20 ans d’apprentissage universitaire : état des lieux et réelle avancée

Alors que l’apprentissage au sein de l’enseignement supérieur fête cette année ses 20 ans, l’heure est au bilan.
Autrefois marginalisé et emprunté par défaut par les jeunes en échec scolaire, il conduit désormais jusqu’au MASTER et est devenu filière d’excellence. En 2010, on comptabilise 51 000
apprentis dans le supérieur.

Néanmoins, il est important de préciser que le nombre d’apprentis reste faible au plan national par rapport au
nombre total d’étudiants dans le supérieur (3% et 5,7% en région Ile de France) et qu’il connait une forte disparité entre les régions.

Ainsi, malgré un bilan nuancé, les acteurs de l’apprentissage : jeunes, entreprises et
universités, semblent avoir aujourd’hui pris conscience de ses avantages.

Pour les jeunes, l’apprentissage renforce l’égalité des chances en offrant une réelle opportunité en termes de
formation comme d’orientation.

L’étudiant, qui bénéficie d’un double encadrement ainsi que d’un suivi personnalisé, peut d’ores et déjà approcher
son métier et, dès le premier mois, se confronter aux exigences du milieu professionnel, aspect qui reste encore abstrait pour la plupart des jeunes universitaires. Dans un tel contexte,
l’apprentissage redonne le goût d’apprendre en permettant d’appliquer les connaissances théoriques acquises à l’université de manière concrète, mais également de prendre conscience de la
nécessité de renforcer celle-ci pour progresser.

Outre le savoir, l’entreprise joue un rôle essentiel dans l’acquisition d’un « savoir-faire », ainsi que
dans la construction du « savoir-être », éléments déterminants sur le marché de l’emploi.

Si les jeunes sont les premiers concernés, force est de constater qu’ils ne sont pas les seuls bénéficiaires de cet
apprentissage. Il constitue pour les entreprises un atout considérable en vue de la sortie de crise, particulièrement en matière de recrutement.

Enfin les universités, qui ont pendant longtemps fait preuve de scepticisme à ce sujet, s’en trouvent aujourd’hui
renforcées. En effet, grâce à l’apprentissage, l’image des universités et, de ce fait, le regard des entreprises sur celles-ci ont évolué.

L’apprentissage apporte à l’université, mais aussi aux enseignants et à leur disciplines, un regard particulièrement
neuf, davantage en adéquation avec la réalité de l’entreprise. Certains en viennent même, au terme de cet accompagnement, à reconsidérer une partie de leur enseignement afin de l’adapter
davantage au contexte professionnel d’aujourd’hui. De ce point de vue, l’apprentissage est un véritable levier de changement interne au sein de l’université.

Cependant, afin de réussir le lancement d’une formation en apprentissage, deux paramètres sont essentiels : tout d’abord l’existence d’un marché (offre de
contrats d’apprentissage), mais également la capacité de l’enseignant à communiquer son dynamisme à une équipe.

Le rôle du CFA est central à cette étape. Il assure l’interface entre les entreprises et les universités. L’approche
originale d’un partenariat à égalité de droits et de devoirs, du type de celui initié par le CFA Sup 2000 entre les établissements de formation publics et des entreprises est exemplaire. Il a été
repris depuis par d’autres CFA dans de nombreuses régions.  Les deux mondes de l’entreprise et de l’université apprennent à se connaître et
s’apprécier dans une démarche « gagnante- gagnante » pour les deux parties.

Josiane Tatin,
Directeur du CFA SUP 2000

4e édition du FORUM “OPERATION PHENIX”

Phénix offre aux diplômés des Master 2 Recherche en Lettres et Sciences Humaines la possibilité de postuler dans des entreprises pour des
postes en CDI au niveau cadre.

L’Opération Phénix rassemble cette année dix entreprises (Axa, Coca-Cola Entreprise, Danone, Eiffage, HSBC, Marine Nationale, L’Oréal,
PricewaterhouseCoopers, Renault, Société Générale) et dix universités partenaires (Paris 1- Panthéon Sorbonne, Sorbonne Nouvelle Paris 3, Paris-Sorbonne (Paris IV), Paris Descartes (Paris 5),
Paris 7-Denis Diderot, Paris Ouest Nanterre La Défense (Paris 10), Paris Est Créteil Val de Marne (Paris 12), Paris 13 Nord, Paris-Est Marne-la-Vallée, Cergy-Pontoise).

Trois partenaires rejoignent l’opération pour cette édition 2010 : une entreprise – Eiffage – et deux universités – Paris Ouest Nanterre
La Défense (Paris 10) et Paris 13 Nord.

