1re Journée sur la Recherche en Comptabilité, Contrôle et Audit

(JORCA-2011)

Laboratoire de recherche en Entreprenariat

 

Faculté des Sciences Juridiques Economiques et Sociales

Kenitra Juillet 2011

Sous le thème :

La recherche francophone en Comptabilité, Contrôle et Audit : Bilan et
perspectives.

 

Manifestation soutenue par :

 

 

A. Positionnement de la journée

 

Le Professeur Maurice Allais, prix Nobel d’Economie, lors d’une conférence récente donnée devant l’Académie des Sciences Morales et Politiques, affirmait que ” la
vocation de l’enseignement supérieur est la recherche car sans recherche, l’enseignement s’étiole et meurt”. Pour beaucoup, la question de l’évaluation de la production des universités a émergé à
travers les résultats du « 
palmarès de Shanghai ». Il semble que la mondialisation et la globalisation de l’enseignement supérieur ont imposé à nos
gouvernements, à nos universités et à nos universitaires les impératifs de l’évaluation, nouvel avatar du « nouveau management public » (Rey,
2007).

Or, concernant les sciences sociales et humaines, Cherkaoui en 2007 a établit pour la première fois au Maroc un « état des lieux » de la configuration de la
recherche et des chercheurs au Maroc en sciences sociales, prolongeant le bilan réalisé en 2002 sur les sciences exactes (Waast, 2002)

Par contre concernant les sciences de gestion, aucune recherche n’a été effectuée à ce jour sur l’état des lieux de
la recherche et particulièrement dans le champ de la Management Contrôle de gestion et Audit.

De ce fait le choix du thème « La recherche francophone en Comptabilité, Contrôle et Audit : Bilan et
perspectives
» pour la première journée de la recherche en CCA, vise essentiellement à dresser dans un premier temps le bilan de la recherche francophone en Comptabilité, Contrôle et Audit. Et dans un deuxième temps, de déceler les nouvelles tendances de la recherche au niveau internationale.

 

B. Comité d’organisation

 

Le Comité d’organisation de la première Journée sur la recherche en Comptabilité, Contrôle et Audit
est composé des enseignants chercheurs membres du laboratoire de recherche en Entreprenariat

ACHOUR Fatima Zahra,Université IBN TOUFAIL Kenitra – AHSINA Khalifa,
Université IBN TOUFAIL Kenitra – ASSALIH Hicham, Université IBN TOUFAIL Kenitra – BADDIH Hindo, Université IBN TOUFAIL Kenitra – BARMAKI Loubna, Université IBN TOUFAIL Kenitra -BENAMER Mounia,
Université IBN TOUFAIL Kenitra – BENSBAHOU Aziz, Université IBN TOUFAIL Kenitra – BERJAOUI Abdelmoumen, Université IBN TOUFAIL Kenitra – CHERKAOUI Mounia, Université IBN TOUFAIL Kenitra – DAOUI
Driss, Université IBN TOUFAIL Kenitra – ERRAMI Youssef, Université IBN TOUFAIL Kenitra – GUELZIM Souad, Université IBN TOUFAIL Kenitra – MANSOURI Zahra, Université IBN TOUFAIL Kenitra – OMARI
ALAOUI L.ZHOR, Université IBN TOUFAIL Kenitra – TORRA Mohamed, Université IBN TOUFAIL Kenitra

 

C. Comité Scientifique

 

Ce comité est composé des professeurs chercheurs ci-dessous :

M. Mohammed BOUSSETA, Université IBN TOUFAIL Kentra – M. Mohammed ABOUCH, Université Mohammed-V-Agdal Mohammed Ezznati, Université
IBN TOUFAIL Kentra –
M. Mohammed EL HADDAD, Université Mohammed-V-AgdalM. Ahmed ZEKRI, Université Mohammed-V-Agdal – M. MOHAMMED
RACHID SBIHI,
Université Mohammed-V-AgdalM. Abdellah HOUSSAIN, Université Sidi Mohammed Ben Abdellah, Fès – M Michel GERVAIS, Université de Rennes 1 – M Maurice GOSSELIN, Université Laval,
Ecole de comptabilité –
M Pierre GENSSE, UNIVERSITÉ DE TOULON ET DU VAR – M. Jean-François A. VERN, Université Saint-Esprit de Kaslik, Mont-Liban – M. ZIADI Jameleddine, FSEG Sfax – M. Abdellatif
CHAKOR,
Université Mohammed-V-Agdal Souissi – Mohammed ABOU EL JAOUAD, Université MOHAMMEDIA – M. ABDELGHANI BENDRIOUCH, ISCAE
M. Ahmed GRAR, Université Cadi Ayyad-Marrakech – M. Mohamed HEMMI, Université Sidi Mohammed Ben Abdellah, Fès

 

D. Thèmes des Communications

 

Afin de répondre à la problématique de posée plus haut, la Journée de « La recherche francophone en Comptabilité Contrôle et Audit : Bilan et perspectives » souhaite réunir des travaux académiques et professionnels ayant en commun une réflexion sur
la recherche en CCA. Ainsi, le comité scientifique privilégiera les communications traitant des thèmes suivants :

·          L’histoire de la recherche francophone dans la discipline CCA – Méthodologies de
recherche utilisée dans la discipline CCA – Nouvelles problématiques émergentes dans le champ de la recherche en CCA – La productivité académique (le
facteur H) – La mise en œuvre des outils de la CCA –
Evolution de la fonction Comptabilité, Contrôle et Audit
Innovations en matière Comptabilité,
Contrôle et Audit – Comptabilité, Contrôle et Audit
et la théorie de la firme – La notion
de performance dans la discipline CCA – Les modèles de management utilisé par la firme marocaine – Comptabilité, Contrôle et Audit
et entreprises publiques – Etc.

 

E. Instructions aux auteurs

 


Ÿ
La formulation et soumission des intentions et des thèmes de communications doivent être envoyées : avant le 4
Avril 2011
.
Présentées en une demi-page, ces intentions de communications devront contenir :

                     
Une identification du participant

                     
Le thème

                     
Le Résumé en français et en anglais

                     
Les mots clés.

1.                    

La Communication Numérique demain ?

La Communication Numérique demain ?

Quels métiers, Quelles compétences, Quels managements, Quelles organisations du travail et quelles formations ?

le 18 mai 2011 à l’ESSEC à La Défense

APPEL A COMMUNICATIONS

Face aux évolutions technologiques, les professionnels de la communication sont en train de vivre de grandes mutations qui rendent peu visibles les réalités actuelles et surtout à venir des métiers dits du numérique.

L’internet et les technologies de l’information modifient radicalement les activités des métiers de la publicité et de la communication. Dans la pratique, une même personne peut exercer simultanément plusieurs métiers. Ainsi, l’auteur d’un projet peut être en même temps le scénariste et le concepteur de l’œuvre. Le concepteur graphique peut également être le directeur artistique ou un infographiste. Ou encore, le rôle de modérateur-animateur multimédia peut aussi être confié à un webmaster ou à un community manager. Cependant, les entreprises peinent parfois à trouver dans ces domaines les compétences qui leur sont nécessaires pour se développer. Les métiers de la communication numérique et le management des organisations évoluent très vite et le regard prospectif sur ces mutations, ruptures, signaux faibles semble indispensable pour éclairer l’action présente des acteurs du secteur.

De plus, la communication numérique vient de plus en plus bouleverser les réalités professionnelles de toutes les fonctions : finances, marketing, logistique, RH, etc. Lors de ce colloque, nous pourrons débattre des impacts, des enjeux, de la communication numérique sur ces fonctions et métiers. Suite à une étude de prospective des métiers de la communication numérique, ce colloque permettra également d’en présenter les résultats mais également de réunir chercheurs et praticiens qui s’intéressent à l’impact du numérique sur la Communication en général.

