RSE : quels enjeux pour les pays du Sud ?

La Faculté de sciences sociales et économiques et CFIE-conseil vous invitent à la conférence-débat :

 

RSE : quels enjeux pour les pays du Sud ?

 

Mercredi 6 avril 2011 à 17h00

A l’Institut Catholique de Paris, 21 rue d’Assas, Paris 6e,
Salle B07,

Métro Rennes ou Saint-Placide

 

17h00 – 17h15 :            Accueil

17h15 – 18h30 :            Table ronde sur le thème : RSE : quels enjeux pour les pays du Sud ?

 

Avec la participation de :

Bionersis (Entreprise spécialisée dans la valorisation du biogaz de décharge), Guillaume Chaloin (Gérant de fonds à Meeschaert Gestion Privée), Martial Cozette (Associé-gérant de CFIE-conseil), Claude Darnault (Directeur du Développement durable du groupe Essilor), Thierry Dedieu (Secrétaire confédéral CFDT), Antonio Manganella (Chargé de plaidoyer RSEE au CCFD-Terre Solidaire), Sidoine Ravet (Responsable du programme « Eau pour tous » à Suez Environnement).

 

18h30 – 19h30 : Débat avec la salle

 

Réponse à
renvoyer par fax au 01 46 06 05 06 ou par courriel cfie-contact@neuf.fr avant le 4 avril.

Séminaire inter-universitaire : Communication et Développement Durable

Séance coordonnée par Milie Théodora MIERE PÉLAGE, Maître de conférences

 

Jeudi 7 avril 2011

 

Lieu : IUT de Mantes en Yvelines

 

PROGRAMME

 

12h45 Samir Allal, Directeur de l’IUT & Annie Bartoli, Directrice du
Larequoi

Anne-Marie LAULAN, Professeur en Sociologie, ISCC / CNRS « l’inscription du Développement Durable dans le champ des Sciences
de l’Information et de la Communication »

Frédéric LOURADOUR, Enseignant-Chercheur, Vice-Président chargé du développement durable UVSQ

 

« Le développement Durable à l’UVSQ »

 

13h – 14h45 :

Discutant : Nicole D’ALMEIDA, Professeur en Sciences de l’Information et de la
Communication, CELSA, Université Paris 4-Sorbonne

– Présentation 1 : Béatrice BELLINI, Maître de conférences, REEDS, Université de
Versailles Saint Quentin en Yvelines, « Un impératif réglementaire, source de marketing vert : le cas de l’affichage environnemental »

– Présentation 2 : Aida BENSARI, Doctorante en Sciences de l’Information et de la
Communication, Université d’Evry « Communication du développement durable et résistances au changement : le cas du Maroc”

 

14h45 – 16h00 :

Discutant : Claude MEYER, Professeur en Sciences de l’Information et de la
Communication IUT d’Evry

– Présentation 1 : Michel ARNAUD, Professeur en Sciences de l’Information et de la
Communication, Université de Nanterre : « Deux études doctorales sur le mobile learning en Afrique »

– Présentation 2 : Servet BIYOKO Maître de conférences, Université Marien Ngouabi,
Congo & Ecole Supérieure du Littoral Congo, « La prise en compte des questions d’environnement et de développement durable dans la formation des étudiants de EST Littoral
»

– Présentation 3 : Renate KRIEGER, Journaliste, « Forum Social Mondial de Dakar
»

 

16h-17h30

Discutant : Michel ARNAUD, Professeur en Sciences de l’Information et de la
Communication, Université de Nanterre

– Présentation 1 : Claude MEYER, Professeur en Sciences de l’Information et de la
Communication IUT d’Evry “Les apprentissages non formels dans la ville intelligente et durable”

– Présentation 2 Céline Hervé BAZIN, Docteur en Sciences de l’Information et de la
Communication, CELSA, Université Paris 4- Sorbonne : « Eau et développement durable »

– Présentation 3 : Stéphanie PROUTHEAU, Doctorante en Sciences de l’Information et de
la Communication, CELSA, Université Paris 4- Sorbonne « Risque à l’heure de la mondialisation, la question des OGM »

 

18h Clôture

 

Avec la participation de Communication et développement économique et social

Séance coordonnée par Milie Théodora MIERE PELAGE

Maître de conférences, Docteur en Sciences de l’Information et de la Communication

LAREQUOI/ ISM/ UVSQ

Elue au CA de la SFSIC

theodora.pelage@uvsq.fr

 

Comment s’assurer que la croissance économique emprunte une nouvelle trajectoire qui soit bénéfique à
l’environnement et à la cohésion sociale ? Pour répondre à cette question, l’Université de Versailles Saint Quentin en Yvelines s’est engagée dans une politique de développement durable. Elle
propose un ensemble de formations professionnalisantes dans le domaine de l’environnement ou du développement durable. Une grande partie de la recherche est orientée en environnement et
développement durable au sein d’un pôle dédié. La présidente de l’université, Sylvie Faucheux a coécrit « TIC & Développement durable » (De Boeck, 2010). Nous profiterons de la
semaine du développement durable qu’organise l’IUT de Mantes en Yvelines pour nous réunir en ces locaux le 7 avril 2011.

Cette séance sera l’occasion de questionner la notion de développement et d’analyser les différentes
pratiques et usages des dispositifs communicationnels à des fins de développement. En effet, la question du développement ou des dispositifs communicationnels ne peut être comprise sans
l’inscrire dans un contexte socio-économique dans lequel la culture revêt une importance significative. Un regard particulier sera porté sur l’information et les innovations, supports de ce
développement. En effet, les nombreuses expériences de communication pour le développement menées aussi bien en Afrique, en Asie qu’en Amérique latine, mettent en exergue un profond décalage
entre l’offre d’information et les « capacités » culturelles, financières et matérielles des populations concernées.

Cette tension entre développement proposé et développement attendu apparaît également dans de nombreux
travaux menés au sein du Centre de recherche en sciences sociales. Pour éviter ce biais, les spécialistes de la communication s’appuient sur un certain nombre de courants théoriques dont la
communication participative développée par Paolo Freire, l’IEC (l’information, éducation, communication)… Au-delà des discours généraux, la communication pour le développement s’est-elle
affranchie du diffusionnisme, des approches de l’innovation ?