 

8 avril prochain, de 10 heures à 18 heures :

 

Forum Phénix

Maison de la Cité Internationale Universitaire

Salon Honnorat

17 boulevard Jourdan

75014 Paris

 

Métro ligne 4, station Porte d’Orléans

Tramway T3, station Cité universitaire

 

Merci de
confirmer votre présence, avant le mercredi 31 mars par téléphone, au 01 56 03 13 79 ou par mail à tpapertian@i-e.fr

Remise des Trophées de l’Innovation Commerciale

Le mardi 13 avril, à 18h précises, Salle Raymond Aron (2e étage)

Université Paris-Dauphine, Place du Maréchal de Lattre de Tassigny, 75016 Paris

 

Vous êtes au coeur des problématiques du commerce et de la relation client : l’innovation vous
intéresse tout naturellement ! Le Master Distribution et Relation Client de l’Université Paris-Dauphine vous propose de participer à la remise des Trophées de l’innovation commerciale.

Vous pourrez ainsi découvrir les 30 innovations commerciales qui ont marqué l’année 2009, présentées
par les étudiants du Master Distribution et Relation client, dans six secteurs d’activité (grande consommation, équipement de la personne et de la maison, services financiers, luxe, mobilité et
communication), et participer au vote interactif qui permettra de sélectionner les meilleures innovations dans chacune des catégories SCOPS (Services, Concepts, Opérations promotionnelles,
Programmes de fidélité et Stratégies relationnelles).

Venez découvrir des projets novateurs et échanger avec de nombreux professionnels qui assisteront à
l’événement. La cérémonie sera suivie d’un cocktail.

Le nombre de places étant limité, merci de confirmer rapidement votre présence auprès de Nathalie
Chelius (nathalie.chelius@dauphine.fr)

 

Les responsables du Master Distribution et Relation client

 

Pour
plus de renseignements sur l’Observatoire, rendez-vous sur le site :

www.master4206.dauphine.fr

La DGTPE devient Direction générale du Trésor

Dans le cadre de son projet de réorganisation et conformément aux textes publiés aujourd’hui au
Journal officiel, la DGTPE (direction générale du Trésor et la politique économique) devient direction générale du Trésor. En simplifiant son nom,
cette direction générale du ministère de l’économie, de l’industrie et de l’emploi réaffirme son identité, lisible et signifiante aussi bien en France qu’à l’international.

 

La direction générale du Trésor, dont le Directeur général est Ramon
FERNANDEZ, emploie 2 200 collaborateurs en France et à l’étranger. Elle est au service du Ministre pour lui proposer et conduire sous son autorité la politique économique de la France, et la
promouvoir en Europe et dans le monde. Dans le cadre de ses missions, la direction générale du Trésor :

·         élabore les prévisions économiques pour la France et son environnement international ;

·         assure l’analyse et le conseil sur les politiques macro-économiques et les questions économiques et financières européennes ;

·         remplit une fonction de conseil pour la détermination de la politique économique et la conduite des politiques publiques dans les domaines des finances publiques, des questions
sociales et de l’emploi et des politiques sectorielles ;

·         participe à l’élaboration et à la mise en œuvre de la régulation des institutions financières, des entreprises et intermédiaires d’assurance, ainsi que de la politique de
régulation de l’épargne, de l’investissement et des marchés financiers et de la politique de financement des entreprises et du logement ;

·         est chargée des questions économiques, financières et commerciales internationales sur le plan multilatéral et bilatéral, et contribue à la détermination et à la mise en œuvre
de la politique d’aide au développement ;

·         soutient le développement international des entreprises ;

·         gère la trésorerie et la dette de l’Etat dans le cadre de l’AFT (Agence France Trésor) ;

·         et veille aux intérêts patrimoniaux de l’Etat dans les entreprises et autres organismes qui entrent dans son champ de compétence notamment par l’intermédiaire de l’APE (Agence
des participations de l’Etat).

Pour l’exercice de l’ensemble de ses missions, la direction générale dispose du réseau des services
économiques à l’étranger et s’appuie sur celui des DIRECCTE sur l’ensemble du territoire français.

En 2010, l’économie française est confrontée à de
nombreux défis : recherche de nouveaux moteurs pour une croissance durable, réforme des retraites, mise en œuvre d’une trajectoire efficace pour un retour à l’équilibre de nos finances
publiques, réformes du secteur financier, soutien de nos entreprises industrielles et renforcement de la compétitivité, négociation de pratiques commerciales équitables à l’OMC et d’accords de
libre-échange bilatéraux… Par ailleurs, la réflexion à mener dans le cadre d’une nouvelle gouvernance mondiale est d’ores et déjà engagée dans la perspective des G7/G8 et G20, dont la France
assurera la présidence en 2011. Pour mener à bien tous ces chantiers,
la direction générale du Trésor sera, aux côtés de Christine
LAGARDE, Ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi, en première ligne.

Robert Leblanc succède à Pierre Deschamps à la présidence des EDC

A l’occasion de leurs récentes Assises nationales à Besançon, les Entrepreneurs et Dirigeants Chrétiens (les EDC), réunis en assemblée
générale, ont porté Robert Leblanc à la présidence nationale de leur mouvement, à compter du 22 mars 2010. Il succède à Pierre Deschamps, arrivé en fin de mandat.

