Victor Amselem et Robert Dambo deviennent Directeurs Généraux de Grant Thornton en France


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Victor Amselem,
52 ans, est
Expert-comptable et Commissaire aux comptes, Associé au sein de Grant Thornton France depuis 1991. Directeur des activités Audit à Paris, il est responsable de missions de Commissariat aux
comptes notamment auprès de sociétés cotées. 
Victor Amselem a également lancé en 2004 les activités de Business Risk Services de Grant Thornton en France, en privilégiant le volet de Conseils attendus
par les entreprises dans ce domaine.


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Robert Dambo,
52 ans, est Expert-comptable et Commissaire aux comptes. Associé au sein de Grant Thornton France depuis 1994, il a dirigé le
bureau de Roanne, puis celui de Lyon en prenant également en 2006 la direction du pôle régional Rhône-Alpes. Il dispose d’une expérience mixte, partagée entre le métier de l’audit (sociétés
cotées ou non), et les métiers duConseil (Expertise Conseil, Transaction Advisory Services, avec à titre d’exemple, la création en 2006 de l’activité TAS en région Rhône-Alpes).
Il est en outre Expert Judiciaire près la Cour d’Appel de Lyon.

La nouvelle Direction Générale, composée de Daniel Kurkdjian, Président, Victor
Amselem
et Robert Dambo, Directeurs Généraux, sera ainsi en charge de piloter le déploiement de la stratégie sur l’ensemble du territoire. Dans le cadre de leurs
nouvelles fonctions, le deuxième aura la charge de l’ensemble des activités sur le périmètre parisien ainsi que la Direction du Capital Humain ; alors que le premier, quant à lui, sera en charge
de l’ensemble des activités régionales ainsi que de la Direction du Développement. Grâce à leur complémentarité, ils animeront ensemble le déploiement des activités et des offres de services du
Groupe.

Jean-Luc Carpentier, membre du Comité de Direction, prend en main la Direction du Business Développement
pour l’ensemble de Grant Thornton en France.

Cette évolution de Gouvernance répond à une logique de continuité, les deux Directeurs Généraux exerçant depuis de
nombreuses années au sein de Grant Thornton.

Leur parfaite connaissance de l’organisation et des métiers du groupe, ainsi que leur engagement de longue date,
apporteront un dynamisme supplémentaire aux actions liées au plan de développement ambitieux que mène Grant Thornton, tant en France qu’à l’international. Grant Thornton en France déploie
aujourd’hui ses activités à travers 22 bureaux, grâce à un effectif de 1 400 collaborateurs dont 105 associés.

 

www.grant-thornton.fr


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CJDES : nouveaux membres du bureau

A l’issue de son séminaire de septembre, le conseil d’administration du Centre des jeunes, des dirigeants et des acteurs de
l’économie sociale (CJDES) a validé son nouveau Bureau, présidé par Olivier Boned.

Il est chargé de la mise en œuvre du projet « Cap 2015 » du CJDES qui permettra au réseau des jeunes, des dirigeants et des acteurs de l’économie sociale de participer au renouvellement des générations dans les entreprises de l’économie sociale et solidaire et à la transmission des valeurs qui fondent l’ESS.

Les membres du Bureau

Président : Olivier BONED
Vice
Présidents :
Eve DURQUETY et Arnaud LACAN
Secrétaire général : Chrystel
GIRAUD‐DUMAIRE
Trésorier : Pierre GUYON
Membre du bureau :Imad TABET

Liste des Administrateurs/trices du CJDES

Johan BAUFRETON

Olivier BONED

Corinne BORD

Clément BOUDIN

Fanélie CARREY‐CONTE

Emmanuel CHANSOU

Guillaume CHOCTEAU

Thibault CUENOUD

Mamadou DIAWARA

David DOBBELS

Eve DURQUÉTY

Laurent EECKE

Chrystel GIRAUD‐DUMAIRE

Pierre GUYON

Bruno HUSS

Jean IOZIA

Patrick JACQUOT

Arnaud LACAN

Julien LAINE‐PRADINES

Gérard LESEUL

Frédéric MASSOT

Muriel NIVERT‐BOUDOU

Anne PFERSDORFF

Julia SCHORESTENE

Nicolas SOUVETON

Imad TABET

Clotilde TRUFFAUT

Stéphane VEYER

www.cjdes.org

 

