XXII° Conférence Scientifique Internationale du Réseau PGV

Varsovie, 15-17 septembre 2016

Les défis européens. Union globalisée ou localisée ?
Conséquences sociales, culturelles et économiques de la transformation de l’UE dans le monde

Avec le soutien de

L’Université des Sciences Sociales de Lodz

L’Université Grenoble Alpes
L’Institut Universitaire de Technologie 2
Le Groupe de recherche et d’Etude en Gestion (GREG)
La Revue Management&Gouvernance (RMG)
La Revue des Sciences de Gestion – Direction et Gestion (LaRSG)
La Revue de Management stratégique (RMS)
L’Université populaire européenne de Grenoble (UPEG)

Lieu
Społeczna Akademia Nauk, Warszawa, ul. Łucka 11
Responsables du Réseau PGV

Pologne  – Lukasz SULKOWSKI, Vice Recteur de l’Université des sciences sociales de Lodz
France – Claude Martin, Professeur émérite Université de Grenoble Alpes

Comité scientifique

Belattaf Matouk – Université de Béjaïa, Algérie ; Bogalska-Martin Ewa – Université de Grenoble Alpes, France ; Boyer André –  Université de Nice Sophia-Antipolis, France ; Chermeleu Adia – Université de l’Ouest, Timisoara, Roumanie ; de Sousa Ferreira Eduardo – Université Technique de Lisbonne, Portugal ; Duché Geneviève – Economiste Montpellier, France ; Filippi Lionel – Université de Grenoble Alpes, France ; Kitav Jaroslav – Université Economique de Bratislava, République Slovaque ; Lukasova Ruzena – Université Masaryk de Brno, République Tchèque ; Malinowska Miroslawa – Université Economique de Katowice, Pologne ; Marasova Jana – Université Matej Bel de Banska-Bystrica, République Slovaque ; Martin Claude – Université de Grenoble Alpes, France ; Mikolajczyk Zofia – Université de Lodz, Pologne ; Montesi Cristina – Université de Pérouse Siège de Terni, Italie ; Nowakowska Aleksandra – Université de Lodz, Pologne ; Otto Jacek – Université Technique de Lodz, Pologne ; Pagliacci Mario – Université de Pérouse Siège de Terni, Italie ; Pellat Ghislaine – Université Grenoble Alpes, France ; Peyroux Catherine – Université Montpellier III  Paul Valéry, France ; Pietrzyk Irena – Université Economique de Cracovie, Pologne ; Privarova Magda – Université Economique de Bratislava, République Slovaque ; Richet Xavier – Université Paris Sorbonne Nouvelle ; Rkibi Tawfiq – Université Internationale de Casablanca ; Sterbova Ludmila – Université Economique de Prague, République Tchèque ; Sulkowski Lukasz – Université des Sciences Sociales de Lodz, Pologne ; Terra da Motta Joana – Université Européenne de Lisbonne, Portugal ; Tomidajewicz Janusz – Université Economique de Poznan, Pologne ; Tonkova Stanka – Université d’Economie Nationale et Mondiale de Sofia, Bulgarie ; Uramova Maria – Université Matej Bel de Banska-Bystrica, République Slovaque ; Zait Adriana – Université Al.exandru Ioan Cuza Iasi, Roumanie

Conférences d’ouverture

Qui pense l’Europe ? Quelques réflexions sur la faiblesse des élites politiques européennes
Ewa Bogalska-Martin, Université Grenoble Alpes

The European Union and the International Migration in XXI Century: New characteristics, new ways of incorporation and new societal design
Maria João Vieira de Almeida Mortágua, Researcher and Consultant in Social Sciences Field, Lisbon

L’orientation client dans une formation universitaire de haut niveau : de la conception du projet à son internationalisation
Ghislaine Pellat, Catherine Peyroux, Université Grenoble Alpes

Conférences en commissions

Commission 1

L’UE acteur économique dans un monde globalisé

Président – André Boyer
Modérateur – Cristina Montesi

The analysis of the economic growth of romania by using linear simple and multiple regression model. Anghelache Constantin, Academy of Economic Studies, Bucharest “Artifex” University of Bucharest

Impacts socioéconomiques du vieillissement démographique de l’Europe: Tendances, défis, opportunités et perspectives. Matouk. BELATTAF, Sylia BELATTAF, Université de Béjaïa

Global brands from European Union and their competitive advantage
Magdalena Grębosz, Jacek Otto, Faculty of Organisation and Management, Lodz University of Technology,

L’Europe et les “barrières invisibles”: protection et compétitivité
Bonifazi Silvia, Terenziani Pamela, Laboratoire Athena, Terni

L’attractivité du marché européen pour les entreprises chinoises : Une première analyse stratégique
Patricia David, Huiyi Gao, Université Catholique de Lyon,

Out of Europe:  geo-economic cycle of life of polypropylene
Mario G.R. Pagliacci, Pietro Mandoloni, Università degli Studi di Perugia.

 Think small first, couper le nœud Gordien dans le renforcement des PME. La recette européenne
Alessia Melasecche Germini, Luigi Nunziangeli, Matteo Martini, Laboratoire Athena, Terni

Le rôle de l’État dans les conditions actuelles de l’Union européenne.
Maria Uramova, Marian Suplata, Jan Kollar, Université Matej Bel Banska Bystrica.

Les Investissements directs étrangers chinois en Europe : Stratégies et Localisation
Xavier Richet, Université de la Sorbonne nouvelle, Paris.

L’influence du droit (européen et interne) en matière de RSE dans le secteur du transport public routier de marchandises d’autrui… Quel niveau de RSE dans le secteur du transport routier public de marchandises d’autrui ?
Sylvie Avignon, Université Aix-Marseille

Thinking like Leonardo da Vinci for a Zero Waste Europe
Cristina Montesi, Università degli Studi di Perugia.

Commission 2

L’UE comme acteur international dans un monde en crise

Président – Irena Pietrzyk
Modérateur – Jaroslav Kita

TTIP: the European Commission’s strategy to the face the social, cultural and economic challenges
Angela Ferri, Member of Laboratorio Athena Association, Terni

The Transatlantic Trade and Investment Partnership and the Visegrad countries
Žaneta Lacová Jozef Horeháj, Marián Šuplata, Faculty of Economics, Matej Bel University, Banská Bystrica

Le poids économique de l’UE en Afrique face à la montée en puissance des BRIC
Mouloud Abdenour, Matouk Belattaf, Université de Bejaia

The EU as an international player on eCommerce and mobile market in comparison with other leading economies of the US and China
Anna Tarabasz, University of Lodz.

Relational capital and governance as the essence of the territory
Monika Słupińska, University of Lodz,

Flux migratoires en Méditerranée occidentale : enjeux et perspectives d’une gestion stratégique, concertée et équilibrée
Matouk Belattaf, Université de Bejaia,

La stimulation de la migration internationale des travailleurs hautement qualifiés dans le contexte d‘une croissance économique durable dans l´UE
Magdaléna Přívarová, Andrej Přívara, Université économique de Bratislava

Land Grabbing and rights of local people. From colonialism to joint venture
Davide Gallotti, Università San Raffaele, Rome

Economie collaborative: opportunité émergente pour le futur de l’Europe
Elisabetta Calvo, Dante Alpi, Membres du Laboratoire Athena

Commission 3

L’UE comme espace d’innovation et de production du savoir

Président – Catherine Peyroux
Modérateur – Maria Uramova

Global innovation challenge: is Europe in or out? Mario G.R. Pagliacci, Department of Economics
Seat of Terni, Università degli Studi di Perugia.

