Appel POUR UN NUMERO THEMATIQUE DE LA REVUE TRAVAIL ET EMPLOI

APPEL A CONTRIBUTIONS

 

Diriger une PME

Soucieux de favoriser l’emploi, les pouvoirs publics élaborent et mettent en oeuvre des politiques de
soutien à la création et au développement des PME. A côté de ces politiques qui influencent l’activité des PME, le management, c’est-à-dire l’organisation et la conduite des activités, reste
essentiel dans l’élaboration et à la mise en oeuvre de la stratégie. Ce management a-t-il des caractéristiques spécifiques ? C’est ce que ce numéro spécial se propose d’examiner en centrant
l’attention sur l’activité et les propriétés des dirigeants.

Par-delà leur identification convenue aux entrepreneurs, il s’agit d’examiner dans leur variété les
rôles et les activités des dirigeants de PME, mais aussi de s’interroger sur leurs parcours et leurs propriétés sociales et professionnelles. Sont indiqués ci-dessous des thèmes et questions que
pourront aborder les contributions au numéro spécial. Si des travaux de sciences de gestion sont attendus sur un tel sujet, les contributions provenant d’autres sciences sociales du travail
(sociologie, histoire, économie, droit) seront les bienvenues.

 

Les dirigeants de PME

Les origines et les trajectoires professionnelles des dirigeants de PME ne sont pas homogènes. En
outre, il pourrait y avoir une évolution du / des profil(s) des dirigeants de PME, que ce soit sur la longue période historique ou sur les dernières décennies. Dans quelle mesure, cette évolution
supposée

des origines et des trajectoires individuelles s’est-elle accompagnée, du point de vue collectif,
d’une évolution du syndicalisme patronal et des organisations professionnelles, nationales et locales, des dirigeants de PME. Le statut juridique du dirigeant de PME, les rapports à ce statut et
les arbitrages auxquels il conduit pourront par ailleurs être examinés.

 

Le management des PME

Le / la dirigeant(e) de la PME tient une place centrale dans le management de celle-ci. La proximité
que la taille de l’entreprise lui permet d’avoir avec son personnel, ou encore la place que peut tenir l’informel quand l’effectif est relativement peu nombreux, invite à s’interroger sur la
gestion des ressources humaines qui y est pratiquée. On pourra notamment se demander si ces modes de gestion comportent, ou non, des spécificités, par exemple dans le rapport au droit du travail
?

Du point de vue externe, l’inscription dans des groupes ou chaînes de valeur et les relations avec des acteurs institutionnels, politiques ou de la société civile
(pouvoirs publics, syndicats de salariés, associations, etc.) sont une dimension importante de l’activité du / de la dirigeant(e). La variété et la complexité de ces activités conduit à se poser
la question des conditions de travail des dirigeants (rémunération, durée du travail) et à s’intéresser à l’accompagnement des dirigeants de PME sous ses différentes formes : recours à des
conseils, soutiens publics et privés… Enfin, une préoccupation spécifique aux dirigeants de PME, celle de la reprise et de la transmission des entreprises mériterait d’être examinée.

Les articles doivent permettre de rendre compte de la variété de l’univers des dirigeants de PME.
Peut-on dégager des spécificités en rapport avec certains éléments de contexte : âge de l’entreprise, bassin d’implantation, secteur d’activité, degré d’équipement technologique, génération du
dirigeant, etc.

 

Modalités de réponse

Les contributeurs sont invités dans un premier temps à proposer une intention
d’article
de 5 000 à 7 000 signes environ (trois à quatre pages), présentant clairement la question de recherche étudiée, les matériaux utilisés, outils d’analyse mobilisés et résultats
attendus. L’appel est bien sûr ouvert aux propositions issues de l’association d’équipes travaillant à partir de méthodes quantitatives et / ou qualitatives. Il est aussi ouvert à des enquêtes
sur des pays étrangers, pour saisir les éventuelles spécificités nationales de ces problématiques.

Ces intentions sont à envoyer par courriel, en pièce jointe, à la rédaction de la revue


travail.emploi@dares.travail.gouv.fr

et, en copie, à

eric.pezet@u-paris10.fr
,

thomas.amosse@ceerecherche.fr

pour le 20 juin 2011 au plus tard
.
Les auteurs dont les projets seront susceptibles de s’intégrer dans ce dossier thématique devront ensuite envoyer leur article complet pour le 1
er

décembre 2011
.

SEPTIEMES RENCONTRES INTERNATIONALES DE LA DIVERSITE

Les 7e rencontres internationales de la diversité se réuniront sur le thème «Diversité(s) : approches internationales » à CORTE les
29 et 30 septembre 2011.

AGRH – AFMD – ADERSE – IAS – ANDRH

Le management de la diversité est devenu dans tous les pays un défi à relever par les entreprises et les organisations à des degrés divers. Au niveau international, les entreprises et organisations, sensibilisées aux enjeux croissants de la diversité, prennent des engagements, négocient des accords, recherchent des labels, définissent et mettent en œuvre des politiques et des pratiques de management de la diversité, d’égalité des chances et de lutte contre les discriminations.

Les septièmes Rencontres Internationales de la Diversité permettront de mesurer les progrès et de connaître les meilleures politiques et pratiques, les grappes de bonnes pratiques et les innovations actuelles dans ce domaine en Europe et dans le monde.

Les communications retenues pourront s’inscrire dans l’un des axes suivants :

  • Les diverses sources de diversité à travers le monde
  • Reconnaître la diversité dans les différents contextes
  • Mesure, indicateurs, tableaux de bord et reporting « diversité »
  • Les « bonnes pratiques diversité » à travers le monde
  • Les effets des actions diversité sur l’implication des salariés
  • Les progrès réalisés par les politiques de gestion de la diversité
  • La diversité des clients et de leurs attentes
  • Les attentes des parties prenantes en matière de diversité
  • Les approches internationales de recrutement sans discrimination
  • Diversité et réseaux sociaux

Les communications pourront également porter sur tous les aspects de la diversité permettant d’élargir le champ des réflexions au niveau international :

  • Les conditions de travail au service de la ou les diversité(s)
  • La politique de formation au service de la diversité
  • La capitalisation des savoir faire en matière de gestion de la diversité
  • L’évaluation des structures et des actions mises en œuvre dans les entreprises
  • Une sélection de communications sera publiée dans un numéro spécial de la revue « Management & Avenir ».

Calendrier

Remise du texte pour examen par le comité scientifique (entre 8 et 12 pages, bibliographie et notes incluses) : 15 juin 2011

Contacts (envoi de tous les documents aux contacts suivants) :

asso.diversite@hotmail.fr ; peretti@univ-corse.fr ; frimousse@univ-corse.fr ; terramorsi@univ-corse.fr

Normes de présentation

Le texte sera dactylographié sur PC, logiciel Word, caractères Times New Roman 12, format A4, marges de 2,5cm, interligne simple.

Médias 011 : Y a-t-il une Richesse des Réseaux ?

Appel à communication en ligne sur le site du colloque : www.medias011.univ-cezanne.fr
Aix en Provence les 8 et 9 décembre 2011.

Quels journalismes ?

Quelle sociologie des réseaux ?

Quelles solutions juridiques ?

Quels marketings et managements alternatifs ?

Quelles innovations technologiques ?

 

Les réseaux sont désormais au cœur de nos modes de communications Derrière leur fulgurance et leur prédominance,
qu’y a-t- il réellement ? Transforment-ils nos sociétés ? Modifient-ils notre manière de nous informer ? Nous ‘rendent-ils idiots’ ? Fragilisent-ils nos droits ? Ces interrogations ont pour objet
de réunir des réponses venant d’univers scientifiques variés réunissant les sciences de l’information et de la communication, la sociologie, le droit, l’économie, la gestion et le management, les
sciences entre autres…

Une étude récente menée par l’Université de Colombie Britannique montre que les réseaux sociaux sont de plus en plus
utilisés pour s’informer. 61% des moins de 34 ans considèrent que les médias sociaux sont aussi importants que ceux en ligne ou en version papier. La curation sociale utilisant des sites comme
Paper.li1 ou Scoop.it, dernière tendance du web, semble annoncer une réappropriation du web par les internautes à l’opposé du tri effectué par des robots. Facebook compte plus de 600 millions de
comptes alimentés par plus de 700 millions de minutes de connexion, tandis que 600 millions de Smartphones seront vendus en 2011. Nous sommes de plus en plus nombreux à informer notre communauté
en temps réel de nos faits et gestes. Nous partageons notre vie et réclamons parfois ensuite le droit à ‘l’oubli’. Nous achetons en prenant conseil dans notre réseau. Le f-commerce devient
shopping collaboratif. Les changements ne touchent pas que les pratiques, ils touchent aussi les produits. Le Cabinet Deloitte, dans son étude annuelle, montre que fin 2011, plus de 50% du
matériel informatique seront des Smartphones et des tablettes numériques. Les changements impliquent des choix technologiques par exemple entre la 3,5 ou la 4G (LTE) pour les
opérateurs. 

