Guillaume Cairou, Président du Club des Entrepreneurs, s’exprime sur la situation fiscale en France

Pour Guillaume Cairou : « Les impôts à la fête, les entrepreneurs régalent… pourquoi faire simple et efficace est-il si compliqué
? Trop mal d’impôt a tué l’impôt, l’emploi et l’entreprise. Ayons le courage de se réformer sans attendre.

Faisons le savoir sans détour. Les 18 500 entrepreneurs que j’ai l’honneur de représenter sont exaspérés par les
projets gouvernementaux successifs qui, malgré leur mobilisation, continuent de les prendre pour cible et de ne pas entendre leurs préoccupations pourtant légitimes. Nous ne faisons pas de
politique. Certains d’entre nous ont voté pour François Hollande et pour sa majorité. Nous ne céderons jamais à la facilité du dogmatisme mais nous estimons qu’il est temps de faire savoir
qu’alors que nous avions le sentiment d’être la cible du gouvernement, nous avons maintenant le sentiment d’être devenus les laissés-pour-compte de ses réformes.

Sans remettre en cause les politiques publiques actuelles ni stigmatiser la dépense publique nous affirmons que la
France ne pourra pas surmonter les enjeux économiques majeurs qui pèsent sur elle avec une stratégie fiscale aussi errante.

Voilà donc comment selon notre expérience issue du terrain la France peut réussir à l’heure où la prophétie de
Michel Audiard semble malheureusement se réaliser… ‘le jour est proche où nous n’aurons plus que l’impôt sur les os’ affirmait-il à cet égard.

Alors que la crise que nous traversons exige des efforts considérables et partagés, l’idée d’un impôt à taux
unique (c’est-à-dire d’un taux identique pour tous les contribuables français), accompagnée d’un régime de TVA simplifié (un taux unique pour tous les secteurs) paraît plus que jamais
incontournables. Cela permettrait d’éviter d’étouffer nos entreprises et de réduire tant les fraudes à la TVA que les cas de grands groupes qui déploient chaque jour davantage d’ingéniosité pour
ne payer qu’un très faible taux d’impôt par rapport au chiffre d’affaires réalisé.

Or, en diminuant les impôts de toute nature, le travail dissimulé recule. En stabilisant l’impôt et en le
simplifiant, c’est-à-dire en supprimer les milliers de niches fiscales, on encourage l’investissement et la fraude recule car chaque niche est l’occasion d’une fraude.

Entrepreneurs, il nous semble que des réformes fondamentales simples ne doivent plus se perdre dans des compromis
qui n’aboutissent pas à de véritables réformes structurelles dont manque pourtant cruellement notre pays et que la situation appelle plus que jamais.

Entrepreneurs, nous avons le sentiment que la France a trop longtemps eu les yeux plus gros que le ventre. Elle ne
peut plus se permettre de faire fuir les talents ou pire, de les étouffer quand ils ont choisi courageusement de rester en ne se demandant pas ce que leur pays peut faire pour eux mais en
pressentant ce qu’ils pouvaient faire pour lui.

Nous entrepreneurs considérons que la France ne peut plus ne pas avoir le courage de débattre enfin de ses enjeux
fiscaux car elle doit réussir à les surmonter. Cela appelle un préalable : la suppression des innombrables exonérations et autres niches fiscales qui, d’un point de vue seulement fiscal, font de
la France l’un des pays les plus incohérents, injuste et inefficace.

Au fil de nos rencontres sur le terrain et de nos déplacements en région, nous entrepreneurs nous rendons compte à
quel point nos dirigeants se leurrent encore trop sur la réalité de la situation entrepreneuriale française, européenne et plus largement mondiale. Sur le terrain de la compétition économique
comme sur celui de la bataille entrepreneuriale, nous constatons nous que la concurrence fiscale est devenue une nouvelle arme de la compétitivité dont la France se prive de façon injustifiable.
C’est avant tout pour cette raison que la bataille est quotidiennement plus difficile pour nos entreprises à mener.

Nous, entrepreneurs, avons trop souvent à faire face à une complexité administrative insupportable comme à une
instabilité normative ingérable.

Un impôt à taux unique (discutons d’ailleurs librement mais ouvertement de son niveau) rapporterait largement
autant à l’administration française que le système fiscal actuel sans induire la moindre pénalisation des ménages les plus pauvres dont nous avons bien conscience qu’il faut les protéger en ces
temps difficiles. Bref, moins d’impôts mais mieux d’impôts peuvent apporter autant de recettes que trop mais mal d’impôts.

Tout prouve aujourd’hui que les bénéfices réputés sociaux de taux multiples n’existent pas. En revanche, les
chiffres de la situation économique actuelle démontrent à eux seuls sans ambiguïté aucune que le système actuel pèse lourdement et de façon néfaste pour la croissance économique de notre
pays.

Notre pays doit retrouver la croissance. Ce chemin ne se retrouvera qu’en obtenant un avantage comparatif dans la
compétition économique mondiale. L’impôt à taux unique est un outil précieux pour atteindre cet objectif.