Internationalisation de l’enseignement à l’Université d’économie de Bratislava : évaluation par les étudiants du programme francophone concernant le Management de la vente
Jaroslav Kita, Ladislav Lapsansky, Ferdinand Dano, Pavol Kita, Pavol Konštiak, Université d´économie de Bratislava

Francophonie et culture globale. Un projet d’éducation au  développement durable. Adia Chermeleu, Université de l’Ouest de Timisoara

La gouvernance de l’innovation française  au sein de l’UE
André Boyer, Faranak Farzaneh, Université de Nice Sophia- Antipolis, HEC Montréal

L’innovation en Europe en question
Maria Horehajova, Jana Marasova, Université Matej Bel, Banska Bystrica,

External environment of marketing and commercial efforts of Czech firms, from the perspective of value proposition revamping
Peter Kita, University of Technology of Brno

Living Lab as a new approach to the smart and creative spatial development
Kamila Borseková Anna Vaňová, Katarína Vitálišová, Université Matej Bel, Banska Bystrica,

Business Education as a Possible Pattern of Systematic Employee Development
Veronika Kitová-Mazalánová Pavol Kita Jaroslav Kita, Marta Grossmanová

Erasmus + au service de la politique d’influence de l’Union Européenne ? L’exemple de la mobilité hors Europe des universitaires
Muriel Bourdon, Université Grenoble Alpes

The role of Europe in sustainable energy
Stefano Tirinzi, Marco Paulucci, Mario G.R. Pagliacci, Università degli Studi di Perugia

Mapping innovation: a comparison between the EU28, the United States, China, and Russia
Joana Motta, Belén Rando, Universidade Europeia, Lisboa

Competitiveness and cultural convergence of Eastern European cities – the role of civilizational competences
Adriana Zait, University Alexandru Ioan Cuza of Iasi,

La massification de l’enseignement supérieur – perspective globale et locale
Lukasz Sulkowski, Université des sciences sociales (Spoleczna) de Lodz

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31e Congrès International du CIRIEC à Reims

Le prochain congrès du CIRIEC à REIMS les 21 au 23 septembre 2016 aura pour thème : « Les politiques publiques face aux enjeux sociaux et démocratiques de la mondialisation. Quels projets pour l’économie publique, sociale et coopérative ? »

Le CIRIEC met en débat l’efficacité des politiques publiques

Dans un contexte de mutation profonde de la société liée à la mondialisation économique et aux transitions de divers ordres (sociétale, environnementale, numérique…), face aux crises et à leurs conséquences sur l’accroissement des inégalités, et aux risques démocratiques dans une absence ressentie de perspectives vers un monde meilleur, le CIRIEC entend s’inscrire dans le débat sur l’efficacité des politiques publiques pour conduire des évolutions dont l’objectif prioritaire doit être la satisfaction des besoins des individus, et l’amélioration des conditions de vie en société.

Le 31e Congrès international du CIRIEC abordera ainsi les différentes questions qui se posent au regard de l’évolution de la société et débattra des réponses qui devront leur être apportées :

  •   l’Etat stratège, dans les différents périmètres de son intervention
  •  la dynamique de l’économie sociale et solidaire et sa relation avec les politiques publiques
  •   l’innovation sociale et la réduction des inégalités dans les territoires (impact des politiques publiques locales et de l’ESS notamment)
  •  la transition numérique et ses enjeux, économique, éthique, démocratique

Plusieurs personnalités politiques, universitaires, chercheurs et praticiens du monde entier participeront aux débats et nous espérons avoir le plaisir de vous y rencontrer.

Vous trouverez, en pièce jointe, le programme du Congrès.

Si vous souhaitez vous inscrire à cette manifestation, veuillez CLIQUER ICI

CIRIEC

Femmes et travail : activités, rôles et complémentarité (XIVe-XIXe siècles)

Dans le cadre de la collaboration entre le LabexMed (Aix-Marseille Université) et l’Istituto di Sudi sulle Società del Mediterraneo du CNR de Naples (ISSM-CNR, Italie), douze bourses sont octroyées à des jeunes chercheurs pour participer au 3e Séminaire d’études doctorales organisé du 3 au 7 octobre 2016 à Naples autour du thème :
 
« Femmes et travail : activités, rôles et complémentarité (XIVe-XIXe siècles) »
 
Ouvert aux doctorants et aux jeunes docteurs de toutes disciplines et de toutes nationalités, le séminaire s’articulera autour de trois problématiques principales :
          Retracer les contours de la présence des femmes dans le monde du travail au fil de l’histoire 
          S’interroger sur les lieux et les formes de l’engagement des femmes dans le travail et trouver des nouveaux paramètres de comparaison avec le travail masculin 
          Définir des méthodes et des approches interdisciplinaires pour replacer le travail féminin dans la plus large perspective du travail en Europe et en Méditerrané.
 
Des cours magistraux (en italien, en français, en anglais ou en espagnol) impartis le matin seront accompagnés par les visites de certains archives napolitains. Les après-midis seront consacrés aux ateliers pratiques centrés sur la présentation des travaux des participants (à travers un power point de 20’, voir modalités dans l’appel joint).
 
Les dossiers de candidature (demande d’admission, CV, résumé de la présentation, lettre d’appui d’un référent) doivent être envoyés en pdf et via mail au plus tard le 5 septembre 2016 à l’adresse sepm@issm.cnr.it.
 
Tous les détails sont disponibles dans l’appel à candidature en pièce jointe (version en anglais et en italien).
 
Pour plus de renseignements, contactez M. Alfonso Amatore auprès du Secrétariat de l’Ecole Doctorale (tel. : +39 081 6134086, amatore@issm.cnr.it).

Participez aux Assises 2016 de la santé en Essonne

La Conférence Régionale de la santé et de l’Autonomie et la Conférence de Territoire de l’Essonne, avec l’appui de l’Agence régionale de santé Île-de-France et du Conseil Départemental de l’Essonne, organisent un débat public sur la santé et le territoire : les Assises 2016 de la santé en Essonne.

Les Assises 2016 de la santé en Essonne

Rendez-vous bisannuel majeur, les Assises de la santé réunissent tous les acteurs de la santé du département pour faire un bilan des actions menées sur le territoire et envisager les orientations à mettre en oeuvre.

La journée se divisera en deux temps : les participants se réuniront le matin en séance plénière, et l’après-midi sera dédié à des ateliers autour des thèmes suivants :

  • Les âges de la population ; les populations vulnérables
  • Les expérimentations et les actions territoriales menées ou à imaginer
  • Les évolutions de la démographie médicale et les accompagnements possibles

Ce débat public aura lieu le
Mardi 22 novembre 2016
Au Génopole d’Evry
5, Rue Henri Desbruères
91030 Évry

Le programme complet de la journée sera transmis ultérieurement.

Assises 2016 de la santé en Essonne

Programme du 19e Colloque International E.Thil

Le 19e Colloque International E.Thil sur le commerce, la consommation et la distribution aura lieu les 13 et 14 octobre 2016 à l’Institut du Marketing et Management de la Distribution (IMMD), nouveau campus de la distribution à Roubaix, France.

