400e anniversaire de la ville de Québec

Comme l’a rappelé Jean-Marie Bockel, secrétaire d’Etat chargé de la coopération et la francophonie, en conseil des ministres le 12 mars, 2008 est l’année du 400e anniversaire de la naissance de la ville de Québec. C’est pourquoi, tout au long de l’année, de nombreux événements auront lieu en France et au Québec pour célébrer ces quatre siècles de fraternité partagée. Le programme de cette célébration s’articule en cinq volets : la culture, la francophonie, l’économie, la coopération institutionnelle et la jeunesse.

Parmi les concours de nombreux pays dans le monde, seule la France propose un volet économique et en fait l’une de ses plus importantes contributions à la célébration. Les deux événements phares sont : Futurallia et les rencontres entre les pôles de compétitivité et les créneaux d’excellence.

Deux événements majeurs auront lieu à Québec du 20 au 22 mai pour marquer cette collaboration économique.

FUTURALLIA

Du 20 au 22 mai au Centre des Congrès de Québec

Cette 13e édition prévoit d’accueillir plus de 1000 PME, en provenance d’une trentaine de pays, en accordant une place particulière aux jeunes entrepreneurs et à l’innovation.  Aux côtés des PME, de grandes entreprises et donneurs d’ordre nord-américain et étrangers seront également présents. Cela représente plus de 1000 entreprises pour lesquelles plus de 12 000 rendez-vous qualifiés sont proposés. Ce vaste rassemblement aura de nombreuses retombées économiques bien au-delà du 400e anniversaire.

Rencontre entre les pôles de compétitivité et les créneaux d’excellence

20 et 21 mai en région au Québec, 22 mai à Québec

Il s’agit de renforcer le partenariat en matière de développement technologique, de recherche et d’innovation et de formation professionnelle entre les dix pôles de compétitivités français présents et leurs homologues québécois. Tout d’abord, des rencontres en région sont prévues les 20 et 21 mai suivies par une réflexion stratégique le 22 mai à Québec avec des entreprises et des centres de recherche et de formation.

Le thème de ces échanges sera « environnement et développement durable » dans cinq secteurs d’activité : les sciences et technologies de la mer, les transports terrestres  avancés, les biotechnologies et innovations thérapeutiques, l’aéronautique et les technologies de
l’environnement.

Le club d’entreprises franco-québécois : moteur du volet économique

Le volet économique, bénéficie du soutien des ministères français et québécois en charge de l’économie ainsi que des entreprises privées, par l’intermédiaire du Club d’entreprises franco-québécoises. Ce club, constitué d’entreprises des deux pays propose de nouvelles coopérations économiques qui iront au-delà des célébrations du 400e. Le club d’entreprises est co-présidé par Messieurs Jean-François Dehecq, Président directeur général de Sanofi-Aventis et Laurent Beaudoin, Président de Bombardier.

Le club d’entreprises proposera des conférences, salons professionnels, forums économiques, rencontres qui mobiliseront les grandes entreprises comme les TPE-PME autour de thèmes tels que la mondialisation  ou les pôles de compétitivité.

« Des PME aux grands groupes animateurs de grappes industrielles, plus de mille entrepreneurs s’engageront pour des échanges et des partenariats d’avenir » commente Jean-Pierre Raffarin, président du comité français d’organisation.

Une mobilisation française à la hauteur de l’amitié franco-québécoise

La participation française est placée sous la haute autorité du président de la République et  mobilise de nombreux acteurs dont huit ministères, de grandes entreprises françaises et québécoises ainsi que des associations et collectivités territoriales.

J.-D. TORDJMAN nommé Ambassadeur Délégué aux Pôles de Compétitivité

Afin de soutenir de manière opérationnelle la stratégie internationale des 71 Pôles de compétitivité créés depuis
2005 en France, de renforcer leurs coopérations internationales effectives et d’y attirer de nouvelles entreprises, Bernard KOUCHNER, Ministre des Affaires Etrangères et
Européennes, Christine LAGARDE, Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi ont nommé Jean-Daniel TORDJMAN, Ambassadeur aux Pôles de compétitivité.

