Archives de catégorie : La recherche et écoles
Nucléaire, aviation, rail, industrie chimique : la sécurité des grands systèmes techniques atteint aujourd’hui des niveaux remarquables. Mais plus l’accident est rare, plus il devient inacceptable et économiquement insupportable. Les Rendez-vous de la Recherche ouvrent le débat avec deux éminents spécialistes de la sécurité, Philippe Jamet et René Amalberti.
La gouvernance des universités
d’autonomie des universités. La réunion a eu lieu le 30 mai 2007.
peuvent entraver leur développement, dans un contexte devenu beaucoup plus ouvert et exigeant quant à la performance collective et à la réactivité des organisations.
fonctionnement universitaire. Certains de ces établissements sont des EPSCP de plein exercice, dont les succès nationaux et internationaux sont largement reconnus ; d’autres sont bâtis sur les
mêmes principes, sans en avoir le statut administratif. La variété même de ces statuts est une richesse, qui manifeste les différentes options possibles de l’organisation universitaire autonome.
La Conférence des Grandes Ecoles est à l’entière disposition du Ministre et des équipes chargées de préparer la loi, pour partager son expérience de l’autonomie de la gouvernance
d’institutions universitaires. Le Bureau de la CGE mandate plus particulièrement MM. Hervé Biausser, Directeur de l’Ecole Centrale Paris, et Alain Storck, Directeur de l’INSA de Lyon, pour
participer au travail de préparation de la loi.
Autonomie des universités
La loi sur l’autonomie des universités, appelée “La loi sur l’autonomie des universités, appelée “Loi relative aux libertés
et responsabilités des universités” a été promulguée au Journal officiel samedi 11 août. Elle avait auparavant été définitivement adoptée,
le 1er août, par le Parlement.” a été promulguée au Journal officiel samedi 11 août. Elle avait auparavant été définitivement
adoptée, le 1er août, par le Parlement.Loi n° 2007-1199 du 10 août 2007 parue au JO n° 185 du 11 août 2007
European Business Awards
Le programme des European Business Awards est une compétition qui célèbre les compétences et l’excellence des entreprises européennes dans
le domaine des affaires. En tant que l’une des économies les plus amples et dynamiques du monde, la France a ainsi l’opportunité de fièrement mettre en avant ses accomplissements.
Triomphe en Janvier et à l’InterContinental Paris Le Grand en Mars. Les entreprises françaises n’ont en fait plus qu’un mois pour s’inscrire aux Awards puisque la date limite de toute candidature
est le Jeudi 18 Octobre 2007.
programme des European Business Awards est une promotion de nos aptitudes, et, pour l’Europe, un exemple pour chacun d’entre nous de ce qu’il est possible d’accomplir”, dit Adrian Tripp,
Président des European Business Awards.
Business Awards a renouvelé son partenariat avec The Wall Street Journal Europe et mis en place une collaboration avec d’importants partenaires médias nationaux. “Chaque jour The Wall Street
Journal Europe vous informe sur les aléas du monde des affaires et des entreprises de la région. Notre association avec les European Business Awards nous permet d’honorer les performances de ces
entreprises et la vision et l’énergie de leurs leaders”, dit Jonathan Wilson, « Director of Marketing and Business Développement », The Wall Street Journal Europe.
Paris Le Grand,et devant une audience composée de l’élite du commerce européen.
Pour obtenir de plus amples information ou vous inscrire, il vous est possible d’aller sur www.businessawardseurope.com, appeler le + 44 (0)
20 7234 3535 ou envoyer un email à info@businessawardseurope.com.
ACIES au Salon Européen de la Recherche
Paris Expo, Porte de Versailles – Hall 7.1,
stand M50.
Du 7 au 9 juin 2007, ACIES, Conseil en Management et Valorisation de la Recherche, sera présente sur le Salon
Européen de la Recherche et de l’Innovation (Hall 7.1, stand M50). A cette occasion, ACIES présentera son expertise dans ses 2 domaines de compétences que sont : « Management de Réseaux et
Projets de Recherche » et « Financement de la Recherche et de l’Innovation ».
Enfin,
sera mis à disposition du public le nouveau numéro de la Lettre de la Valorisation de la Recherche, édité à 25000 exemplaires, avec un dossier spécial « La Santé à l’heure des nouveaux Outils de
Structuration et de Financement pour la Recherche ».
