Archives de catégorie : Actualité de la gestion

Partenariat stratégique et double diplôme HEC Paris et IIM Ahmedabad

HEC Paris et l’Indian Institute of Management – Ahmedabad (IIM-A) sont entrées dans une nouvelle phase de coopération en signant, le 20 octobre dernier sur le campus d’IIM-A,un accord de partenariat stratégique et en lançantun nouveau programme de double diplôme.

Le Professeur Samir K. Barua, Directeur de l’IIM-A et le Professeur Bernard Ramanantsoa, Directeur Général d’HEC Paris, ont signé cet accord, en présence de nombreux professeurs, collaborateurs, étudiants et diplômés des deux écoles, ainsi que des représentants du gouvernement et du monde de l’entreprise.

Dans ce contexte de globalisation de l’enseignement du management et fortes de 3 années de collaboration, les deux institutions ont conclu cet accord de partenariat stratégique qui comprend les axes de coopération suivants :

–         Echange de professeurs et projets de recherche conjoints ;

–         Echange d’étudiants ;

–         Formation continue ;

–         Double Diplôme HEC MSc in Management – Grande Ecole et IIM-A Post Graduate Program in Management (PGP).

Le nouveau programme de double diplôme HEC Paris et IIM-A a pour but de fournir aux participants un solide enseignement de management et des outils de business internationaux. Il offrira de nouvelles opportunités pour les étudiants des deux institutions se destinant à des carrières internationales. Ces derniers effectueront une année académique complète dans l’école partenaire et obtiendront les deux diplômes : le diplôme HEC Grande Ecole et le diplôme IIM-A Post Graduate Program in Management. Les premiers étudiants de ce programme de double diplôme seront diplômés en juin 2012 et bénéficieront des puissants réseaux des anciens des deux écoles.

Bernard Ramanantsoa, Directeur Général d’HEC Paris, a précisé : “Je me réjouis de ce partenariat, d’abord car il va contribuer au développement des relations économiques de nos deux pays, mais plus encore parce que nous allons partager une ambition commune : faire de nos étudiants des leaders responsables, capables de dépasser l’aspect technique du management pour construire un monde nouveau”.

Samir Barua, Directeur de l’IIM-A, a ajouté : “Les deux écoles sont confrontées aux mêmes challenges et partagent les mêmes valeurs dans cette ère de globalisation”. Il a exprimé sa certitude que ce partenariat entre les deux écoles contribuera à la coopération économique entre l’Europe et l’Inde.

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Rapport CDHSS : des conclusions souvent trop généralistes selon le CDHSS

Rapport CDHSS : des conclusions souvent trop généralistes qui mériteraient une étude plus approfondie de chaque filière

Mercredi 13 octobre 2010, le Conseil pour le développement des humanités et des sciences sociales (CDHSS) a remis à Valérie Pécresse son rapport final “Pour des sciences humaines et sociales au cœur du système d’enseignement supérieur et de recherche”.

Le 18 mai dernier, l’UNEDESEP, par le biais de Promotion et Défense des Etudiants, avait été auditionnée par ce comité pour apporter son expertise sur les filières qu’elle représente.

Face à la diversité des formations du secteur des Sciences Humaines et Sociales, l’UNEDESEP regrette qu’une étude plus précise des problématiques inhérentes à chaque filière n’ait pas été faite, en particulier pour les formations Sciences Sociales – Droit, Sciences Economiques et Gestion, AES et Sciences Politiques – qui contrairement aux Sciences Humaines, ne sont que partiellement étudiées par le rapport.

Quatre thèmes abordés par le rapport ont particulièrement retenu notre attention.

Une Licence plus généraliste

L’UNEDESEP soutient la proposition d’une première année plus généraliste, ce qui suppose de repenser la propédeutique en Licence. Elle serait également l’occasion pour l’étudiant de pouvoir s’orienter plus facilement via des systèmes de passerelles, diminuant le taux d’échec en Licence dû à une mauvaise orientation.

La mise en place du Plan Réussite en Licence a relancé les débats en matière de formation et de pédagogie, ce qui était nécessaire pour les formations en SHS.

L’UNEDESEP rappelle cependant qu’il est impératif que les établissements développent en parallèle des indicateurs fiables vis-à-vis des dispositifs existants en Licence, pour avoir des retours précis sur les bonnes pratiques mises en place. Or, la création de ces indicateurs, véritables outils de pilotage d’une stratégie de formation, demeure exceptionnelle.

