Selon MOOVJEE plus d’1 étudiant sur 3 veut créer son entreprise

En amont du Salon de l’éducation qui aura lieu le 17 novembre 2017, MOOVJEE – CIC – AFE dévoilent dès à présent les résultats de leur baromètre en partenariat avec OpinionWay sur les étudiants et l’entrepreneuriat. 8 ans après une première sortie, les chiffres de l’édition 2017 montrent que l’entrepreneuriat gagne très nettement du terrain chez les étudiants et jeunes de lycéens professionnels. Au-delà de l’image positive qu’ils ont de ce qu’est un entrepreneur, le sondage révèle les freins et atouts identifiés à la création. Pour 66% un coup de pouce les inciterait à se lancer.

MOOVJEE

L’étude MOOVJEE – CIC – AFE

  1. L’envie d’entreprendre des lycéens professionnels et étudiants est toujours forte et même en progression

Selon le baromètre OpinionWay pour MOOVJEE – CIC – AFE 2017, 36% des jeunes interrogés ont envie d’entreprendre (+2% par rapport à l’étude précédente). 20% de ceux-là, pensent le faire pendant ou juste après leurs études (+7% par rapport au baromètre 2015, + 9% /2013, +7%/2009). Cette envie est également identifiable dans la bonne perception générale chez les jeunes de l’image de l’entrepreneur. Ainsi, 44% pensent que l’entrepreneur est quelqu’un de passionné, un leader (43%) et un créatif (36%). Cette image positive de l’entrepreneur chez les jeunes est également prégnante dans les motivations de création d’entreprises.

  1. Ils veulent entreprendre pour se faire leur propre expérience…

Les lycéens professionnels et étudiants conçoivent avant tout l’entrepreneuriat comme un moyen de travailler différemment en dehors de la sphère plus « classique » du salariat. Dans cette optique, ils valorisent notamment le fait de pouvoir être libre de leurs décisions (motivation importante et assez importante pour 87% d’entre eux), de se faire ses propres expériences (motivation importante et assez importante pour 87% d’entre eux) ou de montrer son potentiel (motivation importante et assez importante pour 85% d’entre eux).

Là encore ce sont des valeurs très positives qui sont associées au monde de l’entrepreneuriat.

  1. …mais restent réalistes quant aux difficultés à surmonter

Pour 95% des sondés, créer son entreprise en étant étudiant ou à la fin de ses études reste difficile. Ce chiffre reste stable depuis 2009 (premier sondage) oscillant entre 95% et 97%. S’ils ont conscience que les moyens financiers (71%) et l’expérience (50%) sont toujours des atouts dont ils ne disposent pas, ils comptent également sur ceux de leur jeunesse : l’enthousiasme (38%) et la capacité de travail (47%). Ces qualités constituent pour eux des avantages différenciants par rapport à leurs aînés. Ils ont également pleinement conscience que de nombreux obstacles jalonnent la création d’entreprise : le manque de liquidité de départ, le manque de confiance du marché et la méconnaissance de la création d’entreprise sont les trois éléments les plus fréquemment cités (respectivement 89%, 88% et 85% d’entre eux les identifie comme dans les principaux obstacles sur la voie de la création d’entreprise).

La question des soutiens est également primordiale dans la réussite d’un projet entrepreneurial et les sondés en ont bien conscience. Depuis le premier sondage de 2009, trois types de soutien se partagent le podium : en première place à chaque questionnaire, le soutien de la famille. Viennent ensuite en deuxième place ex aequo la possibilité de bénéficier du nouveau statut d’étudiant d’entrepreneur et le soutien d’organismes et d’associations dédiées.

  1. L’importance d’une aide financière à l’entrepreneuriat et l’accès à l’information

Pour 66% des étudiants et lycéens interrogés, une aide financière à l’entrepreneuriat changerait ou conforterait leur décision quant à la création d’une entreprise. 42% d’entre eux déclarent ainsi qu’ils n’ont pas encore l’intention de créer une entreprise mais qu’un dispositif dédié pourrait les faire envisager de le faire. 24% déclarent de leur côté qu’ils ont déjà un projet entrepreneurial et que cela les conforterait dans leur décision.

Pour Dominique Restino, Président Fondateur du Moovjee : « Nous accompagnons quotidiennement les jeunes entrepreneurs et cette notion de coup de pouce financier est capitale pour ceux qui souhaitent se lancer à l’issue de leurs études. Nous devons trouver les ressources pour les encourager et amorcer cette aventure qui permet de créer de la richesse et des emplois. »

Mais l’existence d’aides n’est pas en soit suffisante car faut-il encore que les publics concernés soient au courant des différentes aides disponibles. Une écrasante majorité (81%) des étudiants et lycéens n’ont pas été informés sur les dispositifs d’aides à la création d’entreprise. Ce chiffre est stable depuis le dernier sondage de 2015 et même en légère augmentation par rapport à la première enquête de 2009 (74%). Il existe donc un véritable déficit d’information en la matière depuis plusieurs années. « L’information est au cœur du choix entrepreneurial. Nous avons donc décidé de lancer le 17 novembre prochain, avec 15 partenaires KANGAE le premier portail web dédié à l’entrepreneuriat des 15-25 ans. Il met à leur disposition l’ensemble des ressources nécessaires pour les sensibiliser à l’esprit d’entreprendre et les accompagner dans leurs démarches entrepreneuriales, associatives ou de micro-projets éducatifs » explique Dominique Restino.

Graphique 1 : Vous-même, envisagez-vous un jour de créer ou reprendre une entreprise ?

création d'entreprise

Méthodologie

Etude réalisée par l’institut OpinionWay pour MOOVJEE-CIC-AFE après d’un échantillon de 1001 étudiants et lycéens en lycée professionnel, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, de type d’établissement et de région de résidence et interrogé en ligne entre le 25 septembre et le 2 octobre 2017.

A propos

Créé en 2009, par Dominique Restino et Bénédicte Sanson, deux entrepreneurs, le Moovjee (Mouvement pour les jeunes et les étudiants entrepreneurs) a pour mission d’accompagner les jeunes entrepreneurs de 18 à 30 ans dans leur développement personnel et la croissance de leur entreprise.

Le Moovjee a 3 axes d’action :

  • Accompagner les jeunes entrepreneurs au travers d’un programme de mentorat adossé à un pool d’expert métier bénévole
  • Promouvoir l’entrepreneuriat jeune par l’exemple avec une action phare, le Prix Moovjee national et généraliste
  • Animer une communauté de soutien et d’échange pour informer et faire grandir tous les jeunes qui souhaitent se diriger vers l’entrepreneuriat

Gérer et militer : la recherche-action de François Rousseau

La conférence « Gérer et militer : la recherche-action de François Rousseau » se déroulera le mardi 21 novembre 2017, 18h- 20h (accueil à partir de 17h30) au Crédit Coopératif (amphithéâtre), 12 boulevard Pesaro 92 024 Nanterre (RER A Nanterre Préfecture).

Elle est organisée à l’occasion de la publication du livre « Construire collectivement du sens : les apports de François Rousseau », coordonné par Christèle Lafaye.

Cleeress et le Crédit Coopératif vous invitent à échanger sur le thème de la gestion du sens dans les organisations.

Acteurs et chercheurs partageront leurs pratiques et leurs réflexions pour concilier gestion et militantisme, management et sens.

Ce livre regroupe les contributions de 16 acteurs qui s’appuient sur la thèse « gérer et militer » et la grille de lecture applicable à tout type d’organisation de François Rousseau (1956-2011), dirigeant d’entreprises de l’économie sociale et solidaire (ESS), à l’origine de l’atlas de l’ESS.