Attaché au développement du mouvement dans la fidélité à sa nature et à sa vocation, Robert Leblanc se mettra à son service et poursuivra le
travail de Pierre Deschamps pour témoigner publiquement des réflexions et travaux qui y sont menés et porter parfois une parole spécifique dans le débat public, le meilleur témoignage restant
l’action au quotidien de chacun des membres.

Entré aux EDC en 1998 dans la section Paris-Assomption, Robert Leblanc en a été président de 1999 à 2001. Il a animé un groupe de travail sur
les licenciements collectifs qui a donné lieu à une publication dans la collection « Les EDC s’engagent » en 2003 et l’a conduit à rejoindre la commission « Repères ». A la
demande du président de l’époque, Pierre Lecocq, il a créé en 2004 la commission « Sources bibliques et théologiques » et il est devenu membre, à ce titre, du Bureau national.

Robert Leblanc est né le 15 mars 1957 à Casablanca. Avec son épouse Catherine Le Dily, secrétaire général d’une structure d’investissement en
Afrique, ils ont cinq enfants. Ancien élève de l’École Polytechnique (X 76) et docteur en stratégie des organisations, il a commencé son parcours professionnel chez Arthur Andersen, devenu
Accenture, et à la Bourse de Paris. Depuis 1990, il exerce des fonctions de direction générale, chez Meeschaert Rousselle, société de bourse filiale du groupe Axa, puis chez Uni Europe, société
d’assurance du groupe Axa, puis chez Siaci, société de courtage d’assurance indépendante, maintenant chez Aon, leader mondial du courtage d’assurance et de réassurance, en qualité de
président-directeur général d’Aon France.

Robert Leblanc a été élu président de la Fédération des Courtiers d’Assurances en 2005 et il est devenu co-président fondateur de la Chambre
Syndicale des Courtiers d’Assurances en 2006. Il préside depuis 2008 le comité Éthique du Medef.

 

Christine LAGARDE veut protéger les consommateurs

A quelques heures du début de l’examen du projet de loi portant réforme du crédit à la consommation à l’Assemblée nationale, Christine LAGARDE, ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi,  a rappelé les principales avancées de la réforme :

Protéger les consommateurs en supprimant les points noirs du crédit à la consommation

  • mettre fin aux publicités trop agressives : le projet de loi encadre la publicité
  • mettre fin aux crédits qui ne se remboursent jamais : le projet de loi impose un amortissement minimum du capital dans chaque mensualité sur un crédit renouvelable
  • mettre fin au « tout renouvelable » dans les magasins : le projet de loi prévoit que pour les achats importants, les magasins auront l’obligation d’offrir aux consommateurs le choix entre du crédit amortissable ou du crédit renouvelable
  • mettre fin aux crédits sans garde-fous : le projet de loi oblige les banques à vérifier la solvabilité des emprunteurs, à consulter le fichier FICP des incidents de remboursement et à réaliser un point budget avec le consommateur à l’entrée en crédit sur ses revenus et son niveau d’endettement.

Le projet de loi responsabilise également les cartes de fidélité. Elles devront obligatoirement comprendre une fonction paiement au comptant qui sera activée en priorité. Le consommateur ne pourra plus entrer en crédit malgré lui comme aujourd’hui. L’entrée en crédit ne sera plus possible sans l’accord explicite du consommateur au moment du paiement.

Accompagner les personnes qui connaissent des difficultés d’endettement

  • les regroupements de crédits peuvent aider les consommateurs à résoudre des difficultés d’endettement à la condition qu’ils soient responsables : le projet de loi encadre les rachats de crédits. Il prévoit que la banque qui regroupe des crédits a l’obligation de proposer au consommateur d’effectuer pour son compte toutes les démarches pour fermer les crédits renouvelables regroupés.
  • continuité des services bancaires pour les personnes surendettées : des normes professionnelles obligeront les banques à maintenir les services bancaires en cas de dépôt d’un dossier de surendettement. Les banques auront l’obligation de proposer des services adaptés à la situation de ces personnes.
  • accompagner les personnes surendettées : le projet de loi prévoit la suspension des procédures de saisie/exécution dès la recevabilité d’un dossier de surendettement.
  • raccourcir la durée des procédures de surendettement : le projet de loi prévoit de diviser par trois la durée de 95% des procédures de rétablissement personnel.
  • faciliter le rebond des personnes qui ont connu des difficultés d’endettement : le projet de loi prévoit de réduire de 10 à 5 ans les durées d’inscription au fichier FICP des incidents de remboursement sur les crédits des particuliers.

FORUM DE L’EDUCATION ET DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR

Sorbonne / 10 avril 2010

Nous avons le plaisir de vous présenter le Forum de l’Education et de l’Enseignement Supérieur qui se déroulera le
samedi 10 avril 2010 à la Sorbonne (Paris V) dans le cadre de la Cité de la réussite.