Si les réseaux sociaux devraient franchir fin 2011 le cap du milliard de visiteurs uniques, les recettes
publicitaires qui leur sont directement liées resteraient modestes, environ 4 dollars par visiteur soit, en cumulé, moins de 1% du total des dépenses publicitaires mondiales2. Chiffres
impressionnants mais modèle économique fragile. Les réseaux sociaux constituent de nouveaux marchés où le marketing utilise des méthodes nouvelles et créatives (marketing affinitaire, marketing
viral, hyperciblage, géomarketing, création de blogs ou de pages Facebook, Facebook deals3 ou encore la toute nouvelle monnaie virtuelle de Facebook4). Ces marketings alternatifs, soulèvent de
nombreuses questions : efficacité des moyens, contraintes juridiques, gestion de la e-réputation, contrôle de l’image de la marque, utilisation des médias sociaux, community management…

Nous espérons des travaux de recherche interdisciplinaires sur les thèmes suivants :

  • Les modes de production et de diffusion de l’information dans les réseaux sociaux
  • Les modèles de communication des réseaux socionumériques qui font l’équilibre entre SIC et STIC.
  • Le métier de journaliste face aux réseaux sociaux
  • Les nouveaux comportements des lecteurs d’information
  • L’innovation informationnelle dans les réseaux sociaux
  • La curation sociale
  • Les frontières poreuses entre identités professionnelles
  • Vers une nouvelle sociologie des médias ?
  • Comparaisons internationales portant sur les médias
  • Le droit de l’individu au sein d’une communauté numérique
  • Le droit à l’oubli
  • Le droit de l’économie numérique
  • Le droit de la communication numérique
  • Les enjeux de la communication numérique
  • Les métiers et les compétences de la communication numérique
  • Les processus créatifs mobilisés au sein des nouveaux marketings
  • La gestion de la relation client au sein des réseaux sociaux
  • La gestion de son e-réputation
  • La défense juridique de le-réputation
  • L’intelligence des foules ?
  • Etc.

L’originalité de ce colloque est d’être interdisciplinaire et porté par trois laboratoires de l’Université Paul
Cézanne : le CERGAM (Centre de recherche en Gestion d’Aix Marseille), le LID2MS (Laboratoire interdisciplinaire de droit des médias et des mutations sociales) et le LSIS (Laboratoire des Sciences
de l’Information et des Systèmes). Il a pour ambition de faire se rencontrer des chercheurs de disciplines académiques travaillant sur des objets communs mais de manière souvent isolée. Ce
colloque souhaite fournir l’occasion de rencontres interdisciplinaires afin de croiser des méthodes et des regards scientifiques différents. Ce colloque souhaite rassembler, entre autres, les
disciplines suivantes : droit, économie, management, socio-économie, sciences et technologies, sciences de l’information et de la communication (info-com), sociologie, philosophie…

Les contributions théoriques ou empiriques sont les bienvenues.

 

  1. Paper.li, est une startup suisse qui développe un outil vous permettant de fabriquer votre propre journal (ou
    suivre celui des autres) basé sur les liens, articles de blog, vidéos et photos postés sur Twitter et Facebook.
  2. Ces tendances mondiales sont annoncées par Deloitte dans son étude annuelle «Technology, Media &
    Telecommunications Predictions», présentée le 4 février 2011.
  3. Facebook deals = de manière instantanée, le client reçoit des ‘bons plans’ proposé par le magasin dans lequel il
    entre.
  4. Lancement prévu le 1er juillet 2011 de la monnaie virtuelle ‘Facebook credits’. Principe : un achat en ligne donne
    droit à un crédit Facebook qui peut être utilisé pour régler en autre achat ou jouer en ligne.

Réponse à l’appel à communication

  • Date limite de soumission des résumés : 10 juin 2011.

Les organisateurs souhaitent recevoir des résumés de proposition n’excédant pas 6000 caractères ainsi que les
principaux éléments de bibliographie (sans limite de caractères). Les résumés peuvent être rédigés en anglais ou en français.

Les résumés et les éléments de bibliographie doivent être mis en ligne via un formulaire directement sur le site du
colloque

Les auteurs des résumés retenus par le comité scientifique après un processus de double lecture en aveugle seront
informés le 15 juillet 2011.

  • La date limite pour les papiers complets est le 19 septembre 2011

Les articles peuvent être rédigés en anglais ou en français.

Voir
toutes les conditions sur http://www.medias011.univ-cezanne.fr/index.php?id=5867

Appel à Com de l’ESCT sur le thème BANQUE FINANCE ET RISQUES

Appel à Communications

L’Ecole Supérieure de Commerce de Tunis

organise sa 1re Conférence
Internationale

BANQUE FINANCE ET RISQUES

Sous le thème
:

STABILITE FINANCIÈRE ET DÉVELOPPEMENT

 

Jeudi 13 octobre 2011

En collaboration avec :

L’Université de Manouba, l’Ecole Doctorale ECOFIGES(ESC Tunis) et l’Unité de Recherche ECOFI

(IHEC Carthage).

Après la première journée sur la finance islamique-avril 2010, l’ESCT se propose de réunir à nouveau
les universitaires, les chercheurs et les professionnels intéressés par les domaines de la banque, la finance et la gestion des risques. Cette première conférence constitue un forum d’échanges
privilégiés de connaissance entre tous les acteurs concernés.

 

Soumission

Tous les papiers soumis sont évalués par les membres du comité scientifique et acceptés sur la base de
leur clarté, leur originalité et leur contribution scientifique. Les soumissions d’articles originaux pourront porter sur les domaines suivants (proposition) :

– Banques et réglementation prudentielle

– Assurances et Solvency II

– Economie et finance islamique

– Marchés financiers, fonds d’investissement et régulation

– Développement financier et développement régional

Les propositions de communication doivent être envoyées par courrier électronique à l’adresse suivante
:
2011bfr@gmail.com. Ne
seront examinées que les propositions comportant un papier intégral.

 

Dates à retenir

· Date limite d’envoi des communications : 31 juillet 2011

· Date de notification aux auteurs : 31 août 2011

· Date limite d’inscription : 15 septembre 2011

· Date de la conférence : 13octobre 2011

 

Indications aux auteurs :

Les textes des communications acceptées devront répondre aux critères suivants :

· 20 pages au maximum (y compris les figures, tableaux et la bibliographie).

· Police de caractère : Times New Roman.

· Taille de caractère : 12.

· Interligne : simple.

· Une seule ligne entre chaque paragraphe.

· La première page comportera le titre de l’article, le nom des auteurs, leur affiliation et adresse
ainsi qu’un résumé de 150 mots maximum.

· Les langues officielles de la conférence sont le français et l’anglais.

· Les textes des communications doivent être envoyés en format word ou en pdf.

 

Publication

Les articles seront publiés dans les actes de la conférence BFR 2011 et seront diffusés sur le site web
de la

conférence. Il est prévu de sélectionner les meilleurs pour un numéro de la « Revue Tunisienne
d’Economie »

et la Revue « Techniques Financières et Développement ».

 

Comité d’organisation

Mr. Hafedh BEN ABDENNEBI                               
Mme. Fatma ABASSI

Mr. Hichem HAMZA                               
Mr. Sami MENSI

Mme. Sana GUERMAZI-BOUASSIDA                               
Mme. Dorra BERRAIES

Mr. Zied SAADAOUI                               
Mme. Fatma BRAHEM

 

Comité Scientifique

Mr. Jamel Eddine CHICHTI                               
Mr. Hafedh BEN ABDENNEBI

Mr. Hatem SALAH                               
Mr. Maher GASSAB

Mr. Riadh EL FERKTAJI                               
Mr. Dhafer SAIDANE

Mme. Samira CHAKER                               
Mr. Skander OUNAIES

Mme. Amel ZNAIEDI                               
Mr. Abderrazak ZOUARI

Mr. Hamadi FEHRI                               
Mr. Chokri MAMOGHLI

Mr. Zouheir BEN KHELIFA

 

Pour Information et Inscription :

Tél. : (+216) 71 600 615 – Fax. : (+216) 71 601 311

Email : 2011bfr@gmail.com

Site web : www.esct.rnu.tn

Appel à communications : Séminaire Francophone du GEAP

Date limite – 20 Mai 2011 – Upcoming Deadline

Appel à communications : Séminaire
Francophone du GEAP

« Pour des réformes viables en
période de crise »

Madame, Monsieur, chers collègues,

A l’occasion de sa 33e conférence annuelle (Bucarest 7-10 Septembre 2011), le Groupe Européen pour l’Administration Publique (GEAP) a acté la mise en place d’un séminaire francophone, espace privilégié de rencontres et de débats pour les chercheurs et praticiens francophones des sciences administratives, mais aussi de fructueux échanges avec la grande communauté du GEAP.

Nous avons le plaisir de vous inviter à cette manifestation qui sera consacrée aux défis et enjeux des « Réformes Viables en Période de Crise ». Vos travaux en français, anglais et roumain, bénéficieront de facilités de traduction et de la présence d’animateurs maîtrisant les trois langues.

Vous pourrez nous envoyer votre proposition de communication (résumé de deux pages) dans la langue de votre choix jusqu’au 20 Mai 2011.

Le Séminaire sera également ouvert à ceux et celles qui souhaitent simplement participer aux débats.

Dans l’attente de vous accueillir à Bucarest,

Bien cordialement,

Le Comité Scientifique du Séminaire

Jean-Loup CHAPPELET, professeur,
IDHEAP, Lausanne, Suisse.

Anne DRUMAUX, professeur, Université
Libre de Bruxelles, Belgique.

• Yves EMERY, professeur, Institut de Hautes Etudes en Administration Publique, Lausanne, Suisse.

• Rémi FABBRI, chargé de mission Secteur Public, Centre de Recherche Public Henri Tudor, Luxembourg.