L’interaction entre les outils de gestion et la construction du sens de l’action/du projet seront au cœur de cette conférence. Managers, chief happiness officer, responsables RH, entrepreneurs, chercheurs, fans du bien-être au travail et de l’intelligence collective, acteurs qui réinventent des nouvelles façons de travailler, curieux souhaitant porter une attention renouvelée au monde, cette conférence est pour vous !

Inscription gratuite mais obligatoire : https://goo.gl/9n6qyc

Repenser le tourisme à l’ère des réseaux sociaux numériques

Colloque international sur la Recherche en Tourisme – CIRT – qui se tiendra à l’Ecole Supérieure de Technologie d’Essaouira, les 25 et 26 avril  2018, sous le thème : Repenser le tourisme à l’ère des réseaux sociaux numériques : Co-création, empowerment  et intelligence collective.

Repenser le tourisme à l’ère des réseaux sociaux numériques

APPEL A COMMUNICATIONS

Le développement des technologies numériques et des réseaux sociaux bouleverse les paradigmes économiques et sociétaux ainsi que l’ordre touristique mondial. Raccourcissement des distances, dématérialisation et plateformisation des canaux de distribution des prestations touristiques, redistribution du pouvoir entre les parties prenantes, conversion de la chaîne de valeur linéaire et cloisonnée en un réseau d’acteurs interconnectés… tels sont quelques éléments symptomatiques des mutations sectorielles et technologiques les plus visibles.

Les chercheurs et praticiens admettent que nous nous trouvons face à un vaste phénomène, qui redéfinit en permanence le rôle des acteurs ( Hudson et Thal, 2013, Noone, et al., 2011).  Ces derniers, à maturité inégale certes, convertis à la mise en scène de l’expérience et à la co-création de la valeur dans un environnement de plus en plus interconnecté, reconnaissent l’importance des réseaux sociaux dans les mutations que connait le tourisme. Néanmoins, plusieurs zones d’ombres ou  « trous structuraux » selon l’expression de Burt (1992) caractérisent la structure des réseaux sociaux et restent à explorer.

Sur le plan théorique, deux écoles se sont constituées pour repenser et théoriser les mutations sociales, économiques et organisationnelles, qui se font jour à l’ère des réseaux sociaux. Il s’agit de l’école de Harvard et l’école de Manchester. L’école de Harvard est marquée par une approche explicative, fondée sur la modélisation mathématique. Elle a développé « Social Network Analysis » (SNA) ou théorie des réseaux sociaux qui conçoit les relations sociales en termes de nœuds –  les acteurs sociaux dans le réseau – et de liens – les interactions entre ces nœuds-. La théorie des réseaux sociaux permet d’analyser simultanément l’action et son contexte relationnel, et peut à ce titre être érigée en véritable théorie de l’action. Cette perspective présente alors un intérêt pour la recherche en management du tourisme par la mobilisation des réseaux. L’école de Manchester quant à elle privilégie l’approche compréhensive par l’exploration des réseaux « personnels » en mettant l’accent notamment sur la signification et le sens des relations interpersonnelles. Cette seconde perspective présente alors l’intérêt d’approfondir la compréhension de la mutation des réseaux personnels vers des réseaux de communautés en ligne dans le secteur du tourisme.

En dépit de ce foisonnement théorique, il convient de souligner que la production de travaux sur la dimension numérique des réseaux sociaux ainsi que sur la complexité des interactions et des pratiques est relativement récente. Ce qui donne l’opportunité de vastes champs de recherche et de questionnement en management du tourisme.  Quel bilan peut-on tirer à la veille de la seconde décennie de recherche consacrée aux réseaux sociaux numériques ? Comment aborder la place, le rôle et l’impact des réseaux sociaux sur la demande touristique ? Quelle prospective pour les stratégies digitales de l’offre touristique ? Comment replacer cette évolution dans une perspective historique et prospective ?

Sur le plan empirique, les réseaux sociaux numériques ont modifié les frontières traditionnelles de l’entreprise en créant de nouveaux écosystèmes numériques hyperconnectés et surtout de nouveaux « business models », basés sur la recherche d’audience, de l’e-réputation et la construction de la marque. Cependant, les entreprises touristiques n’exploitent que peu le patrimoine informationnel et relationnel que leur offrent les réseaux sociaux et peinent à concevoir des stratégies efficaces et – surtout – spécifiques.  Un défi d’efficacité et d’efficience se pose alors à toutes les entreprises qui sont confrontées au déploiement de ressources et de capacités numériques dédiées et à la formation d’équipes capables de faire face aux changements perpétuels dans le marché, notamment en présence des géants de la distribution touristique (TripAdvisor, Booking, Hotels…).  Dans ce contexte, les réseaux sociaux renforcent clairement l’empowerment des consommateurs vis-à-vis des producteurs et des distributeurs de prestations touristiques au travers des compétences croissantes des usagers en termes de navigation et d’expérience sur les plateformes jusqu’à la maîtrise du processus de décision.

À partir de regards croisés mobilisant différentes approches théoriques, conceptuelles, épistémologiques et méthodologiques, ce colloque vise à renforcer la compréhension des problématiques managériales actuelles et futures du secteur touristique dans un contexte de profondes mutations.

Les propositions de communications  pourront s’inscrire dans l’une ou l’autre des thématiques suivantes (liste non limitative) :

  • Communauté en ligne, création et co-création de l’expérience touristique
  • Communauté en ligne, création et co-création de la valeur
  • Communauté de marque
  • Crowdcultures et stratégie d’organisation touristique
  • Stratégie de crowdsoursing dans le tourisme
  • Veille stratégique et réseaux sociaux
  • Veille informationnelle et réseaux sociaux
  • Réseaux sociaux et marketing territorial
  • Stratégie marketing et réseaux sociaux
  • Communication de crise et réseaux sociaux
  • Réseaux sociaux et nouveaux Business Models
  • Réseaux sociaux et marchés : BtoB, ou BtoC
  • Réseaux sociaux et performance organisationnelle
  • Réseaux sociaux et M-tourisme
  • Réseaux sociaux et Branding Co- Branding de destination
  • Réseaux sociaux et management évènementiel
  • E-Reputation
  • Engagement et satisfaction des consommateurs
  • Smart tourism, mobile tourism
  • Web sémantique

Actes du colloque et publication

Le comité scientifique du colloque procèdera à une double sélection parmi les communications présentées, pour publication dans le cadre de numéros spéciaux de deux revues :

  • Une des sélections sera orientée recherche en tourisme et proposée à la revue Téoros,
  • L’autre sélection sera orientée Management du tourisme et sera proposée à la Revue Management et Avenir (RMA).

Coordonnateur du colloque 

  • SAFAA Larbi – EST – Essaouira

Direction scientifique 

Comité scientifique

  • BEDARD François – UQAM – Montréal
  • BENAVENT Christophe Université Paris Ouest Nanterre La Défense
  • BENMOUSSA Mohamed – ENCG – Marrakech
  • BIDAN Marc – Polytech, Université de Nantes
  • BIOT-PAQUEROT Guillaume – ESC Dijon
  • JAZI Salima – ENCG Settat
  • LANQUAR Robert – ESC La Rochelle
  • MEVEL Olivier – Université de Bretagne Occidentale
  • MOISSERON Jean-Yves – IRD France
  • MOUTIA Anas – EST – Essaouira
  • OULD AHMED PEPITA, – IRD France
  • PEYPOCH Nicolas – Université de Perpignan Via Domitia-UPVD
  • SAIR Aziz – ENCG Agadir
  • TEBAA Ouidade – Université Cadi Ayyad – Marrakech
  • ZAHIR Mustapha – EST – Essaouira

Comité d’organisation 

  • HADACH Mohamed – EST – Essaouira
  • EL HOUSNI Khalid – EST – Essaouira

Calendrier

  • Date limite de réception des textes : 1 février 2018
  • Réponse aux auteurs : 20 mars 2018
  • Dates du colloque : 25 – 26 avril 2018.