J’entends déjà les polémistes de la première heure crier au scandale et à l’injustice. Or, cette taxe ne créerait
pas le moindre début de commencement d’inégalité devant l’impôt puisque en restant un instrument de redistribution de la richesse puisque les riches contribuent davantage que les pauvres à la
sphère publique.

L’essentiel n’est de toute façon pas de savoir qui paie l’impôt mais de combien l’État dispose d’argent pour
accomplir ses missions et aujourd’hui l’État manque cruellement de moyens à l’heure pourtant où ces moyens n’ont jamais été aussi nécessaires pour surmonter la crise et redresser l’économie
nationale incontestablement mise à mal par les turbulences que des années de conservatisme ne la rendait pas à même de surmonter.

L’impôt doit être moins dissuasif parce que si trop d’impôt a tué l’efficacité de l’impôt dans notre pays, il a
avant tout tué l’emploi. Vous nous y attendez, nous y sommes. A ce plus vieil adage que connaît la science économique. Pourtant, ni libéraux ni idéologues mais pragmatiques et réalistes, nous
entrepreneurs, avons une conviction assumée : l’État doit être fort. Il sera d’autant plus fort qu’il aura retrouvé les moyens d’agir. Cela passe par une réforme fiscale d’ampleur. Comment ne
rien faire alors que le système fiscal actuel est tel qu’il décourage l’activité et provoque une baisse de la base taxable donc une baisse en valeur absolue de l’impôt encaissé par l’État.
Pourquoi s’obstiner à ignorer cette réalité ?

Nos dirigeants ne peuvent plus refuser de s’adapter à cette réalité. Ne pas réformer le système fiscal actuel
c’est continuer de voir les contribuables et les entreprises déménager ailleurs, et donc l’assiette fiscale fondre comme neige au soleil, comme l’indique la baisse constante du nombre de
contribuables solvables en France. Dès lors, il faut mieux d’impôt pour rapatrier les contribuables et augmenter le produit général des impôts. C’est dès lors bien d’une réforme gagnante-gagnante
dont nous vous parlons.

Enfin, posons nous la seule question qui vaille. Mis à part à rémunérer des consultants fiscaux, à quoi est encore
utile notre système fiscal ? Plus personne ne peut sérieusement affirmer en maîtriser ni le sens ni l’objectif et encore moins les subtilités. Comment dès lors attendre une minute de plus pour le
réformer ? Plus un Français ne sait ce qu’ils paient ni à qui ils le paient. Plus une entreprise n’arrive à prévoir ce qu’elle va devoir. Veut-on que nos entreprises, qui sont les seules à créer
de l’emploi, se concentrent sur leur optimisation fiscale plutôt qu’à la création d’un large élan vers l’innovation technologique, la création d’entreprises et à l’amélioration globale du niveau
de vie de notre société ?

Alors, oui, aucune solution n’est idéale et nous avons la modestie et la sincérité de reconnaître que nous ne
possédons ni la vérité révélée ni la réforme parfaite mais nous constatons que la politique fiscale française arrive à un tournant de son histoire, nous ne voulons plus que notre quotidien
entrepreneurial se résume au constat du coût de l’irresponsabilité politique pour ne pas dire d’une certaine lâcheté face à la réforme même consensuelle et incontestablement rendue
indispensable.

Rendons à notre beau pays qui nous a tant donné et à qui nous devons tant, la lumière fiscale qu’il
mérite. »

Guillaume Cairou est :
Président du Club des Entrepreneurs
Président de la Fédération Européenne du Portage
Salarial,
PDG du Groupe Didaxis, leader du portage salarial en France,
Mentor à la CCIP au sein de l’Institut du Mentorat Entrepreneurial de Paris (IME)
Membre de
CroissancePlus,
Auteur du livre « Créer son entreprise » aux éditions Jacob-Duvernet. http://www.clubdesentrepreneurs.org

Criteo : le “roi” mis à nu

Voici une tribune libre d’Edgar Baudin, Partner chez Makazi Group, que nous avons reçu et publions.

A l’heure où Criteo annonce son entrée en bourse le 30 octobre
2013, les annonceurs sont de plus en plus préoccupés par les questions liées à la propriété des données personnelles de leurs clients ou prospects et au contrôle de leur exploitation. Cette
introduction soulève de nombreuses questions. Le « roi » va-t-il être mis à nu ?

Cette IPO couronne la réussite de cette entreprise pionnière du retargeting publicitaire, affichant une croissance
exceptionnelle depuis plusieurs années et véritable fleuron du savoir-faire technologique français dans ce domaine. Au-delà de la réussite de Criteo, certains éléments nous paraissent importants à souligner, notamment sur l’avenir de la publicité digitale. A notre sens, la question n’est plus de savoir aujourd’hui s’il est important ou non pour une entreprise de trouver de nouveaux leviers publicitaires. L’enjeu est d’instaurer une démarche maîtrisée et vertueuse de marketing en ligne, tandis que les questions relatives à la protection des données personnelles et l’augmentation de la pression publicitaire alimentent des débats parfois houleux.