Organisé avec les ministères de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur et de la recherche, et avec le
soutien de L’Étudiant et Educpros, cet événement a pour objectif de réunir des personnalités du monde de l’entreprise, de l’éducation, des sciences, de la politique et de la culture afin
d’échanger avec le public sur les grands thèmes de société.

 

SAMEDI 10 AVRIL 2010 – AMPHITHÉÂTRE GUIZOT

11h00 à 12h30

L’école 2.0 : comment apprendre et enseigner à l’ère numérique ?

Ferran Ferrer, Professeur d’éducation comparée à l’Université Autonome de Barcelone

Roland Genet, Proviseur du Lycée Louis Armand à Villefranche-sur-Saône

Jean-Michel Fourgous, Député-Maire d’Élancourt, auteur du rapport « Réussir l’école numérique »

14h30 à 16h00

Orientation et formation : quelles clefs pour inventer sa vie professionnelle ?

Pascal Charvet, Directeur de l’ONISEP

Jean-Claude Daigney, Directeur de l’Union Nationale des Maisons Familiales Rurales

Bruno Magliulo, Inspecteur d’Académie honoraire, auteur-conférencier pour L’Étudiant

16h30 à 18h00

Grandes écoles et universités : comment progresser et se réinventer ?

Laurent Batsch, Président de l’Université Paris-Dauphine

Julie Coudry, Fondatrice de la MANU

Pierre Tapie, Directeur général du Groupe Essec

18h30 à 20h00

De l’École à l’Université : comment réinventer l’ascenseur social ?

Marcel Crahay, Université de Genève, auteur de « Peut-on lutter contre l’échec scolaire ? »

Nicolas Delesque, Secrétaire général de l’Association de la Fondation Étudiante pour la Ville (AFEV)

Gérard Willeme, Proviseur du Lycée Paul Eluard à Saint Denis

 

Si vous souhaitez vous y inscrire, cliquez sur ce lien.

Vous pouvez ainsi retourner le coupon-réponse à :

Cité de la Réussite – 13 rue de Grenelle – 75007 Paris

Ou par mail à inscription5@chk.fr

 

Pour tout renseignement complémentaire : 01.45.44.24.75 / inscription5@chk.fr

 

Lieu des débats :

Université de La Sorbonne

45, rue des Ecoles Paris 5e

17, rue de la Sorbonne Paris 5e

 

Métro/RER B : Cluny-La Sorbonne

Bus : 24, 47, 63, 86, 87

Parkings publics : Parking Soufflot ou Ecole de Médecine

Le statut d’auto-entrepreneurs pourrait être limité à 3 ans

Un amendement déposé par le Sénat sera débattu
jeudi 8 avril prochain, à l’occasion de l’examen du projet de loi sur l’entrepreneur individuel à responsabilité limitée. Il serait question de limiter la durée du régime de l’auto-entrepreneur à
trois ans. L’Union des Auto-Entrepreneurs (UAE) s’oppose à « cette limitation, contraire à l’esprit de liberté professionnelle qui a prévalu à l’adoption de cette
loi ».

 

Le Régime de l’Auto-Entrepreneur, mis en place en janvier 2009 à l’initiative d‘Hervé Novelli,
Secrétaire d’Etat aux PME, est plébiscité par les faits : malgré un contexte de crise, il a été adopté par plus de 320.000 français en 2009 et que les inscriptions des premiers mois de 2010
continue
au rythme de 1000 Auto-Entrepreneurs chaque jour.

Malgré ce succès très encourageant, le Sénat devrait examiner un amendement le jeudi 8 avril visant à limiter la durée du Régime à 3 ans. Pour
François Hurel, Président de l’UAE, auteur du rapport au Gouvernement ayant conduit à l’adoption de ce régime: « cette proposition de limitation correspond à un amalgame de certains sénateurs qui considèrent souhaitable et possible de séparer les Auto-Entrepreneurs qui sont de
véritables créateurs d’entreprise pour lesquels le Régime pourrait être temporaire et ceux pour lesquels le Régime donne accès à un complément de revenus. Or cette distinction ne correspond
pas à la réalité du concept et aux pratiques constatée sur le terrain. »

François HUREL, s’inquiète également des conséquences de cette limitation : « Comment peut-on
également expliquer que pendant trois ans un Auto-Entrepreneur pourra facturer ses prestations et devrait cesser ensuite une fois ce délai passé ? Certains opteront bien sûr pour
le statut d’entrepreneur individuel et c’est déjà le cas de plusieurs milliers d’entre eux, mais d’autres verseront ou reverseront sans doute dans le travail au noir ou retrouveront leur
statut de chercheur d’emploi. Limiter la durée du statut serait en quelque sorte ouvrir ou rouvrir une trappe au travail illégal et reconduire des demandeurs d’emplois à la case
départ »