Jean-Daniel
TORDJMAN a été notamment Conseiller pour les Affaires Internationales au Ministère de la Recherche et de la Technologie, Ministre Plénipotentiaire pour les affaires économiques et commerciales à
l’Ambassade de France à Washington de 1985 à 1992, Ambassadeur Délégué aux Investissements Internationaux de 1992 à 1999, Vice-président Exécutif de Trader.com, groupe international de
communication, et Inspecteur Général des Finances.

L’énergie renouvelable des Pionnières

L’incubateur au féminin de services innovants Côte d’Azur Pionnières, en partenariat avec le CERAM Business School et le Conseil Régional
Provence Alpes Côte d’Azur vient de lancé.

“Côte d’Azur Pionnières se positionne ainsi en complément des acteurs existants des Alpes Maritimes et de la région PACA et constitue l’un
des maillons manquants de la création d’entreprise innovante dans le domaine des services. L’implantation d’une telle structure aura un effet accélérateur sur l’entrepreneuriat au féminin et
contribuera à la création d’emplois non délocalisables”.

Le Conseil d’Administration est composé de personnalités comme Alice Guilhon, Michel Bernasconi, Annie Prodhomme, Dany Hayer et présidé par
Valérie Blanchot Courtois.

L’équipe active, animée par Annie Blandel, diffuse d’ores et déjà les valeurs Pionnières en région PACA.

 

Contacts :

Valérie Blanchot Courtois : vbc@cotedazurpionnieres.org

Annie Blandel : ab@cotedazurpionnieres.org

Nouveau Mastère en management des risques

Après le Mastère Spécialisé (MS) autour de l’Informatique et des Libertés, l’ISEP poursuit
sa réflexion autour de la maîtrise de l’information et de l’évolution du métier d’ingénieur. En janvier prochain, l’école d’ingénieurs ouvre un programme novateur : le  MS
en «  management des risques par l’intelligence économique », accrédité par la CGE.

L’objectif de ce Mastère est de permettre aux acteurs impliqués dans les différents aspects
du management du « risque sécuritaire global » – anticipation, identification, prévention et gestion -, de mettre en œuvre les concepts, moyens et outils offerts par l’intelligence
économique. Cette formation généraliste de 9 mois, à temps partiel, bénéficie du partenariat de l’association du Forum ATENA, de l’IFIE (Institut Français d’Intelligence Economique) et du Cercle
d’Intelligence Economique du MEDEF Ouest Parisien. Elle s’adresse à toute personne confrontée à la gestion des risques dans son travail.

 

Une approche novatrice

Selon Alain Juillet, Haut Responsable chargé de l’Intelligence Economique au Secrétariat Général de la Défense Nationale,
l’intelligence économique (IE) se définit comme : « la maîtrise et la protection de l’information stratégique pour tous les acteurs économiques ». L’IE s’attache à la bonne
utilisation de l’information par l’entreprise, à la fois en interne et en externe, comme par exemple la veille, le knowledge management, l’informatique décisionnelle, le lobbying, etc.

Par ailleurs, les professionnels de l’intelligence économique ont constaté que les catastrophes sont souvent causées par
un défaut de circulation, d’acquisition ou de traitement de l’information. Ils ont également noté que bien souvent, lorsqu’elles subissent des attaques ou craignent un risque, les organisations
s’adressent aux professionnels de l’IE.

Selon les analyses de l’ISEP et d’experts sur le sujet, l’IE se révèle être un outil au service du « Management des
Risques » (Risques de sûreté, de sécurité, environnementaux et managériaux). Les professionnels du secteur, (le Forum ATENA, l’IFIE – l’Institut Français d’Intelligence Economique – et le
Cercle d’Intelligence Economique du MEDEF Ouest Parisien) ont très vite apporté leur soutien à l’ISEP dans ses démarches de mettre son expertise au service des besoins du marché. En effet, le
« Management des Risques » est au sommet des préoccupations actuelles des organismes (entreprises, collectivités territoriales, institutions), en particulier en raison des
réglementations de plus en plus contraignantes et de la « judiciarisation » de l’économie.  

