Dans la nuit du 27 au 28 février, une soixantaine d’étudiants issus de 21 établissements différents seront réunis à l’École des Ponts ParisTech pour la 6e édition de « Une Nuit Pour Entreprendre » dès le 27 février 2020 à partir de 18h45 à Champs sur Marne . Créé par l’école des Ponts ParisTech, cet événement a pour objectif d’encourager les élèves à développer leur esprit entrepreneurial à travers un challenge : s’associer en petits groupes pour élaborer en une nuit seulement un projet innovant qui sera ensuite présenté à un jury au petit matin.
Ouvert aux élèves de l’École des Ponts
ParisTech, le concours s’adresse aussi à des étudiants issus d’autres
établissements d’enseignement supérieur (les écoles du réseau ParisTech, HEC
Paris, ENS…).
Cette année, les élèves seront mobilisés de
19h à 9h30 le lendemain matin, et seront entourés, tout au long du processus,
d’experts prêts à les encadrer et les conseiller. Au petit matin, ils
présenteront leur projet à un jury composé de membres de l’École des Ponts
ParisTech et d’entrepreneurs.
L’équipe dont le projet aura le plus séduit
le jury recevra la somme de 1000 € de la part de la Fondation des Ponts, et les
équipes en 2e et 3e places recevront des cadeaux remis par deux entreprises
soutiens de l’événement (RATP Group et Safran).
Programme de la soirée : 18h45 : accueil à l’École des Ponts ParisTech (accès) 19h15 : conférence d’ouverture – Antoine Jomier, co-fondateur et CEO d’Incepto 20h00 : atelier de lancement des projets 21h00 – 6h30 : travail collaboratif encadré par des coachs 7h00 – 9h30 : présentation des projets devant le jury et remise des prix
21 établissements sont concernés par ce concours
HEC Paris, École Polytechnique, École Normale Supérieure, Université Gustave Eiffel, MINES ParisTech, Université Paris-Est Créteil (UPEC), AgroParisTech, Institut Villebon Georges Charpak, Chimie ParisTech, École Pratique des Hautes Études, École nationale des Chartes, Penninghen, Arts et Métiers Paris, Télécom Paris, ENSAE Paris, CentraleSupélec, ENSTA ParisTech, Institut d’optique Graduate School, ESPCI Paris, Université Paris-Dauphine, École nationale supérieure des Arts Décoratifs.
La Revue Management & Innovation (RM&I) est une revue scientifique internationale qui a pour objectif de publier sous forme électronique et papier des articles scientifiques de recherche en Sciences de Gestion avec des approches épistémologiques et méthodologiques innovantes.
La Revue Management & Innovation couvre l’ensemble des champs des Sciences de Gestion sans en privilégier aucun. De même, toutes les démarches scientifiques sont acceptées pourvu qu’elles soient rigoureuses.
Nous publions des articles de
chercheurs venant de divers horizons, en français essentiellement sans nous
interdire de publier des textes en langues anglaise ou arabe.
Les articles publiés dans RM&I doivent
être conceptuellement rigoureux mais être écrits de façon à être accessibles
aux lecteurs avertis mais non-spécialistes de telle discipline ou de telle
méthode de recherche, et mettre fortement l’accent sur les implications
managériales du sujet traité.
La revue met l’accent sur des
thématiques développées dans les pays émergents et en s’appuyant sur des
contextes empiriques peu explorés.
RM&I fonctionne selon les
critères désormais bien établis des revues scientifiques internationales :
lecture préalable des soumissions par les deux rédacteurs, si la soumission
entre bien dans les exigences de la revue, évaluation en double aveugle par des
pairs choisis au sein d’un comité scientifique par le comité de rédaction. Nous
essayons de respecter des délais raisonnables pour gérer le process
d’évaluation et, dans tous les cas, nous nous efforçons d’avoir une attitude
bienveillante.
Outre les chercheurs qui proposent
spontanément des articles, nous cherchons à valoriser les travaux de recherche
des Écoles doctorales, des structures de recherche à travers leurs thèmes
d’étude. Nous souhaitons que ces structures soient mieux connues et reconnues
par la Communauté académique.
Nous publions, comme beaucoup de nos
grands confrères, 2 sortes de numéros :
Des numéros comprenant des articles et un cahier spécial cordonné (avec toujours la même rigueur académique) en général par le responsable d’une structure de recherche.
Des numéros spéciaux, complètement dédiés à un thème fort. Souvent ces numéros spéciaux suivent le déroulement d’une manifestation au cours de laquelle les meilleures communications sont sélectionnées. Dans ces numéros spéciaux, il nous arrive de laisser certains responsables d’entreprise s’exprimer pour modestement entamer un dialogue entre nos deux univers.
L’ambition est de publier 2 à 4 numéros par année. La fréquence de publication est tributaire de la richesse des soumissions.