Programme du 19e Colloque International E.Thil

Jeudi 13 octobre

8H30-9h00 : Accueil des participants

9h00-9h15 : Mots de bienvenue (IMMD) et présentation des deux jours par Aurélia Michaud-Trévinal (Présidente du Conseil scientifique, IUT-Université de La Rochelle)

9h15-10h30 : Table Ronde (TR1) animée par Souad Djelassi (IUT, Université Lille 2, SKEMA Business School, MERCUR), « Les enjeux de l’impression 3D »

Participants

  • Jean-Philippe ALLAIN, Responsable Veille & Innovation chez Boulanger
  • Raphael VANNESTE, DG Top Office
  • Marc KLEIN, Directeur de l’enseigne LISSAC
  • Dominique BOUDIN, coordination régionale du Club Impression 3D en Nord-Pas de Calais, CCI Nord de France
  • Isabelle DECOOPMAN, Professeur associée SKEMA Business School, Experte APM

10h30-10h45 : pause

10h45-11h30 : Tribune : invité d’honneur Pr. Eric Arnould (ALTO University, EM Lyon) : « 10 ans après le Big Middle »

11h30-13h00 : Ateliers de 4 sessions parallèles (S1.S2.S3.S4) : douze communications de recherche

Session 1 : Impacts des technologies et objets connectés

  • L’impact des objets connectés sur l’expérience d’achat du consommateur au point de vente. Fidan Kurtaliqi (Granem – Université d’Angers)
  • Coproduction de services en magasin : impact des objets connectés sur la productivité du consommateur. Ekaterina VOROPANOVA, Gérard Cliquet et Karine Picot-Coupey (IGR-IAE, Université de Rennes 1)
  • Vente en Business to Business : Savoir manier les technologies digitales, un nouvel art pour les vendeurs ? Régine Vanheems (IAE, Université de Lyon 3), Denis Klotz

Session 2 : Merchandising & Marketing expérientiel

  • Le packaging promotionnel : taxonomie et proposition d’une typologie. Sonia Bougatfa (IAE-Université Montesquieu – Bordeaux IV)
  • L’influence de la présentation des produits sur un site web de Drive alimentaire dans le comportement cognitif et conatif du e-consommateur : analyse par une approche exploratoire. Aurély Lao(Lille Economie Management)
  • Snoezelen et marketing expérientiel des espaces commerciaux, réflexion sémiotique croisée sur les pratiques volontaires de stimulation multi-sensorielle dans l’échange marchand et non-marchand. François Bobrie (Université de Poitiers), Gérard Chandès(Université de Limoges).

Session 3 : Plateformes & données sur internet

  • Les plates-formes numériques: nouveaux modèles de distribution. Thomas Guignard (IUT de Bobigny – Université Paris 13)
  • Les plateformes de solutions de mobilité dans l’économie collaborative, plus distributeurs que disruteurs ? Anne Queffelec et Mathieu Paquerot (IAE, Université de La Rochelle), Jean-Philippe Marie De Chastenay
  • Datassets : activation et marketisation des données personnelles. Thomas Beauvisage , Kevin Mellet (Orange Labs, Issy les Moulineaux)

Session 4 : Responsabilité Sociale et environnementale

  • Le choix d’un circuit de revente se distingue-t-il du choix d’un circuit d’achat ? Ericka Henon(Pôle Économie et gestion – Université de Bourgogne)
  • L’empowerment to select dans les campagnes de RSE : Une étude qualitative exploratoire. Hager Bachouche et Ouidade Sabri(Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne)
  • Les identités au travail : conceptualisation, mesure et influence sur les comportements de citoyenneté organisationnelle et d’innovation. L’étude d’une coopérative. Audrey Becuwe, Magali Boespflug et Vincent Chague(IAE – Université de Poitiers)

13h00-14h00 : Déjeuner

14h00-16h00 : Ateliers de 2 sessions parallèles (S5.S6) : huit communications de recherche

Session 5 : Regards croisés sur l’espace marchand

  • Les espaces intermédiaires de l’entrée dans le lieu marchand : le cas des parfumeries Guerlain. Maggie Scordel (Université Paris-Dauphine)
  • Comparaison des récits entre les deux magasins amiraux des Champs-Elysées à Paris, Nike et Adidas. Jean-Baptiste Welte (IAE Tours, IAE Orléans, Université François Rabelais)
  • Habiter autrement les centres commerciaux : éléments de réflexion pour les shopping breaks Didier TSALA (Université de Limoges)
  • Grands magasins de centre ville et clientèle touristique. Le cas du BHV MARAIS. Paul Lapoule et Enrico Colla (NOVANCIA)

Session 6 : Rôles & jeux de rôles dans les canaux de distribution

  • Le transfert du savoir-faire au sein des réseaux de commerce coopératif et associé. Fabrice Cassou (IAE, Université Montesquieu – Bordeaux IV), Gérard Cliquet et Rozenn Perrigot (IGR-IAE, Université de Rennes 1)
  • Réappropriation des canaux de distribution par les consommateurs. Une analyse par les formes renouvelées d’intermédiation. Florent Saucède (Montpellier SupAgro), Hajar El Karmouni (IRG, Université Paris-Est Marne-la-Vallée)
  • Relation producteur-distributeur-consommateur : jeux de rôles et jeux de mots. Marie-Pierre Pinto (IUT, Université de Limoges), Cécile McLaughlin (IUT, Université de Limoges)
  • Réseaux sociaux et PME : nouveaux outils marketing à l’international ? Elodie Deprince, Laurent Arnone (Université de Mons)

14h00-16h00 : Table Ronde (TR2) animée par Jean-Yves Duyck et Jean-Michel Chapuis « Une brève histoire de l’avenir de la distribution en tourisme » en parallèle de l’atelier

Participants

  • Peter o’Connor, ESSEC, doyen des programmes académiques, professeur de la chaire de stratégie de ruptures
  • Michel Goetschmann, consultant industrie du voyage
  • Jean-Louis Chrétien, Co-Directeur Général de Fastbooking.com

16h00-16h15 : Pause

16h15-17h30 : Table Ronde (TR3) animée par Isabelle Collin-Lachaud (IMMD, Université Lille 2, SKEMA Business School, MERCUR) : « Commerce et territoire »

Participants

  • Philippe Bouvard (Immochan)
  • Jonathan Reynolds (Oxford University)
  • Le groupe les Mousquetaires représenté par Stéphane Leray ou Mabelle Bertoni
  • La Métropole Européenne de Lille représentée par la directrice du service économique (à confirmer)
  • Samuel Desprez (Université du Havre)

17h30-18h15 : Point sur les publications Commerce et Société de l’année et « questions-réponses » avec les auteurs des deux publications les plus remarquables par la Fédération du Commerce coopératif et associé

19H30 : Cocktail

Personnalités invitées de grands groupes de distribution (AFMD, Picom…) et allocution de Nathalie Balla et Éric Courteille co-présidents de La Redoute,

suivi du dîner de gala dans le Salon d’honneur de l’Hôtel de Ville de Roubaix avec annonce du 20e Colloque 2017 et remise des Prix « FCD » et « jeune chercheur » Thil

Vendredi 14 octobre

8H00-8h30 : Accueil des participants

8h30-10h00 : Atelier de 4 sessions parallèles (S7. S8. S9. S10): douze communications de recherche