Philippe Naszalyi élu nouveau président de la Conférence de Territoire de l’Essonne

Philippe NaszalyiPhilippe Naszalyi a été élu ce 7 novembre, Président de la Conférence de Territoire de l’Essonne de l’Agence régionale de Santé (ARS)

Il succède au Dr Marc Pulik, directeur-général de l’Hôpital de Bligny qui a intégré au siège de l’ARS, le Pole « offre de soins et médico-sociale ».

Directeur de La Revue des Sciences de Gestion (http://larsg.over-blog.com) depuis 1989, Philippe Naszalyi est Professeur des Universités associé à l’Université d’Evry-Val d’Essonne, où il dirige les formations professionnelles sanitaires et sociales et développement territorial (http://deust.hautetfort.com).

Docteur en économie, il a fait sa thèse sur la gouvernance démocratique dans une fédération de mutuelles de santé et il effectue ses recherches en ESS sur les organismes sanitaires et sociaux notamment.

Il a de nombreux engagements dans les structures du handicap et de l’aide à la personne vulnérable.

L’Agence Régionale de Santé (ARS) est la clef de voûte de l’organisation prévue par la Loi « Hôpital Patients Santé Territoires » du 21 juillet 2009 (article 118). Elle est dirigée par son directeur général, Claude Evin. L’ARS est un interlocuteur unique chargé du

pilotage du système de santé et de la mise en œuvre de la politique de santé publique dans la région.

L’ARS dispose de délégations territoriales dans chacun de ses départements. Cette organisation ancrée dans les territoires assure une action au plus près des besoins de la population.

Chaque conférence de territoire qui correspond au territoire d’un département, est composée des représentants des toutes les catégories des acteurs intervenants dans le système de santé. Ils sont répartis en 11 collèges (établissements de santé, personnes

morales gestionnaires des services et établissements sociaux et médico-sociaux, organismes œuvrant dans les domaines de la promotion de la santé et de la prévention ou en faveur de l’environnement et de la lutte contre la précarité, professionnels de santé

libéraux, centres de santé, maisons de santé, pôles de santé et réseaux de santé, établissements assurant des activités de soins à domicile, services de santé au travail, usagers, collectivités territoriales, ordre des médecins, personnalités qualifiées).

La conférence de territoire a pour principale missions :
· de faire remonter et formuler les besoins locaux de santé
· d’émettre les propositions au Directeur Général de l’ARS
· de participer à l’élaboration du Projet Régional de Santé (PRS)

La conférence de territoire contribue à mettre en cohérence les projets territoriaux sanitaires avec le projet régional de santé et les
programmes nationaux de santé publique.

Elle a également la possibilité d’établir des contrats locaux de santé avec l’ARS, les collectivités territoriales et leurs groupements.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Naszalyi

Pierre BRAJEUX élu Président du Medef Hauts-de-Seine

Lors du conseil d’administration du Medef Hauts-de-Seine qui s’est tenu mercredi 15 janvier 2014, Pierre BRAJEUX, Président Directeur Général
de TORANN‐FRANCE, a été élu Président du Medef Hauts-de-Seine, succédant à Agnès LO JACOMO, élue Présidente du Medef Ile-de-France.

Pierre BRAJEUX a créé en 1987 TORANN‐FRANCE, société de sécurité privée qui compte aujourd’hui plus de 1 200 collaborateurs, dont le
siège est situé à La Garenne-Colombes. 

Impliqué depuis de nombreuses années dans la défense et la représentation des entreprises, il appartient au
conseil d’administration du Medef Hauts‐de‐Seine et de Métra 92.

