Prix CILAC / Jeune chercheur.se en patrimoine industriel, scientifique et technique

Institué en 2011, le « Prix Cilac/Jeune chercheur.se en patrimoine industriel » est un encouragement à la recherche, à la valorisation et la prise d’initiatives innovantes dans le domaine du patrimoine industriel. Réalisé avec le soutien de la Société d’encouragement pour l’industrie nationale et de la Fondation EDF, le Prix CILAC a pour vocation de rendre compte de la vitalité de l’enseignement et de la recherche, théorique et appliquée, dans le vaste champ du patrimoine industriel, scientifique et technique. Il s’adresse donc aux étudiant.e.s dans les domaines des sciences humaines et sociales, des sciences de l’ingénieur, de l’architecture, de l’urbanisme et des arts plastiques, de la conservation/restauration.

Ouvert aux étudiant.e.s de toutes disciplines, de niveau Master 1 et 2 et aux doctorants, ce prix vise à promouvoir des travaux innovants, en cours ou récemment achevés, par leur méthodologie, leur objet, leur mise en œuvre et/ou leur forme finale. Pour les élèves des écoles d’architecture, le niveau minimum requis est le master 2, avec un travail innovant concernant l’analyse et la reconversion du patrimoine industriel. Les travaux pouvant être présentés sont le projet de fin d’études ou le mémoire (niveau post-diplôme, type DSA Architecture et Patrimoine).

Doté d’un montant de 800 €, le Prix CILAC/Jeune chercheur.se peut être accordé dans deux catégories : recherche théorique et recherche appliquée.

Le Prix Cilac/Jeune chercheur.se aura lieu le 2 décembre 2017,

à la Société d’encouragement de l’Industrie Nationale,

Place Saint-Germain-des-Prés, à Paris

Les lauréats seront proclamés à l’issue de cette journée.

La date limite d’envoi des dossiers de candidature est fixée au 16 octobre 2017 par voie électronique au CILAC : cilac@cilac.com

Le dossier doit comporter :

  • Le titre du projet/travail et sa présentation (2 pages)
  • Un poster format A0 (80×115 cm) sous forme électronique
  • Le CV et la copie de la carte d’étudiant.e
  • Le cas échéant, le mémoire ou résultat final correspondant.

Déroulement du Prix CILAC Jeune chercheur

16 octobre 2017 : Envoi d’un dossier de présentation et d’un projet de poster

Les candidat.e.s doivent constituer un dossier de présentation et un projet de poster  au format A0 (80×115 cm) récapitulant leur travail d’une façon synthétique et efficace, en employant les ressources de la photographie, du graphisme, etc. Les candidats recevront une réponse définitive au plus tard le 15 novembre 2017.

2 décembre 2017 : participation à la journée d’étude, présentation publique du projet

Le CILAC finance la venue à Paris des étudiant.e.s dont la candidature sera retenue sur dossier afin de présenter leurs travaux et de débattre avec des spécialistes de ces questions. Une somme maximale par projet est allouée pour le transport. Les communications feront éventuellement l’objet d’une publication dans Patrimoine industriel.

Cette aide constitue le premier encouragement donné par le CILAC aux étudiant.e.s.

La présentation se fera sous la forme d’un exposé oral de 20 minutes, avec diaporama.

Le prix est remis à l’issue des délibérations du jury, à la fin de la journée d’étude.

Les lauréats dans chacune des deux catégories Recherche et Recherche appliquée se verront remettre à l’issue de la journée un prix d’un montant de 800 euros.

Le jury prendra en compte le dossier, la présentation orale, la qualité du poster et des échanges avec les candidat.e.s.

Les dates à retenir:

  • 16 octobre: envoi du dossier de candidature
  • 15 novembre: réponse du jury
  • 2 décembre : journée d’étude à la Société d’encouragement et remise du prix

Prix CILAC

Augmentations salariales 2017 en baisse selon Deloitte

Dans son étude annuelle sur les rémunérations, Deloitte apporte un éclairage sur les évolutions salariales en 2017 et sur les perspectives d’augmentations pour 2018. Pour cette 6e édition, le cabinet a analysé les données de 503 entreprises représentant 886 500 bulletins de paie, faisant de cette étude l’une des plus représentatives de France.

  • 2,5% d’augmentation en 2017 pour les cadres et 2,1% pour les non-cadres
  • Hausse du gel salarial (9% à 13% vs 4 à 7% en 2016)
  • Forte progression (5 à 7%) de la part variable individuelle
  • Le bonus représente de 5 à 30% du salaire de base selon le niveau de responsabilité et la famille de métier
  • Forte progression de l’épargne salariale en 2017 : + 7 à 10%
  • Prudence avec 1,8% de budget d’augmentation prévisionnelle pour 2018

Des pratiques de rémunération différenciées

Les augmentations en 2017 ont été de l’ordre de 2,5% pour les cadres et 2,1% pour les non-cadres, ce qui est légèrement en baisse par rapport à 2016. Hors promotion, les augmentations ont été entre 1,9% (non-cadres) et 2,2% (cadres).

Parmi les tendances observées :

  • La pratique du gel salarial est plus développée cette année, tant pour les non-cadres que pour les cadres (9 à 13% contre 4 à 7% en 2016)
  • Les fortes augmentations (>10%) sont également plus nombreuses cette année. Elles concernent en moyenne 6% de la population en 2017, contre 4% en 2016.
  • Malgré l’importance des enjeux sur la discrimination salariale, les écarts salariaux subsistent encore entre les hommes et les femmes (entre 2,3% et 7,7% selon le niveau de responsabilité). Conséquence des campagnes de rattrapage, les pratiques d’augmentations sont légèrement supérieures pour les femmes (+0,2 pt).
  • L’écart de rémunération entre l’Île-de-France et les régions se maintient cette année entre 6% et 7%. L’écart entre les régions (hors Île-de-France) marque une amplitude maximum de 7 points, tant en salaire de base qu’en rémunération totale.
  • Comme les années précédentes l’écart de rémunération entre les grandes entreprises (plus de 1 milliard d’euros de CA) et les PME (moins de 50 millions d’euros de CA) est de l’ordre de 10 points, en salaire de base. En prenant en compte l’impact des régions, cet écart est alors de 14 points entre les grandes entreprises parisiennes et les PME régionales.
  • L’écart de rémunération entre les filiales de groupes internationaux et les sociétés françaises est de 5% à 6%, conséquence d’une pratique de part variable plus dynamique pour les cadres et de pratiques d’augmentation plus forte pour les non-cadres (+0.5 Pt).