La mission d’orientation et d’insertion professionnelles des universités

L’UNEDESEP salue l’intérêt que les membres du Conseil ont porté sur les questions de l’orientation et l’insertion professionnelle, talon d’Achille des formations en SHS.

L’UNEDESEP souligne la nécessité de rendre les formations cohérentes avec le tissu socio-économique de la région.

Ceci est d’autant plus nécessaire que la mise en place des PRES fait naître des logiques de régionalisation, en particulier pour les formations en AES dont les débouchés professionnels dans les collectivités territoriales et dans les entreprises régionales sont les plus importants.

Enfin, il est nécessaire que dès la Licence 2, les formations en SHS offrent à l’étudiant tous les outils pour s’adapter de manière autonome à son métier alors que la société contemporaine est en perpétuelle transformation. L’UNEDESEP suggère la mise en place durant la Licence, d’un module obligatoire, consistant à effectuer un travail de recherche et de démarches professionnelles, pour l’établissement d’un projet fictif ou d’un mémoire, sanctionné par un jury regroupant des enseignants et des
professionnels.

La recherche

L’UNEDESEP, comme le préconise le rapport, encourage la professionnalisation des doctorats. Ceci peut prendre la
forme de stages inclus dans la formation ou par la multiplication de doctorats en partenariat avec les groupes de recherches des entreprises privées comme pour les conventions CIFRE par exemple.

L’évaluation des formations en SHS

L’évaluation des formations apparaît aujourd’hui comme un gage de reconnaissance de la qualité de la formation pour l’étudiant, mais aussi pour son employeur. À ce titre, il est nécessaire que les rapports délivrés par l’AERES soient davantage visibles des étudiants et des professionnels. L’UNEDESEP demande à ce que les notations AERES soient jointes aux maquettes de présentation des formations.

Enfin, le rapport ne traite pas du rôle primordial que les associations étudiantes peuvent jouer sur les campus et en parallèle des formations en SHS. Elles pourraient pourtant accompagner certaines propositions pertinentes du rapport telles que l’acquisition de compétences utiles pour l’insertion professionnelle, la participation à la création d’associations d’anciens, l’aide aux étudiants en SHS à la prise de conscience de la variété des débouchés qui s’offrent à eux…

Dans ce contexte, l’UNEDESEP souhaite que l’engagement dans les associations étudiantes en SHS soient davantage encouragé et reconnu par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche au niveau national, mais aussi par les directeurs d’UFR et les présidents des Universités concernées au niveau local.

Alexis DEBORDE

Etudiant à l’Université Paris-II

Président de l’UNEDESEP

presidence@unedesep.fr
06 42 98 77 25

Pour plus
d’informations: www.unedesep.fr

Richard Perrin rejoint le Groupe EDHEC

Richard Perrin (38 ans) a pris ses fonctions le 1er septembre 2010 au sein de la direction des programmes
académiques du Groupe EDHEC en tant
que Directeur International et Marketing
. Il a pour principales missions d’accroître encore l’attractivité en France et dans le monde des programmes de formation initiale (EDHEC Grande
Ecole, ESPEME, Masters of Science) et d’orchestrer la stratégie ambitieuse du Groupe en matière de développement international des programmes (recrutement des talents, partenariats, doubles
diplômes).

Après avoir commencé sa carrière à New York au Poste d’Expansion Economique, Richard Perrin a rejoint la direction
internationale du Groupe HEC en 1997, il a ensuite été durant 9 années le Directeur de la communication du Groupe HEC. Diplômé de Négocia et de l’INSEAD, il était depuis un an le directeur du
développement de l’Ecole HEC.

Dotée depuis la rentrée de deux nouveaux campus ultra modernes à Lille et à Nice avec plus de 5000 étudiants en
formation (dont 25% d’étudiants internationaux) et d’un corps professoral de très haut niveau, l’EDHEC est aussi implantée à Paris, Londres et Singapour pour ses activités en recherche et de
formation Executive.