Comment s’expriment la tension entre le développement et le contexte socio-économique des acteurs
concernés ? Quelles leçons tirées des différentes expériences et pratiques menées notamment dans les pays en développement ou émergents dans le cadre de la communication pour le développement
?

Ce séminaire est co-organisé par Michel Arnaud (Université Paris Nanterre), Nicole d’Almeida (CELSA, GRIPIC), Alain Kiyindou (Université de Bordeaux) et Milie
Théodora MIERE PELAGE (Université de Versailles Saint Quentin en Yvelines, Larequoi) avec le soutien de la SFSIC (Société Française des Sciences de l’Information et de la Communication) et de
l’ISCC (Institut des Sciences de la Communication du CNRS).

Nous rejoignent également sur ce programme des représentants de plusieurs universités et laboratoires
: Université de Toulouse-Paul Sabatier (LERASS) et INSA Toulouse, Université de Cergy Pontoise, Audencia Nantes, Université de Louvain La Neuve, Ecole supérieure de Commerce de Montpellier et
prochainement Université de Montréal (UQAM) et de Laval (Canada).

Regroupant des universitaires travaillant dans différentes structures sur un même thème mais aussi des
professionnels du sujet, il se réunit de manière régulière et itinérante, à l’invitation de nos laboratoires respectifs.

L’objectif est de mettre en liaison et en visibilité des travaux et des équipes travaillant souvent
séparément sur un sujet commun. Conjuguant nos forces et nos talents, nous explorons inlassablement la montée en puissance du thème de du développement durable (dans son acception la plus large)
dans les pratiques, les processus et les dispositifs de communication. Le succès rhétorique de ces notions qui envahissent l’agenda social invite à s’intéresser aux idéologies qu’elles
recouvrent, aux manières de dire et de faire des acteurs enrôlés dans la question : Etats, organisations internationales, entreprises, associations-ONG. In fine, notre objectif est de situer le
registre environnemental et DD dans le champ des sciences de l’information et de la communication.

En 2009-2010, nous nous sommes réunis à Nanterre (novembre 2009), au Celsa (mars 2010) Nous sommes
retrouvés à Strasbourg le 11 juin 2010, puis à Dijon, pendant le Congrès de la SFSIC, le 25 juin 2010. Le séminaire aura lieu le 7 avril 2011 à l’IUT de Mantes en Yvelines de 12h30 à 18h.

 

INFORMATION :

Milie Théodora MIERE PÉLAGE

theodora.pelage@uvsq.fr

www.uvsq.fr/larequoi

Tél. +33 (0)6 16 32 78 92

 

COMITE D’ORGANISATION

NICLAIR Oliver oliverniclair@hotmail.fr

POUSSIGNOT Lucie luciepoussignot@hotmail.com

OLIVEIRA Guillaume Oliveira.guiom@free.fr

ELASRI Bouchra Elasri.bouchra@hotmail.fr

MOUHCRINE Meriam Meriam.mouhcrime@laposte.net

FARKHSI Fatima

RAYSS Meryem

PORET Benjamin Benjamin.poret@hotmail.fr

GAULTIER Tangui Tanglou_le_caribou@hotmail.com

BECHAR Majid

SUEL Alexanrda a-suel@hotmail.fr

COTTEN Marianne Marianne.cotten@hotmail.fr

DAILLIER Meryll Meryll.d@hotmail.fr

GORY Niouma Niouma.gory@hotmail.fr

BOUGATTAYA Fedya Fedya.bougattaya@hotmail.fr

BOUFFRAD Jalila Boufrad.jalila@gmail.com

BOUIRDEN Sophia Sophia.bouirden@laposte.net

 

Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines

IUT de Mantes en Yvelines

7 rue Jean Hoët

78200 Mantes-La-Jolie

Tél : 01 30 98 13 62

Fax : 01 30 98 16 96


mail :

iut@iut-mantes.uvsq.fr

Les 26es Entretiens Ecologiques Valeurs Vertes

Sous le haut patronage du sénateur Jean-François Le Grand

 

Lundi 11 avril 2010

Palais du Luxembourg  – salle Monnerville

26 rue de Vaugirard – 75006 Paris

 

 

LE DEVELOPPEMENT DURABLE ACCELERATEUR DE LA RECHERCHE

 

 

8h45 – Accueil des participants (pièce d’identité obligatoire)

 

9h00 – Introduction

 

9h15 – 1re Table ronde

QUELLE POLITIQUE DE RECHERCHE EN FAVEUR DU DEVELOPPEMENT DURABLE

Philippe Freyssinet, directeur général-adjoint de l’Agence Nationale de la Recherche
(ANR)

Le rôle et les objectifs de l’ANR

Jean-Charles Hourcade, directeur du CIRED, directeur de
recherche au CNRS, directeur d’études EHESS

Comment organiser l’interdisciplinarité

Jaccques Weber, directeur de Recherche au
CIRAD

Les défis complexes de l’agronomie

Christian Brodhag, directeur de Recherche à l’Ecole des
Mines de Saint-Etienne

La recherche en phase avec la régulation de la
mondialisation

 

10h15–10h45 – Débat avec la salle

10h45 – 2e Table ronde

ENTREPRISES : LA PLACE DU DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LA RECHERCHE

Daniel Thomas, président de l’Association Industries et Agro-Ressources
(IAR)

Pôles de compétitivité, catalyseurs de recherche

Benjamin Gonzalez, président de Metabolic Explorer

La chimie verte

Un représentant d’une société internationale*

Comment anticiper les défis du développement durable

Ivan Grenetier, directeur de Nuevomund

Les grandes écoles incubatrices du futur

 

11h45–12h15 – Débat avec la salle

 

12h30 – Cocktail déjeunatoire

 