Forte augmentation de la part variable individuelle

La rémunération variable individuelle (bonus et commission) ne concerne pas tous les salariés : 66 % des cadres en bénéficient et près de 80% des cadres supérieurs. Les non-cadres sont tout de même 51% à être concernés (principalement sur les rôles de ventes terrain).

Après une hausse en 2016 de l’ordre de 10% à 12%, les montants de rémunération variable individuelle continuent de progresser fortement cette année : +5% à 7% par rapport à 2016.

Selon les niveaux de responsabilité et la famille de métier, le bonus représente de 5 à 30% du salaire de base. Le pay-out (rapport entre le bonus versé et le bonus cible) est cette année de 89%, légèrement supérieur à 2016 (86%).

L’épargne salariale reprend des couleurs

L’épargne salariale progresse dans les entreprises : près de 84% (contre 83% en 2016) des entreprises du panel étudié ont versé de la participation, et 79% (contre 76% en 2016) de l’intéressement.

Après une diminution depuis plusieurs années, l’épargne salariale (intéressement et participation) progresse fortement cette année, de l’ordre de 7% à 10% ce qui représente une hausse moyenne de 200 à 300 euros.

Des prévisions d’augmentations prudentes

« Les prévisions d’augmentation pour l’année prochaine sont, à nouveau, extrêmement prudentes, de l’ordre de 1,8%. La prévision d’inflation 2017 à 1,3% risque d’entraîner une moindre augmentation du pouvoir d’achat cette année que l’année dernière. », déclare Jean-Philippe Gouin, Associé Capital Humain chez Deloitte.

Un seuil symbolique se confirme depuis 2 ans autour de 1,2% (1er quartile) avec presque aucune pratique d’augmentation en dessous de ce seuil, mais une très grande diversité entre 1,2% et 1,8%. Un plafond psychologique se dessine également autour de 2% (3e quartile) avec une très faible dispersion entre la médiane et le 3e quartile.

CPME : “Le recrutement dans les PME doit être la priorité du quinquennat d’E. Macron”

Selon un sondage réalisé par Harris interactive pour Indeed* : « 91% des Français jugent que le recrutement dans les PME doit être une priorité du quinquennat d’Emmanuel Macron. »

Le recrutement comme priorité

La CPME se réjouit de cette prise de conscience collective du rôle et de la place des PME dans l’emploi et l’économie française. Mais cela marque également une forte attente vis-à-vis des réformes en cours, notamment en matière sociale.

S’il est indéniable que la création d’emplois est avant tout liée au carnet de commandes, il est impératif de créer les conditions permettant aux entrepreneurs d’être suffisamment confiants pour embaucher. Le coût du travail, la stabilité des textes et des normes tant en matière sociale que fiscale ou environnementale sont, à cet égard, déterminants. De même, il est essentiel que les règles applicables soient le plus simple possible et prennent en compte la réalité des PME.

La réforme du Code du travail sera sur ce point un test grandeur nature.

Les PME continueront à recruter si l’embellie économique se confirme, si on leur redonne de la souplesse et qu’on allège les carcans fiscaux et sociaux qui freinent leur développement.

Les Français l’ont compris, aider les PME est un enjeu prioritaire.

On se demande alors pourquoi, suite à ce communiqué de la CPME, François Asselin comme président de la CPME n’aura pas souhaité soutenir l’action menée à l’occasion de la présidentielle concernant le projet de relance économique proposé par Michel Leclerc visant au retour au plein-emploi en France, et donc faciliter l’embauche dans les PME du pays en supprimant toutes les cotisations sociales des fiches de salaire tout en maintenant l’intégralité du financement de la protection sociale… Il s’agit de ce que Michel Leclerc appelle le plan TRES, emprunté à Charles de Gaulle.

* Sondage « les 100 jours d’Emmanuel Macron » réalisé du 8 au 10 août 2017 sur un échantillon de 994 personnes représentatif des Français âgés de 18 ans et plus.

CPME recrutement François Asselin

Les salaires dans la fonction publique de l’État

En 2015, un salarié de la fonction publique de l’État (FPE) perçoit en moyenne 2 495 euros nets par mois en équivalent temps plein ; cette moyenne prend en compte tous les agents civils des ministères et des établissements publics, fonctionnaires ou non.

Une hausse plus faible des salaires dans la fonction publique

Entre 2014 et 2015, le salaire net moyen augmente de 0,4 % en euros constants. La moitié de cette progression provient de l’évolution des qualifications des emplois dans la FPE. Par ailleurs, un agent en 2015 perçoit en moyenne 0,2 % de plus qu’un agent de mêmes grade et échelon en 2014. Le salaire net moyen des fonctionnaires de la FPE augmente de 0,3 %, porté par la hausse du salaire moyen des catégories C à la suite des revalorisations de leur échelonnement indiciaire. Il augmente moins que celui des non-fonctionnaires (+ 0,5 %).
Le salaire net moyen s’établit à 2 544 euros dans les ministères, soit +0,3 % par rapport à 2014 ; il s’élève à 2 343 euros dans les établissements publics administratifs (+ 0,8 %), en lien avec la forte présence de catégories C dans ces établissements.
Les disparités salariales dans la FPE augmentent très légèrement en 2015. Le salaire net des femmes est inférieur de 14,4 % en moyenne à celui des hommes, mais l’écart se réduit à 3,2 % à âge, grade, catégorie et statut égaux.
Pour les salariés présents toute l’année en 2014 et en 2015 chez le même employeur et avec la même quotité de travail, soit près de deux salariés sur trois dans la fonction publique de l’État, le salaire net moyen augmente de 1,8 % en euros constants. Ceci reflète la progression de leur ancienneté et de leur carrière.

