Archives de catégorie : Ecoles

Télécom Ecole de Management est accréditée AACSB pour 5 ans

Télécom Ecole de Management vient d’être accréditée par l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business) pour une durée de 5 ans. Il s’agit de la deuxième accréditation internationale obtenue par l’école en l’espace d’un an, après l’AMBA en 2011. En France, Télécom Ecole de Management est le premier établissement public d’enseignement supérieur à obtenir deux grandes accréditations internationales. Elle fait désormais partie des 14 business schools françaises doublement accréditées AACSB et AMBA : Audencia Nantes, Bordeaux EM, EDHEC, EM Lyon, ESCP Europe, Euromed Marseille, Grenoble EM, Groupe Sup de Co Montpellier, HEC, INSEAD, Reims Management School, Rouen Business School, Toulouse Business School et Télécom Ecole de Management.

Le positionnement original de l’école salué par l’AACSB

L’AACSB labellise la stratégie de Télécom Ecole de Management et la qualité de ses formations. Les auditeurs ont également souligné la pertinence du positionnement de l’école basé sur la double expertise en management et technologies. Cette originalité reprise dans la signature de l’école, Managing Through Technology, distingue Télécom Ecole de Management sur le marché standardisé des business schools.

Un établissement public parmi les 650 meilleures business schools du monde

En France, Télécom Ecole de Management est le premier établissement public d’enseignement supérieur à obtenir deux grandes accréditations internationales, l’AACSB et l’AMBA. « Il existe environ 12 000 busines schools dans le monde. Nous sommes fiers de faire partie des 650 meilleures
d’entre elles, accréditées par l’AACSB
, affirme Denis Lapert, directeur de Télécom Ecole de Management. Cela démontre que l’on peut conjuguer l’idée de service public, avec les exigences de la compétitivité internationale ». La mission de service public de Télécom Ecole de Management se matérialise par un modèle social performant avec 38% d’étudiants boursiers (51% en 1re année), un budget élevé de 14 000 euros investi sur chaque étudiant et un taux d’encadrement serré d’un professeur permanent pour 16 étudiants. L’école propose également la scolarité la moins chère parmi les business schools françaises : 5 000
euros par an à partir de la rentrée prochaine.

L’AACSB : un nouveau levier stratégique pour Télécom Ecole de Management

Avec l’AACSB et l’AMBA, Télécom Ecole de Management conforte sa place parmi les meilleures business schools françaises. L’AACSB offre à l’école une visibilité supplémentaire pour attirer davantage d’étudiants et professeurs internationaux de haut niveau, et développer ses alliances avec des universités prestigieuses. « Nous allons renforcer notre présence dans les grands clusters technologiques aux Etats-Unis, en Inde et en Scandinavie pour travailler sur deux axes : la création de valeur dans l’économie numérique et la réflexion critique sur la société de l’information. Nous privilégierons la qualité des partenaires plutôt que la quantité », affirme Denis Lapert.

L’AACSB apporte à Télécom Ecole de Management un soutien pour le lancement de ses nouvelles formations en 2012 : le Bachelor « Management and IT », l’Executive MBA « Leading Innovation in a Digital World » et le PhD (doctorat international) « ITEMAR – International Technologies and Management Research ».

L’AACSB permet à Télécom Ecole de Management de postuler à l’entrée du prestigieux classement du Financial Times des meilleurs masters en management.

Figurer parmi les 30 meilleures business schools européennes en 2016

Depuis la fusion de l’Institut Télécom et du Groupe des Ecoles des Mines le 1er mars 2012, Télécom Ecole de Management est la business school de l’Institut Mines-Télécom*, premier groupe d’école d’ingénieurs de France avec 144 millions d’euros de budget, 12 000 étudiants et 1500 enseignants-chercheurs.

Dans le cadre de son plan stratégique 2016, l’école vise le top 30 européen.

L’Institut Mines-Télécom regroupe les 4 écoles de l’Institut Télécom (Bretagne, Télécom Ecole de Management, Télécom ParisTech, Télécom SudParis ) et les 6 écoles des Mines sous tutelle du ministère de l’économie, des finances et de l’industrie (Albi, Alès, Douai, Paris, Nantes et Saint-Etienne ), soit 10 écoles d’ingénieurs et de management. Le groupe comprend également les deux filiales Eurecom et Télécom Lille 1 et compte l’Ecole des Mines de Nancy en tant que partenaire stratégique. Enfin, l’Institut Mines-Télécom a un réseau de 10 écoles associées : ENSEEIHT, Enseirb-Matmeca, ENSG, ENSIIE, ESIAL, ESIGELEC, IFMA, Sup’com Tunis, Télécom Physique Strasbourg, Télécom
Saint-Etienne.

www.telecom-em.eu

Télécom Ecole de Management (ex-INT Mgt) : les moyens de ses ambitions

Télécom Ecole de Management (TEM) a formalisé un plan stratégique ambitieux. Placée aujourd’hui parmi les 8 meilleures écoles de commerce de France et très appréciée des DRH, TEM entend conquérir les trois accréditations internationales (EQUIS, AACSB, AMBA) et figurer parmi les 50 meilleures Business Schools européennes d’ici 2012. A cette échéance, l’école comptera 1 300 étudiants, soit une croissance de 50 % en 3 ans. TEM s’est donné les moyens de ses ambitions en modifiant sa gouvernance, son organisation interne et son business model. L’école souhaite grandir en conservant ses singularités : statut public, engagement social et forte empreinte des TIC (technologies de l’information et de la communication) dans ses enseignements.

Grandir tout en conservant sa vocation sociale et son expertise dans les TIC

TEM est une école originale dans l’univers des écoles de commerce. Publique, elle défend des valeurs de diversité et d’ouverture sociale. Elle propose les frais de scolarité les plus accessibles du marché : 2 500 euros par an, contre 6 500 euros par an en moyenne pour ses concurrentes. Elle distribue un grand nombre d’aides sociales et dispose d’une capacité exceptionnelle de 700 logements. L’autre particularité de TEM est de placer les TIC au cœur de ses enseignements de gestion et de management grâce à ses interactions avec son école sœur, Télécom SudParis, grande école d’ingénieurs dont elle partage le campus. Cela donne aux diplômés de TEM une véritable double culture « ingénieur-manager » très appréciée des entreprises. TEM souhaite grandir en conservant sa singularité et en capitalisant sur celle-ci.

Un nouveau business model

Gouvernance revue. TEM continuera à partager son campus avec Télécom SudParis pour développer des projets pédagogiques communs : formations, soutien à l’entreprenariat, etc. Mais elle se dote de services dédiés et gérera directement ses départements d’enseignements et de recherche.