Robert FOUCHET, professeur,
Université Paul Cézanne Aix-Marseille III, Aix-en-Provence, France.

Calin HINTEA, professeur, Université
Babes-Bolyai, Cluj-Napoca, Roumanie.

Ani MATEI, professeur, Ecole
Nationale des Etudes Politiques et Administratives, Bucarest, Roumanie.

Bachir MAZOUZ, professeur, ENAP,
Québec, Canada.

Marius PROFIROIU, professeur,
Académie d’Etudes Economiques, Bucarest, Roumanie.

Emil TURC, Maître de Conférences,
Université Paul Cézanne Aix-Marseille III, Institut de Management Public et Gouvernance Territoriale, Aix-en-Provence, France.

APPELS A CONTRIBUTIONS POUR UN N° DE LA REVUE TRAVAIL ET EMPLOI

APPEL A CONTRIBUTIONS OUVERT

Diriger une PME

22 avril 2011

 

Soucieux de favoriser l’emploi, les pouvoirs publics élaborent et mettent en oeuvre des politiques de soutien à la création et au développement
des PME. A côté de ces politiques qui influencent l’activité des PME, le management, c’est-à-dire l’organisation et la conduite des activités, reste essentiel dans l’élaboration et à la mise en
oeuvre de la stratégie. Ce management a-t-il des caractéristiques spécifiques ? C’est ce que ce numéro spécial se propose d’examiner en centrant l’attention sur l’activité et les  propriétés des dirigeants.

Par-delà leur identification convenue aux entrepreneurs, il s’agit d’examiner dans leur variété les rôles et les activités des dirigeants de
PME, mais aussi de s’interroger sur leurs parcours et leurs propriétés sociales et professionnelles. Sont indiqués ci-dessous des thèmes et questions que pourront aborder les contributions au
numéro spécial. Si des travaux de sciences de  gestion sont attendus sur un tel sujet, les contributions provenant d’autres sciences sociales du
travail (sociologie, histoire, économie, droit) seront les bienvenues.

 

Les dirigeants de PME

Les origines et les trajectoires professionnelles des dirigeants de PME ne sont pas homogènes. En outre, il pourrait y avoir une évolution du /
des profil(s) des dirigeants de PME, que ce soit sur la longue période historique ou sur les dernières décennies.

Dans quelle mesure, cette évolution supposée des origines et des trajectoires individuelles s’est-elle accompagnée, du point de vue collectif,
d’une évolution du syndicalisme patronal et des organisations professionnelles, nationales et locales, des dirigeants de PME. Le statut juridique du dirigeant de PME, les rapports à ce statut et
les arbitrages auxquels il conduit pourront par ailleurs être examinés.

 

Le management des PME

Le / la dirigeant(e) de la PME tient une place centrale dans le management de celle-ci. La proximité que la taille de l’entreprise lui permet
d’avoir avec son personnel, ou encore la place que peut tenir l’informel quand l’effectif est relativement peu nombreux, invite à s’interroger sur la gestion des ressources humaines qui y est
pratiquée. On pourra notamment se demander si ces modes de gestion comportent, ou non, des spécificités, par exemple dans le rapport au droit du travail ?

Du point de vue externe, l’inscription dans des groupes ou chaînes de valeur et les relations avec des acteurs institutionnels, politiques ou de
la société civile (pouvoirs publics, syndicats de salariés, associations, etc.) sont une dimension importante de l’activité du / de la dirigeant(e). La variété et la complexité de ces activités
conduit à se poser la question des conditions de travail des dirigeants (rémunération, durée du travail) et à s’intéresser à l’accompagnement des dirigeants de PME sous ses différentes formes :
recours à des conseils, soutiens publics et privés… Enfin, une préoccupation spécifique aux dirigeants de PME, celle de la reprise et de la transmission des entreprises mériterait d’être
examinée.

Les articles doivent permettre de rendre compte de la variété de l’univers des dirigeants de PME. Peut-on dégager des spécificités en rapport
avec certains éléments de contexte : âge de l’entreprise, bassin d’implantation, secteur d’activité, degré d’équipement technologique, génération du dirigeant, etc.

 

Modalités de réponse

Les contributeurs sont invités dans un premier temps à proposer une intention d’article de 5 000 à 7 000 signes environ (trois
à quatre pages), présentant clairement la question de recherche étudiée, les matériaux utilisés, outils d’analyse mobilisés et résultats attendus. L’appel est bien sûr ouvert aux propositions
issues de l’association d’équipes travaillant à partir de méthodes quantitatives et / ou qualitatives. Il est aussi ouvert à des enquêtes sur des pays étrangers, pour saisir les éventuelles
spécificités nationales de ces problématiques.

Ces intentions sont à
envoyer par courriel, en pièce jointe, à la rédaction de la revue travail.emploi@dares.travail.gouv.fr et, en copie, à eric.pezet@u-paris10.fr, thomas.amosse@cee-recherche.fr pour le 20
juin 2011 au plus tard
. Les auteurs dont les projets seront susceptibles de s’intégrer dans ce dossier thématique devront ensuite envoyer leur article complet pour le
1er décembre 2011
.

APPEL de La revue Travail et Emploi sur le thème Diriger une PME

 

 

La revue Travail et Emploi lance un appel à contributions pour un numéro thématique sur “Diriger
une PME”, centré sur l’activité et les propriétés sociales des dirigeants, coordonné par Eric Pezet. Les propositions provenant de sociologie et d’histoire sont les bienvenues.

Les intentions d’article (5 à 7.000 signes environ) sont à envoyer pour le 20 juin 2011 au plus
tard, les auteurs sélectionnés devront ensuite renvoyer le projet d’article complet pour le 1er décembre 2011.

Merci de diffuser cet appel aux personnes susceptibles d’être intéressées,

Bien cordialement.

 

Odile Join-Lambert

Institut de Recherches Économiques et Sociales (IRES)

16 bd du mont d’Est

93192 Noisy-le-Grand

 

PS : la revue Travail et Emploi va être très bientôt accessible sur Cairn. Ses archives de 1979 à
2004 sont consultables grâce à un moteur de recherche permettant des recherches par mots-clés et/ou auteurs :


http://www.travail-emploi-sante.gouv.fr/publications/Revue_Travail-et-Emploi/index.htm

Première Rencontre Internationale Méditerranéenne

Appel à communication

Première Rencontre Internationale

Méditerranéenne : Nouveaux enjeux, nouvelles perspectives économiques et sociales des
pays

de la rive sud de la Méditerranée

29, 30 Septembre et 1er Octobre 2011 à Hammamet, Tunisie

www.rencontremed.com

 

Le laboratoire d’Economie et Finance Appliquée de l’IHEC Carthage (LEFA), le Centre d’Etudes en
Macroéconomie et Finance Internationale CEMAFI International et l’Université Centrale de Tunis (Ecole Centrale de Droit et Gestion) organisent la première Rencontre Internationale
Méditerranéenne: Nouveaux enjeux, nouvelles perspectives économiques et sociales pour les pays de la rive sud de la Méditerranée, les 29, 30 Septembre et 1er Octobre 2011 à Hammamet.

Ce colloque vise, d’une part, la formation théorique et méthodologique en sciences économiques et
sociales des jeunes chercheurs, d’autre part, la constitution d’un espace de rencontre scientifique, de rapprochements et d’échanges entre chercheurs des deux rives de la Méditerranée.

Le thème du colloque portera sur les enjeux, les perspectives économiques et sociales pour les pays du Sud de la Méditerranée dans le
contexte actuel des mouvements de révolte populaire et sociale. L’aspiration démocratique et la revendication de dignité des peuples du monde arabe ont été au cœur des révoltes ouvertes par
l’insurrection tunisienne. Or il est clair que la crise économique a été le facteur-clé du mouvement de révolte et de révolution dans le monde arabe. L’effondrement brutal des économies arabes
non rentières (puis, de celles rentières) dû à la crise, a-t-il brisé le pacte social tacite qui caractérisait la Tunisie, l’Egypte et la Libye, et qui est encore le modèle dominant d’autres
pays (Jordanie, Maroc, Syrie, pays du Golfe, etc.) ?

En Tunisie, comme dans la très grande majorité des pays, les causes fondamentales de ces changements
sont dues à l’impact de la crise économique mondiale et elles se manifestent, clairement, à travers un régime de croissance faible et instable, au détriment d’une répartition équitable des
revenus.

D’un autre côté, la progression de la pauvreté, une explosion sans précédent du nombre des chômeurs
et des personnes dépourvues de droits, la marginalisation et l’exclusion, ainsi que les disparités territoriales inter- et intra- régionales ont été les principaux facteurs à l’origine de la
chute de régimes politiquement obsolètes.

C’est la raison pour laquelle la réussite du processus espéré de « transition démocratique » exigera
des arrangements et des réformes institutionnelles qui permettent de déboucher sur une économie fondée sur la démocratie, la connaissance et l’innovation, qui favorise la
cohésion sociale et territoriale et qui soit durable du point de vue environnemental et social.

À l’heure où l’actualité politique dans les pays de la rive sud de la Méditerranée met en lumière de
puissantes dynamiques de changement et l’amorce de processus de démocratisation, ce Colloque vise à faire un état des lieux de la situation économique et sociale des pays de la Méditerranée et
à envisager les perspectives à court, moyen et long termes.