Source INSEE

fonction publique

Offre de deux emplois de chercheur

Offre d’emploi – Chargé de recherche temps plein sur le thème du numérique dans le secteur des services aux personnes (H/F) (publiée le 17/07/2017)

Le Lentic et le Centre d’Economie Sociale (centres de recherche de HEC Liège, Université de Liège) souhaitent engager pour une durée de 12 mois à temps plein un/une chargé/e de recherche pour collaborer au projet de recherche DIGI-SERV commandité par la Région Wallonne sur l’impact de la révolution numérique dans le secteur des services aux personnes. Il s’agit d’un projet interuniversitaire (ULg et UCL) et pluridisciplinaire impliquant des sociologues, des gestionnaires, des économistes et des juristes. Ce projet d’un an peut éventuellement mener à l’élaboration d’un projet de doctorat.

La fonction comprend les tâches suivantes :

  • Revue de littérature
  • Réalisation d’entretiens exploratoires et semi-directifs
  • Organisation de focus groupes
  • Rédaction de rapports et d’articles scientifiques

Pour mener à bien cette fonction, le/la chargé/e de recherche présentera le profil suivant :

  • Master en sciences économiques, sciences de gestion, sciences sociales, ou équivalent
  • Excellente capacité rédactionnelle en français ; la maîtrise de l’anglais constitue un atout
  • Bonne capacité à collecter des données et à mener des entretiens
  • Intérêt pour les enjeux liés aux nouvelles technologies
  • Intérêt pour le secteur des entreprises sociales et de l’économie sociale
  • Goût pour la recherche, esprit critique et bon esprit d’analyse
  • Autonomie et sens de l’organisation – Affinité pour le travail en équipe, capacité d’adaptation et intelligence relationnelle

Conditions offertes :

  • Un contrat d’un an (statut à préciser), pouvant être éventuellement prolongé dans le cadre d’un projet de doctorat
  • Un environnement de travail stimulant et la participation à un projet de recherche interuniversitaire et interdisciplinaire
  • Engagement à partir du 15 septembre 2017

Envoyez avant le 15 août aux adresses suivantes – charlotte.moreau@ulg.ac.be et françois.pichault@ulg.ac.be :

  • Votre CV,
  • Une lettre de motivation

Renseignements complémentaires auprès de Charlotte Moreau à partir du 1er août : charlotte.moreau@ulg.ac.be

En cas de candidature retenue, les candidat(e)s sélectionné(e)s seront convié(e)s à un entretien d’embauche (avec test des capacités rédactionnelles et de la connaissance des enjeux du numérique) entre le 21 août et le 8 septembre 2017.

 

Offre d’emploi : bourse doctorale temps plein sur le thème des circuits courts alimentaires (publiée le 17/7/2017)

Le Centre d’Économie Sociale de HEC-Liège (Pr. Sybille Mertens), en collaboration avec l’Unité d’Économie et Développement Rural de Gembloux Agro Bio tech (Pr. Kevin Maréchal), souhaite engager un(e) doctorant(e) pour réaliser une recherche sur le thème ‘Circuits courts, économie sociale et résilience des territoires’.

Cette recherche doctorale s’inscrit dans le cadre de l’obtention d’un projet ARC (Action de Recherche Concertée) intitulé : ‘DISEIN FOOD – Diffusing Social Economy Initiatives in the Sustainable Food Sector’. Il s’agit d’un projet pluridisciplinaire de l’Université de Liège, impliquant également une équipe en géographie et une autre en sociologie.

La recherche étudiera particulièrement les territoires de Liège (Belgique), Lille (France) et Liverpool (UK). La personne engagée sera amenée à travailler en étroite collaboration avec les partenaires scientifiques belges, français et anglais et à œuvrer à l’animation collective du projet.

Profil recherché :

  • Maîtrise bioingénieur ou équivalent, obtenue avec distinction. en sciences économiques, sciences de gestion, sciences sociales, géographie,
  • Connaissance de la problématique des circuits courts alimentaires et de ses multiples enjeux
  • Goût pour la recherche, esprit critique et bon esprit d’analyse
  • Excellente capacité rédactionnelle en français et maîtrise de l’anglais.
  • Expérience en matière de collecte de données
  • Affinité pour le travail en équipe, capacité d’adaptation et intelligence relationnelle
  • Autonomie et sens de l’organisation

Conditions offertes :

  • Bourse doctorale de 4 ans (soumise à approbation annuelle)
  • Un interdisciplinaire environnement de travail stimulant et la participation à un projet de recherche
  • Engagement à partir du 1er octobre 201 7

Envoyez votre CV et une lettre de motivation avant le 31 août 2017 aux adresses suivantes : K.Marechal@ulg.ac.be et smertens@ulg.ac.be

Les candidat(e)s sélectionné(e)s seront convié(e)s à un entretien d’embauche avec test (connaissance des circuits courts et capacités rédactionnelles) le 11, le 12 ou le 14 septembre 2017 en matinée.

