Archives de catégorie : Actualité de la gestion

Nouveaux membres de la Halde

Jeannette
Bougrab
est nommée présidente de la HALDE par le Président
de la République, par décret du 16 avril 2010.

 

Ce décret porte également nomination de :

 

  • Par le Président de la
    République
     : Eric Molinié, Conseiller Affaires Economiques et Handicap auprès du Président de EDF, ancien Président de l’Association française contre les
    myopathies ;
  • Par le Président du
    Sénat
     :

    • Cécile
      Petit,
      Premier avocat général à la Cour de cassation,
      ancienne Déléguée interministérielle à la sécurité routière ;
    • Mansour
      Zoberi,
      Directeur de la promotion de la diversité et
      de la solidarité du groupe Casino ;
  • Par le Président de
    l’Assemblée nationale
     :

    • Yazid
      Chir,
      Président de la société Neocles, du Medef 93
      Ouest et de l’association « Nos quartiers ont des Talents » ;
    • Maryvonne
      Lyazid
      , Directrice adjointe de la Fondation Caisses
      d’Epargne pour la Solidarité, Co-directrice du Master « Gestion et politiques du handicap » à Sciences Po Paris.

Les membres dont le mandat se poursuit, sont :

  • Catherine
    Chouard,
    Présidente de Catherine Chouard Conseil, ex-DRH
    Groupe Elior, GrandVision, DHL International ;
  • Jean-Yves
    Monfort
    , Conseiller à la Cour de cassation ;
  • Marie-France
    Picart
    , Directrice associée de Prodiovisuel
    international, experte conseil en communication et médias, ancienne Grande Maîtresse de la Grande Loge Féminine de France ;
  • Olivier
    Rousselle
    , Conseiller d’Etat ;


Adolphe Steg
,
Professeur de médecine, chirurgien urologue, membre du Conseil économique, social et environnemental

Pierre BRAJEUX élu Président du Medef Hauts-de-Seine

Lors du conseil d’administration du Medef Hauts-de-Seine qui s’est tenu mercredi 15 janvier 2014, Pierre BRAJEUX, Président Directeur Général
de TORANN‐FRANCE, a été élu Président du Medef Hauts-de-Seine, succédant à Agnès LO JACOMO, élue Présidente du Medef Ile-de-France.

Pierre BRAJEUX a créé en 1987 TORANN‐FRANCE, société de sécurité privée qui compte aujourd’hui plus de 1 200 collaborateurs, dont le
siège est situé à La Garenne-Colombes. 

Impliqué depuis de nombreuses années dans la défense et la représentation des entreprises, il appartient au
conseil d’administration du Medef Hauts‐de‐Seine et de Métra 92.

Président de USP – Formation, il préside également le Cercle des Dirigeants Propriétaires de Sécurité
(CDPS).

Colonel de réserve (RC) de la Gendarmerie Nationale, il s’engage fortement dans la réflexion sur la sécurité
globale à travers la participation à différents groupes de travail publics et privés.
Auditeur de la 17e session nationale de l’INHES, il intervient aussi au sein de différents programmes de formation de l’INHESJ (Institut National des Hautes Etudes de la Sécurité et de la
Justice), de l’Université Paris‐ Descartes et de l’E.O.G.N. (Ecole des Officiers de la Gendarmerie Nationale).

Pierre Brajeux est diplômé de Sciences‐Po (Institut d’Etudes Politiques de Paris, section économique et
financière), de l’Université de Cambridge, de la Chambre de Commerce Franco‐Britannique et titulaire d’une maîtrise de droit des affaires (Université de Paris II‐Assas).

Pierre BRAJEUX a remporté l’élection en mettant en avant les priorités suivantes : Continuité des travaux
initiés par Agnès LO JACOMO, intensification de la représentativité du Medef Hauts-de-Seine, développement de la communication, relais des grands chantiers lancés par Pierre GATTAZ,
implication dans les dossiers régionaux – Métropole du Grand Paris, logement, formation – mise à l’honneur des mandataires.