 

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Remettre le management par les compétences au coeur de la stratégie

ANVIE 

Groupe de travail : Remettre le management par les compétences au coeur de la stratégie

Les 14 octobre, 4 novembre et 8 décembre prochain, Paris

 

Animé par Christian
DEFELIX
, Professeur des Universités, IAE – Université de Grenoble,
Responsable de la Chaire “Capital humain et innovation”

Avec notamment les témoignages de professionnels exerçant chez LEGRAND, SCHNEIDER ELECTRIC UNIVERSITY, SGS, SNCF

 

Programme des séances interentreprises :

  • Faire face aux changements : prévoir et anticiper
  • Gérer par les compétences : jusqu’où fonder les options stratégiques sur les compétences détenues
    ?
  • Innover : mieux articuler les ressources propres de l’entreprise avec les compétences
    externes

Objectif :

Ce groupe de travail a pour objectif d’éclairer ces différentes questions, à la lumière des échanges
d’expériences entre les entreprises participantes, des témoignages de professionnels et des apports des chercheurs en sciences humaines et sociales.

 

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Optimiser la gestion du patrimoine immobilier par les universités

M. Philippe ADNOT (NI-Aube), rapporteur spécial de la mission « Recherche et enseignement supérieur » au nom de la commission des finances, et M.
Jean-Léonce DUPONT (UC-Calvados), rapporteur pour avis de la même mission au nom de la commission de la culture, de l’éducation et de la communication, ont déposé, mardi 13 juillet, une
proposition de loi relative aux activités immobilières des établissements d’enseignement supérieur, aux structures interuniversitaires de coopération et aux conditions de recrutement et d’emploi
du personnel enseignant et universitaire.

Faisant suite à leur rapport d’information sur la dévolution aux universités du patrimoine immobilier que l’Etat leur affecte ou met à leur
disposition(1), cette proposition de loi permettra aux universités de disposer des bâtiments que l’Etat leur a affectés, même si elles n’ont pas encore demandé le transfert de ce
patrimoine.

Ainsi, une partie des dispositions de la loi n° 2007-1199 du 10 août 2007 relative aux libertés et responsabilités des universités, dite
loi LRU, concernant le patrimoine dévolu pourrait profiter à l’ensemble des établissements qui s’engagent dans des travaux de rénovation de leur patrimoine. L’objectif est de favoriser la
conclusion de partenariats public-public ou public-privé parfaitement adaptés aux enjeux de valorisation de ce patrimoine.

Par ailleurs, cette proposition de loi est également l’occasion de répondre à quelques difficultés identifiées par les rapporteurs à l’occasion
de leurs différents travaux sur la mission « Recherche et enseignement supérieur » :

– d’une part, la question de la délivrance de diplômes nationaux par les pôles de recherche et d’enseignement supérieur (PRES) constitués sous
forme d’établissements publics de coopération scientifique ;

– d’autre part, le recrutement des responsables de biologie dans les centres hospitalo-universitaires (CHU).

 

(1)
« Autonomie immobilière des universités : gageure ou défi surmontable ? », rapport d’information n° 578 (2009‑2010) de
MM. Philippe ADNOT et Jean-Léonce DUPONT, fait au nom de la
commission des finances et de la commission de la culture, de l’éducation et de la communication. Ce rapport peut être consulté à l’adresse suivante : http://www.senat.fr/rap/r09-578/r09-578.html

Association for International Arbitration

Johan Billiet, président de l’AIA*, annonce la création de deux nouveaux
enseignements :

– EMTPJ (European Mediation Training Scheme for Practitioners of Justice) à
l’université de Warwick l’Angleterre du 2 au 14 aout 2010:
www.emtpj.eu

– un postgraduate en International Business Arbitration à la Vrije
Universiteit Brussels (Belgique) l’année académique 2010-2011
http://www.arbitration-adr.org/activities/?p=postgraduate

 

*Association for International Arbitration

Avenue Louise 146

1050 Brussels

tel.: +32 2 643 33 01

fax: +32 2 646 24 31

administration@arbitration-adr.org

http://www.arbitration-adr.org

 

johan.billiet@billiet-co.be

L’ESCEM, toujours engagée dans le développement durable et la RSE

L’Escem poursuit son engagement et son expertise sur le champ du durable, de la RSE et de l’éthique amorcé depuis
2002 et inscrit dans la stratégie et la mission de l’école dès 2006. L’Ecole complète en effet son approche en développant un nouvel axe de recherche et d’expertise: « de l’éducation aux
compétences pour le développement durable » avec le concours d’une personnalité éminente dans ce domaine, Jacques Brégeon, qui rejoint la Faculté en tant que Directeur d’Etudes et de
Recherche.

