APPEL ESCEM “Dynamiques territoriales et économie sociale”

ESCEM Campus de Tours de l’ESCEM

1 rue Léo Delibes 37 U00 Tours

Les 22 et 23 mars 2012, à Tours (dans les locaux de l’ESCEM) : premières rencontres sur les dynamiques territoriales et l’économie sociale. Les communications pourront aborder les thèmes suivants :

  • L’économie sociale : représentations et mesures
  • Les territoires et les actions solidaires
  • Logique économique et logique sociale dans les organisations
  • Essaimage des principes solidaires
  • La formation et la recherche autour de ces questions
  • L’entrepreneuriat social et les territoires

Prix Jacques Tymen de l’Association d’Économie Sociale

Dans le cadre des XXXIIe Journées de l’Association d’Économie Sociale

À Aix-en-Provence, les jeudi 13 et vendredi 14 septembre 2012

organisées par le LEST-CNRS UMR 6123

Maison Méditerranéenne des Sciences de l’Homme

L’Association d’Économie Sociale décernera au cours de son colloque annuel, qui se tiendra à Aix-en-Provence les 13 et 14 septembre 2012, le prix Jacques Tymen. Ce prix récompensera les meilleurs travaux individuels, de type universitaire, non encore publiés, soutenus entre le 1er janvier 2011 et le 1er avril 2012, de jeunes chercheurs oeuvrant dans le champ de l’économie sociale (emploi, revenus, travail, protection sociale, santé, éducation et formation, culture, logement, famille, pauvreté, …).

Un prix de 1400 € récompensera une thèse ou un travail équivalent.

Un prix de 700 € récompensera un mémoire de M2 recherche (DEA) ou équivalent.

Les travaux proposés au concours doivent être adressés en deux exemplaires (les thèses devant être accompagnées du rapport de
soutenance) à :

Secrétariat Axe Institutions, UG2

Prix Jacques Tymen

Maison des Sciences Economiques

106-112, boulevard de l’Hôpital

75647 Paris Cedex 13

Date limite de réception : lundi 26 mars 2012

29es Journées d’Economie Monétaire et Bancaire

Nantes, Jeudi 28 et vendredi 29 juin 2012

Appel à communications

Les 29es journées d’économie monétaire et bancaire, organisées par le GDRE auront lieu à
l’Université de Nantes, les 28 et 29 Juin 2012. Elles porteront sur les
thèmes suivants :

1.      Politique monétaire

2.      Politique budgétaire et politique monétaire, financement des retraites

3.      Théorie monétaire ; demande de monnaie et prix

4.      Stabilité et risques bancaires, réglementation prudentielle

5.      Concurrence, fusions et coûts bancaires ; taux d’intérêts

6.      Gouvernance et financement des entreprises non financières

7.      Crédit, prix d´actifs et cycles économiques

8.      Systèmes financiers, micro finance, croissance et développement économique

9.      Taux de change et politique monétaire en économie ouverte

10.  Taux de change, échanges commerciaux et flux de capitaux

11.   Système monétaire international et crises financières

12.   Finance de marché, finance comportementale, gestion de portefeuille, marchés des assurances

13.   Histoire monétaire et financière

Des articles complets, rédigés en français ou en
anglais, accompagnés d’un résumé en première page, peuvent être soumis à partir du 15 décembre 2011 et avant le 25 février 2012 au soir sous la forme d’un téléchargement (format .pdf ou .doc :

Le co-auteur soumettant l’article cochera en ligne un seul thème pour son article parmi les 13 thèmes cités ci-dessus. Les autres formes de soumissions ne seront pas prises en compte.

Les décisions du comité scientifique coordonnées par Raphaëlle
Bellando 
et Jean-Bernard Chatelain (co-directeurs du GDRE) et Adrian Pop et Nicolas Rautureau  (responsables du comité local) seront données fin avril par courriel.

http://www.gdresymposium.eu

4e Conférence scientifique internationale d’EMES sur l’entreprise sociale

Le Réseau européen de recherche EMES, en partenariat avec le Centre d’Economie Sociale à HEC – Université de
Liège
, vous invite à la 4e Conférence scientifique internationale d’EMES sur l’entreprise sociale

1-4 juillet 2013, Université de Liège (Belgique)

Informations relatives à la conférence

Dans une perspective résolument mondiale et interdisciplinaire, cette conférence débattra de l’entreprise sociale et de l’entrepreneuriat social, en confrontant les approches qui se sont développées au cours des deux dernières décennies et dont la diversité va croissant.

Autour de l’entreprise sociale et l’entrepreneuriat social, la conférence fera dialoguer les courants de recherche liés au tiers-secteur (secteur non-profit, économie sociale, économie solidaire, ESS) et les communautés de chercheurs qui se forment sur des thèmes émergents tels que l’innovation sociale, l’évaluation de l’impact
social, les organisations hybrides, le social franchising et la venture philanthropy, parmi d’autres.

Pour son 20e anniversaire, le Centre d’Economie Sociale accueillera la conférence, au sein de HEC – Ecole de Gestion de l’Université de Liège, dans une ville millénaire, en plein cœur de l’Europe.

L’appel à communications sera lancé le 30 avril 2012.

La réunion plénière du Département des marchés financiers (DMF)

Claude CAZES , Président de la Compagnie Nationale des Commissaires aux Comptes

présente

La réunion plénière du
Département des marchés financiers (DMF)

Le mercredi 2 mai 2012
Pavillon Cambon-Capucines

Le projet de réforme européen du secteur de l’audit, proposé par Michel Barnier, Commissaire européen en charge du
Marché intérieur et des Services, actuellement en discussion au Parlement européen, sera l’un des thèmes central de ce colloque qui réunit chaque année les commissaires aux comptes du Département
des marchés financiers (mandats cotés et entités d’intérêt public), que préside Gérard Trémolière, afin d’échanger sur les sujets d’actualité liés à ce secteur.

A cette occasion, Claude Cazes analysera avec Jean-Pierre Letartre, Président d’Ernst and Young, les projets de
textes européens qui font suite aux propositions présentées par la Commission européenne en novembre 2011.

Les participants seront ensuite invités à débattre, lors d’une table ronde animée par, Jean-Marc Vittori,
éditorialiste des Echos, sur les principaux axes du projet. A cette table ronde, seront notamment présents Michel Prada, co-président du Conseil sur la réglementation financière globale et
Christian Schricke, délégué général de l’ANSA et représentant du MEDEF.

Seront également présents à cette réunion, Christine Thin, Présidente du H3C et Laurent Vallée, Directeur des
Affaires civiles et du Sceau au Ministère de la Justice qui clôturera les travaux.

À propos du Département des marchés financiers (DMF)

Créé en 2001, et conforté par la Loi de sécurité financière de 2003, le DMF,appelé département APE jusqu’en 2009 rassemble, au sein de la CNCC, les cabinets auditant ou souhaitant auditer des sociétés cotées sur un marché réglementé. Ses
activités contribuent à une meilleure perception du rôle et de la mission des auditeurs auprès des entreprises, des investisseurs, de la place financière et des autorités de marché. Il traite,
par ailleurs, des spécificités des mandats d’entreprises dont les titres sont admis aux négociations sur un marché réglementé ou offerts au public sur Alternext.

PROGRAMME
Département des marchés financiers (DMF)
Réunion plénière – Mercredi 2 mai 2012
Pavillon Cambon-Capucines – 46, rue Cambon – 75001 Paris

8h30 Accueil – Café

9h00 – 9h15 Ouverture – Claude Cazes, Président de la Compagnie nationale des
commissaires aux comptes (CNCC)

9h15 – 9h45 Rapport d’activité du Département– Gérard Trémolière, Président du DMF

9h45 – 10h45 Analyse des projets de textes européens

Claude Cazes, Président de la CNCC et Jean-Pierre Letartre, Président d’Ernst & Young France.

10h45 – 11h15 Pause

11h15 – 12h15 Table ronde animée par Jean-Marc Vittori, éditorialiste des Echos

avec la participation de 5 panelistes :

– Michel Prada, co-président du Conseil sur la réglementation financière globale

– Christian Schricke, Délégué général de l’ANSA

– Sylvie Matherat, Adjointe du directeur général des opérations à la Banque de France

– Jean-Pierre Menanteau, ancien PDG d’AVIVA France et consultant chez Deloitte

12H15 – 12H45 Clôture

– Christine Thin, Présidente du H3C

– Laurent Vallée, Directeur des affaires civiles et du sceau


12H45 Cocktail déjeunatoire

Journées d’Histoire de la comptabilité et du management de mars 2013

Les prochaines Journées d’Histoire de la comptabilité et du management auront lieu à
La Rochelle les 27, 28 et 29 mars 2013.