Augmentation des ressources propres. A dotation constante de l’Etat, TEM augmentera son budget en développant ses ressources propres. Elles comptent actuellement pour 30 % du budget de l’école et atteindront 50 % en 2012. Pour cela, TEM a actionné quatre grands leviers :

  1. Augmentation des droits de scolarité du programme Grande Ecole. TEM va augmenter ses droits de scolarité, qui devraient passer jusqu’en 2012 deux paliers supplémentaires, « sans que
    les frais de scolarité ne deviennent une barrière à l’entrée de l’école 
    » précise Denis Lapert, son directeur.
  2. Croissance de la taille des promotions de 50 %. TEM forme aujourd’hui des promotions d’environ 200 étudiants. Ils seront 300 en 2012, soit une croissance de 50 %.
  3. Ouverture d’une filière en apprentissage. TEM a créé cette année une filière en apprentissage au sein de son programme Grande Ecole. Elle concernera 30 apprentis dès
    septembre 2009 et une centaine en 2012. Cette mesure doit permettre d’accroître la taxe d’apprentissage perçue par l’école.
  4. Apport de l’Executive Education et de la recherche. TEM projette d’ouvrir 2 nouveaux Mastères Spécialisés et 2 nouveaux Master of Science d’ici 2012. La recherche produite par l’école devra également générer un chiffre d’affaires croissant.

Création du fonds social TEM

L’école va injecter 30 % de ses nouveaux revenus dans un fonds social, qui proposera davantage de bourses et offrira de nouvelles aides aux étudiants. Le budget consacré à ce fond augmentera de près de 100 % entre 2009 et 2012, une croissance deux fois plus importante que celle des effectifs de l’école (50 %).

TEM développera de nouvelles mesures sociales : participation au logement, contribution aux repas, encouragement et soutien aux départs d’étudiants à l’étranger, fourniture d’ordinateurs portables à tous les étudiants boursiers et développement de prêts par l’association des diplômés.

Principales mesures du plan stratégique TEM 2012

·  Triple accréditation EQUIS, AACSB, AMBA (2010)

· Double diplôme ingénieur-manager avec Télécom Sud Paris (2010)

· Ouverture d’une salle des marchés (2010)

· 20 millions d’euros de budget (2012)

· Promotions de 300 étudiants dans le programme Grande Ecole (2012)

· 1 300 étudiants toutes formations confondues, dont 30 % d’étudiants étrangers (2012)

· 90 enseignants-chercheurs (2012)

· 100 apprentis (2012)

· 650 000 € de dépenses sociales par an (2012)

· 30 % de boursiers d’Etat (2012)

· 2 nouveaux Mastères spécialisés et 2 nouveaux Masters of science (2012)

· Développement et internationalisation de l’incubateur (2012)

· Signature de nouveaux accords de coopération internationale (2012)

www.telecom-em.eu/

Des architectes-managers formés à l’ENSA-V et l’ESSEC Business School

L’ESSEC Business School et l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles (ENSA-V) initient un double diplôme pour les futurs architectes-managers sans équivalent en France. Ce double cursus, d’une durée totale de cinq ans, suivi en alternance dans les deux écoles, débouche sur l’obtention à la fois du Diplôme d’État d’architecte et de l’ESSEC Grande École. Il forme aux pratiques professionnelles novatrices dans le domaine architectural et urbain, caractérisées par l’interdisciplinarité et la gouvernance complexe des projets.

La conception et la production du monde bâti à toutes les échelles doivent faire face partout dans le monde à des enjeux multiples, devenus souvent critiques. L’accélération de l’urbanisation et des transformations urbaines, la préservation des ressources environnementales et les changements de modes de vie qu’elle appelle, la révolution numérique et ses multiples impacts techniques, économiques et sociaux, le besoin d’apporter des réponses diversifiées et équitables aux besoins des ménages et des entreprises en maîtrisant au mieux les impératifs économiques, entraînent une complexité croissante des projets architecturaux et urbains.

« Pour répondre à ces défis, il faut transformer les méthodes de conception et de mise en œuvre des projets, l’organisation et le pilotage de leurs acteurs. Le double diplôme créé par l’ESSEC et l’ENSA-V répond à ces enjeux. En conjuguant les deux cultures et les compétences de l’architecture et du management, il forme des professionnels capables de répondre aux besoins de conduite de projet des grandes agences internationales pluridisciplinaires d’architecture ou d’urbanisme ou des grands maîtres d’ouvrage publics ou privés » explique Patrice Noisette, professeur à l’ESSEC Business School.

Un double diplôme pour former des architectes-managers

Les étudiants obtiendront le diplôme d’État d’architecte et le diplôme de l’ESSEC Grande École, et pourront préparer l’habilitation à exercer la maîtrise d’œuvre en son nom propre (HMONP). Les étudiants de la Grande École pourront dès l’année de Pré-Master suivre un programme de sensibilisation à l’architecture puis intégrer le double diplôme lors d’un cursus alterné entre les deux établissements. L’enseignement qu’ils recevront à l’ENSA-V intègrera plusieurs projets architecturaux et urbains, une initiation à la recherche, la préparation d’un mémoire ainsi que des cycles de conférences tournées vers la pratique professionnelle.

De leur côté, les étudiants de l’ENSA-V pourront dès la 3e année (L3) suivre un programme de sensibilisation au management et intégrer le double diplôme après leur 1re année de master (M1) sous la forme d’un cursus alterné. Ils suivront à l’ESSEC des cours fondamentaux dans les grandes disciplines du management (finance, marketing, économie…) et choisiront leurs cours de gestion en fonction de leur projet. Les expériences professionnelles et internationales viendront compléter les enseignements théoriques.

Ce double diplôme s’inscrit dans un partenariat plus large entre l’ESSEC et l’ENSA-V, dont l’ambition est de contribuer à l’éclosion de nouveaux métiers et au développement de la recherche et de l’innovation pédagogique, notamment sur les thèmes du projet, de la simulation et de l’aide à la décision.

« Ce double diplôme architectes-managers se fondera sur la diversité des étudiants et de leurs savoirs. Concevoir, conceptualiser, faire de l’architecture est avant tout développer un raisonnement, mettre en place une pensée. Les dessins, les maquettes, l’écrit, la vidéo, la modélisation pour énumérer quelques-uns des nombreux outils dont nous disposons pour projeter ne sont que des outils au service d’un propos. Le double diplôme entre l’ESSEC et l’ENSA-V sera un espace de réflexion visant à étendre les outils et les pratiques liés au développement du projet, en intégrant dans le processus conceptuel les spécificités liées aux savoirs propres aux différents cursus » précise Emmanuel Combarel, enseignant à l’ENSA-V.

