Coup d’arrêt pour le luxe : croissance zéro en 2008

Selon le rapport annuel « Fashion and Luxury Insight » de la SDA Bocconi-Altagamma/Ernst & Young, les résultats des plus grandes entreprises du luxe ont chuté en 2008

 

Pour les entreprises du luxe et de la mode, habituées à enregistrer une croissance annuelle constante, les +3,2% de
facturations de 2008 ont été un grand échec. Le rapport annuel de l’observatoire Altagamma de la SDA Bocconi School of Management et Ernst&Young a analysé les bilans de 68 sociétés
internationales avec un chiffre d’affaires de 200 millions d’euros chacune et un revenu total de 224 milliards d’euros.

 

Très faible progression en 2008

Selon les chiffres analysés par Altagamma, les ventes ont progressé de seulement +3,2% en 2008, (contre +9,4% en
2007). Une évolution similaire s’observe au niveau des autres grands paramètres comme la marge brute d’exploitation (ebitda : 13 %) et le résultat d’exploitation (ebit :
8,3 %). La chute du retour sur investissement (ROI) est encore plus importante (de 14.2% à 9.4%), de même que la rentabilité des capitaux propres (ROE) qui est passée de +15.7% à -1.1%. Le
cours négatif des entrées est lié principalement au grand affaiblissement de la rentabilité et aux résultats financiers en baisse.

 

Une industrie trop rigide

L’industrie de la mode et du luxe se révèle encore tellement rigide que sur un marché difficile cela se traduit par
une augmentation du fonds de roulement qui devient alors un fardeau, passant de 20,2% des ventes contre 18,8% l’année précédente et par une plongée du flux de trésorerie de 10,3% des ventes à
8,3%.

 

Les atouts gagnants : efficience et discipline

Comme les investissements n’ont pas été réduits drastiquement, les ventes ont quand même pu enregistrer une hausse
de 4,9% (contre 6% en 2007). « Les entreprises n’ont pas renoncé à ouvrir de nouveaux magasins » déclare Barbara Rovetta de la SDA Bocconi, co-auteur du rapport,
« mais les nouvelles ouvertures ne représentent plus le moteur principal de la croissance de ce secteur. L’efficience et la discipline sont aujourd’hui les atouts gagnants, même si
seulement une toute petite partie des sociétés est arrivée à contrebalancer la crise des ventes avec des améliorations dans la mise en œuvre des stratégies
 ».

 

Bonne nouvelle pour les entreprises françaises

Dans un paysage économique si incertain, la performance des entreprises françaises est au dessous de la
moyenne : le taux de croissance est autour du 3,9% (contre une moyenne mondiale de 3,2%) et leur retour sur investissements est de 11% (contre une moyenne de 9.4%). Signe qu’elles ont su
garder leurs positions dans les marchés internationaux.

 

Les secteurs qui s’en sortent mieux

« La maroquinerie et la vente au détail sont les secteurs les plus présents dans le classement des entreprises
obtenant les meilleures performances. L’absence des grands acteurs du luxe les plus influents parmi ceux qui gagnent le plus, est frappant : «obtenir de bons retours sur investissements
nécessaires pour maintenir un positionnement haut de gamme est de plus en plus difficile 
» déclare Giorgio Brandazza, un des auteurs du rapport.

 

Plus la taille des entreprises est importante, mieux elles franchissent la crise. La performance des entreprises
avec un chiffre d’affaires supérieur à 5 milliards d’euros est nettement meilleure que celles qui n’arrivent pas à enregistrer 1 milliard en ce qui concerne le retour sur investissement (14.8%
contre 5.1% pour ces entreprises), le résultat d’exploitation (12.7% contre 4.8%) et la génération de trésorerie (12% de ventes contre 4.7%).

 

La chute et la reprise

«2008
représente une année ambigüe pour les entreprises analysées dans ce rapport »
déclare
Armando Branchini, Secrétaire General d’Altagamma, « la première partie de l’année est marquée par des performances positives sur tous les marchés du monde (à l’exception du Japon). C’est dans
la deuxième partie de l’année, surtout après l’annonce de la chute de Lehman Brothers en septembre 2008, qu’a débuté une période extrêmement négative et qui a atteint son apogée en
2009
».

Un nouveau président pour la Fondation IGR-IAE

Lors de sa réunion du 23 octobre, le Comité Exécutif de la Fondation IGR-IAE a procédé à
l’élection de son nouveau président, Jacques DELANOË, qui succède à Yves LE BAQUER, Président du Comité d’audit du CMB – ARKEA, et désormais Président d’Honneur de la Fondation.

 

Jacques Delanoë, Président Directeur Général d’Euro RSCG 360, ancien
étudiant de l’IGR-IAE, connaît bien l’Institut et figure parmi les membres fondateurs de la seule fondation d’entreprises créée en France dans un Institut d’Administration des Entreprises.