Ces Journées d’Histoire de la Comptabilité et du Management constituent, depuis leur première
édition en 1995, un rendez-vous annuel incontournable pour ceux qui s’intéressent à l’histoire et à la gestion. Elles rassemblent des gestionnaires, historiens, juristes, sociologues et
économistes.

Pour la 18e édition, l’axe de réflexion proposé porte sur le thème : La magie du chiffre.
Quantification, normes et croyance.

Preuve d’efficacité, affirmation de la scientificité de la démarche, outil de distanciation, argument rhétorique,
dans la doctrine taylorienne le chiffre relève de multiples usages et stratégies. Par l’approche historique, il nous semble opportun de nous interroger sur les finalités et usages du chiffre par
les praticiens et les théoriciens de la gestion.

Nous invitons à des communications permettant par l’approche historique de questionner l’hégémonie de la
quantification dans divers domaines, de l’évaluation politique (du sondage aux indicateurs d’appréciation des politiques publiques) à la recherche en gestion et en économie. Le développement de
la statistique administrative au XIXe siècle a des prémisses que l’on peut chercher pour la France chez Condorcet par exemple. L’obsession pour le chiffre dans la gouvernance publique
et privée ne relève-t-elle pas d’un régime de croyance dont l’histoire et la critique peuvent encore être faites ?

Des indicateurs chiffrés garants de l’efficience des politiques publiques à la dénomination des normes de qualité
(iso 9001, 14001, etc.), le chiffre apparaît autant comme un instrument d’objectivation (notamment comptable) que comme un procédé de la rhétorique managériale. La norme comptable ou autre
contribue à poser un référentiel fondé sur la mesure quantifiée des critères que l’on entend évaluer. Ce faisant, elle est susceptible de faire écran à la réalité tangible de ce qui est mesuré et
elle n’est pas indemne de ce qui nous semble relever du régime de la croyance. Code, le chiffre est non seulement un langage inaccessible aux non initiés, il est aussi susceptible de porter une
dimension mystique si l’on se réfère à la vertu accordée au nombre d’or dans l’exégèse pythagoricienne ou franc-maçonne. Luca Pacioli, crédité du premier exposé de la méthode de la comptabilité
en partie double en 1494 est lui-même l’auteur d’un traité sur la Divine Proportion dont on retrouve des éléments dans le Modulor, unité de mesure créée par Le Corbusier (1948).

L’histoire des entreprises offre des exemples nombreux de cette mystique du chiffre, du krach de l’Union générale
au rôle du cabinet Arthur Anderson auprès d’Enron. Autre exemple de ces phénomènes dans l’histoire récente, le guide Parker établit une évaluation des vins selon une grille de notation
extrêmement précise dont l’ultime mesure est le goût d’un individu, Robert M. Parker.

Dans la continuité des précédentes Journées, sont attendues des communications à caractère historique couvrant les
domaines de la comptabilité, du management ainsi que ceux de la stratégie, du nouveau management public, du marketing, de la communication en particulier financière. Sont bien sûr attendues des
recherches en histoire des religions quand la foi n’exclut pas sa mesure.

Comme chaque année, toutes les propositions de communication intégrant une dimension historique sont
bienvenues.

Tutorat de thèses

Les Journées d’Histoire vont débuter par un atelier doctoral comprenant un tutorat de thèses d’histoire de la
gestion et des séminaires méthodologiques organisés le 27 mars. Les doctorants intéressés devront fournir un document d’une dizaine de pages maximum spécifiant leur champ de recherche (thème,
questions de recherche), le cadre théorique ou l’articulation théorique de la thèse, leur démarche méthodologique, les premiers résultats (le cas échéant), leurs principales références
bibliographiques.

Les doctorants en début de thèse sont encouragés à participer.

Dates à retenir

Date limite de soumission des textes des communications : 15 décembre 2012

Décision du comité de lecture : 19 janvier 2013

Version définitive des textes : 9 février 2013

Les propositions (60.000 signes au plus) devront être envoyées en français ou anglais accompagnées d’un résumé en
français et anglais à l’adresse suivante : jhcm2013@univ-lr.fr

Chaque proposition de communication fera l’objet d’une lecture anonyme.

Contact

: jhcm2013@univ-lr.fr

Coopération et formes d’organisation sociale

Pour ses 10 ans, et dans le cadre de « 2012 : Année internationale des coopératives » (ONU), PEKEA co-organise avec le CIAPHS (Université de Rennes 2), et en coopération avec l’ISMEA et l’Institut Veblen, un congrès sur le thème Coopération et formes d’organisation sociale, les 13 et 14 décembre 2012 à Rennes, France.

Ce congrès, en français, invite à envisager les 4 blocs de savoir portés par PEKEA à l’aune de la question de la coopération et à construire ensemble des cadres analytiques, conceptuels et opérationnels permettant de concevoir une société où se développeraient « tout l’Homme et tous les hommes » (F.Perroux)

Pour y participer et apporter votre contribution aux débats, vous trouverez les informations sur l’appel à participation comprenant la présentation de ce congrès et les informations utiles téléchargeable prochainement sur le site internet de Pekea : www.pekea-fr.org.

Tifenn LECLERCQ
Responsable Administrative PEKEA
PEKEA Administrative Officer

______________________________

PEKEA 110 rue de la Poterie, 35 200 Rennes, France
tél: +33(0)2 99 86 17 35, fax: +33(0)2 99 86 17 35

Appel de la Revue Management et Gouvernance

N° spécial : Management et
Gouvernance. Date de parution prévue : septembre 2013.

Le commerce à travers les pays européens :
pratiques, souhaits, tendances, comparaisons et similitudes

Autrefois considéré comme une
« cible marketing » à atteindre et à équiper d’un produit, le client (consommateur final ou professionnels sur la chaîne commerciale) a changé de comportement. Il est aujourd’hui,
informé grâce à internet, sa vision est ouverte sur le monde, il est en relation avec des communautés via les media sociaux. Ses capacités à communiquer partout et sur des supports de plus en
plus variés (de l’ordinateur au mobile en passant par la tablette, de chez lui, au bureau…) lui permettent de donner son avis et de ce fait, constituent un pouvoir face aux entreprises ainsi que
de suivre des tendances sociologiques, humaines, ou politiques. Le consommateur final attend de ses achats de véritables expériences qui lui permettront d’être étonné, enthousiasmé, déçu,
intéressé, prescripteur pour recommander la même expérience que lui. Ces modes d’accès aux produits interrogent sur la manière d’animer les canaux de vente, et d’agir dans les politiques
commerciales sur le « cross chanel ». En remontant la filière de l’achat des produits, ces modes d’achat, d’usage et de recommandations interrogent là aussi l’achat en B to B (Business
to Business) pour les entreprises situées du producteur, fabricant jusqu’au point de vente en contact avec le client. Les ventes ne sont pas seulement transactionnelles (achat du produit), mais
sont devenues plus relationnelles (conseil sur le produit, sur la manière de l’individualiser, sur les conseils et la personnalisation des solutions). Les clients (B to C) comme en B to B sont
engagés vis-à-vis de la société, des valeurs, se regroupent en communautés et expriment un contre-pouvoir face aux propositions faites par les marques ou les entreprises fournisseurs de
produits.

Ce numéro sur le commerce en
Europe veut être, d’une part, évocateur des tendances et pratiques du commerce (achat, vente) dans les pays européens, mais aussi un numéro dans lequel les comparaisons entre pays européens ou
dans le monde sont incitées.

Les articles seront rédigés en
Times New Roman 12, interligne 1,5 et se limiteront à une quinzaine de pages, bibliographie comprise.

Les critères d’appréciation
des articles se feront sur la
nouveauté apportée par l’étude mentionnée qui fait l’objet de cette publication, les références vis-à-vis du champ scientifique visé, la démonstration de l’apport de l’étude par rapport au champ
de la connaissance du marketing et du commerce.

Les thèmes abordés peuvent être
(sans obligation de s’y restreindre) :

* Le comportement des
consommateurs :
D’une cible marketing, le statut du consommateur a changé (technologie, information, exigences, fait entendre sa voix, préoccupations éthiques, sociétales, ou
économiques), le consommateur s’exprime et donne un avis. Etudes, observations des achats, critères de sélection des produits, influence des marques dans ses achats que ces derniers soient des
achats contrôlés ou plus irrationnels, analyse des différences entre ce que le consommateur dit et ce qu’il fait…autant d’éléments qui permettront de mieux comprendre le comportement du
consommateur européen.