14h00 – 3e Table ronde

ENERGIE : LES CLES DE LA RECHERCHE POUR UNE SOCIETE VIABLE

Michel Schwarz, directeur scientifique de l’IRSN

Nucléaire : quelles conséquences tirer du drame japonais

François Verdiel, directeur des Programmes de production à EDF R&D

Quelles technologies pour le futur dans l’énergie nucléaire

Cédric Philibert, analyste senior à l’AIE (Agence Internationale de
l’Energie)

ENR : quelle capacité à répondre aux besoins de l’économie mondiale

Jean-Louis Bal, président du SER (Syndicat des Energies Renouvelables)

Energies fossiles et renouvelables : quel mix énergétique serait le plus
pertinent

Un représentant de l’IFP Energies Nouvelles*

La recherche au secours des économies d’énergie

 

15h00-15h30 – Débat avec la salle

 

Conclusion

 

* sous réserve d’acceptation

 

ENTRéE LIBRE

INSCRIPTION OBLIGATOIRE

Auprès de VALEURS VERTES par fax 01 40 62
94 99 ou mail contact@valeursvertes.com

Nombre de
places limité

Inscription
à retourner avant le 8 avril 2011

A quelles conditions faire du télétravail un facteur d’innovation

ORGANISATIONNELLE ET sociale ?

 

31 mai, 16 et 28 juin 2011

Paris

 

Animateur scientifique :

Nicole TURBE-SUETENS

Expert auprès de la Commission européenne

 

Ce groupe de travail dressera, à partir des témoignages de chercheurs et d’entreprises, un bilan des premières mises en place du télétravail et
permettra de poser des repères pour l’adaptation de l’organisation et des pratiques managériales.

Ouverts à tous les cadres d’entreprise, ce groupe s’adresse particulièrement aux DRH, responsables
des ressources humaines, responsables des affaires sociales et directeurs juridiques.

 

Le télétravail apparaît aujourd’hui comme une étape nécessaire pour de plus en plus d’entreprises pour plusieurs
raisons : le développement des technologies de l’information et de la communication le permet ; un nombre croissant de salariés le souhaitent au nom d’un meilleur équilibre vie
professionnelle/privée et les perspectives d’économies de mètres carrés peuvent y inciter. Enfin, l’intensification de la dématérialisation des processus permet d’introduire plus de flexibilité
dans les modes de travail et de rendre les organisations plus agiles.

Après la signature de l’Accord National Interprofessionnel (ANI) en 2005 étendu en 2006, les premières entreprises
ont montré que pour réussir la mise en œuvre du télétravail, de nouveaux modes d’organisation sont nécessaires ainsi qu’une évolution des pratiques managériales.

Quels enseignements tirer des premières expériences ?

Sur quelles bases parvenir à un accord pour la mise en place du télétravail dans l’entreprise et prévenir des
risques juridiques ?

Comment adapter les pratiques managériales aux équipes virtuelles ?

 

Mardi 31 mai 2011

Quels enseignements tirer des premiers accords et
réalisations ?

14h30 – 17h45

 

Gérard VALENDUC

Codirecteur

Centre de recherche « Travail &
Technologies »

Chargé d’enseignement

Facultés Universitaires de Namur

 

Eric COUTE

Responsable corporate télétravail/mobilité

RENAULT

 

Virginie CHEVALLARD

Chef de Projet Télétravail

GBU FRANCE

 

Les accords ont mis en évidence plusieurs points essentiels : le télétravail ne peut s’appliquer à tous les
salariés et ne se pratique de préférence pas à plein temps. Par ailleurs, aboutir à un télétravail efficient demande un temps d’adaptation, c’est pourquoi il est utile de commencer par un pilote
avant de déployer plus largement le dispositif dans de bonnes conditions.

A quelles conditions ce mode d’organisation peut-il se révéler bénéfique tant pour les salariés que pour
l’entreprise ? Comment définir les catégories de salariés et d’entreprises concernées par le télétravail ? Quelles modalités organisationnelles et matérielles retenir depuis la mise en
place du pilote à la mise en œuvre de cet aménagement du travail ?

 

 

Jeudi 16 juin 2011

La mise en place du télétravail : sur quelles bases négocier et
comment déjouer les risques juridiques ?

 

9h30 – 13h00

 

Christine BAUDOIN

Avocat associé

Cabinet Lmt
Avocats

 

BernaRD JARRY-LACOMBE

Secrétaire national

CFDT Cadres

 

Philippe RUSSO

Directeur des ressources humaines

HEWLETT PACKARD

 

La mise en œuvre du télétravail dans une entreprise passe par la signature d’un accord avec les syndicats qui,
confrontés à la réalité des affaires et l’évolution des métiers, en sont souvent devenus des moteurs.

Quels sont les dangers de la pratique du télétravail en l’absence d’accord ?

Quelles sont les bonnes conditions pour négocier avec les partenaires sociaux et quels sont les points
indispensables à la mise en place d’un accord ?

Comment pallier les risques juridiques (indemnités d’occupation, accidents du travail, régime d’assurance, contrôle
à distance etc.), en l’absence de loi et avec une jurisprudence balbutiante ? Quelles évolutions juridiques pour demain ?

 

 

Mardi 28 juin 2011

Comment faire évoluer l’organisation et le management pour un
télétravail efficient ?

 

9h30 – 13h00

 

David AUTISSIER

Maître de conférences

UNIVERSITE PARIS XII

 

Marc THIOLLIER

Directeur général

ACCENTURE

 

Fabrice THEVAUX

Chargé du bureau de la politique de l’emploi et du développement des ressources humaines

Ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie

 

Le télétravail, du fait de la distance, bouleverse les manières habituelles de procéder. Il exige tout à la fois une
gestion par objectifs, la confiance réciproque, l’autonomie des salariés et de nouvelles formes de collaboration. Autant d’éléments qui conduisent à revoir les pratiques managériales et la
gestion des ressources humaines.

Comment préparer et accompagner le télétravailleur dans un mode d’organisation inédit pour lui ? A quelles
conditions le manager peut-il maintenir le lien collectif et continuer à dynamiser son équipe pour la bonne fin des projets ? De quelle manière la DRH est-elle amenée à redéfinir son rôle
pour permettre le succès de cette nouvelle organisation du travail ?