Nous pensons qu’avec la multiplication
des centres des études doctorales et l’augmentation importante des enseignants
chercheurs en sciences de gestion dans les pays émergents (notamment au Maghreb
et en Afrique subsaharienne) il existe un potentiel suffisant pour permettre à
une revue de qualité en sciences de gestion de trouver son lectorat et ses
contributeurs.
De plus, il est nécessaire et
socialement responsable de faciliter la valorisation de travaux scientifiques
de qualité qui prennent les pays émergents et leurs organisations comme terrain
de recherche.
Comité de Rédaction de La Revue Management & Innovation
La rédaction est assurée par 2
professeurs universitaires marocains (Pr. Chafik BENTALEB, université de
Marrakech & Pr. Mohammed Amine BALAMBO, université de Kenitra) avec le
soutien d’un conseiller scientifique (Pr. Jacques IGALENS, université de
Toulouse).
Le programme des “Chantiers d’histoire administrative” est en ligne : <http://e-ruiz.com/seminaire-ehess-2020/>. Comme chaque année depuis 2017, il est composé de plusieurs séances qui auront lieu le vendredi de 14h à 17h, et se tiendra à l’EHESS (105 boulevard Raspail, Paris VIe).
S04 · 6 mars 2020 | Déréguler l’économie, administrer la concurrence | avec Lola Avril (Institut universitaire européen) et Sébastien Billows (INRA)
S05 · 20 mars 2020 | Regards sur quelques évolutions récentes de la fonction publique | avec Jean-Marc Canon, secrétaire général de l’UFSE-CGT et Pierre Laberrondo, rédacteur en chef d’Acteurs publics
S06 · 3 avril 2020 | Moderniser l’État, administrer le numérique | avec Marie Alauzen (CSI-MinesParisTech) et Anne Bellon (Université Paris 1 – CESSP/SENSE – Orange Labs)
S07 · 15 mai 2020 | Table-ronde à Sciences Po (la salle sera précisée ultérieurement) : L’État (se) pense-t-il encore ? Administration, politique et sciences sociales | Introduction et discussion par Olivier Borraz (Sciences Po, CSO) et Émilien Ruiz (Sciences Po, CHSP). Interventions de Marc Olivier Baruch (EHESS), Christine Musselin (Sciences Po, CSO) et Christophe Prochasson (EHESS)
S08 · 29 mai 2020 | Le métier de préfet | Rencontre avec le préfet Michel Delpuech, interrogé par Pierre-André Peyvel et Marc Olivier Baruch
La Revue des Sciences de Gestion est très heureuse de vous faire savoir qu’un mois après sa création le 2 décembre 2019, le Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM) a tenu sa première réunion de travail le 14 janvier dernier.
Le
Conseil d’administration a procédé à l’élection du Bureau, dont les membres
sont :
Trésorier adjoint (journalistes), Jennifer Deschamps
Le CDJM dispose d’un site internet cdjm.org sur lequel le public peut d’ores et déjà le saisir sur toutes les questions de déontologie journalistique qu’il souhaite voir examiner.
Le
CDJM est une association totalement indépendante, tripartite (trois collèges,
public, journalistes et éditeurs).
Le
CDJM n’est ni un conseil de l’ordre, ni un « tribunal de la pensée »,
il se prononce sur les seules questions de respect de la déontologie
journalistique, mais en aucun cas sur les questions qui relèvent de la liberté
éditoriale de chaque média.
La
France est ainsi le 18e pays de l’Union Européenne à se doter d’un tel outil de
médiation entre les journalistes, les éditeurs et leurs publics au service de
la qualité de l’information.
Catherine Lespine, Présidente Directeur Général du Groupe INSEEC U. a pris la décision de quitter sa fonction pour des raisons personnelles. Entrée dans le groupe à Bordeaux en 1986 comme jeune professeur, elle en avait repris les rênes en février 2003 au départ de son fondateur. Depuis cette date, elle s’est attachée à construire le groupe pour en faire un des leaders français de l’enseignement supérieur privé, elle devient aujourd’hui « Senior advisor » du groupe INSEEC U.
Françoise
Gri, présidente du Conseil de surveillance, assurera la présidence par intérim.
Elle aura à ses côtés José Milano, actuel Directeur Général Délégué, qui
devient Directeur Général du Groupe INSEEC U. ; Eric Keff, aujourd’hui
Directeur Administratif et Financier, prenant quant à lui, le poste de
Directeur Général Délégué.
Cette
nouvelle gouvernance, conforme à la stratégie de succession décidée avec
Catherine Lespine et le Conseil de Surveillance, reprend le flambeau pour
réussir une nouvelle étape du développement du groupe.