Pour François Hurel « Le régime aide bon nombre de
Français à faire face à la crise et stimule l’initiative, ce dont notre pays a un urgent besoin. Hervé Novelli l’a bien compris en lançant en
portant ce projet. Au delà, il ne faut pas oublier que ce régime génère des cotisations sociales et fiscales non négligeables. Dans une période où déficits publics, difficultés de financements
des régimes de retraites et de protections sociales pèsent sur l’avenir, l’Auto-Entrepreneur reste une mesure exemplaire valorisant le principe d’Economie Positive.
 »

 

PETITION CONTRE L’AMENDEMENT

François HUREL indique « qu’au nom des dizaines de
milliers d’Auto-Entrepreneurs qui ont démontré la pertinence de cette initiative et pour éviter de décourager ceux qui sont prêts à se lancer, l’Union des Auto-Entrepreneurs, comme l’a fait
l’ADIE a décidé de s’opposer à cet amendement en lançant une pétition contre l’amendement su Sénat, Elle appelle tous les Auto-Entrepreneurs à la signer en se rendant sur son site Internet
www.union-auto-entrepreneurs.com ».

Journée exceptionnelle à la Mutualité

Le dimanche 11 avril 2010, l’ECF invite à une Journée exceptionnelle à la Mutualité. Deux
faces, l’une au plus intime du jugement en jeu dans les perspectives de fin d’analyse quand elle produit un psychanalyste, l’autre examine l’acte le plus radical qui a entraîné un sujet à
transgresser les lois sociales. L’institution judiciaire est en pleine mutation, accélérant l’affolement de la boussole que peut constituer la conception de la justice dans une société
donnée.

 

BULLETIN D’INSCRIPTION 

 

QUESTION D’ECOLE 

La chose jugée 

11 avril 2010 

dimanche 10h-13h 15h-18h 

 

INSCRIPTION

– 30 € 

– 20 € (étudiant) 

 

NOM :
——————————————————————————–

PRENOM : ————————————————————————–

ADRESSE : ————————————————————————-

EMAIL :
—————————————————————————–

 

ÉCOLE DE LA CAUSE FREUDIENNE (ECF-11 AVRIL)

1, RUE HUYSMANS

75006
PARIS

DU Ethique économique et des affaires

UNIVERSITE PAUL CEZANNE

FACULTE DE DROIT ET DE SCIENCE POLITIQUE

 

Les dossiers doivent être envoyés par courrier au Professeur J.-Y. NAUDET

Centre de Recherches en Ethique – Faculté de Droit et de Science Politique

3 avenue Robert Schuman – 13628 Aix-en-Provence cedex 1 – tél : 04 42 17 28 73

(Ne pas oublier d’indiquer vos coordonnées personnelles, téléphone, et adresse e.mail)

 

 DU ETHIQUE ECONOMIQUE
ET DES AFFAIRES

 

Responsable : Jean-Yves
Naudet, Professeur d’économie à la Faculté de droit, Directeur du centre de recherches en éthique économique et des affaires.

 

Durée totale du DU : 90
heures DE COURS

 

Frais de formation :
Formation initiale : 350 €                               Reprise d’études non
financée : 500 € –

Formation continue : 1000 €

 

Equilibre et ouverture du diplôme à 24 étudiants – Capacité maximale d’accueil : 50

 

Date limite de dépôt des candidatures : 6 septembre 2010

 

DU ouvert à tous les étudiants de L3 et de Master 1 et 2 de la Faculté de Droit et de la FEA, ou d’autres composantes de l’Université, comme diplôme complémentaire (second diplôme) ou à des professionnels (reprise d’études non financée ou formation continue). Dans tous les cas, recrutement sur dossier. En formation initiale : relevé de
notes et lettre de motivation ; pour les professionnels : CV et lettre de motivation.

 

Cours : Deux ou trois soirs par
semaine (pour un cours de 2 ou 3 heures) à 18 h 00 (cours de septembre à avril).

 

Contrôle des connaissances : Un seul examen synthétique par module, en mai-juin (coefficient 1 par module), module 1 à l’oral, modules 2,3, 4  avec des écrits de 2 heures chaque, compensation entre les modules, pas de seconde session, redoublement autorisé sur décision du Directeur, mentions :
passable (10), assez-bien (12), bien (14), très bien (16).

 

Moyens : Le DU bénéficie
des moyens du Centre de Recherches en Ethique Economique et, en particulier, de son réseau et de sa bibliothèque (1600 livres et de nombreuses revues consacrés à l’éthique). Les étudiants peuvent
aussi participer au colloque annuel d’éthique économique organisé par le Centre.

 

Exposé des motifs :

La question de l’éthique économique et des affaires se pose à tous les niveaux de l’activité professionnelle, que ce soit dans les entreprises,
les associations  ou les administrations. Aucun étudiant sortant de l’université ne doit ignorer cette réalité.

Les conflits d’ordre éthique sont permanents dans les organisations publiques ou privées entre les diverses parties prenantes : en
comprendre les raisons, savoir discerner les enjeux et les motifs, envisager des solutions, fait déjà partie du travail des cadres privés ou publics.