Le Mastère Spécialisé de l’ISEP « en management des risques par l’intelligence économique » est la seule
formation de ce niveau en France à faire la synthèse de ces deux notions pour former les managers généralistes des risques, d’aujourd’hui et de demain. De plus, elle s’inscrit naturellement dans
la continuité du MS en Management et Protection des Données à Caractère Personnelle, qui prépare déjà au risque juridique, d’image et de sécurité des systèmes d’information.

 

Une formation avant-gardiste

La formation, répartie sur 9 mois à temps partiel (soit 600 heures au total), sera animée par des experts et des
consultants en activité, tous sélectionnés par un Comité de pilotage (dont font parti entre autres Bernard Besson, chargé de mission auprès du Haut Responsable à l’IE et Jean-Claude Possin, tous
deux auteurs du livre « l’Intelligence des Risques » aux éditions de l’IFIE). La formation bénéficie donc d’un fort ancrage dans le monde professionnel.

Elle s’adresse en particulier aux responsables du système d’intelligence économique, aux responsables de gestion des
risques, aux auditeurs de système d’intelligence économique, mais également à toute personne confrontée aux risques dans leur travail au quotidien (Directeur de la communication qui doit établir
une communication de crise, etc.).

L’enseignement s’articule autour de 4 grandes thématiques, subdivisées en modules :

Les finalités de l’intelligence économique : intelligence économique, information et risques ; économie de l’information et de la connaissance ; les praticiens et les
acteurs de l’intelligence économique ; etc.

Le projet d’intelligence économique : le management du système d’intelligence économique ; le management de l’organisation par l’intelligence économique ;
l’audit d’intelligence économique ; etc.

L’intelligence des risques : l’intelligence économique au service de la prévention des risques ; la « veille sécuritaire » et le « risque
sécuritaire global » ; les risques de sûreté ; la protection du patrimoine et la propriété intellectuelle ; etc.

La prévention des risques et la protection : l’intelligence des risques au service de la détection, identification, prévention, hiérarchisation et de la mission protection de
l’entreprise ; la cellule de gestion de crise, de sortie de crise, etc.

Les cours théoriques s’accompagnent d’applications pratiques, les « projets transversaux », portant sur la
pratique du métier en situation réelle :

– Intelligence économique sur une zone géographique

– Analyse du système d’intelligence économique d’une entreprise réelle

– Analyse du risque d’une entreprise réelle

– Jeu de rôle de simulation de crise et management du risque.

Enfin, un stage d’un minimum de 4 mois et la rédaction d’une thèse professionnelle complètent la formation.

 

Informations complémentaires :

14 950 € pour les jeunes diplômés

14 950 € H.T. pour les autres situations

Accessible en formation initiale ou en formation continue, avec possibilité de continuer à exercer une activité
professionnelle en parallèle.

http://www.isep.fr

L’IAE Toulouse décroche l’accréditation EPAS pour un Master

IAE Toulouse vient de
franchir une étape décisive en décrochant l’accréditation EPAS pour son Master Management International. Le label EPAS distingue les formations internationales de haut vol. Il est attribué par
l’EFMD (European Federation for Management Development) qui délivre également le label Equis. Cette prestigieuse distinction va permettre à l’IAE Toulouse de poursuivre sa stratégie de
développement international en nouant des partenariats avec des institutions attachées à l’excellence de l’enseignement et de la recherche en gestion. A ce jour, seules 21 formations de 11 pays
ont obtenu cette accréditation.

www.iae-toulouse.fr

Concours de création d’entreprise éco citoyenne

Entrepreneuriat et responsabilité sociale de l’entreprise sont les valeurs fondatrices du Groupe IGS, de ses écoles et de ses centres de formation depuis plus de 30 ans.

L’école ESAM et le CFA du Groupe IGS ont décidé de créer un concours, qui débutera le 1er juin 2008, pour détecter les entrepreneurs de demain, qui prendront en compte dans leur projet, ces valeurs de responsabilité sociale et environnementale, quelque soit leur secteur d’activité (industrie, services, artisanat,…).

