Journées d’études ParcourSic Lille 2008

(Université Lille III, les 18, 19 et 20 juin 2008)
Thème : Le parcours intellectuel et pratique d’un jeune chercheur en Sciences de l’Information et de la Communication.
Cet événement aura lieu à l’Université de Lille III, un an après l’organisation des premières journées d’études organisées par
l’Association de Recherche en Sciences de l’Information et de la Communication (Avril 2007, MSH Paris Nord).
Elle s’adresse aux jeunes chercheurs en SIC (doctorants et docteurs) ainsi qu’aux chercheurs confirmés (Maîtres de Conférences, Professeurs des Universités) et aux professionnels de la communication. L’édition 2008 souhaite s’ouvrir aux jeunes chercheurs francophones. Son contenu s’articule autour de deux principaux temps forts :
– Un échange scientifique relatif au parcours intellectuel d’un jeune chercheur en SIC (cf. l’appel à communication ci-joint). Cette
réflexion vise à permettre aux jeunes chercheurs de communiquer sur leurs travaux et de partager leurs expériences, mais aussi de rencontrer des chercheurs confirmés qui mettront en perspective
les travaux de recherche des doctorants dans les problématiques plus générales du champ disciplinaire. Il se décline en trois thèmes : l’approche du terrain, la méthodologie (autour d’une réflexion épistémologique) et le parcours de lecture en situation de thèse.
– Les points « informations » aborderont les questions d’ordre pratique qui se posent pour les jeunes chercheurs pendant leur parcours de thèse. Ces points « informations » porteront sur la question de la mobilité des doctorants à l’étranger, sur  la constitution des réseaux nationaux et internationaux de (jeunes) chercheurs et sur les modalités d’insertion professionnelle. Des questions propres au travail de thèse seront également traitées : les modalités de publication, la citation et les lectures (le programme sera diffusé prochainement).
Date limite d’envoi des propositions de communication : 21 décembre 2007.

Toutes les informations concernant ParcourSic 2008 sont disponibles à cette adresse : http://parcoursic2008.docsic.org. Ce site contiendra l’appel à communication, le programme, les résumés ainsi que les informations pratiques relatives au colloque.

XXIVes Journées du Développement de l’Association Tiers-Monde

En association des laboratoires organisateurs :
Université Gaston Berger de Saint-Louis (Sénégal), UFR sciences Economiques et Gestion, BETA (ULP, Université Nancy2, CNRS), ATM, PRELUDES,.
ECONOMIE DE LA CONNAISSANCE ET DEVELOPPEMENT
SAINT LOUIS du SENEGAL, 20-21-22 mai 2008

Comité scientifique : B. BOIDIN (Lille 1), A. BOURGAIN (Luxembourg), J. BROT (Nancy), S. CALLENS (Artois), M. CATIN

(Toulon), A. DIAGNE (UCAD, Dakar), A. DIAW (UGB, Saint-Louis), P-E. FOURNIER (Evry), J-J FRIBOULET (Fribourg), G. FROGER (Versailles-Saint-Quentin), J-J GABAS (Orsay), H. GERARDIN (Nancy), B. GUESNIER (Poitiers), B. HAUDEVILLE (Aix), H-F. HENNER (Clermont-Ferrand), P. HUGON (Paris X), M. KASSE (UCAD, Dakar), F. KERN (Strasbourg), M. LELART (CNRS Orléans), F. LELOUP (Mons), A. Lô GUEYE (UGB, Saint-Louis), G. Samb LO (UGB, Saint-Louis).C. MAINGUY (Strasbourg), A. Aly MBAYE (UCAD, Dakar), M. Teuw NIANE (UGB, Saint-Louis), B. Bouna NIANG (UCAD, Dakar), J. POIROT (Nancy), M. Youri SALL (UGB, Saint-Louis), G. TURUNC (Galatasaray Istanbul et Bordeaux), S. TREILLET (Créteil).

Les journées du développement de l’Association Tiers-Monde se déroulent chaque année dans un pays, du Nord ou du Sud, en partenariat avec une université. Le thème de ce XXIVe colloque portera sur « Economie de la connaissance et développement ».
Depuis quelques années, le rôle de la connaissance en tant que facteur de développement est de mieux en mieux pris en compte. À la suite des nouvelles théories de la croissance, qui intègrent l’apport de l’innovation et de la recherche-développement, liées étroitement à l’éducation, la connaissance est désormais reconnue comme un des
éléments clés de la croissance et du développement. En témoignent les nombreux programmes de recherche lancés depuis le début du siècle par l’Institut de recherche pour le développement (IRD), la
Banque mondiale ou les institutions du système de l’ONU.
Cette orientation, assez récente, n’est que partiellement prise en compte en tant que nouvelle approche des problèmes de développement dans les agendas des centres de recherche sur les pays en développement (PED), particulièrement sur le continent africain, alors que de nombreux travaux sont réalisés sur des thèmes qui concernent directement l’innovation et la recherche-développement, comme les études sur la croissance endogène ou sur le rôle de l’éducation, par exemple.
Ce colloque, comme les années précédentes, favorisera la rencontre de chercheurs de différentes disciplines et contribuera à fédérer leurs travaux autour de cette approche et à confronter leurs expériences et leurs analyses sur les différentes dimensions se rapportant à l’économie de la connaissance.
Thèmes de recherches
Les propositions de communication, relevant des divers champs disciplinaires des sciences humaines et sociales, préciseront, en deux pages maximum, la problématique, la méthodologie appliquée et les principaux éléments de bibliographie. Les communications peuvent porter sur des aspects théoriques, empiriques ou méthodologiques et
s’inscriront dans une ou plusieurs des séries suivantes.
Atelier 1 : Méthodologie, théorie, histoire
– L’état des connaissances théoriques sur les concepts et sur les relations entre développement économique et social, économie de l’information, économie cognitive, intelligence économique et production de nouvelles connaissances…
– Les acteurs de l’économie de la connaissance : l’Etat, les entreprises, les universités et les laboratoires, les ONG et les associations…
– Les différentes formes d’innovation (techniques, organisationnelles, financières…)
– La pertinence des concepts et des variables de l’économie de la connaissance dans les pays en développement
Atelier 2 :Production et diffusion des connaissances
– Les mécanismes de production et les processus de diffusion de la connaissance (techniques…)
– Les incidences de la coopération régionale sur les activités de recherche-développement
– L’asymétrie spatiale dans la création et l’utilisation des connaissances, l’incidence de la mondialisation et les rapports Nord-Sud et Sud-Sud
Atelier 3 : Accès, circulation et communication des connaissances.
– Brevets, droits de propriété intellectuelle
– Protection juridique des savoirs traditionnels
– Rôle des investissements directs étrangers (IDE)
– Internationalisation de la connaissance et mécanismes des transferts
Atelier 4 : Politiques mises en œuvre dans les PED en faveur de l’économie de la connaissance
– Financement de la Recherche-Développement
– Création de capacités scientifiques et techniques
– Formation technique, enseignement supérieur et/ou formation initiale comme priorité
– Education et marché du travail dans les PED
– Les obstacles au développement des activités de la connaissance dans les PED
Atelier 5 : Évaluation des produits de l’économie de la connaissance
– Innovation, création endogène
– Coût de la recherche, répartition de la valeur ajoutée dans les filières mondialisées
– Entraves à la création et à la diffusion des connaissances
Atelier 6 : Jeunes chercheurs en économie du développement
Cette session est destinée à favoriser les contributions des doctorants et “jeunes chercheurs” en économie du développement.
En matière de publication, il est envisagé, à partir d’une sélection de communications, de réaliser un ouvrage, de nourrir des numéros dédiés de revues (Mondes en Développement, Revue du Réseau PEP-Afrique, …) et des cahiers (ATM, PRELUDES).
Calendrier
Date limite d’envoi des propositions de communication : 8 janvier 2008
Date de la décision du comité scientifique : 4 février 2008
Date limite d’envoi des communications retenues : 21 avril 2008
Organisation, inscription et informations
Jean BROT
ATM-BETA-CNRS
Faculté de Droit, Sciences Economiques et Gestion
13 place Carnot
F- 54000 NANCY France
Tél : 03 83 19 25 92    Fax 03 83 19 26 01
 