Président de USP – Formation, il préside également le Cercle des Dirigeants Propriétaires de Sécurité
(CDPS).

Colonel de réserve (RC) de la Gendarmerie Nationale, il s’engage fortement dans la réflexion sur la sécurité
globale à travers la participation à différents groupes de travail publics et privés.
Auditeur de la 17e session nationale de l’INHES, il intervient aussi au sein de différents programmes de formation de l’INHESJ (Institut National des Hautes Etudes de la Sécurité et de la
Justice), de l’Université Paris‐ Descartes et de l’E.O.G.N. (Ecole des Officiers de la Gendarmerie Nationale).

Pierre Brajeux est diplômé de Sciences‐Po (Institut d’Etudes Politiques de Paris, section économique et
financière), de l’Université de Cambridge, de la Chambre de Commerce Franco‐Britannique et titulaire d’une maîtrise de droit des affaires (Université de Paris II‐Assas).

Pierre BRAJEUX a remporté l’élection en mettant en avant les priorités suivantes : Continuité des travaux
initiés par Agnès LO JACOMO, intensification de la représentativité du Medef Hauts-de-Seine, développement de la communication, relais des grands chantiers lancés par Pierre GATTAZ,
implication dans les dossiers régionaux – Métropole du Grand Paris, logement, formation – mise à l’honneur des mandataires.

Il sera aidé dans sa mission par deux Vice-Présidents :

 

Patrice PUYPEROUX, PDG de CPLC à Neuilly et Benoît SILLARD, PDG du groupe CCM BENCHMARK à Boulogne

Meilleur ouvrage de management 2014 : Le Management des Réseaux par Christophe Assens

Le Prix Académique de
la Recherche en Management vise à récompenser les meilleures publications de recherche appliquée sur le management de l’entreprise et les déterminants de sa croissance et de sa pérennité, ainsi
que le meilleur ouvrage de management de l’année. Jeudi 3 avril 2014, Christophe Assens, Institut
Supérieur de Management-Université de Versailles, a reçu le Prix du meilleur ouvrage de management pour Le Management des Réseaux – tisser du lien social pour le bien être
économique
. Cet ouvrage consacré au management des réseaux, apporte des éclairages sur ces questions : Est-il possible d’adopter des comportements moins individualistes pour
produire des richesses ? Est-ce que la cohésion sociale est préservée dans l’entreprise par une gouvernance plus démocratique, dans des territoires à taille humaine, en multipliant les
collaborations de proximité ? Il établit les contours d’un nouveau modèle de capitalisme plus respectueux de l’aspiration sociale, sans sombrer dans l’utopie communautariste. Il explique comment
entretenir la croissance économique, en réconciliant les enjeux financiers avec le besoin de reconnaissance sociale.

Christophe Assens
analyse la problématique de son ouvrage
« Avec l’ouverture des frontières, l’essor des télécommunications et
la multiplication des alliances d’entreprises, nous portons notre attention sur le management des relations, qui devient aussi prédominant que le management des ressources ou des compétences. Or,
la gestion des relations est certainement l’activité la plus difficile à maîtriser, car il n’est pas simple de prévoir ou de contrôler les réactions d’autrui. Pour réduire les risques
d’incertitude dans le rapprochement des firmes, émerge une forme d’organisation au sein de laquelle les principes de confiance et de réciprocité vont prévaloir : le réseau. Après avoir défini
cette notion de réseau dans l’introduction de l’ouvrage, nous portons notre attention sur la manière de créer de la richesse économique à partir du lien de confiance : aux Etats-Unis, ce lien de
confiance se construit chemin faisant par l’expérience des transactions réussies sur le marché ; en Italie ce lien de confiance est pré-existant aux relations d’affaires entre entrepreneurs
familiaux ; en France ce lien de confiance est encadré par les pouvoirs publics, il se construit sur des bases politiques. Cet ouvrage invite ainsi à réfléchir aux stratégies de coopération
reposant sur la relation de confiance, notamment lorsqu’il s’agit de partager des connaissances pour innover ou lorsqu’il s’agit de relier les pièces d’un puzzle industriel disséminés à l’échelle
mondiale, ou lorsqu’il s’agit de faire preuve de solidarité pour défendre l’attractivité d’un territoire, ou les intérêts d’une communauté de pensée. Dans cette perspective, l’ouvrage est découpé
en trois grands chapitres. »