Il sera aidé dans sa mission par deux Vice-Présidents :

 

Patrice PUYPEROUX, PDG de CPLC à Neuilly et Benoît SILLARD, PDG du groupe CCM BENCHMARK à Boulogne

Philippe Naszalyi élu nouveau président de la Conférence de Territoire de l’Essonne

Philippe NaszalyiPhilippe Naszalyi a été élu ce 7 novembre, Président de la Conférence de Territoire de l’Essonne de l’Agence régionale de Santé (ARS)

Il succède au Dr Marc Pulik, directeur-général de l’Hôpital de Bligny qui a intégré au siège de l’ARS, le Pole « offre de soins et médico-sociale ».

Directeur de La Revue des Sciences de Gestion (http://larsg.over-blog.com) depuis 1989, Philippe Naszalyi est Professeur des Universités associé à l’Université d’Evry-Val d’Essonne, où il dirige les formations professionnelles sanitaires et sociales et développement territorial (http://deust.hautetfort.com).

Docteur en économie, il a fait sa thèse sur la gouvernance démocratique dans une fédération de mutuelles de santé et il effectue ses recherches en ESS sur les organismes sanitaires et sociaux notamment.

Il a de nombreux engagements dans les structures du handicap et de l’aide à la personne vulnérable.

L’Agence Régionale de Santé (ARS) est la clef de voûte de l’organisation prévue par la Loi « Hôpital Patients Santé Territoires » du 21 juillet 2009 (article 118). Elle est dirigée par son directeur général, Claude Evin. L’ARS est un interlocuteur unique chargé du

pilotage du système de santé et de la mise en œuvre de la politique de santé publique dans la région.

L’ARS dispose de délégations territoriales dans chacun de ses départements. Cette organisation ancrée dans les territoires assure une action au plus près des besoins de la population.

Chaque conférence de territoire qui correspond au territoire d’un département, est composée des représentants des toutes les catégories des acteurs intervenants dans le système de santé. Ils sont répartis en 11 collèges (établissements de santé, personnes

morales gestionnaires des services et établissements sociaux et médico-sociaux, organismes œuvrant dans les domaines de la promotion de la santé et de la prévention ou en faveur de l’environnement et de la lutte contre la précarité, professionnels de santé

libéraux, centres de santé, maisons de santé, pôles de santé et réseaux de santé, établissements assurant des activités de soins à domicile, services de santé au travail, usagers, collectivités territoriales, ordre des médecins, personnalités qualifiées).

La conférence de territoire a pour principale missions :
· de faire remonter et formuler les besoins locaux de santé
· d’émettre les propositions au Directeur Général de l’ARS
· de participer à l’élaboration du Projet Régional de Santé (PRS)

La conférence de territoire contribue à mettre en cohérence les projets territoriaux sanitaires avec le projet régional de santé et les
programmes nationaux de santé publique.

Elle a également la possibilité d’établir des contrats locaux de santé avec l’ARS, les collectivités territoriales et leurs groupements.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Naszalyi

Victor Amselem et Robert Dambo deviennent Directeurs Généraux de Grant Thornton en France


Victor-Amselem.jpg
Victor Amselem,
52 ans, est
Expert-comptable et Commissaire aux comptes, Associé au sein de Grant Thornton France depuis 1991. Directeur des activités Audit à Paris, il est responsable de missions de Commissariat aux
comptes notamment auprès de sociétés cotées. 
Victor Amselem a également lancé en 2004 les activités de Business Risk Services de Grant Thornton en France, en privilégiant le volet de Conseils attendus
par les entreprises dans ce domaine.


Robert-Dambo.jpg
Robert Dambo,
52 ans, est Expert-comptable et Commissaire aux comptes. Associé au sein de Grant Thornton France depuis 1994, il a dirigé le
bureau de Roanne, puis celui de Lyon en prenant également en 2006 la direction du pôle régional Rhône-Alpes. Il dispose d’une expérience mixte, partagée entre le métier de l’audit (sociétés
cotées ou non), et les métiers duConseil (Expertise Conseil, Transaction Advisory Services, avec à titre d’exemple, la création en 2006 de l’activité TAS en région Rhône-Alpes).
Il est en outre Expert Judiciaire près la Cour d’Appel de Lyon.

La nouvelle Direction Générale, composée de Daniel Kurkdjian, Président, Victor
Amselem
et Robert Dambo, Directeurs Généraux, sera ainsi en charge de piloter le déploiement de la stratégie sur l’ensemble du territoire. Dans le cadre de leurs
nouvelles fonctions, le deuxième aura la charge de l’ensemble des activités sur le périmètre parisien ainsi que la Direction du Capital Humain ; alors que le premier, quant à lui, sera en charge
de l’ensemble des activités régionales ainsi que de la Direction du Développement. Grâce à leur complémentarité, ils animeront ensemble le déploiement des activités et des offres de services du
Groupe.