Montevideo 30-31 oct 2017 colloque salaires en Amérique latine depuis les années 1950

La Faculté de Sciences Sociales de l’Université de la République d’Uruguay et le Projet WAGE (Wage Analysis in a Globalising Environment) avec le concours du Bureau International du Travail et la MESHS Lille-Hauts de France organisent un colloque international sur le thème « Evolution et problématiques des salaires en Amérique latine depuis les années 1950/60 » les 30 et 31 octobre 2017, à l’Université de la République d’Uruguay, à Montevideo

Le colloque vise à un état des lieux scientifique général sur la question (par échantillonnage des thèmes). Les axes de travail prévus sont :

  • 1. Evolution des salaires moyens et de leurs modalités de dispersion depuis les années 1950/60.
  • 2. Relations entre qualification et salaires (premium skill) notamment pour les jeunes et les femmes.
  • 3. Rôle du différentiel salarial dans les processus migratoires (internes/externes).

Les pays d’Amérique latine présentent un certain nombre de caractéristiques spécifiques en matière de salaire : une certaine hétérogénéité et une différenciation inégale des données disponibles, une progression moyenne annuelle depuis les années 2000 supérieure à celle des pays avancés, mais inférieure à celle des pays émergents d’Asie, des écarts hommes femmes qui restent significatifs, un coefficient de Gini élevé, un certain poids des questions migratoires dans les marchés nationaux du travail, la question tendue de l’employabilité et du salaire des jeunes, des éléments de complexité dans les relations professionnelles

Les chercheurs, collègues et doctorants intéressés devront se signaler auprès des organisateurs/organisatrices avant le 10 septembre 2017, et envoyer une proposition de communication (court résumé de moins d’une page) avec un CV.

Calendrier

Soumission des propositions de papier avant le 10 septembre 2017
Rendu définitif des propositions retenues : 20 septembre 201Envoi d’un résumé et présentation PowerPoint par les communicants aux organisateurs : 15 octobre 2017

Colloque : 30-31 octobre 2017

Les soumissions doivent être envoyées conjointement aux contacts suivants :

Pr. Michel-Pierre Chélini, Université d’Artois : mpchelini@gmail.com/

Pr. Maria-Magdalena Camou, Universidad de la Republica : maria.camou@cienciassociales.edu.uy/

Pr. Silvana Maubrigades, Universidad de la Republica : silvana.maubrigades@cienciassociales.edu.uy/

Lieu :  Programa de Historia Económica, Facultad de Ciencias Sociales/ Universidad de la República Constituyente 1502 – Piso 4, 11200 Montevideo, Uruguay

Prise en charge : les communicants prennent en charge leur déplacement, possibilités d’hébergement.

Comité d’organisation : Leonid Borodkin, University Lomonossov Moscow, Russia, Maria-Magdalena Camou, Universidad de la Republica, Montevideo, Ur, Michel-Pierre Chélini, Université d’Artois, Arras, Fr, Aomar Ibourk, Université Cadi Ayyad, Marrakech, Morroco, Silvana Maubrigades, Universidad de la Republica, Montevideo, Ur, Humberto Morales, Benemérita Universidad Autónoma de Puebla, Puebla, Mexico

Un quart des personnes se sentent socialement déclassées par rapport à leur père

Malgré la progression de l’emploi qualifié, un quart des personnes se sentent socialement déclassées par rapport à leur père en France.

Des personnes socialement déclassées qui touche tous les milieux sociaux

Sur une génération, la structure sociale s’est modifiée vers le haut, avec notamment une progression de la proportion de cadres. Ainsi, en 2014-2015, près de quatre personnes de 30 à 59 ans sur dix considèrent que le niveau ou le statut de leur profession est plus élevé ou bien plus élevé que celui de leur père. À l’inverse, un quart des personnes expriment un sentiment de déclassement.

La profession, le milieu d’origine et la trajectoire sociale expliquent avant tout ce ressenti. Ainsi, 36% des ouvriers et employés non qualifiés et 53% des personnes occupant une moins bonne position sociale que leur père se sentent déclassés. Le sentiment de déclassement, tout comme celui d’ascension sociale, concerne tous les milieux sociaux : environ un cadre sur cinq estime que sa position sociale est moins élevée que celle de son père ; environ un employé ou ouvrier non qualifié sur cinq considère occuper une meilleure position sociale que son père.

Parmi les employés et les ouvriers, le sentiment de déclassement varie très fortement, de 16% à 45%, pouvant refléter des différences de conditions d’emploi, de rémunérations ou encore de prestige des professions.

Par rapport à leur père, les femmes se sentent plus souvent déclassées que les hommes (27 % contre 23 %), en lien avec des situations plus défavorables sur le marché du travail. Mais par rapport à leur mère, seules 11 % se sentent socialement déclassées, reflet de la profonde transformation de la place des femmes sur le marché du travail sur une génération.

Tiaray Razafindranovona, division Emploi, Insee

ISCOM PARIS lance son startup challenge auprès de ses 451 étudiants

Les futurs diplômés des programmes de 5e année à ISCOM PARIS (Institut Supérieur de Communication), participent depuis hier à l’Audacity Week, un challenge visant à créer sa startup en une semaine. Entièrement effectué en anglais, ce challenge de 30 startups vise à promouvoir l’esprit d’entreprise parmi les Iscomiens et à nourrir le parcours d’entrepreneuriat de l’ISCOM PARIS. Il donnera lieu, ce vendredi 7 juillet, au pitch de 5 projets finalistes devant un jury d’investisseurs.

Du 3 au 6 juillet : un bootcamp encadré par des professionnels de l’entrepreneuriat

À l’image de l’émission entrepreneuriale américaine « Shark tank », les jeunes entrepreneurs de 30 startups auront 10 minutes pour pitcher leur projet le jeudi 6 juillet. Un format innovant qui oblige les étudiants à se dépasser et à faire preuve de conviction.