« Après une formidable aventure professionnelle et humaine de plus de 30 ans, je me réjouis sincèrement de céder les rênes à Françoise Gri et à José Milano – que je connais depuis longtemps -, et dont je sais l’attachement à la réussite de nos élèves, de notre communauté et de notre groupe. Je remercie le Conseil de surveillance d’avoir mis en place à mes côtés cette stratégie de succession. En tant que Senior advisor d’INSEEC U., je reste très mobilisée pour servir les ambitions et le rayonnement du groupe. »
Catherine Lespine
Françoise Gri, présidente par intérim du groupe INSEEC U.
Diplômée de l’École nationale
supérieure d’informatique et de mathématiques appliquées de Grenoble, Françoise
Gri a dirigé plusieurs entreprises dans le monde des services.
Présidente-Directrice générale d’IBM France, puis Présidente de Manpower France
et Europe du Sud, Directrice Générale du groupe Pierre &
Vacances-Center Parcs, elle est aujourd’hui administratrice indépendante de
Crédit agricole SA, Edenred et WNS. Au-delà de son
expérience managériale et internationale, elle dispose d’une
expertise dans les domaines de l’informatique et de la responsabilité sociale
de l’entreprise et s’implique depuis de nombreuses années sur les
problématiques de l’éducation et de l’employabilité. Françoise Gri a publié 2
ouvrages ; « Women Power, Femme et patron 2012 » ;
« Plaidoyer pour un emploi responsable 2010 ».
José Milano comme Directeur Général du Groupe INSEEC U.
Diplômé de l’École Normale Supérieure de Cachan en économie et gestion en 1993, José Milano est titulaire du DEA de sociologie des organisations de Sciences po Paris, d’un DEA de droit international et d’un Magistère de droit des activités économiques de l’université Paris 1.
José Milano débute sa carrière au sein du groupe AXA, où il a été notamment Chief Learning Officer du groupe, Directeur des relations sociales et du développement d’Axa France et COO et DRH d’AXA Group Solutions. Il devient ensuite Directeur des affaires sociales de la Fédération Française de l’Assurance, et rejoint Kedge Business School dont il deviendra Directeur Général.
Eric Keff comme Directeur Général Délégué
Diplômé
de l’Ecole Supérieure Commerce de Paris, Eric KEFF a démarré sa carrière dans
l’audit financier chez PriceWaterhouse et à l’audit interne opérationnel chez
Thomson Multimedia. Il a ensuite rejoint le groupe d’emballage Crown Holdings
où il a exercé des fonctions de Directeur Financier de business unit et de
division. Suite au rachat d’une partie des activités de Crown Holdings par un
fonds d’investissement, il devient CFO de la société nouvellement créée (Global
Closure Systems). Ensuite, il rejoint Carambar & Co (agroalimentaire) en
tant que CFO.
Appel à communication pour les sessions « sociologie de la gestion » du congrès AISLF de Tunis (6-10 juillet 2020). Le GT17 rassemble des sociologues de tous les continents qui travaillent dans des écoles de gestion ou sur les pratiques et les outils de gestion. Il vise à partager leurs expériences tout en se posant la question d’une pratique sociologique pour et sur les gestionnaires. Nous appelons ici gestionnaires, les personnes qui orientent l’activité des organisations sans les posséder, ni n’en être le numéro un. Ces personnes doivent mobiliser leurs subordonnés et leurs collaborateurs, ce qui implique qu’ils assument les décisions qu’ils prennent ou transmettent.
Le constat
est que les cadres sociaux de la production moderne ont profondément changé, et
que nos analyses du fonctionnement des entreprises ont été pensées pour des
formes sociales quasi révolues. Nous préférons les termes de systèmes
de production ou de chaines
de valeur, car ils prennent en compte l’ensemble des rapports
sociaux qui aboutissent à
la production d’un bien ou d’un service donné. Les gestionnaires sont bien ceux
qui ont à transformer ses rapports sociaux en action productive. La question de
la place de la morale ou de la religion dans le travail productif n’est pas
récente, elle est même à la source de la discipline sociologique par les débats
entre Max Weber, qui voyait sa propre religion comme la plus efficiente dans le
cadre capitaliste, et son élève puis collègue, Joseph Schumpeter, qui se posait
plutôt la question de morales adaptées aux fonctions patronales.
Ces
débats sont certainement à reprendre aujourd’hui où nous voyons des cadres
ayant à composer avec des morales ou éthiques d’entreprise,
imposées par le sommet, ou plus ou moins négociées avec la base, et des
positions religieuses et morales de subordonnés qui peuvent heurter la vision
managériale de la manière dont doivent se comporter les membres de leur
organisation, voire, et cela a donné lieu à des conflits sans fin, la manière
dont ils ou elles doivent être vêtues. L’adhésion de plus en plus d’acteurs au développement
durable et à la responsabilité
sociétale des entreprises, ou à la gestion
des risques, poussent les acteurs productifs à se positionner sur
cette question qui touche au cœur même de la morale et de la religion,
puisqu’il s’agit de se projeter dans l’au-delà de nos vies.