Nous serons particulièrement attentifs aux travaux de recherche interdisciplinaires ou aux notes de praticiens sur les thèmes suivants :

Les métiers et les compétences de la communication numérique – Les tendances d’évolution de la communication numérique – Les organisations du travail et le numérique – Les formations en communication numérique – Les stratégies numériques – Les enjeux de la communication numérique – Les avancées technologies – La création et le numérique ? – La sécurité numérique et l’intelligence économique – Evolution des pratiques RH 2.0 – Nouveaux comportements au travail et communication numérique – Approche et comparaison internationale de la communication numérique – Emergence de nouvelles fonctions professionnelles et intégration dans la gamme des métiers – Les processus créatifs mobilisés
(hybridations, créations, filiations, transformations…) – Les stratégies d’acteurs utilisées pour forger leurs missions et leurs représentations sociales – L’investissement symbolique dans les nouveaux métiers, les médiations et représentations qui en découlent – L’émergence de nouveaux métiers et leurs impacts en termes de création d’entreprise – Etc.

Les meilleures communications feront l’objet de publications dans la revue Management&Avenir, revue classée CNRS, AERES et ESSEC et d’un ouvrage aux éditions EMS.


Comité Scientifique

Sous la direction scientifique de
Luc Boyer (Université Paris Dauphine), Aline
Scouarnec
(Université de Caen (Nimec), ESSEC)
Maria-Mercanti Guérin (Cnam) et Sébastien
Payre
(Université de Caen, Nimec)

Olivier Badot – ESCP Europe, IAE de Caen, Nimec, Christine Balagué – Institut Telecom – TEM, Isabelle Barth – Ecole
de Management de Strasbourg, HuManiS,  Bertrand Belvaux – Université Paris II Panthéon Assas, Largepa,  Christophe Benavent – Université de Paris Ouest Nanterre la Défense, Ceros, Florence Benoit-Moreau – Université de Paris Dauphine, DRM, Michèle Bergadaà – Université de Genève, Suisse, Marc Bonnet – Université Jean Moulin Lyon 3, Iseor, Frank Bournois – Université de Paris II, Ciffop, Joël Brée – Université de Caen, Nimec, Rouen Business School, Etienne Candel – Université de Paris IV Sorbonne, Celsa, Aude d’Andria – Université d’Evry-Val-d’Essonne, Eva Delacroix – Université de Paris Dauphine, DRM, Christine De Valck – HECParis, Pierre-Louis Dubois – Université de Paris II, Ciffop, Jean-Yves Duyck – Université de La Rochelle, Marc Filser – Université de Bourgogne, Laurent Flores – Université Paris II Panthéon Assas, Largepa, Matthew Fraser – AmericanUniversity of Paris, Stéphanie Hérault – Université de Paris I Panthéon-Sorbonne, Prism, Valérie Jeanne-Perrier – Université de Paris IV Celsa Paris-Sorbonne, Gripic, Julien Levy – HECParis, Maria Mercanti-Guérin – Cnam Paris, Jean-François Lemoine – Université de Paris I, Valérie Patrin-Leclère – Université de Paris IV Celsa Paris-Sorbonne, Gripic, Laure Poulain – Gobelins, Philippe Robert-Demontrond – Université de Rennes 1, Monika Siejka – Institut International du Multimédia, Sébastien Payre – Université de Caen, Nimec, François Silva – ESCEM,Cnam
Paris,MauriceThévenet – Cnam Paris, ESSEC

Calendrier  et adresse de contact :

Toute communication est à adresser
à :
comnumerique2011@prospectivedesmetiers.com

Remise des intentions : 25 février 2011

1 page de présentation du projet de communication

Acceptation des intentions : 1°mars 2011

Remise des communications : 30 mars 2011

Texte de 15 pages maximum aux normes de Management&Avenir

Retour des évaluateurs : 20 avril 2011


Recommandations aux auteurs pour les communications des chercheurs

Les communications auront une longueur maximum de 12 à 15 pages (maximum), en simple interligne. Les manuscrits comportent un bref résumé en français et en anglais de 400 signes maximum, ainsi que les mots-clés pour chaque résumé (titre également traduit).

Le nom de l’auteur et sa courte présentation, son appartenance institutionnelle, son e-mail et l’adresse complète doivent figurer uniquement en page de garde. Les articles ne doivent pas comporter d’annexes : tableaux, schémas, images et autres ajouts (en noir et blanc) sont insérés dans le texte. Les parties suivent une numérotation simple : 1., 1.1., 1.1.1., etc.

Titre : times 18 en gras

Nom de l’auteur : times 14 en gras

Résumé et Abstract en gras en 16, puis contenu en times 12

Titre 1. : Times 14 en gras

Titres 1.1. : Times 12 en gras

Conclusion : Times 14 en gras

Bibliographie : Times 14 en gras, puis contenu en times 12, suivant le modèle suivant :

Ouvrage : nom de l’auteur et initiale du prénom, date de publication, Titre de l’ouvrage, Editeur, Lieu d’édition, (exemple : Mintzberg H. (1994), Grandeur et décadence de la planification stratégique, Dunod, Paris).

Article : nom de l’auteur et initiale du prénom, date de publication « Titre de l’article », Titre de la revue, Vol. x, No. x, p. x-y, date de publication (exemple : Koenig G. (1996), « Karl E. Weick », Revue française de gestion, No. 108, p. 57-70, mars-avril-mai).

Les titres, intertitres, « chapeaux » et textes en exergue sont de la responsabilité du comité scientifique
qui se réserve le droit de modifier ceux qui sont proposés par l’auteur.

Recommandations aux auteurs pour les notes des praticiens

Les notes des praticiens auront une longueur de 3 à 10 pages présentant une expérience terrain et suivront les mêmes règles de mise en forme que les communications de chercheurs.


Information sur les sites ou blog :
http://www.metiers-publicite.fr

Histoire des régulations environnementales

Histoire des régulations environnementales

 

Paris, 14 juin 2011

Appel à communications

 

Le Réseau thématique pluridisciplinaire CNRS (INEE et INSHS) « Histoire de l’environnement » organise, en 2011,
une série de quatre journées d’études. Après une première journée tenue à Arras en mars sur le thème « Usages et Pratiques de l’environnement », une seconde journée se tiendra à Paris le 14 juin
sur le sujet « Histoire des régulations environnementales ». La suivante se tiendra à Grenoble, en octobre, et sera consacrée à l’histoire des vulnérabilités. Le présent document présente les
intentions des organisateurs de la journée « Régulations » et lance un appel à communications. Ces journées sont ouvertes aux chercheurs de toutes disciplines de sciences humaines et sociales ou
de sciences de l’environnement intéressés.
Si l’on en croit les analystes des politiques publiques, la
régulation environnementale effectuée par le biais de normes issues d’une action réglementaire serait entrée en crise à la fin du XXe siècle, pour des raisons diverses : insuffisance des
connaissances dont disposent les pouvoirs publics, incapacité à faire respecter les règlements établis, faible efficacité aussi bien environnementale qu’économique, contestation et infractions
par les intéressés, incapacité à stimuler les solutions reposant sur l’innovation… Ce type de régulation laisserait de plus en plus souvent la place à une régulation par les « instruments
économiques » tels que les écotaxes, les droits à polluer etc., ou par des formes de « régulation négociée » appelées aussi « gouvernementalité coopérative », dans lesquelles des accords
volontaires sont conclus entre parties prenantes. Cette forme de régulation serait en fait, selon le sociologue Pierre Lascoumes, bien plus ancienne, mais elle se serait autrefois passée de façon
plus discrète, en raison de ce qu’elle s’oppose au droit régalien de décider et de contraindre. Cette forme a aussi été contestée comme étant par nature favorable aux industriels, plus aptes à
détourner les accords négociés à leur profit, et comme constituant un recul par rapport aux formes juridiques. L’objectif de la journée d’étude proposée ici n’est pas de trancher ce débat mais
d’y apporter une contribution historienne en montrant comment a fonctionné par le passé la régulation des questions environnementales. Nous chercherons donc à « rendre leur histoire » à ces
différentes formes de régulation— si tant est que toutes ces formes en aient une —, ou à d’autres formes si d’autres s’avèrent avoir existé. La période contemporaine sera probablement la plus
concernée dans la mesure où l’industrialisation a provoqué une inflation juridique du droit sous toutes ses formes, mais nous n’excluons pas a priori les contributions qui porteraient
sur les siècles antérieurs. Nous souhaitons ne préjuger ni de l’ancienneté respective des diverses formes de régulation, ni de l’existence d’autres formes qui ne seraient plus appliquées
aujourd’hui, car il nous semble que nous ne savons encore que peu de choses sur le sujet.