Pour les aider, ils bénéficieront pendant toute la semaine de l’accompagnement d’experts comme :

  • Pascal Condamine, Project Evangelist chez Indiegogo
  • Ève Chegaray, Chroniqueuse Entrepreneuriat & Innovation chez BFM Business
  • Catherine Torterat, Chargée de mission chez Union des Couveuses de France

Les startups présenteront de nombreux projets, dans des secteurs aussi divers comme le secteur sportif, le milieu médical ou les nouvelles technologies.

À l’issue de cette pré-sélection, 5 finalistes pourront défendre leur startup face à de vrais investisseurs, le lendemain, le vendredi 7 juillet.

Vendredi 7 juillet : une finale devant des investisseurs à ISCOM PAris

Les 5 startups finalistes pitcheront devant un jury d’investisseurs (BPI, Initiative France, Frenchtech Normandy, NFactory, etc.) et tenteront de décrocher un soutien (financier et/ou en accompagnement) pour lancer leur projet.

ISCOM, école supérieure de communication et publicité, forme ses étudiants à des postes à responsabilité, impliquant vision stratégique et maîtrise opérationnelle de la fonction communication dans l’entreprise. L’école les dote d’une culture managériale humaniste, associée à la conscience du résultat et au sens de l’intérêt collectif.

ISCOM a intégré de manière systématique l’entreprise à sa pédagogie, dont les spécialisations couvrent l’ensemble des métiers de la communication : communication globale des entreprises et des marques, marketing/publicité, communication et création numérique, relations publiques, presse, événementiel.

ISCOM, 1 réseau de 7 écoles en France : Paris, Lille, Lyon, Montpellier, Rouen , Strasbourg et Toulouse

Finale le vendredi 7 juillet à 13h00 à ISCOM PARIS
4, Cité de Londres, 75009 Paris

ISCOM PARIS

6 mesures pour accroître l’attractivité des établissements d’enseignement supérieur

Pour la première fois et pour répondre à un contexte international de plus en plus concurrentiel, la Conférence des Présidents d’Université (CPU), la Conférence des directeurs des écoles françaises d’ingénieurs (CDEFI), la Conférence des grandes écoles (CGE) et le Forum Campus France proposent conjointement à la Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation six mesures pour accroître l’attractivité des établissements français d’enseignement supérieur auprès des étudiants étrangers.

Pour plus d’attractivité des établissements français d’enseignement supérieur

Ces propositions présentée à Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, par les trois conférences et le forum Campus France portent sur :

  • le renforcement des bourses du gouvernement français ;
  • une campagne mondiale de communication ;
  • une augmentation des moyens alloués aux établissements pour l’accueil des étudiants et chercheurs étrangers ;
  • une simplification des processus de candidature et le développement de formations innovantes ;
  • une simplification du séjour des étudiants et jeunes chercheurs étrangers ;
  • le développement de la mobilité sortante des étudiants français.
Frédérique Vidal enseignement supérieur
Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (photo du Gouvernement)

Le texte commun détaillant chacune de ces six mesures a été remis ce matin à Frédérique Vidal, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, à l’occasion des Rencontres de la Recherche et de l’Innovation de Campus France. Cet événement se tient du Lundi 3 Juillet au Mercredi 5 Juillet à la Cité des sciences et de l’industrie à Paris.

Pour information : selon l’Unesco, le nombre d’étudiants en mobilité diplômante dans le monde a été multiplié par deux en douze ans, passant de 2 170 000 en 2002 à 4 300 00 en 2014. Après plusieurs années, comme troisième pays de destination, derrière les USA (842 000 étudiants) et le Royaume-Uni (428 000), la France vient de passer à la quatrième place derrière l’Australie (266 000).

Chiffres clés de la mobilité internationale des étudiants

PJ : la note commune CPU/CDEFI/CGE/Forum Campus France sur les mesures nécessaires pour accroître l’attractivité des établissements français d’enseignement supérieur

  • À propos de la CPU
    Fondée en 1971, la Conférence des présidents d’université (CPU) rassemble les dirigeants exécutifs des universités et établissements d’enseignement supérieur et de recherche afin de porter la voix et les valeurs des universités dans le débat public. Elle comprend actuellement 130 membres (présidents d’université, directeurs d’écoles normales supérieures, d’INP, d’INSA, administrateurs généraux) mais également des membres associés.
    Force de proposition et de négociation auprès des pouvoirs publics, des différents réseaux de l’enseignement supérieur et de la recherche, des partenaires économiques et sociaux et des institutions nationales et internationales, la CPU réagit aux évolutions du monde de l’enseignement supérieur et de la recherche et propose des éléments de transformation.
    Dans un contexte de profondes mutations du secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche, la CPU a également un rôle de soutien aux présidents dans leurs nouvelles missions et de promotion de l’Université française et de ses valeurs en France et à l’étranger.
    Pour en savoir plus : www.cpu.fr
  • À propos de la CDEFI
    Fondée en 1976, la CDEFI (Conférence des directeurs des écoles françaises d’ingénieurs) réunit l’ensemble des directeurs et directrices des établissements ou composantes d’établissements, publics ou privés, accrédités par la Commission des titres d’ingénieur (CTI) à délivrer le titre d’ingénieur diplômé. Elle a pour principale mission d’étudier tous sujets relatifs au métier et à la formation des ingénieurs, ainsi qu’au développement de la recherche et à la valorisation de celle-ci. Elle a, de plus, vocation à promouvoir l’Ingénieur de l’école française, dans le monde comme en France. Ainsi, la dimension internationale est au cœur de ses préoccupations, notamment dans l’espace européen de l’enseignement supérieur et de la recherche.
    Pour en savoir plus : www.cdefi.fr 
  • À propos de la CGE
    Créée en 1973, la Conférence des grandes écoles (CGE) regroupe 223 établissements d’enseignement supérieur et de recherche français et étrangers, représentant tout le spectre des formations supérieures en Grandes écoles de niveau Master et au-delà. Assurant une formation de masse (41 % des Masters délivrés chaque année en France) et de recherche intensive, les Grandes écoles mettent en cohérence un projet pédagogique en fonction du profil de l’étudiant et des débouchés professionnels. Think tank pour l’enseignement supérieur et la recherche, et défenseur des intérêts des Grandes écoles, la Conférence accrédite aussi des formations (MS, MSc, BADGE, CQC). Les 265 membres de la CGE (Grandes écoles, entreprises et organismes) permettent à la France de proposer une offre de formation et de recherche à déclinaisons multiples.
    Pour en savoir plus : www.cge.asso.fr
  • A propos du Forum Campus France
    Prévu par le décret constitutif du 30 décembre 2011, le Forum Campus France permet l’association la plus large de tous les établissements français susceptibles de représenter à l’étranger la qualité et l’originalité de notre enseignement supérieur.
    Les établissements d’enseignement supérieur, regroupés au sein de ce Forum, sont chargés d’émettre des recommandations au conseil d’administration pour la promotion à l’international de l’enseignement supérieur français.
    La coordination des travaux du Forum Campus France, est assurée par un Bureau, présidé par un représentant de la Conférence des Présidents d’Université (CPU) et de deux vice-présidents issus respectivement de la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) et de la Conférence des Directeurs des Ecoles Françaises d’Ingénieurs (CDEFI).
    Aujourd’hui, le Forum est constitué de 342 établissements d’enseignement supérieur français.
    Pour en savoir plus : www.campusfrance.org

