Santé mentale et travail

Les formations sanitaires et sociales de l’Université d’Évry Val d’Essonne (LP service à la personne et DEUST Travail social) participent comme chaque année, aux semaines nationales d’information sur la santé mentale (SISM) en organisant une journée sur le thème 2017 : « Santé mentale et travail ».

Cette manifestation gratuite et ouverte à tout public se tient à l’Université d’Évry (91) le 16 mars 2017 de 9h à 17h

Elle se tient en partenariat la MGEN et l’UNAFAM

Cette journée se décompose en deux parties :

  • Le matin : deux tables animées par des acteurs du handicap et de la santé mentale
  • L’après-midi : un spectacle de théâtre interactif

Pour tout contact : Philippe Naszályi, philippe.naszalyi@univ-evry.fr – 0614253916

à propos de

Les formations sanitaires et sociales de l’Université d’Evry

Le DEUST travail social est une formation généraliste qui permet de trouver un emploi immédiat ou aide à une poursuite d’études souvent en LP.

La formation à la médiation et la préparation au Certificat National de Compétences (CNC) de délégué aux prestations familiales sont inclus dans ce diplôme, et renforcent la professionnalisation pour offrir des débouchés en liaison avec ce secteur du travail social qui est multiforme par ces acteurs et par les structures qui emploient.

Les deux parcours spécialisent les diplômés autour de deux axes :

  • médiation urbaine et sociale qui correspond plus aux profils de l’apprentissage en collectivité locale et associations ;
  • médiation éducative et sportive qui correspond à la demande de plus en plus importante de contrats en milieu scolaire pour des postes d’éducateur en école, collège et de plus en plus en internat, avec des publics souvent difficile

La LP Service à la Personne Cette formation est unique en France par la complémentarité des 3 pôles d’enseignement : droit et gestion, appréhension des pathologies et santé, et management et création de structures. Les trois pôles de formation permettent d’accomplir trois familles de métiers :

1/ Métiers de Tuteur, Curateur, Délégué aux prestations familiales. La LP MAP permet en plus, de valider dans le cursus, selon les conditions prévues à cet effet, les 3 certificats nationaux de compétence (CNC) de mandataire judiciaire à la protection des majeurs (MAJ et MJPM) et de délégué aux prestations familiales (DPF).

2/ Le référent d’intervention et de coordination soit dans le cadre environnant le patient, soit dans celui d’un service dans un organisme ou un établissement.

3/ Le management des équipes et des hommes dans les structures de l’Aide à la Personne : http://deust.hautetfort.com/fiches-diplomes-en-alternance/

Les SISM : semaines nationales d’information sur la santé mentale

Les SISM sont un moment privilégié pour réaliser des actions de promotion de la santé mentale. Ces semaines sont l’occasion de construire des projets en partenariat et de parler de la santé mentale avec l’ensemble de la population.

Les cinq objectifs des SISM

  1. SENSIBILISER le public aux questions de Santé mentale.
  2. INFORMER, à partir du thème annuel, sur les différentes approches de la Santé mentale.
  3. RASSEMBLER par cet effort de communication, acteurs et spectateurs des manifestations, professionnels et usagers de la santé mentale.
  4. AIDER au développement des réseaux de solidarité, de réflexion et de soin en santé mentale.
  5. FAIRE CONNAÎTRE les lieux, les moyens et les personnes pouvant apporter un soutien ou une information de proximité.

Santé mentale

Première Ecole d’Eté Européenne sur l’Economie Solidaire

C’est dans le cadre de la première école d’été européenne sur l’économie solidaire qu’est posée la question : peut-on promouvoir un agenda commun pour l’économie solidaire en Europe ?

4 – 8 septembre 2017, CES-Lisboa (Picoas Plaza, Rua Viriato – 13, Lojas 117/118)

Applications ouvertes jusqu’au 20 avril 2017

Organisation : Centre d’Études Sociales de l’Université de Coimbra

L’économie solidaire couvre un large éventail d’initiatives et d’organisations qui cherchent à établir des relations économiques et sociales fondées sur des intérêts communs, l’entraide et la participation démocratique.

Pour l’économie solidaire dans le monde entier

Le fait qu’elle constitue une réalité émergente dans le monde entier nous amène à cerner en particulier les points communs et les différences entre les modalités que l’économie solidaire a pris en Europe et sur d’autres continents, afin de mettre en évidence la multiplicité et la diversité de ces expériences et, en même temps, réfléchir sur la possibilité de construire un programme de dialogue entre les chercheurs et les militants de différents pays, visant à une plus grande visibilité de l’économie solidaire. Cette École d’Été bénéficie d’un important soutien des partenaires nationaux (ISCTE, Réseau Portugais d’Économie Solidaire, Association des Études Économiques de l’Atlantique) et internationaux (RIPESS – Économie Solidaire en Europe, Collège d’Études Mondiales de Paris).

 

l'économie solidaire CES-Lisboa

DFCG : livre blanc sur les meilleures pratiques de pilotage des Services Publics

La DFCG identifie et publie dans son livre blanc les meilleures des pratiques en matière de dispositif de pilotage de la performance dans les organisations publiques.