Pour créer ce challenge entre les talents de demain, les organisateurs du concours se sont fixés 5 objectifs :

  1. Faire émerger des projets de création d’entreprises réalisables à court terme
  2. Induire chez  les participants au concours des réflexes face aux problématiques sociétales et environnementales
  3. Favoriser le passage à l’acte de création
  4. Stimuler et promouvoir l’esprit entrepreneurial des jeunes
  5. Favoriser le succès à des porteurs de projet en leur offrant un accompagnement et un soutien appropriés

Air France, APR 2, CEGID, TransSearch International et HANPLOI soutiennent cette initiative et vont sponsoriser les
lauréats des trois catégories du concours :

Catégorie : Entreprise et Handicap : prix « Coup de cœur » remis par Air France et Hanploi

Entreprises de tout type d’activité qui engagent des actions sur le critère de l’intégration ou le service aux personnes handicapées, mais aussi  des entreprises dont l’activité est directement liée à l’intégration ou au service de personnes en situation de handicap.

Catégorie : Entreprise et Environnement : pris remis par APR 2

Entreprises de tout type d’activité qui engagent des actions sur le respect de normes environnementales mais aussi des entreprises dont l’objet est directement lié à ces mêmes préoccupations.

Catégorie : Entreprise et Diversité : prix remis par Transearch International

Entreprises de tout type d’activité qui engagent des actions sur la diversité en terme de recrutement, de gestion des emplois et des compétences ou de localisation géographique.

Les trois lauréats bénéficieront d’un soutien financier de 5 000 ¤ chacun ainsi que d’un équipement complet de logiciels de gestion de l’entreprise remis par CEGID. Le lauréat du prix « Coup de cœur » bénéficiera également d’un accompagnement par un spécialiste de la création d’entreprise.

Ce concours est national. Tout étudiant, apprenti ou alternant majeur peut y participer, quelque soit sa formation, son métier et le lieu de sa formation.

Les dossiers de candidature peuvent être déposés entre le 1er juin et le 30 septembre 2008.

Le règlement du concours et le dossier de candidature sont téléchargeables sur les sites internet.

Contact :

Estelle Combes – CFA Groupe IGS

Email : ecombes@groupe-igs.fr

Tél. : 01 40 38 51 20

Résultats de la 10e édition du prix d’histoire François Bourdon

Pour sa dixième édition le prix d’histoire de l’Académie François Bourdon-Le Creusot et
de la Fondation Arts et Métiers : « François Bourdon, Techniques, entreprises et société industrielle », doté d’une somme de 1 500 €., a été attribué à

 

François JARRIGE

pour sa thèse

Au temps des « tueuses de Bras », les
bris de machines et la genèse de la société industrielle (France, Angleterre, Belgique), 1780-1860,

Université Paris1 Panthéon-Sorbonne.

 

 

Le prix jeune chercheur doté d’une somme de 750 €, a été attribué à Renan VIGUIE pour
son Master 2, Histoire des échanges électriques entre la France et l’Espagne de l’Entre-deux-guerre à nos jours, Université Michel Montaigne-
Bordeaux 3.

 

Cette année encore les membres du jury se félicitent de la
diversité des écrits reçus qui permet au prix d’histoire François Bourdon de s’ancrer plus fortement encore dans l’ensemble des domaines de l’histoire industrielle et des entreprises.

Comme le veut le principe du prix, le dixième jury était composé d’industriels et
d’universitaires. Participaient à ce jury mesdames Claudine Cartier, Inspectrice à la Direction des Musée de France, Anne Dalmasso, maître de conférence d’histoire à l’université de Grenoble,
Françoise Fortunet, professeur à l’université de Bourgogne et Dominique Varinois, IA-IPR, rectorat de Bordeaux; messieurs Antoine de Badereau, centralien ; Gérard Chrysostome, ingénieur
centralien, Délégué général du Pôle Nucléaire de Bourgogne ; François Labadens, ancien secrétaire général d’USINOR ; Paul Lacour, directeur de Wendel-Participations ; Philippe Mioche,
professeur d’histoire à l’université d’Aix-en-Provence, chaire Jean Monnet de l’histoire de l’intégration européenne ; Philippe Raulin, ingénieur des Ponts et Chaussées, ancien secrétaire général
de FRAMATOME ; Olivier Raveux, chargé de recherche au CNRS-UMR Telemme ; Serge Wolikow, professeur d’histoire, vice-président de l’université de Bourgogne ; Denis Woronoff, professeur
d’histoire émérite à l’université de Paris-I Panthéon-Sorbonne.