ET
Ahmadou Lô GUEYE
Université Gaston Berger
UFR de Sciences Economiques et de Gestion
B.P. 234,
SAINT-LOUIS Sénégal
Tél : (221) 961 23 91
fax : (221) 961 63 12
losakhir@netcourrier.com

Prolongation de la date d’envoi des résumés au 7 janvier 2008

Les chercheurs intéressés par le 2e COLLOQUE INTERNATIONAL SUR LE TEMPS organisé les 25 et 26
juin 2008 à BREST  sur le thème de
“Rupture, finitude, mort et management” peuvent déposer un intention de
communication sous forme d’un résumé de 3 pages pour le 7 janvier 2008

Les meilleures contributions retenues pour publication dans un numéro thématique d’une revue de recherche académique en Sciences de Gestion et/ou dans un ouvrage collectif.
Pour le comité d’organisation, Bertrand URIEN,
Directeur de l’ICI [EA 2652]

Professeur de Sciences de Gestion

Economie sociale et solidaire

Colloque Economie sociale et solidaire : nouvelles pratiques et dynamiques territoriales

Approches pluridisciplinaires – 29 –30 septembre 2008
Nantes
Organisateurs : Université de Nantes et
Réseau des chercheurs en économie sociale de
l’Ouest en partenariat avec la DIIESES (Délégation Interministérielle à l’innovation, à
l’expérimentation sociale et à l’économie sociale) et la Région des Pays de la Loire
Lieu : Institut d’économie et de Management
de Nantes-IAE (IEMN-IAE)
Date : 29-30 septembre 2008
Comité scientifique : Abdou Salam Fall
(sociologue), Archambault E. (économie), Bellemare G., (sociologie), Bréchet J-P. (gestion), Demoustier D. (économie), Dussuet A. (sociologie), Enjolras B. (économie), Flahault E. (sociologie),
Fleuret S. (Géographie), Huntzinger F. (Gestion), Itçaina Xabier (sciences politiques) Noguès H., (économie), Nyssens M. (socio-économie), Prouteau L. (économie), Schieb-Bienfait N. (gestion),
Simonet M. (sociologie) Stoessel-Ritz J., (sociologie).
 
DATES IMPORTANTES
1 mars 2008 Délai pour la soumission des
projets de communication
15 avril 2008 Réponse du comité
d’organisation
30 juin 2008 Envoi des textes définitifs de
communication
Juillet 2008 Programme du colloque
1 septembre 2008 Date limite
d’inscription
 
Economie sociale et solidaire : nouvelles pratiques et dynamiques territoriales
Axe 1 : L’entrepreneuriat en économie
sociale et solidaire : une dynamique spécifique ?
Axe 2 : L’économie sociale et solidaire
face à la question de l’emploi
Axe 3 : L’économie sociale et solidaire et
les rapports aux territoires
Problématique générale
Remise des projets de communication : avant
le 1
er mars 2008 sous la forme d’une note de deux
pages au maximum comprenant un énoncé de la problématique et son lien avec les trois axes, la méthodologie suivie et les principaux résultats obtenus.
A adresser à : Isabelle COURCOUL, Institut d’économie et de Management de Nantes-IAE – B.P. 52231 44322 NANTES Cedex 3 FRANCE Tel.
: (33) 02 40 14 17 48 Fax : (33) 02 40 14 17 49

Appel à communication de la Revue Libanaise de Gestion et d’Economie

Appel à communication

 

Revue Libanaise de Gestion et d’Economie

 

Numéro spécial : La gouvernance : d’un regard technique à une valeur partagée

Coordinateur du numéro spécial : Jean-François Verne

 

La gouvernance est à l’heure actuelle un domaine de recherche commun aux sciences économiques et de gestion. Les deux
disciplines abordent le sujet de la gouvernance de façon différente mais néanmoins complémentaire. En effet, les sciences de gestion auront tendance à axer les problèmes de gouvernance sur
l’aspect organisationnel et éthique puisque la gouvernance est vue comme un système permettant à une organisation de gérer ses affaires de façon efficace en respectant certaines normes éthiques.
Les sciences économiques, quant à elles, traiteront ce type de sujet de manière plus technique étant donné que la gouvernance est un processus permettant l’atteinte d’un optimum économique et
social. Aussi, ces deux disciplines différentes partagent-elles le même enthousiasme concernant l’étude de la gouvernance.

Le numéro spécial « La gouvernance : d’un regard technique à une valeur partagée » vise à approfondir les
notions de gouvernance appliquée aux organisations, à savoir principalement les entreprises, les associations, les ONG et l’Etat en intégrant également les facteurs culturels et les différences
institutionnelles entre pays. Il s’agit de s’intéresser aux modèles de gouvernance des entreprises (approche microéconomique) et au cadre institutionnel dans lequel celles-ci opèrent (approche
macroéconomique et gouvernance publique). A partir de là, plusieurs approches peuvent être envisagées. Par exemple, les modèles de gouvernance propres à plusieurs pays peuvent faire l’objet d’une
analyse comparative permettant de mettre en relief les différences culturelles relatives à la gouvernance d’entreprise et à la gouvernance publique. D’autres approches peuvent traiter de l’impact
des systèmes de gouvernance sur la performance économique. Plusieurs études peuvent encore s’intéresser à la gouvernance financière. En résumé, repérer la variété des modèles de gouvernance et
analyser leur fonctionnement ainsi que leur impact sur l’environnement économique et financier peut faire l’objet de recherches approfondies dont la Revue Libanaise de Gestion et d’Economie sera
la courroie de transmission.

La rédaction souhaite recevoir des articles en provenance de toutes les disciplines appartenant aux sciences de gestion et
aux sciences économiques. La méthodologie concernant les articles reste à la discrétion de chaque auteur. Ainsi, les articles formalisés et à fort contenu empirique comme ceux préférant une
approche davantage qualitative sont recherchés pour ce numéro spécial. Evidemment, une attention particulière sera portée à l’originalité des contributions.

Les articles sont sélectionnés par deux évaluateurs qui sont choisis en fonction de leur compétence sur le domaine que
traite la proposition d’article.

Les articles sont sélectionnés par deux évaluateurs qui sont choisis en fonction de leur compétence sur le domaine que
traite la proposition d’article.

Les manuscrits présentés doivent respecter les points suivants :

        
Les articles doivent être transmis dans un format traitement de texte, de préférence OpenOffice.org (formats .sxw ou
.odt)  et Word (formats .doc ou .rtf).

        
Le nom des fichiers doit être composé du nom du premier auteur de l’article, suivi d’un ou deux mots significatifs
extraits du titre. Exemple : Traore_desertification.odt.

        
Le texte des articles (hors titre, auteurs, résumés et mots-clés) doit faire 10 000 caractères minimum.

        
Chaque document doit obligatoirement contenir les informations suivantes :

o     
titre du document,

o     
nom, fonction et affiliation des auteurs,

o     
résumé en français et en anglais,

o     
mots-clés en français et en anglais,

o     
liste de références bibliographiques.

 

        
Les noms d’auteurs doivent être écrits en respectant la syntaxe « Prénoms Nom », avec les prénoms en toutes
lettres, et une majuscule seulement à la première lettre de chaque terme.