Même si
les discours moralisateurs semblent envahir le champ de la littérature
gestionnaire, force est de constater qu’en pratique on n’observe guère
d’adoucissement des modes gestionnaires. Nous voyons ressurgir des modes
hypertayloriens dans lesquels les technologies modernes s’efforcent à réduire
les subordonnés à une exécution robotisée que Taylor lui-même n’aurait pas osé
rêver. Des rythmes de travail trop élevés, des expositions à des risques
pourtant connus, des pratiques de harcèlement et d’épuisement systématique
semble d’autant plus faciles à mettre en place que les statuts protecteurs
reculent au profit de situations dans lesquelles une soi-disant liberté est
payée par un système de contraintes difficile à imposer à des salariés protégés
par les droits du travail, de plus en plus oubliés.
Une
organisation, entité non pensante, peut-elle se présenter comme morale ? On
voit des entités économiques ou étatiques, ou dites associatives, se présenter
comme une morale en action. On voit aussi des modes managériales se présenter
comme l’expression d’une morale, alors qu’elles ne sont qu’une forme d’organisation
et de domination. Parler de morale au sein d’organisations met en problème le
rapport de l’organisation avec l’individu, ses choix et convictions ultimes.
Le GT17
accepte les propositions présentant une réflexion théorique touchant, au moins
partiellement, à la problématique de cet appel, et surtout présentant de
manière descriptive des cas dans lesquels ou des gestionnaires sont confrontés
à des questions de sociologie. Il donne une grande place aux enquêtes faisant
avancer la recherche scientifique sur des question touchant la mobilisation de
personnes salariées, subordonnées, ou dépendantes en vue d’une production dont
il importe de déterminer vers quoi et par qui elle est dirigée.
Les
propositions soumises sont limitées à 200
signes pour le titre
et 1 500 signes pour le résumé (espaces compris). S’il y a
lieu, il est possible de mentionner des co-auteurs (leur présence n’est pas
requise pour la présentation). Chaque congressiste peut déposer deux
propositions au maximum. Les propositions doivent être déposées avant le
15 janvier 2020. Au-delà de cette date, cette partie du site sera fermée et il
ne sera plus possible de proposer des communications.
Évaluation :
Les propositions
sont évaluées par les responsables du GT. En cas d’acceptation par le groupe
indiqué en premier choix, l’acceptation est transmise par courriel à l’auteur
principal uniquement. En cas de refus, la proposition est présentée au groupe
mentionné en second choix, qui peut l’accepter selon les mêmes règles. En cas
de second refus, la procédure prévoit un arbitrage de l’AISLF avant réponse
définitive.
Délais pour les abstracts :
15
janvier 2020 pour la mise en ligne.
Sessions :
Afin
de faciliter la discussion entre auteurs, la division en sessions se fera au vu
des réponses.
Comité scientifique : Daniel MERCURE, président d’honneur de l’AISLF, professeur titulaire de sociologie à l’Université de Laval à Montréal ; Florence PINOT, enseignante-chercheur à l’Ecole Supérieure de Commerce de Paris (France) ; Francisco PUCCI, enseignant-chercheur de l’Universidad de la Republica (Montevideo, Uruguay) ; Frédéric RICHARD, enseignant-chercher à l’Ecole Supérieure de Commerce de Saint-Etienne (France) ; Xavier RICHET, Professeur de sciences économiques, Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3 ; Jean RUFFIER, chercheur au CNRS (Lyon, France) ; Marcos SUPERVIELLE, professeur de l’Universidad de la Republica (Montevideo, Uruguay) ; Pierre TRIPIER, sociologue, Paris ; Jorge WALTER, enseignant-chercheur à l’Universidad de San–Andres (Buenos-Aires, Argentine) ; ZHAO Wei, chercheur à l’université SUN Yatsen (Canton, Chine).
47 associations représentantes des personnes en situation de handicap et de leurs familles s’unissent à travers un collectif inter-associatif: le Collectif Handicaps. Association de loi 1901, ce nouveau collectif a pour objectifs de porter la voix, les revendications et les besoins des personnes en situation de handicap et de leurs aidants, de défendre leurs droits auprès des décideurs politiques et de militer pour une société inclusive, solidaire, juste et équitable.
Collectif Handicaps : « Nous représentons 12 millions de personnes en situation de handicap et 11 millions d’aidants »
Depuis 1982, les
associations représentantes des personnes en situation de handicap[1] et de leurs familles ont milité
collectivement, de façon informelle, à travers un Comité d’entente. Ensemble,
elles sont parvenues à promouvoir et défendre les droits des personnes. Mais
aujourd’hui, au regard du contexte actuel de transformation de la société, leur
mobilisation doit être plus forte, plus visible et plus engagée. Ces 47
associations s’unissent au sein du Collectif Handicaps.
Collectif Handicaps,
une voix à faire entendre… c’est la raison d’être de cette nouvelle association.