Jean-Luc Carpentier, membre du Comité de Direction, prend en main la Direction du Business Développement
pour l’ensemble de Grant Thornton en France.

Cette évolution de Gouvernance répond à une logique de continuité, les deux Directeurs Généraux exerçant depuis de
nombreuses années au sein de Grant Thornton.

Leur parfaite connaissance de l’organisation et des métiers du groupe, ainsi que leur engagement de longue date,
apporteront un dynamisme supplémentaire aux actions liées au plan de développement ambitieux que mène Grant Thornton, tant en France qu’à l’international. Grant Thornton en France déploie
aujourd’hui ses activités à travers 22 bureaux, grâce à un effectif de 1 400 collaborateurs dont 105 associés.

 

www.grant-thornton.fr


Grant-Thornton.jpg

FNEGE : Remise du Prix de la meilleure thèse de gestion

Comme chaque année, la FNEGE attribue des prix de thèses destinés à distinguer les meilleurs travaux doctoraux en gestion en langue française, en privilégiant cette année les recherches qui constituent un véritable apport pour l’entreprise.La cérémonie de remise des Prix de Thèse s’est déroulée le mardi 11 juin 2013 à 12h30, dans les locaux de la FNEGE.

Prix de la Meilleure Thèse de Gestion

– FNEGE – ADERSE : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Responsabilité Sociale de l’Entreprise a été décerné à Olivier CRETTE, pour sa thèse : « L’incidence des facteurs socioculturels dans le reporting financier et le reporting sociétal : Un essai de comparaison entre la France et l’Allemagne ».

– FNEGE – AFC : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Comptabilité a été décerné à Ludivine REDSBLOB, pour sa thèse : « Construction de l’identité professionnelle des contrôleurs de gestion dans un milieu où la performance financière est “en quête de légitimité” : le cas des armées françaises ».

– FNEGE – AIMS : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Stratégie a été décerné à Marine AGOGUE, pour sa thèse : « Modéliser l’effet des biais cognitifs sur les dynamiques industrielles ».

– FNEGE – AFM : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Marketing a été décerné à Victor DEMIAN MEJIA, pour sa thèse : « Modélisation de la recherche de variété intramarque »

– FNEGE – AFFI : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Finance a été décerné à Jean-Noël BARROT, pour sa thèse : « Essays in Empirical Financial Economics »

– FNEGE – AEI : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Entrepreneuriat et Innovation a été décerné à Anne BERTHINIER-PONCET, pour sa thèse : « Gouvernance et innovation dans les clusters à la française. Une approche par les pratiques institutionnelles »

– FNEGE – AGRH : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Ressources Humaines a été décerné à Mohamed KARIM, pour sa thèse : « L’appropriation du tachygraphe numérique par les conducteurs d’une société privée de transport public de voyageurs »

– FNEGE – AIM : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Systèmes d’Information a été décerné à Aurélie GIRARD, pour sa thèse : « L’intégration des médias sociaux dans les stratégies d’e-GRH : le cas du recrutement »

– FNEGE – ARAMOS : Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion en Santé a été décerné à Stéphanie GENTIL, pour sa thèse : « Gérer l’évènement dans un contexte d’industrialisation des soins. Une approche par l’activité de la coordination au bloc opératoire »

– Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion Transversale a été décerné à Mathieu FLOQUET, pour sa thèse : « Entre silence et parole : Evolution de la diffusion d’information comptable et financière aux salariés et représentants de salariés de 1884 et 1982. Le cas de trois entreprises sidérurgiques françaises »

– Le Prix de la Meilleure Thèse de Gestion pour Publication a été décerné à Hélène PETON, pour sa thèse : « Mouvements sociaux et processus de désinstitutionnalisation. Le cas de l’amiante en France »

Le principe « silence de l’administration vaut accord » adopté à l’unanimité au Sénat

Marylise Lebranchu, Ministre de la réforme de l’Etat, de la décentralisation et de la fonction publique, se félicite de l’adoption à l’unanimité par le Sénat du projet de loi
habilitant le gouvernement à simplifier les relations entre l’administration et les citoyens par ordonnances.