 

Un soutien à la recherche en management

Sous l’égide de la Fondation de France, la Fondation IGR-IAE, créée en 2007, a pour objectif, notamment, de développer la recherche en
management dans le grand ouest. Ainsi, la seconde remise des Prix de la Recherche en management, qui s’est déroulée le 23 octobre 2009 à l’IGR-IAE, a permis de distinguer la haute qualité
scientifique d’articles publiés par une quarantaine d’auteurs dans des revues françaises ou étrangères à comité de lecture.

 

Rapprocher enseignants et entreprises

La Fondation travaille également à rapprocher les enseignants-chercheurs et les dirigeants d’entreprises en facilitant leur présence dans
les congrès internationaux et en organisant des colloques et des conférences débats telle celle sur « La Gestion des Ressources Humaines en situation(s) de crise(s)».

 

Un appui aux étudiants

Grâce au concours actif des entreprises membres, la Fondation IGR-IAE apporte un appui financier important aux étudiants dans leur
apprentissage de langues étrangères et dans la réalisation de projets en relation avec leur futur milieu professionnel (journée simulation de recrutement, forum entreprises, jeu de création
d’entreprises, etc.).

 

Douze entreprises soutiennent la Fondation IGR-IAE


Membres Fondateurs
:

Caisse Interfédérale de Crédit Mutuel (ARKEA)

Cache-Cache, Groupe BEAUMANOIR

EURO RSCG 360

Repro Conseil (groupe Konica Minolta)

Thermes Marins de Saint Malo


Membre Associé
:

Groupe SECOB


Membres Donateurs

Abaka Conseil

Arc Atlante – Groupe Arc

Avoxa

Desprez Service – Distri-Center

Foncière Legendre

Geirec

Société
Générale

contact@fondation-igriae.org

L’Union Des Annonceurs s’ouvre à l’Association Française du Marketing

L’Union Des Annonceurs (UDA) et l’Association Française du Marketing (AFM) proposent aux membres de l’AFM une opportunité originale d’échange
avec les professionnels adhérents de l’UDA. Les enseignants chercheurs en marketing sont invités à proposer des élément de recherche, des avis, des prises de position et des analyses sur le blog
dédié du site de l’UDA.
Ces contributions peuvent être inédites (rédigées pour l’occasion et pour ce site) mais peuvent également être des résumés de contributions déjà publiées sur d’autres sites. L’auteur est bien
entendu cité, présenté, et un lien est fait vers tout blog ou site qu’il souhaite. C’est donc aussi une opportunité pour les décideurs d’entreprises d’avoir un accès facile et de prendre
connaissances des recherches et des positions des chercheurs en marketing.
L’idée est de former une “communauté” large, un espace de discussions et d’échanges entre le monde de la recherche et le monde de l’entreprise. Ce blog est réservé aux adhérents de l’UDA (via
leur login /mot de passe habituel) et le deviendrait aux experts de l’AFM qui souhaiteraient y déposer des contributions.
Tout membre de l’AFM intéressé par cette offre peut d’ores et déjà contacter Madame Françoise Renaud à l’UDA : frenaud@uda.fr

Nouveau site des étudiants au doctorat en administration à l’ESG UQAM

Le site internet de l’association des étudiants au doctorat en administration (AéPhDA) de l’ESG UQAM a ouvert une nouvelle rubrique concernant les sciences de gestion, regroupant des informations susceptibles d’intéresser les étudiants au doctorat, candidats au doctorat et enseignant/chercheur.

Ce site regroupe – pour l’univers francophone – des informations sur les 1) les colloques, journées et congrès, 2) les associations scientifiques, 3) les publications scientifiques

C. Lagarde consulte sur la commercialisation des produits financiers

Christine Lagarde, ministre de l’Economie, de
l’Industrie et de l’Emploi, soumet aujourd’hui à consultation publique et jusqu’au 31 décembre 2009 le rapport de la mission de propositions qu’elle avait confiée en mars 2009 à Bruno Deletré, inspecteur général des finances, sur le thème du contrôle du respect des obligations professionnelles à l’égard de la clientèle afin d’assurer une
meilleure protection des consommateurs de produits et de services financiers.

 

Les principales propositions soumises à consultation sont :

– obligation transversale de loyauté à l’égard de la clientèle : le rapport propose d’introduire
dans la loi une nouvelle disposition exigeant des banques, des assurances et de tous les intermédiaires financiers qu’ils mettent en place les procédures leur permettant de s’assurer qu’ils
agissent de manière loyale vis-à-vis de leur clientèle. Le rapport propose que le respect de cette obligation soit soumis à supervision de la part des autorités de contrôle
;

– le rapport propose que cette obligation de loyauté soit déclinée au moyen de « recommandations
concertées » qui seraient approuvées par les autorités de contrôle, après concertation avec les consommateurs et les professionnels ;

– renforcement du contrôle des intermédiaires financiers : le rapport propose de confier à des
associations professionnelles représentatives des intermédiaires financiers le contrôle de leurs adhérents à la condition que ces associations soient préalablement agréées puis contrôlées au fil
de l’eau par les autorités de contrôle et de supervision du secteur financier.