Informations aux auteurs

Les textes doivent comporter un maximum de 45.000 signes, bibliographie, figures et illustrations incluses. Times New Roman 12, interligne simple :

  • Sur la première page figurent les noms et qualité du ou des auteurs, l’adresse électronique, le titre de la communication, et 4 à 5 mots clés.
  • Les propositions sont à adresser (sous format Word) à : colloque.este@gmail.co
  • Chaque proposition sera examinée par deux évaluateurs.

Frais d’inscription et de participation

  • Chercheurs et professionnels : 90 Euros
  • Doctorants: 50 Euros

Ces frais comprendront la documentation et la restauration.

Lieu Du Colloque 

École Supérieure de Technologie (EST) d’Essaouira – Université Cadi Ayyad

Hébergement 

Les participants au colloque bénéficieront d’un hébergement à tarif négocié. Une liste d’hôtels conventionnés sera communiquée ultérieurement.

Références 

  • BANERJEE, S., & CHUA, A. Y. (2016). In search of patterns among travellers’ hotel ratings in TripAdvisor. Tourism Management, 53, pp. 125–131.
  • DEGENNE A. et M. FORSE (1994), Les réseaux sociaux. Une approche structurale en sociologie, Paris, Armand Colin, coll. “U”, 1994.
  • BURT R. S. (1992) « Structural holes : the social structure of competition » Cambridge, Harvard University Press.
  • DEKHILI, Sihem, et HALLEM Yousra (2016) « Un touriste co-créateur est-il un touriste heureux ? Étude de l’impact de la co-création sur le bien-être du consommateur »,
  • Management & Avenir, vol. 85, no. 3, pp. 15-34.
  • FROW P. and PAYNE, A. (2011) ‘A stakeholder perspective of the value proposition concept’, European Journal of Marketing, 45, 1/2, pp. 223-240.
  • GRETZEL, U. (2012). Introduction to the section on Web 2.0 and travellers’ behaviour. In M. SIGALA, E. CHRISTOU, & U. Gretzel (Eds.), Social media in travel, tourism and hospitality: Theory, practice and cases (pp. 167–169). Surrey: Ashgate
  • HOLT, Douglas B. 2004), How Brands Become Icons: The Principles of Cultural Branding. Boston: Harvard Business School Press.
  • HUDSON, S., & THAL, K. (2013). The impact of social media on the consumer decision process: Implications for tourism marketing. Journal of Travel & Tourism Marketing, 30(1–2), 156–160.
  • LAMSFUS, C., XIANG, Z., ALZUA-SORZABAL, A., & MARTI´N, D. (2013). Conceptualizing context in an intelligent mobile environment in travel and tourism (pp. 1–11). Berlin: Springer.
  • LAZEGA E. (1998), Réseaux sociaux et structures relationnelles, Paris ; Que sais-je ? N° 3399, PUF.
  • MERCKLE P. (2004), Sociologie des réseaux sociaux, Repères, La Découverte, Paris.
  • NOONE, B. M., McGUIRE, K. A., & NIEMEIER, H.-M. (2011). Social media meets hotel revenue management: Opportunities, issues and unanswered questions. Journal of Revenue and Pricing Management, 10(4), 293–305.
  • XIANG, Z., & GRETZEL, U. (2010). Role of social media in online travel information search. Tourism Management, 31(2), 179–188.

Study in France Virtual Fair 2017

40 établissements d’enseignement supérieur français participeront au 1er salon virtuel de l’enseignement supérieur français « Study in France Virtual Fair 2017 » du 6 au 15 novembre prochains organisé par Campus France. Il fera rayonner l’excellence des formations supérieures en France au sein de 14 pays européens (Allemagne, Autriche, Croatie, Danemark, Estonie, Pologne, Finlande, Hongrie, Islande, Lettonie, Lituanie, Norvège, Roumanie, Suède).

Ouvert à tous les lycéens et étudiants, cet événement exceptionnel est une opportunité unique pour les étudiants de s’informer et  de rencontrer virtuellement les représentants des établissements de l’enseignement supérieur français.

Une plateforme interactive dédiée a été créée  afin d’orienter les étudiants dans le choix d’un cursus adapté et de leur expliquer les différentes procédures d’inscription à l’université, en écoles d’ingénieur, d’art et de commerce en France.

Ils auront également accès aux informations sur la vie d’étudiant en France, les frais d’inscription, le logement, les bourses accessibles.

Les établissements d’enseignement supérieur et les Espaces Campus France dans les pays concernés répondront en direct aux questions des étudiants européens au travers des Facebook Lives.

Enfin, un concours carte postale “Promote France as a study destination” est organisé jusqu’au 15 novembre et récompensera les étudiants les plus créatifs.

Les établissements participant au salon Study in France

Universités :

  • Université d’Angers
  • Université de Lorraine
  • Université de Bordeaux
  • Université franco-allemande
  • Université Catholique de Lille  -European School of Political and Social Sciences (ESPOL)

Ecoles d’ingénieurs :

  • Institut National Polytechnique Toulouse – Ecole Nationale d’Ingénieurs de Tarbes (INP-ENIT)
  • Institut National des Sciences Appliquées de Toulouse (INSA Toulouse)
  • Isara Lyon
  • Ecole Supérieure des Techniques Aéronautiques et de Construction Automobile (ESTACA)
  • EPF Graduate School of Engineering
  • Institut Textile et Chimique du Lyon (ITECH Lyon)
  • Institut Supérieur de l’Aéronautique et de l’Espace (ISAE SUPAERO)
  • EURECOM
  • Ecole Supérieure du Bois (Groupe ESB)
  • Ecole Centrale Lyon

Ecoles de commerce et de management :

  • ISG International Business School
  • ICN Business School
  • IESEG School of Management
  • HEC Paris
  • Toulouse School of Economics (Université Toulouse 1 Capitole)
  • ESSCA School of Management
  • EDHEC Business School
  • ESSEC Business School
  • ESDES Business School (Université Catholique de Lyon)
  • Aix-Marseille Graduate School of Management – IAE (Aix-Marseille University)
  • CNAM – International Institute of Management
  • ESDES Business School of Université Catholique de Lyon

Ecoles d’art :

  • Strate School of Design
  • Brassart, école supérieure de Design graphique et digital
  • Autograf
  • The Sustainable Design School
  • Mod’Spé Paris Fashion Business
  • Istituto Marangoni Paris
  • Mod’Art International

Ecoles spécialisées :

  • FERRANDI Paris
  • Institut Paul Bocuse
  • ISIPCA

Ecoles de langue :

  • Inflexyon
  • Fondation Robert de Sorbon
  • Azurlingua – Nice

Study in France

Jean-Claude Trichet nouveau président du GRAND JURY du PRIX TURGOT

Jean-Claude Trichet succède à Michel Bon à la présidence du GRAND JURY DU PRIX TURGOT du meilleur livre d’économie financière de l’année

Jean-Claude Trichet succède à Michel Bon

Après 10 années de présidence du grand jury du prix TURGOT présidé par Jean-Louis Chambon, et après avoir fêté le 30e anniversaire de ses éditions en mars dernier à Bercy en distinguant le prix Nobel Jean Tirole et les économistes Francis Kramarz et Philippe Tibi, Michel Bon souhaitait passer le témoin à Jean-Claude Trichet, ancien président de la Banque centrale Européenne, qui l’a accepté.

