratégique. La vision d’avenir est ce qui manque le plus à la gestion qu’elle soit celle d’un État, d’une organisation ou d’une entreprise.

Les scientifiques depuis Hubble, savent que « voir loin, c’est voir dans le passé » et comprendre ainsi l’expansion de notre monde car « l’homme, qui croit à partir d’un passé complexe, est tourné vers l’avenir et il est en même temps préoccupé par son propre avenir, par l’avenir du monde.3 »

Plus préoccupés de son propre avenir que de l’avenir du monde, telle pourrait être la caractéristique de la seconde catégorie de ces « courts termistes » ou stratèges à l’envers qui garnissent les places des directions des groupes publics et privés dans cette endogamie mortifère que l’Étranger nous reproche. Dans les régions reculées jadis, ces pratiques entraînaient des retards physiques voire pire. Ce fut le « crétin des Alpes », cher au capitaine Haddock ! Il n’est pas sûr que de nos jours, cela n’entraîne pas aussi une malformation congénitale qui atteigne la pensée libre et ouverte. Cela s’étend du monde politique ou des affaires à celui des médias guère différents, mais aussi et de manière plus grave, à celui des universités ou de la recherche. Après de nombreux éditoriaux de notre revue4, après des études dont celles menées depuis 2000 par l’AFEP5 sur le recrutement des enseignants d’économie, deux rapports6 viennent de faire le constat amer de l’absence de pluralisme dans la pensée des économistes français. Ce que l’on peut appeler le « mainstream » est si fort qu’il ne permet même plus de voir ce qui, au premier abord, est incohérent pour tous ceux qui ont conservé un grain de « bon sens ».

Prenons quelques exemples qui, loin d’être exhaustifs, en sont pourtant éclairants !

Le sous-investissement

Droite ou gauche tombent en pâmoison devant le Rapport Gallois pompeusement intitulé « pacte pour la compétitivité de l’industrie française » publié le 5 novembre 20127. Tout le monde oublie que, président de la SNCF de 1996 à 2006, la politique de « sous-investissement persistant » de son auteur visait à verser des dividendes à l’État actionnaire selon la doxa néo-libérale toujours en vogue. Ce n’est donc pas seulement « le tout TGV », c’est le « tout monétariste à court terme » qu’il faut lui reprocher par capitulation au courant dominant ! Et pourtant en 2005 déjà, l’École polytechnique de Lausanne dans un audit, pointait du doigt la dégradation continue des voies ferrées et estimait que, faute d’entretien, 60 % des lignes devaient être inutilisables en 20258. La Cour des Comptes qu’on préfère, comme ici, dans son véritable rôle qui est de « s’assurer du bon emploi de l’argent public et d’en informer les citoyens » (selon l’article 47-2 de la Constitution) que dans celui qu’elle s’adjuge de croire qu’elle a une compétence de gestionnaire (depuis quand apprend-on la Gestion à l’ENA ?), rapportait en 2010 que « Les difficultés récurrentes de qualité du service rendu sur le réseau Transilien (…) résultent surtout d’un sous-investissement persistant sur le réseau existant »9.

Certes la sagesse populaire prétend que « les conseilleurs ne sont pas les payeurs », mais quand même ! Il y a eu un accident mortel (7 morts) en 2013 sur ce Transilien ! Heureusement, ce sympathique représentant de la caste court-termiste s’investit personnellement dans la réparation des fruits des politiques qu’il prône. Il est devenu le président de la Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale (FNARS), qui regroupe 870 associations de solidarité et organismes qui vont vers et accueillent les plus démunis10. Cela ne s’invente pas !

Les méthodes archaïques

Nul doute que l’actuel président de La Poste ne se range aussi dans cette catégorie. La vieille dame créée par Louis XI doit être inoculée de ce que nous appelions déjà en 1996, la « gestionite »11. Cette maladie est imposée par tous ceux qui se croient gestionnaires sans n’avoir jamais rien dirigé d’autre que ce que la brigue ou la naissance leur ont apporté.

La compétence de Philippe Wahl en matière de courrier, est celle que l’on attribue à un camarade de promotion du ministre qui l’a nommé. Chaque jour, l’on en mesure les méfaits et les entreprises comme les particuliers souffrent de sa pratique idéologique déconnectée des réalités, mais sûre d’elle-même !