Le Colloque consacrera ses sessions à des questions-clés telles que le développement régional, le
développement durable et ses implications, les inégalités et la pauvreté, le marché du travail, la gouvernance, l’économie de la connaissance et les conditions d’une plus forte
productivité.

 



Thèmes :

Développement économique et disparités régionales

 Attractivité des territoires, localisation des activités.

 Développement et disparités territoriales inter et intra régionales.

 Politique publique de développement local et régional

 Politique d’attractivité territoriale et localisation des firmes

 Trajectoires spatiales et mobilité des firmes

Développement durable et développement régional

 Localisation des firmes et développement durable

 Gouvernance territoriale et développement durable

 Développement durable et attractivité des territoires

 Régulation environnementale et localisation des firmes

 Responsabilité sociale des entreprises

 Produits labellisés et économie verte

Inégalité, pauvreté et développement économique

 Analyse des causes et des manifestations de la pauvreté

 Etude des déterminants de la pauvreté et des inégalités

 La croissance pro-pauvre

 Politique économique et sociale de lutte contre la pauvreté et les inégalités.

Marché du travail

 Emploi et marché du travail

 Education, formation et insertion des diplômés

 Salaire et discrimination

 Micro crédit, entrepreneuriat, profession et entreprise

 Trajectoires migratoires

Economie de la connaissance et productivité

 Education, capital humain, productivité et compétitivité

 Innovation, activités de R&D et croissance

 Innovation et inégalités territoriales

 TIC et développement économique

 Innovation des firmes et structure du commerce extérieur

 Innovation et développement durable

Gouvernance et développement économique

 Institutions et croissance économique

 Climat des affaires et investissement privé

 Transition démocratique, démocratie politique et développement économique



 

Calendrier

10 juillet 2011

Date limite d’envoi des propositions de communications (titre,

auteurs avec institutions d’appartenance, e-mail – communication

complète) au site internet du colloque www. rencontremed.com

30 juillet 2011 Date d’envoi de la liste des propositions acceptées

20 septembre 2011 Date limite d’inscription au colloque

 

Comité Scientifique :

BERTHOMIEU Claude: Professeur, Université Nice Sophia Antipolis. GOAIED Mohamed:

Professeur IHEC Carthage (Directeur LEFA).

ALAYA Marouen : Maître assistant, ISAE Gafsa. AMIRAT Amina: Ecole Centrale de Gestion et de Droit. ATTIA
Nicole
: Maître de conférences, Université Nice Sophia Antipolis (Directrice CEMAFI). AYADI Mohamed :
Professeur, ISG Tunis. BALLET Jérôme : Professeur, Université de Versailles-Saint Quentin en Yvelines. Bazin DAMIEN : Maître de conférences, Université Nice
Sophia Antipolis. BEN AYED-MOUELHI Rym : Professeur, ISCAE Tunis. BEN AISSA Safouène : Maître de conférences, FSEG Tunis. BELKACEM Lotfi:
Professeur, IHEC Sousse. BELLONE Flora : Professeur, Université Nice Sophia Antipolis. BEN SLIMANE Sarra : Maitre Assistante, Université de Sousse. BEN
TAHAR Moez
: Université Nice Sophia Antipolis. BEN YOUSSEF Adel: Maître de conférences, Université Nice Sophia Antipolis. BERENGER Valérie : Maître de
conférences, Université Nice Sophia Antipolis. BORELLY Rolande : Professeur, Université Grenoble 2. BOULILA Ghazi : Professeur, ESSEC Tunis. CATIN
Maurice
: Professeur, Université de Toulon et du Var. BOUGHZALA Mongi: Professeur, FSEG Tunis. CHAKER-KRIAA Samira : Professeur, IHEC Carthage.
CHAFFAI Mohamed El Arbi: Professeur, FSEG Sfax. El MANSOURI Yassine : Ecole Centrale de Gestion et de Droit. ESSID Zied : Université Nice Sophia
Antipolis. FERRARI Sylvie: Maître de conférences, Université de Montesquieu-Bordeaux IV. GASPERINI Eric : Maitre de conférences, Université Nice Sophia
Antipolis. GHAZOUANI Samir : Professeur, ESSAIT Tunis. GUETAT Imen: Maitre Assistante, Université de Sousse. GUILHON Bernard : Professeur,
Université de la Méditerranée Aix-Marseille II. GUICHARD Jean-Paul : Professeur, Université Nice Sophia Antipolis. GOUIA Ridha : Professeur, Université Tunis El
Manar. HADDAR Mohamed : Professeur, Université Tunis El Manar (Président de l’Association des Economistes Tunisiens). HILMI Nathalie : Chargé d’étude, Centre
Scientifique de Monaco. LAHOUEL Mohamed Hédi : Chef Economiste, Dubai Economic Council. NANCY Gilles : Professeur, Université de la Méditerranée Aix-Marseille II
(Directeur DEFI). MANSOURI Fayçal : professeur, IHEC Sousse. MAROUANI Albert : Président de l’Université de Nice. MULLER Christophe :
Professeur, Université de la Méditerranée Aix-Marseille II. NASZÁLYI Philippe
: Directeur de la revue des sciences de gestion. SAFA Alain : Université de Nice Sophia
Antipolis. TICHIT Ariane : Maître de conférences, Université d’Auvergne. TRABELSI Jamel : Professeur, FSEG Sfax.

 

Comité d’Organisation :

El MANSOURI Yassine                               
BEN SLIMANE Sarra                               
BEN TAHAR Moez                               
AMIRAT Amina

elmansouri_yassine@yahoo.fr                               
Sarra.BEN-SLIMANE@univmed.fr                               

ben.tahar.moez@etu.unice.fr                               
amirat.amina@universitecentrale.net

 

Soumission des articles

Les propositions seront soumises sous format électronique via le site web du colloque
www.rencontremed.com jusqu’au 10 Juillet 2011. Les auteurs sont invités à soumettre leurs propositions sous forme d’article complet
(format PDF ou Word) en anglais et en français.

 

Valorisation du colloque

Après sélection des communications et procédure de referee, le colloque pourra donner lieu à
des publications dans des revues ou sous forme d’ouvrages

Revue Éthique et Economique – Revue Région et Développement – Revue Economie Appliquée Journal
of Economics and International Finance –


La Revue des Sciences de Gestion

Perspectives du mécénat pour la recherche et l’enseignement supérieur

2e COLLOQUE IFFRES

Perspectives du mécénat pour la recherche et l’enseignement supérieur en
France

6 et 7 octobre 2011 à Paris

Centre de Conférence Les Cordeliers de l’Université Pierre et Marie Curie

au cœur du Quartier Latin

Conférence plénière inaugurale présidée par

Michel Rocard

 

Notre ambition renouvelée : d’une part, de conduire une réflexion de fond sur le sujet, et d’autre
part, de favoriser des rencontres entre entreprises, fondations et mécènes avec le monde de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur.

Le colloque s’adresse

A tous les décideurs et opérationnels des entreprises, de la recherche et de l’enseignement supérieur,
des pouvoirs publics nationaux et territoriaux, et des fondations et associations qui, comme nous, placent le financement de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, qui
comporte une dimension stratégique et sociale, au cœur de leurs préoccupations.

 

Madame, Monsieur,

Le 1er colloque de l’IFFRES, organisé en novembre 2010, premier colloque français sur la
philanthropie et le mécénat des entreprises et des particuliers à destination de la recherche et de l’enseignement supérieur, nous a confirmé l’intérêt d’actions d’animation, de communication et
d’échange dans ce domaine.

Nous avons décidé de renouveler l’expérience en octobre 2011, fort de notre expérience acquise et
d’une compréhension plus complète des enjeux et des besoins.

L’ambition demeure : d’une part de conduire une réflexion de fond sur le sujet, et d’autre part de
favoriser des rencontres entre entreprises, fondations et mécènes avec le monde de la recherche et de l’enseignement supérieur.

Pour l’entreprise, ce colloque est une tribune pour présenter sa stratégie, son objectif, ses méthodes, son organisation et ses
résultats dans le domaine de la R&D et/ou de la formation permanente. C’est l’occasion pour des entreprises dynamiques et innovantes de promouvoir leur modèle, de contribuer à
l’identification des « Meilleures Pratiques », de construire les bases de leurs succès au cours de rencontres avec leurs homologues et avec leurs partenaires.

Pour le monde de la Recherche et l’Enseignement Supérieur, le colloque offre l’opportunité de dialoguer en direct avec le monde économique, de montrer comment des
acteurs représentatifs répondent aux défis de la mutation en cours et  comment ils mettent en place de nouvelles approches et de nouvelles stratégies,

Pour les Fondations et les associations actives pour la Recherche et l’Enseignement Supérieur, le colloque permet d’échanger sur des expériences innovantes de
partenariat Public/Privé, de témoigner de l’ambition, de valoriser des projets soutenus par du mécénat … et de trouver de nouveaux partenaires pour de nouveaux défis.

Pour le monde des Institutions Nationales, Régionales, Locales et de leurs Administrations
de tutelle,
le colloque est l’occasion de mieux faire comprendre leurs objectifs en
matière d’incitation à la coopération entre Monde Académique  et Entreprises et d’identifier les leviers d’action les plus efficaces.

Sur la base des témoignages concrets nous poursuivrons les échanges engagés en 2010 et débattrons
des perspectives du mécénat pour la Recherche et l’Enseignement Supérieur en France.