Dans toutes les organisations, se mettent en place des chartes éthiques, des codes de conduite, des politiques de développement durable, des
comités d’éthique, etc. Il faut donc en comprendre le langage et connaitre les enjeux en cause, a fortiori pour participer à leur mise en place.

En outre, dans tous les concours administratifs, dans les recrutements de toute nature, le questionnement des candidats sur les sujets éthiques
est permanent. Cela fait aussi partie de la culture générale, qui joue un rôle dans tout recrutement.

Enfin, au moment où il est question de moralisation du capitalisme, les étudiants doivent trouver dans l’université une formation complémentaire
à leur formation principale, leur permettant de comprendre l’importance de ce débat et d’en tirer les applications pratiques pour leur vie professionnelle.

Dans le monde économique de demain, l’éthique sera non seulement un outil de gestion intégré dans les outils du management, mais encore un
élément décisif dans le choix des cadres du secteur privé ou public. L’économie de marché a besoin d‘acteurs formés aux questions éthiques. Il existe une forte demande de la part des chefs
d’entreprises pour recruter des diplômés en droit, ou en économie, ayant par ailleurs des connaissances en éthique économique et des affaires. C’est un « plus » indiscutable pour un
recrutement

 

 

 

PROGRAMME DES ENSEIGNEMENTS

 

MODULE I : Les principes généraux de l’éthique économique (16
heures)

(Coefficient 1, un examen oral unique)

   
L’éthique : mode ou nécessité ; la responsabilité sociale de l’entreprise ; la moralisation du capitalisme (9 h 00)

    L’éthique dans l’histoire de la pensée économique (4 h
30)

    Analyse économique et jugements de valeurs (2 h
30)

 

MODULE II : Les fondements de l’éthique économique (22
heures)

(Coefficient 1, un examen écrit unique de 2 heures)

    Les fondements philosophiques de l’éthique (10 h
00)

    Religions et éthique économique (12 h 00 en tout)

            . L’éthique sociale chrétienne (4 h 00)

            . Le judaïsme et l’éthique économique (4 h 00)

            . Ethique économique et financière dans l’Islam (4 h 00)

 

MODULE III : Droit et éthique économique (26
heures)

(Coefficient 1, un examen écrit unique de 2 heures)

    L’éthique consubstantielle au droit (4 h 00)

    Ethique et droit des affaires (6 h 00)

    Ethique et lex mercatoria (2 heures)

      Responsabilité sociale de
l’entreprise : le point de vue juridique (2 h 30)

    Regard juridique sur l’éthique financière (3 h
00)

    Ethique, droit et propriété (2 h 00)

    Ethique et propriété intellectuelle (2 h 00)

    L’éthique du dirigeant de société (2 h 30)

    Ethique et droit international du développement (2 h
00)

 

MODULE IV : Ethique économique appliquée (26
heures)

(Coefficient 1, un examen écrit unique de 2 heures)

    L’éthique financière (2 h 00)

    Ethique et déontologie des médias (2 h 00)

    Ethique et nouveaux médias (2 h 00)

    Les chartes éthiques (2 h 00)

    Ethique, environnement et développement durable (3 h
00)

    L’éthique de l’entrepreneur (2 h 00)

    Ethique et syndicalisme (2 h 00)

    L’éthique des échanges et le commerce équitable (2 h
00)

    Ethique, économie et propriété (2 h 00)

    L’éthique, outil de gestion (2 h 00)

    Analyse économique de la corruption (2 h 00)

    Le mécénat, outil d’une économie éthique (3 h 00)

Loi sur l’Entrepreneur Individuel à Responsabilité Limitée

Herve NOVELLI, secrétaire d’Etat chargé du Commerce, de l’Artisanat, des Petites et moyennes entreprises, du
Tourisme,  des Services et de la consommation se félicite de l’adoption ce soir du projet de loi sur l’entrepreneur individuel à responsabilité
limitée (EIRL).

Avec ce projet de loi, le
Gouvernement répond à la principale préoccupation des 1,5 million d’entrepreneurs en nom propre : la protection de leurs biens personnels en cas de faillite
. Le projet de loi repose
sur un dispositif juridique très innovant de patrimoine affecté, rompant avec la théorie de l’unicité du patrimoine. Grace à l’EIRL, c’est une nouvelle barrière à l’envie d’entreprendre qui
disparaît ; et c’est aussi une injustice fiscale qui est réparée.

Le Sénat a, comme l’Assemblée Nationale, accueilli positivement ce
texte. La commission des lois avait adopté le projet à l’unanimité et lui avait déjà apporté plusieurs améliorations notables inspirées par le souci de concilier l’attractivité du dispositif avec
sa sécurité juridique, dans l’intérêt même de l’entrepreneur qui y aura recours. Ces dispositions ont précisé les cas de transmission du patrimoine affecté, clarifié les procédures de déclaration
d’affectation, simplifié le dispositif de création d’EIRL et prévu la fusion des entités du groupe OSEO, l’agence publique de financement des PME.