Ce cursus innovant a pour objectif général de former des architectes-managers et de leur permettre de concevoir et piloter des projets complexes en prenant en compte toutes leurs dimensions spatiales, environnementales, économiques et sociétales et en conjuguant les attentes de leurs parties prenantes.

Les débouchés professionnels sont diversifiés : agences d’architecture ou d’urbanisme et de développement économique, établissements publics ou sociétés publiques locales d’aménagement et de développement, sociétés d’investissement ou de promotion privée, direction immobilière des grands groupes internationaux, nouveaux métiers de la transformation digitale de l’architecture et de l’urbanisme et des services urbains…

Un partenariat ambitieux, fondé sur des valeurs communes Le double diplôme de l’ESSEC et de l’ENSA-V consacre une convergence forte des deux écoles sur des axes majeurs :

  • une orientation internationale très forte, dans un monde multipolaire et multiculturel, et où elles entendent porter une éthique humaniste et responsable de la connaissance et de l’action ;
  • un engagement pour l’innovation pédagogique marqué notamment par l’interdisciplinarité et par la démarche de projet, perçus comme outils de maîtrise de la complexité, au service du développement personnel des étudiants et de leur implication professionnelle ;
  • un positionnement à l’articulation de la recherche et des échanges avec les acteurs économiques et sociaux, afin de former des professionnels capables d’anticiper et d’accompagner les mutations de nos sociétés, en maîtrisant notamment les outils numériques d’analyse, de simulation et d’aide à la décision ;
  • une vision partagée des nouveaux enjeux des métiers auxquels seront préparés les étudiants, pour eux-mêmes et pour la société, et de l’utilité de croiser les apports des différentes disciplines pour mieux y répondre.

Au-delà du double diplôme, cette convergence nourrira d’autres coopérations étroites en matière pédagogique et de recherche entre les deux écoles, et plus largement au sein de la COMUE Université Paris-Seine à laquelle elles appartiennent.

À propos de l’ENSA-V

L’ENSA-V est un établissement public placé sous tutelle du ministère de la Culture (Direction générale des Patrimoines) qui fait partie du réseau des 20 écoles nationales d’architecture. Située depuis 1969 au cœur de Versailles, dans les bâtiments classés Monuments historiques de la Petite écurie du Roy sur le domaine du Château de Versailles (11 500 m²), elle offre à ses étudiants et ses enseignants un terrain favorable à l’innovation et à l’expérimentation. L’école délivre le diplôme d’études en architecture (licence), le diplôme d’État d’architecte (master), une habilitation à exercer la maîtrise en son nom propre, un doctorat en architecture, et propose des masters spécialisés en partenariat avec des universités ainsi que deux formations continues. L’ENSA-V, membre de la COMUE Université Paris-Seine, encourage les innovations pédagogiques, le croisement fertile de disciplines autour du projet architectural et urbain ainsi que l’expérimentation. Sa pédagogie favorise une pratique intense du projet architectural tout en développant les questions de l’architecture dans les domaines de l’édifice, de la ville et du territoire, en associant théorie et pratique. Au cœur de ce dispositif, le laboratoire LéaV constitue une unité de recherche unique et pluridisciplinaire (38 enseignants-chercheurs et chercheurs, 21 membres associés et émérites, 33 doctorants). Largement ouverte sur le monde, l’ENSA-V est partenaire de 36 établissements internationaux et délivre un master Ecological Urbanism franco-chinois avec l’Université de Tongji à Shanghai.

Plus d’informations : www.versailles.archi.fr

ensa-v architectes-managers

À propos de l’ESSEC

L’ESSEC, fondée en 1907, est un acteur majeur de l’enseignement de la gestion sur la scène mondiale qui détient la « Triple couronne » en ayant les accréditations EQUIS, AACSB et AMBA. Avec 5 867 étudiants en formation initiale, une large gamme de programmes en management, des partenariats avec les plus grandes universités dans le monde, un réseau de 50 000 diplômés, un corps professoral composé de 162 professeurs permanents en France et à Singapour dont 20 professeurs émérites, reconnus pour la qualité et l’influence de leurs recherches, l’ESSEC perpétue une tradition d’excellence académique et cultive un esprit d’ouverture au service des activités économiques, sociales et de l’innovation. En 2005, l’ESSEC a ouvert un campus en Asie, l’ESSEC Asia-Pacific, stratégiquement situé à Singapour. Ce campus représente pour l’ESSEC l’opportunité de participer à la croissance de l’Asie et d’apporter son expertise dans cette région en pleine expansion. En 2016, l’ESSEC a ouvert un nouveau campus ESSEC Afrique à Rabat, au Maroc. L’expansion internationale de l’ESSEC permet à ses étudiants et professeurs d’étudier et comprendre les forces économiques en présence dans les différentes régions du monde.

Pour toute information complémentaire : www.essec.edu

Le Global Executive MBA de SKEMA Business School décroche la nouvelle accréditation programme de l’EFMD

Déjà multi-accréditée EQUIS, AACSB et AMBA, SKEMA obtient le tout nouveau label mondial « EFMD Accredited Programme » pour son Global Executive MBA.

Le Global EMBA de SKEMA est un programme premium pour cadres dirigeants qui mixe distanciel et présentiel (« blended learning »). Pour la partie résidentielle, les participants bénéficient des différentes implantations internationales de l’école : campus de Belo Horizonte (Brésil), mais également Suzhou (Chine) et dès 2021 Le Cap (Afrique du Sud) en complément du campus de Lille. Offrant également la possibilité d’un double diplôme avec la prestigieuse université chinoise de FUDAN, plusieurs grandes entreprises mondiales en font un levier de développement managérial pour leurs hauts potentiels. 

L’équipe d’auditeurs de l’EFMD a souligné que ce programme certes « jeune » (le programme a été lancé en 2014) développe tous les atouts du modèle « glocal » de SKEMA : dimension multiculturelle unique grâce aux 7 campus, compréhension des enjeux de globalisation et de digitalisation de l’économie – et enfin internationalisation de la cohorte tout comme du parcours et des contenus du cursus.