 

François Jarrige, Au temps des « tueuses
de Bras », les bris de machines et la genèse de la société industrielle (France, Angleterre, Belgique), 1780-1860,
sous la direction de monsieur le professeur Christophe Charle,
Université Paris1 Panthéon-Sorbonne, décembre 2007, 797 p. Très tôt, les historiens britanniques s’emparent du phénomène des « bris de machines » qu’ils interprètent comme « des
réactions spontanées et archaïques à la misère ». Dans une approche plus sociale, ils sont attentifs « à l’impact des nouvelles méthodes sur les formes de l’organisation du travail,
ainsi qu’à la crise sociale et à la politique réactionnaire des gouvernements qui justifient le mécontentement populaire. » François Jarrige propose une lecture neuve du « bris de
machines » qui ne peut pas être assimilé purement et simplement à une réaction technophobe. Les « bris de machines » peuvent être aussi une stratégie d’intimidation, une
« forme de négociation collective par l’émeute ». Dans sa thèse, l’auteur offre une étude de la construction idéologique et des voies de diffusion des discours autour des bris de
machines. Il s’intéresse à ce phénomène, car à ses yeux, ils incarnent notamment « les moments d’exacerbation les plus spectaculaires des résistances sociales au machinisme durant la
première industrialisation »

 

Renan Viguié, Histoire des échanges électriques entre la France et l’Espagne de
l’Entre-deux-guerre à nos jours,
Master 2, sous la direction de monsieur Christophe Bouneau, Université Michel Montaigne- Bordeaux 3, juin 2007, 502 p.
Dans ce Master, Renan Viguié retrace l’histoire riche des relations entre la France et l’Espagne autour de la question des échanges d’électricité. Les premières coopérations transfrontalières
apparaissent dans les années 1920, mais l’échange d’électricité reste très limité au point que l’on peut parler d’une histoire des échecs. Au moment où RTE tente de construire une nouvelle ligne
d’interconnexion entre les deux pays, ce Master offre à comprendre les difficultés historiques liées à ce projet.

 

Académie François Bourdon

Cour du Manège-Château de la Verrerie

BP 31

71201 Le Creusot Cedex

Tél. : 03 85 80 08 92

Internet : www.afbourdon.com

Bac+3 en un an : Responsable d’Activités Développement International

Afin de développer et valoriser le programme de l’Institut des Formations Commerciales (IFC Sillon Alpin), L’ESC Chambéry en partenariat avec le
lycée professionnel Saint Ambroise et l’ESC Grenoble accueille une nouvelle formation Bac +3 en un an à la rentrée 2008.

Les objectifs de cette formation sont de permettre à des personnes titulaires d’un Bac +2  d’un bon niveau en langues, d’approfondir leurs connaissances et d’acquérir une spécialisation sur la commercialisation et le marketing à l’international. Cette
formation professionnalisante de courte durée laisse la possibilité de continuer par la suite. Elle permet en outre  de présenter le concours
Passerelle d’entrée en 2ème année à toutes les ESC de la banque de concours.

 

Programme dispensé en formation initiale :

1242 heures (507 h enseignement + 735 heures en entreprise)

Formation de 1 an, de septembre à juillet.

Un tronc commun en France animé par des enseignants et des professionnels. (13 semaines consécutives de septembre à
décembre)

Un module spécifique selon l’axe international choisi au sein d’une université à l’étranger (4 semaines avec
validation de crédits ECTS)

Une mission export dans une entreprise étrangère pour évaluation de 21 semaines de stage passées dans un service
export d’une entreprise française ou entreprise à l’étranger.