* Le marketing
générationnel
 : loin de la segmentation démographique, ces approches se fondent davantage sur l’année de naissance que sur l’âge. L’identification et le ciblage de générations
particulières cette approche permet de suivre les cohortes de la même génération à travers le temps réunissant
des individus qui partagent les mêmes centres d’intérêts avec sensiblement le même âge. Les marques
ont intégré cette catégorisation introduite dans les années 90 pour évoluer depuis les enfants jusqu’aux seniors, elles sont ainsi vigilantes quant à leur réputation et les valeurs qu’elles
véhiculent. Le client européen vit-il lui aussi dans une vision « transgénérationnelle » ? Que dire des marchés et des produits associés à ces différenciations, en
Europe ?

* Les communautés et l’approche relationnelle : Internet met en relation le monde entier, véritable outil de rassemblement de communautés sur la
base de valeurs, d’engagements, d’éthique ou encore de pratiques. Le client peut s’exprimer, s’informer, connaître, reconnaître et demande aussi à être interpellé dans sa relation entre humains
lors de ses acquisitions. L’achat devient réellement une expérience d’achat que chaque client souhaite positive, heureuse et qui amène de la valeur ajoutée dans le quotidien. Ces nouvelles
approches invitent les entreprises à reconsidérer leurs points de vente, à inventer de nouvelles manières de vivre avec leurs clients et surtout faire appel à une fidélité mutuelle non plus par
le prix mais par des services individualisés. Le client européen (B to C ou B to B), réagit-il à ces nouvelles incitations à l’achat, réactions et tendances à long terme ?

* La crise économique, source de changements : La crise économique
est non seulement européenne mais mondiale et incite à reconsidérer les priorités d’achat, les modes de consommation des produits. En est-il de même pour tous les secteurs ? Comment le web
interfère-t-il dans ces achats, qu’en est-il de l’accès aux produits via la logistique ? face aux regroupements d’individus, qu’en est-il des achats groupés dont la tendance est à la
croissance ? Quel pourrait être le sort des produits « authentiques » ou « engagés » ? Les européens sont-il sensibles au « societing » ou marketing
« moral » ? L’entreprise qui se présente aux clients, utilise-t-elle les outils adaptés pour communiquer et se rendre indispensable auprès d’eux ?

* Donner du sens à …A l’heure où la société vit à l’heure de la rationalité et de l’individualisme, qu’en est-il des croyances, de la religion, de
la spiritualité et du surnaturel pour donner du sens à la vie de chacun ? Les clients cherchent du sens à leurs achats, à leurs engagements et donnent du sens de la même manière à leurs
implications (la cuisine est devenue un art en plus d’être sous l’emprise des diététiciens, des valeurs familiales perpétuées et d’une manière généreuse de communiquer…). De l’engagement à la
résistance, quels sont les procédés, les idées en jeu, quelles manières de communiquer avec ces clients qui demandent du respect et que les acteurs du marché évitent de « manipuler »
dans leurs achats. Le désir de santé reste un moteur important pour l’ensemble des clients que les entreprises intègrent avec plus ou moins de bonheur, peut-on parler d’une tendance
européenne ? Comment se manifeste-t-elle dans les pays ? Quelles pratiques et quels messages ?

* Contacts et envois :

Merci d’envoyer le titre et 10 lignes du résumé de votre proposition avant le 30 septembre 2012, à :

Ghislaine.pellat@iut2.upmf-grenoble.fr

Mobile : 00 33 6 08 24 67 27

Proposition à renvoyer avant le 30 décembre 2012 à :
Ghislaine PELLAT
Revue Management et Gouvernance : IUT2, 2 Place Doyen Gosse, 38000
Grenoble

APPEL Les activités professionnelles et le marché du travail

Risques et formes de
travail à travers les nouvelles technologies

Appel
:

  • IUT GACO
  • Licence professionnelle
    assistants gestionnaires de ressources humaines
  • Licence professionnelle
    gestion touristique et hôtelière
  • DUT GACO
  • licence génie industriel
    et maintenance

Colloque du jeudi 29
novembre et vendredi 30 novembre 2012

Lieu Saint Omer
France

LES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES ET LE
MARCHÉ DU TRAVAIL

Appel à
communications

La crise actuelle, est-elle
si récente bouscule le marché du travail et l’appréhension de ses données et invite à une réflexion pour les renouveler tant au niveau interne qu’au niveau européen et international. Les réformes
juridiques visant à favoriser la sécurisation et la dynamisation des parcours professionnels les changements dus au progrès technique et à la mondialisation ont sensiblement affecté les
différentes transitions sur l’activité professionnelle et le marché du travail lui-même, d’ailleurs sachant que le travail n’est pas une marchandise (Art 1 convention fondatrice de l’OIT) est-il
véritablement pertinent de parler de marché du travail (de la formation à l’emploi, du chômage à l’emploi, d’emploi à emploi, de l’emploi à la retraite, …) au cours des dernières années. Afin
de favoriser, de structurer ou d’orienter ces transitions, un grand nombre de politiques publiques ont été mises en œuvre au niveau européen, national ou local. Il existe aussi des initiatives
privées.

D’un point de vue
théorique, il est possible de renouveler largement les réflexions sur les trajectoires et les activités professionnelles. Il s’agit par exemple de la prise en compte des interactions sociales, du
comportement d’embauche des entreprises et de la recherche d’emploi des salariés de l’intégration de la dimension spatiale ou encore des projections de population active basées sur la
micro-simulation, certains sont mêmes tentés de renouveler la définition du contrat de travail pourtant ancrée dans le droit social depuis le 19e siècle..

Des informations
statistiques ont parfois enrichies une double dimension entreprise/salarié qui permet alors de contrôler les effets spécifiques de l’offre et de la demande de travail.

Afin de faire une synthèse
des derniers développements, l’ULCO spécialement la licence gestion des ressources humaines de l’iut saint omer/dunkerque avec le concours des autres formations (licence gestion touristique et
hôtelière, G.I.M.) organisent les 29 et 30 novembre 2012 un colloque sur le thème ” les activités professionnelles et le marché du travail”.

L’objectif de ce colloque
est de croiser les apports théoriques et empiriques des chercheurs relevant des Sciences Humaines et Sociales, mais aussi des autres disciplines scientifiques.

Au cours de ces deux
journées, des moments seront réservés aux échanges entre les chercheurs et les experts d’institutions nationales, internationales ou locales. Des tables rondes seront organisées afin que les
expériences, les dispositifs de politiques publiques, les expériences privées et les outils puissent être partagé, faisant ainsi émerger les nouveaux enjeux auxquels les activités
professionnelles et le marché du travail sont confrontés.

Propositions de
communications

Le colloque rassemblera des
chercheurs de différentes disciplines sur le thème des activités professionnelles et du marché de l’emploi ainsi que ces différentes déclinaisons possibles et souhaitables.

Des communications,
empiriques et théoriques, portant sur les différents aspects des activités professionnelles et du marché du travail (de la formation à l’emploi, du chômage à l’emploi, de l’emploi à l’emploi, de
l’emploi à la retraite) aussi bien que sur les carrières en général et leurs déterminants (genre, santé, éducation, situation géographique, origines sociales,…) sont attendues. Une
attention particulière sera portée à l’évaluation des politiques publiques menées ces dernières années. Des communications sur les retours d’expériences privées et sur les aspects internationaux
seront aussi les bienvenues

Les propositions de
communication pourront s’inscrire dans le thème général du marché du travail appréhendé à travers les thèmes suivants: liste non exhaustive

 

1. Activités
professionnelles, conditions de travail et santé

2. Mobilités
territoriales et migration

3. Réseaux,
interactions sociales

4. Méthodologie de
l’évaluation des politiques publiques et privées

5. Crises et
trajectoires

6. Réformes de la
législation du travail et efficacité du marché du travail

7. Inégalités et
marché du travail (genre, spatiale, ethnique, …)

8. Carrières
internes et organisation du travail

9. Disparités
territoriales et marché du travail et de l’emploi

10. marché du
travail et chômage, emploi, inactivité

11. Capital humain,
employabilité, formation, éducation

12. Trajectoires
alternatives (salariés / non-salariés ; privé / public ;
 marchand / non-marchand)

13. activités
professionnelles et compétitivité des entreprises ou des salariés

14. aspects
juridiques

Les propositions de
communication qui feront l’objet d’une publication pour laquelle les auteurs recevront ultérieurement les indications nécessaires consisteront en un article achevé, en français ou en anglais,
avec un résumé dans l’autre langue ou un projet d’article d’une page minimum indiquant le titre de la proposition, le thème de rattachement, la problématique abordée la(les) méthode(s)
appliquée(s), le terrain d’études le cas échéant, les résultats, cinq à sept mots clés ainsi que le nom, l’affiliation des auteurs et leur adresse e-mail.