Cette
consultation participe à la volonté de Christine Lagarde de renforcer la sécurité des consommateurs de produits financiers et utilisateurs de
services financiers. Elle vient compléter d’autres projets déjà engagés. Christine Lagarde a décidé de confier à la nouvelle autorité en charge de la
supervision de l’assurance et de la banque qui naîtra du rapprochement des autorités d’agrément et de contrôle existantes une mission nouvelle de protection de la clientèle.
Christine Lagarde a également présenté un projet de loi portant réforme du crédit à la consommation qui vise à supprimer les abus et les excès
en matière de distribution du crédit à la consommation.

Décès de Jean-Paul CHARIE, député du Loiret

Christine LAGARDE, Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi et Hervé NOVELLI, Secrétaire
d’Etat chargé du commerce, de l’artisanat, des PME, du tourisme, des services et de la consommation, ont appris avec une profonde tristesse le décès de Jean-Paul CHARIE.

Christine LAGARDE et Hervé NOVELLI tiennent à saluer la mémoire de Jean-Paul CHARIE, député du Loiret
depuis juin 1981. Il avait su mettre au service de l’Assemblée Nationale sa connaissance intime des problématiques de développement économique, d’artisanat et de commerce. L’année dernière, en
tant que rapporteur du projet de loi de modernisation de l’économie, il avait ainsi directement contribué à améliorer le projet de loi sur de nombreux points.

Du fait de sa maîtrise des enjeux liés aux relations commerciales, Jean-Paul CHARIE avait été nommé
Président de la Commission d’examen des pratiques commerciales en octobre 2008.

Il s’était également vu confier en septembre 2008 une mission auprès du ministère de l’économie, de
l’industrie et de l’emploi en matière d’urbanisme commercial et de schémas de développement commercial.

Attaché à la concertation avec les acteurs économiques, exigeant mais doté d’une grande faculté
d’écoute, Jean-Paul CHARIE était devenu l’un des partenaires reconnus de nombreuses fédérations professionnelles et un interlocuteur privilégié du Gouvernement sur les questions de développement
des PME.

Pour une Association Française d’Économie Politique

Lettre ouverte à tous les économistes insatisfaits de l’orientation académique
et intellectuelle de leur discipline

 

 

Cher(e)s collègues,


Nous, économistes universitaires et professionnels, sommes de plus en plus nombreux à déplorer l’orientation académique et intellectuelle qu’a prise notre discipline depuis plusieurs années. Le
constat est désormais préoccupant et signifie à plus ou moins brève échéance la fin du pluralisme dans la pensée économique et, par là même, l’absence de tout débat économique.

Le constat est désormais accablant : ossification des canons de la scientificité autour de normes extérieures à
toute interrogation proprement économique (promotion des publications dans les revues au détriment des ouvrages; disqualification des travaux en langue française; confrontations empiriques
bornées aux seuls tests économétriques) ; abandon de tout débat théorique ou méthodologique dans un champ qui pouvait s’enorgueillir d’avoir connu de grandes controverses scientifiques ; danger
d’annexion des autres sciences sociales par une science économique définie comme un ensemble de techniques « éprouvées » (théorie des jeux, économétrie) en lieu et place d’un dialogue véritable
entre les disciplines ; incapacité de l’économie dominante à proposer une lecture du monde susceptible d’éclairer et de nourrir le débat démocratique. Cette réduction de la recherche à la seule
technique, au détriment de toute réflexion critique, s’accompagne d’un appauvrissement des enseignements « officiels », qui nous conduits à nous cacher derrière d’autres disciplines, pour
continuer, malgré tout, à attirer des étudiants dans les amphis de nos universités…

Cette orientation est inacceptable, mais il faut garder à l’esprit qu’elle n’a rien d’irréversible. Sur le plan
académique, elle est conduite par une fraction très structurée du champ disciplinaire qui fait face à une multitude hétérogène et peu organisée, laquelle, pour l’essentiel, subit cette situation
en résistant comme elle peut, parfois en fuyant la discipline et ses réseaux officiels. Devant la crise économique et environnementale majeure qui affecte désormais nos sociétés, la faiblesse
visible des économistes proches des ministères et des médias devrait être le signal pour que se déploient d’autres discours économiques. Mais les inerties sont telles que rien ne semble bouger
vraiment. Tant que cette situation durera, le processus de déculturation de notre discipline continuera, avec les conséquences sociétales et politiques que l’on sait. Nous pensons qu’il est
encore temps de s’en sortir, mais à une condition nécessaire (dont rien ne dit qu’elle sera suffisante) : il faut se compter et s’organiser pour se constituer en acteur collectif et essayer de
reprendre en main notre avenir.