Criteo a sans conteste été un des pionniers du « Data Marketing » dans le monde. Il semble aujourd’hui que son modèle se heurte à d’importantes questions – telles que la rentabilité effective pour les annonceurs, la propriété des données, la transparence et l’évolution des réglementations liées à l’exploitation de données personnelles – et montre ses limites, notamment sur le court-termisme de ces opérations.

De plus en plus d’annonceurs se posent aujourd’hui la question de la rentabilité de tels services, alors que la part du marketing digital est de plus en plus importante dans leur budget. Lors de cette introduction en bourse, Criteo devra dévoiler son taux de marge brute (évalué à 50% selon les documents officiels d’entrée en bourse). Il y a fort à parier que de nombreux annonceurs clients de Criteo s’interrogeront sur la rentabilité de leurs opérations.

En outre, les annonceurs prennent conscience de la difficulté de retracer précisément le chemin menant leur client à l’acte d’achat. Aujourd’hui, une pratique de marché, bien qu’imparfaite, s’est généralisée : on attribue la vente au dernier opérateur publicitaire qui est intervenu auprès du consommateur. En l’occurrence, très souvent : Criteo ou Google Adwords. Mais nombreux sont les annonceurs qui remettent en cause cet usage et s’interrogent sur son impact sur leurs chiffres de vente réels, à défaut d’information tangible à ce sujet. Au final, c’est le modèle d’affaires de Criteo qui est en jeu.

Au-delà de Criteo, l’ensemble des acteurs du marketing digital doit réfléchir aujourd’hui à une nouvelle philosophie. En premier lieu, la pression publicitaire accrue est de plus en plus mal perçue par les consommateurs. Les annonceurs ne pourront longtemps éluder cette question. Si les entreprises sont conscientes que l’exploitation de données personnelles forme un levier majeur d’amélioration de leurs performances, elles savent également qu’une mauvaise utilisation de ces données peut nuire à leur réputationet
peut donc avoir un impact négatif sur leur valorisation financière.

D’autre part, dans un contexte de débat très vif sur l’exploitation des données personnelles (soulevées notamment par l’affaire Prism), les autorités européennes ont manifesté leur volonté de renforcer l’arsenal législatif – notamment les réglementations sur l’utilisation des « cookies », à la base des techniques employées par l’industrie de la publicité en ligne. Si les grandes entreprises comme Google, Microsoft, Facebook ou Twitter sont au centre de ce débat, on n’imagine pas des acteurs du marketing digitalmoins connus du grand public s’en affranchir.

Pour toutes ces raisons, les annonceurs souhaitent reprendre le contrôlede leur marketing digital basé sur les données personnelles, afin d’établir une relation plus saine et durable avec leurs clients qui rejettent en masse le « matraquage » publicitaire. Face à la multiplication des canaux de promotion (réseaux sociaux, liens commerciaux, e-mailing, affiliation, retargeting, mobilité, vidéo, etc.), ces annonceurs prennent conscience de la nécessité d’orchestrer et de centraliser leurs actions de communication et leurs données. Avec la maturité des nouvelles technologies Internet et la montée en puissance du Big Data, de nouveaux modèles de communication sont amenés à être développés. Ils présentent comme caractéristiques principales : plus de transparence sur l’utilisation et la provenance des données, et plus de pouvoir d’action sur les données. Cette reprise en mainpar les annonceurs annonce l’avènement de solutions technologiques plus souples leur permettant de stocker et d’enrichir leurs données clients en toute sécurité tout en se conformant aux réglementations en vigueur. Et surtout en gardant la maîtrise totale de ces données à la valeur inestimable.

Aujourd’hui, le marketing digital est à la croisée des chemins. Deux modèles de développement s’affrontent et l’un nous semble déjà appartenir au passé. Les marchés ne sont jamais figés et la capacité des entreprises à se réinventer face aux nouveaux enjeux que nous avons décrits conditionnera leur réussite de demain.

Edgar Baudin

Edgar Baudin
Partner chez Makazi
Group (photo disponible sur demande)

Coup de Gueule du Président de la FEPS contre Michel SAPIN

Invité de LCI Soir, Guillaume Cairou, Président de la Fédération Européenne du Portage Salarial a poussé un coup de gueule contre le Ministre Michel Sapin, Ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social, sur l’avenir du dispositif du portage salarial et des nouvelles formes d’emploi menacées en France.

Les différentes mesures impactant le secteur du portage salarial et en particulier l’exclusion des non-cadres qui trouvaient là un moyen de survivre à un marché du travail trop rigide pour permettre leur intégration, sont inadaptées et particulièrement injustes.

Les 60.000 portés français sont directement impactés par ces dispositions particulièrement discriminantes. Elles rompent gravement l’équilibre nécessaire à la sérénité entrepreneuriale préfigurant la croissance de demain dont notre pays manque cruellement.

« Je veux dire une chose à Michel Sapin. Pourquoi, Monsieur le Ministre ne vous saisissez-vous pas enfin de la question de l’extension du portage salarial afin de l’ouvrir définitivement à tous les Français ? Il y a urgence. Je me demande s’il n’y a pas une contradiction entre la volonté de résorber le chômage d’un côté, et réduire de l’autre le portage salarial qui permet de sortir les plus précaires de la spirale infernale qu’est le chômage ! » s’est ainsi demandé Guillaume Cairou.