        
Pour chaque auteur doit être indiqué, directement sous son nom (et non en note
de bas de page
), sa fonction et son organisme d’affiliation. Préciser le développé de tous les sigles utilisés, en respectant la syntaxe « Développé du sigle (SIGLE ) »,
ainsi que le pays, et si nécessaire la ville, où se trouve l’organisme d’affiliation.

        
Le résumé doit être rédigé en français et en anglais, et être d’une taille de 600 à 1 000, caractères, espaces non
compris.

        
Les mots-clés doivent être rédigés en français et en anglais. Chaque article doit contenir environ 5 mots-clés, constitués
de termes simples (« apprentissage ») ou composés (« transfert de compétences », « droit constitutionnel »). Écrire les mots-clés entièrement en minuscules (sauf
sigles et première lettre des noms propres) et les séparer par une virgule et un espace.

        
Utiliser quatre niveaux de titre au maximum.

        
Ne pas mettre de signe de ponctuation (point, point-virgule). N’utiliser de majuscules que pour la première lettre du
titre et des noms propres et pour les sigles.

        
Appliquer autant que possible le style de paragraphe « Titre 1 » aux titres de chapitres de niveau
1,  le style de paragraphe « Titre 2 » aux titres de chapitres de niveau 2, etc. À défaut, la numérotation des titres est obligatoire. Elle
doit être faite manuellement (et non par des fonctionnalités du logiciel) et d’une façon qui permette de repérer clairement les niveaux de titres.
Par exemple :

o     
I, II… pour les titres de niveau 1 ;

o     
A, B… pour les titres de niveau 2 ;

o     
1, 2… pour les titres de niveau 3 ;

o     
a, b… pour les titres de niveau 4.

 

        
Les citations sont à écrire autant que possible dans des paragraphes spécifiques, en leur appliquant le style de
paragraphe « Citation ». Exemple : «Idéalement, une revue se dote de trois instances : l’instance scientifique, l’instance de lecture, l’instance de rédaction. »
(LEGENTIL-GALAN, 2001)

        
Les illustrations (figures, dessins, photos…) et les tableaux doivent être numérotés, et appelés dans le corps du
texte.

        
Numéroter :

o     
les tableaux en chiffres romains, en plaçant leur titre au-dessus du tableau.

o     
les figures en chiffres arabes, en plaçant leur titre au-dessous de la figure.

 

        
Les équations doivent être numérotées, et appelées dans le corps du texte. Les numéros doivent être écrits en chiffres
arabes, entre parenthèses, et placés à l’extrême droite de la ligne de l’équation.

        
Utiliser systématiquement des notes de bas de page, et non des notes de fin de fichier.

        
Le traitement des informations bibliographiques doit être conforme aux normes ISO 690-1 (1987) et ISO 690-2 (1998).

 

Jean François A. VERNE

Ph.D | Revue et Publications

Faculté de Gestion et des Sciences Commerciales | Université Saint-Esprit de Kaslik

jeanfrancoisverne@usek.edu.lb

Symposium Innovation dans les Loisirs Sportifs de Nature

2e appel à communications

 

Le réseau de chercheurs et d’experts en sports de nature et de montagne sportsnature.org s’investit depuis 10 ans
dans la production et la diffusion de la recherche ainsi que dans l’animation scientifique, relatives à ce domaine. Pour marquer l’événement, un symposium international est organisé les 19, 20 et
21 novembre 2008 au CERMOSEM (UMR PACTE, Laboratoire Territoires) sur le site du Pradel en Ardèche. La thématique retenue pour cette manifestation portera sur « l’innovation et les loisirs
sportifs de nature, rétrospectives et perspectives ». La date limite d’envoi des dernières propositions de communication est fixée au 30 septembre 2008. Toutes les informations concernant cet
événement sont accessibles à partir du portail internet [http://www.sportsnature.org/]

Ayant déjà reçu plus de 50 réponses suite au premier appel à communications, et désirant approfondir certaines
thématiques nous vous proposons donc un délai supplémentaire pour nous soumettre vos résumés.

 

Nous vous remercions de diffuser cette information, le plus largement possible, au sein de vos réseaux. Dans
l’attente de vous rencontrer à cette occasion, bien cordialement.

 

Pour le comité d’organisation

Le président de sportsnature.org

Jean Corneloup

Contact du secrétariat technique du colloque

Histoire des entreprises du transport, évolutions comptables…

14es Journées d’histoire de la comptabilité et du management – Academy of Accounting Historians 2009 Research
Conference

 

Appel à communications

Université Paris-Sud 11, les Jeudi 26 et Vendredi 27 mars 2009.

 

Les Journées d’Histoire de la Comptabilité et du Management (JHCM) constituent, depuis leur première édition, en
1995, un rendez-vous annuel incontournable pour ceux qui ’intéressent à l’épaisseur temporelle des problèmes de gestion. Elles rassemblent des gestionnaires et des historiens, mais aussi des
sociologues, des juristes et des économistes. Pour 2009, l’Academy of Accounting Historians a choisi de s’associer à l’événement et de faire de ces 14es JHCM son colloque de l’année, ce qui leur
conférera un caractère international encore plus marqué.

Toutes les propositions de communications seront accueillies avec bienveillance, mais nous souhaitons néanmoins
proposer un thème. Ainsi, l’Association Francophone de Comptabilité, l’Academy of Accounting Historians, le Laboratoire d’Histoire Economique, Sociale et des Techniques (LHEST) de l’université
d’Evry et le laboratoire de Pilotage Economique et Social des ORganisations (PESOR) de l’université Paris-Sud 11 lancent cet appel à communication sur le thème :

Histoire des entreprises du transport, évolutions comptables et managériales

 

L’histoire des entreprises liées au transport apparaît comme une voie privilégiée pour mieux comprendre les
évolutions en comptabilité tant dans le domaine commercial, industriel que financier.

On connaît le rôle de l’essor du commerce maritime à partir du XIIe siècle (autour des ports de Gênes ou de Venise) dans
l’émergence de la comptabilité en partie double, mais tant reste à découvrir.

Au cours des deux derniers siècles, l’apparition de grandes entreprises de la construction ferrée, des chantiers
navals, de l’automobile ou de l’aéronautique, a nécessité de nouveaux outils de comptabilité et de contrôle. Suivre l’influence de cette industrie du transport sur le développement des techniques
de gestion met en perspective la pertinence actuelle de celles-ci.

Les compagnies chargées d’exploiter les réseaux maritimes, terrestres ou aériens, eurent recours au marché des
capitaux pour assurer leur croissance : la comptabilité, la communication financière, ont évolué afin de fournir à ces investisseurs une information fiable. En retracer l’histoire contribue à
éclairer des enjeux qui demeurent contemporains.

 

 

Calendrier :

Soumission des communications : 15 novembre 2008

Retour des évaluations : 31 janvier 2009

Contact :
henri.zimnovitch@u-psud.fr

MOBILITE DU SALARIE dans un monde globalisé

Appel à communications

Université du littoral Côte d’Opale

Laboratoire de Recherche sur l’Industrie et l’Innovation

Site de Saint-Omer (62)

http://rii.univ-littoral.fr

MOBILITE DU SALARIE dans un monde
globalisé

MOBILITE INTERNE ET EXTERNE DU
SALARIE

Langues : français et anglais,

Pendant longtemps la mobilité interne du salarié a été un moyen de progresser dans son emploi, parfois aussi de s’adapter aux changements technologiques. Aujourd’hui, de plus en plus souvent, le salarié doit être mobile soit pour trouver un emploi ou pour le conserver, d’où deux grands types de mobilité :

la mobilité interne : changement de poste, flexibilité des horaires,
heures supplémentaires, déplacements… Le salarié voit son poste de travail et parfois son contrat se modifier imperceptiblement et même substantiellement.

la mobilité externe : délocalisation de sites de production, implantation d’unités de production à l’étranger… le salarié est souvent victime de décisions stratégiques qui mènent parfois à la modification de son contrat.