 

 

Présentation des chercheurs

 

Nicole TURBE-SUETENS a dirigé deux consortia internationaux ; l’un avec cinq pays de l’Europe de l’Est et Centrale entre 2001 et 2003 concernant le
transfert de méthodologie pour la mise en place du télétravail et l’autre avec l’Inde et les pays nordiques de 2006 à 2008, au sujet de l’emploi des seniors et des technologies collaboratives.
Elle est actuellement impliquée, comme expert, dans un projet dont l’objet est de faire des recommandations à la Commission européenne et au gouvernement indien en vue d’harmoniser les programmes
de recherche dans quatre secteurs d’application des TIC.

Gérard VALENDUC est codirecteur
du Centre de recherche Travail & Technologies de la Fondation Travail-Université (FTU) et professeur à l’Université de Namur (FUNDP, faculté d’informatique) et à l’Université de
Louvain-la-Neuve (UCL, école de communication). Il s’est spécialisé dans la recherche sur la dimension humaine et sociale des changements technologiques et sur la sociologie des sciences et des
techniques. Ses recherches et publications concernent les mutations du travail liées à la diffusion des technologies de l’information et de la communication, l’exclusion et l’inclusion
numériques, les relations entre technologie et société, l’innovation au service du développement durable.

David AUTISSIER est maître de conférences à l’Université Paris XII. Il enseigne le contrôle de gestion, les
systèmes d’information, le management du changement et de la transformation. Ses travaux se font en collaboration avec les entreprises auprès desquelles il réalise des démarches d’intervention et
de recherche-action. Il est l’auteur de nombreux ouvrages en particulier sur la conduite du changement et sur le management. 

 

Retrouvez l’ensemble des activités de l’Anvie sur le site www.anvie.fr

 

Les entreprises adhérentes

ADP, Auchan, Banque de France, BNP Paribas, Caisse des Dépôts et Consignations, CNP Assurances, Covea, EDF, GDF
Suez, Ineo, Lafarge, Laser Cofinoga, Maaf, Michelin, MMA, NGE, La Poste, Primagaz, RATP, Renault, Rhodia, RFF, RTE, Saint-Gobain, SFR, SNCF, Spie, Total.

 

 

Pour les conditions générales d’inscription, voir le bulletin
ci-joint

Pour tout renseignement, contactez

Didier DAVILLARS Tél : 01 42 86 68 90

didier.davillars@anvie.fr

 

Anvie, 2, rue des Moulins, 75001 Paris

Tél : 01 42 86 68 80 – Fax : 01 42 86 58 90 www.anvie.fr

“Affaires économiques et financières : que fait la justice ?”

CONFERENCE-DEBAT
MARDI 10 MAI A 18H00

AUDITORIUM MALRAUX

MANUFACTURE DES TABACS

6 rue ROLLET – 69008 LYON

 

multiplication des affaires économiques et financières, auxquelles l’opinion publique manifeste une sensibilité toute particulière.

Pour cela, l’IEJ et Acteurs de l’économie organisent une conférence afin que, professionnels et étudiants partagent leurs avis et interrogations sur ces sujets.
Magistrats, acteurs économiques et universitaires tenteront donc, de répondre aux questions soulevées par l’actualité mais aussi par le public.

Les intervenants de cette conférence-débat seront :

Eric de Montgolfier, procureur de Nice

Jean Peyrelevade, économiste, ancien président du Crédit Lyonnais

Frédéric Maurel, directeur Rhône-Alpes MAZARS

Franck Marmoz, directeur de l’Institut d’Etudes Judiciaires de Lyon

 

LES THEMES ABORDES

• Complexité et opacité exponentielles des « montages » économiques et financières, gouvernance internationale

• Les dispositifs financiers nationaux et européens

• L’imbrication des sphères politique et économique

• La formation et les outils des magistrats

• Le système capitaliste international

• L’éthique de l’économie et des affaires

• La pénalisation de la vie des affaires

• L’éthique de l’économie et des affaires

 

Pour ne
plus d’information : http://www.datapressepremium.com/RMUPLOAD/2008030/File/CPconf10Maipp.pdf

Des livres entre l’Espagne et la France au siècle des Lumières

Journée d’étude – 12 mai 2011 Colegio de España. Cité Universitaire.

7E bd Jourdan • 75014 Paris.  Sala Ramón y Cajal.

 

Organisation : IHMC (CNRS – École Normale Superieure), Colegio de España.

Responsables scientifiques : Sabine Juratic (CNRS) ; Nicolás Bas Martin (Universidad de Valencia)

 

L’avènement des Bourbons de France sur le trône d’Espagne au début du XVIIIe siècle renforce les relations entre les
deux États, tandis que l’affirmation du pouvoir central et le développement de la cour contribuent à l’extension des usages de la langue française et à l’intensification des échanges culturels.
Réunissant historiens, littéraires et spécialistes du livre, la journée d’étude se propose d’analyser ces mutations sous l’angle particulier de l’histoire du livre, à partir de l’étude de la
circulation des imprimés, des textes et des idées entre les deux pays, depuis le règne de Philippe V jusqu’à l’occupation napoléonienne. Trois aspects seront plus spécifiquement abordés : les
conditions institutionnelles et économiques de la circulation des livres ; le rôle de médiation des écrivains, libraires et imprimeurs, savants, voyageurs et traducteurs ; et finalement, les
formes de résistance qui s’expriment en Espagne face à l’hégémonie française. Entre interdiction et permission, les livres de France sont devenus un objet très convoité par les savants et par
quelques aristocrates de l’Espagne des Lumières. Ce faisant, les nouveautés publiées et distribuées au delà des Pyrénées ont contribué, non sans susciter une certaine méfiance, à l’évolution
culturelle de l’Espagne et à sa relative modernisation.

 

Programme

 

9.30 h. Ouverture JAVIER DE LUCAS. Director del Colegio de España., FRÉDÉRIC BARBIER. Directeur de recherche au
CNRS, directeur d’étude à l’EPHE (IHMC/ENS Ulm).

