Pratiques managériales en France XIX-XX siècle

Le Ministère de la recherche finance partiellement, pour la période 2006-2009, le programme pluriannuel de formation sur « l’histoire de la pensée et des pratiques managériales en France XIX-XX siècle ».
Le groupe de pilotage composé de Albert David (ENS Cachan, albert.david@mlab.ens-cachan.fr), Gilles Garel (Marne-la-Vallée, garel@univ-mlv.fr ), Eric Godelier (Polytechnique, eric.godelier@polytechnique.edu ), Muriel Le Roux (IHMC-CNRS-ENS, Muriel.Le.Roux@ens.fr ) et Anne Pezet (université Paris-Dauphine, pezet@crefige.dauphine.fr ) a lancé officiellement le programme par une première réunion du comité scientifique le vendredi 30 juin dernier. Il a été décidé à cette occasion qu’une journée d’étude aurait lieu au début de l’année 2007.
A cet effet, ce comité souhaiterait que toutes les personnes (collègues, jeunes chercheurs, doctorants), intéressées par ces problématiques soumettent un bref projet (une page et un mini CV) à envoyer avant le 31 janvier 2007 au comité de pilotge (voir à ce sujet le site du PPF : http://www.univ-mlv.fr/PPF-HPP-manageriales).
Dans un premier temps, il s’agit de recenser les personnes et les idées répondant à ces préoccupations. Deux langues de communication sont retenues : le français et l’anglais ; la priorité est accordée aux travaux originaux. L’issue envisagée est une publication et un colloque à l’horizon 2008-2009. L’idée étant que la journée d’études du 9 mars prochain marque le début pour les participants retenus d’une réflexion qui conduira à la remise d’un texte fin 2008 – début 2009. Sont acceptés tous types de propositions émanant des différentes disciplines des SHS, tout comme les études portant sur des cas étrangers s’ils ont un lien avec la France.
Un site Web hébergé à Marne-La-Vallée a été élaboré et mis en service. Ce site sert de pôle d’information et de lieu de convergence des papiers et contacts divers. http://www.univ-mlv.fr/PPF-HPP-manageriales

Evolution des normes d’Audit

Le Président Daniel BACQUEROËT et le Bureau du Groupe Ile-de-France de la DFCG organisent un prochain « Club du Jeudi » sur la thématique de l’Evolution des normes d’Audit : la situation française, européenne et internationale, le jeudi 15 février 2007 de 19h15 à 20h45 dans les Salons de la Maison des Arts et Métiers, 9bis, avenue d’Iéna 75116 Paris

Métro : Iéna
Apéritif de 20h45 à 21h15
Dîner de 21h15 à 23h : 40€ TTC payables à la réservation et non remboursables
Réservation : www.dfcg.com ou 01 40 69 27 00

La ville face à la mobilité

L’Institut du Management Automotive du Groupe ICN Ecole de Management, en partenariat avec l’Akademie Schloss Solitude et le programme Villes 2.0, organise les 1er et 2 mars 2007 à Stuttgart un colloque international sur la ville face aux nouvelles formes de mobilité. La matinée du 2 mars sera retransmise en vidéoconférence avec traduction simultanée dans le Grand Amphi de Sciences Po Paris à Nancy. André Rossinot, Président de

la Communauté Urbaine du Grand Nancy et Président de

la Fédération Nationale des Agences d’Urbanisme, interviendra en fin de matinée.
Contact pour inscriptions :
Catharina Märklin, cm@akademie-solitude.de, tél. + 49 711 99 61 91 34 ou www.akademie-solitude.de