La performance des services publics est un sujet récurrent, dans le débat public pour la DFCG

Au-delà des annonces politiques, cette question concerne les professionnels de la performance publique : les dirigeants et managers des organismes publics et les responsables des fonctions finance-gestion du secteur public.
A la tête d’administrations centrales ou déconcentrées, de collectivités locales, d’hôpitaux ou d’établissements publics, ils doivent mettre en place les méthodes, les processus, les indicateurs, la culture qui permettent d’orienter l’action publique vers davantage de performance.

Avec son groupe «Services Publics», la DFCG a mené une étude rassemblant les meilleures pratiques, les exemples concrets de ce qui se pratique en matière de dispositif de pilotage de la performance dans les organisations publiques pour repérer et en promouvoir pour transposition, les outils et pratiques qui participent à installer une culture du pilotage de la performance de la dépense publique.

“Nous avons rencontré une dizaine de responsables de fonctions de gestion dans des organismes publics qui nous ont présenté leur propre expérience,” explique Philippe Baron, Vice-Président du groupe «Services Publics» de la DFCG et pilote de cette étude.” Nous en présentons ici la synthèse en dégageant les points forts de ces pratiques, mais également les aspects plus délicats sur lesquels il est possible de s’améliorer.”

Association de référence de tous les professionnels de la finance, la DFCG a pour mission et ambition d’enrichir professionnellement ses membres par l’échange d’idées et d’expériences et d’intervenir sur les problématiques financières et comptables.

“Notre étude n’a pas pour objet de confronter gestion publique et gestion privée ” souligne Emmanuel Millard, Président du groupe «Services Publics» de la DFCG et Directeur financier, des achats et des affaires juridiques et du contrôle interne d’Universcience ; “elle vise à montrer que ces objectifs de performance publique peuvent être atteints.”

Mettre en œuvre : une question de volonté politique

Véritable état des lieux du pilotage de la performance dans les services publics, ce Livre Blanc apporte un certain nombre de propositions qui permettront d’améliorer significativement l’efficacité de notre dépense publique.

Philippe Audouin, Président de la DFCG, souligne que si “ les méthodes sont désormais identifiées, il reste le plus difficile : leur mise en œuvre, qui ne relève plus de notre expertise, mais de volonté politique.”

Les contributeurs

Télécharger Le Livre Blanc

LE GROUPE DE TRAVAIL
Outre Emmanuel  Millard et Philippe Baron, ont apporté leur expertise et leur expérience au Livre Blanc :
– Véronique Fouque, Chef du bureau de la performance de la dépense publique et de la fonction financière, Ministère de l’Economie et des Finances
– Esther Veaux, directrice des affaires financières, Museum National d’histoire naturelle
– Michel Monier, Directeur Général Adjoint, UNEDIC

Avec les témoignages de

  • Yannick Wendling, Directeur de l’audit, du contrôle interne et de la gestion des risques, Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis
  • Guillaume Robert, Directeur Financier; François Desgardin, Directeur de la comptabilité; Dominique Frentz, sous-directeur Budget; Gaël Hilleret, chef du service partenariat et affaires transversales, Mairie de Paris
  • Laurianne Cruzol, adjointe au DAF; Emmanuel Berthenaud, responsable budget; Florence Gerard, responsable mission qualité; Cyrille Funes, mission qualité, INSERM
  • Mathias Emmerich, Directeur délégué Performance et sécurité, SNCF
  • M. Seillan, Directeur Financier, CNES
  • Monsieur Michaël Ohier, Directeur général Adjoint, en charge du réseau. Anciennement Directeur de la Performance, Pôle Emploi
  • Mme Veaux, Directrice des Affaires Financières, Museum National d’Histoire Naturelle
  • Commissaire général Thierry Levrier, Directeur Général Adjoint, Economat des Armées
  • Amélie Verdier, Secrétaire Générale, AP-HP

Le Livre Blanc est préfacé par Jacques Rapoport, Inspecteur général des Finances Ministère de l’Economie et des Finances. Ancien Président de RFF et de SNCF RESEAU et Président délégué de SNCF.

DFCG

 

BBA INSEEC lance Academ’Quiz

Les étudiants du BBA INSEEC de Bordeaux et de Lyon utilisent depuis près d’un mois, une web appli innovante : Academ’Quiz, la web appli qui repense les méthodes de révision. 

Avec Academ’Quiz BBA INSEEC aide les étudiants

Développée par Frédérique Channac-Nadal, Enseignant permanent au sein du BBA, cette appli, disponible sur PC, tablettes et smartphone, repense les méthodes de révision de façon ludique, interactive et participative. Devant traiter à terme l’ensemble des matières enseignées, ce jeu propose différents modes de révision, en solo ou en duel, avec des questions contenant du texte, du son ou des images, toutes rattachées à des fiches pédagogiques visant à approfondir les connaissances sur le thème abordé : micro- et macro- économie, culture générale, géopolitique, anglais, marketing, etc. Si des applications de quiz existent déjà, la variété des supports et des contenus est ici une première et séduit les étudiants qui sont de plus en plus nombreux à se connecter et à se mesurer les uns aux autres, au sein d’une même promotion ou entre campus.