GLOBAL EXECUTIVE MBA DE SKEMA BUSINESS SCHOOL
Le campus de SKEMA Business School à Suzhou en Chine où se déroule l’un des séminaires résidentiels du Global EMBA

Un programme d’accompagnement pour un monde en transformation

Le Global EMBA est un programme dédié aux cadres qui veulent gagner en compétences managériales et bénéficier d’une expérience unique dans un environnement multiculturel orienté vers la gestion de projets innovants, le développement d’entreprise ou la transformation de projets dans un monde global, incertain, complexe et volatile. Il bénéficie de l’expertise de la faculté de SKEMA qui conjugue excellence académique et connaissance du monde de l’entreprise.

Le programme offre ainsi une pédagogie adaptée qui mixe modules d’apprentissage à distance (e- learning, webinaires) et séminaires intensifs favorisant l’interactivité ainsi que le juste équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle.

Au cap de ses 10 ans, SKEMA arbore déjà les labels internationaux de référence que sont pour les business schools EQUIS, AACSB et AMBA auxquels s’ajoute désormais « EFMD Accredited Programme ».

Pour Eric Cornuel, Directeur Général de l’EFMD : « Avec EFMD Accredited Programme, nous permettons à une institution de mettre le focus sur un de ses programmes qu’elle juge particulièrement stratégique. Nous sommes heureux que SKEMA soit l’une des 2 premières écoles en France à s’être engagée en pionnière dans cette nouvelle démarche pour son Executive MBA ».

Et pour Alice Guilhon, Directrice Générale de SKEMA : « Décrocher aujourd’hui cette nouvelle accréditation est le résultat de la mobilisation de l’ensemble des équipes. Cette toute nouvelle reconnaissance internationale par l’EFMD vient encore renforcer la visibilité de SKEMA à l’échelle mondiale, saluer l’excellence de notre pédagogie et nous conforter dans nos choix d’une stratégie globale différenciatrice ».

Le Global MBA de KEDGE Business School monte sur le podium des meilleurs Executive MBA en France

En effet, selon le classement du Financial Times paru le 21 octobre 2013, le Global MBA de KEDGE Business School devient le 3e Executive MBA français derrière HEC, et ESCP et devant ESSEC et EM Lyon.

Avec 5 places de mieux que l’année dernière, le Global MBA se classe 43e parmi les 100 meilleurs Executive MBA au monde.
« Cette progression confirme la dynamique née de la fusion entre BEM et EUROMED Management, souligne Bernard BELLETANTE, Directeur Général de KEDGE BS. Cela correspond parfaitement à notre objectif de positionner KEDGE BS parmi les 15 meilleures écoles en Europe en misant sur l’internationalisation, l’innovation et la qualité. Les spécialisations enseignées dans notre Global MBA constituent une réelle valeur ajoutée pour l’ensemble des programmes du groupe ».
Le classement du Financial Times confirme la reconnaissance internationale du Global MBA qui bénéficie également de la triple accréditation AMBA, EQUIS et AACSB attestant de sa qualité académique.

Après Marseille et Shanghai, le Global MBA ouvre sur Bordeaux et Paris

Dispensé sur les campus de Marseille et de Shanghai, depuis plus de 10 ans, en partenariat avec l’une des meilleures universités chinoises (Jiaotong University / Antai College of Economics & Management) qui permet au Global MBA d’être le seul MBA français reconnu par le gouvernement chinois, le programme ouvrira sur les campus de Bordeaux et Paris à partir de mars 2014.

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Florence Provendier nouvelle directrice de la communication et du marketing de l’ESSEC Business School

Le 1er juillet 2018, Florence Provendier a rejoint l’ESSEC Business School en tant que nouvelle directrice de la communication et du marketing Groupe.

florence provendier essec business school 
Florence Provendier

Florence Provendier doit renforcer la visibilité de l’ESSEC Business School

Dans le cadre de ses fonctions, Florence Provendier aura pour mission de renforcer la visibilité et l’impact de la marque ESSEC en France et à l’international.

Diplômée du MBA in Hospitality Management de l’ESSEC (IMHI) en 1988, elle a un parcours libre de cadre dirigeant en entreprise et ONG, avec une solide expérience en développement, marketing et communication dans des secteurs de la restauration et des services. A l’initiative de plusieurs démarches RSE et engagée dans différentes associations.

En 2012, elle décide de rejoindre Un Enfant par la Main, une organisation de solidarité internationale, qu’elle dirige pendant six ans.

“L’ESSEC est une école d’excellence en matière de recherche et d’enseignement qui prépare ses étudiants à devenir des visionnaires et des leaders engagés, partout dans le monde. Pour ces raisons, je me réjouis de contribuer aujourd’hui au rayonnement de l’ESSEC dont je partage l’esprit et les valeurs” a précisé Florence Provendier.

À propos de l’ESSEC

L’ESSEC, fondée en 1907, est un acteur majeur de l’enseignement de la gestion sur la scène mondiale qui détient la « Triple couronne » en ayant les accréditations EQUIS, AACSB et AMBA. Avec 5 330 étudiants en formation initiale, une large gamme de programmes en management, des partenariats avec les plus grandes universités dans le monde, un réseau de 47 000 diplômés, un corps professoral composé de 158 professeurs permanents en France et à Singapour dont 19 professeurs émérites, reconnus pour la qualité et l’influence de leurs recherches, l’ESSEC perpétue une tradition d’excellence académique et cultive un esprit d’ouverture au service des activités économiques, sociales et de l’innovation. En 2005, l’ESSEC a ouvert un campus en Asie, l’ESSEC Asia‐Pacific, stratégiquement situé à Singapour. Ce campus représente pour l’ESSEC l’opportunité de participer à la croissance de l’Asie et d’apporter son expertise dans cette région en pleine expansion. En 2016, l’ESSEC a ouvert un nouveau campus ESSEC Afrique‐Atlantique à Rabat, au Maroc. L’expansion internationale de l’ESSEC permet à ses étudiants et professeurs d’étudier et comprendre les forces économiques en présence dans les différentes régions du monde.

Pour toute information complémentaire : www.essec.edu

Une rentrée 2008 sous le signe de l’engagement au service des autres

C’est sous le signe de l’engagement au service des autres que les 400 étudiants français
et internationaux de première année des campus Tours et Poitiers de la grande école de l’ESCEM vont démarrer leur semaine d’intégration à la rentrée prochaine.

Du 5 au 12 septembre 2008, l’école met en place pour eux, en collaboration avec la
Croix-Rouge Française et l’Etablissement Français du Sang, une vaste campagne d’information, de sensibilisation et surtout de formation  aux gestes
qui sauvent, la première du genre en France à destination des étudiants de l’enseignement supérieur.

Par ailleurs cette semaine différente inaugure le lancement du nouveau cursus
pédagogique.