Le Sénat a notamment voté l’amendement du gouvernement instaurant le principe selon lequel le « silence de
l’administration vaut accord », emblématique du « choc de simplification » souhaité par le Président de la République. Cette révolution juridique facilitera et accélérera les projets de
développement publics ou privés et améliorera la réactivité des services administratifs en charge de veiller au respect des procédures légales.

Le texte voté au Sénat prévoit, en outre, l’instauration d’un droit de saisine de l’administration par courrier
électronique et la codification de toutes les règles non contentieuses régissant les relations des citoyens avec l’administration.

Marylise Lebranchu a rappelé devant les sénateurs que « le
choc de simplification annoncé par le Président de la République le 28 mars 2013 est au cœur de l’amélioration de la compétitivité hors coût de notre pays, comme l’ensemble de la démarche de
modernisation de l’action publique. Nous avons besoin d’une action publique forte, au service du quotidien et de l’avenir des Français, sur tous les territoires. Elle sera d’autant plus forte et
efficace qu’elle sera simple et coordonnée.
»

 

Après le projet de loi habilitant le gouvernement à adopter des mesures législatives pour accélérer les projets de
construction porté par la Ministre de l’égalité des territoires et du logement, il s’agit du deuxième texte autorisant le gouvernement à procéder par ordonnances pour simplifier les normes et les
démarches administratives. L’assemblée Nationale examinera ce projet de loi à l’automne.

republique-francaise

Bien s’associer pour mieux entreprendre

Devenir son propre patron, c’est le rêve de beaucoup d’entre nous ! Et pour le concrétiser, on
envisage souvent de s’associer avec une personne de confiance : un ami, son conjoint, un ancien collègue… Certes, l’amitié est là… Mais après ? Que se passera-t-il si l’entente et la vision de
l’entreprise ne durent pas ?

Grâce à cet ouvrage, très riche en
témoignages, vous aurez toutes les clés pour partir sur de bonnes bases. Apprenez comment…

Trouver le
bon associé :
 comment tester la compatibilité entrepreneuriale avec votre potentiel associé ? Quelles sont les bonnes questions
à se poser ?

Démarrer dans
les règles de l’art :
 quels statuts (SARL, SAS…) ? Comment faire un pacte d’associés ? Quelle est la juste
rémunération ?

Ajuster la
relation avec son associé :
 préserver le vivre ensemble, apprendre la négociation raisonnée, développer son
assertivité…

Se séparer en minimisant la casse
 si les chemins de vie
divergent.

Commander 

http://www.editionsleduc.com/images/thumbnails/0000/1381/Bien_s_associer_pour_mieux_entreprendre_large.jpg?1355995103

4e colloque international Fiscalité, Droit et Gestion, reporté au 6 et 7 décembre 2012

L’Institut de Gestion de Rennes (IGR-IAE)
&
l’Université Cadi Ayyad de Marrakech

organisent le 4e colloque
international 
Fiscalité, Droit et Gestion

sur le thème
« Dynamiques sociales et entreprises
patrimoniales et familiales : regards croisés Europe – Maghreb »

Prévu initialement les 28 et 29 juin à Marrakech, le colloque a été reporté au 6 et 7 décembre, toujours à Marrakech

 

Lieu du colloque
Les informations
sont disponibles sur le site de l’IODE :
www.iode.univ-rennes1.fr

L’avenir professionnel des jeunes : une mobilité revendiquée mais difficile à assumer !

  • Près d’un jeune actif sur deux estime ne pas avoir recours à sa formation universitaire dans l’exercice
    de son travail (45%)
  • 52% des jeunes actifs jugent rétrospectivement avoir été bien préparés à leur entrée sur le marché du travail
  • Au final, « si c’était à refaire », 60% des jeunes Français portent un regard positif sur leur parcours scolaire
  • La majorité des jeunes interrogés envisagent leur carrière dans les limites d’un même secteur d’activité (63%), la moitié d’entre
    eux la conçoive dans une même profession (54%) et uniquement 30% s’imaginent évoluer au sein d’une même entreprise
  • 88% des moins de 20 ans et 91% des étudiants et lycéens se disent prêts à changer de région, et 70% des premiers sont disposés à
    déménager à l’étranger, de même que 77% des seconds
  • Les trois quarts des moins de 30 ans préfèreraient attendre de trouver un emploi avant de rechercher un logement (78%) et sont prêts
    à déménager pour se rapprocher de leur lieu de travail (74%)
  • 66% des jeunes interrogés déclarent pouvoir renoncer à un poste en raison de l’éloignement géographique, et 21% ont déjà été amenés
    à le faire.