Les propositions devront
être envoyées avant le 15 octobre 2012

aux adresses
suivantes : 
iutgaco@univ-littoral.fr  marc_richevaux@yahoo.fr



COMITE SCIENTIFIQUE
   
                                                       
                                

  • Natalia AVILOVA,
    Professeur, Professeur Université technique d’État de Koursk (Russie)
  • Irina Baïkova Professeur
    université de saint Petersburg (Russie)
  • Mohamed BELKADIR
    Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Hédi BENRABAH, Maître de
    conférences associé en Ressources Humaines. Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Jean-Bernard BOYABE,
    maître de conférences en économie, Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Valerius CIUCA,
    professeur de droit, Université « Alexandru Ioan Cuza » de Lasi (Roumanie), ancien juge au TPI-CJCE
  • Philippe ENCLOS, Maître
    de conférences en droit, Université Lille 2 Droit et Santé (France)
  • Joël GEEST professeur
    université du littoral côte d’opale chef du département génie industriel et maintenance
  • Andreî GOLOBODORENKO,
    Vice-Recteur, Université de Rostov sur le Don (Russie)
  • Eric HAEUW responsable de
    la licence gestion hôtelière et touristique Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Alexandru JIVAN,
    professeur d’économie, Université de l’Ouest de Timisoara (Roumanie)
  • Patrick LEROY Maître de
    conférences HDR Université de Bretagne occidentale Brest (France)
  • Brigitte LESTRADE
    professeur de civilisation allemande contemporaine, spécialiste des mutations du travail en Allemagne Université Cergy-Pontoise (France)
  • Evguenia MADELEINE maître
    de conférences Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Brice-Arsène MANKOU,
    docteur en sociologie Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Clotaire MOULOUNGHI
    Docteur en Droit Maître de conférences Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Cyril NYIECK Doctorant en
    Administration Publique à l’Université Pierre Mendes France de Grenoble Directeur Exécutif de l’Institut pour la Gouvernance en Afrique Centrale (IGAC (Cameroun)
  • Maria ORLOV présidente de
    l’institut des sciences administratives de la république de Moldavie
  • Mireille POIRIER, Maître
    de conférences HDR en droit, Vice-présidente Université Montesquieu Bordeaux IV (France)
  • Anca Alexandra PURCAREA,
    PhD. Professeur, Université Polytechnique de Bucarest, (Roumanie)
  • Marc RICHEVAUX, Maître de
    conférences en droit, responsable de la licence professionnelle gestion des ressources humaines Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Bruno ROUSSEL Chargé de
    Mission aux actions numériques & Responsable de l’Insertion Professionnelle des Doctorants. Université Paul Sabatier Toulouse (France)
  • Doina Corina SERBAN, PhD.
    Maître de conférences Université Polytechnique de Bucarest, (Roumanie)
  • Dan TOP Vice-doyen
    Faculté de droit Université Targoviste (Roumanie)

·      Tudorel TOADER Juge à la Cour Constitutionnelle de la Roumanie Prof. Univ. Dr

  • Crina VERGA université
    Mihaïl Kogalniceanu Iasi (Roumanie)
  • Elena VIKTOROVA,
    Professeur, Université de l’économie et des services Saint-Pétersbourg (Russie)
  • Jeanne-Marie WAILLY,
    docteur en droit, chef du département GACO Université du Littoral Côte d’Opale (France).

 

comité
d’organisation
 

  • Hédi BENRABAH, Maître de
    conférences associé en Ressources Humaines. Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Mohamed BELKADIR
    Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Séverine BOUTEILLER
    Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Eric HAEUW responsable de
    la licence gestion hôtelière et touristique Université du Littoral Côte d’Opale (France) chef du département gaco iut saint omer dunkerque
  • Stany LARDEUR Université
    du littoral côte d’opale (France)
  • Brice-Arsène MANKOU,
    docteur en sociologie Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Clotaire MOULOUNGHI
    Docteur en Droit Maître de conférences Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Marc RICHEVAUX, Maître de
    conférences en droit, responsable de la licence professionnelle gestion des ressources humaines Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Françoise VANDENBERGHE,
    Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Jeanne-Marie WAILLY,
    docteur en economie, Université du Littoral Côte d’Opale (France).

    Appel à communication pour le 25e colloque de l’ADDES

    L’économie sociale dans le mouvement des idées
    Paris – 22 octobre 2013

    « Nous sommes convaincus qu’on exagère grandement
    la force des intérêts constitués, par rapport à l’empire
    qu’acquièrent progressivement les idées. »
    J.M. KEYNES, 1936, Théorie Générale

    Depuis sa première manifestation en 1983, l’ADDES a principalement centré son activité scientifique sur la collecte de données sur l’économie sociale, sur la rigueur des méthodologies suivies, sur leur articulation avec la Comptabilité Nationale et sur leur intégration au sein du système statistique français. Des progrès sensibles ont été réalisés dans ce sens. Par la suite, son champ d’analyse s’est progressivement étendu aux diverses sciences humaines et sociales, notamment à l’histoire, pour développer les connaissances scientifiques sur l’économie sociale.

    A l’occasion de son trentième anniversaire, l’ADDES souhaite, lors de son 25e colloque, faire le point sur la doctrine et les discours qui ont fait et qui continuent à construire et animer aujourd’hui l’économie sociale.

    Un objet de réflexion critique pour l’Économie sociale

    En forçant le trait, on pourrait dire que l’économie sociale (et avant elle le mouvement coopératif), n’existe que par ce que l’on en dit, et par ce que l’on en écrit. S’il ne s’imposait pas, à son propos, de discours utopique fédérateur, à tout le moins d’appel récurrent à lui conférer un pouvoir de transformation sociale, elle se réduirait vite à une collection disparate d’unités économiques dont le secteur d’activité resterait, pour chacune d’entre elles, le seul et unique
    déterminant.

    L’absence d’un consensus sur la pertinence d’un concept d’économie sociale au plan international, les tendances réductrices ou transverses des approches alternatives utilisées (Tiers secteur, Nonprofit Sector, Volontary Sector, économie solidaire, etc.) et plus récemment l’émergence de l’entrepreneuriat social rendent encore plus nécessaires l’approfondissement et l’actualisation des fondements qui spécifient l’identité propre aux entreprises de l’économie sociale.

    On le voit bien : dès lors que leurs liens identitaires collectifs se distendent, les grands groupes coopératifs ou mutualistes prennent une posture qui réduit, banalise ou passe sous silence leurs principes particuliers de gouvernance ; et lorsque, car cela arrive aussi, elles les conservent et les entretiennent, ceux-ci sont intégrés à la « culture d’entreprise » et n’ont pas toujours une portée externe.

    À l’inverse, que ces mêmes liens se raffermissent comme on a pu l’observer au cours des deux dernières décennies, et chaque unité constituante se déclarera porteuse d’une parcelle de l’utopie commune. Pour autant, la vitalité de ce sentiment d’appartenance a besoin, pour se consolider, de fondements doctrinaux clarifiés et de mises en œuvre concrètes pour donner non seulement une identité visible à ses membres mais également une représentation de l’économie sociale favorisant sa reconnaissance, son observation et son analyse en tant que telle. Pour éviter un caractère exclusivement formel et un écart aux pratiques réelles qui décrédibilise, il est clair qu’une interaction entre les savoirs des responsables en charge de l’économie sociale et les travaux conceptuels et empiriques menées par le monde de la recherche est indispensable sur des questions aussi cruciales. L’ADDES, grâce à sa culture particulière depuis longtemps mise à l’épreuve au sein de son comité scientifique, pense être en mesure d’apporter une contribution à ces débats. Tel est l’objectif poursuivi par ce colloque qui en constitue une étape.

    Il est donc légitime de faire, du discours sur l’économie sociale, des représentations qu’elle suscite, de la place qu’elle occupe dans le mouvement des idées, un objet d’étude en soi. Cependant une approche trop statique, qui en resterait à l’histoire et à l’analyse des termes employés et des références utilisées dans les résolutions des congrès, les éditoriaux des revues, les opinions émises par des observateurs extérieurs, ou les jugements des penseurs et des politologues, n’atteindrait qu’une faible partie de son but. C’est au contraire dans une approche dynamique, passant des faits aux idées puis des idées aux faits, que l’on saisira toute la portée structurante du « discours » et qu’il deviendra possible d’affiner les concepts pertinents pour consolider les analyses scientifiques.