Les communications pourront porter sur les aspects suivants (mais la liste n’est pas limitative) :

– Quels types de régulation environnementale rencontre-t-on dans l’histoire, et à quels propos, et pour réguler quoi
? des ressources ? des milieux ? des agents économiques ? des polluants ? des risques ?

 – Comment ces régulations sont-elles apparues, comment ont-elles mises
sur pied, à l’initiative de qui (de quels groupes sociaux ?) et pour répondre à quel souci, protéger quels intérêts, faire face à quelle(s) évolution(s) ? Entraient-elles en contradiction avec
des modes de régulation existant antérieurement ? En cas de norme scientifique ou technique, à qui, à quels experts, la rédaction de ces normes était-elle confiée ? Quelle était la nature de
cette norme ?

– Comment fonctionnaient-elles ? Comportaient-elles des objectifs précis, voire chiffrés ? des calendriers, des «
obligations de résultat » ? Quel était leur cadre juridique, législatif, réglementaire ? Les acteurs étaient-ils bien identifiés, les responsabilités bien définies ? Quels types de savoirs
étaient mis en oeuvre ? Donnaient-elles lieu à des controverses scientifiques ou techniques ? Étaient-elles le lieu de production de nouveaux savoirs ?

– Quels dispositifs étaient prévus en cas d’infraction ? Quelles sanctions ?

– Que montre, a posteriori, l’analyse de leur fonctionnement ? Ouvraient-elles la porte à des pratiques de
lobbying, de jeux d’influence ? Au profit de qui ou de quoi fonctionnaient-elles en réalité ? Étaient-elles efficaces sur le plan environnemental, économique, social et pourquoi ?

 

Des propositions de communications portant sur des pays autres que la France ou comparant des systèmes de régulation
mis en oeuvre dans des régimes juridiques différents (pays de Common Law, de droit écrit…) seraient particulièrement bienvenues. Responsables scientifiques de la journée
:
Michel LETTE, maître de conférences au CDHTE/CNAM Geneviève MASSARD-GUILBAUD, directrice d’études à l’EHESS Les propositions devront parvenir par email aux deux
organisateurs avant le 9 avril.
Michel Letté : michel.lette@cnam.fr ; Geneviève Massard-Guilbaud :
massard@ehess.fr Elles ne dépasseront pas
une page. Elles mentionneront aussi précisément que
possible le sujet de la communication proposée, les grandes lignes de son contenu et conclusions, ainsi que les sources mises en oeuvre. L’auteur se présentera succinctement et mentionnera une ou
deux de ses publications récentes. Conformément à l’esprit qui guide l’action du RTP, les propositions de chercheurs de toutes les disciplines, qu’elles relèvent des Sciences humaines et sociales
ou des Sciences de l’environnement, sont les bienvenues à la seule condition qu’elles traitent effectivement d’histoire. Une réponse sera donnée à chaque proposition avant fin avril. La journée
d’étude se déroulera à Paris, le 14 juin 2011, et sera ouverte à toute personne intéressée. Les déplacements des intervenants seront pris en charge. Le lieu et les modalités pratiques seront
précisés ultérieurement.

Pour plus d’information sur le RTP Histoire de l’environnement, consulter http://www.cnrs.fr/inee/recherche/actionsincitatives-RTP-histoire_environnement.htm ou http://www.cnrs.fr/inshs/recherche/RTP%20Environnement/presentation.htm

 

michel Letté

Enseignant-chercheur en histoire des techniques

Cdhte-Cnam Paris – 75141 Paris cedex 03

33 (0)1
53 01 80 15

Le développement durable vu par les économistes

APPEL A COMMUNICATION

« Le Développement durable vu par les économistes : débats et controverses »

Université Blaise Pascal – IUFM Auvergne

Les 15 et 16 décembre 2011

 

Les organisateurs du colloque souhaiteraient faire le point sur les apports des économistes à la question du
développement durable tout en permettant à leurs contradicteurs (écologistes, environnementalistes, historiens, géographes, sociologues, philosophes…) de mettre en lumière les principaux points
d’achoppement et/ou de contradictions dans leurs approches.

En effet, depuis le rapport Our Common Futur des Nations Unies (World Commission on Environment and Development,
WCED, 1987), plus connu sous le nom de rapport Brundtland, le développement est dit durable s’il « répond aux besoins présents sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire
les leurs ». Cette définition a très vite soulevé la plus vive inquiétude parmi la communauté des écologistes et des environnementalistes (Jansson, 1988 ; Daly, 1990). D’une part, elle ne
précisait pas quel type de développement fallait-il rechercher (Dilworth, 1994). D’autre part, l’idée même de développement était étroitement liée à un certain niveau de croissance. Les membres
de la Commission, en la personne de son secrétaire général Jim MacNeill, encourageaient même les Etats à rechercher cette croissance : « what we called the growth imperative.
The world’s economy must grow and grow fast if it is to meet the needs and aspirations of
present and future generations. The Commission estimated that a five to ten-fold increase in economic activity would be needed over the next half century just to raise consumption in developing
countries to more equitable levels. En energy use alone would have to increase by a factor of eight, just to bring developing countries, with their present populations, up to the level now
prevailing in the industrial world. I could cite similar factors for food, water, shelter, and the other essentials of life “(MacNeill 1989, p. 18).
Par la suite, le développement durable a été appréhendé au moyen de trois sphères (économie, sociale, environnementale)
articulées autour des composantes suivantes : équité sociale, efficacité économique et préservation de l’environnement.

 En l’espace de quelques années, la problématique du développement
durable s’est immiscée dans les débats au point de susciter une importante littérature et de faire l’objet de nombreuses controverses. Les économistes se sont saisis de cette question et ont
cherché à apporter, à leur manière, un éclairage sur le concept.

Le colloque sera divisé en sept ateliers :

– Le premier atelier cherchera à revenir sur la représentation du développement durable sous la forme des trois
sphères (économique, sociale et environnementale). Métaphore inventée par le monde industriel, la représentation des trois sphères pose clairement la question de la synergie entre satisfaction
des besoins, prise en compte des contraintes environnementales et valeurs sociétales. Comment parvenir à une telle synergie alors que les trois sphères n’ont pas le même statut ? Quels problèmes
et difficultés soulèvent cet idéal-type ? Doit-on redéfinir la matrice conceptuelle ? Réexaminer les frontières des différentes sciences ? Développer des points de convergence ou de confluence
?

– Le deuxième atelier privilégiera les antécédents intellectuels, parfois anciens, s’inscrivant dans la pensée
écologique et dans la pensée économique. Ainsi l’histoire de la pensée économique et écologique, mais également l’épistémologie, seront mobilisés pour expliquer l’évolution du concept de
développement durable. Comment les premiers économistes ont-ils intégré la question environnementale, la question sociale ? Se sont-ils tournés vers les autres sciences ? Ont-ils eu des contacts
avec des écologistes, des environnementalistes ? Quelle vision du monde ont-ils proposée ?

– Le troisième atelier s’interrogera sur le degré de pertinence des différents courants théoriques vis-à-vis de la
question du développement durable. Autrement dit, comment les corpus théoriques tels que la théorie néoclassique, la théorie de la régulation, l’institutionnalisme, l’économie écologique,
l’écologie industrielle, l’écologie politique… ont cherché à intégrer, avec plus ou moins de réussite, cette référence nouvelle ? Est-ce que la dissociation entre les approches dites de
durabilité faible (issues du courant néoclassique avec une possible substituabilité des facteurs de production) et celles relevant de la durabilité forte (l’environnement y apparaît comme une
variable spécifique) est pertinente ? N’assiste t’on pas à un déplacement des débats au niveau des projets politiques, les uns ne renonçant pas à toute idée de croissance économique dès lors que
les contraintes de reproduction de l’environnement sont prises en compte, les autres proposant la décroissance pour les pays industrialisés ?

