Archives de catégorie : Actualité de la gestion

La mort du JUGE MICHEL

Hors de nos habitudes, nous souhaitions porter à la connaissance de nos lecteurs un ouvrage événement…

33 ans après, contre-enquête sur l’assassinat d’un magistrat marseillais
De novembre 1980 au 21 octobre 1981, de Palerme à Marseille… 300 pages séquencées comme un polar, des dialogues précis et percutants. Rappel des faits…

Aux origines du libre-service, par Franck Cochoy

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Franck Cochoy

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26.40 euros, 342 p., août 2014 – Editions Le Bord de l’Eau
ISBN : 978-2-35687-331-6

Contrairement à ce que semblait augurer le Bonheur des dames de Zola, nous savons tous aujourd’hui, avec plus d’un siècle de recul, que le petit commerce n’est pas mort, loin s’en faut. Aux États-Unis le petit commerce alimentaire, en particulier, ne s’est pas muré dans l’immobilisme, mais a au contraire été le lieu d’un puissant courant réformateur porté par la revue Progressive Grocer qui, comme son nom l’indique, entendait soutenir la modernisation des petites épiceries indépendantes, face aux chaînes et bientôt face aux supermarchés. C’est à cette revue, ou plutôt à l’histoire du libre-service du point de vue de cette revue, que ce livre est consacré. Progressive Grocer est une revue professionnelle lancée en 1922, qui cible le public des épiciers, afin de lui montrer mille façons de transformer et d’améliorer ses pratiques.

Au-delà de la simple mise au jour de la contribution oubliée de la petite épicerie progressiste à l’avènement du libre-service, l’ouvrage permet de saisir le rôle de la presse des affaires dans la transformation des lieux de vente, l’importance cruciale des innovations techniques dans le formatage de la relation marchande, le rôle central du « marché des dispositifs marchands » dans l’animation du commerce, et surtout les ressorts du « faire laissez-faire », c’est-à-dire l’ensemble des savoirs, techniques et savoir-faire grâce auxquels les professionnels de la vente s’efforcent d’aménager avec soin notre « libre circulation » dans l’espace des marchés.

Chaire Diversité & Performance « La diversité face à la crise »

« La diversité face à la crise » : effet de mode ou vision stratégique ?

 

Mardi 26 mai 2009 à 18h30, Salons Drouot-Montaigne*

 

Dans une économie globale marquée par la crise, la compétition accrue entre entreprises, la société d’information et
des exigences fortes en termes d’équité de la part des consommateurs, les politiques de diversité permettent elles aux entreprises de conquérir et maintenir un avantage concurrentiel sur leurs
marchés ?

 

Interviendront lors de cette conférence :

Yazid Sabeg Commissaire à la Diversité et à l’égalité des chances,

Laurent Bibard Directeur de l’ESSEC et du pôle MBA,

Stephan Gröschl Professeur chaire Diversité & Performance – ESSEC,

Alain Malka Directeur des ressources humaines – Air France,

Simon Nyeck Professeur chaire Diversité & Performance – ESSEC,

Junko Takagi Professeur chaire Diversité & Performance – ESSEC,

Amadou Raimi Président du conseil d’administration – Deloitte,

Pierre Tapie Directeur général du Groupe ESSEC,

Vincent Warnery Directeur général France – L’Oréal Paris.

 

Les débats seront animés par Ali Laïdi, co-fondateur du Club Averroes et journaliste sur France 24 spécialisé
en intelligence économique.

 

Agenda

18h30 – 19h00

• Accueil – Introduction de Pierre Tapie

19h00 – 19h15

• Intervention de Yazid Sabeg

19h15 – 19h45

• Table ronde : La Diversité face à la crise

19h45 – 20h05

• Table ronde : Les travaux de la chaire Diversité & Performance

20h05 – 20h20

• Questions / Réponses

20h20 – 20h30

• Conclusion de Laurent Bibard

20h30 – 22h30

• Cocktail

 

* Salons Drouot-Montaigne 15 avenue Montaigne 75008 Paris

Possibilité d’accès pour les personnes à mobilité réduite

Métro ligne 1 : Franklin Roosevelt (nombre de places limité).

Grand emprunt : quel pilotage et impact sur la croissance ?

ATELIER EXCEPTIONNEL DE DEBUT D’ANNEE au CAPE (Grand Palais) le vendredi 29 janvier 2010 sur le thème : « Grand emprunt : quel pilotage et impact sur la croissance ? »

22 milliards seront levés en 2010 sur les marchés financiers, sur les 35 milliards d’euros du grand emprunt destiné à l’innovation, la recherche et la formation. Comment assurer le pilotage de ces dépenses ? Quelles procédures d’évaluation mettre en place ?