Le
Prix
Académique de la Recherche en Management
,  a été mis en place depuis 6 ans  par Syntec Conseil en Management, syndicat professionnel des métiers du Conseil en Management, soutenu par la Fédération Syntec dans le cadre de
la convention de coopération avec le Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche et des actions financées par la taxe d’apprentissage. A destination des équipes pédagogiques de
l’enseignement supérieur, professeurs, maîtres de conférences et chercheurs, le prix vise à récompenser les meilleures publications de recherche appliquée sur le management de l’entreprise et les
déterminants de sa croissance et de sa pérennité. Cette initiative a également pour but de renforcer les liens déjà existants entre la profession des consultants en management et le « monde
académique » dans son ensemble, notamment en favorisant la diffusion de ces publications.

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4e colloque international Fiscalité, Droit et Gestion, reporté au 6 et 7 décembre 2012

L’Institut de Gestion de Rennes (IGR-IAE)
&
l’Université Cadi Ayyad de Marrakech

organisent le 4e colloque
international 
Fiscalité, Droit et Gestion

sur le thème
« Dynamiques sociales et entreprises
patrimoniales et familiales : regards croisés Europe – Maghreb »

Prévu initialement les 28 et 29 juin à Marrakech, le colloque a été reporté au 6 et 7 décembre, toujours à Marrakech

 

Lieu du colloque
Les informations
sont disponibles sur le site de l’IODE :
www.iode.univ-rennes1.fr

Bien s’associer pour mieux entreprendre

Devenir son propre patron, c’est le rêve de beaucoup d’entre nous ! Et pour le concrétiser, on
envisage souvent de s’associer avec une personne de confiance : un ami, son conjoint, un ancien collègue… Certes, l’amitié est là… Mais après ? Que se passera-t-il si l’entente et la vision de
l’entreprise ne durent pas ?

Grâce à cet ouvrage, très riche en
témoignages, vous aurez toutes les clés pour partir sur de bonnes bases. Apprenez comment…

Trouver le
bon associé :
 comment tester la compatibilité entrepreneuriale avec votre potentiel associé ? Quelles sont les bonnes questions
à se poser ?

Démarrer dans
les règles de l’art :
 quels statuts (SARL, SAS…) ? Comment faire un pacte d’associés ? Quelle est la juste
rémunération ?

Ajuster la
relation avec son associé :
 préserver le vivre ensemble, apprendre la négociation raisonnée, développer son
assertivité…

Se séparer en minimisant la casse
 si les chemins de vie
divergent.

Commander 

http://www.editionsleduc.com/images/thumbnails/0000/1381/Bien_s_associer_pour_mieux_entreprendre_large.jpg?1355995103

Le principe « silence de l’administration vaut accord » adopté à l’unanimité au Sénat

Marylise Lebranchu, Ministre de la réforme de l’Etat, de la décentralisation et de la fonction publique, se félicite de l’adoption à l’unanimité par le Sénat du projet de loi
habilitant le gouvernement à simplifier les relations entre l’administration et les citoyens par ordonnances.

Le Sénat a notamment voté l’amendement du gouvernement instaurant le principe selon lequel le « silence de
l’administration vaut accord », emblématique du « choc de simplification » souhaité par le Président de la République. Cette révolution juridique facilitera et accélérera les projets de
développement publics ou privés et améliorera la réactivité des services administratifs en charge de veiller au respect des procédures légales.