« Nous nous réjouissons d’accueillir à l’ESCEM une personnalité qui incarne une vision globale et dynamique des
problématiques du DD intégrant les dimensions intellectuelle, éducative, technologique, managériale et territoriale, pour porter ce nouvel axe structurant de notre politique » indiquent Tamym
ABDESSEMED, Directeur Général de l’ESCEM et Frédéric AVRY, Directeur du DD de l’ESCEM

 

Un nouvel axe de recherche porté par Jacques Brégeon : « De l’éducation aux compétences
pour le développement durable »

Président de l’école des métiers de l’environnement (Rennes), Fondateur du Collège des Hautes Etudes de
l’Environnement et du Développement Durable, Président du comité opérationnel Education du Grenelle de l’environnement, ex Président de la Commission Développement Durable de la Conférence des
Grandes Ecoles, Jacques Bregeon s’investit dans le développement des compétences tant collectives que sociétales pour des « territoires » durables. A propos de l’ESCEM, au sein de laquelle il
portera la réflexion sur l’éducation au DD, il indique : « Disposant d’un capital d’expérience de 15 années consacrées à la préparation des cadres dirigeants aux enjeux du Développement Durable,
il m’est apparu nécessaire de le valoriser à travers cette thématique derecherche et d’expertise dédiée à l’éducation et aux compétences. Je suis heureux de rejoindre l’ESCEM, dont je connais la
profondeur de l’engagement et les valeurs. La mission est passionnante, les perspectives prometteuses et les chantiers s’ouvrent déjà ».

 

Plus de 5000 diplômés formés et sensibilisés par un acteur engagé

L’ESCEM commence à récolter les fruits de sa vision pionnière en matière de RSE. A ce jour, plus de 5000 étudiants
ont été formés et sensibilisés à la dimension durable afin de répondre aux attentes des recruteurs et aux enjeux à venir. A ce titre, les trois-quarts des diplômés de la promotion 2008 du
programme Grande Ecole déclarent que leur mission intègre une dimension durable et responsable. Parallèlement, en 2009, ESCEM PRO, l’association des diplômés a créé un cercle des diplômés
DD.

L’ESCEM continuera donc à former les jeunes responsables dont les organisations et la société ont besoin, non
seulement pour atteindre, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, de ISO 26000, les objectifs de performance globale attendus dès aujourd’hui, mais aussi pour inventer, demain, un monde
plus responsable et durable.

 

Une politique globale d’établissement en matière de management responsable

L’Escem poursuit et entend amplifier la mise en oeuvre de son plan d’action durable qui tend vers le cadrage du «
Plan Vert » s’imposant aux établissements d’Enseignement Supérieur du fait de la loi Grenelle 1. L’ESCEM se distingue déjà dans les 9 défis posés par la Stratégie Nationale Française de
Développement Durable et la crédibilité de sa démarche résulte de l’action engagée en matière de :

– Stratégie et gouvernance (création d’une direction de la responsabilité globale, d’un Junior Advisory Board,
comité diversité…)

– Politique sociale et ancrage territorial (plans climat, programmes d’ouverture sociale, actions humanitaires et
environnementales, forum DD avec des acteurs territoriaux …)

– Enseignement et formation (responsabilité sociale associative, Master en Gestion et Développement Durable, tronc
commun DD-RSE et Ethique pour les étudiants du programme Grande Ecole, serious game DD en partenariat avec PWC et le Comité 21…)

– Activités de recherche (30% des travaux de recherche de l’ESCEM relèvent de son axe DD-Ethique-RSE, 4 chaires
éco-responsables ont été mises en place depuis 2007)

– Gestion environnementale du campus (engagement fort autour de la réduction des gaz à effet de serre notamment pour
le transport, la préservation des ressources naturelles : énergie et eau).

 

Une légitimité qui repose sur un engagement de longue date

Pionnière parmi les établissements d’enseignement supérieur à s’investir dans le DD, fortement impliquée et associée
aux actions d’organisations telles que le Comité 21, Global Compact, le REFFED ou Campus Responsable…, encouragée dans sa démarche par 3 récompenses obtenues successivement en 2005-2007-2009 aux
trophées l’Etudiant et Société Générale catégorie DD, l’ESCEM a été saluée récemment par Campus Responsable qui considère que son engagement porte sur l’ensemble des thématiques « durables ».
L’ESCEM, qui fait désormais figure de « chef de file » sur cet axe parmi les établissements d’enseignement supérieur, accueille aujourd’hui au sein de sa faculté, Jacques Bregeon, personnalité
reconnue et engagée depuis 15 ans au service de l’environnement et du développement durable.