Grâce à un travail de concertation entre les associations membres, le Collectif
Handicaps devient LE porte-parole des
personnes en situation de handicap et l’acteur expert et militant pouvant peser sur les politiques
publiques du handicap. Un seul
collectif pour révéler les singularités de ces millions de personnes en
situation de handicap aux besoins divers, y compris des personnes les plus
vulnérables et les plus fragiles.
« Nous sommes opérationnels dès aujourd’hui »
L’agenda 2020 du
Collectif Handicaps s’annonce très chargé. Conférence nationale du handicap à
mi-mandat du président Emmanuel Macron, concertation autour du revenu universel
d’activité, réforme des retraites, projet de loi grand âge et autonomie…
autant de sujets qui vont mobiliser jour après jour les associations membres du
Collectif Handicaps.
Un des premiers
combats : le Collectif Handicaps affirme sa position de refuser toute «
fusion – absorption » de l’Allocation aux adultes handicapés (AAH) dans le
revenu universel d’activité (RUA) pensé en référence à la valeur travail. Sous
prétexte de simplification administrative, les allocataires de l’AAH seraient
pénalisés. Une aberration quand on sait que deux allocataires de l’AAH sur 10
seulement ont accès à une activité professionnelle et que la totalité des
allocataires ont un taux d’incapacité reconnu par les MDPH (Maisons
départementales des personnes handicapées). Une telle évolution amènerait à «
détruire » l’AAH, droit fondamental acquis depuis 1975.
Le Collectif
Handicaps vient de transmettre au gouvernement et aux parlementaires des
propositions d’amendements au projet de loi de réforme des retraites afin par
exemple de faciliter la retraite progressive pour les travailleurs handicapés,
d’adapter le coefficient d’ajustement pour les
personnes handicapées et les aidants ou bien encore de majorer les
points, en particulier pour les aidants ou les jeunes handicapés.
Lors de la conférence
nationale du handicap, ce collectif citoyen attend des engagements forts des
pouvoirs publics, notamment au sujet de la compensation ou encore du
fonctionnement des maisons départementales des personnes handicapées (MDPH).
La composition du Collectif Handicaps
Le Collectif Handicaps est une association de loi 1901 avec, à ce jour, 47 associations membres dont 12 composent le Comité exécutif. Conformément aux statuts du Collectif Handicaps, l’Assemblée générale qui s’est tenue le vendredi 17 janvier a élu Arnaud de Broca, président de l’association.
Les 47 associations membres du Collectif Handicaps
AFEH ; AFM-Téléthon ; Alliance Maladies Rares ;
ANCC ; ANECAMPS ; AIRe ; ANPEA ; ANPEDA ; ANPSA ; APF France handicap ;
ASBH ; Autisme France ; Bucodes France ; CESAP ;
CFHE ; CFPSAA ; CHEOPS ; CLAPEAHA ; Droit au Savoir ; Eucrea France ; Entraide Universitaire ; FAGERH ; Fédération APAJH ; Fédération Générale des PEP ;
FFAIMC ; FFDys ; Fédération Française
Sésame Autisme ; FISAF ; FNAF ; FNATH
; FNASEPH ; France Acouphènes ; GIHP National ; GPF ; Hyper
Supers – TDAH France ; LADAPT ; Mutuelle Intégrance ; Santé Mentale France ; UNAPH
; TRISOMIE 21 France ; UNAFAM
; UNAFTC, Unanimes ; UNAPEI
; UNIOPSS ; Vaincre la Mucoviscidose.
Selon les données fournies par la DARES cette semaine, de 2015 à 2018, près de 900 000 formations ont été suivies par les salariés du secteur privé dans le cadre du compte personnel de formation (CPF), entré en vigueur le 1er janvier 2015. La mobilisation du CPF par les salariés du privé s’est accrue en 2018 avec près de 383 000 entrées en formation contre 272 000 en 2017, soit une hausse de 41% en un an. En 2018, 1,7% des salariés du privé se sont formés en mobilisant leur CPF. Dans le même temps, le nombre de formations des demandeurs d’emploi mobilisant leur CPF s’est stabilisé, avec un taux de recours de 2,1%.
La grande majorité des salariés suivent des formations courtes
Plus de la
moitié des salariés du privé mobilisant leur CPF sont âgés de 25 à 44 ans. Deux
tiers sont employés ou cadres. Quel que soit leur niveau de formation initial,
la grande majorité des salariés du privé suivent des formations courtes
préparant à des certifications en langues, en informatique ou dans le domaine
des transports. Dans les deux tiers des cas, les heures disponibles sur le CPF
permettent de financer en totalité la formation suivie.
Les salariés du privé mobilisant leur CPF afin d’obtenir un diplôme ou une qualification suivent des formations plus longues. Ils bénéficient, le plus souvent, d’un financement complémentaire, les heures accumulées sur leur CPF étant inférieures à la durée de la formation. Dans plus d’un cas sur dix, ils participent directement au financement de leur formation.