Session 7 : Achat & prise de décision des consommateurs

  • La valeur perçue des outils digitaux en matière d’achat de vin en GMS. Catherine Madridet Mariana Vlad (IUT, Université de Bordeaux)
  • Mieux comprendre l’utilisation des coupons de réduction. Le rôle de la distance psychologique. Tannaz Vaziri, Véronique Des Garets et Véronique Plichon (IAE Tours, IAE Orléans, Université François Rabelais)
  • La perception de la cherté de la vie du point de vue du consommateur. Étude exploratoire et proposition d’un modèle de recherche. Gaëlle POTHIN (IAE, Université de la Réunion)

Session 8 : Prix & choix des produits

  • Prix et choix des marques : quelles leçons pour les enseignes de hard-discount. Mbaye FallDiallo (IMMD, Université Lille 2-SKEMA Business School), Joseph Kaswengi (VALLOREM, Université d’Orléans), Christine LAMBEY-CHECCHIN (IUT, Université de Clermont-Ferrand)
  • Plus loin, plus précis : l’effet d’adéquation de la forme de présentation des prix et de la distance temporelle sur l’attitude envers l’annonce et envers la marque. Mohamed Didi Alaoui (IAE, Université d’Aix-Marseille III)
  • Origines et enjeux de la “digitalisation” des prix : un siècle de codage et d’affichage des prix dans la distribution. Franck Cochoy (Université de Toulouse 2)

Session 9 : Combinaison des canaux de distribution

  • De la Good-Dominant Logic à la Service-Dominant Logic : La difficile mutation de la distribution vers l’omnicanal. Tiphaine Chautard, Guillaume Do Vale et Isabelle Collin-Lachaud (IMMD – Université Lille 2 – Skema Business School (MERCUR)
  • Modélisations sensibles des parcours marchands : étude comparative in situ et on line. Elena Guseva (CeReS), Audrey Moutat (CeReS)
  • Comment combiner les canaux ? Une typologie des stratégies omni-canal. Aurélien Rouquet (NEOMA Business School), Tatiana Henriquez (Groupe ESC Troyes – IAE de Dijon) et Gilles Paché (Aix-Marseille Université – AMU)

Session 10 : Histoire du Commerce, en partenariat avec l’AHC et l’AFHE

  • Comment le commerce change la ville : 150 ans d’évolution de la géographie urbaine de Mouy (Oise). Gérard Gallo (AHC)
  • La naissance des Grands formats de distribution en France : la modernisation du commerce avant l’hypermarché, 1949-1963. François Bobrie (Université de Poitiers), Yves Soulabail (CREM)
  • Les centres distributeurs E. Leclerc : une application de la doctrine sociale de l’Eglise dans le domaine marchand. Yves Soulabail (CREM)

10h00-11h15 : Table ronde (TR4) animée par Aurélia Michaud-Trévinal (IUT-Université de La Rochelle), « La captation des consommateurs en mobilité »

Participants

  • Maarten SAMSON, PDG “Le même en mieux »,
  • Mickaël GOUIN, Président et co-fondateur d’Activkonnect
  • Aladin MEKKI (PICOM)
  • autre intervenant à confirmer
  • et Sylvie Michel (Université de Bordeaux).

11h15-11h30 : pause

11h30-13h00 : Table Ronde (TR5) animée par Philippe Robert-Demontrond, (IAE de Rennes, chercheur au CREM, socio-anthropologue de la consommation), « Quelles fonctions, quelle place pour le commerce, face à la numérisation généralisée de la vie quotidienne ? Ce qu’en disent, peuvent en dire, les recherches en sciences humaines »

Participants

  • Franck Cochoy, Professeur à l’Université de Toulouse 2, chercheur au CERTOP, sociologue spécialiste des médiations marchandes,
  • Erik Bertin, Directeur Général adjoint des Stratégies, MRM worldwide, Sémioticien,
  • Jean-François Bordron, Professeur émérite, sémioticien (Université de Limoges)
  • Eric Arnould, Professeur à Alto University et EM Lyon, anthropologue

13h00-14h00 : déjeuner

14h00-15h30 : « Speed meeting recherches », en collaboration avec le réseau Alliance (CNRS) et le PICOM

Échanges entre des chercheurs et des professionnels du PICOM pour des collaborations futures, introduits par Patrick Brunier (PICOM)

Inscriptions au 19e Colloque International E.Thil

Inscriptions uniquement via le site web du Colloque : http://ethil.org

Lieu du Colloque

Institut du Marketing et du Management de la Distribution (IMMD)
Tél. : +33 (0)3 20 73 08 05

Droits d’inscription

Pour les participants académiques adhérents de l’Association E.Thil
avant le 15 juillet………………………………………….. € 250
à partir du 15 juillet………………….…………………….… € 300

Pour les doctorants adhérents de l’Association
E.Thil…………………………………………………………… € 100
Pour les doctorants non adhérents de l’Associatio
E.Thil…………………………………………………………… € 150

Pour les participants académiques non adhérents
avant le 15 juillet………………………………………….. € 320
à partir du 15 juillet………………………………………. € 360
(incluent l’accès aux sessions, actes, déjeuner et thés/cafés des jeudi et vendredi, et le dîner de gala).
Personnes accompagnantes ………………………….. € 100 (incluent le dîner de Gala jeudi)

Paiement par transfert de carte de crédit, chèque ou par bon de commande sur le site web du Colloque

Hébergement

Le comité d’organisation a présélectionné quelques hôtels de différentes catégories proches du lieu du colloque. Nous vous recommandons d’effectuer vos réservations dès que possible. Consultation de la liste d’hébergements sur le site : http://ethil.org

Comité d’organisation

Pr Isabelle Collin-Lachaud, Dr Mbaye Faye Diallo, Dr Maud Herbert, Dr Fatima Regany, Mme Pascaline Defives

Secrétariat du Colloque

Pour toute question concernant le 19e Colloque International E.Thil, merci de vous connecter sur :

http://ethil.org et http://thil2016.sciencesconf.org

thil2016@sciencesconf.org
19e Colloque International E.ThilColloque International E.Thil

 

 

Prix d’histoire François Bourdon résultats de la 18e édition

Pour sa 18e édition le Prix d’histoire François Bourdon, dans son titre entier “prix d’histoire de l’Académie François Bourdon-Le Creusot et de la Fondation Arts et Métiers : « François Bourdon, Techniques, entreprises et société industrielle »”, doté d’une somme de 1 500 €, a été attribué à Pierre Judet pour son mémoire inédit de HDR, Faire de l’histoire économique et sociale territorialisée. Apogée et éclatement de la nébuleuse métallurgique alpine (Savoie-Dauphiné, XIXe siècle), Université Lumière Lyon 2.

Cette année, les membres du jury ont également décidé d’attribuer une Mention spéciale à Audrey Millet pour sa thèse, Les dessinateurs de fabrique en France (1750-1860), Université Paris 8 et Université de Neuchâtel. Le jury avait récompensé l’année passée trois candidats.

Les membres du jury se félicitent de la diversité des écrits reçus pour cette 18e édition qui permet au Prix d’histoire François Bourdon de s’ancrer plus fortement encore dans l’ensemble des domaines de l’histoire industrielle et des entreprises et plus généralement de la société industrielle.