Plusieurs questions se posent :

1/ Où est la frontière entre les mobilités externes et internes ?

2/ Quelles sont les caractéristiques de ces différentes formes de mobilité ?

3/ Quelles en sont les conséquences sur la carrière du salarié ?

4/ Quelles en sont les conséquences sur les performances de l’entreprise ?

Le colloque vise à construire un espace de discussion pour les chercheurs en droit du travail, en sciences sociales, en entrepreneuriat, en gestion de l’entreprise, en gestion des ressources humaines, en économie,… ainsi qu’un espace d’échanges avec les chefs d’entreprise autour du thème « de la mobilité interne comme externe du salarié ».

LIEU ET ORGANISATION :

Ce colloque est organisé par LABRII. Il se tiendra à l’Université du Littoral Côe d’Opale sur le site universitaire de Saint-Omer.

Les résumés et les contributions devront être soumises à l’adresse suivante : Secrétariat du département GACO, par mail à marc_richevaux@yahoo.fr

L’adresse de l’auteur doit apparaître sur le résumé. La décision d’acceptation du comité d’organisation et le
rattachement à l’un des ateliers seront communiqués à cette adresse.

PLANNING :

Délai pour la soumission des résumés : jeudi 30 octobre 2008

Décision d’acceptation : jeudi 13 novembre 2008

Date du colloque : jeudi 4 décembre 2008

PUBLICATION :

Les contributions au colloque seront regroupées pour faire l’objet d’un ouvrage collectif.

Comité d’organisation :

Sophie BOUTILLIER, Université du Littoral, France

Philippe ENCLOS Université Lille 2, France

Marc RICHEVAUX,Université du Littoral, France

Françoise Vandenberghe, Université du Littoral, France

Jeanne Marie Wailly, Université du Littoral, France

Comité scientifique :

Sophie Boutillier, Université du Littoral, France

Philippe Enclos Université Lille 2, France

Blandine Laperche, Université du Littoral, France

Clotaire Mouloungui Université du littoral

Marc Richevaux, Université du littoral, France

Constantin Salavastru, Université de Iasi, Roumanie

Dan Top, Université Valahia Targoviste, Roumanie

Dimitri Uzunidis, Université du Littoral, France

Eric Vernier, Université du littoral, France

11e Conférence Internationale IBIMA


La 11e Conférence Internationale IBIMA (International Business Information Management Association) se déroulera au Caire (Egypte) du 4 au 6 janvier 2009.

Comme chaque année, la conférence est ouverte aux travaux de recherche en management, marketing, systèmes d’information, stratégie, organisation… en lien avec les technologies de l’information et
de la communication. L’ensemble des thématiques proposées et l’appel à communication sont accessibles sur le site web de la conférence :

http://www.ibima.org/Cairo2009/index.html

Deux types de contributions pourront être présentés :
– article de recherche complet (5000 mots environ),
– article de recherche en cours (5 pages max.).

Les papiers peuvent être soumis en anglais ou en français. Les papiers en anglais sont à envoyer à Cairo2009@ibima.org ; pour la session en français, les papiers sont à envoyer à Thomas Stenger à
l’adresse suivante : stenger@iae.univ-poitiers.fr

12e Colloque Etienne THIL par Yves Soulabail

8 et 9 octobre 2009

La Rochelle

APPEL A COMMUNICATION

Le colloque Etienne THIL réunit tous les ans à La Rochelle professionnels et universitaires autour du thème de la distribution, rendantà l’œuvre de ce praticien et théoricien de la révolution du commerce moderne. Créé en 1998 par l’Association « Rencontres Etienne Thil – Université – Commerce », le colloque met sur la transdisciplinarité et l’échange entre le monde de l’entreprise et le monde académique. Depuis l’origine, il est par excellence le forum annuel de tous ceux qui sont concernés par l’étude et les mutations du commerce, tant pour le management et le marketing des entreprises, que pour les dimensions économiques, sociologiques, juridiques et même historiques d’une fonction
centrale de la vie sociale.

Thèmes des communications

Nous vous invitons à développer des perspectives originales sur le management de la distribution en général (ressources humaines et organisation, management stratégique, finance, logistique...) ainsi que des perspectives nouvelles en marketing de la distribution et plus particulièrement :
Le comportement du consommateur sur le lieu de vente
Les relations industrie-commerce
L’innovation dans la distribution (concepts, services, marques, technologies…)
Les cultures de consommation et la distribution
Le category management et l'animation commerciale
Le management des ressources humaines
Le management des canaux de distribution
L'histoire et la géographie du commerce
Les aspects juridiques dans le commerce
La dimension internationale de la distribution

Le prix « Dia-Mart » d’une valeur de 2 500 euros sera décerné à la meilleure communication
jeune chercheur

 

Publication des communications

 

Les communications présentées seront publiées sous forme d’Actes sur CD-ROM.

Comité scientifique

Sous la présidence de Sandrine CADENAT – Université Paris XII

David ALIS – Université de Rennes I

Abdelmajid AMINE – Université Paris XII

Blandine ANTÉBLIAN – IAE Université de Dijon

Olivier BADOT – ESCP-EAP

Guy BASSET – Université de Rennes I

François BOBRIE – IAE Université de Poitiers

Gaël BONNIN – EDHEC

Joël BRÉE–Université de Caen

Steve BURT –University
of Sterling, Ecosse

Jean-Jack CEGARRA – ESA, Beyrouth

Sophie CHANGEUR – Université de Picardie

Ian CLARKE– Université de Durham, Grande-Bretagne

Gérard CLIQUET – Université de Rennes I

Enrico COLLA – Négocia

Patricia COUTELLE–Université de Tours

Denis DARPY – Université Paris-Dauphine

Benoit DEMIL – Université de Lille I

Véronique DES GARETS– Université de Tours

Pierre DESMET – Université Paris-Dauphine

Michel DIETSCH – IEP de Strasbourg

Delphine DION– IAE de Paris

Pierre Louis DUBOIS – Université Paris II Panthéon-Assas

Marc DUPUIS – ESCP-EAP

Jean-Yves DUYCK– Université de La Rochelle

Michel FILY – IUT de Quimper

Marc FILSER – IAE  Université de Dijon

Karine GALLOPEL– Université de Rennes I

Marie-Laure GAVARD-PERRET– Université de Grenoble II

Francis GUILBERT – Université de Lille 1

Irène GIL SAURA– Université de Valence

Marie-Louise HELIES-HASSID – Université Paris-Dauphine

Elisabeth HOWARD – Templeton College, Oxford, Grande-Bretagne

Joël JALLAIS– Université de Rennes I

Michel KALIKA – Université Paris-Dauphine

Blandine LABBE-PINLON – Audencia

Richard LADWEIN – Université de Lille I

Virginie MAILLE – CERAM Sophia- Antipolis

Karim MESSEGHEM – Université de Montpellier I

Laars MEYER-WAARDEN – IUT Toulouse III

Gilles N’GOALA – Université de Montpellier II

Patrick NICHOLSON – Université de Lille II

Gilles PACHE– Université de Montpellier I

Daniele PEDERZOLI – ESC Rouen
Rozen PERIGOT – Université de Rennes I

Christine PETR–Université de Rennes I

Véronique PLICHON – Université de Tours

Suzanne PONTIER – Université Paris XII

Eric REMY – Université de Rouen

Valérie RENAUDIN – Université Paris-Dauphine

Sophie RIEUNIER– IAE de Paris

Isabelle SUEUR– Université de La Rochelle

Elisabeth TISSIER-DESBORDES – ESCP- EAP

Anne-Sophie TOURTOULOU – HEC

Régine VANHEEMS –Université Paris I

Eric VERNETTE– Université de Toulouse I

Bénédicte VIDAILLET – IAE Université de Lille I

Pierre VOLLE – Université Paris-Dauphine

Joachim ZENTES – Université de Sarrebruck, Allemagne

Calendrier

Nous attirons votre attention sur le changement concernant la procédure de soumission de cette édition 2009 :