La “formation pour tous” qu’ils disaient !
Contrairement à ce qui avait été largement diffusé, cette réforme ne touche qu’un nombre très modeste de salariés du privé. En 2018, le taux de recours au CPF atteint seulement 1,7% chez les salariés du secteur privé. Les hommes accèdent presque autant que les femmes à la formation au titre du CPF (1,6% contre 1,8%). Les cadres et les professions intellectuelles supérieures y recourent plus fréquemment que les autres catégories socioprofessionnelles (2,7% contre 2,3% pour les employés, 1,1% pour les professions intermédiaires et 1,0 % pour les ouvriers), et cet écart tend à s’accroître.
Dans ce contexte, la durée des formations suivies par les salariés dans le cadre du CPF diminue et passe de 117 heures en moyenne en 2015 à 88 heures en 2018.
A n’en pas douter, il faut donc plus de 50 ans pour former au moins une fois toute la population des professionnels à cette vitesse… On comprends facilement le raisonnement du gouvernement qui souhaite à ce point allonger les carrières professionnelles afin de permettre à chacun d’accéder à ce progrès social ! Ce que l’on n’avait pas compris… c’est que LA formation tout au long de la vie professinonelle… signifiait qu’il n’y en aurait qu’une…
Déclinaison française du Summer Institute in Computational Social Sciences (SICSS) initié en 2017 à Duke et à Princeton University, SICSS-Paris rassemblera 20 à 25 jeunes chercheuses et chercheurs en sciences sociales (économie, droit, géographie, histoire, science politique, sociologie…), du 23 juin au 2 juillet prochain,intéressé·e·s à développer leurs compétences et leurs collaborations dans le domaine des méthodes computationnelles.
L’ENSAE reçoit le SICSS
Collecter de
données depuis internet, nettoyer et augmenter une base de données, extraire de
l’information depuis un corpus textuel, analyser les réseaux sociaux, mais
aussi réaliser des expérimentations en ligne, mettre en place une collaboration
de masses voire pratiquer de la « citizen science » … : depuis un peu plus
d’une décennie, les possibilités de recherche augmentée par ordinateur se sont
multipliées. L’objectif de cette école d’été est de proposer une formation à
ces méthodes numériques, mais aussi d’offrir une réflexion sur l’apport et les
limites de ces (plus ou moins) nouvelles approches pour mener des recherches en
sciences sociales. Les cours magistraux alterneront avec des applications
pratiques, et des travaux collaboratifs. En fin de journée, des invité·e·s
extérieur·e·s viendront présenter leur recherche et échanger avec les
participant·e·s.
L’école d’été en sciences sociales computationnelles aura lieu à l’ENSAE, sur le plateau de Saclay au sud de Paris. L’école d’été est entièrement gratuite, l’hébergement (en chambre individuelle) et la plupart des repas sont pris en charge par l’organisation. Une prise en charge des frais de déplacement est aussi possible, si le département d’origine (ou l’employeur) n’est pas en mesure de l’assurer.
L’objectif de SICSS
L’école est prioritairement destinée aux jeunes chercheuses et chercheurs (master avancés, en thèse ou ayant soutenu depuis quelques années seulement), ainsi qu’aux personnes qui sont amené·e·s à travailler activement avec des données numériques sur des problématiques de sciences sociales. La participation se fait sans restriction de discipline ou de pays d’origine. L’objectif de SICSS est en effet de permettre les rencontres entre personnes d’horizons disciplinaires, intellectuels et professionnels variés.
Les
informations relatives au programme, au processus de candidature ou à la
localisation sont disponibles à cette adresse (https://compsocialscience.github.io/summer-institute/2020/paris/).
Le site est en anglais, mais les cours seront principalement dispensés en
français.
Les
candidatures sont à déposer le 20 mars 2020 au plus tard. La décision relative à la
sélection sera communiquée début avril.
Pour toute question
: sicssparis@gmail.com
L’école
d’été SICSS-Paris est rendue possible par le financement de l’ENSAE, de la
Russell Sage Fundation, du CREST, et du Labex ECODEC.
École d’été SICSS — PARIS: Summer Institute in Computational Social Sciences 23 juin — 2 juillet 2020 ENSAE — Plateau de Saclay
OFFRE DE STAGES /RECHERCHE La Fondation Franco-Britannique de Sillery recherche deux étudiant(e)s pour un stage long (à définir) afin de développer une action de recherche sur le thème ” de l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap mental et/ou psychique et/ou d’exclusion. Cette fondation centenaire s’est forgée une identité sociale, médico sociale et professionnelle dont le cœur de métier est l’accompagnement des personnes en situation de handicap (adolescents, jeunes adultes et adultes). L’objectif pose dans le cadre de cette réflexion transversale est de pouvoir recenser et analyser les diverses expériences et actions d’insertion professionnelle, menées, ces dernières années, auprès des personnes accompagnées au quotidien par les personnels des 12 établissements ou services dont cinq ESAT et une entreprise adaptée. Toutes les demandes de précisions et/ou les candidatures (modalités souples et adaptables) sont à adresser à Monsieur Jean-Claude PROUHEZE, courriel : prouheze.jean-christophe@ffbs-sillery.com
INRAE, Institut national de recherche en agriculture, alimentation et environnement est né le 1er janvier 2020. Il est issu de la fusion entre l’INRA, Institut national de la recherche agronomique et IRSTEA, Institut national de recherche en sciences et technologies pour l’environnement et l’agriculture.