– Le quatrième atelier mettra en relation les différents champs du développement durable avec ce que l’on a coutume
d’appeler la boîte à outils des économistes. Les débats relatifs au réchauffement climatique, à la biodiversité, à la pollution ont amené les économistes à s’emparer de la question
environnementale et à préconiser la mise en place d’une taxe, le développement des marchés de droits à polluer, la comptabilisation des flux de matières et d’énergie dans des matrices
input-output, la dématérialisation du capitalisme, l’essor de l’innovation et de la technologie, l’évaluation du prix de la biodiversité… Remèdes dont il conviendra de cerner les tenants et les
aboutissants. Comment minimiser les dégâts dans un monde écologique de moins en moins durable ? Quelles stratégies de transition ?

– Le cinquième atelier abordera la question du développement durable dans le cas des pays en développement et en
transition. Il portera plus précisément sur les enjeux environnementaux et le traitement des questions sociales. La gestion des ressources naturelles renvoie à la préoccupation croissante de la
désertification, de la dégradation des terres, de la déforestation, de l’urbanisation, ou encore de l’accès à l’eau. Les questions sociales traduisent des phénomènes de migrations, d’inégalités,
voire d’exclusion.

– Le sixième atelier reviendra sur la perception très contrastée des différents acteurs vis-à-vis des débats
économiques. Les entreprises, les institutions nationales et internationales, les ONG, les associations… se sont tour à tour appropriées le concept de développement durable, dégageant ainsi des
positions très modérées ou très radicales. Cet atelier cherchera à répondre à plusieurs questions : que signifie le développement durable pour ces acteurs ? Comment expliquer leur engagement ?
Quel niveau de crédibilité faut-il lui donner ?

– Le septième atelier abordera la question de l’éducation au développement durable. En effet, les problématiques
issues du développement durable posent des difficultés redoutables (pluralité des domaines scientifiques, gestion des questions vives, place du politique…). Le choix des termes « éducation au
développement durable» montre à lui seul que les appellations ne sont pas neutres, elles nous amènent à dépasser le strict cadre de l’instruction et de l’enseignement/apprentissage de contenus
disciplinaires, pour tenter de clarifier le vocabulaire, s’interroger sur le poids et le sens de l’apprentissage de « bonnes pratiques » dans le cadre scolaire et non scolaire. Il s’agira ici de
débusquer certains « allant de soi » qui pourraient contribuer à instrumentaliser l’EDD et, tout en s’appuyant sur les avancées les plus récentes sur la question, de contribuer à caractériser les
objets de l’EDD et les situations d’enseignement/apprentissage liées.

 Les propositions de communications, qui prendront la forme d’un résumé
d’environ 600 mots, doivent être envoyées avant le 15 juin 2011 à : diemera@aol.com. Les décisions du comité scientifique seront transmises au plus tard le 30 juin 2011.

 

Comité d’organisation :

Arnaud Diemer (Université Blaise Pascal-IUFM Auvergne, PHARE) ; Sylvie Dozolme (Université Blaise Pascal-IUFM
Auvergne) ; Corinne Marlot (Université Blaise Pascal, IUFM Auvergne, PAEDI) ; Brigitte Morand (Université Blaise Pascal, IUFM Auvergne, PAEDI) ; Didier Mulnet (Université Blaise Pascal-IUFM
Auvergne).

 

 

Comité scientifique :

Amanar Akhabbar (Université de Lausanne), Yves Alpe (Université d’Aix Marseille), Catherine Aubertin (IRD), Eric
Berr (Université de Montesquieu, Bordeaux IV), Pascal Bridel (Université de Lausanne), Beat Bürgenmeier (Université de Genève), Pascale Combe-Motel (Université d’Auvergne), Annie Cot (Université
Paris I), Anne-Marie Crétieneau (Université de Poitiers), Suren Erkman (Université de Lausanne), Patrick d’Humières (Company 21), Arnaud Diemer (Université Clermont-Ferrand), Sylvie Ferrari
(Université de Montesquieu, Bordeaux IV), Jean-Marie Harribey (Université Montesquieu, Bordeaux IV), Blandine Laperche (Université de Dunkerque), Alain Legardez (Université Aix-Marseille),
Marie-Antoinette Maupertuis (Université de Corté), Nicolas Postel (Université de Lille 1), Jean Simonneaux (ENFA, Toulouse), Emmanuelle Raynaud (Université Aix-Marseille III), Gilles Rotillon
(Université Paris X – Nanterre), Franck Dominique Vivien (Université de Reims-Champagne-Ardenne), Yvette Veyret (Université Paris X – Nanterre), Bertrand Zuindeau (Université de Lille 1).

 

Le
colloque se déroulera les jeudi 15 et vendredi 16 décembre 2011 à l’IUFM d’Auvergne, 36 avenue Jean Jaurès, 63400 Chamalières, tél : 04.73.31.72.71 ou 06.72.25.04.75. Toute information relative
au colloque sera progressivement mise sur le site : http://www.oeconomia.net/colloques.htm. Ce colloque est soutenu par le laboratoire PHARE,
l’Association Charles Gide pour la Pensée Economique (ACGPE), l’Association Oeconomia et le Réseau de Recherche sur l’Innovation (RRI). L’ensemble des textes sélectionnés pour le colloque fera
l’objet d’une publication collective. Certains papiers, en lien étroit avec la ligne éditoriale des Cahiers d’économie de l’innovation ou du Journal Of Innovation Economics, pourront également
faire l’objet d’une publication.

1re Journée de Recherche du L@REM : GERER AUTREMENT ?

APPEL A COMMUNICATION

Vendredi 24 juin 2011

GERER AUTREMENT ?

Les crises financière, économique et sociale que nous connaissons questionnent non seulement l’efficacité des pratiques de gestion des organisations mais aussi leur légitimité. La gestion instrumentale rigoureuse conçue hier comme un gage de prospérité est aujourd’hui dénoncée comme la source de maux profonds : « la société est malade de la gestion ». Dès lors, il apparaît urgent d’interroger les notions de performances et de repenser les pratiques, qu’il s’agisse de la finance, la gouvernance, l’entrepreneuriat, le management ou la formation à la gestion elle-même, qui permettront d’atteindre cette conception renouvelée de la performance.

Lors de cette journée de recherche, nous souhaitons explorer certaines pistes qui offrent une alternative aux pratiques de gestion traditionnelles sans pour autant relever de l’économie sociale et solidaire.

Comment peut-on aujourd’hui gérer les organisations de sorte que l’on restaure leur légitimité et que l’on concilie celle-ci avec la performance ?

Le renouvellement des pratiques de gestion sera abordé de différents points de vue. Cette journée s’intéressera à l’évolution de la fonction financière et en particulier au développement de la micro-finance et de la finance durable. En matière d’entrepreneuriat, des enseignements seront tirés des entreprises familiales davantage préoccupées de pérennité que de profits à court terme. En matière de management, gérer autrement signifie, par exemple développer des pratiques qui tirent parti des particularités locales mais qui sont aussi respectueuses de ces singularités. Plutôt que de s’aligner sur les pratiques supposées « les meilleures », il s’agit de mettre en place en
chaque lieu des formes de gouvernement adaptées aux contextes locaux. Au delà de ces thématiques précises, les communications attendues porteront sur toutes les initiatives et les pistes qui
tentent de répondre aux nouveaux défis de légitimité et de performance en matière de :

– financement des entreprises(finance durable, finance islamique, micro-finance…)

– gouvernance et contrôle des organisations
(mesures de la performance, gestion des risques, gouvernance normative, entreprises familiales…)

– entrepreneuriat(accompagnement des porteurs de projet, micro-entreprises, intrapreneuriat…)

– management du personnel(« slow management », reconnaissance et bienveillance, organisation et conditions de travail…)

– formation à la gestion et à l’encadrement
(développement des compétences managériales)

Cette journée de recherche est ouverte non seulement aux enseignants chercheurs en sciences de gestion mais également aux praticiens. L’objectif est de partager et de fédérer les travaux de recherche de nature académique avec des expériences de terrain
alternatives.