Moda Domani Institute : Anne Kieffer Bouvier nommée à la direction

Moda Domani Institute, la business school des métiers du luxe de la mode et du design, membre de IONIS Education Group, créée par l’ISG en 2014, a accueilli sa directrice générale : Anne Kieffer Bouvier.

Moda Domani Institute change de direction

Anne Kieffer Bouvier.
Anne Kieffer Bouvier.

Anne Kieffer est en charge de diriger Moda Domani Institute (formation post-bac en 5 ans), de la faire rayonner dans les milieux concernés, de travailler avec les professionnels pour inventer et animer sa pédagogie vers une recherche d’excellence au service des 3 valeurs de l’établissement : ouverture, passion et initiative.

« Je suis convaincue que Moda Domani Institute sera l’acteur de référence de la formation aux métiers du luxe d’aujourd’hui et de demain, à travers son ouverture sur le monde, sa culture proche des nouvelles technologies et sa pédagogie innovante en mode agile qui panache cours structurants et projets en équipe pour répondre aux exigences des jeunes générations. La digitalisation du monde du luxe ouvre des horizons encore inconnus et ce challenge me passionne », déclare Anne Kieffer, directrice générale de Moda Domani Institute.

Parcours et formation

Diplômée d’un DESS de marketing à la Sorbonne, Anne Kieffer possède une solide expérience de 25 ans passés dans le conseil en marketing, la stratégie de communication, la culture, au sein de grands groupes internationaux (FCB, Saatchi, Lowe, Leo Burnet, Havas).

En 2002, elle a créé, au sein du groupe Havas chez Havas media, la première agence de communication par l’art pour les marques autour d’un nouveau modèle économique (« l’art est un media »), puis en 2012, elle a choisi de fonder sa propre structure pour se spécialiser dans le conseil en communication digitale et la formation. À ce titre, elle a assuré de nombreuses missions pédagogiques à Bordeaux pendant 3 ans en tant qu’intervenante au sein d’établissements d’enseignement supérieur positionnés sur le digital.

Elle a également participé à de nombreuses publications dans la presse et est auteur de 3 ouvrages : « Mettez de l’art dans votre com’» (publié en 2003 chez Eyrolles), « Histoire de la peinture des origines à nos jours » (Studyrama), « L’indispensable de la culture générale » (Studyrama).

Moda Domani Institute

Pascal Brunelet élu nouveau Président de Silver Valley

Silver Valley, l’écosystème francilien réunissant 300 acteurs de la Silver économie change de gouvernance. L’Assemblée Générale des adhérents de Silver Valley qui s’est réunie le vendredi 23 juin 2017 à Silver Innov’ a élu Pascal Brunelet au poste de nouveau Président. Ce dernier occupera cette fonction pendant les trois prochaines années, succédant à Jérôme Arnaud.

Une page se tourne pour Silver Valley : Jérôme Arnaud, Président du cluster francilien depuis 2012, quitte officiellement ses fonctions. C’est le deuxième grand changement dans la carrière de Jérôme Arnaud au cours de cette année. En effet, au mois de février 2017, il quittait également la présidence du Groupe suédois Doro – leader mondial de la téléphonie pour les seniors. Un choix stratégique qu’il jugeait nécessaire pour pouvoir se concentrer sur le lancement de sa propre structure : Silveraje Consult, cabinet de conseil en stratégie dédiée à la Silver économie.

Le nouveau Président de Silver Valley, Pascal Brunelet, est diplômé de l’ESSEC Business School et possède une expérience de plus de vingt-cinq ans à des postes exécutifs dans les univers de l’hôtellerie, de l’agro-alimentaire ou encore celui de la santé.

Dans les différentes fonctions de Direction Générale occupées, Pascal Brunelet a développé une réelle expertise et de multiples compétences associées à des résultats tangibles en France et à l’étranger. Aujourd’hui, il est également Président de Link Care Services : société développant des solutions technologiques dédiées au bien vieillir. La mission de l’entreprise s’inscrit dans une volonté de maintenir l’autonomie des personnes âgées, par la liberté d’aller et venir en sécurité.

Durant les dix années qui ont précédé son arrivée chez Link Care Services, Pascal Brunelet a été Directeur Général Délégué du Groupe Colisée. Ce dernier, avec plus de soixante établissements (Ehpad et SSR) et 2 500 collaborateurs, est le cinquième opérateur de maisons de retraite médicalisées en France.