NICOLÁS BAS MARTÍN. Universidad de Valencia.

 

Matinée : Confrontations

 

Présidence : Daniel ROCHE

 

10.00 h. Mª LUISA LÓPEZ VIDRIERO.(Biblioteca Real de Madrid) : Face à face : séduction et identité.

 

10.30  h. FRÉDÉRIC BARBIER (Institut d’histoire moderne et
contemporaine, CNRS-ENS, et École Pratique des Hautes Études) : Le Voyage pittoresque et historique de l’Espagne d’Alexandre de Laborde.

 

11.30 h. FERMÍN DE LOS REYES GÓMEZ. (Universidad Complutense de Madrid) : De la “tranquillité publique” à la liberté
de presse: la censure des idées revolutionnaires en Espagne.

 

12.00 h. JEAN-MARC BUIGUÈS. (Université de Bordeaux III) : Le livre

scientifique en Espagne au XVIIIe siècle.

 

Après-midi : Circulations

Présidence : Maria Luisa LÓPEZ VIDRIERO.

 

14.30 h. JESÚS ASTIGÁRRAGA GOENAGA.(Universidad de Zaragoza) : Livres économiques et circulation des idées entre
l’Espagne et la  France au XVIIIe siècle:  le cas de Jacques Accarias de Serionne.

15.00 h. DOMINIQUE VARRY(ENSSIB, Lyon-Villeurbanne) : Les Deville, libraires lyonnais exportateurs de livres vers
l’Espagne et les Amériques.

 

16.30 h. NICOLÁS BAS MARTÍN. (Universidad de Valencia) : De la circulation des livres et des idées entre l’Espagne
et la France au XVIIIe siècle: Cavanilles et le libraire Fournier.

 

17.00 h. SABINE JURATIC.(Institut d’Histoire moderne et contemporaine, CNRS-ENS) : La librairie parisienne et le
commerce des livres avec l’Espagne au XVIIIe siècle.

 

Sabine Juratic

 

Chargée de recherche

IHMC (CNRS-ENS)

45 rue d’Ulm

75005 Paris

 

sabine.juratic@ens.fr

Travail, famille et mobilités sociales dans le monde rural 15-21e s.

Rennes 19-20 mai 2011

Université Rennes 2 Maison de la Recherche

Organisé par le CERHIO et le GDR « Sociétés rurales européennes »

 

PROGRAMME

 

Jeudi 19 mai

 

14H 00 Accueil

 

14h30 Introduction scientifique (Fabrice Boudjaaba)

L’organisation  du travail familial (1ere partie)

 

15h00

Danilo Gasperoni (Padoue) « Paysans mais pas seulement.(Vénétie 15e siècle) »

 

15h30

Matteo Di Tullio (Rennes 2) « Les familles paysannes de la Lombardie du XVIe siècle: dynamique du travail et
système démographiques »

 

16h00

Fabrice Boudjaaba (CNRS) et  Francisco Garcia Gonzalez (Castille La Mancha), «  Travail, structures des
ménages et solidarités familiales en Espagne et en France au 18e siècle »

 

16h30

Sébastien Marre (docteur, Bordeaux 3) « Travail des hommes, famille et mobilités dans le monde rural grec de la
seconde moitié du XIXe siècle : le cas de trois villages autour de Nauplie dans le Péloponnèse »

 

17h00

Martine Cocaud (Rennes 2) « le travail des femmes et le destin professionnel des agricultrices à travers les
archives audiovisuelles et le regard des sociologues. France de l’Ouest 1950-1970 »

 

17h30 Discussion

 

NB : Emmanuelle Charpentier (Rennes 2) « vivre au rythme de la mer. Les femmes de marins au travail sur
les côtes nord de la Bretagne au 18e siècle » : ne pourra être présente mais enverra son texte ; il pourra donc également alimenter la discussion

 

Vendredi 20 mai

 

L’organisation  du travail familial (2e partie)

 

9H00

Laurent Herment (EHESS) « Si loin, si proches : germains, cousins et voisins. Quelle place pour l’entraide
et la collaboration au sein des fratries dans le Gâtinais français au milieu du XIXe siècle ? »

 

9hH30

Raouf Saidi (Paris 10)« L’organisation sociale et spatiale du travail dans les familles paysannes, modalités et
principes fondateurs (Tunise-Maroc) »

 

10h00 discussion

 

10h30 Pause

 

Travail, destins professionnels différenciés et mobilités sociales (1ere partie)

 

10h45

Hervé Bennezon (Paris 13) « Les stratégies d’émancipation sociale des paysans picards au XVIIIe
siècle »

 

11H15

Carmen Sarasua (Barcelone)  “Las familias campesinas y la escolarización de sus hijos en la España del siglo
XIX”

 

11H45

David Celetti  (Padoue) « Destins paysans. Familles rurale et changements économiques
(1900-2010) »

 

12h15 Discussion

 

12h45 Déjeuner

 

Travail, destins professionnels différenciés et mobilités sociales (2e partie)

 

14H30

Frédérique El Amrani (Rennes 2), « Ambitions, rêves et raison/s. Trajectoires professionnelles juvéniles
féminines (Anjou rural 1920-1930) »

 

15H00

Christophe Giraud (Paris 5) Destinée socio-professionnelle des enfants d’agriculteurs et configurations
socio-professionnelles parentales

 

15h30

Céline Bessière (Paris Dauphine) et Sibylle Gollac (ENS Paris-CMH) « Le repreneur et ses frères et sœurs.
Enquêtes auprès de familles d’indépendants dans la France contemporaine »

 

16h Discussion générale

 

contact :

Fabrice Boudjaaba

chargé de recherche au CNRS

UMR 6258 Cerhio

fabrice.boudjaaba@gmail.com

Journée d’étude RRI – INNOVATION 2011 – 6 Juin 2011

Au Palais Bourbon (Salle Colbert)

126 rue de l’Université – 75007 Paris


De la recherche à l’innovation

 

9h30 Ouverture de la Journée, par Jean Pierre Decool, député, conseiller général du Nord

Mot de bienvenue : « Le Réseau de Recherche sur l’Innovation, vecteur de valorisation de la recherche » par Dimitri Uzunidis, Président du
RRI

10h00-12h00 : Organisation et financement des institutions de recherche Première table
ronde

– Quelle place et quels rôles des universités et centres publics de recherche dans la société ?