Comme le veut le principe du prix, le seizième jury était composé d’industriels et d’universitaires. Participaient à ce jury mesdames Claudine Cartier, Conservateur général honoraire du patrimoine, Anne Dalmasso, professeure d’histoire à l’Université de Grenoble-Alpes ; Dominique Varinois, IA-IPR, rectorat de Bordeaux; Gérard Chrysostome, ingénieur centralien ; Nicolas Coupain, Directeur du patrimoine chez Solvay, Jean-Claude Daumas, professeur émérite à l’Université de Franche-Comté ; François Labadens, ancien secrétaire général d’USINOR ; Philippe Mioche, professeur d’histoire émérite à Aix-Marseille Université ; Pascal Raggi, maitre de conférences en histoire à l’Université de Lorraine ; Serge Wolikow, professeur d’histoire émérite à l’Université de Bourgogne.

Les gagnants du Prix d’histoire François Bourdon

Pierre Judet, Faire de l’histoire économique et sociale territorialisée. Apogée et éclatement de la nébuleuse métallurgique alpine (Savoie-Dauphiné, XIXe siècle), Université Lumière Lyon 2 : Désignée depuis le 19e siècle comme une alternative à la Révolution industrielle anglaise puis au Fordisme, l’approche localisée des faits économiques permet d’enrichir la connaissance des sociétés à l’heure de la globalisation. Le terrain montagnard qui majore l’importance du local offre un bon terrain pour construire une méthode de travail. Etendue de Grenoble-Rives à Annecy, la nébuleuse métallurgique alpine constitue un territoire industriel transfrontalier qui connaît son apogée vers 1850 et qui éclate ensuite en raison des transformations de l’économie globale. Ses composantes connaissent des évolutions diverses en fonction de leur structuration sociale : désindustrialisation sèche (Maurienne), reconversion vers l’entreprise moderne (Forges de Cran), spécialisation agricole (Bauges). Ce travail s’efforce de montrer la cohérence de ce territoire jusque vers 1850 et d’évaluer les capacités de reconversion de ses sous-ensembles par une démarche à plusieurs échelles du local au global.

Audrey MilletLes dessinateurs de fabrique en France (1750-1860), Université Paris 8 et Université de Neuchâtel : La première industrialisation, au tournant des XVIIIe et XIXe siècles, s’est appuyée sur ce que l’historiographie récente appelle « la révolution des consommateurs » : une consommation et une circulation accrue de tous les objets du quotidien, ces « choses banales » (selon le terme de Daniel Roche). La course à la novation pour séduire la clientèle devient un enjeu majeur pour les manufacturiers. Le dessinateur occupe une place essentielle dans cette compétition, puisque la première phase du processus de production, avant celle de la fabrication et de la commercialisation, est celle de la création, du design du produit. À partir d’une base de données de 4 000 dessinateurs, nous avons reconstitué le parcours, la formation en situation ou en apprentissage, le statut dans l’entreprise, le degré des mobilités et des circulations de savoir-faire.

François Bourdon Prix d'histoire François Bourdon

ebs Paris et ECE Paris signent pour un double-diplôme

Lundi 20 juin 2016, Delphine Manceau, Directrice de l’ebs Paris et Christophe Baujault, Directeur à ECE Paris, ont signé un accord de double diplôme « Ingénieur-Manager » sur le Campus Eiffel.
Cet accord permet aux étudiants de valider un profil complet et très recherché aujourd’hui sur le marché en disposant de compétences pluridisciplinaires complétant celles acquises dans leur formation d’origine.

Un double-diplôme Ingénieur-Manager

Les étudiants inscrits dans ce cursus se verront décerner les deux diplômes suivants, niveau bac+5, après avoir satisfait aux exigences des modalités d’évaluation :

    • Diplôme d’ingénieur ECE Paris, habilité par la Commission des Titres de l’Ingénieur.
    • Diplôme ebs Paris Grande Ecole, Grade de Master.

Pour Delphine Manceau « Ce double-diplôme s’inscrit dans une volonté de coopération plus globale entre l’ebs Paris et l’ECE Paris. Pour l’ebs Paris qui forme des innovateurs et des entrepreneurs du monde, qui est très tournée vers le digital et la créativité, apprendre aux étudiants à coopérer avec des ingénieurs et offrir la possibilité d’avoir une double formation ingénieur-manager constituent un atout essentiel sur le marché du travail. »

Pour Christophe Baujault « Ce double-diplôme renforce les liens déjà féconds entre nos deux écoles notamment dans le domaine de l’entrepreneuriat et de l’innovation dans les projets des étudiants. Il concrétise la vision partagée qu’une formation Ingénieur-Manager est une compétence recherchée et essentielle dans la transformation numérique des entreprises. »

Contenus du double-cursus ebs Paris – ECE Paris

En intégrant ce double-diplôme, les étudiants ingénieurs de l’ECE Paris vont acquérir des compétences en management et sciences de gestion, tout en se spécialisant dans l’une des 7 spécialisations proposées par l’ebs Paris. Quant aux étudiants initialement inscrits à l’ebs Paris, ce double cursus diplômant leur permettra de se spécialiser dans 3 majeures de l’ECE Paris :

  • Finance et ingénierie quantitative
  • Systèmes d’information, big data et sécurité
  • Nouvelles énergies et environnement
    Les étudiants sont sélectionnés sur l’excellence de leur dossier et sur la pertinence de leur projet professionnel. Au total, ce cursus double diplôme ECE Paris-ebs Paris s’effectuera en 6 ans pour un élève ayant intégré l’une des deux écoles après le bac.

ebs Paris ECE Paris

Maintien des droits des étudiants boursiers

Philippe Adnot (Non-inscrits – Aube), rapporteur spécial de la mission « Recherche et enseignement supérieur », a présenté à la commission des finances, réunie le 29 juin 2016, les conclusions de son rapport portant sur le contrôle des conditions de maintien des droits des étudiants boursiers.

Garantir les droits des étudiants boursiers

Garant de l’accès du plus grand nombre à l’enseignement supérieur, les aides sociales directes, et en premier lieu les bourses sur critères sociaux, bénéficient actuellement à plus du tiers des étudiants inscrits dans des formations y ouvrant droit et représentent une dépense de plus de deux milliards d’euros par an pour l’État.

En contrepartie, les étudiants doivent respecter plusieurs conditions de maintien de leurs droits sous peine de voir leur bourse suspendue, et plus particulièrement répondre à l’exigence d’assiduité.

Alors que les statistiques du ministère de l’enseignement supérieur évaluent à seulement 3 % le nombre de boursiers non assidus, il apparaît qu’en réalité, le contrôle de l’assiduité aux cours et de présence aux examens est réalisé de façon très variable et ne permet de garantir ni une égalité de traitement entre les étudiants concernés ni l’attestation du « service fait ».

Ainsi, dans les universités, l’assiduité aux cours est contrôlée de façon très aléatoire, tandis que, pour les classes préparatoires aux grandes écoles ou les sections de technicien supérieur, la présence des élèves est vérifiée à chaque heure. Pour la présence aux examens, l’émargement à un seul examen peut parfois suffire à justifier le versement de 10 mois de bourse, y compris lorsque l’étudiant rend une « copie blanche ».

Les « copies blanches »

Le phénomène des « copies blanches », qui dépassent le cas des seuls boursiers, est loin d’être anecdotique et peut parfois représenter de 30 % à 50 % des copies rendues lors d’un examen. Par ailleurs, la suspension des bourses intervient généralement bien trop tard, souvent plusieurs mois après le début de l’année universitaire.

Enfin, la procédure de gestion des bourses, longue et segmentée, repose sur de multiples acteurs, ce qui crée dilution des responsabilités et lenteur de mise en œuvre des décisions.