Au‐delà de l’importance des révisions, répondre à des questions qui n’auraient pas été examinées en cours pour une des matières proposées permet à l’étudiant d’approfondir ses connaissances et de stimuler son envie d’apprendre. Chaque nouvelle connaissance est l’occasion d’aborder la question avec un enseignant ce qui favorise les échanges et dynamise les cours. Par ailleurs, les étudiants peuvent eux-mêmes devenir animateurs du jeu en proposant des questions et des fiches pédagogiques de révision, ce qui est aussi une autre manière de les inciter à participer activement tout en s’instruisant. Le jeu est donc conçu comme un jeu autoalimenté tant par les enseignants que les étudiants des différentes promotions du BBA INSEEC.

Academ’quiz est aussi un outil d’évaluation des connaissances puisque les points gagnés comptent dans la moyenne des partiels.

Cette appli répond aux enjeux de la transformation digitale et de l’innovation pédagogique des écoles du Groupe INSEEC, qui place ainsi l’utilisateur au centre de cette transformation. L’outil sera prochainement proposé aux autres écoles du Groupe.

Frédérique Channac-Nadal

Diplômée de Sciences Po Bordeaux, Frédérique Channac-Nadal est Docteur en Science politique et Relations internationales. Après avoir été consultante pour l’ONU et effectué des séjours d’échange académique à l’étranger (Institut Universitaire Européen de Florence, Italie, Université des Nations Unies au Collège de l’Europe à Bruges, Belgique), elle a intégré l’INSEEC et le BBA INSEEC à Bordeaux en 2007. Elle y dispense des cours de culture générale, de sociologie politique, de relations internationales, mais assure également la formation et le suivi des étudiants de quatrième année pour le mémoire de recherche appliquée de fin d’études. Chargée d’enseignements à Sciences Po Bordeaux, parallèlement à ses activités pédagogiques, elle poursuit des recherches sur la genèse de la gouvernance mondiale des migrations internationales, et sur l’évolution des interactions entre États, Organisations internationales et Organisations non gouvernementales dans ce domaine.

Academ’Quiz

20e Colloque International Etienne Thil

Le thème majeur du 20e colloque est celui du « commerce en profonde mutation ». Nous invitons toutes les communications – quelle que soit la discipline – à présenter des réflexions sur le commerce et la consommation qui permettront de nourrir mais aussi de renouveler notre analyse des processus stratégiques, décisionnels et opérationnels dans les organisations du commerce de gros et de détail. Anthropologues, économistes, géographes, juristes, historiens,  sémioticiens, sociologues, spécialistes de finance, logistique,  marketing, ressources humaines, comment appréhendons-nous les enjeux du  commerce suivants ? Quelles évolutions en matière d’expériences de  shopping, de concepts et formats, de stratégie des enseignes et des  réseaux, de gestion des canaux de distribution, de politique  d’assortiment, de prix, de merchandising ou de communication ? Quelles  évolutions de la gestion des réseaux de points de vente (forme  organisationnelle, marque, système d’information, ressources  humaines) ? Quelle est la place du commerce dans la société, le  territoire, la ville, le quartier, ou encore la famille ? Quid des liens  entre identité et commerce, plaisir et commerce, éthique et commerce ? En quoi, et comment, les 20 dernières années nous invitent-elle à  (re)penser le commerce, la distribution et la relation marchande ?

Dates-clés prévisionnelles

  • 21 Février 2017 : date d’ouverture des soumissions en ligne
  • 21 avril 2017 : date limite des soumissions en ligne
  • 9 juin 2017 : date de notification des décisions aux auteurs
  • 9 juillet 2017 : date limite de soumission des communications modifiées

Formats des soumissions

  • Communication courte, en français ou anglais, de 7 pages maximum présentant une recherche aboutie ou une recherche en cours
  • Candidature au prix de thèse multidisciplinaire en distribution, sur la base d’un résumé de la thèse en 5 pages, d’un CV et du rapport de soutenance.
  • Soumission électronique via https://thil2017.sciencesconf.org/

Principales nouveautés 2017

  • La remise de prix « Thil d’or, d’argent et de bronze » Les trois meilleures thèses et les trois meilleures communications seront présentées en séance plénière, et récompensées par un Thil d’or, Thil d’argent et Thil de bronze. Les Thil d’or recevront un prix de 1000€. • L’accueil de personnalités du commerce de premier plan Parmi elles, nous aurons notamment le plaisir d’accueillir Sébastien Badault, Directeur Général d’Alibaba France.
  • Des moments festifs pour les 20 ans
    Nous célébrerons toutes celles et ceux qui ont contribué depuis 20 ans au succès du colloque.

Présidence du Comité Scientifique

Karine Picot-Coupey, IGR-IAE Rennes, Université de Rennes 1, CREM UMR CNRS 6211

Lieu du Colloque

Institut du Marketing et du Management de la Distribution (IMMD)
651 avenue des Nations Unies, Roubaix.

Le guide des bonnes pratiques des entreprises de l’ESS

Le Conseil supérieur de l’Économie Sociale et Solidaire vient d’adopter le guide des bonnes pratiques des entreprises de l’ESS ainsi qu’un rapport Égalité Femmes-Hommes

Dans le cadre des missions confiées à cette instance par la loi de 2014 relative à l’ESS, le Conseil supérieur de l’Économie Sociale et Solidaire (CSESS) a élaboré deux rapports qu’il a adoptés ce jour.Le premier, un « guide définissant les conditions d’amélioration continue des bonnes pratiques des entreprises de l’ESS » a déjà été présenté lors du CSESS de juin dernier. Il a depuis fait l’objet d’une phase d’expérimentation de la part de quelques entreprises volontaires.