Intervenants :

Benoît COEURE
directeur général adjoint DGTPE
commission Juppé/Rocard

et

Philippe BOUYOUX
IGF – Rapporteur

Animé par
Françoise CROUIGNEAU
Chroniques La Tribune – Présidente de l’AJEF

de 13h30 à 15h00  au CAPE

Centre d’accueil de la Presse étrangère – Grand Palais

CAPE – Perron Alexandre III – Entrée Cours la Reine – 75008 Paris

Pratiques managériales en France XIX-XX siècle

Le Ministère de la recherche finance partiellement, pour la période 2006-2009, le programme pluriannuel de formation sur « l’histoire de la pensée et des pratiques managériales en France XIX-XX siècle ».
Le groupe de pilotage composé de Albert David (ENS Cachan, albert.david@mlab.ens-cachan.fr), Gilles Garel (Marne-la-Vallée, garel@univ-mlv.fr ), Eric Godelier (Polytechnique, eric.godelier@polytechnique.edu ), Muriel Le Roux (IHMC-CNRS-ENS, Muriel.Le.Roux@ens.fr ) et Anne Pezet (université Paris-Dauphine, pezet@crefige.dauphine.fr ) a lancé officiellement le programme par une première réunion du comité scientifique le vendredi 30 juin dernier. Il a été décidé à cette occasion qu’une journée d’étude aurait lieu au début de l’année 2007.
A cet effet, ce comité souhaiterait que toutes les personnes (collègues, jeunes chercheurs, doctorants), intéressées par ces problématiques soumettent un bref projet (une page et un mini CV) à envoyer avant le 31 janvier 2007 au comité de pilotge (voir à ce sujet le site du PPF : http://www.univ-mlv.fr/PPF-HPP-manageriales).
Dans un premier temps, il s’agit de recenser les personnes et les idées répondant à ces préoccupations. Deux langues de communication sont retenues : le français et l’anglais ; la priorité est accordée aux travaux originaux. L’issue envisagée est une publication et un colloque à l’horizon 2008-2009. L’idée étant que la journée d’études du 9 mars prochain marque le début pour les participants retenus d’une réflexion qui conduira à la remise d’un texte fin 2008 – début 2009. Sont acceptés tous types de propositions émanant des différentes disciplines des SHS, tout comme les études portant sur des cas étrangers s’ils ont un lien avec la France.
Un site Web hébergé à Marne-La-Vallée a été élaboré et mis en service. Ce site sert de pôle d’information et de lieu de convergence des papiers et contacts divers. http://www.univ-mlv.fr/PPF-HPP-manageriales

Responsabilité Sociale et Environnementale

Mettre en oeuvre une politique de Responsabilité Sociale et Environnementale en entreprise : Freins, leviers et bonnes pratiques

Premier du genre, Le livre blanc SENSE dresse un panorama complet et opérationnel des freins, des leviers et des bonnes pratiques pour la mise en œuvre de politiques de RSE ou de Développement Durable dans les entreprises en France depuis quatre ans. L’état des lieux a été réalisé au cours du premier semestre 2008 par entretiens face à
face approfondis avec 50 Dirigeants, Directeurs du développement Durable d’entreprises du secteur privé, et personnalités qualifiées qui se sont exprimées sur leurs expériences opérationnelles et
sur les enseignements qu’ils en ont tirés.

Ce livre blanc est destiné aux Dirigeants d’entreprises, Directeurs du Développement Durable, Managers et Chefs de Projets en charge des programmes de Responsabilité Sociale d’Entreprise.

e-Performance Barometer évalue les meilleurs sites de vente de vin sur internet

Selon les résultats de la 4e édition de l’e-Performance Barometer, étude réalisée par Grégory Bressolles, Professeur de marketing à BEM-KEDGE Business School, le classement des meilleurs sites de vente de vin en France et dans le monde vient d’être bouleversé. Cette étude indépendante dévoile également la stratégie des acteurs et l’évolution du marché de la vente de vin sur Internet.

Le chinois Yesmywine.com détrône l’américain Wine.com
Cette année le site chinois Yesmywine.com détrône en effet l’américain Wine.com de son titre de leader international qu’il occupait en 2007, 2009 et 2011. Le site français Vente-privee.com fait son apparition sur la seconde marche du podium international et s’empare dans le même temps de la 1re place du classement français. En 3e position, c’est le site chinois Jiuxian.com qui fait son entrée. Dans le palmarès français, Vinatis.com chute d’une place par rapport à 2009 et se retrouve 2e devant Mondovino.com à la 3e place.

Renseignements sur l’étude :
Grégory Bressolles, Tél. 06.19.56.01.92

www.ePerformance-Barometer.com

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Etude Afnor : les normes volontaires sont des leviers économiques

La normalisation contribue à 25 % de la croissance du PIB et 66 % des 1790 entreprises interrogées considèrent les normes comme génératrices de bénéfices. Elles ont un impact positif sur la
valorisation de l’entreprise, l’innovation, la transparence et l’éthique, le développement à l’international, la qualité et sécurité des produits et services.