 

Conditions d’admission :

Candidature à bac +2

Sélection sur dossier, tests écrits et entretien de motivation.

 

Coûts de la formation :

En financement individuel : 2950 euros. Possibilité de financer le départ à l’étranger avec les bourses
Erasmus.

 

Inscriptions :

Début
juillet 2008 Jérôme Gandiol – 04 79 25 38 10

Signature d’une convention entre l’académie de Créteil et HEC

L’académie de Créteil en partenariat avec HEC (établissement de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris)
et avec le soutien de la Fondation HEC, ouvrira à la
rentrée 2008 deux classes préparatoires économiques et commerciales : l’une, option technologique au lycée Henri Moissan à Meaux (Seine-et-Marne) et l’autre, option économique au lycée
Olympe de Gouges à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis).

Cette ouverture répond à une double ambition :

          donner les
moyens de la réussite à des élèves méritants issus de milieux modestes ;

          contribuer
avec ce dispositif à une plus grande égalité des chances dans l’accès aux filières d’excellence.

Afin de compenser les difficultés dont souffrent les élèves issus de milieux modestes, HEC propose en complément de l’enseignement
dispensé un dispositif novateur :

          une
préparation intensive avant l’intégration en 1re année de classe préparatoire ;

          des modules
disciplinaires de préparation méthodologique notamment en culture générale et en anglais ;

          des séances
de coaching ;

          des
conférences dans les deux établissements sur des sujets d’actualités animées par des intervenants d’HEC ou des professionnels partenaires.

La signature de la
convention aura lieu le mercredi 2 juillet 2008 à 18 heures, sur le campus d’HEC à Jouy-en-Josas, en présence de Jean-Michel BLANQUER, Recteur de l’académie de Créteil, de Bernard RAMANANTSOA,
Directeur Général du Groupe HEC, de Brigitte POURPOINT, Proviseur du lycée Olympe de Gouges et de Jean-Michel DOMENECH, proviseur du lycée Henri Moissan.

L’entreprise et l’international au cœur de la gouvernance

Afin de mettre le monde de l’entreprise plus au cœur la stratégie de l’école, Dominique Estève, Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie Nice Côte d’Azur, a décidé dès 2006 la création d’un Conseil d’Orientation Stratégique (COS) dont la vocation est de faire des recommandations sur les choix stratégiques de développement et de déploiement de l’école, notamment à l’international. Il se compose en majeure partie de dirigeants d’entreprises et de diplômés de l’école, ainsi que de quelques personnalités des mondes institutionnel, politique et pédagogique.

L’une des missions confiée à Alice Guilhon, Directrice du CERAM, lors de sa nomination en 2007, était de créer une structure d’experts permettant d’approfondir la vision stratégique du COS sur l’international : l’International Advisory Board (IAB). Ce comité, qui s’est réuni pour la première fois en mai dernier, réunit des chefs d’entreprises et des directeurs de grandes écoles et universités internationales.

Aujourd’hui, Dominique Estève vient de nommer deux Présidents à la direction de ces comités, tous deux diplômés du CERAM en 1983: Jean-Philippe Courtois Président de Microsoft International et Didier Bonnet, Vice-Président de Capgemini

Jean-Philippe Courtois :

« Le CERAM Business School accompagne depuis plus de 40 ans des managers capables d’innover, d’entreprendre et de relever des enjeux dans une économie mondiale. Son positionnement au sein de la première technopole européenne l’a conduit à être un modèle d’enseignement combinant les besoins des entreprises et les talents des étudiants.

En tant que diplômé du CERAM, je suis très honoré d’avoir été choisi pour présider son Conseil d’Orientation Stratégique qui incarne des valeurs de respect de la diversité, de responsabilité et d’amélioration continue, de passion et d’esprit d’entreprendre.