A la date du colloque, nous aurons une vision plus précise des effets réels tant du « plan Campus »
que du programme «Investissements d’Avenir », source de nouvelle opportunités mais alimentant l’impression du grand public et des donateurs industriels « que la Recherche et l’Enseignement
Supérieur Français sont riches… »

Ainsi, nous attendons des principaux débats et tables rondes :

·                     Que les entreprises présentent les axes d’évolution de leurs relations avec la Recherche et l’Enseignement
Supérieur, précisent quelle y est (ou sera) la place du mécénat et sous quelles conditions ;

·                     Que le monde de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur décrive son objectif concernant ses relations avec
les entreprises et nous précise ce qu’il est prêt à mettre en face des opportunités de mécénat.

Le colloque s’adresse aux décideurs des entreprises, des pouvoirs publics nationaux et territoriaux,
de la recherche, de l’enseignement supérieur et des fondations qui y sont dédiées ainsi qu’aux opérationnels, directeurs de la communication et de la recherche & développement des
entreprises, aux responsables de fondations et autres structures d’intérêt général, aux chercheurs et universitaires, et aux élus et agents des ministères et des collectivités locales.

Nous aurons plaisir à vous rencontrer et échanger avec vous.

Très cordialement

Max Anghilante
                                                       
Jean-Louis Lacombe

Président
IFFRES                                                       
Vice Président IFFRES

 

CONTACT

Max Anghilante

m.anghilante@iffres.comCette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript
pour la voir.


max.anghilante@fondadev.comCette adresse email est protégée
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Tél. : 06 63 47 06 26

L’Ecole Supérieure de Commerce de Tunis : BANQUE FINANCE ET RISQUES

Appel à Communications

 

L’Ecole Supérieure de Commerce de Tunis

organise sa 1re Conférence Internationale

BANQUE FINANCE ET RISQUES

Sous le thème :

STABILITE FINANCIÈRE ET DÉVELOPPEMENT

 

Jeudi 13 octobre 2011

 

En collaboration avec :

L’Université de Manouba, l’Ecole Doctorale ECOFIGES(ESC Tunis) et l’Unité de Recherche
ECOFI

(IHEC Carthage).

 

Après la première journée sur la finance islamique-avril 2010, l’ESCT se propose de réunir à nouveau
les universitaires, les chercheurs et les professionnels intéressés par les domaines de la banque, la finance et la gestion des risques. Cette première conférence constitue un forum d’échanges
privilégiés de connaissance entre tous les acteurs concernés.

 

Soumission

Tous les papiers soumis sont évalués par les membres du comité scientifique et acceptés sur la base de
leur clarté, leur originalité et leur contribution scientifique. Les soumissions d’articles originaux pourront porter sur les domaines suivants (proposition):

– Banques et réglementation prudentielle

– Assurances et Solvency II

– Economie et finance islamique

– Marchés financiers, fonds d’investissement et régulation

– Développement financier et développement régional

Les propositions de communication doivent être envoyées par courrier électronique à l’adresse suivante
:
2011bfr@gmail.com. Ne seront examinées que les propositions comportant un papier intégral.

 

Dates à retenir

· Date limite d’envoi des communications : 31 juillet 2011

· Date de notification aux auteurs : 31 août 2011

· Date limite d’inscription : 15 septembre 2011

· Date de la conférence : 13octobre 2011

 

Indications aux auteurs :

Les textes des communications acceptées devront répondre aux critères suivants :

· 20 pages au maximum (y compris les figures, tableaux et la bibliographie).

· Police de caractère : Times New Roman.

· Taille de caractère : 12.

· Interligne : simple.

· Une seule ligne entre chaque paragraphe.

· La première page comportera le titre de l’article, le nom des auteurs, leur affiliation et adresse
ainsi qu’un résumé de 150 mots maximum.

· Les langues officielles de la conférence sont le français et l’anglais.

· Les textes des communications doivent être envoyés en format word ou en pdf.

 

Publication

Les articles seront publiés dans les actes de la conférence BFR 2011 et seront diffusés sur le site
web de la

conférence. Il est prévu de sélectionner les meilleurs pour un numéro de la « Revue Tunisienne
d’Economie »

et la Revue « Techniques Financières et Développement ».

 

Comité d’organisation

Mr. Hafedh BEN ABDENNEBI             Mme. Fatma ABASSI

Mr. Hichem HAMZA                           Mr. Sami
MENSI

Mme. Sana GUERMAZI-BOUASSIDA Mme. Dorra BERRAIES

Mr. Zied SAADAOUI                           Mme. Fatma
BRAHEM

 

Comité Scientifique

Mr. Jamel Eddine CHICHTI                  Mr. Hafedh BEN ABDENNEBI

Mr. Hatem SALAH                             
Mr. Maher GASSAB

Mr. Riadh EL FERKTAJI.                     Mr. Dhafer SAIDANE

Mme. Samira CHAKER                       Mr. Skander OUNAIES

Mme. Amel ZNAIEDI                           Mr.
Abderrazak ZOUARI

Mr. Hamadi FEHRI                           
 
Mr. Chokri MAMOGHLI

Mr. Zouheir BEN KHELIFA

 

Pour Information et Inscription :

Tél. : (+216) 71 600 615 – Fax. : (+216) 71 601 311

Email : 2011bfr@gmail.com

Site web : www.esct.rnu.tn

Appel à communication : 6e séminaire d’études du groupe GEM

28 – 30 mars 2012

ESSEC Business School

Avenue Bernard Hirsch B.P. 50105

95021 Cergy-Pontoise Cedex

France

Tel : +33 (0)1 34 43 30 00 end_of_the_skype_highlighting

La question du langage et de la communication dans le management international : un défi
pour les hommes et les organisations

Appel à communication

Dans un éditorial récent de la revue académique, Management & avenir (Revue Management & Avenir, n° 31, Janvier 2010), Luc Boyer évoquait les deux dimensions du management. La dimension scientifique, celle des sciences de l’organisation, et la dimension humaine dans l’aspect gestion des Hommes, défini par Peter Drucker comme la « transformation en performance de l’effort humain ». Si l’entreprise et les institutions éducatives ont mis en valeur le premier aspect, il y a aujourd’hui une prise de conscience accrue du facteur humain au sein des organisations, à savoir la gestion des Hommes, de leurs talents, de leur épanouissement personnel et de leur efficacité
professionnelle, à l’heure où la carrière joue plus que jamais un rôle prépondérant dans l’équilibre de l’individu.

Au sein même des écoles de management, où l’épanouissement personnel des étudiants est une composante importante du projet éducatif, la question de la revalorisation des Sciences humaines et sociales dans la formation au management surgit à la faveur des crises des modèles économiques et éthiques
dominants. Replacer l’Homme au cœur du projet éducatif en intégrant l’apport scientifique des SHS constitue donc un défi pour les organismes de formation dont nous faisons partie.

Dans le mouvement caractérisé par les approches subjectivistes de la recherche en management, la langue, outil de représentation du monde et de communication, est au cœur des démarches qui placent l’Homme au centre des travaux de recherche. Tout un courant de recherche autour de l’individu
et du rôle du langage dans l’organisation s’est développé, notamment en France (Chanlat, 1990; Girin, 1995; 2001; Usunier, 1987; 1990). La compréhension du facteur humain dans les organisations
appelle la fertilisation croisée des disciplines des sciences humaines, telles que la linguistique, la psychologie cognitive et sociale, la sociologie des organisations, la psychanalyse, l’anthropologie et l’ethnologie pour tenter de comprendre (dans les deux sens d’intelligibilité et d’inclusion) l’Homme au sein de l’organisation.

Les travaux menés dans les milieux professionnels sur des problématiques où il est question de langage et de langue, montrent la complexité des mutations qui caractérisent les environnements professionnels souvent devenus multilingues et multiculturels et ils soulèvent bien d’autres questions telles que le management à distance, les technologies de l’information et de la communication, la ou les langue(s) d’entreprise, le management de la connaissance et son transfert entre le siège de l’entreprise et les filiales, la communication interculturelle dans l’entreprise mondialisée. Les programmes innovants dans la formation au management soulignent l’importance des approches
multidisciplinaires.

Comme le relevaient déjà Mintzberg en 1973, ou encore Rebecca Marschan Piekkari et al. dans un article de 1997 au titre éloquent (Marschan, R., Welch, D., & Welch, L. (1997). Language: « The forgotten factor in multinational management ». European Management Journal, 15(5), 591-598.), ces activités langagières, qui sont au cœur des pratiques quotidiennes des managers, sont peu ou pas convoqués dans les sciences de gestion. Une étude, menée sur 1128 articles publiés entre 2002 et 2010 dans des revues classées dans la liste de référence de la section 37 du CNRS « Economie et
gestion » (soit 71% de taux de couverture), montre que les questions inhérentes aux langues sont peu abordées et semble ainsi confirmer que depuis 1997 les académiques des Ecoles de Management françaises négligent cet aspect du management. Les langues seraient-elles ainsi toujours le “forgotten factor in multinational management” ?

Ce colloque s’adresse donc à toutes les disciplines du management ayant une sensibilité particulière pour les questions d’interaction langagière et culturelle au sein des entreprises multinationales /multiculturelles et a pour but de faire le point sur les avancées de la recherche en ce domaine, en appelant au dialogue interdisciplinaire et à l’échange entre chercheurs, praticiens de la formation et acteurs de l’entreprise. Les communications théoriques et/ou pratiques les plus variées, couvrant les questions suivantes seront particulièrement appréciées :

·        Quelle contribution de la linguistique appliquée à la recherche en management?