Décisions publiques et hommes politiques

Conférence-débat de Liberté Chérie, le jeudi 1er mars 2007 avec Jacques Garello, économiste et Professeur émérite à l’Université d’Aix-Marseille, Président de l’ALEPS sur le thème : "Décisions publiques et comportement des hommes politiques".
A quelques semaines des élections présidentielles, il est important de comprendre comment les hommes politiques prennent leurs décisions. Les mécanismes qui sous-tendent leurs choix ont été un objet d’étude fécond pour toute une école de pensée : l’Ecole des choix publics (public choice) représentée notamment par James Buchanan et Gordon Tullock. Avec eux se développe une analyse de la vie politique en termes de marché politique, où des faveurs s’échangent contre des voix. Dès lors, les comportements des hommes politiques apparaissent comme mûs par l’intérêt personnel plus que par la volonté de réaliser le bien commun. Des idées à connaître absolument à la veille d’élections cruciales !
Cette conférence aura lieu à 19 h 30 au "Café de Flore" (172 boulevard Saint-Germain, 75006 Paris) et se terminera aux alentours de 21h30. La participation est gratuite et nécessite simplement l’envoi d’un e-mail de confirmation à l’adresse conference@liberte-cherie.com indiquant votre nom ainsi que le nombre de personnes qui vous accompagneront. Ceci est important afin que les organisateurs puissent vous prévenir au cas où la séance serait complète. En cas de réservation de dernière minute, vous pourrez contacter le 06 29 62 06 79 pour vous assurer qu’il reste des places.

Ecole des Ingénieurs de la Ville de Paris

L’EIVP organise son Université d’été sur le thème de la ville durable (décision, action, financement, communication) du 20 août au 7 septembre 2007 à l’EIVP, 15 rue Fénelon 75010 Paris, sous le Haut Patronage du Maire de Paris.
Conçue comme un lieu d’échanges des connaissances et des pratiques professionnelles, cette Université d’été vise à mettre en présence les différents acteurs de l’aménagement urbain pour partager leur vision des enjeux transversaux de financement, de gouvernance et de durabilité des décisions et ce, dans leur rapport à la société civile.
Trois domaines d’application seront traités : l’eau, la construction durable et les transports.
Ce rendez-vous s’adresse à tous les acteurs des villes : ceux qui les administrent (élus, responsables politiques et administratifs de l’Etat et collectivités territoriales, français et étrangers), ceux qui les conçoivent (cadres d’entreprises de services aux collectivités notamment les opérateurs, constructeurs et bureaux d’études), ceux qui les gèrent (responsables de services techniques urbains et gestionnaires des collectivités), ceux qui les financent (représentants de banques et d’institutions financières), ceux qui les étudient (enseignants et doctorants d’Universités et d’institutions financières) et ceux qui les vivent au quotidien (associations et représentants de la société civile…).
Pour toute fiche d’inscription reçue avant le 30 mars 2007 : -15%
Tarifs Formation continue :
1 semaine : 1 000 €
– 2 semaines : 1 800 €
– 3 semaines : 2 200 €
Tarifs Universitaires : consulter l’Ecole
Déjeuners : sur place, inclus dans le tarif
Contact : Agnès Léonard – Tél : 01 56 02 61 18 – E-mail : agnes.leonard@eivp-paris.fr

Une nouvelle étude révèle pourquoi le bouche-à-oreille électronique dépasse le marketing traditionnel en termes d’impact et de valeur

Le bouche-à-oreille a souvent été décrit comme la stratégie marketing la plus efficace mais également la moins bien comprise. Une récente étude co-réalisée par Koen Pauwels, professeur de Tuck School of Business at Dartmouth (Etats-Unis), permet de mieux comprendre cette stratégie, comment elle fonctionne sur des plates-formes de réseaux sociaux comme Facebook ou MySpace et comment elle arrive à supplanter des outils marketing plus traditionnels, comme l’organisation d’événements et la publicité, en terme d’impact et de bénéfices.
Dans cette étude intitulée “Estimating the dynamic effects of online word-of-mouth on member growth of a social networking site”, le
professeur Powels et ses associés Randolph Bucklin et Michael Trusov (Université de Californie, Los Angeles, Etats-Unis), analysent le nombre d’inscriptions et de recommandations privées des
utilisateurs sur l’un des plus importants sites de réseaux sociaux (resté anonyme), sur une période de 36 semaines. En utilisant une technique appelée « Modèle Vectoriel Autorégressif (VAR) » qui mesure les « interactions dynamiques » entre l’action (les inscriptions) et les variables marketing, les auteurs démontrent que l’impact du bouche-à-oreille sur le gain de nouveaux clients est significativement plus élevé que d’autres formes de marketing traditionnel. L’élasticité  (jusqu’à quel point un changement de budget peut affecter la demande) des recommandations privées des utilisateurs se révèle être en particulier au moins deux fois et demie plus élevée que la moyenne par rapport à la publicité traditionnelle et 20 fois plus élevée en moyenne que des événements marketing. Les auteurs appellent cela « l’effet bouche-à-oreille (WOM Effect) ».