Le texte voté au Sénat prévoit, en outre, l’instauration d’un droit de saisine de l’administration par courrier
électronique et la codification de toutes les règles non contentieuses régissant les relations des citoyens avec l’administration.

Marylise Lebranchu a rappelé devant les sénateurs que « le
choc de simplification annoncé par le Président de la République le 28 mars 2013 est au cœur de l’amélioration de la compétitivité hors coût de notre pays, comme l’ensemble de la démarche de
modernisation de l’action publique. Nous avons besoin d’une action publique forte, au service du quotidien et de l’avenir des Français, sur tous les territoires. Elle sera d’autant plus forte et
efficace qu’elle sera simple et coordonnée.
»

 

Après le projet de loi habilitant le gouvernement à adopter des mesures législatives pour accélérer les projets de
construction porté par la Ministre de l’égalité des territoires et du logement, il s’agit du deuxième texte autorisant le gouvernement à procéder par ordonnances pour simplifier les normes et les
démarches administratives. L’assemblée Nationale examinera ce projet de loi à l’automne.

republique-francaise

L’avenir professionnel des jeunes : une mobilité revendiquée mais difficile à assumer !

  • Près d’un jeune actif sur deux estime ne pas avoir recours à sa formation universitaire dans l’exercice
    de son travail (45%)
  • 52% des jeunes actifs jugent rétrospectivement avoir été bien préparés à leur entrée sur le marché du travail
  • Au final, « si c’était à refaire », 60% des jeunes Français portent un regard positif sur leur parcours scolaire
  • La majorité des jeunes interrogés envisagent leur carrière dans les limites d’un même secteur d’activité (63%), la moitié d’entre
    eux la conçoive dans une même profession (54%) et uniquement 30% s’imaginent évoluer au sein d’une même entreprise
  • 88% des moins de 20 ans et 91% des étudiants et lycéens se disent prêts à changer de région, et 70% des premiers sont disposés à
    déménager à l’étranger, de même que 77% des seconds
  • Les trois quarts des moins de 30 ans préfèreraient attendre de trouver un emploi avant de rechercher un logement (78%) et sont prêts
    à déménager pour se rapprocher de leur lieu de travail (74%)
  • 66% des jeunes interrogés déclarent pouvoir renoncer à un poste en raison de l’éloignement géographique, et 21% ont déjà été amenés
    à le faire.

Rumeur Publique Prospective annonce aujourd’hui les résultats de son enquête réalisée par l’Ifop sur les jeunes âgées de 18 à 30 ans et leur
perception du monde du travail, de la mobilité professionnelle et des problématiques de logement.

Un décalage important entre les attentes des étudiants et la réalité de
l’emploi

En France, près d’un jeune actif sur deux estime ne pas avoir recours à sa formation universitaire dans l’exercice de son travail (45%).
Pourtant, paradoxalement, plus des trois quarts des jeunes sur le point d’entamer leur vie active imaginent qu’ils vont occuper un poste qui leur permettra d’appliquer leurs connaissances
scolaires (79%). L’inadéquation entre le métier et le cursus scolaire est très flagrante chez les moins de 21 ans, ils sont 60% à faire ce constat. On observe que plus d’un bachelier sur deux
partagent cet avis (52%), contrairement aux détenteurs d’un diplôme supérieur (36%).

Les jeunes encore scolarisés ou à la recherche d’un premier emploi se disent majoritairement confiants dans leurs chances de trouver un poste
correspondant à leurs souhaits (61%) courte majorité de jeunes actifs donnent raison à cet optimisme, 56% des jeunes sur le marché du travail déclarent occuper un poste conforme à leurs souhaits
d’étudiants.

Les étudiants et les jeunes actifs se rejoignent sur une appréciation mitigée de la qualité de la préparation à la vie professionnelle durant le
temps des études. 52% des actifs jugent rétrospectivement avoir bien été préparés à leur entrée sur le marché du travail, et 49% des étudiants et inactifs déclarent se sentir armés pour une telle
étape. La majorité des jeunes cadres (69%) et des actifs diplômés d’études supérieures avancées (61%) partagent le sentiment d’avoir été bien préparés à leur entrée dans la vie active.