Envoi d’un résumé de 2 à 3 pages, faisant figurer la problématique de la recherche, l’éclairage théorique mobilisé,
la méthodologie utilisée, les résultats obtenus et les implications opérationnelles qui en découlent, avant le 30 mars 2009 par courrier électronique, exclusivement, en format Word aux DEUX ADRESSES suivantes : Florence de Ferran : florence.de_ferran@univ-lr.fr ET Sandrine Cadenat : cadenat@univ-paris12.fr

Retour aux auteurs avec les avis du comité scientifique au plus tard le 30 avril 2009

Envoi des communications complètes avant le 9 juillet 2009

Comité d’Organisation

Pour tout renseignement, contacter Florence de FERRAN Tél. :
05.46.50.76.00  / fax : 05.46.50.76.09 Mél : florence.de_ferran@univ-lr.fr

Instructions aux auteurs

Les communications retenues seront publiées dans les actes du colloque. Elles peuvent être rédigées en français ou
en anglais. Les auteurs doivent se conformer aux instructions aux auteurs du journal Décisions Marketing. Nous attirons l’attention des auteurs sur la nécessité de développer particulièrement les résultats et les implications opérationnelles de leur recherche, le colloque ayant pour vocation d’intéresser également des professionnels du secteur (conseil, études marketing, etc.). Les aspects méthodologiques peuvent aisément faire l’objet d’encadrés, d’annexes ou de références additionnelles extérieurs à la communication, afin d’éviter de perdre en lisibilité pour les non spécialistes. Dans cet objectif, les auteurs ajouteront en complément de la 1re et 2page (cf. instructions aux auteurs de Décisions Marketing), une 3e page constituée d’un résumé managérial d’une page, en prenant exemple sur les résumés du Journal of Retailing.

Université de La Rochelle – Institut de Gestion 39 rue de Vaux de Foletier 17024 La Rochelle cedex 1

Appel à textes

Genesis – Revue Italienne d’histoire des femmes et du genre – Appel à textes

Travail précaire/travail flexible ?

Numéro monographique sous la direction d’Anna Bellavitis et Simonetta Piccone Stella

L’opposition entre travail « précaire » et travail « stable » n’a, pour les époques antérieures à l’époque contemporaine, qu’un sens limité : on pourrait en fait
penser que tout travail est « précaire » sous l’Ancien Régime. En réalité, des formes de protection sociale, des contrats, des règlements existaient aussi, mais c’est justement par rapport au
degré d’organisation, de réglementation et de protection du travail qu’il y avait des différences et des déséquilibres entre hommes et femmes. La présence limitée des femmes dans les corps de
métier et dans l’apprentissage réglementé par ces derniers est une réalité déjà bien étudiée, qui connaît toutefois des exceptions significatives. Certaines recherches ont même démontré que, pour
les femmes, il était parfois plus intéressant de rester en dehors des structures corporatives, pour travailler à leur propre compte ou dans l’atelier familial et remplacer, en tant que veuves, le
mari, et maître artisan, dans la boutique. Dans la plupart des cas, toutefois, flexibilité, mobilité, précarité n’étaient pas une condition choisie, mais une réalité subie. Comment les femmes
géraient-elles cette situation ? Que peut-on en dire à partir des sources disponibles et des biographies qu’il est possible de reconstruire ? Quelle était la réponse des institutions urbaines,
étatiques, religieuses face à cette réalité ? Comment s’exprimait la concurrence entre travail organisé et travail « libre » ?

À l’époque contemporaine, la flexibilité a été explicitement incluse dans l’organisation du travail, comme une
exigence du système de production post-fordiste et la précarité en est devenue une conséquence fréquente, notamment pour la force de travail féminine. Précarité ne signifie pas seulement absence
de garanties, mais aussi absence de protection: on est protégé seulement pendant qu’on travaille, et on est privé de toute protection quand le contrat de travail arrive à échéance. Être «
précaire » signifie aussi être mal

payé ou l’être de façon discontinue. On assimile souvent le travail flexible et précaire aux conditions de vie des
femmes, habituées à alterner travail pour la famille et travail pour le marché. Il serait intéressant de comprendre comment, hier et aujourd’hui, les femmes répondent à cette situation, en
acceptant ou en refusant cette assimilation. On considère trop souvent un choix ce qui est en réalité le fruit de conditions imposées, où toute alternative est en réalité inexistante.

La revue Genesis prépare un numéro monographique sur les différentes formes de la précarité féminine, sur ses
manifestations à des époques différentes, du Moyen Âge à l’époque contemporaine. Les propositions et les articles peuvent être en Français, ou en Anglais, la rédaction se chargera de les traduire
en Italien.

Date limite pour l’envoi des propositions (20-30 lignes) : 28 février 2009.

Date limite pour l’envoi des articles (40-50.000 signes) : 30 juin 2009.

Propositions et articles à envoyer par mail à : Anna Bellavitis : bellavitis@noos.fr

Simonetta Piccone Stella : simonetta.piccone@uniroma1.it

Genre en mouvement : conflits, négociations et recompositions

Les mutations économiques, sociales et culturelles qui bouleversent l’ensemble des sociétés contemporaines donnent
lieu à une redéfinition des rôles, statuts et positions sociales des femmes et des hommes. Ce colloque entend interroger les asymétries communément admises et faire la lumière sur les
contreparties subies (conflits, violences, stratégies de contournements des normes sociales) lorsque les individus investissent des champs allant à l’encontre de l’ordre établi : quelles
transformations des rapports de genre ? Quelles recompositions des identités ? Quelles modalités de négociation de la place de l’individu ? Dans une perspective interdisciplinaire, il s’agit de
faire le point, à travers le prisme du genre, sur la variété des négociations individuelles et collectives du rapport aux normes sociales.

 

Colloque international

Université Paris Diderot

Du 30 septembre au 2 octobre 2009

 

Comité d’organisation : équipe du programme « femmagh »

·  Marie-Pierre ANGLADE (Architecture et sociologie, Université de Tours ; LAUA – École d’Architecture de Nantes)

·  Leïla BOUASRIA (Sociologie, Université Mohammed V, Rabat, Maroc)

·  Mériam CHEIKH (Anthropologie, aspirante FNRS – Université Libre de Bruxelles, Université de Provence).

·  Fanny DEBARRE (Ethnologie, Université Paris X Nanterre)

·  Véronique MANRY (Sociologie, LAMES, Aix-en-Provence ; Transverscité, Marseille)

·  Camille SCHMOLL (Géographie, Université Paris Diderot)

 

Le programme de recherche FEMMAGH (2007-2009), « Mobilités sociales des femmes au Maroc : conflits, négociations et nouveaux
rapports sociaux »
, s’inscrit dans le cadre du programme thématique en sciences humaines et sociales de l’A.N.R. « Conflits, guerre(s), violence ».