Jean-Claude Trichet présidera donc au jury de la 31e qui se tiendra à Bercy le 29 mars 2018.

Le président du Prix, Jean-Louis Chambon et les membres du jury, comme ceux du cercle TURGOT, ont tenu à remercier très chaleureusement Michel Bon qui restera membre du jury, pour son exceptionnelle contribution apportée à la notoriété du prix TURGOT et accueillent avec beaucoup d’honneur et d’émotion  l’arrivée du président Jean-Claude Trichet. Ce dernier ouvre une nouvelle page du rayonnement du prix TURGOT devenu le grand rendez-vous annuel de la littérature économique nationale.

Cercle TURGOT

Association régie par la loi du 1er Juillet 1901
Siège social : 14, rue Pergolèse – CS 11655 – 75773 PARIS Cedex 16

Centre de réflexions et d’analyses financières traitant des grands sujets économiques et sociaux, il a pour vocation d’encourager les auteurs, de favoriser la recherche fondamentale et appliquée dans ces domaines, la pédagogie, principalement en économie financière et de promouvoir les jeunes talents, économistes, auteurs et chercheurs.

L’association édite des ouvrages, des rapports, organise ou participe à des colloques, séminaires, conférences ou débats.

L’Association se compose, outre les membres d’honneur, de membres Fondateurs, Associés, Actifs, des lauréats des éditions du prix Turgot (27), des représentants de l’économie, de la finance et de l’Entreprise.

Les membres sont des esprits libres qui, à partir de points de vue pluralistes font connaître leurs réflexions dans des tribunes individuelles ou collectives, dans des conférences et dans des parutions collectives :

  • Repenser la planète finance sous la direction de Jean-Louis Chambon – 2009
  • Rigueur ou Relance, le dilemme de Buridan sous la direction de Nicolas Bouzou – 2010
  • La Chinamérique, sous la direction de Jean-Louis Chambon – 2011
  • Grandeur et Misère de la finance moderne, sous la direction de J-J. Pluchart et J-L.Chambon 2012
  • Après la récession, Inflation ou Déflation, sous la direction de Pierre Sabatier – 2013
  • Désordre dans les monnaies sous la direction de François Meunier et J-L. Chambon – 2014
  • Le shadow banking avec le labex de la Sorbonne sous la direction de J-J. Pluchart et Consatantin Melios – 2015 parues chez Eyrolles.

Le Cercle soutient l’événement annuel du prix Turgot du meilleur livre d’économie financière créé sous le haut patronage du ministère de l’Économie et des Finances, et le Prix FFA-Turgot de la Francophonie en étroite liaison avec l’Association des élèves et anciens élèves de l’Institut de haute finance, IHIFI institut créé par le président Pompidou en 1972.

  • Président d’Honneur et Fondateur : Jean-Louis CHAMBON
  • Président en exercice : François PEROL
  • Vice Présidents : Patrick COMBES – Philippe DESSERTINE – Nicolas BOUZOU
  • Secrétaire Trésorier : Michel GABET
  • Administrateurs : Michel BON – Frank BOURNOIS – Pascal BLANQUÉ – Jacques-Henri DAVID – Jean-Gilles SINTES – Jean-Bernard MATEU – Jean-Jacques PLUCHART – Pierre SABATIER – Michel SCHELLER – Yves MESSAROVITCH – Hubert RODARIE – Christian WALTER

Jean-Claude Trichet prix turgot

RIUESS Modernité des idées et pratiques fondatrices de l’économie sociale et solidaire

Colloque organisé par RIUESS sur le thème : “Modernité des idées et pratiques fondatrices de l’économie sociale et solidaire” du 16 au 18 mai 2018 au Campus Villejean à Université Rennes 2 par Pascal Glémain (Rennes 2) et Odile Castel (Rennes 1).

Laboratoire organisateur : Laboratoire interdisciplinaire de Recherches en Innovations Sociétales – LiRIS EA 7481 – Université Rennes 2

L’économie sociale et solidaire (ESS), bien qu’elle apparaisse aujourd’hui au cœur de nouveaux débats et de postures, demeure encore mal connue. Malgré cela de plus en plus nombreux sont celles et ceux qui s’en revendiquent, ou qui se positionnent par rapport à elle. L’économie collaborative ou de partage, le « social business », le financement par la foule (crowdfunding), l’aspiration à un modèle économique plus éthique, plus humain et, à une société plus saine, plus conviviale, sont autant d’expressions contemporaines qui viennent mettre à mal le débat séminal entre les tenants d’une économie sociale « historique » – celle des grandes familles institutionnelles (associations, coopératives, mutuelles et fondations) – et ceux qui défendent l’idée d’une économie solidaire qui ne repose pas seulement sur des statuts juridiques, mais également sur des assises à la fois sociales et politiques (économie communautaire aux États-Unis d’Amérique, économie populaire en Amérique Latine ou en Afrique), par exemple. Les deux mouvements interrogent les périmètres de l’ESS contemporaine, et nécessitent que les acteurs comme les citoyens y voient « plus clair » à son sujet.

L’objectif de notre colloque RIUESS 2018-Rennes est de contribuer à clarifier la vision de ce qu’est ou devrait être l’économie sociale et solidaire du XXIème siècle.

Pour cela il nous semble nécessaire de revenir sur les idées et les pratiques fondatrices, portées par les associations, les systèmes d’autogestion(s) et les stratégies et les principes d’émancipation, en interrogeant leur modernité dans le contexte du XXIème siècle. Dès le début du XIXème siècle, les ouvriers se regroupent dans des sociétés de secours mutuels, des associations de production, des 2 associations de consommateurs,… afin de mutualiser les risques, le travail, la demande,… Les mouvements ouvriers et paysans convergent en pensant la coopération contre le capitalisme et la concurrence.

La mutualisation et la coopération demeurent-elles encore des valeurs qui fondent les organisations de l’ESS ? Quid des associations, des mutuelles, des coopératives et des organisations de solidarités confrontées d’un côté au désengagement de l’État-providence du champ de la solidarité et d’un autre aux logiques de marchandisation. Historiquement, l’autogestion a été adoptée par les associations ouvrières et paysannes dès les débuts de la révolution industrielle. Cette pratique fortement présente dans les organisations de l’ESS, peut aussi concerner des entreprises à but lucratif. Comment l’autogestion est-elle pratiquée dans les organisations de l’ESS et dans les entreprises commerciales aujourd’hui ? S’émanciper, c’est s’affranchir d’un joug, se libérer de la servitude dans tous les domaines : moral, intellectuel, politique, économique et sociale. Les premières expériences ouvrières revendiquaient une volonté d’émancipation des ouvriers. L’émancipation est-elle encore au cœur des actions mises en œuvre par les organisations de l’ESS ? Ainsi, le colloque tentera d’apporter des réponses aux questions suivantes : En quoi, les organisations de l’ESS du XXIème siècle sont-elles les héritières de ces premières expériences fondées sur l’association, l’autogestion et l’émancipation ? Comment les organisations de l’ESS mettent-elles en œuvre aujourd’hui ces fondamentaux ? Comment ces fondamentaux ont-ils traversé deux siècles d’histoire à travers le monde ?