Quant à la finance, ce « patron » de la banque postale l’a apprise à la meilleure source. Dès 2007, il est directeur général à la Royal Bank of Scotland (RBS). Dans la tourmente financière, l’antique banque ne dut son salut qu’à la nationalisation par le gouvernement de Sa Majesté. Ce dernier depuis, envisage de loger les actifs toxiques dans une structure de défaisance (« badbank ») interne en vue d’en céder la majeure partie et d’accélérer la privatisation12. Toujours le vieux principe néo-libéral : « privatiser les profits et mutualiser les pertes » ! Ils appellent cela la bonne gestion du privé !

Rappelons que mêlée au scandale du Libor, révélé fin juin 2012 qui avait été constitué de ces manipulations des taux interbancaires entre 2005 et 2009, la RBS a reconnu avoir dû se séparer de salariés mêlés à cette affaire13. En 2011, notre sympathique énarque passait donc de ces « actifs toxiques » aux antiques chèques-postaux, rebaptisés pour « faire genre », mais pas seulement hélas, la Banque postale. Il lui infligeait un traitement destiné à en faire une vraie banque, comme la RBS, sans doute, sur les fonds publics préexistants cette fois. Déjà dans un ouvrage prémonitoire, en 1999, le Sénateur Gérard Delfau14 s’inquiétait pour cette entreprise publique « que Bercy ne cesse de sacrifier, sous la pression du lobby bancaire » !

Pas plus loin que le bout de son nez !

Faut-il chercher plus loin ce qui est la plaie des entreprises et de cette économie où la micro ignore ce que fait la macro et inversement. Ceux qui en appellent aux charges excessives le matin après quelques licenciements, débattent entre pairs de la baisse des dépenses publiques à midi et s’époumonent le soir, au collège, sur le manque de moyens de l’école de leurs enfants !

La doxa qui veut que « l’égoïsme rationnel » d’Ayn Rand permette de faire avancer une société, est dans l’impasse.

Penser à court terme ne mène qu’aux errements comptables des pseudo-gestionnaires à la petite semaine qui peuplent les allées des pouvoirs et se propagent partout. La boutique et surtout l’esprit boutiquier, sont aux affaires !

Un film américain sorti en 2011, Moneyball que l’on a traduit par le « Stratège », résume bien par son titre et son histoire (pitch) ce que ce numéro 266, entend apporter.

Billy Beane, incarné par Brad Pitt, le responsable des Oakland Athletics, est confronté à une situation difficile : sa petite équipe a encore perdu ses meilleurs joueurs, attirés par les grands clubs et leurs gros salaires. Bien décidé à gagner malgré tout, il cherche des solutions qui ne coûtent rien et auxquelles personne n’aurait pensé avant… Il engage un économiste amateur de chiffres, Brand, issu de Yale.

Ensemble, contre tous les principes, ils reconsidèrent la valeur de chaque joueur sur la base des statistiques et réunissent une brochette de laissés-pour-compte oubliés par l’establishment du baseball. Trop bizarres, trop vieux, blessés ou posant trop de problèmes, tous ces joueurs ont en commun des capacités sous-évaluées. Avec leurs méthodes et leur équipe de bras cassés, Beane et Brand s’attirent les moqueries et l’hostilité de la vieille garde, des médias et des fans, jusqu’à ce que les premiers résultats tombent…

On pourra nous objecter que le cinéma n’est justement pas la réalité et qu’il est bien loin de la gestion. En est-on sûr ?

Le spécialiste du cinéma qu’est Emmanuel Ethis rappelle que « décider de « partager » un film signifie également que l’on prend le risque de « se partager » à propos du film »15.

Assumons donc notre conviction profonde en la valeur réaffirmée de l’intelligence collective.