    Importance donc à donner aux faits, c’est à dire aux pratiques et à leur observation; à cela il nous faut ajouter, conformément à la vocation de l’ADDES, une attention particulière aux faits représentatifs, corroborés par des pratiques spécifiques statistiquement significatives.

    Un objet d’étude au croisement des idées et des faits

    Les registres dans lesquels s’inscrivent les interactions mutuelles entre faits et idées concernant l’économie sociale peuvent être regroupés en quatre grandes catégories non exlusives :

    L’utopie,
    qui vise à une transformation significative de la société à travers un projet globalisant, mis à l’épreuve dans des expériences alternatives de type phalanstérien. Si l’on a souvent associé la genèse de l’économie sociale aux différents « socialismes utopiques » d’il y a bientôt deux siècles, il convient également de revisiter les dernières décennies et d’évaluer le « besoin d’utopies nouvelles » qui semble poindre de nos jours.

    L’exemplarité, dans un contexte – géographique ou historique – particulier qui permet dans certains cas la reproduction d’innovations sociales réussies, parfois sur une large échelle, jusqu’à créer de toutes pièces de vastes pans de nos économies. Les banques coopératives, entre autres, sont nées de l’action quasi missionnaire de quelques précurseurs convaincus. Mondragon est dans le même cas. De tels scénarios sont-ils encore envisageables de nos jours ? Et sinon, qu’est-ce qui peut en tenir lieu ?

    La reconnaissance, c’est à dire la pleine intégration de l’économie sociale dans une société ouverte à toutes les formes d’entreprendre : elle en devient « normale », c’est à dire que tout le monde reconnaît sa légitimité et ses spécificités, et les accepte comme chose naturelle. C’est sa revendication actuelle. Elle y gagne en sécurité
    ; mais elle renonce de ce fait à son côté utopique, comme à son côté héroïque.

    L’instrumentation, qui vise à la réduire au rang de simple moyen d’action, soit au service des politiques publiques, soit à celui du
    capitalisme libéral (terme employé ici faute de mieux). Elle y perd une grande partie de son autonomie, et se voit alors le plus souvent affectée à des missions de secours, de réhabilitation, de prise en charge de populations dépourvues des « capabilitités » leur permettant de s’insérer dans le train d’enfer de la compétition.

    Le terme de banalisation, qui est généralement utilisé pour désigner l’effacement des caractères spécifiques de l’économie sociale et l’alignement de celle-ci sur les modes de fonctionnement de l’économie capitaliste ou de l’économie publique, ouvre peut-être sur une cinquième catégorie d’interactions entre faits et discours. On utilise aussi, pour exprimer le même phénomène, le concept d’isomorphisme institutionnel.

    Si la banalisation peut avoir une origine interne dans l’évolution même des pratiques, elle apparaît surtout comme transversale aux deux dernières catégories, reconnaissance et instrumentation. Elle accompagne dans certains cas l’une, ou l’autre; mais on ne peut sans doute pas affirmer qu’elle mène obligatoirement vers l’une, ou vers l’autre. D’autre part, il peut y avoir reconnaissance ou instrumentation sans qu’il y ait banalisation.

    Cette classification laisse de côté certains discours plus négatifs sur l’économie sociale. En général, ils proviennent  de l’extérieur, et ne sont pas toujours assis sur des faits. Cependant, qu’il s’agisse d’une hostilité déclarée, de la négation de l’idée même d’économie sociale ou d’une simple méconnaissance pouvant conduire à des erreurs de compréhension, il y a là aussi matière à des travaux stimulants plus critiques qui peuvent trouver leur place dans la réflexion envisagée.

    Dans diverses circonstances, l’économie sociale a subi des dissensions, des déchirements ; elle s’est  aussi montrée rétive à l’intégration d’organisations pourtant proches, pouvant aller parfois jusqu’au sectarisme ; elle n’a pas toujours su correctement répondre aux attaques ; enfin, à côté de ses succès, elle a connu aussi des échecs, des dérives, des crises, des défaillances d’entreprises, tous événements qui ont eu des incidences sur les discours et les représentations, et laissé des traces dans les comportements.

    Un appel à communication très ouvert

    En choisissant cet ensemble de thématiques pour son colloque 2013, l’ADDES a bien conscience de sortir quelque peu des limites de son rôle traditionnel de promotion de la connaissance quantitative de l’économie sociale. Elle s’ouvre également à toute une variété de disciplines qui sont utiles pour une réflexion approfondie croisant les angles d’analyse : histoire, science politique, sociologie, sciences du langage et de la communication, etc. C’est pourquoi il est utile de mettre en place des garde-fous permettant de conserver au cœur de la problématique du colloque l’articulation des faits et des pratiques avec les idées et les doctrines. Dans le choix des communications retenues, le comité scientifique de l’ADDES attachera une grande importance à la qualité de la documentation recueillie : celle-ci devra être à la fois pertinente, exhaustive, présentée avec objectivité, et convenablement contextualisée.

    Par ailleurs, le comité scientifique privilégiera les enjeux actuels, surtout s’ils mettent plusieurs pays ou plusieurs expériences en parallèle, ce qui n’exclut en rien de plonger ses racines dans l’Histoire profonde, même ancienne, dès lors que c’est pour en dégager des paradigmes à valeur permanente.

    L’ADDES attend donc des propositions de communications originales, portées par des chercheurs ou par des acteurs et s’appuyant sur des disciplines variées (économie, sciences de gestion, sciences politiques, histoire, sciences de la communication, sociologie, etc.) et visant à illustrer, à clarifier et à mettre en débat la place effective qu’occupe l’Économie sociale dans la société contemporaine et ses apports dans le mouvement général des idées.

    En pratique :

    Adressez  votre réponse sous format électronique avant le 20 octobre 2012 à  Véronique LAROSEE, déléguée générale de l’ADDES (addes@coopanet.com), à partir du document ci-dessous.

    Une réponse sera donnée avant la fin du mois de novembre aux auteurs. Conformément à son habitude, le comité scientifique de l’ADDES invitera les communicants retenus à présenter l’état de leurs travaux à l’occasion d’une ou de deux de ses séances au premier semestre 2013 afin d’échanger sur leur contenu, d’articuler les différentes communications et de préparer l’organisation du colloque. Les articles devront être écrits en français, comprendre un résumé en français et en anglais et une bibliographie.

    Les communications retenues feront l’objet d’une publication dans la Revue internationale de l’économie sociale  (RECMA).

    La fiscalité des entreprises au XXe siècle

    Didier Bensadon, Université Paris-Dauphine
    Nicolas Praquin, Université Paris-Sud
    Béatrice Touchelay, Université Lille Nord de France (Lille 3)
    Philippe Verheyde, Université Paris VIII-Saint Denis

     Vous invitent à
    proposer une contribution à la 3e journée d’étude
    « Histoire, Entreprises et Gestion – HEG
    »

    consacrée à
    « La
    fiscalité des entreprises au XXe siècle »
    et organisée à
    l’
    Université Paris-Sud (Sceaux) le vendredi 7 juin 2013

    Le groupe de travail « Histoire, Entreprises et Gestion » mêlant historiens et chercheurs en sciences de gestion organise
    chaque année un cycle de journées d’études autour d’un thème central.

    La première journée, organisée à l’Université Paris VIII-Saint-Denis en juin 2011, sur le thème : «
    Comptabilités d’entreprises et Histoire XIX-XXe siècles : objets, pratiques et enjeux », a été
    l’occasion pour des historiens, des juristes, des sociologues et des spécialistes de sciences de gestion d’examiner
    la manière dont la comptabilité et la gestion se sont imposées au
    sein des organisations privées. La deuxième journée consacrée à « L’argent des entreprises » s’est déroulée à l’Université Lille 3 le 8 juin 2012 ; elle a montré le rôle et les utilisations des
    sources de financement, son impact sur la gestion en période d’abondance ou de carence, et plus généralement la façon dont il pouvait déterminer – ou pas – la reddition des comptes et la
    production d’information financière tant pour les entreprises que pour leurs partenaires privés.

    Nous souhaitons prolonger ces réflexions et ces échanges sur les réalités et les interprétations du concept d’entreprise,
    appréhendée à la fois comme une construction et un vécu, comme un objet d’histoire et comme un système d’organisation inscrit dans le temps et dans l’espace en élargissant cette année la
    réflexion à leurs relations avec l’Etat. Nous cherchons à susciter une réflexion collective auprès des chercheurs confirmés, mais également auprès des doctorants et des professionnels des
    sciences humaines et sociales qui s’intéressent à l’entreprise comme acteur économique, social et politique, voire culturel.