Ainsi, l’ESC Tours Poitiers, qui s’inscrit totalement dans le cadre de l’harmonisation
européenne des diplômes a profondément revu début juin 2008 les standards de sa maquette pédagogique afin d’offrir à ses étudiants une reconnaissance toujours plus grande de leur diplôme à
l’international (déjà valorisé par les accréditations AACSB et EQUIS et l’entrée dans le classement du Financial Times). La nouvelle maquette pédagogique a gardé le meilleur de l’ancien
parcours : culture générale, travail en équipe, cursus anglophone, semestre obligatoire à l’étranger, projet associatif … mais voit l’arrivée ou le renforcement  de projets :

– « Profiler » : la monographie d’entreprise pour une approche
transversale des organisations

 « YO » (Year Out), une année
optionnelle pour apprendre plus,

– « Globe », l’atelier développement durable, pour apprendre à manager
autrement

– « Createam », l’atelier entrepreneuriat pour développer créativité et
capacités d’initiatives

– « Atelis », l’atelier intelligence stratégique pour accompagner les
organisations

– « Thésus », le mémoire de recherche  pour développer son aptitude à conceptualiser

– « IPPI » : l’itinéraire personnalisé de préparation à
l’insertion

Ajoutons à ces nouveautés l’obligation d’un score minimum au TOEIC pour l’obtention du
diplôme et le renforcement des enseignements de droit et d’économie…

 

www.escem.fr et
www.escem.org – n° Indigo :
0 820 20 11 12

Rennes School of Business : nouvelles ambitions pour 2023

François Châtel et Thomas Froehlicher, respectivement Président et Directeur Général de Rennes School of Business ont dévoilé ce vendredi 7 décembre le nouveau plan stratégique et pédagogique 2018-2023 de l’École, à l’occasion de l’inauguration du nouveau campus international.

Nouveau campus de Rennes School of Business

Rennes School of Business poursuit son développement réussi depuis plusieurs années. Son ADN international et son ancrage dans une métropole rennaise attractive et ouverte au monde lui permettent de figurer parmi les meilleures écoles de management.

L’ambition de l’École à 5 ans : devenir l’une des business schools les plus novatrices et multiculturelles en Europe. L’École entend doubler son budget (70 millions d’euros en 2023), capter de nouveaux étudiants étrangers (+50%) de 100 nationalités différentes, étendre les programmes d’Executive Education (de 8 à 12% du budget) et favoriser l’alternance.  

Une mission : explorer les nouveaux territoires

Rennes SB a dégagé 3 grands axes, 3 grands chantiers, 3 grands territoires :

  • Les nouveaux territoires de demain : appréhender les enjeux professionnels à travers des expertises distinctives, des cursus innovants et de nouvelles alliances d’excellence. Rennes SB a identifié 4 territoires d’excellence en collaboration avec l’International Scientific. Committee Thriving Through Complexity ǀ IA-Driven Economy ǀ Green, Data & Demand Driven Supply Chain Management ǀ Agri(o) Business
  • Les nouveaux territoires du monde : réinventer l’immersion des étudiants dans un contexte international tout au long de leur cursus
  • Les nouveaux territoires pédagogiques : réinventer le modèle d’éducation et de transmission du savoir des écoles de management.

L’École tient à renforcer son ancrage dans l’écosystème régional en favorisant l’installation sur son campus rennais de 7 grands partenaires internationaux (les deux premiers partenaires provenant de Chine et d’Inde) en conjuguant cette présence avec de nouvelles alliances stratégiques (IMT Atlantique, B<>Com, Agrocampus Ouest, INRA), et en favorisant le multiculturalisme (parcours immersifs bilingues, généralisation du double-diplôme PGE-MSc, lancement d’un Global Bsc).

Un nouveau campus international

Pour accompagner ce nouveau plan stratégique, Rennes School of Business a agrandi et transformé son campus. Plus « smart » et plus centré sur les espaces de vie comprenant des services à valeur ajoutée. Ce nouvel ensemble de 21 000 m² est composé de 4 bâtiments d’enseignement, d’espaces de co-working, d’espaces extérieurs de convivialité, d’un terrain de sport et d’une résidence pour accueillir les étudiants internationaux.

Une nouvelle signature de marque 

Le nouveau plan stratégique 2018-2023 voit déjà plus loin et s’accompagne d’une nouvelle identité de marque qui sera déployée plus largement à partir de mars 2019. Le logo évolue légèrement et la signature de marque devient #Unframed Thinking.

À propos de Rennes School of Business

Rennes School of Business est une école internationale de management située en Ille-et-Vilaine, en Bretagne. Rennes School of Business, c’est la possibilité d’expérimenter des pratiques diversifiées de management dans les différentes zones du monde et de développer des compétences indispensables mises au service des entreprises. École de management cosmopolite – 91 % des professeurs et 53 % des étudiants sont internationaux – Rennes School of Business a pour mission de préparer des managers responsables et innovants à agir efficacement dans un environnement globalisé.

Accréditée EQUIS, AACSB, AMBA ǀ 4513 étudiants ǀ 260 universités partenaires sur les 5 continents.

www.rennes-sb.fr

In Extenso devient partenaire de Pépite France pour l’entrepreneuriat-étudiant

In Extenso, une entité du réseau Deloitte et acteur incontournable de l’expertise-comptable et du conseil aux TPE/PME en France, annonce son partenariat avec la FNEGE (Fondation Nationale pour l’Enseignement de la Gestion des Entreprises) afin de soutenir le programme Pépite France. La contribution d’In Extenso se concrétisera notamment par de l’accompagnement (mécénat de compétences) et des formations auprès des étudiants.

Qu’est-ce que le programme Pépite France ?

Spécialiste de l’accompagnement des créateurs d’entreprise dans toutes les étapes de leur projet, In Extenso souhaite apporter son expertise aux jeunes étudiants entrepreneurs. Dans cette optique, le cabinet a choisi de soutenir le programme Pépite France venu en soutien du dispositif ministériel PEPITE (Pôles Etudiants Pour l’Innovation, le Transfert et l’Entrepreneuriat).

Présent dans 29 régions universitaires, le programme Pépite France a deux missions principales :

  • coordonner les programmes de sensibilisation et de formation à l’entrepreneuriat,
  • accompagner les projets de création d’entreprise des étudiants et des jeunes diplômés.