Cette année, plusieurs économistes de sensibilités théoriques et méthodologiques différentes, mais profondément
insatisfaits de la situation actuelle, ont décidé de créer une association professionnelle pluraliste et ouverte, l’association française d’économie politique.

Notre association se donne pour objectif la construction, la consolidation et la promotion d’une analyse économique
pluraliste quant à ses problématiques, ses référentiels théoriques et ses méthodologies dans le champ académique, c’est-à-dire d’une analyse économique qui ne viserait pas à l’hégémonie, mais qui
s’affirmerait d’emblée ouverte à la collaboration interdisciplinaire avec les autres sciences de l’homme et de la société. Nous entendons ainsi renouer avec l’esprit du projet inaugural de «
l’Économie politique », entre philosophie politique et sciences sociales. Ce projet intellectuel est aujourd’hui largement dévoyé par les tenants technocratiques d’une « Science économique » qui,
se voulant l’égale des Sciences de la Nature, s’est progressivement rendue inapte à satisfaire l’exigence de la tenue d’un discours pertinent – pour la connaissance et pour l’action – sur les
économies capitalistes telles qu’elles fonctionnent concrètement. Cette association entend faire collaborer davantage et mieux tous les courants d’analyses critiques qui partagent cette exigence,
comme par exemple la théorie postkeynésienne, la théorie marxiste, la socio-économie, l’économie des conventions, l’économie sociale et solidaire, la théorie de la régulation, les théories
institutionnalistes, l’économie autrichienne, la critique de l’économie politique – cette liste n’ayant rien d’exhaustif. Mais aussi, et peut-être surtout, elle a vocation à offrir un ancrage
collectif à tous les économistes éclectiques qui combinent différentes approches conceptuelles en fonction des objets qu’ils étudient et qui donc ne se reconnaissent pas dans le formatage
disciplinaire du monisme théorique dominant.

Plus largement, cette association entend défendre et développer, dans les institutions publiques de l’enseignement
supérieur et de la recherche et par tous les moyens appropriés, les valeurs intellectuelles du pluralisme et de la critique qui sont au cœur de l’Université et de sa mission qui est de contribuer
au débat politique au sein de la Cité.

Cette association est ouverte à tous ceux qui sont insatisfaits de la situation actuelle et veulent agir
collectivement pour en sortir par le haut. Pour se développer, elle a besoin de chacun et chacune d’entre vous. Nous pensons que nous sommes nombreux, beaucoup plus nombreux qu’on ne le pense,
mais que nous sommes impuissants parce que dispersés et sans stratégie collective. Organisés, nous constituerons une force avec laquelle il faudra compter dans le paysage académique et
intellectuel. Nous vous invitons donc à la rejoindre au plus vite.

Parce qu’il fallait bien commencer, cette association fonctionne déjà avec un bureau et un CA. Mais ce
fonctionnement n’est pas gravé sur une table d’airain et c’est tous ensemble que nous la développerons. Le jeudi 17 décembre à 18h30 se tiendra à la salle du 6e étage de la Maison des Sciences
Economiques de Paris la première Assemblée générale de l’Association française d’Économie politique. Les promoteurs du projet présenteront leur démarche, présenteront les axes de travail et
accueilleront tous les nouveaux membres, pour discuter ensemble des projets destinés à animer ce renouveau de la profession.

 

En espérant nous compter nombreux et déterminés,

Bien cordialement

 

Les initiateurs du projet : Bernard Chavance, Olivier Favereau, Alain Caillé, Florence Jany-Catrice, Agnès
Labrousse, Thomas Lamarche, Dany Lang, Edwin Le Héron, Sabine Montagne, André Orléan, Claire Pignol, Nicolas Postel, Gilles Raveaud, Richard Sobel, Bruno Tinel, Fabrice Tricou

 

Bureau et CA : Président (André Orléan), Vice-présidents (Agnès Labrousse, Edwin Le Héron, Richard Sobel),
secrétaire (Bruno Tinel) et Trésorier (Claire Pignol)

 

Contact : Bruno Tinel (btinel@univ-paris1.fr) ou Richard Sobel (richard.sobel@univ-lille1.fr)

 

Adhérez dès maintenant, en consultant le site (en cours de construction) ci-dessous :

http://www.assoeconomiepolitique.org

Eric BESSON remet 7 nouveaux Labels Diversité

Eric BESSON, ministre de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Développement solidaire,
remettra 7 nouveaux Labels Diversité à des employeurs privés et pour la première fois publics, engagés dans une démarche active de promotion de la diversité, à l’occasion du lancement du Réseau
Egalité Ile-de-France de la Fondation Agir contre l’exclusion, en présence de Fadela AMARA, Secrétaire d’Etat chargée de la Politique de la ville.