Calendrier

·        Intention de communication (1 page; 3 à 5 mots clefs) : 18 avril 2011

·        Réponse aux intentions :         29 avril 2011

·        Envoi du texte complet (15 pages maximum) : 23 mai 2011

·        Confirmation définitive d’acceptation :       1er juin 2011

Envoi des communications à Madame Nadia Rhounimi, nadia.rhounimi@univ-evry.fr avec copies à : fredj.jawadi@univ-evry.fr et sylvie.chevrier@univ-evry.fr

Recommandations aux auteurs :

Les communications auront une longueur maximum de 15 pages (notes et bibliographie comprises).
Les manuscrits seront accompagnés d’un résumé (150 mots), ainsi que des mots clefs en français et en anglais. Pour la présentation générale, les auteurs se reporteront aux indications fournies sur le site

Une sélection de communications sera publiée dans un numéro spécial de La Revue des Sciences de Gestion, direction et gestion des entreprises.

Comité scientifique

Aude d’Andria (UEVE)
Corinne Baujard (UEVE)
Didier Chabaud (Université d’Avignon)
Jean-François Chanlat (Université Paris-Dauphine)
Sylvie Chevrier (UEVE)
Fredj Jawadi (UEVE)
Philippe Jacquinot (UEVE)
Jean-Luc Le Bideau (UEVE)
Denis Lescop (TEM)
Jean-Luc Moriceau (TEM)
Claude Meyer (UEVE)

Frederik Mispelblom Beyer (UEVE)
Sabine Monnier (Université Paris 1)
Philippe Naszalyi (UEVE)
Eric Paget-Blanc (UEVE)
Jean-Jacques Pluchart (Université Paris 1)
Katia Richomme-Huet (Euromed management)
Gilles Saint-Amand (UQAM)
Michel Roux (Université Paris 13)
Patrick Sentis (Université Montpellier)

Comité d’organisation

Aude d’Andria (UEVE)
Corinne Baujard (UEVE)
Sylvie Chevrier (UEVE)
Fredj Jawadi (UEVE)
Frederik Mispelblom Beyer (UEVE)
Philippe Naszalyi (UEVE)

Lieu du colloque

Université d’Evry – Val d’Essonne UFR de Sciences Sociales et Gestion, 2, rue du Facteur Cheval
91025 EVRY cedex (France)

APPEL A COM Le profit dans les PME, perspectives historiques

Entreprises et profits ­ Etudes de cas

Le profit dans les PME, perspectives historiques, 19e ­ 20e siècles

 

Pendant longtemps, les historiens se sont intéressés au profit dans les grandes entreprises et les secteurs
industriels considérés comme stratégiques pour l’industrialisation (sidérurgie, automobile, industrie électrique, etc.), ce phénomène a souvent été favorisé par la disponibilité d’archives de
grands groupes. À l’opposé, l’analyse du profit dans les PME est restée à l’état embryonnaire et les approches existantes portent rarement sur plusieurs pays et différents secteurs. Ces dernières
années, de nombreuses monographies ou travaux thématiques ont commencé à combler cette lacune, toutefois, les résultats de ces recherches restent disséminés et très peu de travaux analysent cette
problématique d’un point de vue global ou transnational.

L’objectif du présent projet est de lancer une réflexion sur le profit dans les PME dans une perspective
internationale qui doit aboutir à un livre collectif. Cet ouvrage pourra s’appuyer sur les exemples français, suisses et scandinaves marqués par le rôle crucial des PME dans le décollage
économique. Mais il ne néglige pas pour autant le monde anglo-saxon où ce type de structure semble sous-estimé. Enfin, les cas plus récents de l’Allemagne, du Japon, de l’Italie et de l’Espagne,
voire de la Chine, offrent également de belles pistes de réflexion autour du thème du profit.

Les propositions de communication peuvent couvrir différents champs d’étude et adopter diverses méthodologies. Elles
peuvent aborder la thématique de l’analyse des profits sous un angle théorique ou méthodologique (comment analyser le profit, quels outils construire et utiliser, quelles sources utilisées ­
sources d’entreprises et sources externes, comment établir des comparaisons entre secteurs et entre entreprises ?, etc.). Des études de cas peuvent également être proposées, dans divers types de
PME et divers secteurs. Nous invitons aussi les chercheurs à se pencher sur des thématiques classiques, telles que l’analyse du profit dans les entreprises familiales, mais nous les invitons à
traiter ces thématiques sous de nouveaux angles. Par exemple, en étudiant les questions de risques et de profits, dans les secteurs du luxe et de la mode. Les perspectives par secteurs sont
vivement encouragées, est-ce que la notion de profit est identique dans des entreprises de bien de consommation ou dans des entreprises d’équipement ? Enfin, l’approche devrait aussi favoriser
des angles particuliers, tels que les stratégies personnelles des entrepreneurs ou des managers.

De plus, l’analyse du profit concernera son utilisation et sa répartition.

Que devient le profit ? Quelles sont les parts prélevées par les actionnaires, par les cadres salariés ? Quelles
sont les parts consacrées à l’autofinancement ? Aux ouvriers ? Comment les entrepreneurs camouflent-ils le profit ? Quelles sont les stratégies de gestion de l’inventaire et de l’amortissement.
Enfin, la question peut aussi aborder les plans comptables, notamment pour les pays où ils ne sont pas imposés. La question du calcul du profit et de la rentabilité, liée ou pas à l’introduction
de nouvelles méthodes comptables (comptabilités industrielles) peuvent aussi faire l’objet d’analyses.

 

Seules seront prises en compte les communications qui s’attachent à traiter le sujet de manière très précise.

Les langues du livre sont le français, l’anglais et l’allemand.

 

Calendrier :

L’appel à contribution est ouvert jusqu’à fin mai 2011 avec confirmation fin juin 2011. Les textes devront être
remis le 30 novembre 2011 et la publication aura lieu en septembre 2012. Selon les possibilités, deux journées d’études seront organisées aux Universités de Toulouse et de Neuchâtel en
janvier-février 2012.

Les chercheurs sont invités à soumettre un papier d’une page, présentant le projet, accompagné d’une courte
biographie. Les articles devront comprendre 30’000 à 40’000 signes, notes et espaces compris. Pour les personnes qui s’inscrivent des indications rédactionnelles plus précises seront transmises
ultérieurement.

 

Contacts :

Veuillez envoyer votre proposition d’article à l’une des deux adresses

ci-dessous.

 

Alain CORTAT

Collaborateur scientifique

Institut d¹histoire

Université de Neuchâtel

alain.cortat@unine.ch

++41 79 3 907 607

 

Jean-Marc OLIVIER

Professeur d’histoire économique contemporaine

Directeur du laboratoire CNRS Framespa

Université de Toulouse

jean-m.olivier@wanadoo.fr

(0)5 61 50 36 32

JOURNÉE DE RECHERCHE DU L@REM – VENDREDI 24 JUIN 2011

L’efficacité des pratiques de gestion des organisations et leur légitimité constituent deux questions d’actualité notamment parce que la gestion instrumentale rigoureuse conçue auparavant comme un gage de prospérité est aujourd’hui dénoncée comme la source de maux profonds. La journée de recherche L@REM permet d’interroger les notions de performances et de repenser les pratiques en finance, gouvernance, entrepreunariat, management, etc. Ainsi, cette journée permettrait d’explorer certaines pistes qui offrent une alternative aux pratiques de gestion traditionnelles permettant de gérer autrement les organisations de sorte que l’on restaure leur légitimité et que l’on concilie celle-ci avec la performance. En particulier, nous nous intéressons à l’évolution de la fonction financière et de la finance durable, aux entreprises familiales ainsi qu’aux pratiques renouvelées de management. Nous conclurons sur les pistes pour repenser la formation à l’encadrement qu’impliquent ces nouvelles perspectives.

Appel POUR UN NUMERO THEMATIQUE DE LA REVUE TRAVAIL ET EMPLOI

APPEL A CONTRIBUTIONS

 

Diriger une PME

Soucieux de favoriser l’emploi, les pouvoirs publics élaborent et mettent en oeuvre des politiques de
soutien à la création et au développement des PME. A côté de ces politiques qui influencent l’activité des PME, le management, c’est-à-dire l’organisation et la conduite des activités, reste
essentiel dans l’élaboration et à la mise en oeuvre de la stratégie. Ce management a-t-il des caractéristiques spécifiques ? C’est ce que ce numéro spécial se propose d’examiner en centrant
l’attention sur l’activité et les propriétés des dirigeants.