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Laurence Rivat, associée Deloitte, est nommée à l’IFRIC

Laurence Rivat, 42 ans, associée de
Deloitte & Associés, a été nommée membre de l’IFRIC (International Financial Reporting Interpretations Committee) à compter du 1er juillet 2009. L’IFRIC composé de douze membres
est le comité d’interprétation des normes comptables internationales (les IFRS), qui sont établies par l’IASB (International Accounting Standards Board).

Commissaire
aux comptes et diplômée de l’Ecole Supérieure de Commerce de Grenoble, Laurence Rivat a rejoint Deloitte & Associés en 1988 où elle a commencé sa carrière dans l’audit, en France et aux
Etats-Unis. De 1995 à 1998, Laurence Rivat a travaillé à Londres à l’IASC (l’ex-normalisateur comptable international, remplacé par l’IASB en 2001), où elle a participé à la rédaction de normes
comptables internationales. Depuis son retour chez Deloitte & Associés en 1998, elle assure, en tant qu’associée,  la responsabilité de l’un des sept centres d’excellence mondiaux sur
les IFRS, localisé à Paris.

Mme Christine POCHET, nouvelle Directrice de l’IAE de Paris

Le 29 mai 2009, par décret, Christine POCHET a été nommée directeur de l’IAE de Paris. Elle succède à Jérôme CABY, qui dirigeait l’IAE de Paris depuis 2004. Ancienne élève de l’École Normale Supérieure de Cachan, elle est docteur en sciences économiques (Université Dauphine) et agrégée de sciences de gestion. Elle a commencé sa carrière au lycée franco-japonais de Tokyo, puis a été enseignant-chercheur à l’IAE de Toulouse ainsi qu’à l’IAE de Tours, établissement qu’elle a dirigé. Depuis 2007 à l’IAE de Paris, Christine POCHET enseignait le contrôle de gestion et elle était responsable du Master Comptabilité-Contrôle-Audit et de l’International MBA.

Membre de la Société Française de Management, membre élu du Conseil National des Universités, section sciences de gestion, Christine POCHET est membre du conseil d’administration et Présidente de la Commission Recherche de l’Association Francophone de Comptabilité.

Michel YAHIEL élu Président de l’ANDRH

Le nouveau Conseil d’Administration de l’ANDRH réuni à Paris le 27 juin dernier, a élu Michel YAHIEL, DGRH de la Ville de Paris, nouveau Président de l’ANDRH, en
remplacement de Charlotte DUDA, par 52 voix contre 25 à Alain MAURIES, Vice-président Europe des Relations sociales de Coca Cola.

 

Le nouveau bureau national est composé de :

– Brigitte DUMONT, DRH d’Orange, Vice-présidente Exécutive,

– Catherine GINER, Directrice du développement social de Vinci, Trésorière,

– Pascal BERNARD, DRH d’Eau de Paris, Vice-président,

– Jean Christophe SCIBERRAS, DRH France/DRS Europe de Rhodia, Vice-président.

 

Un Comité directeur d’une quinzaine de membres sera constitué avant le 14 juillet.

 

L’ANDRH est l’Association Nationale des DRH. Elle regroupe près de 5000 membres répartis dans 80 groupes locaux sur
tout le territoire. Fondée en 1947, sa vocation est de :

 

– échanger les bonnes pratiques et développer le professionnalisme de ses adhérent-e-s,

– promouvoir la contribution de la fonction RH à l’amélioration de la performance des organisations privées et
publiques,

– représenter les DRH auprès des pouvoirs publics, des instances internationales, des partenaires sociaux et des
media sur tous les sujets qui concernent les pratiques professionnelles de ses adhérent-e-s.

 

www.andrh.fr

Agrégation Externe Sciences de Gestion 2008-2009

Spécialité Université d’origine Université d’accueil
1. Serge PERROT Ressources humaines PARIS DAUPHINE UT Paris 11
2. Jérôme MAATI Finance VALENCIENNES Lille 1
3. Bruno FABRE Finance MONTPELLIER IUT Montpellier 2 IAE
4. Patrick GABRIEL Marketing BREST Rennes 2
5. Philippe MADIES Finance VALENCE IUT Grenoble 2 (IUT Valence)
6. Nicolas PRAQUIN Comptabilité et contrôle PARIS DAUPHINE UT Paris 11 (IUT Sceaux)
7. Sonia JIMENEZ-GARCES Finance GRENOBLE IP Lyon 2
8. Benoit JOURNE Management stratégique NANTES Le Mans
9. Karim MIGNONAC Ressources humaines TOULOUSE 1 Toulouse 1
10. Antoine RENUCCI Finance PARIS DAUPHINE UT Pau
11. Mickael KAESTNER Finance MONTPELLIER IUT Toulouse 3 IUT
12. Sylvie CHEVRIER Ressources humaines MARNE LA VALLEE Evry
13. William SABADIE Marketing LYON 3 Savoie
14. Aude HUBRECHT Management stratégique DIJON Nice
15. Gilles N’GOALA Marketing MONTPELLIER IUT Saint-Étienne
16. Amaury GRIMAND Ressources humaines ST ETIENNE Poitiers
17. Géraldine BROYE Finance STRASBOURG 3 Strasbourg
18. Olivier BABEAU Management stratégique PARIS DAUPHINE UT Paris 8
19. Mathilde RIBADEAU-DUMAS Marketing PARIS 1 Evry
20. Sonia CAPELLI Marketing GRENOBLE 2 Clermont-Ferrand
21. Christine PETR Marketing RENNES 1 Tours
22. Florent NOEL Ressources humaines PARIS 1 IAE Nancy IUT Charlemagne
23. Radu BURLACU Finance GRENOBLE 2 Nancy IUT Charlemagne
24. Sébastien LIARTE Management stratégique TOULOUSE 1 Limoges (IAE)
25. Lars MEYER-WAARDEN Marketing TOULOUSE 3 IUT Strasbourg
26. Frédérique BATAILLE Ressources humaines LE MANS Tours
27. Eric CAUVIN Comptabilité et contrôle AIX-MARSEILLE 3 Mulhouse