Au final, « si c’était à refaire », 60% des jeunes Français portent un regard positif sur leur parcours scolaire. Néanmoins, si plus de trois
quart des étudiants et lycéens choisissaient le même cursus (77%), seule une courte majorité de jeunes actifs suivraient la même voie (56%). Les plus jeunes sont peu nombreux à reconsidérer leur
formation, pour beaucoup encore inaboutie : 72% des moins de 20 ans ne changeraient pas de cursus. Avec les années, les jeunes sont pourtant moins catégoriques : près de la moitié des 25-30 ans
opteraient pour des choix différents (51%). De manière attendue, les jeunes actifs au chômage (74%) ainsi que ceux à la recherche d’un premier emploi (57%) sont plus nombreux à se remettre en
question.

Une vision dynamique de la carrière, ouverte sur d’éventuelles
réorientations

La majorité des jeunes interrogés envisagent leur carrière dans les limites d’un même secteur d’activité (63%), la moitié d’entre eux la conçoive dans une même profession (54%) et uniquement 30% s’imaginent évoluer au sein d’une même entreprise. Les étudiants et
lycéens se projettent essentiellement dans un secteur d’activité unique (73%) et dans une même profession (61%).
Toutefois, seul un
lycéen ou étudiant sur cinq envisage une carrière au sein d’une même entreprise (21%). Enfin, logiquement, les jeunes actifs au chômage ou ceux à la recherche d’un premier emploi imaginent plus
aisément une carrière ouverte sur plusieurs secteurs, professions et entreprises.

Cette vision dynamique de la carrière professionnelle s’incarne dans un positionnement très favorable à la mobilité professionnelle sectorielle
et géographique. 83% se disent prêts à changer de métier pour des raisons professionnelles et 17% l’ont déjà fait. Presque autant sont disposés à changer de région (79%), et 25% ont déjà été
amenés à le faire. Dans une moindre mesure, 61% des jeunes interrogés seraient disposés à déménager à l’étranger et 11% ont déjà pu vivre cette expérience. Les plus jeunes sont plus ouverts à une
mobilité géographique régionale et internationale que leurs aînés. 88% des moins de 20 ans et 91% des étudiants et lycéens se disent prêts à changer de région, et 70% des premiers sont disposés à
déménager à l’étranger, de même que 77% des seconds. A l’inverse, à l’approche de la trentaine et plus installés dans la vie, les 25-30 ans sont plus réservés que leurs cadets quant à un
déménagement en France (71%) et d’autant plus vers un autre pays (53%).

Le salaire est la première motivation des jeunes actifs et étudiants disposés à une éventuelle réorientation professionnelle (67%), suivi du
poste proposé (55%), et du secteur d’activité (36%). Les jeunes interrogés, se déclarant disposés à la mobilité géographique, changeraient de région avant tout pour un meilleur poste proposé
(67%) ou un meilleur salaire (63%). Ceux prêts à déménager à l’étranger considèrent avant tout l’argument de la rémunération (67%), avant celui du type de poste (61%). De plus, l’envie de vivre
dans cette région (55%) ou dans ce pays (60%) reste un facteur primordial de choix.

La majorité des jeunes interrogés ne font pas preuve d’un grand intérêt pour l’entreprenariat puisque 57% d’entre eux n’ont jamais pensé à créer
leur propre entreprise. Un tiers d’entre eux considèrent cette opportunité à moyen ou long terme (32%), et 11% l’envisagent à court terme. De manière attendue, les jeunes de catégories
socioprofessionnelles supérieures sont plus enclins à se tourner vers la création d’entreprise (64%) que l’ensemble des interrogés (43%). A l’inverse, les moins de 20 ans (32%) ainsi que les
étudiants et lycéens (28%) manifestent peu d’intérêt pour la création d’entreprise (32%).