Pour la Commission « gouvernance » qui a produit ce rapport, l’objectif était de travailler entre familles de l’ESS à développer un cadre global souple, profitable au changement d’échelle des entreprises de l’ESS.

A travers ce guide dédié aux entreprises de l’ESS, il s’agit donc de valoriser les bonnes pratiques existantes au sein de ces organisations, sous forme de « soft law », définie par les acteurs eux-mêmes, dans leur propre intérêt.

Le guide des bonnes pratiques a été pensé pour instiller l’idée que, dans les entreprises de l’économie sociale et solidaire, les valeurs et les pratiques devaient être en progrès constant.

Par ailleurs, l’article 4-V de la loi sur l’économie sociale et solidaire du 31 juillet 2014 prévoit que le CSESS est chargé d’établir, tous les trois ans, un rapport sur l’égalité entre les femmes et les hommes dans l’ESS et de formuler des propositions pour :

  • assurer l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes dans l’ESS, en permettant notamment une meilleure articulation entre la vie personnelle et professionnelle des salarié(e)s
  • favoriser l’accès des femmes à tous les postes de responsabilité, de dirigeant(e)s salarié(e)s comme de dirigeant(e) s élu(e)s ;
  • assurer la parité entre les femmes et les hommes dans toutes les instances élues des entreprises de l’ESS.

Aussi, 11 propositions ont été formulées par la Commission « Egalité Femmes-Hommes »  dont la première consiste à satisfaire l’objectif d’une représentation équilibrée des femmes et des hommes dans les instances dirigeantes élues des entreprises de l’ESS, égale au moins à 40% des sièges attribués à chaque sexe.L’ensemble de ces propositions concernent à la fois les modes et pratiques de gouvernance de l’ESS, l’égalité dans l’emploi et les métiers, la création d’entreprises et initiatives au féminin, et enfin, les moyens qui peuvent être envisagés pour rassembler, soutenir et dynamiser les ressources existantes pour l’égalité entre les femmes et les hommes dans l’ESS.

À l’ordre du jour également, un projet d’avis sur le sujet de l’« Écosystème de l’innovation sociale », l’occasion de travailler à la caractérisation de l’innovation sociale.

En effet, si une définition en est donnée dans la loi, elle est difficilement intégrée dans les indicateurs : « C’est un domaine sur lequel il est pourtant essentiel de bénéficier d’un référentiel communément admis, voire partagé au niveau européen » selon la secrétaire d’État Martine PINVILLE. La prochaine réunion du Conseil supérieur en avril prochain sera l’occasion cette fois de travailler à la stratégie de développement de l’ESS, confiée là encore par la loi, aux soins du CSESS.

Indexer les répertoires des Ponts et chaussées

Les registres des avis rendus par le Conseil général des ponts et chaussées et ses sections sont le reflet de la politique de l’aménagement du territoire. Ils concernent toutes les décisions des Ponts et Chaussées, relatives aux infrastructures des transports (ponts, routes, voies navigables, ports et chemins de fer) et à la gestion des zones humides et des irrigations, sur l’ensemble du territoire français. Pour y accéder, des tables et répertoires ont été constitués de 1814 à 1965.

Les Archives nationales, en partenariat avec le comité d’histoire du ministère de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer (MEEM), l’École nationale des ponts et chaussées et l’association Rails et histoire, mettent en oeuvre le projet collaboratif des Ponts et Chaussées consistant en un relevé des informations contenues dans ces tables et répertoires, afin d’en permettre un accès par le moteur de recherche de la salle des inventaires virtuelle accessible sur internet. La participation des contributeurs permettra d’accéder à cette source.

Pour en savoir plus : http://www.archives-nationales.culture.gouv.fr/

84% des jeunes diplômés envisagent leur avenir professionnel en France

Deloitte dévoile aujourd’hui les résultats de son baromètre de « L’humeur des jeunes diplômés » en partenariat avec OpinionWay. Cette sixième édition dresse un état des lieux du marché de l’emploi des jeunes dans une année fortement politique.

  • 77% (contre 70% fin 2015) des jeunes diplômés sont actuellement en poste. Score le plus élevé depuis 2012
  • 59% des jeunes en recherche d’emploi déclarent être confiants en ce qui concerne leurs perspectives de trouver un emploi avant l’automne
  • Le délai pour trouver un emploi n’a jamais été aussi court : 8 semaines (près d’un tiers ont trouvé en moins de 15 jours)
  • 41% des jeunes diplômés ont trouvé leur emploi actuel grâce à leur réseau personnel
  • Les jeunes en quête d’expatriation souhaiteraient plutôt travailler en Europe (67%) qu’en Amérique du Nord (52%)
  • Startup, Gafa, CAC 40 n’ont pas la cote : 53% plébiscitent la PME/ETI
  • 1 jeune sur 2 (48%) envisage de créer sa propre entreprise
  • Plus de trois jeunes sur quatre (75%) estiment être trop souvent absents dans la campagne pour l’élection présidentielle

Les jeunes diplômés et la recherche d’emploi : le réseau comme principal levier

L’embellie de la situation professionnelle des jeunes diplômés se poursuit pour la troisième année consécutive : 77% des diplômés depuis moins de 3 ans sont en poste dans une entreprise, soit une hausse de 7 points en un an. Ce chiffre atteint son plus haut niveau depuis 2012. Les jeunes diplômés en poste sont en grande majorité en CDI (70%, en hausse de 2 points) et à temps plein (84%).