Rumeur Publique Prospective annonce aujourd’hui les résultats de son enquête réalisée par l’Ifop sur les jeunes âgées de 18 à 30 ans et leur
perception du monde du travail, de la mobilité professionnelle et des problématiques de logement.

Un décalage important entre les attentes des étudiants et la réalité de
l’emploi

En France, près d’un jeune actif sur deux estime ne pas avoir recours à sa formation universitaire dans l’exercice de son travail (45%).
Pourtant, paradoxalement, plus des trois quarts des jeunes sur le point d’entamer leur vie active imaginent qu’ils vont occuper un poste qui leur permettra d’appliquer leurs connaissances
scolaires (79%). L’inadéquation entre le métier et le cursus scolaire est très flagrante chez les moins de 21 ans, ils sont 60% à faire ce constat. On observe que plus d’un bachelier sur deux
partagent cet avis (52%), contrairement aux détenteurs d’un diplôme supérieur (36%).

Les jeunes encore scolarisés ou à la recherche d’un premier emploi se disent majoritairement confiants dans leurs chances de trouver un poste
correspondant à leurs souhaits (61%) courte majorité de jeunes actifs donnent raison à cet optimisme, 56% des jeunes sur le marché du travail déclarent occuper un poste conforme à leurs souhaits
d’étudiants.

Les étudiants et les jeunes actifs se rejoignent sur une appréciation mitigée de la qualité de la préparation à la vie professionnelle durant le
temps des études. 52% des actifs jugent rétrospectivement avoir bien été préparés à leur entrée sur le marché du travail, et 49% des étudiants et inactifs déclarent se sentir armés pour une telle
étape. La majorité des jeunes cadres (69%) et des actifs diplômés d’études supérieures avancées (61%) partagent le sentiment d’avoir été bien préparés à leur entrée dans la vie active.

Au final, « si c’était à refaire », 60% des jeunes Français portent un regard positif sur leur parcours scolaire. Néanmoins, si plus de trois
quart des étudiants et lycéens choisissaient le même cursus (77%), seule une courte majorité de jeunes actifs suivraient la même voie (56%). Les plus jeunes sont peu nombreux à reconsidérer leur
formation, pour beaucoup encore inaboutie : 72% des moins de 20 ans ne changeraient pas de cursus. Avec les années, les jeunes sont pourtant moins catégoriques : près de la moitié des 25-30 ans
opteraient pour des choix différents (51%). De manière attendue, les jeunes actifs au chômage (74%) ainsi que ceux à la recherche d’un premier emploi (57%) sont plus nombreux à se remettre en
question.

Une vision dynamique de la carrière, ouverte sur d’éventuelles
réorientations

La majorité des jeunes interrogés envisagent leur carrière dans les limites d’un même secteur d’activité (63%), la moitié d’entre eux la conçoive dans une même profession (54%) et uniquement 30% s’imaginent évoluer au sein d’une même entreprise. Les étudiants et
lycéens se projettent essentiellement dans un secteur d’activité unique (73%) et dans une même profession (61%).
Toutefois, seul un
lycéen ou étudiant sur cinq envisage une carrière au sein d’une même entreprise (21%). Enfin, logiquement, les jeunes actifs au chômage ou ceux à la recherche d’un premier emploi imaginent plus
aisément une carrière ouverte sur plusieurs secteurs, professions et entreprises.

Cette vision dynamique de la carrière professionnelle s’incarne dans un positionnement très favorable à la mobilité professionnelle sectorielle
et géographique. 83% se disent prêts à changer de métier pour des raisons professionnelles et 17% l’ont déjà fait. Presque autant sont disposés à changer de région (79%), et 25% ont déjà été
amenés à le faire. Dans une moindre mesure, 61% des jeunes interrogés seraient disposés à déménager à l’étranger et 11% ont déjà pu vivre cette expérience. Les plus jeunes sont plus ouverts à une
mobilité géographique régionale et internationale que leurs aînés. 88% des moins de 20 ans et 91% des étudiants et lycéens se disent prêts à changer de région, et 70% des premiers sont disposés à
déménager à l’étranger, de même que 77% des seconds. A l’inverse, à l’approche de la trentaine et plus installés dans la vie, les 25-30 ans sont plus réservés que leurs cadets quant à un
déménagement en France (71%) et d’autant plus vers un autre pays (53%).