L’étude intègre la simulation d’une publicité commerciale (commune à beaucoup de sites de réseaux sociaux) afin d’évaluer la valeur monétaire potentielle de l’effet WOM. Selon ce modèle, chaque nouveau client correspondrait à un nombre de bannières publicitaires potentielles. En utilisant les moyennes du secteur en termes de coût pour mille impressions, et le nombre d’impressions par utilisateurs et par jour, les auteurs concluent qu’une entreprise de réseaux sociaux en ligne peut accumuler 7,50$ pour 10 invitations envoyées par un membre. En résumé, ils estiment que ces entreprises, dont la source de revenue principale est la publicité en ligne, devraient être prêtes à payer 75 centimes pour chaque recommandation des utilisateurs.

Seuls 42 % des employés estiment que leur organisation est digne de confiance

La confiance qu’ont les employés en leur organisation a atteint un niveau dangereusement bas puisque moins de la moitié d’entre eux estiment
pouvoir faire confiance à leur organisation. C’est ce que révèle une récente étude européenne menée par Krauthammer, l’une des premières sociétés européennes de coaching, de consulting et de
training, pour le compte d’une équipe d’experts représentant sept universités européennes, appelée ROCOT (Research on Cross Cultural Organisational Trustworthiness).

Six piliers clés de la confiance organisationnelle ont été identifiés lors de l’étude : justice RH (rémunération juste et formation et
développement), communication efficace (vision et stratégie), mécanismes de contrôle (clarté des objectifs, règles et réglementations), prestige organisationnel (perception de la réputation de
l’employeur), efficacité des cadres supérieurs et conformité aux réglementations externes.
Chacun de ces six piliers a été exploré selon la perspective des employés et les résultats ont été les
suivants :
 
30 % des répondants pensent que les conditions sont réunies pour une gestion efficace des ressources humaines.
38 % des répondants pensent que les conditions sont réunies pour une communication efficace.
48 % des répondants pensent que les conditions sont réunies pour garantir des attentes claires et 25 % d’entre eux pensent que les
conditions sont réunies pour l’application de règles et réglementations – les règles organisationnelles semblent n’être que rarement suivies.
48 % des répondants pensent que les conditions sont réunies pour le prestige organisationnel – ils estiment que l’organisation a une bonne
réputation.
35 % des répondants pensent que les conditions sont réunies pour garantir l’efficacité des cadres dirigeants.
54 % des répondants pensent que les conditions sont réunies pour l’application de la réglementation externe.
 
En dépit de ceci, à la question de savoir s’ils font effectivement confiance à leur entreprise, 53 % d’entre eux répondent par
l’affirmative. En d’autres termes, les gens se montrent moins positifs pour chacun des différents piliers du développement de la confiance que pour l’impression générale de leur confiance
organisationnelle.