Dans ce contexte favorable à l’emploi, les jeunes non employés aujourd’hui croient de plus en plus en la possibilité de remédier à cette situation à moyen terme : 59% d’entre eux déclarent être confiants en ce qui concerne leurs perspectives de trouver un emploi avant l’automne, soit une hausse de 8 points en deux ans.

Néanmoins, une fracture se creuse entre les jeunes diplômés ayant trouvé un emploi et ceux toujours en recherche. Alors que les jeunes en poste ont en moyenne décroché leur emploi actuel en 8 semaines, ceux en recherche d’emploi ont largement dépassé ce délai (plus de 5 mois), soulignant leur difficulté à s’extraire de ce chômage qui perdure et à franchir le cap de l’embauche.

À l’évidence, le réseau, qu’il soit personnel ou professionnel, est une des clés pour trouver un emploi plus rapidement : 41% d’entre eux déclarent qu’ils ont trouvé leur emploi actuel grâce à leur réseau personnel, au bouche à oreille (23%), à leur réseau professionnel en étant recrutés à la fin de leur stage ou de leur alternance (18%).

 « Le taux d’emploi des jeunes est le plus fort depuis l’existence de ce baromètre. On constate un retour de l’embellie et de la confiance sur le marché de l’emploi des jeunes diplômés. En matière de recrutement, malgré la diversité de l’offre, c’est le réseau personnel, un moyen traditionnel et informel, qui fonctionne le mieux auprès des jeunes pour trouver un emploi. La finesse de l’intuition humaine et de la confiance l’emportent sur la technologie », commente Sami Rahal, Associé DRH de Deloitte France.

Leur entreprise idéale : une ETI ou une PME en France, offrant autonomie et flexibilité

Dans un contexte d’incertitude, l’expatriation séduit moins tandis que la France gagne en attractivité : 84% des jeunes diplômés voient leur avenir en France. Ceux qui envisagent de partir le voient avec une durée déterminée (67%) dans un périmètre européen proche de la France : 67% (+11 points) en Europe vs 52% en Amérique du Nord.

Les jeunes diplômés expriment de fortes attentes vis-à-vis de l’entreprise qui doit entamer sa mutation en matière d’organisation du travail. Ils plébiscitent la flexibilité des horaires (87%) et le choix des missions (78%), montrant ainsi leur souhait de pouvoir évoluer dans un environnement de travail où la confiance et l’autonomie sont favorisées. En outre, l’entreprise doit leur proposer des services permettant la convivialité comme le restaurant d’entreprise (68%) et la cafétéria (69%) en priorité.

 « La manière de travailler dans les entreprises se transforme, progressivement poussée par l’arrivée des nouvelles générations exprimant des attentes fortes à leur égard. Le détachement physique, que ce soit chez soi ou dans un espace professionnel prévu à cet effet, est apprécié mais ne représente pas un enjeu majeur. Sceller une relation de confiance entre employeur et salarié en privilégiant une plus grande autonomie est aujourd’hui au cœur des préoccupations des jeunes diplômés », analyse Géraldine Segond, Associée DRH adjointe chez Deloitte France.

À l’image de leurs attentes vis-à-vis de l’entreprise, les jeunes préfèrent travailler dans une ETI (29%) ou une PME (24%) plutôt que dans une entreprise du CAC 40 (11%), une start-up (10%) ou un des GAFA (5%).

Près d’un jeune sur deux (48%) a comme projet de créer un jour sa propre entreprise.

Les jeunes, grands absents de la campagne présidentielle de 2017

75% des jeunes ont le sentiment d’être trop souvent absents des discours des candidats à l’élection présidentielle. Pourtant, ils attendent des mesures fortes concernant l’emploi. Plus qu’une réforme de l’éducation, ils attendent des actions au niveau de l’entreprise : favoriser les premiers contrats à l’emploi, soutenir l’embauche des jeunes, une baisse des charges en faveur de l’emploi.

jeunes diplômés

Institut Europlace de Finance : appel à candidatures du prix du meilleur article de finance

Voici le règlement de cet Institut Europlace de Finance qui vise à promouvoir par un prix, le meilleur article de finance.

Prix proposé par cet Institut Europlace de Finance

Article I – Il est institué des prix du meilleur article de l’Institut Europlace de Finance (EIF). Ces prix sont destinés à récompenser les publications en finance des chercheurs et des enseignants-chercheurs exerçant en France parues dans l’une des revues suivantes :

  • Econometrica
  • Finance and Stochastics
  • Journal of Economic Theory Journal of Finance
  • Journal of Financial Economics
  • Journal of Financial and Quantitative Analysis
  • Mathematical Finance
  • Mathematics and Financial Economics Review of Economic Studies
  • Review of Finance Review of Financial Studies
  • SIAM Journal on Financial Mathematics

Le jury est constitué des membres du Conseil scientifique de l’EIF.