 

Comité scientifique

· 
Lila ABU LUGHOD (Anthropologie, Columbia University, New York)

·  Nadine CATTAN (Géographie, CNRS, Géographie-cités, Paris)

·  Eric FASSIN (Sociologie, ENS, Paris)

·  Gabriella GRIBAUDI (Histoire, Università degli Studi di Napoli Federico II, Naples)

·  Gabrielle HOUBRE (Histoire, ICT, Université Paris Diderot)

·  Azadeh KIAN-THIEBAUT (Sciences Politiques, CEDREF, Université Paris Diderot)

· 
Eleonore KOFMAN (Géographie, Middlesex University, Londres)

·  Michel PERALDI (Socio-anthropologie, Centre Jacques Berque, Rabat)

· 
Geraldine PRATT (Géographie, University of British Columbia, Vancouver)

·  Catherine QUIMINAL (Socio-anthropologie, CEDREF-URMIS, Université Paris Diderot)

·  Diane SINGERMAN (Sciences politiques, American University, Washington DC)

·  Christelle TARAUD (Histoire, Centre de Recherche en Histoire du XIXème siècle et Columbia University, Paris)

·  Mohamed TOZY (Sociologie politique, LAMES, Université de Provence, Aix-en Provence)

 

Thématique transversale du colloque

Les mutations économiques, sociales et culturelles qui bouleversent l’ensemble des sociétés contemporaines donnent lieu à une redéfinition des
rôles, statuts et positions sociales des femmes et des hommes. Cette réorganisation des rapports de genre oblige à repenser les cadres d’analyse du genre mais aussi l’agencement et la fabrique
des féminités et des masculinités.

Parmi les enjeux de la recherche sur cette question, on peut noter d’abord que les transformations des rapports de genre ne se produisent pas
nécessairement sous la forme d’une mobilité propre à résorber les inégalités entre les sexes. L’asymétrie de départ entre les hommes et les femmes, entre féminin et masculin, demeure souvent mais
connaît des changements et une redéfinition.

La recomposition des statuts et des identités sexuelles ne peut plus être pensée sous l’unique forme d’une évolution linéaire dans la mesure où
les déplacements qui s’opèrent par rapport aux normes ne se limitent pas à des remises en question définitives mais comportent des réinterprétations et des repositionnements par rapport à
celles-ci.

Enfin, de même que des femmes aux pratiques transgressives s’efforcent de réajuster et de réinvestir, ou de se conformer aux normes, certaines
composantes de la masculinité sont à comprendre comme des injonctions pouvant être vécues par les hommes, bien qu’en position dominante, comme problématiques. Ainsi, d’une part, des normes telles
que l’hétérosexualité et des valeurs telles que la virilité, souvent impensées et catégorisées comme dominantes et oppressantes pour les femmes, demandent à être réexaminées. D’autre part,
certaines pratiques de femmes envisagées en termes de subversion, de stratégies d’autonomie ou d’agency lorsqu’elles s’éloignent des normes, vont parfois être corrigées, rectifiées mais aussi
cachées, dissimulées par le secret et le mensonge. Ainsi, les femmes s’octroient une marge de manœuvre leur permettant de mettre entre parenthèses un renversement et de maintenir l’ordre, mais
aussi de résorber la charge agressive ressentie face à de tels renversements.

En bref, la norme nécessite une attention renouvelée qui ne la définisse pas seulement comme oppressante et en opposition à des pratiques et
représentations à contre-courant, mais qui prenne aussi en compte son utilisation dans les trajectoires et les réalisations des unes et des autres. En outre, la combinaison de différents
registres de normes génère des tensions et de possibles contradictions avec les représentations et les pratiques dans l’ensemble des champs sociaux.

Ces tensions peuvent se traduire par des conflits et des violences lorsque, de façon visible, certaines pratiques défont les rôles assignés aux
acteurs. En retour, des logiques de stratégies, de négociation et/ou de contournement naissent pour prévenir ou résoudre de tels conflits. Quand elles ont lieu, cependant, les violences
apparaissent bien souvent comme des tentatives de réaffirmer l’existence d’un seul « ordre des choses » face à des pratiques qui en dévient ostensiblement. La variété de nature de ces
violences sans cesse renouvelées – physiques, psychologiques, sociales et symboliques – complexifie par ailleurs leur étude qualitative.

Par ailleurs, l’enchevêtrement de ces divers univers de normes et de valeurs rend également inconfortables les aspirations des individus engagés
dans des « individualisations sous contrainte », c’est-à-dire des processus qui peuvent ressembler à une quête d’autonomie mais qui restent fortement orientés par une série de
contraintes et provoquent des souffrances.

 

Les communications autour des axes thématiques suivants seront particulièrement encouragées :

 

Axe 1 : Travail, sphère économique et marché de l’emploi

Si les femmes ont toujours occupé une fonction dans la sphère productive, celle-ci prend désormais une forme davantage contractualisée et
reconnue tant socialement qu’économiquement. La participation féminine au marché de l’emploi revêt des formes multiples (salariat, entrepreneuriat, activités informelles, travail précaire…) qui
recouvrent des situations contrastées et traduisent autant de stratégies d’autonomisation que de contraintes économiques et sociales qui doivent être analysées. La nouvelle segmentation des
activités économiques a pour corollaire une dérégulation et une dégradation du marché de travail. Cette évolution de la sphère productive et économique entraîne un renouvellement des stratégies
d’accès aux ressources qui se diversifient et déplacent les frontières entre les rôles masculins et féminins qui restent à redéfinir et à expliciter.

 

Axe 2 : Famille, solidarités et inégalités

Si la famille continue de jouer le rôle de garant socio-économique en tant que régulateur stable des solidarités et interconnaissances, elle
apparaît néanmoins aujourd’hui comme le lieu possible d’émergence d’inégalités fortes dans le sens où elle permet la construction de jugements stigmatisants vis-à-vis de l’individu-membre. En
effet, le constat d’un double mouvement à l’œuvre dans le rapport aux normes familiales semble propice au questionnement : la reconduction des normes sociales au sein de la famille
permettant sa survie matérielle dans un contexte économique de plus en plus incertain, ne s’avère pas incompatible avec les choix, par les membres de la famille, de trajectoires différentes
(transgressives ou conformes), qui en appellent à une multiplicité de référents culturels (transnationaux ou pas) et révèlent l’émergence d’aspirations individuelles. Si les écarts aux normes
mettent en péril les solidarités familiales, ils contribuent néanmoins à l’émergence de nouvelles stratégies de négociation qui tentent de sauvegarder les liens de sociabilités en les recomposant
sous de nouvelles formes. Il s’agit ici de s’interroger sur les conflits et violences inhérents à ces changements sociaux. Par ailleurs, les processus de mutation dans les sphères publique et
productive ne sont pas sans impact sur la sphère familiale. Il s’avère alors nécessaire de confronter différents regards sur les transformations des configurations familiales, notamment en
situations de rupture, et en particulier des rapports de genre et de génération au sein de la famille pour faire apparaître les processus de redéfinition des places et des rôles.

 

Axe 3 : Intimités et sexualités

Il convient de remarquer combien cette sphère semble souvent envisagée dans la limite de l’intimité des espaces privés. Or, il semble qu’en
l’articulant aux autres sphères sociales, nous puissions nous libérer des cadres dichotomiques classiques (privé vs public) et souligner l’importance influence des bouleversements
« extérieurs » en son sein. Articuler la réflexion sur l’intimité et la sexualité avec les autres thématiques proposés semblent, par conséquent, à même d’interroger les modes et sources
d’apprentissage qui façonnent la fabrique de la sexualité autant que les manières dont l’intimité s’agence et joue avec les dualismes qui la pensent : marges / centres ;  mais aussi avec le
secret, la mise en discours, etc.

 

Axe 4 : Marginalités et transgressions

Les recherches rendent plus souvent compte que par le passé des faits de marginalités sociales et de transgressions des normes concernant les
femmes : sans-abri, toxicomanies, prostitution, conduites agressives, bandes de rue, questionnement de la prévalence masculine de l’infraction délictueuse… autant de modes de vie et pratiques à
interroger à nouveau à l’aune de ce qu’il en coûte de braver les interdits. Dans ce sens, il s’avère nécessaire aujourd’hui de montrer dans quelle mesure le genre affecte l’irruption de pratiques
violentes dans des situations de transgression des normes sociales, sans pour autant présumer du lien entre violences et précarité socio-économique. Il s’agira donc ici de mettre en lumière moins
les formes de la marginalité sociale que les processus qui ont favorisé l’émergence de violences, ainsi que les modes de négociation féminins dans les tentatives de gérer les conflits et limiter
leurs effets. Les efforts de compréhension des pratiques transgressives masculines, de leur perception et de leur articulation avec le féminin viendront compléter le portrait du vécu des
situations marginales.