Pascal Brunelet, nouveau Président de Silver Valley, commente ainsi son élection : « C’est un honneur d’avoir été élu et je tiens à remercier l’ensemble des membres de Silver Valley ainsi que le conseil d’administration. Nous allons poursuivre les actions engagées et développer ce beau projet à dimension sociétale et économique, afin de créer une dynamique vertueuse et pérenne de création de valeur et d’emplois autour de la Silver économie, permettant à chacun de nos membres et au territoire Francilien de gagner en visibilité, compétitivité et expertise.
Cette dynamique vertueuse sera rendue possible par la mise en réseau des compétences croisées et par l’interaction entre nos membres qu’ils soient start-up, scale-up, PME, Grand Groupe ou administration publique ».

Pascal Brunelet Silver Valley
Pascal Brunelet, nouveau Président de Silver Valley

À propos de Silver Valley

Créé en 2013, Silver Valley est un écosystème qui rassemble l’ensemble des acteurs de la filière Silver économie en Ile-de-France. Pour ce faire, elle met en place les conditions propices au développement de projets d’innovation et d’entrepreneuriat pour l’ensemble des acteurs publics et privés sur le territoire de l’Ile-de France afin de répondre aux besoins et aux usages des seniors et de leurs proches

E2C : création de la première École de la 2e Chance en Normandie

Une nouvelle École de la 2e Chance (E2C) a été officiellement inaugurée en Normandie, à Hérouville Saint-Clair, ce jeudi 29 juin. Édith CRESSON, ancien Premier Ministre et Présidente de la Fondation Edith CRESSON pour les E2C était présente à cette occasion au côté d’Hervé MORIN, Président de la Région Normandie et de Rodolphe THOMAS, Vice-président de la Région Normandie et Maire d’Hérouville Saint-Clair.

E2C École de la 2e Chance en Normandie Édith CRESSON

Le Réseau E2C France poursuit son développement en Normandie

Ouverte depuis janvier 2017, l’E2C Normandie a déjà accueilli et accompagné 62 stagiaires. Rappelons que les Écoles de la 2e Chance aident chaque année près de 15 000 jeunes sans qualification ni emploi à trouver une solution durable d’insertion sociale, citoyenne et professionnelle.

Déjà 118 sites-Écoles en métropole et Outre-mer

À ce jour, il existe 118 sites-Écoles répartis en métropole et outre-mer. Avec l’aide des principaux partenaires et financeurs (Régions, État, Fonds Européens, collectivités locales et territoriales, Taxe d’Apprentissage, entreprises), 8 nouveaux sites ont été ouverts depuis octobre 2016 : à Bergerac, à Toulon, à Fréjus, à Laval, à Lyon mais aussi à Hérouville Saint-Clair, à Fourmies et au Moule en Guadeloupe.

Alexandre SCHAJER
Alexandre SCHAJER

Pour Alexandre SCHAJER, Président du Réseau E2C France : « Le maillage national se poursuit, en un an le Réseau E2C France est passé de 110 à 118 sitesÉcoles. Plusieurs projets d’ouvertures sont en cours à Onet-le-Château (Rodez Agglomération) et à Marseille pour une deuxième École. Des projets sont également en cours d’études en Guyane, en Charente, dans l’Indre, le Var, les Alpes-de-Haute-Provence et dans les Pyrénées-Atlantiques. L’intention est de disposer d’une couverture homogène de l’ensemble du territoire français afin d’offrir à tous les jeunes adultes sortis du système scolaire sans diplôme ni qualification (NEETS), une égalité d’accès et de droit à une deuxième chance. Cette évolution, si les financeurs le souhaitent et la soutiennent, pourrait concerner un accompagnement à terme de 24 à 25 000 jeunes adultes dans un dispositif caractérisé par l’alternance en entreprise et l’externat. »

L’ensemble des coordonnées des 118 sites-Écoles du dispositif E2C sont accessibles via la cartographie interactive du site du Réseau E2C France : https://reseau-e2c.fr/cartographie-des-e2c

Le 19e  prix d’histoire François Bourdon remis à Anaïs BERTRAND

Pour la 19e édition du prix d’histoire de l’Académie François Bourdon-Le Creusot et de la Fondation Arts et Métiers : « François Bourdon, Techniques, entreprises et société industrielle », les membres du jury ont décidé de ne pas attribuer de prix pour la première catégorie (thèse, ouvrage, manuscrit d’une HDR) contrairement à l’an passé, mais on remarqué les travaux de madame Anaïs BERTRAND.

Anaïs BERTRAND récompensée

Le prix jeune chercheur a été attribué à Anaïs BERTRAND pour son mémoire de Master 2, LES MAISONS DE CHAMPAGNE REMOISES PENDANT LA GRANDE GUERRE. Produire et vendre des vins de luxe dans la « Ville-martyre » – (août 1914 – mars 1918.), Université de Reims Champagne-Ardenne

Comme le veut le principe du prix, le dix-neuvième jury était composé d’industriels et d’universitaires. Participaient à ce jury mesdames Claudine Cartier, Conservateur général honoraire du patrimoine, Anne Dalmasso, professeure d’histoire à l’Université de Grenoble-Alpes ; Nadège Sougy, Chercheuse associée ; Dominique Varinois, IA-IPR, rectorat de Bordeaux;, Gérard Chrysostome, ingénieur centralien ; Nicolas Coupain, Directeur du patrimoine chez Solvay, Jean-Claude Daumas, professeur émérite à l’Université de Franche-Comté ; François Labadens, ancien secrétaire général d’USINOR ; Philippe Mioche, professeur d’histoire émérite à Aix-Marseille Université ; Pascal Raggi, maître de conférences en histoire à l’Université de Lorraine ; Serge Wolikow, professeur d’histoire émérite à l’Université de Bourgogne;