Nouveaux membres de la Halde

Jeannette
Bougrab
est nommée présidente de la HALDE par le Président
de la République, par décret du 16 avril 2010.

 

Ce décret porte également nomination de :

 

  • Par le Président de la
    République
     : Eric Molinié, Conseiller Affaires Economiques et Handicap auprès du Président de EDF, ancien Président de l’Association française contre les
    myopathies ;
  • Par le Président du
    Sénat
     :

    • Cécile
      Petit,
      Premier avocat général à la Cour de cassation,
      ancienne Déléguée interministérielle à la sécurité routière ;
    • Mansour
      Zoberi,
      Directeur de la promotion de la diversité et
      de la solidarité du groupe Casino ;
  • Par le Président de
    l’Assemblée nationale
     :

    • Yazid
      Chir,
      Président de la société Neocles, du Medef 93
      Ouest et de l’association « Nos quartiers ont des Talents » ;
    • Maryvonne
      Lyazid
      , Directrice adjointe de la Fondation Caisses
      d’Epargne pour la Solidarité, Co-directrice du Master « Gestion et politiques du handicap » à Sciences Po Paris.

Les membres dont le mandat se poursuit, sont :

  • Catherine
    Chouard,
    Présidente de Catherine Chouard Conseil, ex-DRH
    Groupe Elior, GrandVision, DHL International ;
  • Jean-Yves
    Monfort
    , Conseiller à la Cour de cassation ;
  • Marie-France
    Picart
    , Directrice associée de Prodiovisuel
    international, experte conseil en communication et médias, ancienne Grande Maîtresse de la Grande Loge Féminine de France ;
  • Olivier
    Rousselle
    , Conseiller d’Etat ;


Adolphe Steg
,
Professeur de médecine, chirurgien urologue, membre du Conseil économique, social et environnemental

Thomas Chaudron, nouveau président de la CCI Essonne

Thomas Chaudron, 37 ans, président du Medef Essonne, vient d’être élu président de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de l’Essonne.

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Cet entrepreneur engagé assure ainsi la transition avant la prochaine élection prévue en début d’année prochaine, suite à la démission.

Président du Medef Essonne après avoir été, de 2007 à 2009,
président national du Centre des jeunes dirigeants, Thomas Chaudron est également l’auteur d’un rapport pour le ministre du Travail intitulé « Les tiers employeurs ou comment conjuguer
compétitivité et responsabilité dans la France du XXIe siècle ».Il entend « faire émerger un nouveau projet avant la fin de l’année ».

On notera son implication pour la création de valeur liée aux individus et moins aux marchés financiers, comme il l’indiquait sur BFM Radio.

Didier Desnus devient premier vice-président et
Max Peuvrier, expert-comptable, qui reprendra les rênes de
la destinée de laFaculté des Métiers.

Composition du nouveau Bureau

Président : Thomas Chaudron – (catégorie Industrie 0 à 49 salariés)

1er Vice-président : Didier Desnus – (catégorie Commerce – de 10 salariés)

Vice-président Commerce : Patrick Rakotoson – (catégorie Commerce + de 10 salariés)

Vice-président Industrie : Corinne Loigerot – (catégorie Industrie 0 à 49 salariés)

Vice-président Services : Philippe Lavialle – (catégorie Services – de 10 salariés)

Trésorier : Patrice Cousin – (catégorie Services + de 10 salariés)

Trésorier adjoint : Joseph Nouvellon – (catégorie Services – de 10 salariés)

Secrétaire : Bernard Toulouse – (catégorie Industrie 0 à 49 salariés)

Secrétaire adjoint : Estela de Gouveia – (catégorie Services – de 10 salariés)

Edouard Husson est nommé directeur général de ESCP Europe

La Chambre de commerce et d’industrie de Paris nomme Edouard Husson, Directeur général de ESCP Europe, à compter du 1er septembre 2012. Il succède à  Pascal Morand, qui occupait cette fonction depuis 2006. Ce dernier reprendra ses activités de professeur en économie. Il dirigera également l’Institut de l’innovation et de la compétitivité au sein de ESCP Europe et conduira prioritairement des recherches portant sur les  problématiques de réindustrialisation.