Le jeu de l’été proposé par Michelle Bergadaà
Michelle Bergadaà propose un jeu
Ou bien tous ces auteurs ont-il plagié sans se concerter les auteurs d’un document C ?
situations fortuites. Il est, ensuite, hypocrite de conserver les sanctions « personnelles et confidentielles ». Le seul résultat est de blesser celui qui les reçoit et leur effet sur le système
n’est qu’insignifiant.
cas soumis à votre analyse ?
Université de Genève »
Autonomie des universités : la position de la CDEFI
cadre de la compétition internationale dans ce domaine. Mais une bonne autonomie ne peut pleinement porter ses fruits que si elle s’accompagne d’une gouvernance adaptée.
les écoles françaises d’ingénieurs sont particulièrement concernées. Du fait de la diversité de leur statut juridique et de leur tutelle mais aussi des règles de gouvernance qui leur sont
imposées par la Commission des Titres d’Ingénieurs, ces écoles disposent déjà d’un mode de fonctionnement managérial. En revanche, toutes n’ont pas le même degré d’autonomie et sont idéalement
placées, du fait même de leur mode de gouvernance, pour savoir combien ces deux notions vont de paire.
université.
l’ensemble des établissements publics de l’enseignement supérieur et de la Recherche (qu’ils soient à caractère publics, culturels et professionnels ou à caractère administratif) bénéficient des
trois piliers de l’autonomie prévue par le projet de loi (budget, gestion des ressources humaine et dévolution du patrimoine mobilier et immobilier).
stratégie en arbitrant ses choix financiers
supérieur et de recherche et d’une plus grande adaptabilité aux enjeux locaux et à la stratégie qu’ils poursuivent pour leur développement.
concernées. Le 3e point, bien que plus large ne prend pas non plus en compte la totalité des établissements publics de l’enseignement supérieur et de la recherche. Cette distinction
pernicieuse introduit 3 niveaux d’autonomie, selon nous, injustifiés au regard des missions identiques conférées à l’ensemble de ces établissements publics :
qui permet, du fait de la maîtrise budgétaire, de pouvoir parfaitement gérer son patrimoine. C’est ce système qu’elle souhaite voir généralisé.
globale du budget. Elle considère que nous serions alors en présence d’établissements condamnés à gérer leur patrimoine mais sans avoir la moindre marge de manœuvre financière ce qui est un cas
de figure ubuesque
propriété de leur patrimoine.
monde extérieur dans le fonctionnement interne de l’université puisqu’il n’aura pas à se prononcer sur l’élection du président, éloigne les universités de l’autonomie et les ancre durablement
dans un fonctionnement autogestionnaire caractérisé par le repli sur soi.
prévues en matière de gouvernance ne s’inspirent pas davantage du mode managérial sur lequel fonctionnent les écoles d’ingénieurs.
personnels ayant vocation à enseigner dans un établissement d’enseignement supérieur » ce qui est la pratique dans la désignation actuelle des directeurs d’écoles d’ingénieurs.
bon sens.
universités. La CDEFI souhaitait que ces conseils soient composés pour moitié d’extérieurs. Sans accéder à cette demande, les personnalités extérieurs ont obtenus une place mais qui pour elle se
résume à un strapontin.
de loi prévoit que les personnalités extérieures n’auront pas le droit de prendre part à l’élection du Président de l’université, événement pourtant majeur dans la gouvernance d’un établissement.
Seuls les personnels et les étudiants de l’université seront appelé à voter à ce niveau. Cela constitue une grave régression au regard de la situation de ces établissements instaurée depuis près
de 40 ans.
transparence, il est normal que la Nation soit représentée dans ces conseils d’administration. En Outre, alors même que la loi prévoit que l’insertion professionnelle devient une mission à part
entière des universités elle ne comprend pas cette volonté d’exclure ceux qui représentent l’environnement socio-économique dans lequel une université se développe.
Les écoles d’ingénieurs, pour ce qui les concerne, ont toujours impliqué leurs partenaires extérieurs dans leur fonctionnement. Cela à permis
à ces deux mondes de communiquer entre eux et expliquent très largement, les résultats enregistrés en matière d’insertion professionnelle par les élèves. Comment peut-on imaginer rendre ces
établissements d’enseignement supérieur attractifs alors même que l’on refuse de les ouvrir sur l’extérieur ?