Axe 1 : S’associer      Axe 2 : S’autogérer Axe 3 : S’émanciper

Calendrier

La date limite de réception des propositions de communication est fixée au 22 janvier 2018. Ces propositions, de 1200 mots au maximum, doivent préciser le sujet, la méthodologie et le cadre théorique, et, être envoyées à odile.castel@univ-rennes1.fr en précisant l’axe auquel elle est destinée.

Chaque proposition sera évaluée en double aveugle par le comité scientifique. Les propositions devront posséder deux éléments distincts :

  •  Une fiche d’identification précisant le nom du ou des auteurs, ses qualités, le titre de l’intervention et un acronyme de cinq lettres.
  • La proposition proprement dite de 1200 mots au maximum identifiée par son seul acronyme précisant l’axe et comprenant une bibliographie indicative d’au moins cinq références.

Le comité scientifique fera parvenir sa réponse, acceptation ou refus, aux auteurs avant le 12 mars 2018. Les textes définitifs devront être envoyés au plus tard le 4 mai 2018.

Nous encourageons vivement les doctorants de troisième année de doctorat à soumettre une proposition de commission.

Un atelier doctoral se tiendra le mercredi 16 mai 2018 matin. Les résumés de thèse doivent être adressés selon les mêmes modalités de calendrier que ci-dessus à christianelolita.memdjofengtoche@etudiant.univ-rennes2.fr et yelome.kpodekon@etudiant.univ-rennes2.fr

Des numéros spéciaux ou des soumissions de papiers de recherche à des revues à comité de lecture sont envisagés (Politiques & Management Publics, RECMA-revue internationale d’économie sociale, 5 ENSO, entre autres), ainsi qu’un ouvrage collectif dans la collection « économie, gestion et société » des Presses Universitaires de Rennes. Les soumissions éligibles seront signalées à l’issue du colloque.

Comité local d’organisation Alain Aminstas, Amélie Bellion, Julien Bouillé, Odile Castel, Simon Cornée, Frédérique Chédotel, Pascal Glémain, Annie Gouzien, Esther Kpodekon, Madeg Le Guernic, Anne-Laure Le Nadant, Catherine Malecki, Michel Renault, Sandrine Rospabé, Lolita Toche, Jennifer Urasadettan.

Comité scientifique RIUESS Michel Abhervé, Alain Amintas, Julien Bouillé, Elisabetta Bucolo, Gilles Caire, Odile Castel, Frédérique Chédotel, Josette Combes, Simon Cornée, Eric Dacheux, Hervé Defalvard, Sandrine Emin, Laurent Gardin, Patrick Gianfaldoni, Pascal Glémain, Laëtitia Lethielleux, Thomas Podlewski, Vincent Lhuillier, Carmen Parra, Michel Renault, Jennifer Urasadettan, JeanLaurent Viviani.

Comité scientifique Jérôme Blanc, Marie Bouchard, Catherine Deffains-Crapsky, Jean-Laurent Viviani, Jacques Defourny, Danièle Demoustier, Jean-François Draperi, Marc Humbert, Jean-Louis Laville, Jorge Munoz, Henri Noguès, Marthe Nyssens

Membres internationaux invités (à confirmer) Pr. Marc Labie –CERMi Université de Mons Belgique, Pr. Richard McIntyre – Université de Rhodes Island-Etats Unis d’Amérique, Pr. Andréa Bassi – Université de Bologne Italie, collègues de l’Université de Yaoundé au Cameroun, Pr. Luisa Esteban, Université de Saragosse en Espagne.

Partenaires connus Caisse de Dépôts et Consignation, Banque de France, Groupe MAIF, Groupe Up (ex-chèque déjeuner), Crédit Coopératif, CDC, Région Bretagne, Conseil départemental d’Ille-etVilaine, Collège Coopératif en Bretagne, CRESS Bretagne.

Pour tous renseignements

  • Odile Castel, Maître de Conférences en Economie, Chercheure au LiRIS EA 7481, Université de Rennes (Rennes 1) odile.castel@univ-rennes1.fr
  • Pascal Glémain, Maître de Conférences-HDR en Gestion, HDR en Economie, chercheur et codirecteur du LiRIS EA 7481, Université de Rennes (Rennes 2) pascal.glemain@univ-rennes2.fr

Contacts institutionnels Laboratoire interdisciplinaire de Recherche en Innovations Sociétales –LiRIS EA 7481 Maison de la Recherche en Sciences Sociales. Université Rennes 2. Place du Recteur Henri Le Moal. CS24307 35043 Rennes cedex

  • Elise Ramos, Gestionnaire de Recherche, elise.ramos@univ-rennes2.fr /02 99 14 17 13
  • Catherine Malecki, Professeur des Universités en Droit, co-directrice : catherine.malecki@univ-rennes2.fr
  • Pascal Glémain, MCF-HDR en Gestion et HDR en Economie (ESS), co-directeur : pascal.glemain@univ-rennes2.fr

Appel complet sur http://www.univ-reims.fr/minisite_92/media-files/8371/appel-a-com-riuess-2018-rennes.pdf

La doctrine sociale de l’Eglise face aux mutations de la société

L’Académie catholique de France organise un prochain colloque aux Bernardins à Paris le samedi Samedi 16 décembre 2017- de 9 h 30 à 18 h 00 – sur le thème : “La doctrine sociale de l’Eglise face aux mutations de la société”. Sous le haut patronage du Cardinal Peter Turkson, président du dicastère.

Programme complet – Inscription

Rerum novarum pour les entreprises

Jean-Yves Naudet précise : “Depuis Rerum novarum, l´Eglise offre aux hommes de bonne volonté le trésor de son enseignement social. Le magistère en a posé les principes et tiré les conséquences face aux mutations de la société. Ainsi, selon Benoît XVI : « La doctrine sociale de l´Eglise éclaire d´une lumière qui ne change pas les problèmes toujours nouveaux qui surgissent » (CIV § 12). Pour cela, le magistère fait appel aux diverses disciplines du savoir.”

Nouvelle doctrine sociale de l’Eglise

L´Académie catholique de France souhaite apporter sa contribution à cette recherche des mutations prévisibles de nos sociétés. Dans ce but, elle a créé un groupe de travail pluridisciplinaire et organise, en lien avec d´autres institutions, un colloque, présidé par le cardinal Turkson, débouchant sur des publications et des propositions. Elle a retenu huit domaines en mutation, que la Doctrine sociale devra prendre en compte.

______________
Académie Catholique de France : la doctrine sociale de l’Eglise
Collège des Bernardins
20 rue de Poissy, Paris Ve

Harcèlement : 82% des Français pensent qu’il n’est plus possible de séduire au travail

Qapa.fr, partenaire emploi de tous les français, a interrogé* plus de 4,5 millions de Français sur les graves et complexes questions du harcèlement sexuel sur le lieu du travail. Un phénomène qui au-delà du caractère tragique et condamnable pose également des problèmes de comportements liés à la séduction. 

  • 45% de femmes et 36% d’hommes ont été harcelés par un(e) supérieur(e) hiérarchique
  • 52% Français trouvent l’opération #BalanceTonPorc bénéfique
  • 27% des hommes avouent avoir déjà été accusé d’harcèlement
  • Le projet de loi en 2018 de la secrétaire d’Etat à l’Egalité des femmes et des hommes, ne changera absolument rien pour 73% des femmes et 70% des hommes interrogés

Qui harcèle qui au travail ?