Edouard Husson, ancien élève de l’Ecole normale supérieure, agrégé
d’histoire, est docteur de l’Université Paris-Sorbonne. Professeur d’histoire des relations internationales à l’Université de Picardie/Jules Verne, il a une vaste expérience internationale de
l’enseignement et de la recherche ; il a en particulier travaillé huit ans dans le système académique allemand, a été plusieurs fois chercheur invité aux Etats-Unis et est docteur honoris causa
de l’Académie brésilienne de Philosophie.

Entre juillet 2009 et août 2010, Edouard Husson a travaillé auprès du Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, en charge des sciences humaines et sociales. Il était en même temps rapporteur des travaux du Conseil pour le développement des humanités et des sciences sociales (CDHSS)Edouard Husson occupait, depuis 2010, les fonctions de Vice-Chancelier des Universités de Paris. A ce poste, il a été plus particulièrement en charge du passage à une gouvernance autonome des établissements universitaires parisiens ainsi que du suivi des rénovations immobilières des campus et de la mise en place des initiatives d’excellence en Ile-de-France.Il aura pour mission de poursuivre le développement de ESCP Europe initié ces dernières années par Pascal Morand. Ainsi, cette grande école de management, dont le positionnement européen est unique et reconnu, confortera l’intégration de ses campus français, allemand, anglais, espagnol et italien en créant, tant en formation initiale que continue, de nouveaux programmes pluriculturels et en mettant en exergue ses valeurs humanistes européennes.

L’ESSEC nomme Jean-Michel BLANQUER comme nouveau Directeur Général

Conformément aux statuts du Groupe ESSEC, suite à la vacance du poste de Directeur Général, un comité de recherche a été mis en place afin de recruter son successeur. Ce comité est constitué de :

– Hilaire de Chergé, Secrétaire Général de l’Institut Catholique de Paris, Représentant de l’Institut Catholique de Paris
– Lorraine Kron-du Luart, Associée chez Eric Salmon & Partners, Représentante des Alumni
– Xavier Cornu, Directeur Général-adjoint de la CCI de la Région Paris-Ile-de-France, chargé de l’enseignement, de la recherche et de la formation, Représentant de la CCI Paris Ile-de-France
– Vincenzo Esposito Vinzi, Doyen des professeurs, Représentant des professeurs
– Patrice Poncet, Professeur Eminent de Finance, Représentant des professeurs et secrétaire de ce comité de recrutement
– Boris Walbaum, Président de Dual Conseil et de Frateli, Représentant des Alumni
– Rémi de Badts, Président du Directoire de l’ESSEC, Représentant de la CCI Paris Ile-de-France

Un cabinet de recrutement, spécialisé dans l’enseignement supérieur, le cabinet HRM, a également été mandaté pour apporter son expertise et son réseau dans la phase de recherche. Outre les recherches de candidats effectuées par ledit cabinet, un appel à candidature avait au préalable été diffusé en interne au sein du Groupe ESSEC, puis une annonce a été publiée dans « The Economist » pour s’assurer d’attirer les meilleures candidatures internationales.

Après une période de large recueil de candidatures, le comité de recherche est entré dans une phase de convergence et a
arrêté une liste de candidats dont le profil et le parcours ont été jugés particulièrement intéressants. Une série d’entretiens individuels a ensuite permis l’examen approfondi de chacune de ces candidatures. C’est à la suite de ces entretiens individuels que le comité de recherche a retenu un unique candidat en la personne de Jean-Michel BLANQUER. Le comité tient à souligner que la
candidature de Monsieur BLANQUER a recueilli l’unanimité des suffrages de ses membres.

Conformément aux statuts, Monsieur BLANQUER a rencontré les membres du Directoire et le Président du Conseil de Surveillance, puis les membres fondateurs de l’ESSEC en les personnes du Président des Alumni, du Président de la Chambre Régionale de Commerce Paris Ile-de-France, puis enfin Monsieur le Recteur
de l’Institut Catholique de Paris. L’ensemble des personnalités ainsi rencontrées a confirmé et largement approuvé le choix effectué par le comité de recherche. La désignation a donc pu être entérinée le 16 Mai 2013 par le Conseil de Surveillance de l’ESSEC.

Monsieur BLANQUER prendra ses fonctions plénières le 1er Juillet, après le départ de l’actuel Directeur Général Pierre Tapie, que l’ensemble de la communauté ESSEC remercie pour son apport exceptionnel au développement de l’Ecole pendant ses douze années de mandat. Monsieur BLANQUER est professeur agrégé de droit public.

Il a enseigné successivement dans les universités de Paris II, Tours, Lille et Paris III-Sorbonne Nouvelle. Il a dirigé l’Institut des Hautes Études de l’Amérique latine et il préside l’Institut des Amériques.
Il a été recteur de Guyane et recteur de Créteil. Il a été enfin de 2009 à 2012 Directeur Général de l’enseignement scolaire.
Il est l’auteur d’articles et d’ouvrages sur le droit constitutionnel, le droit européen, les institutions d’Amérique latine et sur les politiques publiques d’éducation.
Le parcours de Monsieur BLANQUER se caractérise par un grand sens de l’innovation, de l’ouverture internationale et par sa passion
pour les questions d’éducation.