Après son adoption par les deux Assemblées, la procédure accélérée ayant été
retenue, une commission mixte paritaire se réunira fin avril pour statuer sur le texte définitif. La réforme sera ainsi opérationnelle dès le 1er janvier 2011.

Un site Internet sera lancé courant mai  en partenariat avec le Conseil Supérieur de l’Ordre des Expert Comptables (CSOEC). Il contiendra un outil de simulation et d’optimisation de l’EIRL et
s’enrichira progressivement des réponses aux questions des entrepreneurs. Le CSOEC mettra en parallèle en place des formations à destination des experts comptables et des notaires afin de relayer
l’information au plus près des entrepreneurs dès la fin de cette année.

Hervé NOVELLI a
déclaré : « Après un combat dont il ne faut pas sous-estimer l’intensité, nous avons répondu, avec le vote de ce texte,  à une demande
historique des artisans et des commerçants. Je souhaite que les professionnels, en premier lieu les artisans et leurs organisations professionnelles, s’emparent de cette avancée, en fassent la
promotion et contribuent à son succès en relayant l’information sur le terrain. La réussite de cette mesure se jugera au nombre d’EIRL créées, bien sûr, mais aussi surtout à la fin de ces
situations tragiques de petits entrepreneurs qui, après un coup dur, se voyaient ruinés financièrement, et souvent psychologiquement et humainement. »

Quelle place pour les femmes dans le secteur de la finance ?

eFinancialCareers.fr, le site international leader d’offres d’emploi dans les secteurs de la banque, de la finance
et de l’assurance, a organisé une table ronde sur la place des femmes dans le secteur de la finance le 30 mars 2010. Quelles évolutions de carrière pour les femmes ? Quelles différences de
salaires pour des postes identiques ? Faut-il imposer la parité hommes-femmes ? A quels stéréotypes et obstacles les femmes sont-elles confrontées ? Comment concilier vie professionnelle et vie
personnelle ? Autant de questions auxquelles les participantes ont tenté de répondre.

Animée par Julia Lemarchand, analyste marché d’eFinancialCareers.fr, cette table ronde intitulée « Quelle place pour
les femmes dans le secteur de la finance ? », a réuni six femmes exerçant des responsabilités dans les domaines de la finance, du recrutement ou de la politique :

 

 * Elisabeth Ferro-Vallé, Auteure de l’ouvrage « Égalité
professionnelle entre les femmes et les hommes : comprendre et agir », Afnor Editions, 2009

 * Luce Gendry, Associé Gérant, Rothschild & Cie

 * Elisabeth Karako, Responsable de la Diversité, Groupe BNP
Paribas

 * Valérie Pilcer, Directeur des Risques et de la Conformité, Oddo
& Cie

 * Diane Segalen, Vice Chairman, CTPartners

 * Marie-Jo Zimmermann, Député UMP, Présidente de la Délégation aux droits des femmes à l’Assemblée nationale

 

 

La finance : un secteur « machiste » ?

 

Le secteur financier est souvent considéré comme conservateur et ses métiers sont parfois perçus comme masculins.
Peu représentées dans certains secteurs, les femmes semblent en effet rester à l’écart de certaines activités telles que le trading. « Les femmes qui sont dans des écoles d’ingénieurs ont
tendance à intégrer des sociétés industrielles plutôt que des banques. L’atmosphère dans les salles de marché leur semble parfois trop rude », explique Elisabeth Karako.

Les femmes sont également peu présentes dans le domaine des fusions et acquisitions, peut-être parce qu’il impose
une grande disponibilité. « Ce n’est pas en début de carrière que les problèmes surgissent, mais ensuite, surtout au moment du congé maternité, confirme Valérie Pilcer. Il ne faut pas cependant
que les femmes s’autolimitent : grâce aux Smartphones et au travail à distance, elles peuvent s’organiser pour rester en contact ».

Au-delà des M&A et du trading, le secteur financier abonde de métiers où les femmes sont très représentées,
notamment ceux de la finance d’entreprise. Ainsi, nombreuses sont les femmes qui exercent des responsabilités dans des fonctions comptables, en contrôle de gestion ou en audit interne.

« En revanche, il y a peu de femmes directrices financières de grands groupes », reconnaît Luce Gendry. En parallèle des problématiques d’avancement de carrière, se
pose également la question de l’égalité salariale dans le secteur. Diane Segalen estime en effet qu’il peut y avoir jusqu’à 20% de différence salariale entre les hommes et les femmes dans ces
fonctions.

 

Les femmes s’autocensurent-elles ?

La sous-représentation des femmes dans les postes de management pourrait s’expliquer par le fait que certaines
femmes semblent s’autocensurer. En effet, selon Diane Segalen : « Beaucoup de femmes ne s’autorisent pas à postuler à une fonction si elles considèrent qu’elles n’ont que 90% des compétences
requises, alors qu’un homme postulera sans hésiter même s’il ne possède que la moitié des compétences exigées ».