·        Quelle contribution de la recherche en communication interculturelle pour améliorer la communication interne au
sein des entreprises multinationales ?

·        Que nous apprend l’ethnologie sur le dialogue entre les cultures nationales des maisons mères et des filiales des grands groupes?

·        Quels sont les derniers enseignements de la psychologie sociale et de la sociologie des organisations pour la compréhension des organisations multiculturelles?

·        Comment comprendre et réguler la part de l’affectivité et de l’émotionnel dans les interactions au sein d’un groupe multiculturel?

·        Quels sont les apports de l’analyse du discours pour comprendre la culture des organisations?

·        Quel est l’impact des NTIC sur la communication virtuelle des équipes multilingues et multiculturelles?

·        Quelle contribution de la traductologie et de l’interprétariat dans la compréhension des problèmes de communication en milieu interculturel?

·        Comment relever le défi linguistique et sémantique posé aux organisations qui consiste à diffuser des concepts
n’existant pas dans une culture donnée? Par exemple, comment faire passer des éléments de l’identité d’entreprise tels que le développement durable et la RSE dans des filiales internationales aux
cultures très éloignées?

·        Quelle orientation donner aux objectifs et aux contenus pédagogiques dans un enseignement rénové des langues et
des cultures au sein des Ecoles de management?

·        De l’innovation en matière de formation aux contextes interculturels de l’entreprise mondialisée.

·        Quelle place pour les études de rhétorique, les théories de la narration dans la recherche et la formation au management?

·        Quel est le rôle du récit dans les organisations ? Dans quelle mesure le rôle du langage en tant que dimension ontologique de l’individu peut-il remettre en question l’approche socio-constructiviste.

·        Comment les grands groupes définissent-ils leur choix entre une communication unilingue ou multilingue?

·        Dans quelle mesure les grands groupes gèrent-ils le facteur langue dans l’entreprise ?

·        Comment s’articule la communication formelle et informelle dans l’entreprise multinationale ?

·        Comment la question des langues et du langage est-elle traitée dans la littérature managériale française et internationale? Quel est l’état de l’art depuis la fin des années 90?

Les propositions de communication sous forme d’abstract en français ou en anglais (maximum 500 mots),
accompagné de mots-clé, devront parvenir à Philippe Lecomte (p.lecomte@esc-toulouse.fr) au format Word avant le 15 octobre 2011.

Les communications définitives en français ou en anglais peuvent être de deux formes :

Communication longue (6000-8000 mots)

Communication courte, étude de cas, revue de littérature (4000-6000 mots)

Les premières versions des communications devront être envoyées à Philippe Lecomte (p.lecomte@esc-toulouse.fr ) au format Word avant le 10 janvier 2012, les communications définitives
pour le 15 février 2012 en vue de la publication des Actes de ce colloque.

Les meilleurs articles seront publiés dans un cahier spécial de la revue Management & Avenir.

Guide de mise en page

Mise en page des communications :
Format du traitement de texte Word pour PC
Titre : Times New Roman, 18, majuscules, gras
Nom de l’auteur: Times New Roman, 14, minuscules, gras
Nom de l’institution de rattachement: Times New Roman, 10, majuscule, gras
Corps de texte: Times New Roman, 12

Guide de mise en page pour publication dans Management & Avenir :

Planning

 

Abstract (500 words): 15 Octobre 2011

Acceptation notifiée aux auteurs: 15 Novembre 2011

Première version de l’article: 10 janvier 2012

Rapport du comité de lecture: 25 Janvier 2012

Communication définitive: 15 février 2012

Comité scientifique

Annick Bourguignon ESSEC Business School

David Boje  NMSU New
Mexico

Denis Lemaître ENSTA

Eric Cornuel  EFMD

Hanne Norreklit Aarhus School of Business

Jacques Igalens Toulouse Business School

Jean-François Chanlat Université Paris Dauphine

Luc Boyer  Université Paris Dauphine; Management & Avenir

Ludovic Bot  ENSTA

Mette Zolner  Kopenhagen
Business School

Olivier Fourcadet ESSEC Business School

Pierre-Louis Dubois FNEGE

Stefanie Stadler Nanyang Technological University, Singapore

Susan Schneider Université de Genève

Thierry Sibieude ESSEC Business School

Yvon
Pesqueux CNAM Paris

17es Journées d’histoire de la comptabilité et du management

Jeudi 22 et Vendredi 23 mars 2012 à Toulouse

 

Les Journées d’Histoire de la Comptabilité et du Management constituent, depuis leur première édition en 1995, un
rendez-vous annuel incontournable pour ceux qui s’intéressent à l’histoire et à la gestion. Elles rassemblent des gestionnaires, mais aussi des historiens, des sociologues, des juristes et des
économistes.

Comme chaque année, toutes les propositions de communications sont les bienvenues, mais nous souhaitons néanmoins
proposer un axe de réflexion. Ainsi, l’Association Francophone de Comptabilité, le Centre de Recherche en Management (CRM, Université Toulouse I Capitole), le Laboratoire Gestion et Cognition
(LGC, Université Toulouse III Paul Sabatier) et le Management Research Center (ESC Toulouse) lancent cet appel à communication sur le thème :

 

“IMAGES ET REPRESENTATIONS”

 

Le choix de cette thématique repose sur la volonté des organisateurs de mettre en évidence l’évolution des
professions et fonctions comptables et managériales. Nous souhaitons plus particulièrement insister sur deux aspects autour du thème proposé : tout d’abord, sur l’évolution des représentations et
images de ces professions et fonctions ; ensuite sur leur recours progressif aux images et représentations d’images.

Les organisateurs suggèrent quelques lignes directrices :

1. Les représentations et images de la comptabilité et du management

 Portraits et représentations de la comptabilité et du management dans
les médias (presse, radio,

télévision, Internet), dans la littérature, dans l’éducation

 Représentation, stéréotypes et genre

 Images et représentations des organisations dans l’art (arts
graphiques, spectacle vivant, cinéma…)

2. Les images et représentations dans la comptabilité et le management

 La place des images dans les dispositifs et les pratiques de
gestion

 L’organisation comme lieu d’expression par l’image

 L’évolution des moyens de communication par l’image

 Le management par l’image ou la construction des images attendues par
le public

 Les instruments de gestion comme images de l’organisation

 

A l’occasion de ces journées, la thématique des “images et représentations” pourra être déclinée dans les
différentes disciplines du management : la comptabilité, le contrôle de gestion, la gestion des ressources humaines, mais aussi dans des disciplines traditionnellement plus discrètes dans les
journées d’histoire comme le marketing, la finance, la stratégie etc.

 

Programme prévisionnel :

Jeudi 22 mars 2012 9h-17h30 Ateliers

Jeudi 22 mars 2012 Soir Repas de gala

Vendredi 23 mars 2012 9h-17h30 Ateliers

 

Un tutorat des thèses d’histoire de la comptabilité et du management sera organisé pour les doctorants intéressés.
Nous vous demandons un document d’une dizaine de pages maximum indiquant :

 le champ de votre recherche

 votre problématique (ou des pistes)

 vos références théoriques (le cas échéant)

 votre démarche méthodologique

 vos premiers résultats (éventuellement)

 les références bibliographiques essentielles

 

Comité d’organisation :

Jennifer Boutant, Ludovic Cailluet, Rahma Chekkar-Mansouri, Sami El Omari, Michèle Saboly

 

Informations à retenir :

 

– Date limite de soumission : 15 novembre 2011. Les articles complets comportant deux résumés (français / anglais) sont à envoyer à l’adresse suivante :
jhcm2012@gmail.com

– Date de réponse des réviseurs : 15 janvier 2012

– Toute proposition de communication sera soumise à une double lecture anonyme. Une fois acceptée, et sauf demande
contraire de l’auteur, elle sera publiée sur le site internet du congrès.

– Nombre maximum de signes d’une communication : 60 000 signes

– La première page (page de titre) doit contenir le titre de la communication, les noms des auteurs et leurs
coordonnées institutionnelles.

Prénom Nom, Fonction Institution, Adresse, Téléphone, Courrier électronique, le tout en Times New Roman 12,
interligne 15 points aucun espace avant-après.

La seconde page doit contenir le titre de la communication (sans indication des noms des auteurs ou de leurs
coordonnées institutionnelles), le résumé et mots-clés en français et en anglais (précisant la problématique, les sources et les résultats).

Important : pour les articles en langue française, le titre, le résumé et les mots clés doivent également être
traduits en anglais

 

Résumé (150 mots) Abstract (150 words)

Times New Roman 10 Times New Roman 10, italic

Mots clés (6 maximum) Keywords (up to 6)

 

Le style à utiliser est présenté ci-dessous :

Marges : 2,5 – 2,5 – 2,5 en justifié.

TITRE : titre 1 (TIMES NEW ROMAN 28, ITALIQUE, GRAS, MAJUSCULES, aucun espace avant-après,

interligne simple)

TEXTE Style Normal : Times New Roman 12, interligne 15 points, aucun espace avant-après.

1. (titre 2 : Times New Roman 18 gras, espacement avant et après de 18 points)

Texte Style Normal : Times New Roman 12, interligne 15 points, aucun espace avant-après

1.1 (titre 3 : Times New Roman 12 gras, espacement avant et après de 12 points)

Texte Style Normal : Times New Roman 12, interligne 15 points, aucun espace avant-après

1.1.1 (titre 4 : Times New Roman 12 gras italique, espacement avant et après de 6 points)

Les notes de bas de page seront placées à la fin de chaque page (Times New Roman 10, aucun

espacement).