Sur sa désignation, Jean-Michel BLANQUER déclare : « je tiens tout d’abord à remercier la gouvernance de l’ESSEC pour sa confiance. Je mettrai toute mon énergie au service des valeurs de l’école, de sa réussite et de sa grande tradition d’innovation ».

Jacques Wackel de l’UTT nommé membre du jury à l’ENA

Jacques Wackel, Directeur Général des Services de l’Université de technologie de Troyes, a été nommé membre du jury du concours d’entrée à l’Ecole Nationale
d’Administration
. Sa nomination a été rendue publique hier au Journal Officiel.


Jacques Wackel, qui a rejoint l’UTT en octobre 2012, est un expert de l’administration territoriale. Avant son arrivée à Troyes, il a occupé plusieurs postes à responsabilité en
tant qu’Administrateur territorial, Secrétaire Général et Directeur des Ressources Humaines du département de l’Essonne. Diplômé en sciences politiques, il enseigne dans les universités
Paris-Nord  et d’Evry ainsi qu’au Centre National de la Fonction Publique Territoriale.

FNEGE : Remise du Prix de la meilleure thèse de gestion

Comme chaque année, la FNEGE attribue des prix de thèses destinés à distinguer les meilleurs travaux doctoraux en gestion en langue française, en privilégiant cette année les recherches qui constituent un véritable apport pour l’entreprise.La cérémonie de remise des Prix de Thèse s’est déroulée le mardi 11 juin 2013 à 12h30, dans les locaux de la FNEGE.

Prix de la Meilleure Thèse de Gestion

– FNEGE – ADERSE : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Responsabilité Sociale de l’Entreprise a été décerné à Olivier CRETTE, pour sa thèse : « L’incidence des facteurs socioculturels dans le reporting financier et le reporting sociétal : Un essai de comparaison entre la France et l’Allemagne ».

– FNEGE – AFC : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Comptabilité a été décerné à Ludivine REDSBLOB, pour sa thèse : « Construction de l’identité professionnelle des contrôleurs de gestion dans un milieu où la performance financière est “en quête de légitimité” : le cas des armées françaises ».

– FNEGE – AIMS : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Stratégie a été décerné à Marine AGOGUE, pour sa thèse : « Modéliser l’effet des biais cognitifs sur les dynamiques industrielles ».

– FNEGE – AFM : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Marketing a été décerné à Victor DEMIAN MEJIA, pour sa thèse : « Modélisation de la recherche de variété intramarque »

– FNEGE – AFFI : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Finance a été décerné à Jean-Noël BARROT, pour sa thèse : « Essays in Empirical Financial Economics »

– FNEGE – AEI : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Entrepreneuriat et Innovation a été décerné à Anne BERTHINIER-PONCET, pour sa thèse : « Gouvernance et innovation dans les clusters à la française. Une approche par les pratiques institutionnelles »

– FNEGE – AGRH : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Ressources Humaines a été décerné à Mohamed KARIM, pour sa thèse : « L’appropriation du tachygraphe numérique par les conducteurs d’une société privée de transport public de voyageurs »

– FNEGE – AIM : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Systèmes d’Information a été décerné à Aurélie GIRARD, pour sa thèse : « L’intégration des médias sociaux dans les stratégies d’e-GRH : le cas du recrutement »

– FNEGE – ARAMOS : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Santé a été décerné à Stéphanie GENTIL, pour sa thèse : « Gérer l’évènement dans un contexte d’industrialisation des soins. Une approche par l’activité de la coordination au bloc opératoire »

– Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion Transversale a été décerné à Mathieu FLOQUET, pour sa thèse : « Entre silence et parole : Evolution de la diffusion d’information comptable et financière aux salariés et représentants de salariés de 1884 et 1982. Le cas de trois entreprises sidérurgiques françaises »

– Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion pour Publication a été décerné à Hélène PETON, pour sa thèse : « Mouvements sociaux et processus de désinstitutionnalisation. Le cas de l’amiante en France »

Jérôme Rive réélu directeur de l’IAE Lyon

Elu directeur de l’IAE Lyon en 2008, Jérôme Rive a été confirmé à l’unanimité pour un second mandat de cinq années, à l’occasion d’un Conseil d’Administration extraordinaire organisé le 20 juin 2013.

L’objectif affirmé pour l’école universitaire de management est d’assumer pleinement ses rôles et missions d’acteur public de l’enseignement supérieur et de poursuivre le positionnement de l’IAE Lyon comme un lieu de dialogue du management et de la gestion avec les humanités, pour une meilleure appréhension des mondes.