Mon objectif sera de promouvoir les meilleures pratiques de management dans l’économie de la connaissance, de valoriser le positionnement stratégique du CERAM en renforçant son rayonnement international, et de perpétuer l’ouverture et le partage avec le monde de l’entreprise. »

Didier Bonnet :

« Dans un contexte de globalisation accrue des secteurs de l’économie, il va de soi que le CERAM a un rôle déterminant à jouer à la fois en formant de futurs managers et en contribuant à une meilleure compréhension de la mondialisation, indispensable aux grands leaders. Situé sur la technopole de Sophia-Antipolis, j’ai la certitude que le CERAM possède tous les atouts pour proposer un programme différenciateur.

Le Comité International aura un rôle fondamental à jouer dans les décisions que le CERAM sera amené à prendre afin de se positionner en tant qu’établissement leader dans l’enseignement de management international. Il doit contribuer à augmenter la visibilité internationale de l’Ecole, créer des partenariats stratégiques avec d’autres institutions leaders, apporter la connaissance des meilleures pratiques adoptées à l’étranger et veiller à ce que le positionnement choisi par l’école soit
en droite ligne avec sa vision internationale.

Je suis vraiment ravi de pouvoir contribuer à cette initiative si importante pour l’avenir du CERAM et de participer, avec mes collègues du Comité, à développer le positionnement différentiateur et international de l’école. »

Ces deux comités apporteront une valeur ajoutée déterminante pour la politique de l’école, son déploiement à l’international et son ouverture sur le monde de l’entreprise.

Pierre Kosciusko-Morizet élu président de l’ACSEL le 3 juillet 2008

Membre de l’Association pour le commerce et les services en ligne (ACSEL) depuis la création de
PriceMinister et administrateur depuis 2005, Pierre Kosciusko-Morizet est un acteur clé de l’économie numérique. « L’ACSEL est un formidable instrument d’anticipation et de compréhension
des évolutions de l’économie numérique et représente un lieu unique o๠les acteurs de cette économie dialoguent pour construire ensemble les conditions de l’avenir de nos métiers
»,
explique Pierre Kosciusko-Morizet.

Il succède à  Henri de Maublanc qui, 14 ans durant, a apporté sa compétence d’entrepreneur, son savoir-faire en matière de
e-commerce et une vision élargie du domaine des services en ligne. Sous sa conduite, l’Association a pu anticiper et accompagner les évolutions techniques et sociétales qui ont profondément
modifié le paysage économique français, européen et mondial. Citons pour mémoire les travaux de référence menés sous sa présidence : les enjeux de l’Internet pour la France (1995) ; la
confiance dans les échanges et le paiement (2001) ; le développement des services en ligne de mobile (2001) ; la problématique du haut débit (2003) ; la compréhension des pratiques du
marketing en ligne, du web 2.0 et du « social computing » (2007), etc.

Pour Pierre Kosciusko-Morizet, « il est nécessaire aujourd’hui,
encore plus qu’hier, de mobiliser l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeur de l’économie numérique pour maintenir la croissance rapide de notre secteur. La France a aujourd’hui une pratique
et une originalité à  valoriser au plan européen et international, qui lui permettent de faire reconnaître ses modèles et ses acteurs et de construire chaque jour une place de leader dans le
domaine de l’Internet européen. C’est ce défi sans cesse renouvelé, que je m’efforcerai de relever avec l’ensemble des membres de l’ACSEL en particulier en direction des PME et TPE forces
vives du secteur”.

 

Le nouveau Président a formé le bureau de l’Association
:

 

– Pierre Kosciusko-Morizet (PriceMinister),
président

– Jean-Pierre Buthion (Groupement des cartes bancaires),
vice-président

– Françoise Renaud (Union des annonceurs), vice-présidente
et trésorière

– Jean-François Teissier (Prosodie),
vice-président

– Rachel Picard (Voyages-SNCF.com),
vice-présidente

– Vincent Taupin (Boursorama), vice-président

– Brigitte Cantaloube (Yahoo!)