Le dispositif PEPITE (1427 projets accompagnés en 2015-2016 et déjà plus de 2000 demandes pour 2016-2017, clôture des inscriptions au 20 janvier 2017) vise à donner un véritable statut d’étudiant-entrepreneur. Ainsi, la première année qui suit la création d’entreprise, l’étudiant conserve son statut et une protection sociale. Il est, en outre, dispensé de stages en entreprise pour se consacrer exclusivement à son projet d’entreprise.

Dans le cadre du partenariat avec le programme Pépite France, In Extenso mettra à disposition des étudiants-entrepreneurs son réseau de 220 cabinets et de 103 Points C, espaces d’accueil au sein desquels plus de 8 000 créateurs et repreneurs d’entreprise sont conseillés chaque année. L’apport du cabinet sera double :

  • intervention au sein du dispositif de formation collective dans les domaines de compétences du cabinet (montage du business plan, choix de la forme juridique…),
  • aide individuelle aux étudiants sur leur projet entrepreneurial.

« Ce partenariat avec Pépite France concrétise le positionnement d’In Extenso, en tant qu’acteur privé incontournable de l’accompagnement à la création et à la reprise d’entreprise, mais confirme aussi notre volonté de contribuer au développement économique de la France. Nous serons un partenaire de compétences, pour ces jeunes qui bâtissent leur propre structure et n’en connaissent pas forcément toute la mécanique juridique et fiscale ; notre rôle sera donc de leur faciliter ce parcours de création. » commente Antoine de Riedmatten, Directeur Général d’In Extenso.

Pépite France

INSEEC U. : la nouvelle équipe à la direction du groupe

Catherine Lespine, Présidente Directeur Général du Groupe INSEEC U. a pris la décision de quitter sa fonction pour des raisons personnelles. Entrée dans le groupe à Bordeaux en 1986 comme jeune professeur, elle en avait repris les rênes en février 2003 au départ de son fondateur. Depuis cette date, elle s’est attachée à construire le groupe pour en faire un des leaders français de l’enseignement supérieur privé, elle devient aujourd’hui « Senior advisor » du groupe INSEEC U.

Françoise Gri, présidente du Conseil de surveillance, assurera la présidence par intérim. Elle aura à ses côtés José Milano, actuel Directeur Général Délégué, qui devient Directeur Général du Groupe INSEEC U. ; Eric Keff, aujourd’hui Directeur Administratif et Financier, prenant quant à lui, le poste de Directeur Général Délégué.

Cette nouvelle gouvernance, conforme à la stratégie de succession décidée avec Catherine Lespine et le Conseil de Surveillance, reprend le flambeau pour réussir une nouvelle étape du développement du groupe.

« Après une formidable aventure professionnelle et humaine de plus de 30 ans, je me réjouis sincèrement de céder les rênes à Françoise Gri et à José Milano – que je connais depuis longtemps -, et dont je sais l’attachement à la réussite de nos élèves, de notre communauté et de notre groupe. Je remercie le Conseil de surveillance d’avoir mis en place à mes côtés cette stratégie de succession. En tant que Senior advisor d’INSEEC U., je reste très mobilisée pour servir les ambitions et le rayonnement du groupe. »

Catherine Lespine

Françoise Gri, présidente par intérim du groupe INSEEC U.

Diplômée de l’École nationale supérieure d’informatique et de mathématiques appliquées de Grenoble, Françoise Gri a dirigé plusieurs entreprises dans le monde des services. Présidente-Directrice générale d’IBM France, puis Présidente de Manpower France et Europe du Sud, Directrice Générale du groupe Pierre & Vacances-Center Parcs, elle est aujourd’hui administratrice indépendante de Crédit agricole SA, Edenred et WNS. Au-delà de son expérience managériale et internationale, elle dispose d’une expertise dans les domaines de l’informatique et de la responsabilité sociale de l’entreprise et s’implique depuis de nombreuses années sur les problématiques de l’éducation et de l’employabilité. Françoise Gri a publié 2 ouvrages ; « Women Power, Femme et patron 2012 » ; « Plaidoyer pour un emploi responsable 2010 ».

José Milano comme Directeur Général du Groupe INSEEC U.

Diplômé de l’École Normale Supérieure de Cachan en économie et gestion en 1993, José Milano est titulaire du DEA de sociologie des organisations de Sciences po Paris, d’un DEA de droit international et d’un Magistère de droit des activités économiques de l’université Paris 1.

José Milano débute sa carrière au sein du groupe AXA, où il a été notamment Chief Learning Officer du groupe, Directeur des relations sociales et du développement d’Axa France et COO et DRH d’AXA Group Solutions. Il devient ensuite Directeur des affaires sociales de la Fédération Française de l’Assurance, et rejoint Kedge Business School dont il deviendra Directeur Général.

Eric Keff comme Directeur Général Délégué

Diplômé de l’Ecole Supérieure Commerce de Paris, Eric KEFF a démarré sa carrière dans l’audit financier chez PriceWaterhouse et à l’audit interne opérationnel chez Thomson Multimedia. Il a ensuite rejoint le groupe d’emballage Crown Holdings où il a exercé des fonctions de Directeur Financier de business unit et de division. Suite au rachat d’une partie des activités de Crown Holdings par un fonds d’investissement, il devient CFO de la société nouvellement créée (Global Closure Systems). Ensuite, il rejoint Carambar & Co (agroalimentaire) en tant que CFO.

Classement 2013 des Revues Scientifiques en Sciences de Gestion

Ce que certains évoquent comme le classement FNEGE, qui est en fait le classement du Collège des Associations Scientifiques réunies par la FNEGE regroupant : AFC, ARAMOS, AIMS, AIRL, AFM, AFFI, AGRH, AEI, AIRMAP, AIM, SFM, ADERSE, RIODD, ATLAS-AFMI. Ce classement vient d’être mis à jour sur 2013.

Comme le précise le document : « Ce soutien unanime de l’ensemble d’une communauté scientifique lui donne une forte légitimité. Cette liste a vocation à servir de référence pour les chercheurs, les laboratoires et plus largement pour l’ensemble des institutions d’enseignement et de recherche en gestion. Bien que les articles scientifiques ne représentent pas le critère unique d’évaluation, les enjeux directs et indirects de cette classification des revues demeurent considérables, tant en termes quantitatifs (étant donné le nombre d’enseignants chercheurs et d’étudiants en sciences de gestion – un corps professoral très nombreux à l’Université et dans les Grandes Ecoles, près de 19 % des étudiants de l’enseignement supérieur) qu’en termes qualitatifs (incitation à la publication, carrières des enseignants chercheurs au sein des Grandes Ecoles et de l’Université, évaluation des laboratoires et équipes de recherche, rayonnement international, etc.). »

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L’ECE Paris, école d’ingénieurs, s’implante à Lyon à la rentrée 2018

L’ECE Paris est une école d’ingénieurs post bac, généraliste et high-tech fondée en 1919. Après cent ans d’enseignement dans le centre de Paris, elle choisit Lyon pour développer sa pédagogie innovante et ainsi célébrer de belle manière son centenaire.