On la trouve ailleurs qu’au cinéma. L’expérience de Foldit (« plie-là », en anglais), est organisée tous les deux ans depuis 1994 par le Centre de prédiction de la structure des protéines de l’université de Californie. Ce concours a pour but de déterminer le meilleur outil de prédiction de structures protéiques tridimensionnelles. Les résultats ont dépassé les espérances des initiateurs « devant tous les laboratoires académiques travaillant de manière traditionnelle ». Ce travail sous la forme d’un jeu, a permis trois grandes avancées scientifiques qui ont été publiées dans Nature (2010), les Comptes-rendus de l’Académie américaine des sciences (2011) et Nature Biotechnology (2012). « C’est la faculté de raisonner en sortant du cadre prédéfini, propre à l’être humain, celle-là même que nous utilisons pour résoudre des puzzles, visualiser des structures dans l’espace, ou reconnaître des motifs, qui permet le succès du jeu » qui est « la clé (…) de « la capacité des joueurs à anticiper les modifications prometteuses ».16.

Cela démontre que la prospective naît de la coopération qui est là encore, plus enrichissante que la concurrence effrénée, chère à nos court-termistes. Le management stratégique, la réflexion à moyen et long terme pour faire mieux, plus, avec des équipes ouvertes dans un environnement maîtrisé et respecté… tel est le sujet de ce numéro que la rédactrice en chef a ordonné autour des valeurs quinquagénaires de La RSG. Deux dossiers composent ce numéro.

Le premier dossier intitulé « Stratégies du dedans ou du dehors ? » aborde la question de la territorialité en organisation. Où produire ? Faire ou faire faire ? Contrôler ou accompagner l’émancipation ? Maîtriser l’information ou faire confiance ?.. Autant de choix décisifs auxquels sont confrontés responsables et managers et qui les engagent à moyen et long terme. Ouvrant ce dossier, l’étude de Nicolas Dufour et Gilles Teneau apporte dès lors un éclairage sur les pratiques d’externalisation des centres de services sur site et hors site. Au-delà de la convergence entre qualité et maîtrise du risque, ils montrent que c’estle choix du niveau de contrôle ou du transfert de la responsabilité qui importe. Vient ensuite la recherche de Manuelle Guechtouli qui met en avant la nécessité d’une formalisation structurée du système de veille stratégique afin de gagner en efficacité et en légitimité. Comme en écho à la formalisation, Salma Fattoum et Sophie Vallet s’intéressent ensuite aux motivations et enjeux de l’essaimage de dix grands groupes français. Elles montrent comment ce dispositif entrepreneurial dans lequel se retrouvent trois politiques distinctes mais complémentaires liées à l’innovation, la GRH et la RES, est porteur de synergies en interne et ouvre des opportunités en externe entre partenaires.

Poursuivant dans cette voie, Foued Cheriet et Laure Dikmen Gorini mettent en avant qu’un mode de gouvernance mêlant une instabilité dynamique (contrôle-confiance) peut aider au maintien de la relation dans le temps dans les alliances stratégiques asymétriques dues à un effet de taille entre partenaires.

Addelilah Yassine aborde ensuite les effets des manœuvres stratégiques lorsque les entreprises sont rivales. Dans son étude sur le marché de la presse « people », il montre que plus les changements sont porteurs d’innovation et plus les délais de réactions des concurrents pour y répondre sont longs.

Le deuxième dossier est consacré aux : « Comportements d’ici et d’ailleurs ». Au fil des cinq articles qui ont été sélectionnés, les lecteurs chemineront de thèmes en thèmes à travers les continents. Après une synthèse de la littérature sur les motivations entrepreneuriales, Sabrina Bellanca et Olivier Colot propose une typologie des entrepreneurs belges. Dans un registre différent, l’article de Sophie Nivoix et Prateek Gupta nous proposent une analyse comparée des caractéristiques économétriques de trois marchés des actions en Asie : Chine, Inde et Japon. Il fournit des résultats intéressants pour la connaissance de la dynamique de ces marchés et pour les investisseurs qui y interviennent. Pour la troisième recherche de ce dossier, La RSG se félicite de pouvoir présenter la recherche venue du Brésil, vers lequel par ailleurs, sont tournés tant de regards au travers des travaux de Marcos Ferasso et Lilia Maria Vargas (page 89). Leur contribution est une proposition théorique stimulante du processus de création de la connaissance au sein des stratégies de clusters industriels. Vient ensuite l’étude d’Amel Chaabouni et Abdelfattah Triki qui se focalise sur l’usage d’un système de gestion intégrée (de type ERP) en montrant que se diffuse progressivement la capitalisation des connaissances au sein de deux PMI tunisiennes. Pour finir, l’article de Salah Koubaa analyse les relations coopétitives issues des interactions compétitives et coopératives. À partir d’une étude de 110 PME au Maroc, l’auteur met en évidence l’importance des coopérations inter et intra-organisationnelles dans la capacité d’absorption et le partage des connaissances favorisant alors l’innovation en contexte de PME.