 

Axe 5 : Formes sociales et espaces des violences

La configuration des espaces permet les différences entre pratiques féminines et masculines. Questionner les modalités d’accès à l’espace a
ainsi pu révéler les dissymétries dans les vies quotidiennes, notamment autour des dichotomies privé / public, espaces diurnes / nocturnes, logement / espaces de
travail, etc. L’étude des processus différenciés de territorialisation en lien avec ces dichotomies et l’observation des pratiques socio-spatiales qui les sous-tendent peuvent-elles faire
apparaître des différences de nature des violences et conflits ? Au-delà de la question de l’envergure de l’investissement politique des habitants, les règlements de conflits à l’échelle
interpersonnelle laissent-ils présager la construction de solutions différentes selon les lieux ? Dans quelle mesure l’issue des conflits et l’émergence de violences liées à l’espace
sont-elles fonctions du genre ?

 

Axe 6 : Mobilités et circulations

Dans quelle mesure, les différentes formes et pratiques de mobilité spatiale (circulations, migrations, mobilités quotidiennes, etc.) sont-elles
révélatrices de particularités genrées ? Les transformations des mobilités féminines peuvent-elles être vecteurs de changement social ? Le cas des mobilités internationales pourra, entre autres,
faire l’objet de propositions de communications. Un migrant sur deux est une femme. Les migrations « autonomes » se généralisent, et les migrantes, qu’elles partent
« seules », en famille ou en couple, développent des projets individuels. Les motivations au départ des femmes doivent être interrogées dans leur singularité, à partir certes des
modalités d’insertion et d’investissement économiques, mais aussi des stratégies de promotion sociale et d’épanouissement personnel. La mobilité féminine, quelles que soient ses formes (autonome,
accompagnée ou forcée ; économique, politique, pour études, etc.), transforme également le rôle et la place des femmes et des hommes dans les sphères privée et publique. Il est donc nécessaire de
s’intéresser aux redéfinitions de normes et aux modalités de compensation de l’absence liée à la migration, à l’intensité des liens entretenus avec la famille mais aussi avec les communautés
migrantes, à la multiplicité des identités et des rôles produits par la mobilité, aux différentes pratiques de circulation et à l’impact de ces différents aspects sur les relations de
genre.

 

Axe 7 : Citoyenneté, participation et mobilisations politiques

Dans un contexte de mutations socio-économiques, la variété des aspirations contemporaines en matière de citoyenneté, de démocratie, de droit à
la ville, d’environnement, de droits sociaux… traduit la détresse de certaines réalités sociales (fragilité de l’emploi, mal-logement, discrimination, etc.). Ces mobilisations de la société
civile peuvent être observées sous l’angle des violences ressenties, dans le sens où ces nouveaux modes de mobilisation et de participation permettent l’émergence de nouveaux acteurs et le
renouvellement des objets de débat dans le champ politique. Dans une perspective comparatiste, les changements sociaux à l’œuvre dans les pratiques revendicatrices laissent-ils présasger une
influence genrée sur les modalités de gestion des conflits, ainsi que sur les violences qui en sont issues ?

 

Propositions de communications

Les résumés d’une page maximum (en français ou en anglais) devront parvenir au plus tard le 26 avril 2009 à l’adresse suivante femmagh@gmail.com accompagnés d’un court CV, sur le même fichier, mentionnant l’institution de rattachement, le statut, les
publications récentes relatives à la thématique du colloque et une adresse électronique valide.

Les textes de communications déminitives devront parvenir aux organisateurs avant le 13 septembre 2009, selon les modalités de
présentation communiquées ultérieurement.

 

Frais d’inscription

Les frais incluent les déjeuners et pause café.

Frais standard : 80 €

Pour les doctorants, post-doctorants et chercheurs non statutaires : 20 €

8e journée de recherche sur le e-marketing à la Sorbonne

Université de Paris I Panthéon Sorbonne

11 Septembre 2009

 

APPEL A COMMUNICATION

 

Avec le soutien de l’Association Française du Marketing (AFM) et de l’Association Information et Management (AIM), le
Pôle de Recherche Interdisciplinaire en Sciences du Management (PRISM) organise une journée de recherche sur le e-marketing.

Cette manifestation est l’occasion de s’interroger, d’une part, sur les spécificités comportementales de
l’utilisateur d’Internet et, d’autre part, sur la manière dont les entreprises s’y adaptent par une offre commerciale et technologique adéquate. En ce sens, cette journée de recherche se propose
d’appréhender le phénomène Internet de manière transversale en privilégiant les apports du marketing et des systèmes d’information.

Les papiers proposés peuvent prendre différentes formes : des états de l’art, des recherches en cours, des
résultats d’études empiriques. A titre indicatif, et sans qu’il s’agisse d’une liste exhaustive, il est envisageable de traiter les sujets suivants :

          Facteurs explicatifs du comportement de l’internaute

          Marketing stratégique et Internet

          Acquisition et traitement de l’information sur Internet

          Les nouvelles formes d’intermédiation électronique (agents intelligents, moteurs de recherche, etc.)

          L’interface homme – machine en commerce électronique

          Etudes de marché et Internet

          Design et e-marketing

          Conception virtuelle et e-marketing

          Internet et management du point de vente

          Internet et automatisation de la force de vente

          E-logistique

          Internet et pricing

          Etc.

 

Procédure d’évaluation des
papiers

 

Les communications soumises à cette journée de recherche devront respecter les normes de mise en page de la revue
Recherche et Applications en Marketing. Elles devront être adressées exclusivement par courrier électronique (format RTF) à Jean-François LEMOINE (jflemoine30@hotmail.com).

 

Chaque papier fera l’objet d’une évaluation anonyme par 2 lecteurs.

          Date limite de réception des communications :                              21 Juin 2009

          Retour des avis des lecteurs :                                              13 Juillet 2009

          Date limite de réception de la version finale de l’article :                6 Septembre 2009

 

Marketing

 

          Jean Claude ANDREANI (ESCP-EAP)

          Olivier BADOT (ESCP-EAP)

          Joël BREE (Université de Caen – ESC Rouen)

          Christophe BENAVENT (Université de Paris X Nanterre)

          Sylvain BIARDEAU (Université de Lyon III)

          Jacques BOULAY (ESSCA Angers)

          Jean-Louis CHANDON (Université Aix Marseille III)

          Jean-Marc DECAUDIN (Université de Toulouse – ESC Toulouse)

          Brigitte DE FAULTRIER (ESSCA Angers)

          Pierre-Louis DUBOIS (Université Paris II Assas)         

          Jean-Marc FERRANDI (Université de Nantes)

          Hervé FENNETEAU (Université de Montpellier)

          Marc FILSER (Université de Bourgogne)

          Jean-Philippe GALAN (Université de Toulouse)

          Claire GAUZENTE (Université de Poitiers)

          Jean-Claude GILARDI (Université de Nancy)

          Pierre GREGORY

          Francis GUILBERT (Université de Lille)

          Jean-Pierre HELFER (Audencia-Nantes)

          Patrick HETZEL

          Alain JOLIBERT (ESA Grenoble)

          Richard LADWEIN (Université de Lille)

          Jean-Marc LEHU (Université Paris I Panthéon Sorbonne)

          Jean-François LEMOINE (Université Paris I Panthéon Sorbonne – ESSCA Angers)

          Jean-Pierre MATHIEU (Audencia – Nantes)

          Jean-François NOTEBAERT (Université de Bourgogne)

          Jean-François TRINQUECOSTE (Université de Bordeaux)

          Bertrand URIEN (Université de Bretagne Occidentale)

          Eric VERNETTE (Université de Toulouse)

          Pierre VOLLE (Université Paris IX Dauphine)

          Monique ZOLLINGER (Université de Tours de Tours)

 

Systèmes d’information

 

          Jacky AKOKA (CNAM-Paris et INT)

          Serge BAILE (Université de Toulouse-ESC Toulouse)

          Bernard BALLAZ (ESA Grenoble)

          Dominique BRIOLAT (ESSEC-Paris)

          Ludovic LEBART (ENST Paris)

          Jean-Fabrice LEBRATY (Université de Nice)

          Moez LIMAYEM (City University of Hong Kong)

          Rolande MARCINIAK (Université Paris X Nanterre)

Frantz ROWE
(Université de Nantes)

Collège doctoral international

Collège Doctoral Méditerranéen

Mascara (Algérie)
20-27 juin 2009

Les étudiants qui sont déjà inscrits en thèse sont invités à venir s’inscrire au Collège Doctoral Méditerranéen qui se tiendra à l’Université de Mascara en Algérie en juin prochain.