Rendez-vous Sciences, Éducation et Société le 24 Juin 2010

La CGE s’associe aux rendez-vous Sciences, Éducation et Société du Groupe INSA : Les P’tits Déjeuners de la Science.

Prochain rendez-vous le 24 Juin 2010 au Palais de la Découverte à Paris.

Au programme les intervenants suivants :

Philippe Vivien, DRH et Membre du
comité Exécutif d’Areva – Invité d’honneur
Stéphane Jobert, PDG de Kuribay HR Consulting
Gérard Duwat, Responsable de l’Observatoire des Ingénieurs CNISF
Charles Gadéa, Sociologue et Directeur du Laboratoire Printemps – CNRS

APCE, plan stratégique 2010-2012

Un objectif : INSCRIRE LA CREATION D’ENTREPRISE DANS LE QUOTIDIEN DES FRANCAIS

L’APCE présente son deuxième Plan stratégique après celui de 2006-2008 pensé par René Ricol, alors Président. Il définissait de nouvelles
missions à l’Agence : accompagnement des transmissions d’entreprises et appui aux collectivités locales. Les objectifs de ce Plan ont été atteints par son successeur, Jean-Claude Volot qui,
en présentant le nouveau plan stratégique 2010-2012, entend répondre aux évolutions sociétales, au contexte économique et aux réformes mises en place par l’Etat.

Inciter à l’entrepreneuriat et poursuivre le succès de l’auto-entrepreneur

L’APCE a pour mission de stimuler l’esprit d’entreprendre en France, faire émerger des publics variés d’entrepreneurs et diffuser le plus
largement une information qualitative sur la création d’entreprise.

Pour remplir cet objectif, les experts de l’Agence porteront une attention particulière à la promotion de l’acte d’entreprendre dans
l’enseignement secondaire et supérieur ainsi qu’à une collaboration avec les différents ministères concernés afin que la création d’entreprise soit reconnue comme une véritable démarche
d’intégration.

L’APCE souhaite également s’attaquer à la peur de l’échec, perçu négativement en France. En prenant exemple sur nos voisins, l’Agence s’engagera dans une voie de valorisation des projets entrepreneuriaux comme atout de carrière.

Plusieurs actions sont définies pour répondre à ces objectifs :

–         création d’un pôle « esprit d’entreprendre » au sein de l’APCE doté d’un budget spécifique,

–         création et animation d’un comité Synergies entrepreneuriat pour la promotion de l’esprit
d’entreprendre chez les jeunes avec la diffusion de contenus adaptés sur le site Internet de l’APCE,

–         utilisation de témoignages d’entrepreneurscomme valeur d’exemplarité,

–         mise en place d’évènements mobilisateurs autour de la création d’entreprise dans la population,

–         enrichissement par des contenus spécifiques dédiés à « la prévention des difficultés »que peuvent rencontrer les entrepreneurs.

Faciliter les projets entrepreneuriaux

La problématique de l’accompagnement est au cœur des démarches de la création d’entreprise, notamment pour les auto-entrepreneurs. Si les simplifications administratives et financières ont permis un élan entrepreneurial en France, une majorité de ces nouveaux entrepreneurs semble ne pas avoir intégré la nécessité de se faire
accompagner dans le montage et la gestion de leur activité. L’APCE va mettre en place une veille spécifique pour appréhender l’évolution de ces nouveaux entrepreneurs et développer des outils adaptés.

Le site de l’APCE, leader des sites nationaux sur la création d’entreprise avec plus de 8 millions de visiteurs distincts en 2009, se situe également dans les premiers rangs au niveau international.

Pour répondre aux enjeux technologiques et toucher des publics plus larges, l’Agence va développer un site web accessible aux mobiles,
complément pertinent pour le créateur qui pourra construire son projet en ligne et l’actualiser à tout moment.

Pour connaître davantage les besoins des utilisateurs, l’Agence lancera également une mesure qualitative de son site Internet.

Différentes missions seront menées pour satisfaire les ambitions de l’APCE :

–         mise en place d’une plate-forme collaborative nationale pour des échanges entre porteurs
de projet,

–         développement d’une application mobile pour retrouver le contenu existant du site sur
téléphone,

–         évaluation des outils mis en place par l’Agence et des attentes des utilisateurs.