– Quelles sont les finalités de la recherche scientifique ?

– Les modalités de financement de la recherche et de l’innovation : la place de l’Etat et des entreprises
aujourd’hui ?

– Débats autour de l’excellence et de l’évaluation

– Programmation de la recherche et coordination entre les échelons supranationaux, nationaux et régionaux.

Avec la participation de : Michel Claessens (ITER Cadarache) – Yvon Pesqueux (CNAM) – Hélène Perrin-Boulonne (CCI
Paris) – Sandrine Rousseau (Vice Présidente Conseil Régional Nord/Pas-de-Calais Enseignement supérieur recherche) – David Stonner (Directeur Europe – National Science Foundation)

Sous la coordination de : Faridah Djellal (Clersé, Univ. Lille 1)

12h30-14h00 :
Déjeuner

14h00-16h00: Valorisation de la recherche et innovation – Deuxième table-ronde

– Que signifie valoriser la recherche ?

– Les universités sont-elles entrepreneuriales ?

– Les facteurs clés d’une valorisation réussie ?

– Les rôles des clusters et pôles de compétitivité dans la valorisation de la recherche et la stimulation de
l’innovation ?

– Quelles politiques publiques pour concilier excellence scientifique et valorisation de la recherche ?

Avec la participation de :

Anne de Blignières – Légeraud (Institut Supérieur des Métiers) – Blandine Laperche (Univ. Littoral Côte d’Opale) –
Jacques Larrouy (Institut Carnot) – Jean Yves Longère (Pôle Pégase) – Jacques Perrin (Directeur de recherche du CNRS) – Florin Paun (Onera) – Marc Segonds (Université Aix en Provence)

Sous la coordination de : Abdelillah Hamdouch (Clersé, Univ. Lille1)

16h00 : Clôture de la journée par Serge Leroux, secrétaire du RRI

 

Inscription : http://rri.univ-littoral.fr/wp-content/uploads/2011/04/programme-et-bulletin-dinscription.pdf

Plan d’accès : http://www.assemblee-nationale.fr/infos/venir.asp

La Chaire Innovation & Régulation des Services Numériques organise le 3.11.2011 un séminaire sur la “distribution numérique”

La Distribution multi-canal : ventes en magasin et ventes en lignes. Le management des
différents canaux de distribution et leurs modèles d’affaires respectifs.

Ce séminaire aura lieu à Paris dans les locaux de l’ENSTA, 32 Boulevard Victor, 75015 PARIS.

Interviendront notamment dans ce séminaire :

– Gerrit Heinemann (Professor, Hochschule Niederrhein, Germany, Director of the eWeb Research Center)
– François Momboisse (FNAC, président de la FEVAD)
– Guy Gras (Yves Rocher, président de la Fédération Française de la Franchise)
– Gérard Cliquet (Professeur, Université de Rennes)
– Julien Morel (Nespresso France, Directeur des Opérations)
– Pierre-Jean Benghozi (Directeur du pôle de recherche en économie et gestion de l’Ecole polytechnique, Responsable de la Chaire Innovation & Régulation à l’École Polytechnique)
– Gerald Lang (Professeur, BEM Bordeaux Management School, Chercheur Associé à l’École polytechnique)

Plus d’information et inscription sur le site de la Chaire : http://innovation-regulation2.telecom-paristech.fr/

Inscriptions auprès de Patricia.Brifaut@polytechnique.edu

Séminaire international ‘Le monde entre crise et changement’

APPEL À COMMUNICATIONS

Séminaire international

co-organisé par

l’INSTITUT D’ÉCONOMIE POLITIQUE KARL POLANYI et le RESEAU EUROPEEN EMES

Le monde entre crise et changement

Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), Paris (France)

15 & 16 Février 2012

Karl Polanyi l’a bien souligné d’entrée de jeu dans La grande transformation, son œuvre
maîtresse : les grandes métamorphoses sociopolitiques qui ont marqué la première moitié du 20
e siècle
ont en fait participé de l’effondrement de l’ordre social qui prévalait au 19
esiècle. La première guerre mondiale, la révolution russe, la dissolution des empires austro-hongrois et ottoman,
la grande crise économique des années trente, les fascismes européens, les plans quinquennaux soviétiques, le New Deal américain et la deuxième guerre mondiale ont discrédité l’idéologie
du laissez-faire et pavé la voie au compromis historique entre le capital et le travail qui marqua les années d’après guerre. Toutefois, les décennies de prospérité sans précédent et le contrat
social providentialiste issus de ce compromis en Europe et en Amérique du Nord, de même que les avancées socio-économiques de l’Amérique latine, de l’Asie et de l’Afrique postcoloniales auront
tôt fait de s’échouer sur les récifs anti-social-démocrates des années soixante-dix et des décennies suivantes.

Beaucoup ont affirmé que la crise de 2008 avait levé le voile à nouveau sur les limites du
néolibéralisme.

Mais les valeurs inhérentes de cette idéologie ne pénètrent-elles pas à un point tel les sociétés
occidentales qu’il est devenu presqu’impossible de défendre encore la validité de l’État-providence ou même le développement de formes nouvelles d’organisation sociale ? A l’inverse, les périodes
fastes que certains ont connues au cours des années 1990 et 2000 ne rappellent-elles pas la Belle Époque qui a précédé l’écroulement de l’ordre économique libéral du 19e siècle ?
Serions-nous en fait au seuil de bouleversements mondiaux d’une ampleur équivalente à ceux qui marquèrent l’entre-deux-guerres et qui pourraient même les surpasser ? Quelles sont les conséquences
politiques de la crise de 2008 aux États-Unis ? Le populisme de droite financé par le grand capital s’apparente-t-il au fascisme européen qui sévit entre les deux guerres mondiales ? Faut-il, à
cet égard, voir dans la xénophobie de plus
en plus apparente à l’égard des immigrants et la popularité
politique grandissante des partis d’extrême droite en Europe des signes avant-coureurs ?