Les entreprises et organismes distingués sont La Poste, Nes et Cité, la Maison de l’Emploi de Perpignan, Axa France,
le Groupe Sup de Co Montpellier, la Mission locale de Reims et Coca-Cola Midi SAS.

Le Label Diversité, créé à l’initiative du Président de la République, est décerné par le ministère de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et
du Développement solidaire en partenariat avec AFNOR Certification. Il a vocation à promouvoir la diversité et à prévenir les discriminations au sein des entreprises en distinguant celles dont
les pratiques sont jugées exemplaires.

Dans cette perspective, Eric BESSON a souhaité apporter son soutien au lancement du Réseau Egalité Ile-de-France qui
aide les entreprises à favoriser et promouvoir la diversité en leur proposant un état des lieux de leurs pratiques et de leur gestion des ressources humaines. Le Réseau Egalité Ile-de-France
propose ainsi aux organismes et entreprises un accompagnement en plusieurs étapes afin d’obtenir le Label Diversité.

 

Jeudi 5 novembre 2009 à 19h

Sciences Po – amphithéâtre Emile Boutmy

27, rue
Saint-Guillaume – 75007

55 entreprises participeront au 11e Forum Entreprises de l’IAE Aix

Tous les secteurs d’activités seront représentés : ONG, grande distribution, industrie, secteur bancaire et consulting. Nous pouvons citer
Areva, AC Nielsen, ASF, Vinci Energies ainsi que les incontournables de notre région tels que, CMA-CGM, Eurocopter, Avenir Télécom…

C’est l’occasion pour ces entreprises de rencontrer directement les participants de nos Masters et MBA, ainsi que nos diplômés. Elles pourront
ainsi sélectionner les profils correspondant le mieux à leurs offres d’emploi, de stage et d’apprentissage.

A la pointe de l’innovation en terme de services, le Career Services Centre propose également :

§ Speed Interviews : lors de ces mini-sessions
de simulation d’entretien avec les professionnels du recrutement (cabinets et entreprises), les étudiants auront l’occasion de s’entraîner à la présentation de leur projet professionnel.

§ Vidéo CV : une fois leur présentation rodée,
les étudiants auront la possibilité d’enregistrer leur Vidéo CV, avec le concours de JobinLive et de Provence Stages.

 

Les étudiants ont été préparés à cette rencontre par une première Journée Carrière :

Table ronde sur le thème « Développer une Carrière à l’International » : les principaux acteurs de la
mobilité internationale se sont exprimés sur les questions clés de la mobilité internationale et ont répondu « en direct » aux questions des étudiants.

Techniques de recherche d’emploi (en anglais ou en français) :

– Projet professionnel

– CV et la lettre de motivation

– Entretien de recrutement et marketing emploi

 – Identification et optimisation de son réseau

 

Un Career Services Centre innovant et à l’écoute des besoins des participants

Le Career Services Centre affiche clairement son objectif : optimiser l’employabilité des participants de l’IAE Aix-en-Provence pendant
leur formation, lors de leur intégration professionnelle et tout au long de leur trajectoire.

Il met également à la disposition de ses étudiants, diplômés et entreprises partenaires un portail services incluant une Cvthèque et une
Job-platform (http://services.iae-aix.com).

Ainsi, le taux de placement des participants de l’IAE Aix à 3/6 mois après la formation (y compris le stage) est supérieur à 90% avec un salaire
moyen s’approchant de 35 k€ par an.

 

Contact Career Services Centre :

Elaine Blanc 04 42 28 09 01

elaine.blanc@iae-aix.com

Entrée en vigueur de nouvelles règles d’encadrement des bonus

suite aux décisions du G20 de Pittsburgh

 

Christine LAGARDE, Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, a annoncé la mise en place
et l’entrée en vigueur immédiate du dispositif d’encadrement des bonus des opérateurs de marché et des dirigeants de banques. Ce dispositif met en œuvre les décisions du G20 de Pittsburgh dans ce
domaine.

Christine LAGARDE a publié ce jour au Journal Officiel un arrêté qui fixe des règles de transparence et d’encadrement des rémunérations variables des opérateurs de marché et des dirigeants des
banques.

§                     Les règles d’encadrement des bonus – L’arrêté interdit les rémunérations qui sont garanties au-delà d’un an. Il prévoit que le versement des bonus doit être conditionné à des
critères de performance. De même, une fraction importante des rémunérations variables doit être différée sur plusieurs années. Une fraction importante des rémunérations variables doit être payée
sous la forme d’actions qui doivent être détenues pendant une période minimale. L’arrêté introduit enfin le principe d’un malus en face des bonus : en cas de pertes de l’activité considérée, la
rémunération doit être réduite ou ne pas être versée.

§                     Les règles de transparence – L’arrêté prévoit que les banques doivent publier chaque année des données quantitatives sur les rémunérations versées aux dirigeants d’une part
et aux opérateurs de marché d’autre part. Ces données comprennent notamment les montants des rémunérations avec la répartition entre part fixe et part variable, la part actions et le nombre de
bénéficiaires. Elles comprennent également les montants des rémunérations variables avec la répartition entre part différée et non différée et entre part acquise et non acquise.