Aider au développement des
projets entrepreneuriaux

Un travail nécessaire est à mener pour ancrer les entreprises dans une logique de développement de croissance dès leur création. Il devra
s’effectuer grâce à des outils adaptés pour les créateurs (en particulier les auto-entrepreneurs) et pour les opérateurs de terrain qui pourront identifier les projets disposant d’un fort
potentiel, notamment en matière d’embauche.

Afin de remplir les objectifs énoncés, plusieurs actions seront menées :

–         développement des outils spécifiques destinés aux auto-entrepreneurs : un kit d’aide
au développement, notamment pour le passage à un statut d’entreprise classique, des formations adaptées « auto-entrepreneurs » pour les collaborateurs des réseaux, des outils de
simulation, de diagnostic et d’aide à la décision en ligne,

–         proposition de processus de détection et d’accompagnement des entrepreneurs à potentiel à
l’Etat, aux collectivités territoriales, aux réseaux d’accompagnement, aux banques, etc.

Pour Jean Claude Volot, Président du Conseil de l’APCE : « Dans un monde en évolution permanente, ce sont les énergies positives, la créativité, les convictions, la volonté d’entreprendre qui font la vitalité d’une société. Plus que jamais nous devons convaincre les Français, et spécialement les jeunes, que créer son entreprise est possible, accessible, passionnant. Il faut mettre en valeur la création de richesse, qui seule sous-tend l’emploi. »

Prévention du stress et bien-être au travail : Quel nouveau rôle pour les managers ?

L’ANVIE organise prochainement un Groupe de travail

Prévention du stress et bien-être au travail : Quel nouveau rôle pour les managers ?

Les 10 juin, 22 juin et 6 juillet 2010, Paris

Animateur scientifique : Alain d’Iribarne,
Directeur de recherche au CNRS

Témoignages de professionnels : AXA FRANCE, LAFARGE,
RENAULT, RHODIA, ROCHE

Programme des séances interentreprises :

Pour une approche globale du stress : comment améliorer le diagnostic et la prévention ?

Sur quels leviers (cultures d’entreprise, de métiers…) s’appuyer pour prévenir le stress lié au changement ?

Préparer les managers à leur nouveau rôle dans la prévention et la gestion du stress au travail

Objectif : Ce groupe de travail a pour objectif d’établir, sur la base du partage d’expériences, une méthodologie de diagnostic du stress au
travail prenant en compte l’organisation; et d’identifier les actions de formation adaptées pour les managers.

 

Plus d’informations :

Tél. : 01.42.86.68.90

information@anvie.fr

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CONCOURS « 10 IDEES POUR L’AFRIQUE DE DEMAIN »

DATE LIMITE : 30 AVRIL 2010

 

Dans le cadre du Cinquantenaire des indépendances africaines, le Secteur des sciences sociales et humaines de l’UNESCO (SHS) lance un « Appel à idées » autour de
propositions prospectives favorisant le développement de l’Afrique dans les 10 ans à venir.

Parmi les propositions, qui devront être soumises avant le vendredi 30 avril 2010 à minuit (heure de Paris), 10
idées seront sélectionnées par un jury international et seront présentées par leur auteur(e) lors de 10 mini-conférences qui se tiendront au Siège de l’UNESCO, au mois de juin 2010.

Ces 10 contributions à la réflexion sur le devenir de l’Afrique seront également publiées sous la forme d’un numéro
spécial du magazine SHSregards.

Chaque proposition devra développer 1 idée qui permettrait d’amplifier les effets positifs et de réduire, ou de
contenir, les impacts négatifs des principales tendances observées en Afrique dans 1 des 10 domaines suivants :

 

Thème 1 :Economie et développement (environnement, sécurité alimentaire, nouvelles technologies de l’information et
de la communication…)

Thème 2 : Gouvernance, politique, institutions, leadership

Thème 3 :Intégration régionale, population, migrations, urbanisation

Thème 4 : Identités culturelles (langues, religions…)

Thème 5 : Jeunesse

Thème 6 : Droits humains, genre et justice

Thème 7 : Diaspora

Thème 8 : Paix, sécurité et conflit

Thème 9 : Santé, éducation et développement social

Thème 10 : Relations internationales

 

Chaque proposition devra notamment détailler ce qui pourrait constituer « l’agent de changement » porteur de
l’amplification des effets positifs d’une ou de plusieurs tendances avérées dans le domaine concerné et qui serait à même de mettre en œuvre l’idée soutenue.