Le 5 décembre 2017, la Commission des Titres d’Ingénieur (CTI) a voté le renouvellement de son accréditation pour la durée maximale et a également validé l’ouverture d’un nouveau site à Lyon.

ECE Paris arrive sur Lyon

60 places seront ouvertes en 1e année du cycle préparatoire intégré via le concours Avenir, un concours dédié aux grandes écoles d’ingénieurs. Le campus de Lyon proposera les 3 premières années d’études de l’ECE Paris, à savoir le cycle préparatoire et la première année du cycle ingénieur. Les deux dernières années du parcours qui correspondent aux spécialisations (8 Majeures au libre choix) se feront quant à elles sur le site de Paris.

L’ECE Paris a rejoint le groupe INSEEC U en juillet 2016 et contribue ainsi activement au développement du leader de l’enseignement supérieur privé français constitué d’un ensemble de 15 écoles accueillant plus de 23 500 étudiants sur 9 sites principaux en France (Paris, Lyon, Bordeaux, Chambéry) et à l’international (Genève, Monaco, Londres, San Francisco, Shanghai).

INSEEC U. étend désormais son campus à Lyon. Fidèle à sa stratégie de campus urbains, le campus lyonnais de 8 000 m², qui a obtenu la certification HQE, est situé dans le mythique bâtiment Citroën de la rue de l’Université dans le 7ème arrondissement. Il accueille plusieurs formations des différentes écoles d’INSEEC U. (INSEEC Business School, BBA et MSc/MBA, ESCE, Sup de Pub) et un incubateur. Cette proximité permettra la création de véritables passerelles pédagogiques pour les étudiants, afin de leur fournir de multiples compétences utiles à leurs futures vies professionnelles.

La direction déléguée de cet établissement a été confiée à Frank Biétrix. Diplômé de l’INSA de Lyon en 1990, il a travaillé vingt ans dans les radiocommunications à différents postes de développement et d’encadrement. En 2009, il a rejoint l’ECE Paris où il a développé la nouvelle majeure Objets Connectés, Réseaux et Services et a contribué au succès de la pédagogie innovante de l’ECE, pédagogie labellisée à ce titre par un IDEFI (Initiative d’excellence en formation innovante).

La région lyonnaise est la deuxième zone académique française en termes de population estudiantine : c’est une région au dynamisme avéré et en situation de croissance. Cette implantation d’un nouveau site de formation au cœur de la métropole permettra le développement essentiel de nouvelles coopérations avec les acteurs économiques de cette grande région. L’ECE Paris est reconnue pour la qualité de son projet pédagogique et de ses diplômés. Le renforcement de l’École en tant qu’acteur économique majeur du territoire régional et national contribuera à assurer la compétitivité des entreprises en répondant à leurs besoins croissants de recrutement d’ingénieurs issus de formations liées aux domaines technologiques du numérique.

Ce nouveau projet de développement remplit d’enthousiasme l’ensemble de l’équipe de l’ECE Paris, ses élèves et ses alumni qui se mobilisent pour en faire un succès durable.

Manutan conclut un mécénat avec ESCP Business School

Répondant à un objectif de conquête et d’accompagnement de nouveaux talents pour préparer son avenir, Manutan, leader européen du e-commerce spécialisé dans la distribution BtoB, conclut un mécénat avec ESCP Business School et la Fondation ESCP.

manutan
Logo Manutan

Manutan et ESCP Business School, une collaboration à succès

Manutan et ESCP avaient déjà initié un premier rapprochement : de mai à décembre 2019, Manutan a été accompagnée notamment par ESCP pour valoriser les « Leaders of tomorrow », un programme de 20 mois conçu pour le développement des talents internes. Ce programme, dont certains modules ont été co-construits avec et co-pilotés par ESCP, visait à challenger collectivement et individuellement des collaborateurs en leur confiant un projet de direction générale. L’école est ainsi intervenue à l’occasion du kick-off dans ses locaux pour soutenir le contenu pédagogique et a organisé la « learning expedition » à ESCP Berlin avec les 20 talents du programme. 

Désormais, c’est sous l’égide de la Fondation ESCP, que la collaboration s’inscrit. Parmi la centaine d’électifs proposés aux étudiants du programme « Grande Ecole » du MiM (Master in Management), figure le cours « Design Thinking ». Un cours de 30h dont la promotion 2020 lancée le 15 janvier l’est désormais avec le soutien de Manutan.

Ce cours est porté par le Département Entrepreneuriat de ESCP et l’Institut Jean-Baptiste Say.

Pour le Professeur Rober Sheldon, co-coordinateur de ce cours avec Anna Glaser, «le Design Thinking est une méthode d’innovation qui s’inscrit dans l’action. Quoi de plus naturel d’associer une entreprise à ce cours pour offrir à nos étudiants de formidables terrains d’apprentissage. Je me réjouis de ce partenariat avec Manutan dont la culture entrepreneuriale sera riche d’enseignement.»

L’ensemble de la promotion, composée de 82 étudiants de 16 nationalités différentes, est divisé en 14 groupes. Les étudiants travailleront, en appliquant la méthode de Design Thinking, sur différents business cases proposés par Manutan. Ces business cases, incarnés par les membres de la Direction Générale de Manutan et de ses filiales européennes, auront pour thématiques :

  • L’entreprenariat : créer de nouvelles opportunités de business pour Manutan ;
  • Le développement ou l’amélioration des produits ou services existants ;
  • L’optimisation des organisations internes.

Les étudiants rencontrent les équipes de Manutan

Le 15 janvier dernier, les 82 étudiants ont rencontré les équipes Manutan pour le lancement de la promotion ! Ils ont également visité le siège européen du Groupe à Gonesse, le 29 janvier dernier afin de découvrir les métiers et les expertises. Ce fut également l’occasion d’échanger avec les porteurs des business cases et de récolter un maximum d’informations pour nourrir leurs projets.

« Ce partenariat avec ESCP représente une réelle opportunité d’expérimentation qui va nous permettre de faire connaître Manutan, de challenger les projets de l’entreprise par des jeunes, et d’identifier de potentiels talents pour l’entreprise », commente Edouard Michel, Directeur RH & Université du groupe Manutan.