Compte tenu de l’ensemble de ces constats, le rapporteur spécial propose 12 recommandations tendant à :

  • garantir une plus grande équité entre les étudiants et attester du « service fait », avec en particulier des préconisations pour développer un véritable contrôle de l’obligation d’assiduité dans les universités, voire pour lui associer une obligation de résultat qui pourrait même, dans certains cas, lui être substituée ;
  • raccourcir les délais de la procédure actuelle et suspendre au plus vite les bourses d’étudiants non assidus, en rendant effectif le contrôle de l’inscription pédagogique des boursiers dans les trois premiers mois de l’année universitaire et en étudiant la possibilité de transférer des rectorats vers les CROUS la gestion des bourses sur critères sociaux ;
  • inciter les différents acteurs (établissements d’enseignement supérieur et CROUS en particulier) au développement du contrôle d’assiduité, en en faisant notamment un réel critère d’évaluation de leur performance ;
  • mettre un terme aux abus prolongés, par exemple en interdisant l’attribution d’une nouvelle bourse à l’étudiant non assidu qui ferait l’objet d’un ordre de reversement et n’aurait pas remboursé les sommes indûment versées ;
  • – éviter les étudiants inscrits par défaut et « décrocheurs » dans certaines formations, en faisant de l’orientation des étudiants un axe réellement prioritaire de l’action du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche.

Lien vers les recommandations du rapporteur spécial sur le maintien des droits des étudiants boursiers : http://www.senat.fr/fileadmin/Fichiers/Images/commission/finances/Controle/Liste_des_recommandations.pdf 

Lien vers le rapport d’information : http://www.senat.fr/fileadmin/Fichiers/Images/commission/finances/Controle/RI_Version_provisoire_-_Controle_conditions_maintien_boursiersdoc.pdf

Lien vers la communication du rapporteur spécial en commission : http://www.senat.fr/fileadmin/Fichiers/Images/commission/finances/Controle/Communication_commission_controle_boursiers.pdf

Senat droits des étudiants boursiers

Audition de Thierry Mandon au Sénat

Mercredi 29 juin 2016, à partir de 9h30, la Commission de la Culture, de l’éducation et de la communication du Sénat auditionne, en salle Médicis, Thierry Mandon, secrétaire d’Etat chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche sur la préparation de la rentrée universitaire et sur le financement de la recherche.

Pour voir Thierry Mandon

Cette audition est ouverte à la presse, elle sera d’ailleurs diffusée en direct sur le site du Sénat puis disponible en VàD

ministere_enseignement_recherche Thierry Mandon

Les territoires de la Seconde Révolution industrielle du XXe au XXIe siècle

Appel à communication
Usines en bord de Seine

Colloque historique international

Parc naturel régional des Boucles de la Seine Normande & GrHis EA3831
Duclair (Seine-Maritime), les 16 et 17 novembre 2017

La basse vallée de la Seine, comme bien d’autres espaces similaires, en France ou dans le reste du monde, est marquée à partir de la Première Guerre mondiale par une vague d’industrialisation d’un nouveau type : le « tournant taylorien » (Patrick Fridenson), issu de la généralisation des méthodes de travail à la chaîne théorisées par l’ingénieur américain Frederick Taylor avant la guerre, bouleverse les systèmes productifs à plusieurs échelles, jetant les bases de la « Seconde Révolution industrielle ».

L’histoire de cette mutation, relativement moins connue que la Première Révolution industrielle du XIXe siècle, est au centre des questions que ce colloque vise à explorer : quel rôle joue le contexte exceptionnel de la Première Guerre mondiale dans la poussée industrielle qui marque en profondeur la période ? Dans quelle mesure la guerre renouvelle-t-elle « les logiques de l’entreprise » (Aimée Moutet), non seulement du point de vue de la rationalisation de son système technique, mais également de ses relations sociales de travail ou encore de ses rapports à l’État et au marché ? Comment, surtout, la Seconde Révolution industrielle, plus encore que la première, modifie l’organisation du territoire, c’est-à-dire de l’espace vécu, en faisant évoluer les jeux d’échelles du local au national et du national au global ? Le tournant « taylorien » ne cache-t-il pas un autre tournant, de plus grande portée encore, celui de la « mondialisation » des hommes, des capitaux et des informations ?

Autant de questions qui n’appartiennent pas qu’au passé mais conduisent jusqu’à nos jours. L’histoire de la Seconde Révolution industrielle, de son projet de société, de son modèle économique et des modalités de son rapport au territoire, éclaire bien entendu tout le reste du XXe siècle, de la crise de 1929 à la croissance des Trente Glorieuses. Mais elle donne aussi tout son sens à la désindustrialisation qui frappe de plein fouet depuis les années 1970 les territoires usiniers et les sociétés ouvrières locales qui en vivaient.

Les propositions de contribution s’efforceront de prendre en compte certains aspects de ce questionnement, sur la base de la bibliographie existante et de sources originales, en particulier d’archives primaires et/ou publiées. L’approche pourra aussi bien être historique que patrimoniale.

Modalités pratiques de l’appel à communication

Comité de pilotage du colloque

François Bost, Olivier Feiertag, Patrick Fridenson, Florence Hachez-Leroy, Isabelle Lespinet-Moret, Gaëlle Le Floch, Marine Simon et Laurent Warlouzet.

Langues de travail : Français et Anglais

Les projets de communications (titre de la contribution, présentation d’une quinzaine de lignes, comportant la mention des sources envisagées, court CV) doivent être envoyés avant le 15 septembre 2016 à : Marine Simon (marine.simon@pnr-seine-normande.com).

Le résultat de l’évaluation des propositions de contribution par le comité d’organisation sera connu le 30 octobre 2016.

Les contributeurs retenus s’engagent à fournir avant le 15 septembre 2017 un résumé de leur intervention d’un volume d’environ 5 000 signes, espaces compris.

Les organisateurs du colloque prendront en charge le financement des déplacements à Duclair et l’hébergement des contributeurs pendant la durée du colloque.

parc naturel

Contrôle d’assiduité des étudiants boursiers

Monsieur Philippe Adnot présentera les conclusions de son rapport sur le contrôle des conditions de maintien des droits des étudiants boursiers lors d’une conférence de presse organisée au Sénat le mercredi 29 juin 2016.

Philippe Adnot étudiants boursiers

Les étudiants boursiers sous surveillance d’assiduité

Essentielles pour garantir l’égal accès à l’enseignement supérieur, les bourses sur critères sociaux constituent le cœur du dispositif des aides sociales accordées à près du tiers des étudiants et représentent désormais un effort budgétaire de près de deux milliards d’euros. En contrepartie de cette aide accordée par l’État, les étudiants boursiers doivent respecter des conditions pour le maintien de leur bourse, parmi lesquelles l’assiduité aux cours et la présence aux examens qui, sans constituer un gage de réussite, tendent à y contribuer.

En se penchant sur le contrôle d’assiduité et ses conséquences sur l’attribution des bourses, Philippe Adnot, rapporteur spécial de la mission « Recherche et enseignement supérieur » s’intéresse à l’efficacité et à la qualité de cette dépense publique. Il s’agit ainsi non pas de rechercher une source d’économies pour l’État mais bien de s’assurer qu’elle profite effectivement aux étudiants qui suivent les enseignements pour lesquels ils se sont inscrits.