    Le thème de la troisième journée que nous proposons porte sur « les entreprises et la fiscalité ». Cette thématique nous parait particulièrement propice à une approche mêlant tant les échelles spatiales que temporelles et s’appuyant sur des sources et des fonds d’archives
    diversifiés. Il s’agira ici de mêler les réflexions des spécialistes en sciences de gestion, des historiens, des juristes, voire des sociologues et des économistes pour évaluer les réactions des
    entreprises aux profondes réformes de la fiscalité introduites depuis le début du XXe siècle en France : création de l’impôt sur le revenu en 1914, puis de l’impôt cédulaire sur les bénéfices en
    1917 et, plus généralement de toutes les différentes formes de taxation opérées au cours du siècle. La question de l’organisation du contrôle fiscal construit par l’administration, souvent
    combattu par les contribuables ou les parlementaires, constitue également un axe d’approche à retenir.

    Cette thématique peut être déclinée en quatre niveaux :

    Celui du système d’informations comptables
    : comment la fiscalité a-t-elle pu modeler et façonner les règles comptables tout au long du XXe siècle ? Comment vers la fin du XXe siècle, l’évolution de
    l’environnement économique et financier a pu délier le lien qui associait comptabilité et fiscalité ? Les approches historiques comparatives sont particulièrement bienvenues dans ce cadre dans la
    mesure où elles permettent d’éclairer la singularité du système français.

    Celui de l’entreprise elle-même : comment les entreprises s’adaptent-elles à ces changements qui les obligent à déclarer leurs revenus et à nouer des relations régulières et directes avec les agents du
    fisc ? Quel est l’impact de cette fiscalité directe sur leur gestion ?

    Celui de l’entreprise confrontée à l’Etat fiscal
    : dans quelle mesure ces évolutions transforment-elles les relations entre les entreprises et l’Etat ? La généralisation tardive de la normalisation
    comptable et la persistance du forfait sont-elles le signe de résistances de la part des entreprises ? Comment l’entreprise aborde-t-elle ses relations avec les agents du fisc ? Quels sont les
    rôles des comptables ou des conseillers fiscaux ? Comment les contentieux permettent-ils d’éclairer les relations que les entreprises entretiennent avec le fisc ?

    Celui de l’Etat, de l’administration fiscale et ses
    agents
    : comment s’adaptent-ils à ces transformations ? De quels moyens disposent-ils (formation des agents à la comptabilité,
    répression des fraudes, etc.) ? Quelle est leur efficacité ? Dans quelle mesure, comment et quand l’amélioration des contrôles des comptabilités des entreprises atténue-t-elle la fraude
    ?

    Les propositions de communications avec titre (1 page) et un court CV sont à envoyer pour le 31 décembre 2012 à Nicolas
    Praquin (nicolas.praquin@u-psud.fr) en indiquant dans le sujet du mail : « 3e
    journée HEG » ; une notification d’acceptation ou de refus sera adressée courant janvier 2013.

    Appel à Com. ISEG Group – ISERAM Colloque international : Le désordre : une vertu créatrice ?

    Appel à communications
    Le
    désordre : une vertu créatrice ?

    L’entreprise du XXIe siècle repose sur de nouveaux fondamentaux. Elle apparaît porteuse de germes de désordre qui
    pourraient bien remettre en cause les routines organisationnelles et la vision du monde, héritées du siècle précédent. À sa décharge, il faut souligner qu’elle est entrée dans le nouveau siècle
    en ayant à gérer une situation paradoxale. Alors que la révolution numérique l’avait dotée de capacités exceptionnelles de traitement de l’information, et que le tournant managérial lui avait
    enseigné les mérites du projet, du matriciel, du tableau de bord prospectif, du 360°, du leadership, etc., elle se retrouve désormais à l’intérieur d’une situation de crise, facteur d’anomie, où
    la perte de références se conjugue à l’épuisement des solutions héritées des modèles de gouvernance du siècle passé. Elle subit les conditions d’un environnement peu familier aux effets
    multiples, issu d’une crise mondiale qui affaiblit et divise les États, menace d’éclatement le système bancaire, et surtout, tend à remettre en cause les grands équilibres et compromis sociaux du
    siècle passé. Dans le même temps, l’entreprise ne fait pas que subir, elle peut construire un nouvel environnement, à l’image des modèles d’affaires mis en oeuvre par Apple, Amazon, Free,
    Sarenza, etc
    . Dans ces conditions, certains débats perdent du sens, comme celui sur l’entreprise et la mondialisation. La mondialisation ne constitue plus l’opportunité à saisir absolument,
    ou bien, à l’inverse, la contrainte radicalement infranchissable, elle joue d’abord le rôle d’un dispositif aléatoire ou continu de transmission des fluctuations, qui accélère et amplifie la
    diffusion des effets anomiques de la crise avec lesquels l’entreprise doit en permanence composer.

    Si certains débats perdent du sens, d’autres gagnent en pertinence, en explorant des questions que les rationalités
    procédurales des entrepreneurs du nouveau siècle font émerger, lorsque les impératifs d’agilité et de résilience face à la crise exigent d’explorer des formes d’organisation originales et des
    stratégies inédites. De nombreux phénomènes se combinent pour ouvrir une telle perspective. En témoignent notamment l’expansion irrésistible des réseaux sociaux, remettant en cause les liens
    verticaux classiques, tant à l’intérieur des organisations que dans la société ; le développement continu de technologies qui confèrent du pouvoir à des unités de plus en plus décentralisées,
    s’affranchissant des frontières nationales ; la réévaluation du périmètre traditionnel des entreprises et de leurs stratégies d’innovation et de financement ; ou encore, la transformation du rôle
    de l’État, qui se veut de plus en plus un « État-stratège », cherchant à créer des procédures nouvelles pour compenser la réduction du pouvoir de régulation et de stabilisation des instruments
    macro-économiques classiques. La conjugaison de ces phénomènes conduit à l’émergence d’organisations et au développement de comportements qui s’écartent des sentiers battus, dérogent aux règles
    établies et acceptées antérieurement par le plus grand nombre, et pourraient bien dessiner les orientations possibles du paradigme entrepreneurial du nouveau siècle.

    Ces organisations, ces comportements, constitués de manière intentionnelle, en s’écartant des normes sociales et des
    routines organisationnelles, éclairent les angles morts de la régulation, de la délibération et de la prise de décision. À ce titre, ces phénomènes interpellent les pouvoirs publics, les
    entreprises, les chercheurs et de nombreux acteurs de la société civile. Faut-il s’en défier, comme les ferments d’une remise en cause de la stabilité et de la pérennité de l’ordre social et de
    l’économie d’entreprise, et face à l’anomie léguée par la crise, tenter de renforcer le respect de la règle comme fondement de la régulation et de l’équilibre ? À cette vision d’un environnement
    normatif et 
    prescriptif, n’est-il pas opportun au contraire d’opposer la pertinence des
    enseignements d’un Joseph Schumpeter, pour qui l’innovation technique, économique et sociale ne pouvait surgir que d’une « destruction créatrice », où le nouveau devait transgresser les règles de
    l’ancien pour parvenir à éclore ? Ou encore, saisir les phénomènes concernés comme des instruments de résilience sociale ou organisationnelle au sens de Karl Weick et/ou des tenants de l’écologie
    des populations ? Les termes du débat semblent bien apparaître comme une relation entre fermeture et ouverture du système de représentations, répondant elle-même à une dialectique de l’ordre et
    du désordre.

    Ces réflexions conduisent à de nouveaux champs d’investigation. Elles concernent, par exemple, la
    nature de la rationalité qui conduit à la prise de décision ; et où la transgression des normes, mais aussi l’erreur et l’échec deviennent des situations procédurales à l’intérieur desquelles
    s’initient en négatif de nouvelles formes d’apprentissage. Elles s’inscrivent aussi au coeur des conditions de création et de diffusion de l’innovation, où les avantages de l’ouverture
    apparaissent bien supérieurs aux risques liés à la propriété intellectuelle, comme le montrent les travaux sur l’open innovation. Elles intéressent également les nouveaux comportements
    qui remettent en cause les statuts classiques du producteur et du consommateur, à l’image de l’intervention de l’amateur (pro-am) dans une économie de la contribution qui met en valeur
    l’expertise du consommateur pour en faire un co-producteur de biens, de services et de signifiants collectifs. En témoignent les fonctions du patient-expert, du « lanceur d’alertes », de
    l’entrepreneur de l’économie sociale, ou encore, des artisans du micro-crédit et des monnaies locales. Un autre champ d’investigation de cette dialectique entre ordre et désordre est constitué
    par les créations d’activités dont s’accompagnent les opportunités de la décentralisation de l’État, et qui peuvent se traduire par deux phénomènes contradictoires : d’un côté, d’importants
    effets de concurrence et d’éviction entre territoires, en complète contradiction avec la rationalité d’un schéma national d’aménagement harmonisé ; de l’autre, la mise en valeur d’avantages
    comparatifs, facteurs de différentiation, qui contribuent à consolider l’ancrage territorial des entreprises sur des secteurs spécifiques, avec une forte complémentarité des rôles entre
    entrepreneurs et collectivités pour assurer l’organisation de l’activité.