Durant la crise des années trente aucun ordre international particulier ne semblait opérer.

Chaque pays cherchait à ses problèmes des solutions d’abord définies par sa dynamique interne. Après la deuxième
guerre mondiale, au contraire, la capacité destructive des deux superpuissances balise les prises de position des pays souverains et détermine la nature du système politique international dont
l’Organisation des Nations Unies se porte garante. Depuis la fin de la guerre froide, cependant, l’autorité morale des institutions internationales ne semble plus faire le poids alors que
celles-ci ont peine à limiter la concentration du capital et l’utilisation unilatérale de la puissance militaire tant par les acteurs étatiques que nonétatiques.

Cela n’est pas sans poser problème : comment les nations et peuples du monde peuvent-ils désormais protéger leurs
sociétés de l’exploitation par les forces du capital transnational et défendre leur souveraineté sur leurs ressources naturelles ? La réponse à cette question recèle-t-elle les fondements d’un
nouvel ordre international plus équitable ? Au même temps des « contre-mouvements » posent des défis au paradigme dominant à travers des pratiques qui tendent à ré-encastrer l’économie dans la
société aux niveaux local, régional et même national. Aujourd’hui, des initiatives socio-économiques conçues et institutionnalisées par la société civile font souvent la démonstration que les
économies n’ont pas à être organisées en fonction du marché et dominées par les seuls impératifs marchands.

Ces initiatives, connues sous les différents vocables d’économie sociale, d’économie solidaire ou d’économie
citoyenne, entre autres, se retrouvent partout, au nord comme au sud.

Porteuses de changements sociaux polymorphes, elles donnent vie à un nouveau cadre sociétal formé de nouveaux
modes de production et de consommation et d’innovations institutionnelles qu’endossent tant les administrations locales et régionales que les gouvernements nationaux. L’actualité, entre crise et
changement, nous rappelle la pertinence de la pensée de Karl Polanyi et nous invitons celles et ceux que les problématiques exposées plus haut intéressent à proposer des projets de communication
(autour de 250 mots, en français ou en anglais) qui les explorent et en débattent.

Tous les sujets et thématiques s’inscrivant dans l’esprit des questionnements formulés cidessus

seront considérés. Les organisateurs du séminaire porteront toutefois une attention particulière aux propositions
qui examinent les aspects suivants :

• Les formes contemporaines du « sophisme économiciste » ce processus politique de construction de la réalité
économique par la pensée économique orthodoxe

• Les pratiques sociales, les formes et logiques socio-économiques à l’oeuvre dans l’économie réelle qui
contrecarrent le « sophisme économiciste »

• Les réalités qui, aux niveaux local et international, manifestent des dynamiques démocratiques en réaction
contre la société de marché

• Les réactions de la société qui s’expriment par de nouvelles articulations entre pouvoirs publics et société
civile permettant aux États de dépasser le rôle de sauveteur du système dominant dans lequel ils tendent à être enfermés

• Les tensions entre capitalisme et démocratie

Étant donné le nombre de places limité pour ce séminaire international de haut niveau, les personnes
intéressées sont priées d’envoyer à
polanyi@emes.net une déclaration d’intérêt et un titre prévisionnel de communication avant le 15 novembre 2011, les projets de
communications sont reçus jusqu’au 31 décembre 2011 et les acceptations définitives seront confirmées au 15 janvier 2012.

Frais de participation : 250 € (un repas et cocktail inclus)


Comité scientifique international

Geneviève Azam, Economiste, Maitre de conférences, Université de Toulouse (France)

Rémi Barré, Professeur en gestion, Cnam, Paris (France)

Vicky Birchfield, Historienne, Professeure Associée, Georgia Institute of
Technology, Atlanta (USA)

Jérôme Blanc, Économiste, Maître de conférences HDR, Université Lumière Lyon 2 (France)

José-Luis Coraggio, Economiste, Professeur Universidad Nacional de General Sarmiento,

Buenos Aires (Argentina)

Jacques Defourny, Economiste, Professeur, HEC-Université de Liège (Belgique)

Blandine Destremau, Sociologue, Directrice de recherches, LISE/CNRS/Cnam, Paris (France)

Nancy Fraser, Professeure de philosophie politique, New School for Social
Research, New-York (USA)

Laurent Gardin, Sociologue, Maître de conférences, Université de Valenciennes et du Hainaut Cambrésis
(France)

Isabelle Hillenkamp, Economiste, Institut de socioéconomie, Université de Genève (Suisse)

Chris Holmes, Maître de conférences en Économie politique, University of Southampton (Grande-Bretagne)

Lars Hulgård, Politologue, Professeur, Roskilde University (Danemark)

Jean-Louis Laville, Sociologue, Professeur du CNAM, Paris (France)

Jérôme Maucourant, Économiste, Maître de conférences, Université Jean-Monnet de Saint-

Etienne (France)

Margie Mendell, Economiste, Professeur, Concordia University (Canada)

Marthe Nyssens, Economiste, Professeur, Université Catholique de Louvain-la-Neuve (Belgique)

Jean-Michel Servet, Socio-économiste, Professeur, Institut des hautes études internationales et du développement,
Genève (Suisse)

Comité d’organisation

Isabelle Hillenkamp

Jean – Louis Laville

Margie Mendell

Rocío Nogales (EMES)

Pierre Bagnéris (Cnam DISST)

Ana Gómez (Institut Polanyi)

Les langues de travail seront le français et l’anglais. Les présentations par des chercheurs seront combinées avec
des discussions en profondeur des communications sélectionnées dans le but d’explorer et de baliser des questions émergentes pertinentes dans le champ.