Article II – Les prix du meilleur article de l’Institut Europlace de Finance sont au nombre de deux :   Prix du meilleur article en finance,   Prix du meilleur article sur un sujet d’actualité.

Article III – Les prix sont attribués tous les ans. Pour la session 2017, sont éligibles tous les articles écrits ou co-écrits par des chercheurs et enseignants-chercheurs exerçant en France et publiés en 2016 (date de la sortie papier) dans l’une des revues de la liste ci-dessus. La publicité de ce prix est faite par l’intermédiaire de l’EIF.

Article IV th – Chacun des Prix 2017 est doté d’un montant de 5 000 Euros et sera remis au cours du 10  Financial Risk International Forum qui se tiendra les 27 et 28 mars 2017. Si aucun des travaux soumis ne correspond à ses attentes, le jury peut renoncer à attribuer le prix.

Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 15 février 2017 auprès de Karol Alhaire (karol.alhaire@europlace-finance.com). Les candidats devront transmettre par mail à cette adresse, un exemplaire de la publication concernée, ainsi qu’un résumé (en français) d’une page maximum présentant et discutant les principaux résultats du travail soumis. Ce résumé devra bien mettre en perspective l’intérêt du travail pour l’industrie financière au sens large. Le mail comportera, en objet, la mention “Prix EIF 2017”.

Institut Europlace de Finance

L’IAE Aix-Marseille fait la part belle aux femmes

Alors que la Journée de la Femme – de toutes les femmes – aura lieu le mercredi 8 mars 2017, l’IAE Aix-Marseille rappelle être un pionnier particulièrement actif de la parité homme-femme dans l’univers de l’enseignement supérieur du management. Depuis 3 ans, l’Établissement a pris plusieurs initiatives pour féminiser ses 3 instances de gouvernance : Conseil d’administration, Comité de Direction, Comité Exécutif.

Les femmes responsables

Pour Virginie de BARNIER, Directrice de l’IAE Aix-Marseille : « Quand j’ai pris la direction de l’Établissement, en septembre 2013, notre Conseil d’Administration comptait seulement 8 femmes sur ses 26 membres. Aujourd’hui nous avons atteint la parité puisque notre CA est composé de 13 hommes et de 13 femmes. Je rappelle que l’IAE Aix-Marseille est porteur d’une vision éthique et sociale du management. Peut être plus que les hommes, les femmes partagent cette démarche responsable ».

L’IAE Aix-Marseille a aussi féminisé sa gouvernance opérationnelle : le Comité de Direction et le Comité Exécutif sont composés à 80% de femmes.

Et Virginie de BARNIER d’ajouter : « La plupart des Business Schools françaises privées ont peu de femmes dans leurs instances de gouvernance. Elles se privent de compétences, de savoir-faire, de créativité et de différentiation. Pour paraphraser Aragon, je le dit très clairement : la femme est l’avenir de l’enseignement supérieur en management ! ».

Et les étudiantes ?

Parmi les étudiants présents à l’IAE, les jeunes femmes (58% de l’effectif total) choisissent principalement les formations en Communication, en RH, en International Business et en marketing des services.

Proportion de femmes à l’IAE aix-Marseille
Personnel administratif 87% de femmes
Codir (Comité de direction) 80% de femmes
Comex (Comité exécutif) 80% de femmes
CA (Conseil d’Administration) 46% de femmes
Cergam research advisory board 33% de femmes
Strategic advisory board 20% de femmes
Professeurs permanents 43% de femmes
Effectif étudiants 58% de femmes

Diplômés 2014 : différences Hommes / Femmes

Femmes Hommes
Inscrits 0,55 45%
Salaire 30K€ 32K€
Salaire avec bénéfices 32K€ 40K€
taux d’emploi 93% 95%
Durée de recherche 100 % 6 mois 100 % 6 mois
CDI 72% 81%
vivent à l’étranger 22% 19%
Paris 31% 29%
PACA 31% 44%
continuing studies 3% 2%
Secteur :
Audit 7% 6%
Banking 8% 12%
Commerce 13% 6%
Communication 11% 8%
consulting 5% 8%
Engineering 16% 22%
Master :
Audit 48% 52%
Communication 83% 17%
MG (Général) 27% 63%
MGIM (Management de projets innovants) 61% 39%
IMMIT 51% 49%
RH 96% 4%
GSI (science de l’informatique) 11% 89%
IB (International Business) 67% 23%
MFI (Finance) 47% 53%
MBM (Marketing) 48% 52%
MAS (Marketing des services) 62% 38%
CDG (Finance) 48% 52%

femmes

Le CETA est-il constitutionnel ?

Cinq députés déposent une « Saisine du Conseil constitutionnel sur la compatibilité du CETA avec la Constitution française ».

Question de constitutionnalité du CETA

L’accord commercial entre l’Union européenne et le Canada (AECG ou CETA en anglais) est un ensemble imposant et hétérogène de textes. C’est un accord dit de « nouvelle génération », qui va bien au-delà des traités de libre-échange classiques et des accords bilatéraux d’investissement.

En effet, d’une part, il accentue encore la libéralisation des échanges commerciaux entre le Canada et les États membres de l’Union, et d’autre part il introduit un mécanisme d’arbitrage entre investisseurs et États visant la suppression des mesures – lois, règlements, pratiques nationales – réputées faire obstacles aux investissements des entreprises « du Canada » dans les Etats membres de l’Union et réciproquement.