Références bibliographiques (Times New Roman 10, espacement avant 6

points).

Les
schémas, graphiques et tableaux seront numérotés, comporteront un titre et la référence à une source (Times New Roman 10 aucun espace avant-après).

Management dans les pays en développement : effets de mondialisation

UNIVERSITE BADJI MOKHTAR ANNABA

FACULTE DES SCIENCES ECONOMIQUES ET DE GESTION

DEPARTEMENT DES SCIENCES DE GESTION

 

SEMINAIRE INTERNATIONAL SUR

‘’Les effets de la
mondialisation sur le management des organisations dans les pays en développement

le mardi 6 et mercredi 7 décembre 2011

 

Appel à Communication

Le séminaire a pour objectif de permettre aux enseignants chercheurs, aux praticiens des pays en développement qui
ont connu de profondes mutations suite à l’intégration de leur l’économie dans le système économique mondial, d’analyser les impacts de la mondialisation sur le management de leurs
entreprises.

La confrontation des expériences des entreprises qui s’ouvrent à de nouveaux marchés, pourrait fournir des exemples
d’analyse, qui offriraient probablement matière à débattre, à échanger, entre les intervenants issus de différents pays. L’intérêt d’une telle confrontation est de savoir ‘’comment, face à un
même phénomène, l’ouverture à l’économie de marché, les entreprises des pays en développement réagissent-elles ?’’

La conception, le management et la mission même de l’entreprise seront probablement modifiés. Reconsidérés, les flux
d’information, de connaissances, les échanges de biens et de services, prenant des proportions inédites, suite au processus d’intégration économique à différentes échelles, vont impacter en
premier lieu le management, n’épargnant aucun domaine. Ainsi pour pouvoir s’adapter aux exigences de l’économie de marché les entreprises doivent se transformer, s’adapter, bref changer. Toutes
ces transformations se déroulent souvent sous des pressions multiples, économiques, financières, sociales, institutionnelles, environnementales.

Le processus de mondialisation en projetant les entreprises des pays en développement, confinées jusqu’à l’heure,
dans des espaces économiques réduits, à l’échelle de l’économie mondiale, aura certainement un impact sur le management de celles-ci.

Les impacts du processus d’intégration à l’économie mondiale, comment vont-ils se manifester au niveau du management
des entreprises algériennes ?

Les théories centrées sur la vie interne de l’entreprise (sur la valeur, sur les coûts de transaction, sur les
ressources, sur les activités) et celles sur l’environnement, (théorie des réseaux, celle de la C.G.V,des parties prenantes…), en développant dans leurs sillages d’innombrables approches
managériales innovantes, élargissent ainsi le décalage entre les entreprises du système économique développé et les entreprises des économies en développement.

Si au niveau des pays développés, chaque décennie constitue un tournant dans la vie des organisations, introduisant
de nouveaux paradigmes, creusant davantage la réflexion dans ce domaine, le champ couvert par cette science s’élargit, de plus en plus : dans quelles conditions et dans quelles mesures ces
nouveaux paradigmes, peuvent-ils être transmis aux systèmes managériaux des pays en développement ?

Les stratégies de déploiement des firmes au niveau international, contrôlant en amont et en aval, la chaîne globale
de valeur, ne laissent aucune liberté de manœuvre aux entreprises locales, particulièrement celles dans les pays en développement : le processus de mondialisation va-t-il favoriser la
convergence des deux types de management, ou bien au contraire, les facteurs de divergence seront-ils plus forts ne laissant ainsi, aucune chance à au management local d’émerger
?
Les théories et les pratiques managériales se sont affirmées dans des systèmes économiques développés, une fois transposées (par le biais de la délocalisation ou de l’externalisation) dans
des systèmes économiques sous développés ou en développement, auront-elles la même résonance ? Le croisement supposé du management universel avec le management local pourrait générer un type de
management tout à fait nouveau ? l’impact du management local sera-t-il perceptible ?

Les expériences vécues par les universités développées, au niveau de la recherche et de l’enseignement en matière de
management des organisations peuvent offrir l’occasion à l’université algérienne de concevoir et de dispenser autrement l’enseignement de cette matière. Dans la perspective de développement
de l’entreprise algérienne,
la reconsidération de la science de gestion au sein de l’Université algérienne, constitue un enjeu de taille.

Le management entrepreneurial n’offre t-il pas une nouvelle percée dans la conception et dans les pratiques
managériales ?

 

Les deux journées du séminaire permettront de répondre aux questions suivantes :

Premièrement,
le processus d’intégration est-il un processus d’uniformisation ou bien de différenciation des systèmes managériaux ?

Deuxièmement, comment s’articule le management local sur le management international ?

Troisièmement, le savoir managérial, patrimoine universel, une fois transposé au niveau local ne mérite –t-il pas d’être recontextualisé
?

Quatrièmement, le processus d’intégration des entreprises algériennes, quels sont les enseignements ?

Cinquièmement, la modernisation du management des entreprises algériennes, quels effets sur leur intégration au marché mondial?

Les thèmes proposés :

Axe 1 : Les
effets de la globalisation sur les systèmes managériaux locaux : ou la perspective du croisement du management local avec le management international ?

Axe 2 : les
enjeux de la globalisation et leurs manifestations au niveau du management local : (les facteurs de tensions économiques, organisationnelles, institutionnelles…)

Axe 3 : Les
perspectives du management dans les pays en développment : bilans, expériences.

Axe 4 :
L’intégration et les types de gouvernance des entreprises nouvellement intégrées.

Axe 5 :
L’émergence des entreprises algériennes : ou l’affirmation d’un modèle managérial

Axe 6 : Le
processus d’intégration managérial et rôle des Etats- nations (les réformes, l’accompagnement)

Axe 7 :
L’enseignement des sciences de gestion dans les universités des pays en développement, que faut-il changer ?

Axe 8 : La
conception de l’entreprise et les pratiques managériales dans les pays en développement : quelles perspectives ?

Le séminaire organisé par le département de gestion est soutenu par le ‘’Laboratoire de recherche en management des
organisations ‘’ –LARMO, et le ‘’Laboratoire de recherche en économie ‘’- LAREE’’.

 

Les dates clefs du calendrier :

10 Août :
intention de communication (une page, 3 à 5 mots clefs)

30 Août :
réponse aux intentions

30 Septembre : Envoi du texte complet. (16 pages maximum, bibliographie et renvoies, tableaux, tous compris)

20 octobre :
Confirmation définitive d’acceptation.

 

Recommandations aux auteurs ;

Les communications ne doivent pas dépasser 16 pages, le texte sera accompagné d’un résumé dans les trois
langues,(français, anglais, arabe). Les communications se déroulent en arabe, français, anglais. Le résumé qui accompagne le texte final ne doit pas dépasser 150 mots.

Sur la page de garde, vous devez mentionner le titre de la communication (en format 16),votre nom, le prénom,
l’université d’origine, le grade, vos coordonnées.

Sur une deuxième page vous ne devez mentionner que le titre de votre communication (en format 16)

Le texte doit être saisi selon la police Times New Roman,format 12.

 

Comité d’organisation :

Dr. MADI Belgacem Doyen de le Faculté président d’honneur.

– Docteur Djaba Ahmed, Docteur Hammana Kamel, Mr djebar samir,

– Docteur Layouni Zouhir, Docteur Benya omar, Mr Messaoudène kamel,

– Mr Touil Hassouna, Docteur Chébira boualem.

– Melle Berrahou Souhilla, Mr Belkébir Boumédinne,

– Mr Souames Radwane, Mr Chemas Kamel, Mr Zitoun Tayeb

– Mme AMIRAT Bariza, Melle Yakhlef farida,

– Melle Bechker Ilhem, Docteur Chaib F Zohra.

 

Le comité scientifique

Présidente du Séminaire Dc Hadjar Abida.