Les étudiants des deux rives de la Méditerranée pourront confronter leurs recherches dans un cadre pluriculturel qui réunira des professeurs membres de diverses Ecole doctorales des deux rives. Les étudiants pourront se livrer pendant une semaine avec un travail quotidien assisté d’une équipe professorale à leur confrontation de leurs résultats. L’intérêt de cette rencontre est de faire progresser l’avancée des recherches dans un cadre stimulant, de tisser des liens durables entre les chercheurs pour préparer des collaborations scientifiques futures. Ces travaux s’achèveront par une découverte conviviale du pays.

Claude Albagli
Président de l’Institut CEDIMES

Abderrahmane Chenini
Doyen de la faculté de sciences Economiques et gestion

L’Institut CEDIMES et la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de l’Université Mustapha Stambouli de Mascara (Algérie) organisent leur premier collège doctoral international qui se veut une rencontre méditerranéenne de la recherche. Elle se réunira du 20 juin au 27 juin 2009 à Mascara. Les séminaires se dérouleront dans ce site historique de l’Oranie qu’est Mascara, ville d’eau par ailleurs. L’université qui vient d’être reconstruite offre des installations modernes, opérationnelles et confortables qui devraient satisfaire tous les participants. Une cérémonie d’ouverture à laquelle devraient participer de hautes personnalités du Ministère, des Universités et de la représentation diplomatique.

Le public ciblé

Ce séminaire est destiné aux étudiants qui préparent une thèse de doctorat en économie, en gestion, en Sciences de l’information ou en Sciences politiques. Il sera animé par des enseignants de diverses nationalités, mais une part importante viendra des Ecoles doctorales françaises. Une quinzaine d’enseignants participeront à cette formation tant pour des encadrements collectifs qu’individualisés. Des personnalités internationales composeront ce panel. La liste définitive des directeurs de recherche participant à cet encadrement sera communiquée à partir du 15 mars, une fois connues les orientations thématiques des étudiants inscrits afin de mieux répondre à leurs besoins.

Les objectifs de l’école doctorale

L’objectif de ce collège doctoral pour les étudiants est de leur apporter :

  • Un regard extérieur sur l’état d’avancement de leur travail de recherche.
  • Des outils méthodologiques pour conduire et approfondir leur réflexion.
  • Des conseils théoriques et de nouvelles orientations de recherche.
  • Des recommandations empiriques (techniques économétriques et statistiques, bases de données, logiciels de traitement de données).
  • Des références bibliographiques et documentaires.
  • Des méthodes d’exposés Power Point .
  • Des techniques de présentation de la thèse
  • Des expériences pour tester la formulation et les avancées de leur recherche

L’objectif de ce collège doctoral est de favoriser :

  • L’échange scientifique et intellectuel.
  • La diffusion du savoir.
  • L’ouverture sur des cultures différentes.
  • La rencontre avec de jeunes chercheurs dans la perspective de la mise en place de programmes de recherche communs.
  • La promotion de la direction, co-direction et cotutelle de thèses.

Les travaux seront réalisés en trois temps.

  • Des animations globales intéressant l’ensemble des étudiants
  • Des animations resserrées sur des thèmes en ateliers simultanés
  • Des suivis personnalisés

L’organisation

Les travaux seront menés sur cinq jours pleins.

Ils se décomposeront en séances globales qui concerneront l’ensemble de la cohorte. Des ateliers thématiques seront ensuite organisés pour resserrer davantage les discussions sur des aspects plus pointus dans les controverses théoriques abordées, enfin, un suivi personnalisé complètera ce dispositif.

Les étudiants seront amenés à présenter leurs travaux. Il ne s’agira pas alors de résumer l’ensemble de la recherche, mais de répondre à un questionnement utile qui permettra à l’étudiant de tester sa capacité à synthétiser sa pensée, à déterminer les controverses que porte son sujet, à évaluer les résultats attendus de l’orientation de sa recherche… Les méthodes pédagogiques seront très interactives pour permettre la meilleure progression possible.

Ils seront l’occasion pour les étudiants de rencontrer des spécialistes de leur discipline et d’avoir en plus des séminaires, de nombreuses opportunités de discussions avec ces intervenants dans un cadre qui veillera à associer la rigueur et la convivialité. La semaine s’achèvera par une journée et demie de détente découverte de l’Algérie et un partage interculturel euroméditerranéen et des rencontres avec des représentants de l’Afrique subsaharienne, de l’Amérique Latine ou de l’Asie.

Conditions d’inscription

Les étudiants doivent adresser à l’institut CEDIMES

Une fiche de candidature au séminaire doctoral comprenant l’exposé de la problématique de leur thèse.

Une fiche relatant les principaux éléments de votre sujet de thèse.

Une fiche d’inscription au CEDIMES, une photo et une cotisation 22 €

Les frais d’inscription à la formation doctorale sont de 75 € si celle-ci est effectuée avant le 15 mars 2009. Ils sont de 100 € après cette date.

La prise en charge s’effectue du bas de la passerelle de l’avion à la remontée dans l’avion. Elle comprend la navette de Oran à Mascara, l’hébergement et les repas ainsi que l’excursion.

Ne sont pas pris en charge les frais de transport aériens pour arriver jusqu’à Oran.

Un certificat d’inscriptions sera retourné à l’étudiant à l’adresse qu’il aura fournie. Ce certificat pourra éventuellement lui permettre d’obtenir auprès de son Ecole doctorale, un financement de son billet d’avion et un remboursement de ses frais d’inscription.

Procédure d’inscription

Les cotisations et les frais d’inscription doivent être retournés à l’adresse suivante avec la Fiche CEDIMES et la Fiche inscription au Collège Doctoral

INSTITUT CEDIMES
Collège Doctoral de Mascara
Campus du Jardin Tropical de Paris
Campus de la Mondialisation et du Développement Durable
45 bis Avenue de la Belle Gabrielle
94736 – Nogent/Marne.

la Fiche CEDIMES (ne pas oublier la photo) et la Fiche inscription doivent être également retournées par courriel à abdchenini@yahoo.fr pour Abderrahmane Chenini, Doyen de la Faculté de Mascara

jeancharlessida@yahoo.fr pour Jean-Charles Sida, Secrétaire Général de l’Institut CEDIMES

La fiche Thèse doit être adressée par courriel à danielabaronne@yahoo.fr pour Daniel Labaronne, Coordonnateur du Collège doctoral

Pour les étudiants Algériens
(en thèse en Algérie) les étudiants sont dispensés des frais d’inscription de 75 € qui sont directement pris en charge par l’organisation du Collège Doctoral. Les cotisations au CEDIMES seront directement versées à Mascara en Euros ou monnaie nationale.

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