La qualité des contrôle en question

Le rapport s’interroge principalement sur la qualité du contrôle d’assiduité réalisé et l’efficience de la procédure mise en œuvre en cas de suspension de la bourse et d’émission d’un ordre de reversement des sommes indûment perçues. Il propose plusieurs pistes de réforme tendant en particulier à garantir une plus grande égalité de traitement des boursiers.

Sénat étudiants boursiers

Les 10 grandes tendances RH identifiées par Deloitte

Les entreprises sont soumises à de multiples bouleversements : la relation entre l’employeur et le salarié est en pleine mutation, le digital est devenu un enjeu stratégique et les technologies disruptives transforment en profondeur le travail et son organisation. Dans ce contexte, Deloitte publie son étude annuelle sur les tendances RH. Plus de 7.000 leaders RH et Business (dont 229 en France) ont participé à travers 130 pays. Cette étude permet d’identifier 10 tendances auxquelles seront confrontés les Directeurs des ressources humaines, et qu’ils se doivent d’anticiper pour faire éclore l’entreprise de demain.

Les principaux défis identifiés en France :

  • Revoir les modèles organisationnels (90%)
  • S’appuyer sur une forte culture d’entreprise (82%)
  • Développer le leadership (81%) et les compétences RH (81%)
  • Accentuer l’engagement des collaborateurs (80%)

Les grandes tendances RH

  1. Une nouvelle organisation : L’émergence des réseaux d’équipes

Aspirant à davantage de souplesse, 90% des entreprises françaises déclarent que restructurer leur organisation est important voire très important. Cette thématique est placée en haut du classement en termes de priorités RH. Près de la moitié des entreprises françaises du panel (40%) est d’ailleurs en train de mener un projet de réorganisation ou est sur le point d’en mener un.

 « Il est intéressant de noter que 11% des entreprises françaises déclarent avoir une structure organisationnelle construite autour de projets ou programmes transverses. Ce chiffre, qui peut sembler faible, témoigne pourtant de l’émergence d’un nouveau modèle organisationnel : celui du réseau d’équipes. Les organisations évoluent de plus en plus d’un modèle traditionnel organisé autour de fonctions d’entreprise vers un modèle basé sur des équipes responsables, flexibles et interconnectées partout dans le monde » commente Philippe Burger, Associé responsable Capital Humain chez Deloitte.

  1. La culture : Moteur de la stratégie

La culture se positionne à la 2e place en termes d’importance aussi bien en France qu’à l’international. C’est le sujet sur lequel les entreprises françaises se sentent le plus mature (66%).

L’étude montre que 91% des participants français (82% au niveau mondial) sont convaincus que la culture d’entreprise constitue un avantage concurrentiel dans une forte ou certaine mesure. Pourtant, beaucoup d’entreprises ont des difficultés à la mesurer ou à la gérer : seules 28% d’entre elles à travers le monde affirment bien comprendre leur culture d’entreprise tandis que seules 19% pensent avoir la culture d’entreprise adéquate. Face à l’évolution de la concurrence et à des talents de plus en plus exigeants, un grand nombre d’entreprises (47% en France et plus de 50% dans le monde) cherche ainsi à faire évoluer leur culture.

  1. L’engagement : Un défi de chaque instant

L’engagement des salariés se confirme comme un challenge clé pour les entreprises : 80% des entreprises françaises (85% au niveau mondial) jugent cette tendance importante ou très importante. Moins de la moitié des organisations françaises (47%) se sent suffisamment mature pour appréhender le défi de l’engagement. D’ailleurs, elles sont 51% à considérer leur programme actuel d’engagement et de rétention comme peu satisfaisant ou insatisfaisant estimant ainsi avoir un retard certain par rapport à leurs concurrents.

De plus, bien que les enquêtes d’engagement soient désormais plus fréquentes, 66% des entreprises françaises (64% à l’échelle mondiale) continuent à ne mesurer l’engagement de leurs collaborateurs qu’une seule fois par an.

  1. Leadership : Le réveil

Le leadership continue à être une préoccupation majeure des entreprises, se plaçant à la 2ème place en termes d’importance au niveau mondial tandis que la France place ce sujet à la 4ème place. Cette thématique présente l’écart de capacité le plus élevé en France : 81% des entreprises déclarent que le leadership est un défi important à relever mais seules 40% se sentent suffisamment matures pour le réaliser.

En effet, un tiers des entreprises françaises (28% au niveau mondial) affirme manquer de leaders à plusieurs niveaux de l’organisation et considère disposer d’un vivier de futurs leaders beaucoup trop limité pour répondre aux besoins futurs. Les efforts doivent donc se poursuivre, 83% des entreprises françaises comptent ainsi augmenter leurs investissements en matière de développement du leadership.

  1. La formation : Les apprenants aux commandes

Pour les entreprises françaises, la formation n’est pas spécifiquement identifiée comme une priorité (7ème position sur 10). En outre, 44% des entreprises françaises se déclarent prêtes à appréhender les défis amenés par la formation et quatre organisations sur cinq jugent leurs programmes de formation efficaces ou adaptés à l’acquisition des compétences nécessaires.

Cette année, le changement majeur en matière de formation concerne le passage de programmes de formation internes vers des plateformes innovantes d’auto-formation utilisées par 44% des entreprises françaises interrogées. Elles passent ainsi d’une formation descendante et imposée à une proposition d’informations, d’expérimentations et de formations à la carte.

  1. Le Digital RH : Plus qu’une évolution, une révolution

Le Digital RH ne ressort pas non plus comme l’une des principales priorités des RH pour cette année 2016. En France, il se situe à la 8ème position en termes d’importance bien qu’il semble peu maîtrisé par les organisations avec seulement 35% d’entre elles qui se déclarent prêtes à relever les défis associés. En dépit d’un intérêt qui semble faible, 56% des entreprises françaises déclarent être en train de repenser leur programme de digital RH, 20% l’ont déjà revu et 20% envisagent de le faire. Au final, seuls 4% des répondants ne l’ont jamais eu dans leur agenda ou ne prévoit pas du tout de l’avoir.

Cette remise en cause de l’existant est justifiée par un changement de modèle où la finalité des programmes RH doit de moins en moins se focaliser sur le processus et l’outil mais de plus en plus sur l’expérience utilisateur, et donc le collaborateur.

  1. Le Design Thinking : (Ré-)enchanter l’expérience collaborateur

Le Design Thinking consiste à repenser l’ensemble des processus, des outils et des modes de travail en remettant l’expérience collaborateur au centre des réflexions, et cela dans une optique de simplification.

En France et dans le monde, le Design Thinking est classé en 6ème position en termes d’importance mais seules 38% des entreprises françaises se sentent matures sur le sujet (40% au niveau mondial). Ce manque de maturité est d’autant plus souligné que 29% des répondants français admettent ne pas connaître les bonnes pratiques qui existent en la matière : seuls 27% appliquent le Design Thinking dans les ressources humaines contre 49% dans le marketing et la communication.

  1. Les compétences RH : Un nouveau carnet de route

Une prise de conscience de l’importance des compétences RH semble s’opérer en France : 81% des participants français considèrent les compétences RH comme une thématique importante ou très importante, contre 69% l’an dernier. Cette tendance ressort également comme la 4ème priorité des DRH sur les 12 à 18 mois à venir. De plus, 79% des organisations françaises déclarant que leurs équipes RH sont compétentes ou très compétentes pour relever les défis dits classiques tels que le recrutement.