Le monde du travail n’échappe pas à la règle sur la grave question du harcèlement sexuel… 52% des femmes déclarent y avoir été victimes, ce qui est également le cas pour pratiquement 1 homme sur 3 (27%). Pour la grande majorité, c’est un ou une supérieur(e) hiérarchique qui en ait la cause (45% pour les femmes et 36% pour les hommes).  A noter que 54% des hommes s’estiment également avoir été harcelés par un ou une collègue.

Avez-vous déjà été victime de harcèlement sexuel sur votre lieu de travail ?
Réponses Femmes Hommes
Oui 52% 27%
Non 48% 73%
Si oui, par quelle personne ?
Réponses Femmes Hommes
Un(e) collègue 33% 54%
Un(e) client(e), partenaire 22% 10%
Un(e) supérieur(e) hiérarchique 45% 36%

On en parle… mais sans dénoncer légalement !

Si 72% des femmes avouent en avoir parlé à quelqu’un seulement 4% déclarent avoir été jusqu’au dépôt de plainte. De leur côté, les hommes restent plus renfermés puisque seulement 33% ont brisé le silence et seulement 1% ont déposé plainte.

En avez-vous parlé à quelqu’un ?
Réponses Femmes Hommes
Oui 72% 33%
Non 28% 67%
Avez-vous déposé une plainte ?
Réponses Femmes Hommes
Oui 4% 1%
Non 96% 99%

Dénoncer sans jugement : c’est bien ou mal ?

L’affaire Weinstein et les mouvements sociaux type #BalanceTonPorc autour de la dénonciation des harceleurs sous la forme d’une tribune populaire, divisent les Français. Si la plupart en ont entendu parlé (72% des Français), 58% des femmes et 45% des hommes trouvent ces initiatives bénéfiques. Pour les autres, 25% des femmes et 37% des hommes considèrent ces actions problématiques et voire dangereuses pour 17% des femmes et 18% des hommes.

Sur les réseaux sociaux, avez-vous entendu parlé du mouvement #BalanceTonPorc, afin de témoigner d’actes ou d’expériences d’harcèlements sexuels ?
Réponses Femmes Hommes
Oui 71% 72%
Non 29% 28%
Ce genre de tribune populaire est pour vous :
Réponses Femmes Hommes
Bénéfique 58% 45%
Problématique 25% 37%
Dangereux 17% 18%

Qui a été harceleur(se) ?

Pour tout harcelé(e), il existe irrémédiablement un ou une harceleuse. Pourtant, seulement 7% des femmes avouent avoir été qualifiées de ce terme alors que 19% des hommes disent avoir été accusés d’harcèlement.

Avez-vous déjà été qualifié(e) par quelqu’un d’harceleur(se) face à une incompréhension de la personne ?
Réponses Femmes Hommes
Oui 7% 19%
Non 93% 81%

Une loi ! Pour quoi faire ?

Pour la grande majorité des Français, le projet de loi déposé en 2018 par la secrétaire d’État à l’Égalité des femmes et des hommes, ne changera absolument rien. C’est ce que déclarent 73% des femmes et 70% des hommes interrogés.

Le projet de loi qui sera déposé en 2018, par la secrétaire d’Etat à l’Egalité des femmes et des hommes, va-t-il changer la donne ?
Réponses Femmes Hommes
Oui 27% 30%
Non 73% 70%

La peur des transports

S’il existe au travail, c’est dans les transports que les Français ont le plus peur du harcèlement. Il s’agit du pire endroit pour 45% des femmes et 39% des hommes, devant le bureau avec 29% pour les femmes et 33% pour les hommes.

Où avez-vous le plus peur d’être harcelé(e) ?
Réponses Femmes Hommes
A mon domicile 8% 3%
Au travail 29% 33%
Dans les lieux publics, ou la rue 18% 25%
Dans les transports 45% 39%

La fin de la drague au boulot ?

A la question ” Pensez-vous qu’il est encore possible de draguer sur le lieu de travail ?”, 85% des femmes et 78% des hommes interrogés pensent que non ! Et pour les rares optimistes, seulement la moitié des femmes (54%) pensent pouvoir encore séduire en toute sérénité alors que les hommes ne sont plus que 48% à y croire.

Pensez-vous qu’il est encore possible de draguer sur le lieu de travail ?
Réponses Femmes Hommes
Oui 15% 22%
Non 85% 78%
Si oui, allez-vous encore oser draguer en toute sérénité ?
Réponses Femmes Hommes
Oui 54% 48%
Non 46% 52%

* Méthodologie : sondage effectué par e-mailing auprès de 4,5 millions de candidats actifs sur la base Qapa.fr entre le 10 et 18 octobre 2017. Profils des personnes interrogées : 51% de femmes et 49% d’hommes. Toutes les informations mises en avant sont déclaratives. Tranches d’âges : 2% de 18-24 ans, 20% de 25-34 ans, 44% de 35-44 ans, 32% de 45-54 ans et 2% de plus de 55 ans.

15e Université d’Hiver de la Formation Professionnelle (Biarritz)

L’Université d’Hiver de la Formation Professionnelle (UHFP) aura lieu à Biarritz du 31 janvier au 2 février 2018, sur le thème : Compétences, transitions, pratiques : le défi de l’innovation.

Organisée par Centre Inffo tous les 2 ans, l’UHFP est le rendez-vous incontournable des acteurs et des professionnels de la formation. C’est le lieu idéal pour échanger sur les enjeux et sur les pratiques de l’orientation et de la formation professionnelle.

Rappelons que Centre Inffo, référent en matière d’information et de documentation sur la formation continue, développe à la fois une offre de formation professionnelle, une expertise juridique et documentaire, une dimension d’ingénierie et de conseil ainsi qu’un rôle d’animateur du débat public. Pour cela, il dispose d’une équipe d’experts, juristes, consultants, documentalistes, journalistes et professionnels du multimédia. Cette édition 2018 se tiendra alors même que le Gouvernement aura envisagé les bases d’une réforme de la formation professionnelle.

Transformation numérique et innovation solidaire

L’impact de la transformation numérique sera analysé dans une série de conférences et d’ateliers : la place de l’intelligence artificielle dans la formation ; les Nouveaux supports pédagogiques (MOOC, SPOC, blendedlearning). Autant de sujets fortement débattus par les professionnels alors que les nouvelles technologies transforment rapidement les métiers et les formations. Autre sujet : l’innovation solidaire, avec plusieurs thèmes de réflexions : Comment favoriser l’insertion et la reconnaissance par des nouveaux parcours pédagogiques ? Comment favoriser l’accès de tous à la formation ?

Les neurosciences au cœur de la formation de demain

Le jeudi 1er février, une conférence s’interrogera sur la manière dont les neurosciences peuvent contribuer à améliorer nos modèles d’apprenance. Alors que de nouvelles méthodes permettent d’explorer les différences de fonctionnement du cerveau d’un individu à l’autre, l’avenir est peut-être à des formations 100% personnalisées et accessibles à tout moment.

Récompenser les projets innovants

Autre nouveauté: les 1ers Innov’Trophées. Créés par le Fonds Paritaire de Sécurisation des Parcours Professionnels (FPSPP), le Copanef, en partenariat avec Centre Inffo, ces Trophées de l’innovation en Formation récompenseront des pratiques, des méthodes et des expériences très innovantes dans le domaine de la formation.