Par-delà leur identification convenue aux entrepreneurs, il s’agit d’examiner dans leur variété les
rôles et les activités des dirigeants de PME, mais aussi de s’interroger sur leurs parcours et leurs propriétés sociales et professionnelles. Sont indiqués ci-dessous des thèmes et questions que
pourront aborder les contributions au numéro spécial. Si des travaux de sciences de gestion sont attendus sur un tel sujet, les contributions provenant d’autres sciences sociales du travail
(sociologie, histoire, économie, droit) seront les bienvenues.

 

Les dirigeants de PME

Les origines et les trajectoires professionnelles des dirigeants de PME ne sont pas homogènes. En
outre, il pourrait y avoir une évolution du / des profil(s) des dirigeants de PME, que ce soit sur la longue période historique ou sur les dernières décennies. Dans quelle mesure, cette évolution
supposée

des origines et des trajectoires individuelles s’est-elle accompagnée, du point de vue collectif,
d’une évolution du syndicalisme patronal et des organisations professionnelles, nationales et locales, des dirigeants de PME. Le statut juridique du dirigeant de PME, les rapports à ce statut et
les arbitrages auxquels il conduit pourront par ailleurs être examinés.

 

Le management des PME

Le / la dirigeant(e) de la PME tient une place centrale dans le management de celle-ci. La proximité
que la taille de l’entreprise lui permet d’avoir avec son personnel, ou encore la place que peut tenir l’informel quand l’effectif est relativement peu nombreux, invite à s’interroger sur la
gestion des ressources humaines qui y est pratiquée. On pourra notamment se demander si ces modes de gestion comportent, ou non, des spécificités, par exemple dans le rapport au droit du travail
?

Du point de vue externe, l’inscription dans des groupes ou chaînes de valeur et les relations avec des acteurs institutionnels, politiques ou de la société civile
(pouvoirs publics, syndicats de salariés, associations, etc.) sont une dimension importante de l’activité du / de la dirigeant(e). La variété et la complexité de ces activités conduit à se poser
la question des conditions de travail des dirigeants (rémunération, durée du travail) et à s’intéresser à l’accompagnement des dirigeants de PME sous ses différentes formes : recours à des
conseils, soutiens publics et privés… Enfin, une préoccupation spécifique aux dirigeants de PME, celle de la reprise et de la transmission des entreprises mériterait d’être examinée.

Les articles doivent permettre de rendre compte de la variété de l’univers des dirigeants de PME.
Peut-on dégager des spécificités en rapport avec certains éléments de contexte : âge de l’entreprise, bassin d’implantation, secteur d’activité, degré d’équipement technologique, génération du
dirigeant, etc.

 

Modalités de réponse

Les contributeurs sont invités dans un premier temps à proposer une intention
d’article
de 5 000 à 7 000 signes environ (trois à quatre pages), présentant clairement la question de recherche étudiée, les matériaux utilisés, outils d’analyse mobilisés et résultats
attendus. L’appel est bien sûr ouvert aux propositions issues de l’association d’équipes travaillant à partir de méthodes quantitatives et / ou qualitatives. Il est aussi ouvert à des enquêtes
sur des pays étrangers, pour saisir les éventuelles spécificités nationales de ces problématiques.

Ces intentions sont à envoyer par courriel, en pièce jointe, à la rédaction de la revue


travail.emploi@dares.travail.gouv.fr

et, en copie, à

eric.pezet@u-paris10.fr
,

thomas.amosse@ceerecherche.fr

pour le 20 juin 2011 au plus tard
.
Les auteurs dont les projets seront susceptibles de s’intégrer dans ce dossier thématique devront ensuite envoyer leur article complet pour le 1
er

décembre 2011
.

SEPTIEMES RENCONTRES INTERNATIONALES DE LA DIVERSITE

Les 7e rencontres internationales de la diversité se réuniront sur le thème «Diversité(s) : approches internationales » à CORTE les
29 et 30 septembre 2011.

AGRH – AFMD – ADERSE – IAS – ANDRH

Le management de la diversité est devenu dans tous les pays un défi à relever par les entreprises et les organisations à des degrés divers. Au niveau international, les entreprises et organisations, sensibilisées aux enjeux croissants de la diversité, prennent des engagements, négocient des accords, recherchent des labels, définissent et mettent en œuvre des politiques et des pratiques de management de la diversité, d’égalité des chances et de lutte contre les discriminations.

Les septièmes Rencontres Internationales de la Diversité permettront de mesurer les progrès et de connaître les meilleures politiques et pratiques, les grappes de bonnes pratiques et les innovations actuelles dans ce domaine en Europe et dans le monde.

Les communications retenues pourront s’inscrire dans l’un des axes suivants :

  • Les diverses sources de diversité à travers le monde
  • Reconnaître la diversité dans les différents contextes
  • Mesure, indicateurs, tableaux de bord et reporting « diversité »
  • Les « bonnes pratiques diversité » à travers le monde
  • Les effets des actions diversité sur l’implication des salariés
  • Les progrès réalisés par les politiques de gestion de la diversité
  • La diversité des clients et de leurs attentes
  • Les attentes des parties prenantes en matière de diversité
  • Les approches internationales de recrutement sans discrimination
  • Diversité et réseaux sociaux

Les communications pourront également porter sur tous les aspects de la diversité permettant d’élargir le champ des réflexions au niveau international :

  • Les conditions de travail au service de la ou les diversité(s)
  • La politique de formation au service de la diversité
  • La capitalisation des savoir faire en matière de gestion de la diversité
  • L’évaluation des structures et des actions mises en œuvre dans les entreprises
  • Une sélection de communications sera publiée dans un numéro spécial de la revue « Management & Avenir ».

Calendrier

Remise du texte pour examen par le comité scientifique (entre 8 et 12 pages, bibliographie et notes incluses) : 15 juin 2011

Contacts (envoi de tous les documents aux contacts suivants) :

asso.diversite@hotmail.fr ; peretti@univ-corse.fr ; frimousse@univ-corse.fr ; terramorsi@univ-corse.fr

Normes de présentation

Le texte sera dactylographié sur PC, logiciel Word, caractères Times New Roman 12, format A4, marges de 2,5cm, interligne simple.

Médias 011 : Y a-t-il une Richesse des Réseaux ?

Appel à communication en ligne sur le site du colloque : www.medias011.univ-cezanne.fr
Aix en Provence les 8 et 9 décembre 2011.

Quels journalismes ?

Quelle sociologie des réseaux ?

Quelles solutions juridiques ?

Quels marketings et managements alternatifs ?

Quelles innovations technologiques ?

 

Les réseaux sont désormais au cœur de nos modes de communications Derrière leur fulgurance et leur prédominance,
qu’y a-t- il réellement ? Transforment-ils nos sociétés ? Modifient-ils notre manière de nous informer ? Nous ‘rendent-ils idiots’ ? Fragilisent-ils nos droits ? Ces interrogations ont pour objet
de réunir des réponses venant d’univers scientifiques variés réunissant les sciences de l’information et de la communication, la sociologie, le droit, l’économie, la gestion et le management, les
sciences entre autres…

Une étude récente menée par l’Université de Colombie Britannique montre que les réseaux sociaux sont de plus en plus
utilisés pour s’informer. 61% des moins de 34 ans considèrent que les médias sociaux sont aussi importants que ceux en ligne ou en version papier. La curation sociale utilisant des sites comme
Paper.li1 ou Scoop.it, dernière tendance du web, semble annoncer une réappropriation du web par les internautes à l’opposé du tri effectué par des robots. Facebook compte plus de 600 millions de
comptes alimentés par plus de 700 millions de minutes de connexion, tandis que 600 millions de Smartphones seront vendus en 2011. Nous sommes de plus en plus nombreux à informer notre communauté
en temps réel de nos faits et gestes. Nous partageons notre vie et réclamons parfois ensuite le droit à ‘l’oubli’. Nous achetons en prenant conseil dans notre réseau. Le f-commerce devient
shopping collaboratif. Les changements ne touchent pas que les pratiques, ils touchent aussi les produits. Le Cabinet Deloitte, dans son étude annuelle, montre que fin 2011, plus de 50% du
matériel informatique seront des Smartphones et des tablettes numériques. Les changements impliquent des choix technologiques par exemple entre la 3,5 ou la 4G (LTE) pour les
opérateurs. 