    Ce colloque se donne pour objet de reprendre la question du désordre comme une vertu créatrice de
    l’entreprise du XXIe siècle. La problématique est par nature multidimensionnelle. Elle se situe au carrefour de plusieurs disciplines, notamment les sciences économiques, les sciences de gestion,
    la sociologie, les sciences juridiques et les sciences politiques. De même, différents champs d’investigation pourront être explorés, et la liste proposée ici n’est nullement limitative.

    Axe 1 – La primauté de la règle

    – Le désordre, comme affectant les normes établies, dans l’entreprise, dans l’économie et la
    société

    – Le désordre, comme source d’asymétrie d’information, de fausse information ou de manipulation
    d’information (clients/consommateurs, concurrents, fournisseurs, organismes de régulation, etc.)

    – Le désordre, comme conduisant à des comportements de non-respect des lois (contre-façon,
    malversation, piratage, propriété intellectuelle, trafic d’influence, etc.)

    – Le désordre, comme source d’activités illégales, criminelles

    – Le désordre, comme source de pressions politiques (lobbying par exemple)

    – Le désordre, comme source de mauvaise gouvernance

    – Le désordre, comme source d’inéquité dans l’entreprise

    Axe 2 – L’exigence de désordre

    – Le désordre, comme fondement de l’économie entrepreneuriale (nouveaux business models,
    nouvelles activités et/ou niches, nouvelles approches marketing, etc.)

    – Le désordre, comme source de changements stratégiques

    – Le désordre, comme source d’innovation organisationnelle

    – Le désordre, comme source d’innovation managériale (acceptation de l’erreur, de l’échec, de la
    transgression des règles, de la co-production des normes, etc.)

    – Le désordre, comme source d’innovation sociale, dans les comportements des acteurs : pro-ams,
    contributeurs, patients-experts, lanceurs d’alertes, entrepreneurs de l’économie sociale, nouveaux consommateurs, etc.

    – Le désordre, comme source de pouvoirs horizontaux (réseaux sociaux, internes et externes)

    – Le désordre, comme association de la société civile à la prise de décision (populations locales,
    ONG, économistes atterrés, rebelles du marché)

    – Le désordre, comme source d’innovations financières

    – Le désordre, comme source d’innovation monétaire : monnaies parallèles, monnaies locales,
    micro-crédit, crédit municipal

    Axe 3 – La règle et le désordre, une réconciliation envisageable
    ?

    – Réseaux d’entrepreneurs, création d’activité et territoires

    – Le rôle des territoires dans la constitution de pôles d’innovation

    – Les conditions contrastées de l’ancrage territorial des firmes

    – Les industries de territoire, services collectifs et industries créatives

    – Les partenaires sociaux, les ressources humaines et les conditions du consensus dans
    l’entreprise

    – Le rôle du management interculturel, comme médiation entre les objectifs économiques de l’entreprise
    et la complexité des milieux d’affaires à l’étranger

    – La politique financière de l’entreprise face à l’instabilité des marchés : contraintes de
    financement et exigences de valorisation des actifs

    – L’économie sociale et solidaire, entre marché et bien collectif

    – Le rôle des monnaies parallèles et des financements parallèles

    – L’économie informelle, au Sud et au Nord

    – Les business cycles, depuis Schumpeter 4

    Comité scientifique

    Boualem Aliouat, Université de Nice

    Alain Amintas, Université de Rennes 2, CIAPHS

    Gilles Antier, IAURIF et IEP de Rennes

    Olivier Babeau, Université Paris 8

    Amina Bécheur, Université de Marne-la-Vallée

    Danielle Benezech, Université de Rennes 1, CREM

    Faouzi Bensebaa, Université Paris 8, ISEG Group

    Philippe Béraud, Télécom Bretagne et CIAPHS, Université de Rennes 2

    Annie Blandin, Télécom Bretagne et CEDRE/IODE, Université de Rennes 1

    Rolande Borrelly, Université de Grenoble 3, ISMEA

    Michel Capron, Université Paris-Est-Créteil

    Didier Chabaud, Université d’Avignon

    Viviane du Castel, ISEG Group

    Franck Cormerais, Université de Bordeaux 3, MICA

    Pablo Diaz, Institut d’Etudes Politiques de Rennes, CIAPHS, ISMEA

    Pierre Guidicelli, Université Paris 1

    Marc Humbert, Université de Rennes 1, CIAPHS

    Thierry Isckia, Télécom Paris

    Adrienne Jablanczy, ISEG Group

    Joan Le Goff, Université de Tours

    Laurent Loty, CNRS

    Ababacar Mbengue, Université de Reims

    Karim Messeghem, Université de Montpellier

    Pierre Musso, Télécom Paristech et Université de Rennes 2

    Jean-Louis Perrault, Université de Rennes 1, CIAPHS, ISMEA

    Yvon Pesqueux, CNAM Paris

    José Filipe Pinto, Université Lusophone de Lisbonne

    Pierre Salama, Université de Paris XIII

    Ali Smida, Université Paris 13

    Adelino Torres, Université Technique de Lisbonne 5

    Comité d’organisation

    Faouzi Bensebaa, Philippe Béraud, Viviane du Castel, Adrienne Jablanczy.

    Les projets de communication de deux pages maximum, bibliographie comprise, devront être envoyés avant
    le 30 décembre 2012 au secrétariat du colloque : viviane.du-castel-suel@iseg.fr La réponse du comité scientifique parviendra aux auteurs au plus tard le 15 janvier 2013.

    Le colloque se déroulera à la Maison de l’Europe, à Paris, le jeudi 11 avril 2013. Ce colloque bénéficie de la
    collaboration du CIAPHS, laboratoire de recherche de l’Université de Rennes 2, et de l’ISMEA, Fondation François Perroux et de La Revue des Sciences de Gestion.

    Appel à com : Conférence annuelle de la Chaire Banque Populaire en microfinance du Groupe ESC Dijon Bourgogne

    4e Conférence Internationale sur l’Environnement Institutionnel et Technologique de la Microfinance ITEM 4

    Inclusion financière : Leçons croisées entre le Sud et le Nord

    Le Comptoir Général, 80 quai de Jemmapes, 75010 Paris, France
    11-12 avril 2013

    La 4e Conférence Internationale sur l’Environnement Institutionnel et Technologique de la Microfinance (ITEM4) sera organisée par la Chaire Banque Populaire en Microfinance du Groupe ESC Dijon Bourgogne les 11 et 12 avril 2013 à Paris,
    France.

    La conférence réunira des participants professionnels et issus du monde académique, qui travaillent sur l’inclusion financière dans les pays développés et en voie de développement. Les participants tenteront d’identifier quelles leçons le Nord peut tirer du Sud et inversement. D’autres thèmes relatifs à la microfinance seront discutés en parallèle et en sessions plénières.

    La conférence acceptera des contributions en cours de processus de publication dans les revues partenaires de l’événement ITEM 4 aussi bien que dans d’autres revues. Les conférenciers recevront une notification si leurs travaux peuvent faire l’objet d’une publication dans un des journaux indiqués ci-dessous.

    Des sessions parallèles se tiendront en anglais et en français.

    KEYNOTE SPEAKER:

    Dr. Jean-Michel Servet, Professeur d’études du développement à
    l’Institut des Hautes Etudes Internationales et du Développement (IHEID) à Genève.

    SOUMISSION ET REVUE DES CONTRIBUTIONS:

    La date limite de soumission des contributions a été étendue au 15 février 2013. Les communications seront reviewées anonymement et les auteurs recevront une notification de décision au plus tôt. Les contributions devront être envoyées à microfinancechair@escdijon.eu. Nous invitons également tous les
    volontaires à devenir discutants et présidents de session.