L’IAE Lyon, école de management et de gestion de l’Université Jean Moulin Lyon 3, est forte de 7 500 étudiants et auditeurs de formation continue, 150 enseignants et enseignants chercheurs, 75 personnels administratifs. Plus important IAE de France par le volume étudiant et le volume de sa communauté académique, l’IAE Lyon dispose du statut d’école interne de l’Université (Article 713.9) et actuellement d’un budget de ressources propres de près de 6 millions d’euros,  essentiellement générées par les actions de
formation continue et de formation par alternance et la collecte de taxe d’apprentissage. Le budget consolidé (BPI) de l’IAE Lyon dépasse 28 millions d’euros.
Acteur public majeur en Rhone-Alpes de la formation et la recherche en gestion, les impacts des activités de l’IAE Lyon sur son territoire sont nombreux et importants.
Ainsi, chaque année, les activités de l’IAE Lyon génèrent un volume d’affaires estimé à près de 250 millions d’euros et
l’équivalent de 900 emplois (baromètre BSIS FNEGE 2012).
L’IAE Lyon offre un très large portefeuille de formations, dans une logique de cursus intégré dès le post-bac, depuis des licences générales en gestion, des licences sélectives, des licences
professionnelles, des Masters spécialisés (professionnels et recherche), des Masters double compétences, jusqu’au
doctorat.
« Pour l’IAE Lyon, souligne Jérôme Rive, il est important d’associer l’excellence académique universitaire, les valeurs de l’université publique à une identité d’école interne, portée tant par un grand réseau de
partenaires entreprises et institutionnels, nationaux et internationaux, une vie associative très riche et un réseau d’anciens engagé et dynamique ».
L’ensemble des niveaux d’enseignement supérieur, du post-bac au doctorat, est ainsi présent à l’IAE Lyon dans une logique multi-produit à laquelle est jointe la multiplicité des canaux de formation : formation initiale classique liée à des stages, formation par alternance (contrats d’apprentissage et de professionnalisation), et enfin formation continue.
« Nous constituons au sein de l’université une Ecole à cursus intégré,
poursuit Jérôme Rive : assumons ce rôle en faisant de la licence générale en gestion, ouverte à tous, un parcours d’excellence et de
développement des projets professionnels et de vie de nos étudiants dans leurs diversités. Dans le domaine de la formation continue, valorisons nos expertises académiques dans des projets différenciants ».
L’IAE Lyon a choisi de s’inscrire et de développer ses métiers dans la logique d’un management responsable, en
dialogue permanent avec les humanités. Un positionnement judicieux et porteur  de sens que l’espace universitaire permet de réaliser parfaitement, qui correspond aux valeurspartagées et à un état d’esprit et qui est adapté à une période de rupture profonde, où les techniques de gestion et de management doivent être pensées de façon large, transversale et ouverte.
« Je suis très attaché au respect des diversités qui fondent notre communauté universitaire et construisent des richesses
fortes. Nous constituons, ensemble, une très belle communauté universitaire et nous avons la chance d’être inscrits dans un territoire porteur de dynamiques d’innovations et de projets. Je veux accompagner l’IAE Lyon dans l’affirmation de son rôle et de ses missions dans l’espace universitaire. »

jerome-rive-president-du-reseau-iae.jpgJérôme Rive est Maître de Conférences, titulaire d’un Doctorat
en Sciences de Gestion dans le domaine des Ressources Humaines.
Ses centres d’intérêt concernent le développement des compétences managériales à l’international et les approches transculturelles en management. Il a mené une grande partie de sa carrière à l’IAE Lyon.
Activement engagé dans la vie universitaire en tant que membre du Conseil d’Administration de l’IAE Lyon depuis 2002 et du Conseil d’Administration de l’Université Jean Moulin depuis 2007. Il a
également été Adjoint au Directeur en charge de l’International de l’IAE Lyon (2002-2008). Depuis 2002 il est correspondant de l’Université pour le Programme Jeunes Ambassadeurs destiné aux
étudiants internationaux de Rhône-Alpes. Il est également en charge de la zone Pacifique pour le service des Relations Internationales de l’Université Jean Moulin depuis
2008.
Il joue un rôle très actif dans le domaine du management interculturel et des relations internationales dans l’enseignement
supérieur du management. Il est à l’origine de la conception du Master Management et Affaires Européennes, qu’il a piloté de 2001 à 2008.
Il a développé et dirigé les masters et MBA en langue anglaise de l’IAE Lyon : General Management Program (création en 2002), European Business Realities Program (création en 2005) et International MBA (création en 2009).
Il a également conduit l’accréditation EPAS pour le Master Management International en 2008 (réaccrédité en 2011), Master qu’il a dirigé de 2006 à 2008. Il a lancé en 2006 le concept toujours en vigueur de l’IAE Lyon International Week accueillant une quarantaine d’intervenants venus du monde entier, qui enseignent des séminaires internationaux et co-animent des ateliers de recherche dans lecadre de l’International Research Workshop organisé par le Centre de Recherche Magellan.
Il a effectué de nombreux séjours professionnels à l’étranger, intervenant en tant que professeur invité. Il enseigne régulièrement dans des universités et écoles de gestion partenaires : Algérie, Australie, Canada, Chine, Etats-Unis, Hongrie, Italie, Maroc, Nouvelle Zélande, Pologne, République Tchèque, Royaume Uni, Serbie, Suède…

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