Les efforts de développement des compétences RH doivent se concentrer sur trois sujets : une meilleure compréhension de l’environnement business (seulement 32% des participants l’évaluant comme étant « bonne » ou « très bonne ») ; la modernisation des SIRH avec la mise en place de solutions mobiles ; enfin, la montée en compétences dans le domaine de l’analytique RH.

  1. L’analytique RH : Vers de nouveaux investissements

Seuls 60% des répondants français considèrent la thématique de l’analytique RH comme importante (9ème tendance sur 10) contre 81% en 2014. Ce désintérêt pour l’analytique peut s’expliquer par une faible compréhension du sujet pour plus de la moitié des répondants (54%) ou des données de qualités qui restent encore faibles ou passables pour quasiment la moitié (46%).

À noter que les sujets RH pour lesquels les entreprises peuvent avoir recours à l’analytique sont nombreux, obligeant les entreprises à les prioriser. Alors, si de nombreuses entreprises font appel à l’analytique en rémunération (60% des entreprises françaises), son utilisation pour des sujets comme la gestion de carrière et les plans de succession ou les prédictions des taux d’attrition et de rétention est encore rare (respectivement 29% et 23%).

« Si l’analytique n’est pas la priorité des DRH français, les entreprises françaises doivent veiller à ne pas prendre trop de retard sur ce sujet. Ce décalage existe déjà puisque, à titre d’exemples, dans le monde, une entreprise sur deux (51%) utilise l’analytique pour la gestion de la performance alors que seulement 43% des entreprises françaises le font, et près de la moitié des organisations dans le monde (48%) l’utilise pour la planification de la main d’œuvre alors que c’est le cas pour seulement 40% des entreprises en France » estime Philippe Burger, Associé responsable Capital Humain chez Deloitte.

  1. Travailleurs indépendants : Une redéfinition de l’équation du management des talents

Les entreprises françaises et mondiales ne font pas du recours aux talents à temps partiels et occasionnels une priorité (55% jugent cette tendance importante en France). Les freins au recours à cette main d’œuvre flexible seraient essentiellement liés à la culture (pour 31% des entreprises françaises) et aux incertitudes juridiques (pour 41% d’entre elles). Cependant, 7 entreprises françaises sur 10 (72%) estiment que leur organisation est en forte ou très forte capacité à recourir aux talents à temps partiels et occasionnels.

L’étude complète est disponible ici

deloitte tendances RH

 

Le médiateur de la FBF présente son rapport 2015

Dans son rapport 2015, le médiateur de la FBF (Fédération bancaire française) fait apparaître un nombre de saisines à traiter en hausse de près de 28% en 20151.

Le médiateur de la FBF plus accessible

Dans ses observations, le médiateur auprès de la FBF explique notamment que, au-delà d’une meilleure connaissance des clients de l’existence de la médiation, l’accroissement du nombre de courriers reçus est dû à la possibilité de saisir le médiateur en ligne directement sur son site ou par l’envoi d’un message électronique. Il note également le nombre croissant de situations de fragilité rencontrées par les clients, l’évolution des procédures d’automatisation et de dématérialisation mais aussi les effets d’opportunités liés à l’évolution de la conjoncture économique ou de la réglementation.

En 2015, sur les 4 182 courriers reçus par le médiateur auprès de la FBF (contre 2 984 en 2014), 2 328 dossiers entraient dans son champ de compétence (contre 1 833 en 2014). À ce jour, parmi ces dossiers, 785 avis ont été rendus par le médiateur, dont 564 ont trouvé une solution à la satisfaction du client, 199 ont donné lieu à une confirmation de la réponse apportée par la banque et 22 n’ont pas encore obtenu de réponse de la banque ou du client. Par ailleurs, si la connaissance de l’existence du dispositif de la médiation progresse, la compréhension de son champ de compétence l’est moins. En effet, on note en 2015 une forte progression des courriers adressés au médiateur, dont l’objet du litige se situe hors de son champ de compétence : 626 dossiers contre 347 en 2014.

Les thèmes des demandes de médiation ont principalement porté sur les moyens de paiement (utilisations frauduleuse de la carte bancaire et paiements en ligne), le fonctionnement du compte (modalités de clôture du compte) et les opérations de crédit (informations faites aux clients et délais de réponse). Les litiges concernant la tarification sont en forte baisse.

Paul Loridant au service des usagés des banques

La médiation en France a connu des changements notoires en 2015. En application de la directive européenne sur la relation extrajudiciaire des litiges de consommation (directive RELC), les Pouvoirs Publics ont publié en août 2015 l’ordonnance qui définit les règles relatives à la médiation. Elle introduit la création d’une Commission d’évaluation et de contrôle de la médiation chargée de tenir à jour la liste des médiateurs de la consommation qui seront notifiés auprès de la Commission Européenne. Elle instaure pour le médiateur de la consommation un statut spécifique avec notamment des critères de sélection strictes et la possibilité de le saisir en ligne.

Ainsi, Paul Loridant, médiateur auprès de la FBF depuis le 1 février 2012, a été inscrit par la Commission d’évaluation et de contrôle de la médiation sur la liste des médiateurs de la consommation le 10 mai 2016.

Paul Loridant, médiateur auprès de la FBF, commente : « Le bilan de l’activité de la médiation auprès de la Fédération bancaire française en 2015 s’avère positif et témoigne de l’efficacité du dispositif de médiation. Au-delà du nombre de dossiers recevables et des règlements qui ont été proposés, ce service de proximité démontre sa pertinence et contribue à améliorer de manière durable les relations entre les banques et leurs clients ».

1 La médiation auprès de la FBF concerne 119 établissements inscrits dans le courant de l’année 2015.

http://lemediateur.fbf.fr/

mediateur de la FBF

La valorisation de la recherche en France est-elle efficiente ?

La valorisation de la recherche constitue un enjeu majeur de notre économie. La compétitivité, dans un contexte de concurrence accrue, dépend en effet de nos capacités d’innovation. Or, la France, qui se trouve dans le peloton de tête en matière de recherche, occupe une place nettement moins significative en ce qui concerne l’innovation.

La valorisation de la recherche française auscultée

L’article 15 de la loi du 22 juillet 2013 relative à l’enseignement supérieur et à la recherche prévoit une évaluation régulière par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) de la stratégie nationale de recherche. Une audition publique aura donc lieu le jeudi 30 juin 2016 à l’Assemblée Nationale visant à passer en revue tous les mécanismes de valorisation de la recherche, en vue de recueillir des propositions sur les améliorations envisageables.

Cette audition sera l’occasion de revenir sur la stratégie nationale de recherche ainsi que sur sa réorganisation institutionnelle mise en place, d’une part, par le Commissariat général à l’investissement (CGI) qui gère le Programme des investissements d’avenir (PIA), doté de plusieurs dizaines de milliards d’euros par les gouvernements successifs, supposant une évaluation régulière de l’efficacité des dispositifs créés, afin de procéder aux ajustements nécessaires ; et d’autre part, de la Banque publique d’investissement qui accompagne et finance les efforts d’innovation des entreprises.

audition de l’OPECST
Jeudi 30 juin 2016
de 9 heures à 18 heures 15

Une diffusion en direct sur le site internet de l’Assemblée nationale est prévue à l’adresse http://www.assemblee-nationale.tv

valorisation de la recherche

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