Plus d’infos : http://www.centre-inffo.fr/uhfp/#accueil

Richard Thaler reçoit le Nobel d’économie

Richard Thaler est professeur de l’économie comportemental  au sein de l’Université de Chicago Booth School of Business.

La conférence

Richard Thaler récompensé pour la théorie la manipulation bienveillante

L’Académie royale suédoise l’a honoré pour sa contribution sur la recherche sur l’économie comportementale, un domaine relativement nouveau qui comble l’écart entre l’économie et la psychologie.

L’auteur des best-sellers Misbehaving: The Making of Behavioral Economics (2015) et Nudge (2008), à travers ses recherches a démontré comment des caractéristiques humaines affectent les décisions individuelles et les orientations des marchés.

Richard Thaler devient ainsi 89e chercheurs de l’Université de Chicago Booth School of Business à recevoir le Prix Nobel. En plus de Richard Thaler, cinq membres actuels du corps professoral de l’école sont des lauréats du prix Nobel en économie : Eugene Fama et Lars Hansen (2013), Roger Myerson (2007), James Heckman (2000) et Robert E. Lucas Jr. (1995).

Richard Thaler Nobel d'économie 2017

 

« Les coopératives : produire, commercer, consommer autrement »

Séminaire sur les coopérations marchandes

Equipe « Stratégies de marché et Cultures de consommation » CEREGE –MSHS

Le jeudi 9 novembre 2017

9H -17H 

École de Management de Normandie 
Campus de Paris
64 Rue du Ranelagh
75016 PARIS

Métro (Ligne 9 – Station Ranelagh) ou RER C (Station Boulainvilliers)

NOTE D’ORIENTATION

Le modèle coopératif est varié et se manifeste aux différents stades de l’activité marchande. Les entreprises coopératives représentent la 7e économie mondiale. Des formes multiples coexistent    (coopératives agricoles, de commerçants, de consommateurs, SCIC etc.). Les organisations coopératives marchandes se distinguent en termes de valeurs d’entreprises, tant en gestion interne (gouvernance, GRH…) qu’en relations externes (économie locale, formation du consommateur …).

A la suite du succès du premier séminaire sur les coopératives de consommateurs tenu le 2 juillet 2015 à la MSHS de Poitiers, l’équipe SMCC du CEREGE (Université de Poitiers), et l’Association pour l’Histoire du Commerce (AHC), organise un second séminaire sur le thème de l’évolution et de la prospective des modèles d’affaires de la coopération marchande dans toutes ses composantes : production, commerce, consommation.

Ce séminaire se déroulera en deux séquences principales : a) des communications de recherches académiques multidisciplinaires consacrées à l’histoire, à la gestion, à la sociologie économique et politique, et aux stratégies des coopératives. ; b) deux tables rondes réunissant des professionnels et des chercheurs sur des thèmes prospectifs concernant les nouvelles formes de coopérations marchandes

Table Ronde 1 : 11H-12H30 : Le modèle coopératif et le marché : quelle gouvernance, quels modèles d’affaires, quelles modalités d’intégration-confrontation avec le modèle socio-économique libéral ?

Table Ronde 2 (après-midi) : L’avenir des modèles coopératifs du commerce dans l’économie mondialisée et numérisée : défis et solutions, notamment pour le e-commerce

ORGANISATION

  • Les propositions de communication de 15 min doivent être envoyées pour le 4 octobre
  • Une participation aux frais de la journée de 20 euros à l’ordre de l’Association pour l’Histoire du Commerce est demandée lors de l’inscription.

MODALITÉ DE SOUMISSION

Proposition de communication : Le résumé de 1 à 2 pages comprendra la présentation des auteurs (nom, prénom, statut et institution), le descriptif de la problématique étudiée, la méthodologie, les principaux résultats, et une bibliographie indicative.

SUIVI ADMINISTRATIF ET INSCRIPTION
Maxine Johnson | johnson@iae.univ-poitiers.fr
Tél : 05 45 21 23 26

SUIVI SCIENTIFIQUE ET INFORMATIONS
Magali Boespflug | magali.boespflug@univ-poitiers.fr

n°285-286 – « Un trait d’Union ! »

« Un trait d’Union ! »

par Philippe Naszályi – Directeur de La RSG

consulter sommaire

Philippe Naszalyi LaRSG Stratégies et innovations

Au moment où de nombreux signes laissent à penser qu’enfin, notre plus fidèle ennemi, songe à prendre le large en bénéficiant de son insularité, la plus ancienne des revues francophones académiques de gestion, décide de tenter un « trait d’union » en publiant, pour la 1re fois un cahier en langue anglaise, consacré justement à « cultures and management ».
Il faut bien reconnaître que l’utilisation par l’anglais de ces deux mots d’origine latine ne peut qu’inciter à se laisser convaincre.

Le numéro précédent (284) était une porte ouverte sur la « philosophie et le management », ce numéro (285-286) ouvre une deuxième et certainement pas une seconde, porte culturelle.

J’ai tenu à ce qu’elle prenne tout son sens en enserrant ce cahier anglais, de deux dossiers où les Hommes (sans « écriture inclusive ») sont au centre des réflexions comme cela devrait l’être dans toute action humaine : « Hommes et entreprises » et « les commerces et les hommes », petit clin d’œil au magazine des anciens élèves d’HEC.

Ce cahier en langue anglaise, je l’ai confié à une femme, Mounia Benabdallah comme rédactrice en chef invitée car elle a su proposer un trait d’union entre les deux rives de la Manche ou de l’Atlantique, par la langue, mais aussi, entre les rivages lumineux de la Méditerranée. Les six articles proposés le sont au bout de la sélection assez impitoyable et longue de La RSG. C’est la cause de nos retards à publier, fréquents.

L’évaluation des papiers, avec une triple sélection constitue notre originalité. Elle est le gage que nous respectons les canons de la recherche, la vraie, pas la publiométrie.

Cette dernière est appelée à court terme à faire « flop », comme toutes les bulles malsaines. Ne dit-on pas en langage boursier : « les arbres ne montent pas jusqu’au ciel ! Il y a 10 ans tout juste dans un éditorial sur la crise financière que nous pensions, mieux que les Attali, Minc et autres, devoir advenir , « la banqueroute est au coin de la rue », nous évoquions déjà cette vérité cousue au coin du bons sens[1] .

La faute par excellence, depuis l’ὕϐρις (hybris) des tragiques grecs, la démesure,  toujours et sans cesse recommencée, amène les idiots utiles de toutes les collaborations, de tous les colonialismes, de tous les renoncements à chercher à inventer des tabourets pour essayer d’être enfin, un peu, quelque chose, puisqu’être quelqu’un leur est définitivement fermé.

Les classements, les rankings, les awards sur tous les sujets, les records, mêmes les plus stupides qui ravalent parfois l’homme à la bête, sont ces choses inutiles et dangereuses qui servent de tabourets pour ceux qui s’adjugent un pouvoir de classer les autres !

Tant que comme l’enfant, nous n’ouvrirons pas les yeux pour dire tout simplement « le roi est nu », nous continuerons, comme des sots à faire la cour ou à révérer ces monstres de vacuité que sont ces différentes « agences ou officines de notation » dont quelqu’un enfin posera t’il la question de leur légitimité.

On enseignait jadis dans les écoles publics de la République, cette célèbre réplique du vigoureux comte Adalbert de Périgord à son nouveau roi Hugues Capet « qui t’a fait roi ? »

Il manque à ce temps pas mal de vigueur et de courage !