Ces règles sont applicables aux professionnels de marché ainsi qu’aux principaux dirigeants des
banques, c’est-à-dire les directeurs généraux et directeurs généraux délégués de ces établissements.

Baudouin PROT, Président de la Fédération Bancaire Française a remis à Christine LAGARDE des normes professionnelles relatives à la rémunération des professionnels de marché et des principaux dirigeants des banques. Ces normes complètent
l’arrêté.

§                     Elles précisent que les rémunérations variables différées devront
représenter au moins 50% des rémunérations variables. Elles devront être différées sur au moins 3 années après l’année du paiement.

§                     Pour les rémunérations variables les plus élevées, le montant de la
fraction différée devra représenter au moins 60% de la rémunération variable.

§                     Les rémunérations variables attribuées sous forme d’actions devront
représenter au moins 50% des rémunérations variables. Les actions devront être détenues pendant une période d’au moins 2 ans.

 

L’ensemble
de ces règles entrent en vigueur dès aujourd’hui. L’arrêté précise que la Commission bancaire est chargée du contrôle du respect des dispositions de l’arrêté et des normes professionnelles.

L’économie, l’argent et les hommes

Vient d’être publié :

Les relations franco-allemandes de 1871 à nos jours

Colloque des 10-11 mai 2007

Sous la direction scientifique de Jean-François Eck, Stefan Martens, Sylvain Schirmann

419 pages-35 €

Editions du Comité pour l’histoire économique et financière de la France

Financer les entreprises face aux mutations économiques du XXe siècle

Colloque des 15 et 16 mars 2007

Sous la direction scientifique de Laure Quennouëlle-Corre et d’André Straus

Editions du Comité pour l’histoire économique et financière de la France

419 pges-35 €

 

Stabilisation de l’emploi salarié et hausse du PIB au 3e trimestre

Selon les estimations provisoires publiées ce matin par l’INSEE, l’activité en France aurait une
nouvelle fois progressé au 3e trimestre (+0,3%) alors que l’emploi salarié se serait pratiquement stabilisé (-5.500).

Christine LAGARDE, Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, prend note avec satisfaction
de l’évolution de l’emploi salarié au 3ème trimestre, dont le repli est très sensiblement plus contenu qu’au 2ème trimestre (-85.400) et qu’au 1er trimestre
(-185.900). Par ailleurs, la croissance est une nouvelle fois positive et comparable à celle du trimestre précédent (+0,3%).

Procédure de sélection du Rédacteur en chef de la RAM

Chers Collègues,

 

Le mandat de Jean-Louis Chandon comme Rédacteur-en-Chef de RAM s’achève en août prochain. Il a indiqué qu’il ne
souhaite pas poursuivre un second mandat. Nous apprécions le travail qu’il a pu fournir pour maintenir la réputation de la revue et nous l’en remercions vivement.

Le bureau de l’AFM a mandaté Hubert Gatignon pour présider le comité de sélection du nouveau Rédacteur-en-Chef. Sur
sa proposition, le bureau a adopté la composition du comité suivante :

 

-Hubert Gatignon

-Alain Jolibert

-Christian Pinson

 

La procédure de sélection décrite dans le document ci-dessous a été validée par le bureau de l’AFM du 16 octobre
2009. Ce document contient également une description des critères de sélection.

Nous vous invitons à nous aider dans ce processus de sélection en proposant un ou plusieurs candidats qui vous
paraissent correspondre au profil du poste.

Vos propositions doivent être accompagnées du CV de la personne concernée ainsi que d’une brève présentation des
raisons qui expliquent votre proposition. La qualité de membre de l’AFM n’est pas requise pour les candidats et il n’est pas exclu de proposer sa propre candidature.

Vos propositions doivent parvenir à Hubert Gatignon (hubert.gatignon@insead.edu) avant le 15 Décembre 2009.

 

Cordialement,

 

 

Hubert Gatignon

Président du Comité de Sélection

 

 

 

1. Objectifs et procédure de nomination du comité de sélection

Ce document décrit la procédure à suivre pour sélectionner et nommer le Rédacteur-en-Chef de la revue scientifique
de l’Association Française du Marketing, Recherche et Applications en Marketing.

Le président du comité de sélection est nommé par le bureau de l’association, sur proposition de son Président. Le
président du comité de sélection constitue alors le comité avec deux autres membres de son choix, choisis de préférence parmi les anciens rédacteurs-en-chef.

Bien que consulté dans le processus (voir ci-dessous), le rédacteur-en-chef en fonction ne peut être membre du
comité. La composition du comité de sélection est approuvée en bureau.

Au terme de sa mission, le comité de sélection transmet son choix au Président de l’AFM qui fait entériner ce choix
par le bureau et prononce la nomination officielle du nouveau Rédacteur-en-chef.