– Jean-Rémi Gratadour (Irepp)

– Marie-Christine Méry (Jet Multimédia)

 

www.acsel.asso.fr

La CJC regrette la disparition d’ASPASIE

Message de la Confédération des Jeunes Chercheurs

La Confédération des Jeunes Chercheurs (CJC) a pris connaissance de la décision prise par ASPASIE, association de jeunes chercheurs aixois en sciences politiques, membre de longue date de la CJC, de se dissoudre. Cette dissolution a été décidée par les membres de l’association en juin 2008 suite à “[la constatation] que les conditions de son existence et de sa participation aux activités de recherche ne sont plus réunies du fait (…) du démantèlement des dispositifs de
recherche [de l’IEP d’Aix]”.*

La CJC ne peut que regretter qu’ASPASIE ait dû en arriver à cette extrémité pour dénoncer les conditions regrettables dans lesquelles nombre de jeunes chercheurs doivent travailler. Il est urgent que ceux-ci reçoivent la considération qui leur est due de la part de leurs collègues plus expérimentés et de l’ensemble du système de recherche et d’enseignement supérieur.

contact@cjc.jeunes-chercheurs.org

 * Un communiqué de presse est disponible sur le site de l’ANCMSP (Association Nationale des Candidats aux Métiers de la Science Politique)

La Distribution Automatique : solution au nomadisme de la population !

Vending Paris en partenariat avec Gira (spécialiste européen des études sur la consommation alimentaire hors
domicile) lance une étude exclusive et inédite en Europe afin de mieux cerner les attentes et les motivations des consommateurs vis-à-vis de la restauration dite « en mouvement » telle
que la distribution automatique et la vente à emporter. Cette étude comportementale ayant pour objectif de mieux les servir et, pourquoi pas, de faire évoluer sensiblement l’offre en termes de
diversité de produits et de prix, mais aussi en termes de perception.

Les résultats de cette étude totalement originale, menée sur le territoire national, seront révélés dans leur
totalité lors d’une conférence organisée le premier jour du salon. Ils seront le fruit d’entretiens qualitatifs réalisés en face à face par Gira auprès de 200 personnes représentatives de la
France active.

Vending PARIS qui s’affirmait déjà comme la manifestation majeure du secteur de la distribution automatique, voit
son offre s’étendre à l’ensemble du marché de la consommation hors domicile, grâce à la création de Nomading, un nouvel espace totalement dédié à la vente à emporter : un positionnement plus
que légitime pour déclencher de tels questionnements.

Reflet de la modernité et de la diversification des produits et services proposés en distribution automatique,
Vending PARIS 2008, avec ses 250 exposants et ses 13 000 visiteurs professionnels attendus, fédère tous les acteurs du marché au national comme à l’international.

 

Vending PARIS 2008

Le Salon International de la Distribution Automatique

29 octobre / 1er novembre 2008

Paris-Expo – Porte de Versailles – Hall 4

www.vendingparis.com

 

Identifier les centres de recherche de haut potentiel

La Direction générale des entreprises (DGE) vient de publier la base de données « Technologies-clés : identification des centres de recherche à fort potentiel », qui recense plus d’un millier de laboratoires et
d’établissements français possédant une expertise avérée dans les différents domaines scientifiques et technologiques en lien avec 83 technologies-clés. Cette base permet aux chercheurs et
industriels de trouver les compétences complémentaires à leur savoir-faire, afin de mener à bien un projet de R&D ou de transfert de technologie.

Cette base de données complète l’étude Technologies-clés 2010 publiée
en septembre 2006 (et disponible sur www.industrie.gouv.fr/techno_cles_2010), qui a permis d’identifier les 83 technologies les plus
prometteuses pour l’industrie française à un horizon de 5 à 10 ans.

La base de données « Technologies-clés : identification des
centres de recherche à fort potentiel »
constitue un complément d’information par rapport aux champs couverts par les pôles de compétitivité et présente un intérêt pour les entreprises
ne se situant pas dans le périmètre d’un pôle de compétitivité.

Conçu de
façon résolument pratique, cet outil permet d’effectuer des requêtes par domaine technologique complet, ou détaillé, ou par région. La base de données est disponible sur www.industrie.gouv.fr/techno_cles_2010

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