Ce rapport publié aujourd’hui est le fruit d’une collaboration entre Krauthammer et une équipe d’experts issus de sept universités
européennes, appelée ROCOT. Vous pouvez télécharger l’étude complète sur le site www.krauthammer.com

Remise du rapport sur la négociabilité des conditions de ventes entre fournisseurs et distributeurs

Marie-Dominique HAGELSTEEN, Présidente de la Section des Travaux Publics du Conseil d’Etat, a remis le 7 février les résultats du groupe de travail qu’elle a animé sur
la négociabilité des conditions de ventes entre fournisseurs et distributeurs à Christine LAGARDE, Ministre de l’Economie, des Finances et de l’Emploi et Luc CHATEL Secrétaire d’Etat chargé de la
Consommation et du Tourisme.

Le Gouvernement souhaite, en supprimant les marges arrière, introduire davantage de transparence et de concurrence dans les relations
commerciales, au bénéfice des consommateurs. Cela passe par une réforme importante qui conduit à autoriser la libre négociation des tarifs entre fournisseurs et distributeurs, avec des mesures
d’accompagnement notamment à destination des PME fournisseurs.
Pour atteindre cet objectif, Madame HAGELSTEEN préconise de permettre aux fournisseurs de différencier leurs conditions de vente vis-à-vis de
chaque distributeur, en levant l’interdiction de discrimination tarifaire. Les autres dispositions du titre IV du livre IV « de la transparence des pratiques restrictives de concurrence et
d’autres pratiques prohibées » ont vocation à être maintenues et leur application renforcée par une fixation des amendes civiles en rapport avec le chiffre d’affaires des entreprises
contrevenantes. Madame HAGELSTEEN propose que la mise en œuvre de la négociabilité soit accompagnée de mesures permettant de rééquilibrer les relations entre fournisseurs et distributeurs,
notamment en matière de délais de paiement, de pénalités de retard pour livraison ou du contenu des conditions générales de vente, et d’accroître la concurrence en aval dans les zones de
chalandise.
Sur la base de ce rapport, qui est consultable sur le site internet du ministère de l’Economie, des Finances et de l’Emploi
(
http://www.minefe.gouv.fr) le Ministre et le Secrétaire
d’Etat souhaitent organiser une large consultation afin de recueillir les réactions et propositions de toutes les parties prenantes d’ici la fin du mois de février. Au cours des prochaines
semaines, Luc CHATEL rencontrera les parlementaires ainsi que les représentants des professionnels les plus concernés par la réforme.
Le texte qui sera issu de cette concertation est destiné à être inclus dans le projet de loi de modernisation de l’économie, qui sera présenté au
Parlement dans le courant du premier semestre 2008.

Comment dépasser la dichotomie universités / écoles

Comment dépasser la dichotomie universités / écoles pour construire le modèle
d’enseignement supérieur français du 21e siècle ?
Identité / Gouvernance / Recherche et Innovation / Stratégie de site / Mondialisation

Quelles seront les formations françaises d’ingénieurs de demain ?

 

Paul
Jacquet, Président de la CDEFI (Conférence des Directeurs des Ecoles Françaises d’Ingénieurs)

présentera les conclusions du groupe de travail « Devenir de l’Ingénierie » le mardi 20 mai à 9h00 à l’occasion du 5e colloque dEFI 21.

Responsabilité Sociale et Environnementale

Mettre en oeuvre une politique de Responsabilité Sociale et Environnementale en entreprise : Freins, leviers et bonnes pratiques

Premier du genre, Le livre blanc SENSE dresse un panorama complet et opérationnel des freins, des leviers et des bonnes pratiques pour la mise en œuvre de politiques de RSE ou de Développement Durable dans les entreprises en France depuis quatre ans. L’état des lieux a été réalisé au cours du premier semestre 2008 par entretiens face à
face approfondis avec 50 Dirigeants, Directeurs du développement Durable d’entreprises du secteur privé, et personnalités qualifiées qui se sont exprimées sur leurs expériences opérationnelles et
sur les enseignements qu’ils en ont tirés.

Ce livre blanc est destiné aux Dirigeants d’entreprises, Directeurs du Développement Durable, Managers et Chefs de Projets en charge des programmes de Responsabilité Sociale d’Entreprise.

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