Le salaire est la première motivation des jeunes actifs et étudiants disposés à une éventuelle réorientation professionnelle (67%), suivi du
poste proposé (55%), et du secteur d’activité (36%). Les jeunes interrogés, se déclarant disposés à la mobilité géographique, changeraient de région avant tout pour un meilleur poste proposé
(67%) ou un meilleur salaire (63%). Ceux prêts à déménager à l’étranger considèrent avant tout l’argument de la rémunération (67%), avant celui du type de poste (61%). De plus, l’envie de vivre
dans cette région (55%) ou dans ce pays (60%) reste un facteur primordial de choix.

La majorité des jeunes interrogés ne font pas preuve d’un grand intérêt pour l’entreprenariat puisque 57% d’entre eux n’ont jamais pensé à créer
leur propre entreprise. Un tiers d’entre eux considèrent cette opportunité à moyen ou long terme (32%), et 11% l’envisagent à court terme. De manière attendue, les jeunes de catégories
socioprofessionnelles supérieures sont plus enclins à se tourner vers la création d’entreprise (64%) que l’ensemble des interrogés (43%). A l’inverse, les moins de 20 ans (32%) ainsi que les
étudiants et lycéens (28%) manifestent peu d’intérêt pour la création d’entreprise (32%).


Des situations de logements divergentes selon l’âge et l’occupation

L’étude dresse un portrait de la situation en termes de logement des jeunes : 36% des jeunes de moins de 30 ans interrogés sont locataires de
leur logement et 32% d’entre eux vivent encore chez leurs parents. Une minorité (16%) est propriétaire de leur logement, 6% vivent en colocation et autant sont logés à titre gratuit alors que
seul 3% occupent un logement universitaire.

Sans surprise, la majorité des moins de 21 ans (61%) et des étudiants et lycéens (52%) vivent chez leurs parents, de même que 72% des personnes
interrogées à la recherche d’un premier emploi. Près de la moitié des jeunes en emploi sont locataires (45%) et un quart d’entre eux sont propriétaires (25%). De plus, de par l’irrégularité du
marché immobilier, les jeunes de région parisienne sont plus nombreux à habiter encore le domicile familial (46%), contrairement à ceux de province (28%).

A noter également que le choix du mode d’habitation relève autant d’un choix personnel (51%) que de raisons financières (49%). 62% des jeunes
interrogés choisissent leur lieu d’habitation selon des considérations pratiques (proximité du lieu de travail,…) tandis que 38% suivent des préférences personnelles.

La corrélation entre le logement et l’emploi s’avère particulièrement importante pour les moins de 30 ans. Les trois quarts d’entre eux
préfèreraient attendre de trouver un emploi avant de rechercher un logement (78%) et sont prêts à déménager pour se rapprocher de leur lieu de travail (74%).

La grande majorité des jeunes résidant chez leurs parents (87%) et des moins de 21 ans (91%) souhaiteraient trouver un emploi avant de
rechercher un logement, ce qui est également le cas pour ceux à la recherche de leur premier emploi (91%). La plupart des jeunes n’ayant pas encore entamé leur vie professionnelle se disent
disposés à déménager pour se rapprocher de leur futur lieu de travail (90% des lycéens et étudiants et 85% de ceux à la recherche d’un premier emploi). Au contraire, ceux qui sont propriétaires
de leurs logements sont moins nombreux exprimer de telles dispositions (61%). De plus, 66% des jeunes interrogés déclarent pouvoir renoncer à un poste en raison de l’éloignement géographique, et
21% ont déjà été amenés à le faire. La distance entre le lieu de travail et le domicile peut devenir un motif de refus d’un emploi pour une majorité des 25-30 ans (69%) et des actifs (66%) déjà
installés professionnellement.