 

Pour la première fois en France, à l’instar d’autres pays notamment européens, une étude constate la contribution de la normalisation à la croissance économique française. En moyenne annuelle,
cette contribution est de 0,81%, soit près de 25% de la croissance du PIB représentant plus de 5 milliards d’Euros. Ce chiffre rejoint celui d’autres pays leaders en technologie comme l’Allemagne
(1% du PIB) ou le Royaume-Uni. Dans une économie mûre comme celle de la France, dont la principale source de croissance est le progrès technologique, les normes permettent de partager
l’innovation tout en faisant évoluer les bonnes pratiques générales du marché.

 

Cette étude, et c’est là toute son originalité, a été complétée par une enquête auprès de 1790 entreprises, de tous secteurs et toutes tailles confondus, engagées ou non dans des processus de
normalisation.

Les résultats balaient de nombreuses idées reçues. L’impact de la normalisation est clairement perçu comme un bénéfice. 5 grandes tendances apparaissent :

 

Valorisation : 70 % des entreprises interrogées considèrent que les normes volontaires contribuent à la valorisation de l’entreprise. Le capital de connaissances des personnes impliquées
dans un travail de normalisation représente une vraie valeur.

Innovation : 63 % pensent que la normalisation permet de mieux partager l’innovation et de mieux différencier les produits.

Transparence et éthique : 61 % considèrent que les normes favorisent le respect des règles concurrentielles et 56% approuvent leur caractère volontaire.

International : pour 70 % des personnes interrogées, les normes qui sont à 90% d’origine internationales représentent un réel avantage dans le développement des échanges internationaux.

Qualité des produits et services : 74% des entreprises interrogées constatent que les normes permettent une plus grande maîtrise des problèmes de sécurité et 79% qu’elles contribuent au
respect de la réglementation.

 

Qu’est-ce qu’une norme ?

Une norme est un document de référence approuvé par un institut de normalisation reconnu tel qu’Afnor. Elle définit des caractéristiques et des règles volontaires applicables aux activités
concernées pour apporter aux utilisateurs un niveau de satisfaction optimal. Elle est le résultat du consensus entre l’ensemble des acteurs intervenant dans cette activité.

A Afnor, 20 000 experts représentant l’ensemble des secteurs et des branches de l’activité économique contribuent à l’élaboration des normes.

 

A quoi sert une norme ?

Les normes facilitent les échanges commerciaux, au service des acteurs économiques – producteurs, utilisateurs et consommateurs, elles contribuent à améliorer le fonctionnement de l’économie et à
faciliter la vie quotidienne de chacun.

Elles définissent un langage commun et spécifient les performances des produits et services permettant d’assurer compatibilité, qualité, sécurité, moindre impact environnemental.

 

Ces normes françaises (NF), européennes (EN) et internationales (ISO) couvrent toutes les activités économiques et répondent aux questions de société. Elles peuvent porter aussi bien sur des
produits (biens de consommation, équipements industriels, produits de construction…), services (par exemple : les services de séjours linguistiques), procédés, bonnes pratiques, méthodes de
mesure et d’essais, systèmes d’organisation (par exemple l’ISO 9001 sur la qualité des systèmes de management).

Actuellement, l’ISO (Organisme international de normalisation) se penche sur la question de la responsabilité sociétale. Cette future norme, l’ISO 26000, a pour objectif de définir et de
clarifier ce concept afin de le rendre applicable à tout type d’organisation. Elle sera publiée en septembre 2010.

 

L’étude est disponible sur le portail du Groupe AFNOR : étude normes

 

Groupe Afnor

Rapport Glachant : Investissements et investisseurs de long terme

Rapport de Jérôme Glachant, Jean-Hervé Lorenzi, Alain Quinet et Philippe Trainar à paraître à la Documentation
française

 

La crise mondiale et celle, plus récente, dans la zone euro ont eu tendance à raccourcir l’horizon prévisionnel et
décisionnel de nombreux agents économiques. Dans le même temps, les incertitudes (sur l’emploi, les retraites…) poussent plutôt à la remontée du taux d’épargne des ménages. Le problème de
l’épargne dans la plupart des pays européens, y compris la France, est donc moins quantitatif que qualitatif. Il s’agit d’attirer une fraction accrue de l’épargne privée vers les
investissements de long terme, afin de doper la croissance et l’emploi. L’orientation d’une épargne « longue » abondante vers des investissements rentables tant économiquement que
socialement est l’enjeu crucial des dix années à venir pour créer les emplois et l’activité. Pour les auteurs, la France, à l’instar des autres pays industrialisés, doit favoriser l’émergence
d’investisseurs de long terme en capacité de porter le risque long. Le rapport fournit dix propositions pour y parvenir. Elles concernent la constitution et la mobilisation de l’épargne longue
ainsi que la création de véhicules d’investissement long associant public et privé.

Ce rapport a été présenté à Jean-Paul Faugère, Directeur du Cabinet du Premier ministre, le 27 mai 2010.

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