Advanced Management Program
programme le plus abouti dans son domaine en Chine, il a été développé par trois écoles internationales prestigieuses : la Tsinghua School of Economics and Management, l’Institut Français de la
Mode et le Groupe HEC.
Directeur Général L’Oréal – Produits de luxe, souligne “… cette nouveauté démontre l’ambition de ce programme d’être leader du marché en Chine, tout en étendant sa portée au sein des
industries du luxe et de la mode.” D’autres nouveautés seront également introduites comme une série de conférences avec des dirigeants des entreprises du secteur. En facilitant le contact
avec les décideurs et les créateurs, le programme AMP développe le dialogue et l’échange d’expérience.
mode en évolution permanente en Chine. Composé de six séminaires exécutifs, ce cursus aborde une vaste gamme de sujets comme la stratégie globale et le management de la marque, la globalisation
et l’innovation ou encore la stratégie de produit et de marque. Chaque séminaire se déroule sur 3 jours en fin de semaine, le programme ayant lieu de septembre 2007 à mars 2008.
Plus d’informations sur le site : http://www.hec.edu/amp
INSERTION DES DIPLOMES DE LA PROMOTION 2006 (Enquête 2007)
enquête 2007 sur l’insertion des jeunes diplômés. Le taux net d’emploi s’est amélioré avec 85 % toutes écoles confondues (contre 80 % lors de l’enquête 2006). 82 % des diplômés ont trouvé
cet emploi moins de 2 mois après la sortie de l’école (76 % lors de l’enquête 2006). Les CDI sont plus fréquemment utilisés : 79 % (76 % en 2006) et la part des CNE s’est réduite (1,3 % du
total des emplois contre 2 % en 2006) ainsi que celle des CDD. On note également qu’il n’y a pas de bouleversements importants dans la structure des secteurs recruteurs, tant pour les diplômés
ingénieurs que ceux des écoles de management. Le salaire annuel moyen (brut) s’élève à 31 910 € ; en hausse de 3,3 % (30 900 € l’année précédente).
L’Enseignement Supérieur en France
L’Enseignement Supérieur en France.
Etat des lieux et propositions.
VERSION FINALE.
Rapport établi sous la direction de François Goulard,
Ministre délégué à l’Enseignement supérieur et à la
Recherche
http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/rapport/2007/enseignementsupmai2007.pdf
Motion sur le projet de loi sur “l’organisation de la nouvelle université”
Les 30 directeurs d’IAE adoptent une motion par rapport au projet de loi sur « l’organisation de la nouvelle université »
qui permettront aux établissements d’enseignement supérieur et de recherche d’accomplir leurs missions dans un contexte international très compétitif. Mais la réforme de la gouvernance doit s’accompagner de dispositifs d’incitation favorisant les initiatives, les compétences et les responsabilités.
écoles ou instituts doivent pouvoir exprimer librement leur spécificité, au service de l’ensemble, en lien étroit avec les impulsions et la coordination stratégique des équipes dirigeantes. Les
logiques internes de contrôle ou de bureaucratie doivent s’adapter à la nouvelle gouvernance, en laissant aux composantes qui ont fait leurs preuves le pilotage de leur relation avec les environnements qu’elles sont les seules à maîtriser. Partout dans le monde, les universités qui fonctionnent le mieux travaillent en réseau, jamais selon des modèles centralisateurs d’organisation. Leurs sous-ensembles se comportent comme des pôles stratégiques en relation ouverte avec la politique générale.
choix pédagogiques et de recherche, d’administration et de gestion budgétaire.
Depuis l’origine, ils sont élus et évalués dans leurs actions par des CA similaires à ceux que propose le projet de loi pour les universités.
élaborés de façon étroite avec les milieux professionnels. Aujourd’hui encore, cela leur vaut d’être considérés comme des modèles d’insertion pour les étudiants. En lien avec leurs universités,
les IAE ont aussi déployé de nombreuses relations et formations à l’international. Ils ont contribué massivement à la création et au développement des sciences de gestion. Sources majeures de
publications de recherche en management, ils y forment le plus grand nombre des jeunes chercheurs.
Organisation de la nouvelle université
positives propres à doter les établissements d’enseignement supérieur et de recherche français des moyens leur permettant d’assumer leurs missions fondamentales et de faire face à la compétition
internationale. Certaines dispositions de ce projet ont d’ailleurs été expérimentées depuis longtemps et avec succès par les Grandes Ecoles ; d’autres, tout aussi positives, mériteraient
certainement de ne pas être limitées aux seules universités, mais d’être étendues à l’ensemble des EPSCP.