Ce tribunal, même public, menace les normes sociales et environnementales commandées par le progrès.  Le Traité emporte ainsi clairement un transfert de souveraineté des États, dépassant celui auquel ils ont consenti au profit de l’Union. En outre, les conditions d’exercice des pouvoirs que les Etats membres ont transféré à l’Union européenne sur la base des traités européens risquent d’être significativement bouleversées.

L’impact de ce Traité sur tous les niveaux de l’ordre juridique national et européen ainsi que la volonté affichée de la Commission européenne de conclure au nom des Etats membres – sans un consentement réellement démocratique  – ce traité de « nouvelle génération », conduisent les députés soussignés, au nombre de 106 à ce jour, à demander au Conseil constitutionnel de réaliser un examen détaillé de la compatibilité de ces nouvelles stipulations avec la Constitution.

Liste des députés :

  • Danielle Auroi, députée écologiste du Puy-de-Dôme
  • Jean-Noël Carpentier, député radical du Val d’Oise
  • Jean-Paul Chanteguet, député socialiste de l’Indre
  • André Chassaigne, député front de gauche du Puy-de-Dôme
  • Suzanne Tallard, députée socialiste de Charente-Maritime

CETA

Le Programme Grande Ecole de l’INSEEC couronné par l’association internationale AMBA

Par un courrier du 24 janvier dernier, l’International Accreditation Advisory Board de l’Association of MBA’s (AMBA) a décerné officiellement son prestigieux label au Programme Grande Ecole de l’INSEEC, pour une durée de 3 ans.

Le Programme Grande Ecole de l’INSEEC reconnu

Cette excellente nouvelle confirme la progression et la dynamique de l’INSEEC BS qui lui ont permis de satisfaire aux standards académiques internationaux les plus exigeants. En effet, l’INSEEC BS entre ainsi dans le cercle restreint des 10 établissements français en Management dont le programme Grande Ecole est accrédité par l’AMBA. Dans le monde, seules 2% des Business Schools ont déjà obtenu ce label international.

Le rapport d’accréditation a notamment salué :

  • la localisation des campus et la qualité des infrastructures
  • l’excellence et la diversité du corps professoral
  • les performances du centre de recherche
  • la professionnalisation des étudiants et la qualité du réseau des partenaires et anciens
  • le dynamisme et le potentiel d’innovation et de créativité de l’école

« L’AMBA a souligné des innovations pédagogiques récentes et particulièrement originales comme le Challenge Stratégie 360 ou le Programme Start-up Factory délivré sur les campus de Genève et San Francisco » se réjouit Catherine Lespine, Présidente du Groupe INSEEC.

Pour sa part, Rémy CHALLE, Directeur de l’INSEEC Business School, tient à souligner que « le travail fourni par les équipes pour l’obtention de cette accréditation se révèle un véritable levier managérial et permet de disposer d’indicateurs de qualité de formation très pertinents ».

Programme Grande Ecole de l'INSEEC

Réseaux et séquences en études de parenté

S’inspirant souvent de la notion sociologique de carrière, de nombreuses recherches en sciences sociales montrent l’utilité d’analyser comparativement, à l’aide de statistiques, des corpus biographiques ou des parcours de vie. En particulier, depuis la fin des années 1980, l’analyse de séquences (ou trajectoires) a été souvent invoquée, afin d’étudier l’interdépendance des choix individuels, ainsi que leur enchaînement dans le temps. Les objets que ces études ont balisés sont déjà nombreux ; à titre d’exemple, on peut mentionner les parcours professionnels, les âges de la vie, la déviance, mais également la formation des couples, la fertilité, les migrations, les formes de résidence, etc.

Dans ce vaste horizon, certains travaux ont dû associer, à la prise en compte de parcours de vie, l’analyse des réseaux sociaux et, entre autres, des réseaux de parenté. Cette alliance permet en effet d’appréhender des « choix individuels » compte tenu des cadres normatifs et relationnels dans lesquels ces choix sont pensés et se déploient. Par exemple, l’occurrence dans une famille d’un événement comme une naissance, un décès, un mariage ou un départ en migration peut non seulement avoir un impact important sur les probabilités qu’un autre événement du même type ait lieu dans la même famille, mais également sur la forme des unités résidentielles qui la composent. Ce changement morphologique peut encourager à son tour l’occurrence d’un certain type d’événements. Il paraît alors pertinent de se pencher sur le déploiement conjoint des techniques d’analyse relevant, d’une part, de l’étude des séquences et, d’autre part, de l’étude morphologique des réseaux de parenté.

L’analyse de ce type de logiques peut atteindre, très rapidement, de très hauts degrés de complexité. Cependant, les techniques et les concepts issus de l’étude la parenté permettant d’analyser l’espace social dans sa dynamique diachronique restent largement à développer. C’est ici que l’interaction entre disciplines (anthropologie, démographie, histoire, sociologie) et méthodes de recherche (études morphologiques, analyse de séquences, analyse des parcours de vie) s’imposent. Cette journée d’étude visera donc à explorer à partir d’exemples concrets cette zone de frontière, à la fois méthodologique et théorique, entre la morphologie de la parenté et l’étude des biographies, séquences ou encore stratégies.