Le Rédacteur-en-chef est nommé pour une période de deux ans (renouvelable) normalement débutant au
1
er septembre suivant sa
nomination.

Un Rédacteur-en-chef peut être démis de ses fonctions sur décision d’une commission à la demande du bureau de
l’association. Cette commission est constituée selon une procédure identique à celle de nomination d’un Rédacteur-en-chef.

 

2. Composition du comité de sélection et appel à candidatures

Les membres du comité de sélection ne peuvent en aucun cas être candidats, ni nommés au poste de
Rédacteur-en-chef.

Les membres du comité doivent avoir une expérience éditoriale confirmée (ancien Rédacteuren-chef de RAM ou d’une
autre revue scientifique de niveau académique identique ou supérieur, ou avoir été Rédacteur-en-chef invité d’un numéro spécial de RAM, ou, au minimum, membre du comité de lecture de RAM depuis
plusieurs années).

Le Président de l’AFM est responsable, au nom du bureau de l’AFM, du respect du processus de sélection et de
nomination décrit ici. En cas de désaccord entre les membres du comité, il est chargé de résoudre ces désaccords. Dans un tel cas, étant donné la forte probabilité d’information négative sur
certains candidats, toute discussion sur la procédure et sur les désaccords éventuels doit rester totalement confidentielle.

Dès l’entrée en fonction du comité de sélection, celui-ci rédige une annonce en vue de la recherche d’un nouveau
Rédacteur-en-chef de RAM. Cette annonce est communiquée à tous les membres de l’Association. Les membres sont appelés à adresser au président du comité de sélection des propositions motivées de
candidatures, incluant le CV de la personne proposée. La qualité de membre de l’AFM n’est pas requise pour les candidats. Il n’est pas exclu de pouvoir proposer sa propre candidature.

 

3. Processus de sélection

Le comité de sélection choisit les candidatures à étudier. Il peut être amené à rassembler toute information sur les
candidats potentiels que ses membres considèrent utile, et ce, en toute confidentialité. Le Rédacteur-en-chef en titre doit être consulté et les anciens rédacteurs-en chef sont une ressource
naturelle pour le comité.

A ce stade, le comité de sélection peut demander à quelques personnes sérieusement considérées, ou de préférence à
une seule personne (la plus sérieusement considérée), un CV à jour et une note d’intentions pour la revue. Toutefois, ces personnes doivent être informées clairement que cette demande ne peut en
aucun cas être assimilée à une offre ferme et qu’elle doit rester strictement confidentielle. Les membres du comité de sélection doivent également garder cette information strictement
confidentielle.

A l’issue de cette étape, le comité de sélection choisit celui (ou celle) qu’il juge être le meilleur candidat pour
le poste. Le comité prend alors contact avec ce candidat et lui demande si il (ou elle) accepte cette responsabilité. Le candidat doit avoir le temps nécessaire pour prendre sa décision, en
particulier pour vérifier avec son institution les arrangements possibles par rapport aux questions pratiques d’organisation (secrétariat de rédaction notamment). Au cas où le candidat
refuserait, le comité choisit un autre candidat en suivant la même procédure. En aucun cas deux ou plusieurs candidats ne peuvent être approchés en parallèle par le comité.

En revanche, il est envisageable que le résultat final aboutisse à la sélection de deux corédacteurs-en-chef.
Cependant, ceci ne peut se produire qu’après la sélection d’un premier candidat qui serait alors impliqué dans le choix d’un co-rédacteur-en-chef.

Suite à l’acceptation du ou des candidats, le comité de sélection rédige un rapport écrit résumant la procédure
suivie, les critères utilisés et le choix final du comité. Ce rapport est adressé au Président de l’AFM. Le Président de l’AFM communique alors la décision du comité au bureau de l’AFM qui
l’entérine sans débat ni vote (respectant en cela la confidentialité de la procédure et la décision du comité nommé par le bureau). Cette nomination est définitive et ne peut être révoquée (sauf
procédure spéciale décrite ci-dessus).

Les noms des autres candidats qui auraient pu être considérés lors du processus ne peuvent être rendus publics. Les
membres du comité de sélection s’interdisent toute discussion sur les

autres candidats en dehors du comité.