Sur le plan formel, le (la) contributeur (trice) s’en tiendra à 1 seule idée dans 1 seul domaine en précisant
clairement lequel.

Les textes, qui peuvent être rédigés en anglais, en espagnol ou en français, compteront un maximum de 4 pages de
1500 signes (caractères espaces compris) et ne pourront donc excéder 6000 signes au total (920 mots).

Chaque contribution reçue devra, par ailleurs, être accompagnée d’un Curriculum Vitae du (de la) contributeur
(trice) qui n’excèdera pas 1 page de 1500 signes, ainsi que d’une photographie d’identité au format requis pour l’établissement de documents officiels du type passeport (scannée à + de 300 DPI si
transmise par courrier électronique).

Au cas où un collectif d’auteur(e)s souhaiterait répondre à cet appel, il conviendra de résumer les Curriculum Vitae
de chaque membre du collectif dans 1 page de 1500 signes maximum en commençant par celui du (de la) représentant(e) du collectif qui serait invité (e) à présenter l’idée soutenue au Siège de
l’UNESCO, à Paris (France),si la contribution était sélectionnée. Une photographie d’identité de chaque membre du collectif sera également jointe selon les modalités mentionnées ci-dessus.

Les personnes ou collectifs désirant participer au concours « 10 idées pour l’Afrique de demain » sont invité(e)s à
transmettre leur contribution, par courrier électronique ou postal, avant le vendredi 30 avril 2010 à minuit (heure de Paris), à l’adresse suivante :

 

UNESCO-SHS

Concours « 10 idées pour l’Afrique de demain »

1 rue Miollis

75732 Paris cedex 15 – France

Courriel : shs@unesco.org

 

Pour plus de précisions sur ce concours, merci de contacter :

M. Arnaud DROUET, a.drouet@unesco.org, tél. : +33 1 45 68 38 24

Les chercheurs en gestion parlent dans le Mag des Sciences de Gestion

Le Mag des Sciences de Gestion est un magazine d’analyse et d’information couvrant l’ensemble des domaines des sciences de gestion. Ce trimestriel, créé en janvier 2010 et diffusé par « la revue des revues » (www.revuedesrevues.fr) a pour vocation de proposer une nouvelle lecture des travaux académiques en sciences de gestion, dans une perspective de vulgarisation scientifique et de prise de position de la communauté des chercheurs en gestion vis-à-vis des questions de sociétés. Il est né de la volonté de quatre doctorants de développer et de faire connaitre leur discipline. Ce premier numéro est constitué d’un dossier thématique d’actualité, traitant de la souffrance au travail dans les organisations et d’un article faisant écho à la tragédie Haïtienne, sur la logistique humanitaire.

Pour diffuser les connaissances produites par les sciences de gestion

Le Mag des Sciences de Gestion est guidé par la volonté d’offrir une plateforme ouverte, gratuite et collective répondant aux exigences d’une science accessible à tous. L’hyperspécialisation des domaines de recherche, oblige aujourd’hui les chercheurs en sciences de gestion, à dépasser la dichotomie entre activités de création et de diffusion du savoir, s’ils souhaitent améliorer la visibilité de leurs recherches. La diffusion des travaux universitaires auprès des praticiens du management, ou dans une visée d’information du public, passe par la création d’un média capable d’éviter les écueils d’une simplification abusive des travaux académiques ou d’un savoir élitiste inaccessible à ses destinataires immédiats. L’ambition du Mag des Sciences de Gestion est dans ce cadre, de donner l’opportunité aux chercheurs de la discipline d’être les acteurs d’une vulgarisation appropriée de leurs travaux et des connaissances qu’ils
produisent sur les organisations.

Pour que les sciences de gestion prennent part au débat public

A cette ambition de vulgarisation scientifique, s’ajoute le désir de faire du Mag des Sciences de Gestion un lieu d’expression de points de vue critiques sur les techniques de management, les organisations contemporaines et leurs interactions avec la société. En ce sens, le magazine souhaite regrouper les opinions des universitaires en sciences de gestion, dans le respect de la diversité des orientations politiques et de la rigueur des analyses, afin de contribuer à l’émergence d’un débat public sur la gestion des organisations. Ainsi, Le Mag des Sciences de Gestion souhaite stimuler la capacité de la communauté des sciences de gestion à prendre position sur des questions de société (LOLF, crise financière, pôles de compétitivité, RSE, etc.), desquelles elle a jusqu’alors été médiatiquement absente, contrairement à celles des économistes et des sociologues.