INRAE recrute
INRAE est un organisme public de recherche scientifique finalisée, réunissant 12 000 agents sur l’ensemble du territoire national. Premier institut de recherche européen pour les sciences de l’animal et du végétal, ses recherches concernent les questions liées à l’agriculture, à l’alimentation et à la sécurité des aliments, à l’environnement et à la gestion des territoires, avec un accent tout particulier en faveur du développement durable.
INRAE
recrute 45 chercheurs (H/F) par voie de concours pour renforcer ses
équipes. Ces recrutements sont ouverts aux
candidats titulaires de doctorat (ou équivalent) dans des disciplines
scientifiques très variées telles que : Agronomie, sylviculture et
zootechnie • Automatique et systèmes • Biologie cellulaire • Biologie de la
reproduction et du développement • Biologie des organismes • Biologie
moléculaire • Écologie • Économie • Ecophysiologie végétale •
Entomologie • Génétique • Génie des procédés • Génomique et autres approches
omiques • Géosciences • Histoire • Informatique et intelligence
artificielle • Ingénierie génétique, biotechnologies • Mathématiques •
Nutrition • Recherche opérationnelle et aide à la décision • Sciences du
comportement • Sociologie.
L’Apec et PhDTalent renouvellent leurs sessions de formationpour aider 100 PhD à valoriser leurs compétences auprès des entreprises.
PhDTalent en partenariat avec l’Apec
Forts de sa première
session lancée en 2019, l’association l’Apec et PhDTalent renouvellent leur
partenariat afin d’accompagner 100 PhD dans leur dialogue avec les entreprises.
Les PhD possèdent via leur formation doctorante – la plus élevée en France –
des compétences d’excellence qui permettent d’accompagner des innovations
majeures. Ils développent également des compétences transverses comme la
capacité à trouver l’information, l’adaptabilité, la gestion de projets, la
prise de risques ou encore la mise en place de protocoles de recherches
complexes. PhDTalent et l’APEC allient leurs forces pour proposer des ateliers
sur-mesure, dédiés à ces profils, pour acquérir les codes de communication des
entreprises et mettre en valeur leur potentiel auprès de cette cible. Les PhD
inscris bénéficieront d’ateliers destinés à leur apprendre à pitcher, à
optimiser l’utilisation des réseaux sociaux et à s’appuyer sur leurs
compétences transverses. Ce programme gratuit a pour ambition d’éveiller les
consciences des PhD à de nouvelles opportunités de carrières, particulièrement
au sein de PME, ETI, stratups et grands groupes.
« Nous souhaitons
accompagner les PhD afin de leur permettre de booster leur employabilité au
sein du secteur privé. Ces experts, capables de développer des innovations,
contribuent à accélérer le développement des entreprises, tout en s’alignant
sur les enjeux majeurs de notre époque. », explique Florian Andrianiazy,
co-fondateur de PhDTalent.
Design!r, école d’enseignement supérieur privée dédiée à l’innovation responsable et au développement durable par le design, accueillera ses premiers étudiants début octobre 2020 à Deauville, dans le quartier du Coteau.
Design!r pour l’innovation sur Deauville
A l’initiative de Benoît Millet, designer expérimenté et enseignant, la Ville de Deauville s’implique dès aujourd’hui dans la création de cette école d’enseignement supérieur. Ouverte sur le monde et ses évolutions de toute nature, Design!r a vocation à être un lieu d’innovation, de réflexion et d’expérimentation mais aussi d’accueil et de partage. Pour la Ville de Deauville, l’intégration de l’école dans la ville, les échanges avec les acteurs du tissu économique, ou encore sa proximité avec les habitants sont les atouts du projet.
Outre son implication pour
permettre son épanouissement à Deauville, la Ville apportera un soutien
logistique comme elle l’a fait par le passé avec les start’up dusecteur du
tourisme. Innovation et tourisme sont les secteurs de l’enseignement supérieur
que privilégie la municipalité pour créer des synergies entre les générations du
monde économique.
Les locaux jusqu’alors occupés par les équipes de Biblio’Tech puis l’équipe en charge des collections de la Ville, se libèrent, après plusieurs années d’occupation, avec l’ouverture des Franciscaines. Les vastes espaces des lieux sont adaptés tant pour des expérimentations que pour l’accueil du public.