Des situations de logements divergentes selon l’âge et l’occupation

L’étude dresse un portrait de la situation en termes de logement des jeunes : 36% des jeunes de moins de 30 ans interrogés sont locataires de
leur logement et 32% d’entre eux vivent encore chez leurs parents. Une minorité (16%) est propriétaire de leur logement, 6% vivent en colocation et autant sont logés à titre gratuit alors que
seul 3% occupent un logement universitaire.

Sans surprise, la majorité des moins de 21 ans (61%) et des étudiants et lycéens (52%) vivent chez leurs parents, de même que 72% des personnes
interrogées à la recherche d’un premier emploi. Près de la moitié des jeunes en emploi sont locataires (45%) et un quart d’entre eux sont propriétaires (25%). De plus, de par l’irrégularité du
marché immobilier, les jeunes de région parisienne sont plus nombreux à habiter encore le domicile familial (46%), contrairement à ceux de province (28%).

A noter également que le choix du mode d’habitation relève autant d’un choix personnel (51%) que de raisons financières (49%). 62% des jeunes
interrogés choisissent leur lieu d’habitation selon des considérations pratiques (proximité du lieu de travail,…) tandis que 38% suivent des préférences personnelles.

La corrélation entre le logement et l’emploi s’avère particulièrement importante pour les moins de 30 ans. Les trois quarts d’entre eux
préfèreraient attendre de trouver un emploi avant de rechercher un logement (78%) et sont prêts à déménager pour se rapprocher de leur lieu de travail (74%).

La grande majorité des jeunes résidant chez leurs parents (87%) et des moins de 21 ans (91%) souhaiteraient trouver un emploi avant de
rechercher un logement, ce qui est également le cas pour ceux à la recherche de leur premier emploi (91%). La plupart des jeunes n’ayant pas encore entamé leur vie professionnelle se disent
disposés à déménager pour se rapprocher de leur futur lieu de travail (90% des lycéens et étudiants et 85% de ceux à la recherche d’un premier emploi). Au contraire, ceux qui sont propriétaires
de leurs logements sont moins nombreux exprimer de telles dispositions (61%). De plus, 66% des jeunes interrogés déclarent pouvoir renoncer à un poste en raison de l’éloignement géographique, et
21% ont déjà été amenés à le faire. La distance entre le lieu de travail et le domicile peut devenir un motif de refus d’un emploi pour une majorité des 25-30 ans (69%) et des actifs (66%) déjà
installés professionnellement.

Les jeunes Français de moins de 30 ans estiment que les premiers critères pour décrocher une embauche sont l’expérience (62%) et les études ou
les qualifications (53%) du candidat. 49% mettent en avant les qualités personnelles. Le réseau et les relations apparaissent nécessaires pour un tiers des interrogés (33%), ce qui s’explique,
entre autres, par un marché du travail particulièrement fermé dans le contexte de crise économique actuel. Autant soulignent l’importance de la possession d’un véhicule (33%), alors que 26%
insistent sur la flexibilité du demandeur d’emploi et seuls 7% des personnes interrogées évoquent le fait d’avoir un logement.

 


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Nomination au Groupe ESC Chambéry Savoie

M. Mouloud Madoun vient de prendre ses fonctions au poste de Directeur de la recherche et de l’internationalisation. A la tête d’une équipe composée de douze enseignants-chercheurs docteurs et de six doctorants en sciences de gestion, il entend renforcer l’activité de la recherche en management. Fort de ses expériences et de ses compétences dans la gestion des ressources humaines, le management de la qualité, le management interculturel, il a pour mission d’accompagner le Groupe ESC Chambéry Savoie tant au niveau de la production de recherche que du développement des relations internationales.
www.esc-chambery.fr

Première revue francophone de management – Revue gestion REVUE GESTION Revues de Gestion