Le 25 mars, date de fin de la promotion, chaque groupe pitchera son projet avec, à la clé, deux prix : « Best project » et « Design thinking Excellence ».

Manutan, étant en recherche constante de leaders et de talents, souhaite être en contact avec des jeunes qui vont pouvoir apporter des manières innovantes de fonctionner, challenger certains aspects du business, proposer de nouvelles opportunités, etc.

« ESCP a 200 ans d’existence et possède déjà de nombreux partenaires de renom : des très grandes entreprises aux start-ups. Il est rare de croiser cette voix intermédiaire que représente Manutan, à savoir l’ETI qui a l’agilité d’une PME, donnant le pouvoir de mettre en œuvre des projets de grande envergure ! Nous avons construit une relation solide avec l’école, avec comme but prochain d’intégrer l’écosystème de ESCP, dont le BDE, afin de leur permettre de relayer nos offres d’emplois ! » ajoute Edouard Michel.

Ces jeunes talents connaissent désormais Manutan et pourront s’ils le souhaitent dans un avenir proche rejoindre l’ETI pour des postes en CDI, CDD, alternance ou encore des stages en France et en Europe

SOLTéA, le nouveau service de répartition de la taxe d’apprentissage

Un nouveau service pour les entreprises vient d’être lancé : SOLTéA. Cette plateforme en ligne permet de répartir le solde de la taxe d’apprentissage. Le site SOLTéA est dédiée aux 1,6 million d’employeurs redevables du solde de la taxe d’apprentissage ainsi qu’aux plus de 11 000 établissements qui sont habilités à le percevoir.

Qui peut se connecter sur SOLTéA ?

En se connectant sur SOLTéA, les employeurs peuvent choisir les établissements et les formations qu’ils souhaitent soutenir. Les établissements, eux, peuvent y renseigner leurs coordonnées bancaires et ainsi recevoir les crédits affectés par les employeurs. L’article L.6131-5 du code du travail charge la Caisse des Dépôts d’affecter les fonds aux établissements destinataires. La Caisse des Dépôts a également en charge la gestion du fonds et le déploiement de SOLTéA.

La loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel du 5 septembre 2018 ainsi que l’ordonnance du 23 juin 2021 ont réformé  la collecte et de la répartition du solde de la taxe d’apprentissage. Chaque année, cette contribution versée par les entreprises a pour objectif de soutenir le développement de formations technologiques et professionnelles, l’insertion professionnelle, l’orientation ainsi que les centres de formation d’apprentis sous la forme d’équipements ou de matériels.

Auparavant, le solde était directement versé par les employeurs assujettis aux établissements bénéficiaires. À partir de 2023, les employeurs déclarent via leur déclaration sociale nominative (DSN) et payent le solde de la taxe d’apprentissage en une fois auprès de l’Urssaf Caisse nationale ou de la Mutualité sociale agricole (MSA) qui transfèrent ensuite ce fonds à la Caisse des Dépôts. Tout se concrétise ensuite via SOLTéA, le service dématérialisé accessible à l’adresse soltea.education.gouv.fr.

Une exception demeure : les subventions sous la forme d’équipements ou de matériels pour les centres de formation d’apprentis. Les employeurs peuvent toujours effectuer celles-ci directement auprès des centres de formation d’apprentis sans passer par la plateforme.

SOLTéA, comment ça marche ?

En se connectant sur SOLTéA, les employeurs peuvent désormais directement choisir les établissements et les formations qu’ils souhaitent soutenir, et quelle partie du solde ils souhaitent leur verser. Quant aux établissements bénéficiaires, ils peuvent se connecter sur leur espace sécurisé pour vérifier et compléter leurs informations, remplir leurs coordonnées bancaires et, ainsi, recevoir les fonds qui leur ont été attribués par les employeurs. Ouverte en mai, la plateforme compte déjà près de 250 000 connections pour près de 80 000 entreprises inscrites sur la plateforme, et 64% d’établissements bénéficiaires.

Le service est maintenant pleinement fonctionnel. Le premier versement aux établissements interviendra le 15 juillet. L’étape essentielle pour eux est de compléter leurs coordonnées bancaires. Pour les employeurs et leurs tiers déclarants : il s’agit de se connecter à la plateforme pour soutenir les établissements de leur choix. Pour permettre au plus grand nombre d’employeurs de réaliser leurs choix de répartition, la campagne de répartition qui devait initialement se terminer le 6 septembre sera prolongée de quelques semaines.

SOLTéA : les apports de la réforme

Les employeurs n’ont plus à effectuer eux-mêmes les virements pour chacun des établissements. Les établissements, eux, n’ont plus à produire de reçus libératoires. Les flux financiers sont à présents sécurisés, clairs et traçables pour tous les acteurs.

De plus, avec SOLTéA, la Caisse des Dépôts recueille, fiabilise et publie une liste unique et complète des établissements bénéficiaires, une information qui figurait antérieurement sur les sites internet de chacune des Régions. L’employeur peut désormais les retrouver via un moteur de recherche avancé et multicritères. En devenant le point d’entrée unique pour trouver un établissement bénéficiaire, SOLTéA simplifie l’accès à l’information.

Cette plateforme met aussi à la disposition des employeurs et des établissements un tableau de bord de suivi des versements. L’espace en ligne permet de suivre et d’archiver les informations des campagnes de répartition du solde sous le format d’un tableau de bord exportable, rendant ainsi l’information sur les flux financiers lisible et pérenne.

Tout en simplifiant les démarches des employeurs et des établissements, SOLTéA rend aussi transparent une partie du financement de la formation initiale des jeunes pour sécuriser leur avenir professionnel.

Chiffres clés de SOLTéA

  • 1,6 million d’employeurs concernés
  • 11 000 établissements bénéficiaires
  • 400 millions d’€ de financements

Un premier bilan de SOLTéA sera effectué à la fin de la campagne 2023.

Ce service est mandaté par le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse et le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, avec le concours de la délégation générale à l’emploi et à la formation professionnelle (DGEFP) du ministère du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion. Le projet a été conduit en partenariat avec l’Urssaf Caisse nationale, la caisse centrale de la Mutualité sociale agricole (MSA) ainsi que le GIP MDS (modernisation des déclarations sociales). La Caisse des Dépôts a développé et gère le service numérique de répartition du solde de la taxe d’apprentissage et le paiement des établissements bénéficiaires, SOLTéA.

SOLTéA, le nouveau service de répartition de la taxe d'apprentissage
SOLTéA, le nouveau service de répartition de la taxe d’apprentissage