Contact :

lequipe@revuedesrevues.fr

contact@lemag-gestion.fr

Hausse du niveau d’activité enregistré par les auto-entrepreneurs

Au 31 décembre 2009, l’INSEE comptabilisait 320 019 demandes de création en auto-entrepreneur.
Parmi eux, 153 700 auto-entrepreneurs se sont inscrits au cours du 1er semestre. Conformément à la règlementation, seuls ces 153 700 auto-entrepreneurs inscrits au premier semestre devaient
déclarer leur chiffre d’affaires lors de l’échéance du 31 octobre 2009.

En novembre 2009, une estimation provisoire de l’ACOSS avait évalué à 383 millions d’euros le chiffre
d’affaires généré au cours des 3 premiers trimestres par les auto-entrepreneurs s’étant créés au cours du premier semestre 2009.
Ces données provisoires  viennent
d’être révisées à la hausse par l’ACOSS, notamment pour tenir compte des déclarations retardataires. Le chiffre d’affaires généré par les auto-entrepreneurs qui se sont créés au premier semestre
s’élève finalement d’après l’ACOSS non à 383 millions d’euros mais à 499 millions d’euros au titre des trois premiers trimestres de l’année :
61 millions d’euros au titre du 1er trimestre, 169 millions d’euros au titre du 2e et 269 millions au titre du 3e trimestre.

La progression du chiffre d’affaires devrait se poursuivre au 4e trimestre de l’année 2009,
d’autant que le nombre de créations d’auto-entreprises enregistre une forte accélération depuis l’été 2009.  

Hervé NOVELLI confirme que les auto-entrepreneurs devraient générer près d’un milliard d’euros de
chiffre d’affaires en 2009, ce qui montre le dynamisme des auto-entrepreneurs et le succès du régime.

 

NB :
le chiffre d’affaires total généré par l’ensemble des auto-entrepreneurs au titre de l’année 2009 sera connu en mai 2010, la date limite de dépôt des déclarations effectuées par les
auto-entrepreneurs ayant créé leur entreprise au quatrième trimestre 2009 étant le 30 avril 2010. Des données provisoires relatives au chiffre d’affaires annuel des auto-entrepreneurs s’étant créés
avant le 31 octobre 2009 seront disponibles dans la deuxième quinzaine de février.

Comité national des Etats Généraux de l’Industrie

« Redonner au pays une ambition industrielle nationale »

 

Christian ESTROSI, ministre chargé de l’Industrie, a assisté aujourd’hui à la réunion de clôture du
Comité national des Etats Généraux de l’Industrie présidée par Jean-François DEHECQ.

Le Président du Comité national, qui réunit 44 personnalités de haut niveau, a présenté à Christian
ESTROSI à l’occasion de cette dernière réunion de travail le projet de rapport qui vise à « redonner au pays une ambition industrielle nationale ». Le rapport final sera publié avant la
fin de la semaine, après la prise en compte des derniers éclairages présentés par chacun.

A l’instar du rapport intermédiaire remis au ministre chargé de l’Industrie début janvier et qui
proposait un regard largement partagé sur le diagnostic et les enjeux, le rapport final est le fruit d’une très large concertation – élus, industriels, partenaires sociaux, élus locaux,
économistes, chercheurs, banquiers … – sur l’ensemble du territoire.

Christian ESTROSI a déclaré : « Trois mois de travaux sur l’ensemble du territoire, plus de
5000 participants, plus de 250 réunions organisées partout en France, plus de 800 propositions d’actions… je me réjouis de cette mobilisation sans précédent autour de l’industrie. Chacun a
contribué de manière constructive, animé d’une même conviction : réhabiliter ensemble l’industrie française ».

Sur la base
du rapport final et à la demande du Président de la République, Christian ESTROSI engagera dès la semaine prochaine une concertation avec les partenaires sociaux salariés et patronaux afin de
dégager les priorités qu’il proposera au Président de la République et au Premier ministre. Suite à ces échanges, le Président de la République présentera sa vision sur l’industrie et annoncera les
mesures qu’il retiendra d’ici la fin février.