Si les réseaux sociaux devraient franchir fin 2011 le cap du milliard de visiteurs uniques, les recettes
publicitaires qui leur sont directement liées resteraient modestes, environ 4 dollars par visiteur soit, en cumulé, moins de 1% du total des dépenses publicitaires mondiales2. Chiffres
impressionnants mais modèle économique fragile. Les réseaux sociaux constituent de nouveaux marchés où le marketing utilise des méthodes nouvelles et créatives (marketing affinitaire, marketing
viral, hyperciblage, géomarketing, création de blogs ou de pages Facebook, Facebook deals3 ou encore la toute nouvelle monnaie virtuelle de Facebook4). Ces marketings alternatifs, soulèvent de
nombreuses questions : efficacité des moyens, contraintes juridiques, gestion de la e-réputation, contrôle de l’image de la marque, utilisation des médias sociaux, community management…

Nous espérons des travaux de recherche interdisciplinaires sur les thèmes suivants :

  • Les modes de production et de diffusion de l’information dans les réseaux sociaux
  • Les modèles de communication des réseaux socionumériques qui font l’équilibre entre SIC et STIC.
  • Le métier de journaliste face aux réseaux sociaux
  • Les nouveaux comportements des lecteurs d’information
  • L’innovation informationnelle dans les réseaux sociaux
  • La curation sociale
  • Les frontières poreuses entre identités professionnelles
  • Vers une nouvelle sociologie des médias ?
  • Comparaisons internationales portant sur les médias
  • Le droit de l’individu au sein d’une communauté numérique
  • Le droit à l’oubli
  • Le droit de l’économie numérique
  • Le droit de la communication numérique
  • Les enjeux de la communication numérique
  • Les métiers et les compétences de la communication numérique
  • Les processus créatifs mobilisés au sein des nouveaux marketings
  • La gestion de la relation client au sein des réseaux sociaux
  • La gestion de son e-réputation
  • La défense juridique de le-réputation
  • L’intelligence des foules ?
  • Etc.

L’originalité de ce colloque est d’être interdisciplinaire et porté par trois laboratoires de l’Université Paul
Cézanne : le CERGAM (Centre de recherche en Gestion d’Aix Marseille), le LID2MS (Laboratoire interdisciplinaire de droit des médias et des mutations sociales) et le LSIS (Laboratoire des Sciences
de l’Information et des Systèmes). Il a pour ambition de faire se rencontrer des chercheurs de disciplines académiques travaillant sur des objets communs mais de manière souvent isolée. Ce
colloque souhaite fournir l’occasion de rencontres interdisciplinaires afin de croiser des méthodes et des regards scientifiques différents. Ce colloque souhaite rassembler, entre autres, les
disciplines suivantes : droit, économie, management, socio-économie, sciences et technologies, sciences de l’information et de la communication (info-com), sociologie, philosophie…

Les contributions théoriques ou empiriques sont les bienvenues.

 

  1. Paper.li, est une startup suisse qui développe un outil vous permettant de fabriquer votre propre journal (ou
    suivre celui des autres) basé sur les liens, articles de blog, vidéos et photos postés sur Twitter et Facebook.
  2. Ces tendances mondiales sont annoncées par Deloitte dans son étude annuelle «Technology, Media &
    Telecommunications Predictions», présentée le 4 février 2011.
  3. Facebook deals = de manière instantanée, le client reçoit des ‘bons plans’ proposé par le magasin dans lequel il
    entre.
  4. Lancement prévu le 1er juillet 2011 de la monnaie virtuelle ‘Facebook credits’. Principe : un achat en ligne donne
    droit à un crédit Facebook qui peut être utilisé pour régler en autre achat ou jouer en ligne.

Réponse à l’appel à communication

  • Date limite de soumission des résumés : 10 juin 2011.

Les organisateurs souhaitent recevoir des résumés de proposition n’excédant pas 6000 caractères ainsi que les
principaux éléments de bibliographie (sans limite de caractères). Les résumés peuvent être rédigés en anglais ou en français.

Les résumés et les éléments de bibliographie doivent être mis en ligne via un formulaire directement sur le site du
colloque

Les auteurs des résumés retenus par le comité scientifique après un processus de double lecture en aveugle seront
informés le 15 juillet 2011.

  • La date limite pour les papiers complets est le 19 septembre 2011

Les articles peuvent être rédigés en anglais ou en français.

Voir
toutes les conditions sur http://www.medias011.univ-cezanne.fr/index.php?id=5867

Appel à Com de l’ESCT sur le thème BANQUE FINANCE ET RISQUES

Appel à Communications

L’Ecole Supérieure de Commerce de Tunis

organise sa 1re Conférence
Internationale

BANQUE FINANCE ET RISQUES

Sous le thème
:

STABILITE FINANCIÈRE ET DÉVELOPPEMENT

 

Jeudi 13 octobre 2011

En collaboration avec :

L’Université de Manouba, l’Ecole Doctorale ECOFIGES(ESC Tunis) et l’Unité de Recherche ECOFI

(IHEC Carthage).

Après la première journée sur la finance islamique-avril 2010, l’ESCT se propose de réunir à nouveau
les universitaires, les chercheurs et les professionnels intéressés par les domaines de la banque, la finance et la gestion des risques. Cette première conférence constitue un forum d’échanges
privilégiés de connaissance entre tous les acteurs concernés.

 

Soumission

Tous les papiers soumis sont évalués par les membres du comité scientifique et acceptés sur la base de
leur clarté, leur originalité et leur contribution scientifique. Les soumissions d’articles originaux pourront porter sur les domaines suivants (proposition) :

– Banques et réglementation prudentielle

– Assurances et Solvency II

– Economie et finance islamique

– Marchés financiers, fonds d’investissement et régulation

– Développement financier et développement régional

Les propositions de communication doivent être envoyées par courrier électronique à l’adresse suivante
:
2011bfr@gmail.com. Ne
seront examinées que les propositions comportant un papier intégral.

 

Dates à retenir

· Date limite d’envoi des communications : 31 juillet 2011

· Date de notification aux auteurs : 31 août 2011

· Date limite d’inscription : 15 septembre 2011

· Date de la conférence : 13octobre 2011

 

Indications aux auteurs :

Les textes des communications acceptées devront répondre aux critères suivants :

· 20 pages au maximum (y compris les figures, tableaux et la bibliographie).

· Police de caractère : Times New Roman.

· Taille de caractère : 12.

· Interligne : simple.

· Une seule ligne entre chaque paragraphe.

· La première page comportera le titre de l’article, le nom des auteurs, leur affiliation et adresse
ainsi qu’un résumé de 150 mots maximum.

· Les langues officielles de la conférence sont le français et l’anglais.

· Les textes des communications doivent être envoyés en format word ou en pdf.

 

Publication

Les articles seront publiés dans les actes de la conférence BFR 2011 et seront diffusés sur le site web
de la

conférence. Il est prévu de sélectionner les meilleurs pour un numéro de la « Revue Tunisienne
d’Economie »

et la Revue « Techniques Financières et Développement ».

 

Comité d’organisation

Mr. Hafedh BEN ABDENNEBI                               
Mme. Fatma ABASSI

Mr. Hichem HAMZA                               
Mr. Sami MENSI

Mme. Sana GUERMAZI-BOUASSIDA                               
Mme. Dorra BERRAIES

Mr. Zied SAADAOUI                               
Mme. Fatma BRAHEM

 

Comité Scientifique

Mr. Jamel Eddine CHICHTI                               
Mr. Hafedh BEN ABDENNEBI

Mr. Hatem SALAH                               
Mr. Maher GASSAB

Mr. Riadh EL FERKTAJI                               
Mr. Dhafer SAIDANE

Mme. Samira CHAKER                               
Mr. Skander OUNAIES

Mme. Amel ZNAIEDI                               
Mr. Abderrazak ZOUARI

Mr. Hamadi FEHRI                               
Mr. Chokri MAMOGHLI

Mr. Zouheir BEN KHELIFA

 

Pour Information et Inscription :

Tél. : (+216) 71 600 615 – Fax. : (+216) 71 601 311

Email : 2011bfr@gmail.com

Site web : www.esct.rnu.tn

Appel à communications : Séminaire Francophone du GEAP

Date limite – 20 Mai 2011 – Upcoming Deadline

Appel à communications : Séminaire
Francophone du GEAP

« Pour des réformes viables en
période de crise »

Madame, Monsieur, chers collègues,

A l’occasion de sa 33e conférence annuelle (Bucarest 7-10 Septembre 2011), le Groupe Européen pour l’Administration Publique (GEAP) a acté la mise en place d’un séminaire francophone, espace privilégié de rencontres et de débats pour les chercheurs et praticiens francophones des sciences administratives, mais aussi de fructueux échanges avec la grande communauté du GEAP.