Depuis cinquante ans, La Revue des Sciences de Gestion (de son premier titre Direction & Gestion des entreprises) vise à offrir une tribune à des recherches originales en gestion. Sans se limiter à une thématique, sans exclusivité disciplinaire, sans parti-pris méthodologique, La RSG privilégie les articles innovants et s’attache à toujours essayer de « voir plus loin que le bout de son nez ».

C’est pourquoi, à l’occasion de l’anniversaire de la parution du 1er numéro (mars-avril 1965), une journée d’étude organisée le jeudi 26 mars 2015 sur le campus de Télécom École de Management (Évry, France) abordera les enjeux et les perspectives de la publication en français en sciences de gestion (voir page 8). Les recherches réflexives sur les pratiques professionnelles de la communauté académique seront particulièrement bienvenues. En outre, à l’image de la politique éditoriale de La RSG, toute recherche innovante peut être proposée dès lors qu’elle se fonde sur des réflexions stimulantes et rigoureuses.

À vos agendas et à vos plumes !

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1. Nani gigantum humeris insidentes

2. Patrick Le Lay, PDg de TF1, « The digital Deluge », « The Harold Innis lecture », Innis College, Université de Toronto, 16 novembre 2000, cité par Mario Cardinal : « Il ne faut pas toujours croire les journalistes », Bayard Canada, Montréal 2005, page 49.

3. Jean-Paul II, Action de grâce.

4. Ph. Naszalyi, (2006) « L’entreprise est une chose trop sérieuse pour être confiée à des économistes ! », n° 219.

5. AFEP http://www.assoeconomiepolitique.org/spip.php?article503

6. « Sortir de la crise de l’enseignement supérieur d’économie », Rapport Idies 2014, par Philippe Frémeaux (Idies-Alternatives Économiques), Gérard Grosse (Idies-Apses) et Aurore Lalucq (Idies-Institut Veblen) http://www.idies.org/public/Publications/1406RapportEnssupEcoIDIESFinal2.pdf

« L’avenir des sciences économiques à l’Université en France », Rapport à Monsieur le ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et à Madame la secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, remis par Monsieur Pierre-Cyrille Hautcoeur, Président de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales, le 5 juin 2014 http://cache.media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/file/Formations_et_diplomes/05/1/Rapport_Hautcoeur2014_328051.pdf

7. http://medias.lemonde.fr/mmpub/edt/doc/20121105/1786014_53da_rapport_de_louis_gallois_sur_la_competitivite.pdf

8. Localtis.info, le quotidien en lignes des collectivités territoriales et de leurs partenaires, 8 juillet 2014, http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250267463727&cid=1250267459531

9. Cour des Comptes, Rapport public thématique : les Transports ferroviaires régionaux en Ile de France, La Documentaion française, 2010, 210 pp. page 89

http://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapportspublics/104000612/0000.pdf,

10.  http://www.fnars.org/images/stories/nous_connaitre/organisation/IS001-Membres-du-Bureau-federal.pdf

11. « La Gestionite » direction et gestion des entreprises n° 155-156.

12. Le Monde économie, 1er novembre 2013. http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/11/01/royal-bank-of-scotland-va-creer-une-badbank_3506727_3234.html

13. Le Monde économie, 3 août 2012. http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/08/03/libor-rbs-reconnait-avoir-renvoye-un-certain-nombre-d-employes_1742242_3234.html

14. Gérard Delfau, « La Poste, un service public en danger, Constat et propositions. », 172 p., L’Hramattan, 1999.

15. Emmanuel Ethis, Sociologie du cinéma et de ses publics, Armand Colin, coll. « 128 Paris », 2005, 128 pages, page 8

16. Notre source pour ce paragraphe se trouve dans l’article de Fanny Bernardon, Maxime Borry et Maria Pothier : « Foldit, un jeu pour faire de la recherche » La Recherche, n° 467, septembre 2012, page 68

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