Il ne s’agira pas uniquement de revenir sur des questions classiques qui remontent en surface, qu’elles portent par exemple sur le rapport entre structures et intentionnalité ou sur les choix d’échelle et de périodisation ; cette journée servira également à interroger les outils disponibles (Puck, Cubix, TraMineR…) afin de mener ce type d’analyses, tout en déterminant leurs apports et, éventuellement, leurs limites. C’est pourquoi les échanges prendront la forme d’un atelier, dans lequel les intervenants pourront partager aussi bien leurs travaux en cours que des recherches abouties. Chaque communication pourra partir d’un cas empirique ou de la présentation d’un outil d’analyse spécifique, et visera à soulever des questionnements en s’ancrant aux choix et/ou problèmes, à la fois méthodologiques et analytiques, rencontrés au cours de l’enquête.

Vendredi 3 mars 2017
INED, 133, boulevard Davout – 75020 Paris, Salle Sauvy
Journée d’étude organisée études de parenté par

Pietro Fornasetti (IMAF – EHESS), Aurélien Dasré Université Paris-Nanterre/GTM­CRESPPA/Ined), Pascal Cristofoli (LaDéHiS – EHESS), Michaël Gasperoni (CNRS – CRM).

Programme études de parenté

9:00 : Petit-déjeuner offert par l’INED

9:30 : Introduction 

9:40 : Première session

  • Eva Lelièvre (Directrice de recherche, INED)
    Séquences de lignées versus entourage pendant l’enfance. Approches plurielles
  • Matthias Studer (Chargé de cours, IDESO, Université de Genève)
    Une introduction à l’analyse de séquence et à la librairie R TraMineR

10:30 : Pause (10 minutes)

  • Arnaud Bringé (Ingénieur de recherche, INED)
    Constitution et analyse de fichiers de trajectoires : Données, méthodes, limites
  • Pascal Cristofoli (Ingénieur de recherche, LaDéHiS – EHESS)
    Le modèle de « nœud relationnel » proposé par Puck : un instrument pour saisir des séries d’événements relationnels

11:30 : Discussion générale

14:20 : Deuxième session

  • Aurélien Dasré (Maître de conférences, Université Paris Nanterre/GTM-CRESPPA/Ined)
    Analyse de séquences et dynamique des structures familiales : Essai à partir d’une enquête longitudinale au Mali
  • Klaus Hamberger (Maître de conférences, LAS – EHESS)
    Analyser des données relationnelles longitudinales avec Puck : Parenté, résidence, mobilité

15:20 : Pause (10 min)

  • Sébastien Plutniak (Doctorant, Lisst-Cers – EHESS / École française de Rome)
    Le groupe d’archéologues préhistoriens de la « typologie analytique » (1962–1989) : saisir la dynamique d’un collectif scientifique entre réseau socio-cognitif et agrégation d’itinéraires individuels
  • Pietro Fornasetti (Doctorant, IMAF – EHESS)
    Parcours migratoires et relations de germanité : Exploration d’un corpus généalogique ouest-africain par le regroupement de séquences

16:30 : Discussion générale

Institut national d'études démographiques ined études de parenté

Michel Leclerc propose un plan de hausse du pouvoir d’achat par le plein-emploi

C’est à l’occasion de l’émission Flash Talk sur France Ô du 11 février à 19h15, reprise sur la chaîne parlementaire LCP le 12 février à 18h40, que Michel Leclerc – le plus jeune frère d’Edouard Leclerc – a décidé de lancer son appel à l’attention de tous les candidats à la présidentielle 2017 que l’on peut résumer en 6 points essentiels :

  • Augmenter le pouvoir d’achat
    de 31 à 33% de pourvoir d’achat en +
    et +10% pour les retraites
  • Supprimer les cotisations sur les salaires
    100% de charges patronales en –
    pour tous les employeurs
  • Relancer la croissance
    +6,0% dès 2017
    +6,5% pour 2018
  • Créer 4 millions d’emplois
    en 2 ans par la relance
    économique intérieure et extérieure
  • Baisser les prix d’achat
    de 10 à 20 % pour les consommateurs
    et pour faciliter les exportations
  • Relancer les grands travaux
    +500.000 logements par an
    +500 collèges techniques…

Michel Leclerc souhaite ainsi que la hausse du pouvoir d’achat puisse éradiquer le chômage en France. Il s’agit maintenant que les candidats à la présidence de la République se saisissent de ce plan massif de relance – appelé T.R.E.S. – pour que puisse être augmenté le pouvoir d’achat en France à hauteur de 34%. Explication de son appel.

Michel Leclerc favorable à la TVA sociale sous condition

Son propos est simple : il souhaite que puisse être enfin mis en oeuvre aujourd’hui la réflexion issue des échanges entre Charles de Gaulle et Édouard Leclerc le fondateur des centres distributeurs. Ce plan, d’une simplicité étonnante, est ainsi applicable par les candidats à l’élection présidentielle dès le lendemain des résultats du scrutin. De quoi s’agit-il ? Pour le découvrir, un site a été mis en place présentant les détails du plan : www.TVAsociale.fr

Découvrir le plan T.R.E.S.

Michel Leclerc

 

Première revue francophone de management – Revue gestion REVUE GESTION Revues de Gestion