 

4. Critères de sélection et d’évaluation d’un candidat

 

1) Expérience du Candidat :

a) Réputation professionnelle dans le domaine de la recherche (visibilité, crédibilité,

réseaux…etc) en France et, idéalement, à l’étranger. Cette réputation découle principalement des publications du
candidat dans des revues scientifiques de très bon rang, non seulement dans RAM mais dans les meilleures revues internationales. En effet, le profil du Rédacteur en chef a un impact important sur
sa capacité à constituer/gérer un comité de lecture de qualité, à attirer des auteurs potentiels, à faire respecter ses décisions, à promouvoir la revue etc.

b) Expérience éditoriale

c) Ouverture d’esprit sur les champs de recherche en marketing et dans les

disciplines connexes. Ceci est particulièrement important dans la gestion des numéros spéciaux, des rubriques «
fenêtre sur » et « sélection internationale » et dans la constitution du comité de lecture.

d) Capacité à identifier, encourager et orienter les auteurs potentiels. C’est une question de vision, de motivation
(temps à investir) mais aussi de réseaux.

e) Bonne connaissance de l’anglais. car le rédacteur en chef est, de plus en plus, en ligne directe avec les bases
de données internationales ainsi que les revues étrangères (rubrique « sélection internationale »). Les traducteurs, le copy editor, le correcteur technique ont aussi fréquemment besoin
d’un avis ou d’une décision urgente sur tel ou tel point technique qu’ils n’arrivent pas à résoudre, de même que les auteurs.

f) Capacité à utiliser une application de gestion électronique des soumissions et des

évaluations d’articles

 

2) Disponibilité:

a) Limitation des engagements extérieurs qui pourraient interférer avec la responsabilité de
Rédacteur-en-chef.

b) Disponibilité pour effectuer les déplacements nécessaires à la gestion de la revue, y compris la présence
épisodique aux réunions du Bureau de l’AFM.

c) Réduction de charge de la part de l’institution du rédacteur-en-chef.

 

3) Personnalité du Candidat :

a) Ethique. réputation de probité, impartialité, respect de la confidentialité des dossiers etc. Il doit être
irréprochable sur ce plan.

b) Capacité à s’investir, à travailler sous stress et en continu. Il est nécessaire de consacrer un temps
considérable à RAM. Le respect des délais de parution impose un suivi régulier et permanent.

c) Capacité à trancher en cas d’avis contradictoires des lecteurs et à assumer ses choix particulièrement lorsqu’ils
sont politiquement difficiles à cause de la stature ou de « l’insistance » de certains auteurs et/ou lecteurs.

d) Compétences « managériales » en matière d’édition : goût pour l’éditorial, sens de l’organisation, respect des
délais…

 

4) Vision:

a) Adhésion avec la mission et le positionnement de RAM. Le Rédacteur en chef ne doit pas avoir de complexes ou
d’états d’âme vis-à-vis des revues étrangères de rang inférieur et être capable de défendre RAM chaque fois que cela est nécessaire.

b) Point de vue sur l’évolution éventuelle à apporter à l’organisation du processus d’évaluation (par exemple sur le
comité de lecture ou l’utilisation de rédacteurs associés).

c) Stratégie pour accroître le nombre de soumissions.

d) Marketing de la revue.

e) Changement éventuels du format de la revue.

 

5) Soutien institutionnel :

 

a) Moyens de fonctionnement. Le secrétariat de rédaction nécessite la présence d’un (ou un)) assistant de rédaction,
d’un bureau équipé (ordinateur, imprimante, téléphone, scanner, meubles de rangements etc.) de fournitures de bureau, avec prise en charge des frais de téléphone, fax, emails, photocopies,
affranchissement etc.

 

b) Financement de cet(te) assistant(e) de rédaction. Le travail d’assistant(e) de rédaction exige un engagement à
mi-temps d’une secrétaire bilingue confirmée dans les conditions actuelles (une réduction peut être envisageable en cas de passage à un système électronique du processus d’évaluation). Le profil
souhaitable pour un(e) assistant(e) de rédaction est décrit ci-dessous.

 

c) Engagement du Doyen ou Directeur de l’institution du Rédacteur-en-chef.

 

Assistant(e) de réaction (profil souhaitable)

1) Solide expérience en matière de secrétariat. Compétences techniques de base, fiabilité, capacité à prendre des
initiatives, sens de la discrétion.

2) Capacité à utiliser une application de gestion électronique des soumissions et évaluations.

3) Très bonne connaissance de l’anglais (écrit et parlé). La personne doit être sur ce plan parfaitement
autonome.

4) Forte implication personnelle. Capacité et motivation à suivre les dossiers urgents en dehors des heures de
bureau « officielles ».

5) Etre très organisé(e), méthodique, rigoureux(se). Strict respect des normes de publication, des délais, des
processus, de la confidentialité des dossiers.

6) Capacité à interagir, le plus souvent, sous contrainte de temps, sur des tâches

très différentes et avec des individus très variés : auteurs, lecteurs permanents et occasionnels, correcteur
technique, traducteurs et superviseurs de ceux-ci, copy editor, photocomposeur, éditeur, bases de données françaises et étrangères, revues étrangères (autorisations de reproduction de la
sélection internationale) demandeurs d’informations (étudiants, enseignants, agences de presse…). Dans toutes ses relations, nous ne sommes pas en position de force, donc il faut obligatoirement
combiner persuasion/doigté et insistance/persévérance.

7) Goût pour l’édition.

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