———————

[1] « La banqueroute est au coin de la rue ou les arbres ne montent pas jusqu’au ciel ! » du n° 224-225, mars-juin 2007, pages 5 à 8,

17e conférence internationale de gouvernance – 4 et 5 juin 2018 à Nice

La 17e Conférence Internationale de Gouvernance (CIG) de l’Association Académique Internationale de Gouvernance (AAIG) réunira les chercheurs en gouvernance à Nice  (France) les 4 et 5 juin 2018.

Cet événement est organisé par le Groupe de Recherche en Management (GRM) en collaboration avec l’IAE de Nice et l’EDHEC Business School, Université Côte d’Azur.

Tous les travaux relatifs à la gouvernance des organisations seront considérés avec bienveillance, quels que soient les cadres d’analyse (économie, management, droit, sociologie, etc.), les approches (travail analytique, étude empirique, étude de cas, revue de littérature), les thématiques (conseil d’administration, rémunération des dirigeants, marché des prises de contrôle, rôle des diverses parties prenantes, responsabilité sociale des entreprises, etc.), et les cibles (dirigeants, investisseurs, autres parties prenantes, régulateurs, communauté académique).

Les papiers pourront être soumis en français ou en anglais à l’adresse suivante : walliser.iae.nice@free.fr au plus tard le 18 février 2018 (une version complète incluant le nom et l’affiliation des auteurs et un résumé, ainsi qu’une version anonyme).

Le comité scientifique communiquera la décision finale aux auteurs à partir du 18 mars 2018.
Des informations complémentaires seront disponibles sur le site internet de l’association : www.aaig.fr.

Elisabeth WALLISER (GRM, IAE de Nice) et Daniel HAGUET (GRM, EDHEC Business School).

Comité scientifique : ALBOUY Michel Grenoble Ecole de Management ALLEMAND Isabelle Université Bourgogne Franche-Comté, ESC Dijon-CEREN ANDRE Paul HEC Lausanne AUBERT Nicolas Université Aix-Marseille AUDOUSSET-COULIER Sophie Université Concordia BARNETO Pascal IAE, Université de Bordeaux BARROSO Raul IESEG Paris BATTEAU Pierre IAE, Université Aix-Marseille BAUWERAERTS Jonathan Université de Mons BÉDARD Jean Université Laval – Québec BERTHELOT Sylvie Université de Sherbrooke BESSIERE Véronique IAE, Université de Montpellier BESSIEUX-OLLIER Corinne Montpellier Business School BONNET Christophe Grenoble Ecole de Management BOISSELIER Patrick CNAM Paris BOZEC Yves HEC Montréal BROYE Géraldine EM Strasbourg BURKERT Michael  Université de Fribourg CABY Jérôme ESCE International Business School Paris CHARLETY Patricia ESSEC Business School CHARLIER Patrice EM Strasbourg CHARREAUX Gérard IAE, Université de Bourgogne CHOLLET Pierre MRM, Université de Montpellier COLOT Olivier Université de Mons CORMIER Denis UQAM DEFFAINS-CRAPSKY Catherine  Université d’Angers, UBL DE LA BRUSLERIE Hubert Université de Paris Dauphine DESBRIERES Philippe IAE, Université de Bourgogne DONG Minyue HEC Lausanne DOUKAKIS Leonidas HEC Lausanne DUBOIS Michel Université de Neuchâtel FRANCOEUR Claude HEC Montréal FILIP Andrei ESSEC Business School FINET Alain Université de Mons GIRARD Carine  Audencia Business School GIRERD-POTTIN Isabelle IAE, Université Pierre Mendès France Grenoble GODARD Laurence IAE, Université de Franche Comté GODOWSKI Christophe IAE, Université de Toulouse GOMEZ Pierre-Yves EM Lyon GUERY Loris Université de Lorraine, ISAM-IAE HAGUET Daniel EDHEC Business School Nice HIRIGOYEN Gérard Université Montesquieu Bordeaux IV  OLLANDTS Xavier Université d’Auvergne ISAKOV Dusan Université de Fribourg JENY Anne ESSEC Business School LAURIN Claude HEC Montréal LEDOUX Marie-Josée UQAM LE MAUX Julien HEC Montréal MAATI Jérôme IAE, Université de Lille 1 MAGNAN Michel Concordia University MARD Yves IAE, Université Clermont-Auvergne MARION Alain Université de Lyon MARMOUSEZ Sophie HEC Montréal MARSAL Christine IAE, Université de Montpellier MARSAT Sylvain IAE, Université Clermont-Auvergne MARTINEZ Isabelle Université de Toulouse III MISSONIER Franck Université de Fribourg MONACO Carole  Université de Mons MOULIN Yves ISAM-IAE, Université de Lorraine MOUSSU Christophe ESCP Europe OLIVERO Bernard Université Côte d’Azur, IAE, GRM PEREZ Roland Université de Montpellier PESQUEUX Yvon Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) PIOT Charles IAE, Université Pierre Mendès France Grenoble PORETTI Cédric Ecole hôtelière de Lausanne RAFFOURNIER Bernard HEC, Université de Genève POULAIN-REHM Thierry IAE, Université de La Rochelle ROGER Patrick Université Louis Pasteur, Strasbourg ROTH Fabrice IAE de Lyon, Université Jean Moulin Lyon 3 SCHATT Alain HEC Lausanne SERRET Vanessa  Université de Bretagne sud SERVE Stéphanie Université Paris-Est Créteil STEPHANY Eric IAE, Université de Montpellier STEVENOT-GUERY Anne Université de Lorraine – CEREFIGE VIVIANI Jean-Laurent IAE, Université de Rennes 1 WALLISER Elisabeth Université Côte d’Azur, IAE, GRM WIRTZ Peter Université Jean Moulin, Lyon 3 ZENOU Emmanuel Université Bourgogne Franche-Comté, ESC Dijon-CEREN

EBS Paris : Lamia Rouai nommée Directrice Générale

Lamia Rouai, nouvelle Directrice Générale de l’EBS Paris, prendra ses fonctions le 1er septembre 2017 et succède ainsi à Delphine Manceau qui rejoint Neoma Business School.

Lamia Rouai

Lamia Rouai : “la plus high-tech des écoles de management

Jusque-là Directrice Générale Déléguée de l’ECE Paris, Ecole d’Ingénieurs du Groupe INSEEC, Lamia Rouai connaît bien l’EBS Paris puisqu’elle a construit le partenariat et le double cursus entre l’EBS et l’ECE. Docteur en Physique de l’Université Pierre et Marie Curie (spécialité nanophysique), experte sur les sujets de pédagogie, elle est une spécialiste du secteur de l’enseignement supérieur dans lequel elle exerce ses activités depuis 15 ans.

La nomination d’une scientifique, rompue au management des écoles d’ingénieurs, pour piloter une école de management, est un signal fort, en parfaite cohérence avec l’identité de l’EBS Paris autour de l’international mais aussi de la nouvelle économie avec l’axe EDIC (Entrepreneuriat, Digital, Innovation, Créativité).  « Ce choix marque la volonté de notre école de rentrer dans la nécessaire interdisciplinarité. L’ADN pionnier demeure et je m’en réjouis » indique Catherine Lespine, Présidente du Groupe INSEEC.

« Je suis ravie de rejoindre l’EBS Paris et de poursuivre sa stratégie de développement en France et à l’international, notamment en accélérant le développement des programmes sur le campus de San Francisco. Il s’agit de faire de cette belle institution la plus high-tech des écoles de management » conclut Lamia Rouai.

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