Soulignons notamment :
des personnalités extérieures à l’établissement (35%) est encore insuffisant.
de ses prérogatives (telles que le droit de véto dans les processus de recrutement, article 6).
d’autonomie (pédagogique, administrative et financière) des écoles ou des instituts internes, alors que ceux-ci ne peuvent exprimer leurs spécificités que sur la base de ces marges de
manœuvre.
des crédits d’investissement, est une avancée décisive en cohérence totale avec la mise en place de la LOLF. Le Conseil d’Administration se voit accorder deux prérogatives
essentielles :
activités et d’autres missions, ce qui donnera à l’établissement une plus grande souplesse, adaptée à l’évolution de ses missions,
dynamique positive de reconnaissance de l’engagement des personnels dans des tâches d’intérêt collectif.
universitaire, d’aide à l’insertion professionnelle, d’activités de tutorat ou de service en bibliothèque…, permettront de renforcer les synergies entre les étudiants, les personnels et les
instances dirigeantes de l’établissement. Elles contribueront à développer chez ces étudiants des compétences comportementales et managériales.
regretter l’absence dans le comité de sélection de personnalités autres que les enseignants-chercheurs et les chercheurs. Ce point est d’autant plus étrange que le texte témoigne par ailleurs
d’une volonté d’ouverture des comités de sélection, puisque la moitié de leurs membres sont extérieurs à l’établissement.
demande la pleine propriété des biens mobiliers et immobiliers qui leur sont affectés ou qui sont mis à leur disposition ; cependant les conditions d’exercice de la responsabilité juridique
et financière de ce transfert méritent d’être explicitées.
La CGE salue positivement l’esprit de ce projet de loi qui engage l’université française dans la voie d’une plus grande efficacité et d’une
gouvernance plus performante au service de son développement. Elle souhaite que les Grandes Ecoles puissent bénéficier de certaines mesures nouvelles et positives du projet, tout en conservant les
spécificités et les points forts de leur modèle.
10 ans d’apprentissage dans les Grandes Ecoles de Management
Reims Management School ouvre le débat… le lundi 10 mars 2008, Campus 1 de Reims Management School, de 13h à 17h sous le Haut-Patronage de Monsieur Roger
Fauroux, Président d’Honneur de Saint-Gobain, Ancien Ministre, ancien Directeur de l’ENA, ancien PDG de
Saint-Gobain, Créateur des filières d’apprentissage dans les Grandes Écoles.
Tilly, DRH France de Hewlett-Packard
l’Ecole organise le 10 mars 2008, lors du premier jour de sa Semaine Entreprises, un grand débat sur l’apprentissage dans les Grandes Ecoles de Management, en compagnie de tous les acteurs
concernés. Les résultats d’une étude sur les modes de conduite de carrière des apprentis issus de Sup de Co Reims seront dévoilés. Avec cette manifestation, Reims Management School souhaite
interroger les idées reçues sur l’apprentissage, en étudier les facteurs de succès, et réfléchir sur ses évolutions pour les années à venir.
Lancement d’un grand Tournoi de gestion
Lancement d’un grand Tournoi de gestion pour les élèves des filières comptabilité et gestion de l’Académie de
Versailles
l’Académie de Versailles, se déroule du 5 au 20 février 2008 avec le soutien de l’Ordre des experts-comptables région Paris Ile-de-France et de la Compagnie Régionale des Commissaires aux comptes
de Versailles.
créé par le professeur Jean-Luc Charron. Véritable application concrète de gestion des entreprises, ce jeu est une animation dynamique et ludique mettant les élèves en situation réelle face à des
contraintes d’entreprise : nécessité d’un travail d’équipe, mise en œuvre de savoir-faire pluridisciplinaires, travail en temps restreint, objectifs à atteindre etc.
gestion – comptabilité. En mettant les élèves dans une situation concrète, le jeu les replace au cœur de ce qui sera leur future fonction : être partie prenante du système décisionnaire et
de la vie de l’entreprise.
renforcement de l’enseignement des sciences de l’entrepreneuriat et de la gestion dans le cadre du cursus scolaire afin de susciter plus de vocations et mieux former les futurs créateurs
d’entreprises, » précise André-Paul Bahuon, Président de l’Ordre des experts comptables région Paris Ile-de-France et membre du jury.