Anaïs BERTRAND, LES MAISONS DE CHAMPAGNE REMOISES PENDANT LA GRANDE GUERRE. Produire et vendre des vins de luxe dans la « Ville-martyre » – (août 1914 – mars 1918.), Université de Reims Champagne-Ardenne

Pendant la Première Guerre mondiale, la ville de Reims connaît 1051 jours de bombardements et est détruite à près de 90% à l’issue du conflit. La « cité des Sacres » devient « ville-martyre » ; l’incendie de sa cathédrale en septembre 1914 devient un des symboles de la « barbarie allemande ». Les vins de Champagne, qui assurent un prestige et une force économique à la ville depuis le XIXème siècle, sont directement impactés par le conflit. Les sites de production sont détruits, les dirigeants et ouvriers mobilisés, les voies de circulation coupées. Pourtant, les maisons de négoce rémoises parviennent à maintenir une activité durant tout le conflit. Le mémoire de recherche propose ainsi de découvrir comment les familles de négociants, les cavistes et les vignerons sont parvenus à maintenir une production et une commercialisation d’un vin de luxe durant la Grande Guerre.

Académie François Bourdon
Cour du Manège-Château de la Verrerie
BP 60031
71201 Le Creusot Cedex
Tél. : 03 85 80 81 51

www.afbourdon.com

Anaïs BERTRAND prix d'histoire de l’Académie François Bourdon

iaelyon : le Master Management et Commerce International accrédité EPAS

Le 6 juin 2017, l’accréditation EPAS, EFMD Programme Accreditation System, a été renouvelée pour le Master Management et Commerce International de l’iaelyon – Université Jean Moulin pour 5 ans, soit la durée maximale.
L’iaelyon obtient ainsi la confirmation de la reconnaissance accordée par l’EFMD à ce Master depuis 2008.

L’accréditation confirme la perspective internationale du diplôme et des carrières auxquelles il prépare, l’équilibre entre rigueur académique et dimension professionnelle des enseignements ainsi que la qualité du niveau des étudiants et des enseignements. Les auditeurs ont particulièrement souligné l’agilité et la culture de développement de projets de l’iaelyon dans un contexte universitaire public français ainsi que la densité des partenariats socio-économiques de l’école de management sur ses territoires.

Le Master Management et Commerce International : 5 parcours de formation

Le Master Management et Commerce International constitue une des treize mentions de masters de l’iaelyon. Ce diplôme forme des managers experts en actions et décisions en contexte international.  Il propose 5 parcours de formation : Commerce Extérieur, Management des Activités Internationales, Manager des Affaires Européennes, International Business Realities (entièrement dispensé en langue anglaise) et un parcours individualisé (dispositif de formation à la carte à l’international).

Les activités conduites par les enseignants-chercheurs au sein de l’axe de recherche Management International du Centre de recherche iaelyon Magellan contribuent aux enseignements qui intègrent les avancées majeures des connaissances dans ce domaine.

Le Master Management et Commerce International est organisé en deux ans, avec deux parcours (langue anglaise ou française) durant la première année. Il forme 200 diplômés par an, dont 30% d’étudiants internationaux. La dimension internationale du Master est très présente tant par la diversité des profils des étudiants et des intervenants que le caractère international des contenus de cours et des études de cas.

Les partenariats spécifiques développés avec l’Université VSE à Prague (accréditée EQUIS et EPAS), l’Université de Turin, l’Université de Bamberg, l’Université de Tamkang (Taiwan) et l’Université de Bilbao permettent aux étudiants de préparer des double-diplômes. Cette formation est également proposée à Canton en partenariat avec l’Université Sun Yat Sen, à Casablanca et Tanger avec HEM Business School, à Abidjan avec l’Université Félix-Houphouët-Boigny, et au Burkina Faso avec l’Université de Ouagadougou.

Une reconnaissance des parties prenantes du diplôme

La démarche d’accréditation inclut la constitution d’un dossier d’auto-évaluation et un audit impliquant des entretiens avec plus de soixante-dix personnes durant deux journées : équipe de direction, enseignants, étudiants, diplômés, entreprises partenaires, services support (carrières et relations entreprises, international, qualité, communication). Dans une logique d’amélioration continue, cette démarche permet l’identification de points de progrès, conduisant à être « chaque jour meilleur » dans la réalisation des activités et la conduite des projets du diplôme.

Le renouvellement de l’obtention du label EPAS confirme les entreprises dans leurs choix de recrutement des diplômés, valorise les alumni et augmente l’attractivité du diplôme, tant sur le plan national qu’international. En interne, la démarche constitue un levier de changement pour l’ensemble de l’iaelyon, au-delà de la seule formation accréditée.

Cette reconnaissance conforte l’iaelyon dans ses objectifs de développement, pour continuer à rayonner et à compter, au plan national et international, parmi les écoles de management internationalement reconnues.

Une accréditation qualité internationale délivrée par l’EFMD et partagée par une centaine de programmes de formation à travers le monde

EPAS est un système international d’accréditation qualité de l’EFMD, the Management Development Network. Organisme dont l’action est reconnue dans le monde de l’enseignement supérieur international, l’EFMD joue un rôle clé dans l’approche de l’enseignement supérieur de la gestion et du management en travaillant à l’élaboration de standards internationaux de qualité. Le label EPAS est une évaluation internationale de diplômes de management, garantissant que leurs contenus et modes d’organisation sont conformes aux plus hauts standards internationaux.

L’EFMD est l’un des deux principaux organismes mondiaux de certification qualité des Ecoles de Management et Universités d’Entreprises. A ce jour, l’EMFD compte près de 900 membres dans 86 pays ; 172 Ecoles de Management bénéficient du label qualité EQUIS à travers le monde, et 102 diplômes de 76 Ecoles de Management sont accrédités EPAS.

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