Co-organisation : EMES European Research Network and the Institute of
Political Economy Karl Polanyi (Université Concordia de Montréal, Canada)

En partenariat avec : Comité de recherche CR 27 Sociologie économique de l’Association internationale des
sociologues de langue française, Laboratoire Interdisciplinaire pour la Sociologie Economique, Axe « Solidarité, Territoires, Innovations » (UMR 3320 Cnam/CNRS), Cnam (Département Droit,
intervention sociale, santé et travail).

ARCHITECTURES BANCAIRES : entre le Beau et l’Utile

Journée d’étude de l’équipe Histara
jeudi 17 novembre
2011
INHA, auditorium
6, rue des Petits-Champs, Paris 2e

Histoire de l’art, histoire des représentations et archéologie de l’Europe : sources, documents, méthodes

Équipe d’accueil EA 4115 de l’École pratique des Hautes Études

Entrée libre

Renseignements : sophie.pillet@ephe.sorbonne.fr


9h15 : Accueil des participants

9h30 : Jean-François BELHOSTE et Isabelle PARIZET,

Présentation de la journée.

La banque utilise l’architecture

Présidence: Marie-Laure CROSNIER LECONTE (conservateur en chef du patrimoine, chercheur associé à l’Institut
national d’Histoire de l’Art)

9h45 : Antonio BRUCCULERI (maître assistant à l’École d’architecture de Bordeaux, chargé de conférences à l’École
pratique des Hautes Études), Le Néo-Renaissance dans la Haute Banque.

10h05 : Muriel BORDOGNA (docteur en Histoire, Paris 10, Mission historique de la Banque de France), La Banque de
France : de l’hôtel Massiac à l’hôtelde Toulouse.

10h25 : Discussion

11h : Pause

11h30 : Anne RICHARD-BAZIRE (docteur de l’École pratique des Hautes

Études, chargée de cours à l’École du Louvre), Du spectacle à la banque : la transformation de la salle
Ventadour.

11h50 : Frédéric DESCOUTURELLE (historien), Quatre banques de style Art Nouveau à Nancy.

12h10 : Film, La construction de la salle souterraine de la Banque de France.

12h20 : Discussion

La banque crée l’architecture

Présidence : Alice THOMINE-BERRADA (conservateur du patrimoine, musée d’Orsay)

14h30 : Jean-François BELHOSTE (directeur d’études à l’École pratique des Hautes Études), Comment la banque
produit la ville.

14h50 : Isabelle PARIZET (maître de conférences à l’École pratique des Hautes Études), Une tour forte derrière une
façade monumentale.

15h10 : Discussion

15h30 : Pause

16h : Delphine MINCHELLA (docteur en Civilisation britannique, Paris 1, doctorante en Sciences de
Gestion-Management, Paris 9), L’Agence centrale de la Société Générale : un espace sous surveillance.

16h20 : Ursula BIUSO (architecte du patrimoine, membre du Conseil régional de l’Ordre des architectes
d’Île-de-France), L’Agence centrale : une restauration dans un site en activité.

16h40 : Film, Restauration de l’Agence centrale : les coulisses.

17h
: Discussion et conclusion

2 débats : Banqueroute, qui doit payer ? La culture a-t-elle un avenir ?

L’École des hautes études en sciences sociales poursuit le cycle de conférences-débats

Rendez-vous de crise
Lundi 14 novembre de 19h à 21 h Banqueroute, qui doit payer ?
Jeudi 24 novembre de 19h à 21h La culture a-t-elle un avenir ?

Face au marasme qui semble s’être installé dans la durée et dont l’étendue et la multiplicité des formes nous réservent probablement bien des surprises et des épreuves, l’EHESS souhaite mettre à contribution la diversité des voies d’approche dont elle dispose. Cet observatoire, inauguré en 2009, et ouvert aux rebonds de l’actualité, se veut un lieu de rendez-vous permettant la confrontation et l’analyse de l’événement. Chercheurs, acteurs et citoyens pourront y débattre, confronter leurs propositions, et échanger leur vision de l’avenir dans cette période mouvementée.

Banqueroute, qui doit payer ?
Lundi 14 novembre de
19h à 21 h

Avec : Marie-Laure Legay, historienne (Université Lille 3), La banqueroute de l’État royal, Éditions de l’EHESS
Benoît Coeuré, économiste (Sciences Po), directeur-adjoint de la Direction générale du Trésor
Gérard Beaur, historien (EHESS), « Revisiter les crises »,
Histoire & mesure, Éditions de l’EHESS

Séance présidée par Pierre-Cyrille Hautcœur, économiste (EHESS)

La culture a-t-elle un avenir ?
Jeudi 24 novembre de 19h à 21h

Avec Françoise Benhamou, économiste de la culture (Paris 1) • Jean-Louis Fabiani, sociologue (EHESS), Qu’est-ce qu’un philosophe français ?, Éditions de l’EHESS • Pierre-Michel Menger, sociologue et philosophe (EHESS-CNRS), Les intermittents du spectacle, Éditions de l’EHESS
Présidée par Yves Hersant,
historien (EHESS)

Vous êtes toutes et tous bienvenus, mais nous vous recommandons vivement de vous inscrire.
Nous vous serions également très reconnaissants de bien vouloir faire circuler cette annonce auprès de toutes les personnes que vous jugerez susceptibles d’être intéressées.

Lieu : EHESS, amphithéâtre
Adresse : 105 boulevard Raspail, 75006 Paris

Organisateurs : EHESS, Éditions de l’EHESS, Cercles de
formation

11e journée d’étude sur les faillites à l’université de Paris Ouest Nanterre

11e journée d’étude sur les faillites aura lieu le mercredi 7 décembre prochain à l’université de Paris Ouest Nanterre
(salle des conférences, Hall du bâtiment B). Vous en trouverez le programme attaché à ce message.

Pour y participer, l’inscription auprès de Jocelyne Barré est gratuite mais obligatoire car un déjeuner est organisé sur
place.

Lien vers les renseignements pratiques pour se rendre à l’université et le plan du campus : http://www.u-paris10.fr/98820862/0/fiche___pagelibre/&RH=etu

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