L’objectif de l’école Design!r
L’objectif de l’école est de former les créateurs et innovateurs qui feront le monde de demain, de leur apporter les compétences de designer en innovation durable. Il s’agit de la première offre de formation en design « industriel » en Normandie. Les écoles des Beaux-Arts, à Caen, Le Havre ou Rouen ont des formations plutôt orientées sur le graphisme ou l’objet, ou encore des sujets très techniques.
Design!r proposera aux
jeunes, intéressés par les métiers de la création, de donner du sens à leur
rôle dans la société. Il s’agit pour eux d’inventer un nouvel art de vivre dans
un monde en pleine mutation, par la conception de nouveaux services, produits
ou systèmes durables. Ils apprendront à questionner les enjeux environnementaux
et sociétaux et à trouver des réponses créatives, concrètes et innovantes.
Le design est la
discipline qui permet de concilier une vision d’un monde désirable, souhaitable
et compatible avec les exigences économiques, technologiques, sociales et environnementales,
explique Benoît Millet, créateur de l’école.
Benoit Millet est un
designer expérimenté. Responsable du Labo du Design, il est designer diplômé de
l’Ensci et a suivi une formation ena anthropologie à l’Ehess. Il a dirigé le
Design Lab Nouvelles pratiques alimentaires de l’École de design
Nantes-Atlantique de 2012 à 2018. Il donne de nombreuses conférences et
enseigne dans des écoles d’ingénieurs, de management, de sciences politiques ou
de design. Il développe une activité de conseil comme expert en Design Thinking
auprès d’entreprises et de start’up dans des secteurs très variés de
l’agro-alimentaire au numérique en passant par les services publics.
Le cursus de Design!r
Le cursus est découpé en trois étapes : une première année consacrée aux fondamentaux du design et de l’innovation responsable, considérée comme une prépa, des deuxième et troisième années d’approfondissement constituant un cycle Bachelor et enfin les quatrième et cinquième années du cycle master débouchant sur le diplôme. Suivant leur niveau d’entrée, les étudiants sont admis sur dossier et entretien : après le Bac en première année, la deuxième année est ouverte aux MANAA et Bac +1, la troisième année aux BTS et Bac +2, la quatrième année aux Bachelors, Masters et Bac +3 et la 5e année aux Masters.
L’école vise la professionnalisation de ses élèves
La pédagogie cherchera à développer autant les attitudes, les méthodologies, les connaissances que les techniques ou savoir-faire des élèves. Le design s’apprend par le « faire en expérimentant ». L’enseignement sera donc basé sur la pédagogie par le projet avec des partenaires industriels, des collectivités ou des start’up ainsi que des stages en entreprises, y compris à l’étranger. Les étudiants auront en face d’eux des professionnels reconnus, passionnés et expérimentés en design et en sciences humaines. La pédagogie intégrera également les projets personnels ou en équipe.
Pour ce lancement, une vingtaine d’étudiants seront sélectionnés, une promotion à taille humaine pour un accompagnement personnalisé de chaque étudiant, prenant en compte sa personnalité, ses motivations et sa progression dans ses spécialités, métiers ou de secteurs d’activité : alimentation, mobilités, espaces, santé, services, communication, marque, numérique…
En 2018, 963 000 jeunes âgés de 16 à 25 ans ne sont ni en études, ni en emploi, ni en formation – Not in Education, Employment or Training (NEET) –, selon la définition d’Eurostat. Ce nombre a baissé ces dernières années : il s’élevait à 1 025 000 jeunes NEET en 2015. En 2018, ils représentent 12,9% des jeunes de cette classe d’âge et 27,9% des jeunes qui ont terminé leur formation initiale, contre respectivement 13,7% et 29,4% en 2015.
Les NEET
Les jeunes NEET sont moins diplômés, vivent plus souvent chez leurs parents et ont plus fréquemment un handicap reconnu que les autres jeunes.
63% des jeunes NEET
sont en contact avec le service public de l’emploi ou un autre organisme
d’insertion. Ces jeunes ayant entrepris une démarche d’insertion ont plus
souvent été en emploi au cours des douze mois précédents, tandis que les autres
étaient plus souvent en études.
48% des jeunes NEET
sont sans emploi ni formation depuis un an ou plus. Ces jeunes NEET de longue
durée sont moins diplômés que la moyenne des NEET et cumulent les difficultés
socio-économiques. Ils sont 56% à être en contact avec le service public de
l’emploi.
En 2018, 53% des
jeunes NEET sont chômeurs au sens du BIT, c’est-à-dire qu’ils souhaitent et
recherchent activement un travail et sont prêts à l’occuper dans un court
délai. Les autres sont inactifs. Parmi les jeunes NEET inactifs, deux tiers ne
souhaitent pas travailler, pour une partie d’entre eux pour des raisons de
garde d’enfant ou d’aide auprès d’une personne dépendante, ou d’un état de
santé dégradé.
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