Pr Slaimi Ahmed,Univ Annaba, Pr Nacib Radjem, univ Annaba, Pr Béribéche Said, univ Annaba,Pr Sari Mohamed, univ
Annaba, Pr.Besnosmane Mahfoud, unic Annaba, Pr. Boumendjel Said, univ Annaba, Dc Hamzaoui Cherif, univ Annaba, Dc Maadi Belgacem, univ Annaba, Dc Haouam Djemaa, univ annaba, Pr Philippe Bernoux,
univ Lyon II, Dc Moula Abdallah, univ Annaba, Dc Nait Merzoug MD-El Arbi, univ Annaba, Professeur agrégée F-Zohra Oufriha, univ -Alger, Dc Boukalboul El Hadi, univ Annaba, Pr Jamil
Chaabouni,univ-Sfax, Pr Ferfera Mohamed Yassine,directeur du CREAD, Pr Farid yaici, univ Bejaia,Dc Rihane Chérif, univ –Annaba, Pr Chérabi Abdelaziz univ Constantine, Pr Derbal Abdelkader, univ
-Oran, Dc Mokhtari faiçal, univ Mascara, Docteur Tchiko Faouzi, univ Mascara, Dc Arif Salah Eddine, univ d’Evry- Essonne, Pr Silem Ahmed, univ Lyon 3, Pr Al Baghli Claude, val de Marne Paris 12,
Pr Léger-Jarniou, Cathérine, Paris Dauphine, Pr des universités Chanlat J-François, Paris Dauphine., Pr Benguerna Mohamed, CREAD Alger, Pr Elizabeth Du Reau, univ Sorbonne Nouvelle, Pr Rahal Ali,
univ Batna,

 

Adresse électronique pour l’envoi des communications :

Melle Dr.HADJAR ABIDA

hadjar.abida@univ-annaba.org

Tel /Fax : 038.55.26.94 / 038.55.26.93 –Mobile : 0550934924

Appel à communication pour le 6e séminaire d’études du groupe GEM

6e séminaire d’études du groupe GEM

28 – 30 mars 2012

ESSEC Business School

Avenue Bernard Hirsch B.P. 50105

95021 Cergy-Pontoise Cedex

France

Tel : +33 (0)1 34 43 30 00 end_of_the_skype_highlighting

La question du langage et de la communication dans le management international : un défi
pour les hommes et les organisations

Appel à communication

Dans un éditorial récent de la revue académique, Management & avenir (Revue Management & Avenir, n° 31, Janvier 2010), Luc Boyer évoquait les deux dimensions du management. La dimension scientifique, celle des sciences de l’organisation, et la dimension humaine dans l’aspect gestion des Hommes, défini par Peter Drucker comme la « transformation en performance de l’effort humain ». Si l’entreprise et les institutions éducatives ont mis en valeur le premier aspect, il y a aujourd’hui une prise de conscience accrue du facteur humain au sein des organisations, à savoir la gestion des Hommes, de leurs talents, de leur épanouissement personnel et de leur efficacité
professionnelle, à l’heure où la carrière joue plus que jamais un rôle prépondérant dans l’équilibre de l’individu.

Au sein même des écoles de management, où l’épanouissement personnel des étudiants est une composante importante du projet éducatif, la question de la revalorisation des Sciences humaines et sociales dans la formation au management surgit à la faveur des crises des modèles économiques et éthiques dominants. Replacer l’Homme au cœur du projet éducatif en intégrant l’apport scientifique des SHS constitue donc un défi pour les organismes de formation dont nous faisons partie.

Dans le mouvement caractérisé par les approches subjectivistes de la recherche en management, la langue, outil de représentation du monde et de communication, est au cœur des démarches qui placent l’Homme au centre des travaux de recherche. Tout un courant de recherche autour de l’individu et du rôle du langage dans l’organisation s’est développé, notamment en France (Chanlat, 1990; Girin, 1995; 2001; Usunier, 1987; 1990). La compréhension du facteur humain dans les organisations appelle la fertilisation croisée des disciplines des sciences humaines, telles que la linguistique, la psychologie cognitive et sociale, la sociologie des organisations, la psychanalyse, l’anthropologie et l’ethnologie pour tenter de comprendre (dans les deux sens d’intelligibilité et d’inclusion) l’Homme au sein de l’organisation.

Les travaux menés dans les milieux professionnels sur des problématiques où il est question de langage et de langue, montrent la complexité des mutations qui caractérisent les environnements professionnels souvent devenus multilingues et multiculturels et ils soulèvent bien d’autres questions telles que le management à distance, les technologies de l’information et de la communication, la ou les langue(s) d’entreprise, le management de la connaissance et son transfert entre le siège de l’entreprise et les filiales, la communication interculturelle dans l’entreprise mondialisée. Les programmes innovants dans la formation au management soulignent l’importance des approches multidisciplinaires.

Comme le relevaient déjà Mintzberg en 1973, ou encore Rebecca Marschan Piekkari et al. dans un article de 1997 au titre éloquent (Marschan, R., Welch, D., & Welch, L. (1997). Language: « The forgotten factor in multinational management ». European Management Journal, 15(5), 591-598.), ces activités langagières, qui sont au cœur des pratiques quotidiennes des managers, sont peu ou pas convoqués dans les sciences de gestion. Une étude, menée sur 1128 articles publiés entre 2002 et 2010 dans des revues classées dans la liste de référence de la section 37 du CNRS « Economie et
gestion » (soit 71% de taux de couverture), montre que les questions inhérentes aux langues sont peu abordées et semble ainsi confirmer que depuis 1997 les académiques des Ecoles de Management françaises négligent cet aspect du management. Les langues seraient-elles ainsi toujours le “forgotten factor in multinational management” ?

Ce colloque s’adresse donc à toutes les disciplines du management ayant une sensibilité particulière pour les questions d’interaction langagière et culturelle au sein des entreprises multinationales /multiculturelles et a pour but de faire le point sur les avancées de la recherche en ce domaine, en appelant au dialogue interdisciplinaire et à l’échange entre chercheurs, praticiens de la formation et acteurs de l’entreprise. Les communications théoriques et/ou pratiques les plus variées, couvrant les questions suivantes seront particulièrement appréciées :

·        Quelle contribution de la linguistique appliquée à la recherche en management?

·        Quelle contribution de la recherche en communication interculturelle pour améliorer la communication interne au sein des entreprises multinationales ?

·        Que nous apprend l’ethnologie sur le dialogue entre les cultures nationales des maisons mères et des filiales des grands groupes?

·        Quels sont les derniers enseignements de la psychologie sociale et de la sociologie des organisations pour la compréhension des organisations multiculturelles?

·        Comment comprendre et réguler la part de l’affectivité et de l’émotionnel dans les interactions au sein d’un groupe multiculturel?

·        Quels sont les apports de l’analyse du discours pour comprendre la culture des organisations?

·        Quel est l’impact des NTIC sur la communication virtuelle des équipes multilingues et multiculturelles?

·        Quelle contribution de la traductologie et de l’interprétariat dans la compréhension des problèmes de communication en milieu interculturel?

·        Comment relever le défi linguistique et sémantique posé aux organisations qui consiste à diffuser des concepts n’existant pas dans une culture donnée? Par exemple, comment faire passer des éléments de l’identité d’entreprise tels que le développement durable et la RSE dans des filiales internationales aux cultures très éloignées?

·        Quelle orientation donner aux objectifs et aux contenus pédagogiques dans un enseignement rénové des langues et des cultures au sein des Ecoles de management?

·        De l’innovation en matière de formation aux contextes interculturels de l’entreprise mondialisée.

·        Quelle place pour les études de rhétorique, les théories de la narration dans la recherche et la formation au management?

·        Quel est le rôle du récit dans les organisations ? Dans quelle mesure le rôle du langage en tant que dimension ontologique de l’individu peut-il remettre en question l’approche socio-constructiviste.

·        Comment les grands groupes définissent-ils leur choix entre une communication unilingue ou multilingue?

·        Dans quelle mesure les grands groupes gèrent-ils le facteur langue dans l’entreprise?

·        Comment s’articule la communication formelle et informelle dans l’entreprise multinationale?

·        Comment la question des langues et du langage est-elle traitée dans la littérature managériale française et internationale? Quel est l’état de l’art depuis la fin des années 90?

Les propositions de communication sous forme d’abstract en français ou en anglais (maximum 500 mots), accompagné de mots-clé, devront parvenir à Philippe Lecomte (p.lecomte@esc-toulouse.fr) au format Word avant le 15 octobre 2011.

Les communications définitives en français ou en anglais peuvent être de deux formes :

Communication longue (6000-8000 mots)

Communication courte, étude de cas, revue de littérature (4000-6000 mots)

Les premières versions des communications devront être envoyées à Philippe Lecomte (p.lecomte@esc-toulouse.fr ) au format Word avant le 10 janvier 2012, les communications définitives
pour le 15 février 2012 en vue de la publication des Actes de ce colloque.

Les meilleurs articles seront publiés dans un cahier spécial de la revue Management & Avenir.

Guide de mise en page

Mise en page des communications :

Format du traitement de texte Word pour PC

Titre : Times New Roman, 18, majuscules, gras

Nom de l’auteur: Times New Roman, 14, minuscules, gras

Nom de l’institution de rattachement: Times New Roman, 10, majuscule, gras

Corps de texte: Times New Roman, 12

Guide de mise en page pour publication dans Management & Avenir :

 

Planning

Abstract (500 words): 15 Octobre 2011

Acceptation notifiée aux auteurs: 15 Novembre 2011

Première version de l’article: 10 janvier 2012

Rapport du comité de lecture: 25 Janvier 2012

Communication définitive: 15 février 2012

Comité scientifique

Annick Bourguignon ESSEC Business School

David Boje NMSU New Mexico

Denis Lemaître ENSTA

Eric Cornuel EFMD

Hanne Norreklit Aarhus School of Business

Jacques Igalens Toulouse Business School

Jean-François Chanlat Université Paris Dauphine

Luc Boyer Université Paris Dauphine; Management & Avenir

Ludovic Bot ENSTA

Mette Zolner Kopenhagen Business School

Olivier Fourcadet ESSEC Business School

Pierre-Louis Dubois FNEGE

Stefanie Stadler Nanyang Technological University, Singapore

Susan Schneider Université de Genève

Thierry Sibieude ESSEC Business School

Yvon Pesqueux CNAM Paris

————————————————————————————————–

Dr. Philippe Lecomte

Professeur

 

Toulouse Business School

20, Bd Lascrosses

31000 Toulouse

Tél : +33 (0)5.61.29.49.13 — Mob : +33 (0)6.62.38.49.13 – Fax : +33 (0)5.61.29.49.94

http://www.esc-toulouse.fr

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