Les jeunes Français de moins de 30 ans estiment que les premiers critères pour décrocher une embauche sont l’expérience (62%) et les études ou
les qualifications (53%) du candidat. 49% mettent en avant les qualités personnelles. Le réseau et les relations apparaissent nécessaires pour un tiers des interrogés (33%), ce qui s’explique,
entre autres, par un marché du travail particulièrement fermé dans le contexte de crise économique actuel. Autant soulignent l’importance de la possession d’un véhicule (33%), alors que 26%
insistent sur la flexibilité du demandeur d’emploi et seuls 7% des personnes interrogées évoquent le fait d’avoir un logement.

 


rumeur-publique-ifop-logo.jpg

L’Institut de l’entreprise

L’Institut de l’entreprise est à l’origine d’un nouveau site, Débat 2007.fr. Son objectif est d’engager le débat autour des enjeux économiques et sociaux qui seront au cœur de l’élection présidentielle de 2007. Débat 2007.fr propose de nombreuses rubriques, régulièrement actualisées : des éléments de diagnostic sur les dossiers clés de 2007, un blog collectif, des chroniques sur l’actualité de la campagne, des chats, des interviews vidéo, des quiz, des sondages en ligne, et même des dessins d’actualité… Pour son premier chat, vendredi 7 avril de 16h30 à 17h30, Débat 2007.fr recevra l’écrivain et économiste Jacques Attali. Il répondra aux questions des internautes sur le thème : « Emploi, recherche, innovation : quels enjeux pour 2007 ? ».

Vous pouvez posez vos questions, pour cela, cliquez ici.

Christian Blanc, député des Yvelines, sera le deuxième invité, le mercredi 12 avril de 16h30 à 17h30.

www.debat2007.fr

Le premier événement du capital risque en France

8e édition – 5 et 6 juillet 2006 – TREMPLIN ENTREPRISES
La 8e édition de Tremplin Entreprises, les 5 et 6 juillet 2006, au Sénat, permettra à trente entrepreneurs innovants de présenter leur entreprise à la communauté du capital risque.

Appel à projets innovants jusqu’au 31 mars 2006

Les entrepreneurs peuvent déposer leur candidature jusqu’au 31 mars 2006. Le dossier d’inscription (un business plan à compléter) est disponible sur le site www.tremplinentreprises.com

Le principal critère d’éligibilité est l’innovation, au sens large.
Les candidats peuvent concourir dans l’une des 4 catégories suivantes : 1) Logiciels ; 2) Services ; 3) Matériaux, composants et systèmes ; 4) Sciences de la vie.

Pourquoi participer à Tremplin Entreprises ?
Lors de l’événement, les 5 et 6 juillet 2006, les trente lauréats présenteront leur projet en public, à deux reprises.
Être lauréat de Tremplin Entreprises permet de donner une plus grande crédibilité à un projet, de gagner en notoriété, de nouer des contacts utiles et de gagner du temps. Les lauréats multiplient ainsi leurs chances de lever les fonds nécessaires au démarrage ou au développement de leur entreprise.
En outre, quatre Grands Prix dotés de 15 000 euros chacun seront décernés au meilleur projet de chaque catégorie, dotés par INRIA-Transfert pour la catégorie Logiciels, Paris EUROPLACE pour la catégorie Services, OSEO pour la catégorie Matériaux, composants et systèmes, et Inserm-Transfert pour la catégorie Sciences de la vie. Un cinquième Prix, le Prix spécial « Jacques et Françoise Douce », doté de 7 500 euros, sera décerné à l’un des trente lauréats par le jury de la Famille Douce.

Les principales dates à retenir
1er février au 31 mars 2006 : Appel à projets innovants
Début mai 2006 : Résultats d’admissibilité
18 et 19 mai 2006 : Grands oraux pour les projets admissibles
5 et 6 juillet (matin) 2006 : Présentation des lauréats, au Sénat.
6 juillet (après-midi)
2006 : Conférences et cérémonie de remise des Grands Prix Tremplin Entreprises 2006.

Retrait des dossiers et inscriptions exclusivement en ligne sur www.tremplinentreprises.com

Frais de dossier : 60 euros TTC (téléchargement gratuit)

Capital-week

Capital-week se déroulera les 3, 4 et 5 avril prochains. Cet événement a pour objectif de rassembler les acteurs de l’innovation au sein d’une semaine dédiée au management de la croissance, au financement de l’innovation et au développement de l’Entrepreneuriat en France.
3 jours pour 3 étapes essentielles dans le parcours de l’entrepreneur…
Plus d’informations et inscriptions : www.capital-workshop.com