    SUJETS RECOMMANDÉS

    Voici des exemples, non limités, de sujets traités durant les sessions :

    Gestion des coûts en Microfinance

    ·        Coûts de transaction en microfinance

    ·        Coûts sociaux de la microfinance

    ·        Gestion des coûts opérationnels en microfinance

    ·        Gestion des coûts stratégiques en microfinance

    ·        Innovation et gestion des coûts en microfinance

    ·        L’utilisation de la technologie pour réduire les coûts de la microfinance

    o      MIS (SaaS , cloud computing)

    o      Financement en ligne

    o      Mobile banking

    Management de la performance en Microfinance

    ·        Performance économique et besoin de soutenabilité financière (indépendance vis-à-vis des donateurs)

    ·        Performance sociale des Institutions de Microfinance

    ·        Difficultés des mesures de la double bottom line pour la  microfinance

    ·        Conceptualisations en performance totale ou performance globale pour la microfinance

    ·        Co-création et besoin d’alliances pour améliorer la performance de la microfinance

    Microfinance entre État et Marché

    ·        Impact des politiques publiques sur le développement de la microfinance

    ·        Outils publics d’inclusion financière

    ·        Impact des initiatives privées sur le développement de la microfinance

    ·        Outils privés d’inclusion financière

    ·        Question de la réglementation des acteurs de la microfinance

    o      Réglementation spéciale contre absence de règlementation dans le secteur de la microfinance

    o      Réglementation spéciale  du secteur de l’économie sociale et solidaire

    o      Impacts de la règlementation

    ·        Microfinance: cœur de la mission sociale des acteurs économiques

    ·        Approches “Welfaristes” et institutionnelles de la microfinance

    Microfinance comme outil de réduction des inégalités

    ·        Emancipation des femmes grâce à la microfinance

    ·        Développement du Social Business

    ·        Microcrédit professionnel contre microcrédit personnel

    ·        La microfinance peut-elle demeurer un outil social malgré ses dérives capitalistes?

    ·        La microfinance comme outil de cohésion sociale

    ·        L’année internationale des Nations Unies pour la Coopération en matière d’eau

    Numéros spéciaux :

    Cinq revues (trois anglophones et deux francophones) ont planifié des numéros spéciaux consacrés à la conférence ITEM 4 : la revue
    Cost Management (avec Arvind Ashta, titulaire de la Chaire Banque Populaire Chair en Microfinance du Groupe ESC Dijon Bourgogne, comme éditeur invité), la revue Strategic Change, la revue International Journal of Technology and Human Interactions, La Revue des Sciences de Gestion (LaRSG) (avec Laurence Attuel-Mendès, comme éditrice invitée) et la revue EurOrient (avec Djamchid Assadi comme éditeur invité). Lors de l’envoi de vos
    communications, merci d’indiquer à quel journal vous destinez vos travaux pour une éventuelle publication.

    Comité académique

    Dr. Azizah ABDULLAH, Lecturer, Universiti Teknologi Mara, Malaysia
    Dr. Arvind ASHTA, Professor (Finance), Holder of the Banque Populaire Chair in Microfinance, Burgundy School of Business, France
    Dr. Djamchid ASSADI, Professor (Marketing and New Media), Burgundy School of Business, France
    Dr. Laurence ATTUEL-MENDES, Professor (Law), Burgundy School of Business, France
    Dr. Charles VINCENT, Professor and Principal Research, CENTRUM
    Cat
    òlica Graduate School of Business, PUCP, PeruDr. Mawuli COUCHORO, Faculty of Economics and Management, Université de Lomé, Togo
    Prof. Louis DE KOKER, Chair of Law, Deakin University, Australia
    Prof. Karl DAYSON, Deputy Head of Humanities, Languages and Social Sciences School, University of Salford, UK
    Dr. Glòria Estapé DUBREUIL, Professor, Universitat Autònoma de Barcelona, Spain
    Dr-HDR Pascal Glémain, ESSCA CeRESS and CIAPHS Rennes 2 Ueb, France
    Dr. V. GOPAL, Dean (Academics) and Professor of finance, IMT Nagpur, India
    Dr. Abdelillah HAMDOUCH, Professor, Polytechnic School – University François Rabelais of Tours, France
    Dr. Samanthala HETTIHEWA, University of Ballarat, Australia
    Dr. Marek HUDON, Professor (Microfinance), Université Libre de Bruxelles, Director CERMi, Belgium
    Dr. Fredj JAWADI, Professor (Economics), University of Evry, France
    Dr. Frank LENTZ, Researcher (IT), Burgundy School of Business, France
    M. Onafowokan OLUYOMBO, Coordinator, Banking and Finance, Redeemer’s University, Nigeria
    Dr. Philipp OTTO, Researcher, European University Viadrina, Germany
    Dr. Yvon PESQUEUX, CNAM, LIPSOR, France
    Dr. Pritam SINGH, Director, Postgraduate Programme in International Management and International Relations, Oxford Brookes
    University, UK
    Dr. Dimitri UZUNIDIS, Université of Greece, Université Littoral, France and University of Seattle, USA
    Dr. Chris WRIGHT, Business School, Faculty of the Professions, University of Adelaide, Australia

     

    Comité professionnel

    Dr. Mostaq AHMMED, Managing Director, Green Housing and Energy ltd., Bangladesh

    M. Mikhail CHERKAS, Director, Business Development CIS, Central and Eastern Asia, Microfinance Strategy sarl, Switzerland

    M. Puspadhar DAS, Head of IT division, Asomi Finance Pvt Ltd, India

    M. Ryan EDWARDS, Adviser, Australian Public Service, Australia

    M. Saleh KHAN, Manager, advisory services, MF sector, PWC, Luxembourg

    Ms. Maria Jesus MARIÑO GOMEZ, Microfinance Consultant, Spain

    Dr. Nzilu MUSYOKI, Director Marketing, Brand Kenya Board, Kenya

    Ms. Marianne NOWAK, Consultant: Transaction Advisory Services – Financial Services, New York, USA

    M. Krishna NYAPATI, Managing Director, Microsense Software Pvt Ltd, India

    M. Paul SHARMAN, Editor in Chief, Cost Management, Canada

    Ms. Isabelle ZIGLIARA, Partnership and sponsorphip, Fédération Nationale des Banques Populaires, France

    Comité d’organisation de la conférence au Groupe ESC Dijon Bourgogne

    Dr. Stéphan BOURCIEU, Professeur (Stratégie), Directeur Général (Président du comité)

    Mrs. Marie-José ALBERT-BATT, Directeur des Relations Internationales

    Mrs. Isabelle DEMAY, Directeur Entreprises et Carrières

    Mrs. Christine MARTIN, Directeur de la Communication

    Dr. Sophie REBOUD, Professeur (Innovation) et Directeur de la Recherche

    Dr. Arvind ASHTA, Professeur (Finance), Titulaire de la Chaire en Microfinance

    Dr. Djamchid ASSADI, Professeur (Marketing et nouveaux média)

    Dr. Laurence ATTUEL-MENDES, Professeur (Droit)

    M. Vitalie BUMACOV, Chercheur associé

    M. Hayyan ALIA, Chercheur assistant

    M.Yves LEGRAND, Webmaster

    Appel de La Revue Internationale d’Intelligence Economique (R2IE) : « Systèmes d’aide à la décision et Big Data »

    La Revue Internationale d’Intelligence Economique (R2IE), éditée par Lavoisier, a le plaisir de vous transmettre son dernier appel à communication sur le thème « Systèmes d’aide à la décision et Big Data ».
    L’appel vise à recenser les derniers développements en sciences humaines (droit, économie, gestion, etc.) relatifs à l’impact du Big Data sur le management stratégique des organisations et la protection des données personnelles. Il s’inscrit dans le cadre d’un programme de recherche transversal et indépendant visant à établir un dialogue fertile entre le monde de la recherche et celui des décideurs ou experts confrontés à cette problématique sur le terrain.
    Vous trouverez sur www.revue-r2ie.com la version complète de l’appel à communication. La date limite de dépôt des intentions de contribution sous forme d’abstract détaillé est fixée au 15 mars 2013.
    N’hésitez pas à diffuser ce document auprès des chercheurs de votre organisme ou département de recherche. L’ensemble des informations complémentaires sont disponibles sur le site web de la revue  www.revue-r2ie.com

    Romain Zerbib
    Secrétaire Général Adjoint de la R2IE
    redaction.r2ie@gmail.com

    revue-r2ie.com

    Première revue francophone de management – Revue gestion REVUE GESTION Revues de Gestion