Par ailleurs, « Le rapport des femmes à l’argent est plutôt détaché : peu d’entre elles rêvent de faire fortune. Il
faut donc faire en sorte qu’elles soient plus motivées et qu’elles s’impliquent davantage dans leur carrière professionnelle », propose pour sa part Luce Gendry.

 

Comment sensibiliser les fonctions dirigeantes à la parité ?

Selon Elisabeth Karako, les ressources humaines ont un rôle très important à jouer en faveur de la promotion de
l’égalité.

Ainsi, certaines entreprises n’hésitent pas à mettre en place des formations avec mise en situation pour
sensibiliser leurs employés aux enjeux de la parité.

La création de « talent development programs » est également essentielle pour anticiper les congés maternité.
Elisabeth Ferro-Vallé insiste en effet sur la nécessité de détecter en amont les hauts potentiels qui seront appelés à exercer des fonctions dans le top management.

Parallèlement à ces programmes, les femmes s’organisent. En effet, les réseaux de grandes écoles ou d’entreprise se
multiplient.

 

Les quotas : une solution pour assurer la parité ?

« Si l’on se contentait d’appliquer les lois qui existent, il y aurait moins de difficultés », explique Marie-Jo
Zimmermann en faisant référence aux rapports de situation comparée (RSC) que se doivent de remplir les entreprises.

A l’heure où une proposition de loi visant la mise en place d’un quota de 40% de femmes au sein des conseils
d’administration et de surveillance est au cœur de l’actualité, la problématique des quotas fait cependant débat. Selon un récent sondage d’eFinancialCareers.fr *, presque la moitié des personnes
interrogées (43%) estime que l’on ne peut imposer la parité par la sanction. Un tiers (34%) reste pourtant convaincu que l’instauration de quotas est la seule manière de briser le plafond de
verre.

En parallèle, certains professionnels plaident pour la mise en place de politiques d’actions positives temporaires
pour inciter les grands groupes à évoluer et rétablir une égalité dans ce domaine.

 

Egalité hommes-femmes : quels enjeux ?

Selon, Elisabeth Ferro-Vallé : « Promouvoir l’égalité professionnelle Femmes-Hommes relève d’une stratégie de
développement bénéfique tant pour les salariés que pour les employeurs ».

« Pour la gestion des risques comme pour d’autres activités, la mixité est un élément clé, par l’échange de points
de vue différents », explique Valérie Pilcer pour qui la

mixité n’est pas seulement un enjeu RH mais aussi un enjeu business. Cette professionnelle propose ainsi aux
régulateurs et aux agences de notation de considérer la diversité comme un critère d’appréciation d’un dispositif de contrôle à part entière. L’indicateur « diversité et mixité » est d’ailleurs
déjà important pour les notations extra-financières des sociétés.

 « Les études visant à démontrer que la présence de femmes ont un
impact positif sur la performance sont fondamentales », plaide pour sa part Marie-Jo Zimmerman.

Encourager et soutenir les femmes dans leur carrière professionnelle, sensibiliser les dirigeants aux enjeux de la
parité, tels sont les défis des services RH et des professionnels du recrutement. « Loin d’avoir balayé la problématique de l’égalité entre hommes et femmes dans la finance, la crise a fait
émerger un sujet devenu majeur pour les recruteurs. Sauront-ils relever le défi de la parité ? L’avenir nous le dira. », conclut Julia Lemarchand.

 

Le compte-rendu complet de la table ronde est disponible sur simple demande.

 

* Le sondage d’eFinancialCareers.fr a été réalisé en ligne entre le 3 et le 17 février 2010 auprès de 236
professionnels de la finance. Le communiqué est disponible sur simple demande

 

http://www.efinancialcareers.fr

Novethic.fr lance un site dédié à la discrimination en entreprise

Dédié aux différentes formes de discriminations en entreprise liées à l’âge, à l’origine, au sexe, à la santé ou encore au handicap, ce
site recense également les différentes réglementations ainsi que les pratiques mises en œuvre dans les entreprises pour lutter contre les discriminations. L’ensemble de l’expertise de Novethic
sur ce sujet y est disponible.

Après le lancement de son site climat fin 2009, Novethic.fr propose aujourd’hui aux internautes un deuxième site dédié aux discriminations en entreprise, sujet
récurrent de la RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises), qu’il s’agisse des politique de diversité ou des discriminations répétitives.

Le site propose déjà plusieurs dizaines d’articles avec des analyses, des avis d’experts et un décryptage des enjeux. Organisés par catégorie de
discrimination, les articles sont répartis en sept rubriques :

§       L’origine, toujours en tête des
discriminations

§       Quelle place pour les seniors dans l’entreprise
?

§       Des inégalités persistantes entre hommes et
femmes

§       L’état de santé et le handicap encore tabous

§       Les autres formes de discriminations

§       Quels outils de mesure ?

§       Les actions en faveur de la diversité

 

Consultez
le site « Discriminations au travail » : http://discrimination-travail.novethic.fr

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