Nous avons le plaisir de vous inviter à cette manifestation qui sera consacrée aux défis et enjeux des « Réformes Viables en Période de Crise ». Vos travaux en français, anglais et roumain, bénéficieront de facilités de traduction et de la présence d’animateurs maîtrisant les trois langues.

Vous pourrez nous envoyer votre proposition de communication (résumé de deux pages) dans la langue de votre choix jusqu’au 20 Mai 2011.

Le Séminaire sera également ouvert à ceux et celles qui souhaitent simplement participer aux débats.

Dans l’attente de vous accueillir à Bucarest,

Bien cordialement,

Le Comité Scientifique du Séminaire

Jean-Loup CHAPPELET, professeur,
IDHEAP, Lausanne, Suisse.

Anne DRUMAUX, professeur, Université
Libre de Bruxelles, Belgique.

• Yves EMERY, professeur, Institut de Hautes Etudes en Administration Publique, Lausanne, Suisse.

• Rémi FABBRI, chargé de mission Secteur Public, Centre de Recherche Public Henri Tudor, Luxembourg.

Robert FOUCHET, professeur,
Université Paul Cézanne Aix-Marseille III, Aix-en-Provence, France.

Calin HINTEA, professeur, Université
Babes-Bolyai, Cluj-Napoca, Roumanie.

Ani MATEI, professeur, Ecole
Nationale des Etudes Politiques et Administratives, Bucarest, Roumanie.

Bachir MAZOUZ, professeur, ENAP,
Québec, Canada.

Marius PROFIROIU, professeur,
Académie d’Etudes Economiques, Bucarest, Roumanie.

Emil TURC, Maître de Conférences,
Université Paul Cézanne Aix-Marseille III, Institut de Management Public et Gouvernance Territoriale, Aix-en-Provence, France.

APPELS A CONTRIBUTIONS POUR UN N° DE LA REVUE TRAVAIL ET EMPLOI

APPEL A CONTRIBUTIONS OUVERT

Diriger une PME

22 avril 2011

 

Soucieux de favoriser l’emploi, les pouvoirs publics élaborent et mettent en oeuvre des politiques de soutien à la création et au développement
des PME. A côté de ces politiques qui influencent l’activité des PME, le management, c’est-à-dire l’organisation et la conduite des activités, reste essentiel dans l’élaboration et à la mise en
oeuvre de la stratégie. Ce management a-t-il des caractéristiques spécifiques ? C’est ce que ce numéro spécial se propose d’examiner en centrant l’attention sur l’activité et les  propriétés des dirigeants.

Par-delà leur identification convenue aux entrepreneurs, il s’agit d’examiner dans leur variété les rôles et les activités des dirigeants de
PME, mais aussi de s’interroger sur leurs parcours et leurs propriétés sociales et professionnelles. Sont indiqués ci-dessous des thèmes et questions que pourront aborder les contributions au
numéro spécial. Si des travaux de sciences de  gestion sont attendus sur un tel sujet, les contributions provenant d’autres sciences sociales du
travail (sociologie, histoire, économie, droit) seront les bienvenues.

 

Les dirigeants de PME

Les origines et les trajectoires professionnelles des dirigeants de PME ne sont pas homogènes. En outre, il pourrait y avoir une évolution du /
des profil(s) des dirigeants de PME, que ce soit sur la longue période historique ou sur les dernières décennies.

Dans quelle mesure, cette évolution supposée des origines et des trajectoires individuelles s’est-elle accompagnée, du point de vue collectif,
d’une évolution du syndicalisme patronal et des organisations professionnelles, nationales et locales, des dirigeants de PME. Le statut juridique du dirigeant de PME, les rapports à ce statut et
les arbitrages auxquels il conduit pourront par ailleurs être examinés.

 

Le management des PME

Le / la dirigeant(e) de la PME tient une place centrale dans le management de celle-ci. La proximité que la taille de l’entreprise lui permet
d’avoir avec son personnel, ou encore la place que peut tenir l’informel quand l’effectif est relativement peu nombreux, invite à s’interroger sur la gestion des ressources humaines qui y est
pratiquée. On pourra notamment se demander si ces modes de gestion comportent, ou non, des spécificités, par exemple dans le rapport au droit du travail ?

Du point de vue externe, l’inscription dans des groupes ou chaînes de valeur et les relations avec des acteurs institutionnels, politiques ou de
la société civile (pouvoirs publics, syndicats de salariés, associations, etc.) sont une dimension importante de l’activité du / de la dirigeant(e). La variété et la complexité de ces activités
conduit à se poser la question des conditions de travail des dirigeants (rémunération, durée du travail) et à s’intéresser à l’accompagnement des dirigeants de PME sous ses différentes formes :
recours à des conseils, soutiens publics et privés… Enfin, une préoccupation spécifique aux dirigeants de PME, celle de la reprise et de la transmission des entreprises mériterait d’être
examinée.

Les articles doivent permettre de rendre compte de la variété de l’univers des dirigeants de PME. Peut-on dégager des spécificités en rapport
avec certains éléments de contexte : âge de l’entreprise, bassin d’implantation, secteur d’activité, degré d’équipement technologique, génération du dirigeant, etc.

 

Modalités de réponse

Les contributeurs sont invités dans un premier temps à proposer une intention d’article de 5 000 à 7 000 signes environ (trois
à quatre pages), présentant clairement la question de recherche étudiée, les matériaux utilisés, outils d’analyse mobilisés et résultats attendus. L’appel est bien sûr ouvert aux propositions
issues de l’association d’équipes travaillant à partir de méthodes quantitatives et / ou qualitatives. Il est aussi ouvert à des enquêtes sur des pays étrangers, pour saisir les éventuelles
spécificités nationales de ces problématiques.

Ces intentions sont à
envoyer par courriel, en pièce jointe, à la rédaction de la revue travail.emploi@dares.travail.gouv.fr et, en copie, à eric.pezet@u-paris10.fr, thomas.amosse@cee-recherche.fr pour le 20
juin 2011 au plus tard
. Les auteurs dont les projets seront susceptibles de s’intégrer dans ce dossier thématique devront ensuite envoyer leur article complet pour le
1er décembre 2011
.

APPEL de La revue Travail et Emploi sur le thème Diriger une PME

 

 

La revue Travail et Emploi lance un appel à contributions pour un numéro thématique sur “Diriger
une PME”, centré sur l’activité et les propriétés sociales des dirigeants, coordonné par Eric Pezet. Les propositions provenant de sociologie et d’histoire sont les bienvenues.

Les intentions d’article (5 à 7.000 signes environ) sont à envoyer pour le 20 juin 2011 au plus
tard, les auteurs sélectionnés devront ensuite renvoyer le projet d’article complet pour le 1er décembre 2011.

Merci de diffuser cet appel aux personnes susceptibles d’être intéressées,

Bien cordialement.

 

Odile Join-Lambert

Institut de Recherches Économiques et Sociales (IRES)

16 bd du mont d’Est

93192 Noisy-le-Grand

 

PS : la revue Travail et Emploi va être très bientôt accessible sur Cairn. Ses archives de 1979 à
2004 sont consultables grâce à un moteur de recherche permettant des recherches par mots-clés et/ou auteurs :


http://www.travail-emploi-sante.gouv.fr/publications/Revue_Travail-et-Emploi/index.htm

Première revue francophone de management – Revue gestion REVUE GESTION Revues de Gestion